Rapport de la Sixième Réunion. de la Plateforme Régionale. pour les Mécanismes de Financement des Risques de Catastrophes

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1 Rapport de la Sixième Réunion de la Plateforme Régionale pour les Mécanismes de Financement des Risques de Catastrophes décembre 2014, Hôtel Ocean View, Zanzibar

2 Rapport de la Sixième réunion de la plateforme régionale pour les mécanismes de financement des risques de catastrophes 1. CONTEXTE décembre 2014, Hôtel Ocean View, Zanzibar Pour cinq des états membres et territoires insulaires de la Commission de l'océan Indien, le projet ISLANDS a mis en place un programme régional innovant qui permettra aux gouvernements des pays concernés l Union des Comores, Madagascar, l Ile Maurice, les Seychelles, et Zanzibar de la République unie de Tanzanie - d atténuer les conséquences financières potentiellement dévastatrices des catastrophes naturelles qui s abattent périodiquement sur ces pays vulnérables de l'océan Indien. Le Programme ISLANDS de Protection Financière (IFPP) consiste en une boîte à outils sophistiquée, adaptée à chaque pays concerné, et basée sur le concept de financement des risques et le mécanisme associé de transfert de risque. Une fois en place, le programme aidera ces cinq pays non seulement à assumer les coûts potentiellement lourds de secours et de reconstruction suivant un cyclone, une inondation, un tremblement de terre ou un tsunami, mais aussi et surtout à contribuer à leur développement économique, puisqu il il réduira les effets négatifs sur le PIB - et donc sur leur développement futur - que de telles catastrophes laissent toujours dans leur sillage. Le IFPP a été soigneusement pensé et élaboré avec le soutien et la collaboration des principales organisations spécialisées dans ce domaine (l UNISDR et la Banque mondiale). Conçu comme une boîte à outils pourvue de tous les instruments nécessaires, il comprend les cinq étapes suivantes : 1. Une enquête approfondie sur les mesures de protection financière déjà existantes contre les risques de catastrophes dans la région. Cette enquête, menée début 2013, a montré le besoin de nouveaux instruments. 2. Une base fiablede données de pertes économiques ainsi que des profils de risque établis pour chacun des états membres. Ces données ont été déterminées au moyen de méthodologies modernes les plus utilisées: DESINVENTAR (pour recueillir des données historiques), et CAPRA (pour modéliser les risques futurs). 3. Un approfondissement des travaux initiaux de profils de risque avec des données relatives aux investissement. Cet exercice permettra de produire des évaluations plus ciblées des risques pour la mise en oeuvre d'outils spécifiques de financement des risques ou de gestion des risques de catastrophe. 4. Une analyse factuelle des différents mécanismes et instruments financiers pour soutenir la prise de décisions par les gouvernements en ce qui concerne l'allocation des ressources pour le financement des coûts des catastrophes. Les «stratégies de

3 réduction et de financement des risques de catastrophe» proposées tiendront compte de multiples options, et doivