Et si on en parlait... plaq alcool :Mise en page 1 30/03/ :26 Page 2
|
|
- Michele Lavigne
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 plaq alcool :Mise en page 1 30/03/ :26 Page 2 Alcool Et si on en parlait... Ce document vise à informer les usagers des risques qui sont associés à la consommation d alcool
2 plaq alcool :Mise en page 1 30/03/ :26 Page 1 L alcool, qu est-ce que c est? L'alcool est obtenu par fermentation de végétaux riches en sucre ou par distillation. Il entre dans la composition : - des boissons fermentées : vin, cidre, bière, - des boissons distillées : rhum, vodka,whisky... C est un produit psychoactif, c est-à-dire qu il agit sur le fonctionnement du cerveau. On le retrouve dans diverses boissons 1 L Alcool est un produit licite la production, la vente et l usage sont réglementés
3 plaq alcool :Mise en page 1 30/03/ :26 Page 2 Qu est-ce que ça fait? L'alcool n'est pas digéré : il passe directement du tube digestif aux vaisseaux sanguins. En quelques minutes, le sang le transporte dans toutes les parties de l'organisme. Les réactions aux effets de l alcool diffèrent selon le type et la quantité d alcool absorbé, l'état de fatigue de la personne, son degré d accoutumance, son poids, son sexe, le mélange avec d autres drogues Les effets et risques immédiats Plus les quantités d alcool consommées seront importantes, plus il y aura de risques. 2 Sur la santé A petite dose : sensation de détente, de plaisir, d euphorie, voire d excitation. A forte dose : Ivresse, trouble de l élocution, rétrécissement du champ visuel, diminution des réflexes et de la vigilance, somnolence, nausées, vomissements. A plus forte dose, la somnolence tourne au coma éthylique. Sur le comportement Diminution de la vigilance (risques d accidents de la circulation, d accidents du travail...), Pertes de contrôle de soi (passage à l acte : violence, agression sexuelle, suicide, homicide ), Expositions à des agressions...
4 plaq alcool :Mise en page 1 30/03/ :26 Page 3 3 Qu est-ce que ça fait? Les conséquences de la consommation régulière d alcool sur la santé sont souvent repérées tardivement : Les risques d une consommation régulière et excessive Augmentation de troubles psychologiques, Dépendance physique et psychique pouvant entraîner la détérioration des liens familiaux, sociaux et professionnels, Détérioration grave de la santé physique et mentale : cirrhoses, maladies neurologiques, cancers, démences, Risques pour le fœtus durant la grossesse et l allaitement. 1 verre standard = Vin 12 cl 12 = = = = Bière 25 cl 5 Champagne 12cl 12 Whisky 3,6 cl 40 Punch 2 cl 50
5 plaq alcool :Mise en page 1 30/03/ :26 Page 4 Comment réduire les risques? Consommations occasionnelles Décidez à l avance du nombre de verres que vous allez boire et respectez-le. Pas plus de 4 verres standard en une seule occasion. Pensez à boire de l eau pour l hydratation et contre l envie de boire. Alternez boissons sans alcool et boissons alcoolisées. Espacez les consommations d une à deux heures (pour permettre à l organisme d éliminer). Essayez de ne pas entrer dans la logique des «tournées» qui entraînent souvent une consommation d alcool à un rythme plus rapide et vous amènent à boire plus que prévu. Sachez choisir une boisson non alcoolisée ou dire non 4 Consommations régulières Pour les femmes (en dehors de la grossesse) : pas plus de 2 verres standard par jour. Pour les femmes enceintes : 0 Alcool Pour les hommes : pas plus de 3 verres standard par jour. Au moins un jour par semaine sans aucune boisson alcoolisée pour les deux sexes.
6 plaq alcool :Mise en page 1 30/03/ :26 Page 5 Que dit la loi? 5 L alcool est un produit licite dont la production, la vente et l'usage sont réglementés. La réglementation du commerce des boissons alcoolisées repose sur une classification des boissons. Elle régit tout débit de boisson où l'on consomme sur place. Protection des mineurs Il est interdit de vendre ou d offrir à des mineurs des boissons alcoolisées (dans les débits de boissons, les commerces et lieux publics). Sécurité routière Il est interdit de conduire un véhicule avec une concentration d alcool dans le sang (ou alcoolémie) supérieure ou égale à 0,5 gramme d alcool par litre de sang (Art. R du code de la route). La conduite en état d alcoolisation avec une alcoolémie comprise entre 0,5 et 0,8 g/l constitue une infraction sanctionnée par une peine d amende forfaitaire et le retrait de 6 points du permis de conduire. Au delà de 0,8 g/l, le conducteur se trouve dans une situation de délit qui, outre une amende et le retrait de 6 points du permis, peut entraîner de lourdes sanctions (suspension ou annulation de permis, emprisonnement). Pour les conducteurs de véhicules de transport en commun, ce taux légal d alcoolémie maximale est fixé à 0,2 grammes d alcool par litre de sang, ou 0,10 mg par litre d air expiré, (Art. R234-1 du code de la route / Décret ). Dans les stations-service, la vente de boissons alcoolisées à emporter est interdite entre 18 heures et 8 heures du matin.
7 plaq alcool :Mise en page 1 30/03/ :26 Page 6 Savoir ou è on en est? p J éprouve le besoin de consommer pour me sentir mieux ou supprimer un mal-être. p On m a déjà fait des remarques sur ma consommation. p J ai déjà eu l impression que je buvais trop. p J ai eu besoin d alcool dès le matin pour me sentir en forme. p Je suis anxieux et irritable si je ne consomme pas. 6 p Ma consommation perturbe ma vie professionnelle, mes études, mon travail. Si vous vous retrouvez dans au moins trois de ces situations, il est important de demander de l aide à une personne qualifiée de votre choix, en qui vous avez confiance. Source ; brochure alcool MILDT novembre 2001
8 plaq alcool :Mise en page 1 30/03/ :26 Page 7 Qui contacter? CSAPA - Basse-Terre 29 rue Baudot - Basse-Terre Tél : CSAPA AGEPTA 4, rue Raspail - Pointe-à-Pitre Tél : CSAPA G de la Basse-Terre 10 rue Baudot - Basse-Terre Tél : CSAPA COREDAF Im. BDAF, Bd Légitimus Pointe à Pitre Tél : Ou s informer? Écoute Alcool (7 jours sur 7 et de 8 h à 2 h (heures de métropole) coût d un appel local depuis un poste fixe ) CSAPA Iles du Nord 6, Rue Fichot - Saint-Martin Tél : Unité de Soins et de Liaisons en Addictologie (USLA) Hôpital Ricou Abymes Tél : Unité d'alcoologie du C. H. Louis Daniel Beauperthuy Mahault Pointe Noire Tél : Écoute Alcool par téléphone au Drogues Info Service, par téléphone au Ce document a été réalisé par l Instance Régionale d Éducation et de Promotion de la Santé (IREPS) de Guadeloupe, dans le cadre de son Centre d Information et de Ressources sur les Drogues et les Dépendances (CIRDD) et du pôle régional de compétences en éducation et promotion de la santé. Il a bénéficié du soutien financier de la Mission Interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie(mildt), et de l Institut National de Prévention et d Éducation pour la Santé (INPES). Réseau Addiction Guadeloupe Morne Jolivière - Abymes Tél : Alcool Assistance Guadeloupe Route de Barthel - Moule Tél : CSAPA : Centre de Soins d Accompagnement et de Prévention en Addictologie Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie PEPS CENTRE D'INFORMATION ET DE RESSOURCES SUR LES DROGUES ET LES DEPENDANCES Réalisation : IREPS - Décembre Impression : IDC - Ne pas jeter sur la voie publique Modifier la date d édition : Edition décembre 2011
N O S L I M I T E S?!
NOS LIMITES?! Cette brochure contient des informations essentielles sur l alcool et peut vous permettre de calculer votre. L alcool L alcool est une drogue licite et réglementée dont la substance psychoactive
Plus en détailTROP, C EST COMBIEN? Chaque verre compte
Votre consommation d alcool TROP, C EST COMBIEN? Chaque verre compte Cette brochure explique les effets de l alcool sur votre santé ainsi que sur votre vie sociale, familiale et professionnelle. Elle vous
Plus en détailALCOOL. vous en savez QUOI?
ALCOOL vous en savez QUOI? ON TROUVE TOUJOURS UNE BONNE RAISON POUR COMMENCER À BOIRE : Curiosité, recherche de sensations fortes, envie de faire comme les autres, de se sentir plus sûr de soi... On se
Plus en détailMémento législatif. En 1916, l absinthe est interdite.
Mémento législatif Juillet 2003 La législation antialcoolique a commencé à s esquisser au 19 ème siècle avec deux dispositions fondamentales : la loi de 1838 sur l internement des aliénés, et la loi de
Plus en détailLes drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détailGuide. d ivresse. de gestion de la crise. en entreprise
Guide de gestion de la crise d ivresse en entreprise L IVRESSE SUR LES LIEUX DE TRAVAIL Ce guide pratique se veut un outil répondant aux besoins exprimés par les entreprises. Il répond uniquement à la
Plus en détailcyclomoteur Non autorisé En général non autorisé sinon 45 45 45
L ATTESTATION SCOLAIRE DE SECURITE ROUTIERE NIVEAU 3 L attestation scolaire de sécurité routière comporte : - une attestation scolaire de sécurité routière (ASSR) de premier niveau qui se passe en 5 e
Plus en détailGuide pratique sur les débits de boissons
Guide pratique sur les débits de boissons page 1 Les différentes catégories de boissons (article L.3321-1 du code de la santé publique) Le code de la santé publique classifie les boissons en 5 groupes
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailPAS. e DOPER. Écoute dopage. Drogues Info Service. > 0800 15 2000 > www.dopage.com
Deux numéros Vert pour être aidé Écoute dopage > 0800 15 2000 > www.dopage.com Anonyme et gratuit depuis un poste fixe, pour poser des questions, être écouté, conseillé et orienté. Du lundi au vendredi
Plus en détailCertaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie?
P a g e 1 Comment savoir que vous présentez une hypoglycémie? La plupart des personnes diabétiques sentent rapidement lorsque leur taux de glycémie est trop bas (inférieur à 60 mg/dl). Les premiers symptômes
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE 27 AVRIL 2006 5 MILLIONS DE FRANÇAIS ONT UN PROBLEME AVEC L ALCOOL. ET SI LES AUTRES C ETAIT VOUS?
DOSSIER DE PRESSE 27 AVRIL 2006 5 MILLIONS DE FRANÇAIS ONT UN PROBLEME AVEC L ALCOOL.. ET SII LES AUTRES C ETAI IT VOUS? SOMMAIRE Les hommes boivent plus souvent et en plus grande quantité que les femmes..
Plus en détailMERCI DE RETOURNER LE BON DE PRISE EN CHARGE ET/OU LA FICHE RÉCAPITULATIVE DANS L ENVELOPPE T
À l attention du bénéficiaire : BILAN SANTÉ RETRAITE AUTO-QUESTIONNAIRE Ce questionnaire servira de fil conducteur à la consultation avec votre médecin traitant. À l issue de l entretien, vous pouvez soit
Plus en détaildéclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers)
1 Nom Prénom Date de naissance (AAAA/MM/JJ) N o de proposition ou de contrat 1. renseignements médicaux Renseignements Oui Non médicaux 1. Prenez-vous des médicaments? Cocher OUI ou NON. 2. Au cours des
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailLa communication du RESEAU
La communication du RESEAU Annick ZAENKER _ alsacep LORSEP _METZ 5,11,2011 La communication C est l'action d'établir une relation avec autrui dont l objectif sera d'informer, de transmettre et de diffuser
Plus en détailCHEZ LES ADOLESCENTS ET LES JEUNES, À DESTINATION DES ADULTES. Risques routiers et consommation de produits psychoactifs
ZAP06 Zoom Addictions Prevention 06 LETTE D INFOMATIONS PATAGÉES SU LA PÉVENTION DES ADDICTIONS CHEZ LES ADOLESCENTS ET LES JEUNES, À DESTINATION DES ADULTES isques routiers et consommation de produits
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailSi seulement j avais su. Informations sur les effets de l alcool sur la conduite automobile.
Si seulement j avais su Informations sur les effets de l alcool sur la conduite automobile. Chère lectrice, cher lecteur Consommation d alcool et conduite automobile ne font pas bon ménage. On le sait
Plus en détailDEBIT DE BOISSONS I. DONNEES RELATIVES AUX ELEMENTS DU FONDS. A. La clientèle et l enseigne. B. La licence 23/07/2012
DEBIT DE BOISSONS 23/07/2012 Comme tout autre fonds de commerce, le débit de boissons comprend la clientèle, l enseigne, la marchandise, le matériel et le droit au bail. Mais à ces éléments classiques
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détaille guide du bon conducteur
En savoir plus www.securite-routiere.gouv.fr twitter.com/routeplussure Délégation à la sécurité et à la circulation routières Place des Degrés Tour Pascal B 92055 La Défense Cedex Délégation à la sécurité
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR SUR
CE QU IL FAUT SAVOIR SUR LA LÉGISLATION VAUDOISE POUR LA VENTE D'ALCOOL Loi sur les auberges et les débits de boissons (LADB) Art. 50 Il est interdit de servir ou de vendre des boissons alcoolisées: a)
Plus en détailLes infractions au. Code criminel PERMIS DE CONDUIRE
Les infractions au Code criminel PERMIS DE CONDUIRE Les infractions au Code criminel PERMIS DE CONDUIRE Le Code criminel et la conduite d un véhicule routier Certains comportements ou certaines actions
Plus en détailL EVALUATION PROFESSIONNELLE
INFODROIT- 22 mars 2011 L EVALUATION PROFESSIONNELLE Dossier préparé et présenté par Lamiel TURLOT, juriste à l UD CFDT Paris SOMMAIRE L évaluation professionnelle, une obligation pour l employeur?...3
Plus en détailLA REBELLION. a) il faut que l'agent ait agi dans l'exercice de ses fonctions.
LA REBELLION La rébellion est le fait de s'opposer violemment aux fonctionnaires et officiers publics qui agissent pour l'exécution et l'application des lois. I - ELEMENTS CONSTITUTIFS A - L ELEMENT LEGAL
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailBrochure cannabis 21/02/05 4:17 PM Page 1 cannabis au volant
cannabis au volant Réalisation Association des intervenants en toxicomanie du Québec inc. www.aitq.com Cannabis au volant cool ou risqué? Cette brochure a pour but de t informer de l impact du cannabis
Plus en détail«La prison est la seule solution pour préserver la société.»
«La prison est la seule solution pour préserver la société.» Nous n enfermons rien d autre en prison qu une partie de nous-mêmes, comme d autres abandonnent sur le bord de la route leurs souvenirs encombrants
Plus en détailPréface. Comment faire la fête en toute légalité, en toute sécurité?
Préface Comment faire la fête en toute légalité, en toute sécurité? La recherche d un équilibre entre une traditionnelle convivialité festive et les dangers d une consommation excessive d alcool est délicate.
Plus en détailComportements addictifs
Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit
Plus en détailEmplacement de la photo d ouverture du domaine
FORMATION INITIATEUR Emplacement de la photo d ouverture du domaine Commission pédagogique de la Direction Technique Nationale 28/11/03 Une dimension morale «Être responsable» c est accepter et subir,
Plus en détailANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires
ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes
Plus en détail2 Vivre avec l hépatite C
parler de ma maladie et interagir avec les autres être hépatant 2 Vivre avec l hépatite C répercussions au quotidien Nous voulons informer sur l hépatite C, lutter pour une meilleure prise en charge de
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailLes collectivités territoriales face aux conduites addictives
GUIDE PRATIQUE Les collectivités territoriales face aux conduites addictives Stupéfiants Alcool Tabac REMERCIEMENTS Ministère de la Justice et des Libertés Ministère de l Intérieur, de l Outre mer, des
Plus en détailVIE PROFESSIONNELLE ET RESPECT DE LA VIE PRIVEE Par Béatrice CASTELLANE, Avocate au Barreau de Paris
VIE PROFESSIONNELLE ET RESPECT DE LA VIE PRIVEE Par Béatrice CASTELLANE, Avocate au Barreau de Paris La question à traiter concerne le respect de la vie privée dans le monde du travail. Jusqu à quel point
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant phénylcétonurique Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de phénylcétonurie. Aujourd'hui votre enfant va bien mais vous
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : MIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER www.cmu.fr www.ameli.fr www.securite-sociale.fr + 3646 ACS CMU Caisse Primaire d Assurance Maladie 657 boulevard
Plus en détailGUIDE PRATIQUE LES DEBITS DE BOISSONS
1 PRÉFECTURE DU LOT PRÉFET DU LOT CABINET DU PRÉFET PôLE SÉCURITÉ INTÉRIEURE GUIDE PRATIQUE LES DEBITS DE BOISSONS La réglementation des débits de boissons relève des textes suivants : le code général
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailFICHE THÉMATIQUE : LA LOI SANTÉ
LOI SANTÉ : QUELS IMPACTS SUR LE QUOTIDIEN DES FRANÇAIS? Le 14 avril dernier l Assemblée nationale a adopté à 311 voix contre 241 le projet de loi de «modernisation de notre système de santé» dit loi santé.
Plus en détaill L immense majorité des condamnations concernent des délits
Prévention de la récidive et individualisation des peines Chiffres-clés Juin 2014 Les condamnations En 2012, environ 900 000 infractions ont donné lieu à environ 600 000 condamnations pénales prononcées
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DES DEBITS DE BOISSONS A L USAGE DES MAIRES, DES PROFESSIONNELS, DES ASSOCIATIONS OU DES PARTICULIERS
1 PREFECTURE D EURE ET LOIR ********** GUIDE PRATIQUE DES DEBITS DE BOISSONS A L USAGE DES MAIRES, DES PROFESSIONNELS, DES ASSOCIATIONS OU DES PARTICULIERS 08/07/2013 2 EDITORIAL Si les alcools proits
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailLES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet
Plus en détailCommuniquer et vendre aux Seniors
Communiquer et vendre aux Seniors Objectif : donner des outils praticopratiques pour mieux vendre aux Seniors Constats : ceux qui ont été formés et ont appliqué, ont doublé leurs ventes Avoir des difficultés
Plus en détailMa vie Mon plan. Cette brochure appartient à :
Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailLycéens... page 2 Devoirs des lycéens... page 2 Droit des lycéens... page 7
RÈGLEMENT INTÉRIEUR Lycéens... page 2 Devoirs des lycéens... page 2 Droit des lycéens... page 7 Étudiants... page 9 Devoirs des étudiants... page 9 Droit des étudiants... page 13 5 rue de la Motte Brûlon
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détailLe Document Unique : une obligation légale des entreprises
Avis d expert Marc Koffi, Responsable de SIGMA-RH France Le Document Unique : une obligation légale des entreprises En France, le Document Unique (ou Document Unique de Sécurité - DU ou DUS), a été introduit
Plus en détailC comme Cirrhose. être hépatant7. apprendre à vivre avec une cirrhose
BROCHURE BLEUE comprendre et m adapter aux différentes situations de la maladie être hépatant7 C comme Cirrhose apprendre à vivre avec une cirrhose Nous voulons informer sur l hépatite C, lutter pour une
Plus en détailOffrez un spectacle à votre mesure!
Aix-les-Bains : Partenariat et spectacles Offrez un spectacle à votre mesure! Faites le tour de vos émotions Aix-les-Bains Avec un A comme artiste Fort de son identité, Aix-les-Bains s impose comme une
Plus en détailIRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT»
IRBMS http://www.irbms.com Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» Auteur(s) : J.-D. Guieu Catégorie : Sport Santé
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailEnquête de Santé par Interview Belgique 2001
Enquête de Santé par Interview Belgique 21 Livre 3 Style de Vie IPH/EPI REPORTS nr 22-22 Rue de Louvain, 44 1 Bruxelles Section d'epidémiologie Rue Juliette Wytsman, 14 15 Bruxelles Tél : 2/642.57.94 e-mail
Plus en détailLE STATIONNEMENT DES GENS DU VOYAGE DROITS ET DEVOIRS DES MAIRES. Etienne COLSON, avocat au barreau de Lille - Mars 2009 -
LE STATIONNEMENT DES GENS DU VOYAGE DROITS ET DEVOIRS DES MAIRES 1 INTRODUCTION Définition «gens du voyage» => une notion imprécise Seule définition légale = «personnes dont l habitat traditionnel est
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailLICENCE DE DEBITS DE BOISSONS ET RESTAURANTS
LICENCE DE DEBITS DE BOISSONS ET RESTAURANTS ET PERMIS D EXPLOITATION La licence est le titre d exploitation d un débit de boissons ou d un restaurant, qui détermine, selon sa catégorie, les boissons qui
Plus en détailDroits et obligations
Droits et obligations de titulaires de permis d alcool Permis de restaurant pour vendre Permis de restaurant pour servir Permis de bar Permis de brasserie Permis de taverne Permis de club Le présent document
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLES DROGUES ET LA LOI
34 RÉPONSES AUX 34 QUESTIONS LES PLUS FRÉQUENTES SUR LES DROGUES ET LA LOI www.drogues.gouv.fr [rubrique questions / réponses] LES DROGUES ET LES LOIS : ETAT DES LIEUX, ETAT DU DROIT... 3 RAPPELS GENERAUX...
Plus en détailDEBITS DE BOISSONS FICHE PRATIQUE R1 LES CATEGORIES DE LICENCES LE PERMIS D'EXPLOITATION LES FORMALITES PREALABLES A L'OUVERTURE.
FICHE PRATIQUE R1 DEBITS DE BOISSONS REGIME JURIDIQUE LES CATEGORIES DE LICENCES LE PERMIS D'EXPLOITATION LES FORMALITES PREALABLES A L'OUVERTURE Réglementation janvier 2 0 1 4 Cette fiche pratique est
Plus en détailLa lettre d information du Syndicat de l AOC Corbières Boutenac SEPTEMBRE 2014 n 8
Boutenac Info La lettre d information du Syndicat de l AOC Corbières Boutenac SEPTEMBRE 2014 n 8 Edito Nos lignes se sont coupées depuis plusieurs mois et pour cause! De nombreuses activités ont occupé
Plus en détailÉTAT DES LIEUX DES DROGUES ET DÉPENDANCES EN AUVERGNE
Réalisé par l'observatoire Régional de la Santé d'auvergne M VENZAC, H-G ILLES, S MAQUINGHEN, Pr Y GLANDDIER ÉTAT DES LIEUX DES DROGUES ET DÉPENDANCES EN AUVERGNE Novembre 2011 Observatoire régional de
Plus en détailLA SECURITE ROUTIERE et l ASSR
LA SECURITE ROUTIERE et l ASSR Introduction: - Les accidents de la route constituent la première cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 24 ans. - C'est entre 14 et 18 ans qu'il y a le plus de cyclomotoristes
Plus en détailConduite d un véhicule et consommation d alcool et de drogues
Community Legal Information Association of Prince Edward Island, Inc. Conduite d un véhicule et consommation d alcool et de drogues Introduction Les lois concernant la conduite d un véhicule en état d
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailS O M M A I R E MÉMENTO RELATIF À LA RÉGLEMENTATION DES DÉBITS DE BOISSONS PRÉFECTURE DE L'AVEYRON 1/15
S O M M A I R E PRÉFECTURE DE L'AVEYRON 1 - LES DISPOSITIONS GÉNÉRALES, APPLICABLES À TOUS LES DÉBITS DE BOISSONS... p. 2 1.1 - L'arrêté n 2010354-005 du 20 décembre 2010... p. 2 1.2 - L'arrêté n 2000-0240
Plus en détailHabiter. Le travail illégal FICHE 15
FICHE 15 Habiter Le travail illégal Sont interdits par la loi : > le travail dissimulé : absence de déclarations obligatoires, de remises de bulletin de paie, dissimulation d heures de travail ; > le prêt
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détailL opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailMémento. A l usage des parents et de leurs enfants
Mémento A l usage des parents et de leurs enfants Quelques adresses utiles Département de l instruction publique, de la culture et du sport www.ge.ch/dip/ Centrale de la police www.ge.ch/police tél. 022
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailDiabète et Permis de Conduire
Diabète et Permis de Conduire Exposé du Dr. François Moreau lors de la Table ronde organisée conjointement par Activ Diab 67 et Insulib le 29 mars 2014 Questions déclaration du diabète pour les candidats
Plus en détailLes homicides avaient été les plus fréquents dans les régions de l'ontario et des Prairies, qui
Les femmes qui ont commis un homicide Au Canada, l'homicide peut appartenir à l'une des catégories suivantes : meurtre au premier degré, meurtre au deuxième degré, homicide involontaire ou infanticide.
Plus en détailLorsqu on boit, on ne conduit pas. en toute sécurité TROUSSE DE L'HÔTE RESPONSABLE
Lorsqu on boit, on ne conduit pas. en toute sécurité TROUSSE DE L'HÔTE RESPONSABLE Levons nos verres à un e soirée réussie! santé! La présente trousse s adresse aux personnes qui, dans une entreprise,
Plus en détailCOMITE D ENTREPRISE. OBLIGATIONS liées à la CONSULTATION du COMITE D ENTREPRISE
COMITE D ENTREPRISE FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE OBLIGATIONS liées à la CONSULTATION du COMITE D ENTREPRISE 2012 Depuis 2008 Le décret n 2008-716 du 18 juillet 2008 a avancé la date de la première
Plus en détailQue manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)?
Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? La veille au soir Les buts de l alimentation sont de maintenir les réserves en glycogène (réserve de sucre pour l effort) tant au niveau du
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL
SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de
Plus en détailJe suis guéri de mon hépatite C
Je suis guéri de mon hépatite C Que dois-je faire après l arrêt du traitement? Ce livret a été conçu par les laboratoires Janssen pour répondre aux questions que vous vous posez sur l hépatite C. Si vous
Plus en détailRESPONSABILITÉ, SANCTION Introduction: Être responsable de ses actes ET ASSURANCE. Il existe deux types de responsabilité
Introduction: Être responsable de ses actes Vivre en société exige l existence et le respect de règles visant à garantir la liberté des individus qui la composent, 2 mais aussi à les protéger sur les plans
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailPropension moyenne et marginale
Propension moyenne et marginale Les ménages utilisent leur revenu soit pour consommer (tout de suite), soit pour épargner (et consommer plus tard). On appelle propension moyenne à consommer (PMC) la part
Plus en détailRéponses concrètes. Le Cannabis et l Entreprise
Réponses concrètes Le Cannabis et l Entreprise A propos de ce livret Ce livret prolonge le travail de la rencontre du 29 janvier 2010 «Législation et cannabis de la société à l entreprise» à Lens organisé
Plus en détailQuels risques encourez-vous si vous utilisez, achetez ou vendez une machine non-conforme?
Quels risques encourez-vous si vous utilisez, achetez ou vendez une machine non-conforme? Introduction Le matériel de construction disponible sur le marché de l Union européenne doit être conforme à la
Plus en détail"La santé des étudiants en 2009"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie
Plus en détailEntre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE
Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique
Plus en détailGUIDE INSERR GUIDE N 1. L Apprentissage Anticipé de la Conduite en quelques mots. Guide de l AAC
GUIDE INSERR GUIDE N 1 L Apprentissage Anticipé de la Conduite en quelques mots Guide de l AAC Novembre 2003 Préambule L APPRENTISSAGE ANTICIPÉ DE LA CONDUITE (AAC) souvent appelé «conduite accompagnée»
Plus en détailFaites vérifier le système de freinage, la direction, les éclairages, la batterie
entretien entretenir son vehicule.1 1. Entretenir son véhicule 2. Savoir partir en forme 3. Protéger sa vie et celle des autres 4. Maintenir une vigilance maximale au volant 5. Savoir faire une pause 6.
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLES DEBITS DE BOISSONS TEMPORAIRES (MISE A JOUR - SEPTEMBRE 2011)
LES DEBITS DE BOISSONS TEMPORAIRES (MISE A JOUR - SEPTEMBRE 2011) INTRODUCTION - PRESENTATION DE LA REUNION... 2 1. Objet de la réunion... 2 2. Qu'est-ce qu'un débit de boissons?... 2 3. Les débits de
Plus en détailMichel Magras. compte-rendu PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE L OUTRE-MER
Michel Magras Sénateur de Saint-Barthélemy Président de la Délégation sénatoriale à l outre-mer compte-rendu (suite) Séance du vendredi 26 juin 2015 PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE
Plus en détailAlcool : Oui, on peut dire «non» au verre de trop
Alcool : Oui, on peut dire «non» au verre de trop Dossier de presse Novembre 2013 CONTACTS PRESSE Inpes : Vanessa Lemoine Tél : 01 49 33 22 42 Email : vanessa.lemoine@inpes.sante.fr TBWA \ Corporate :
Plus en détail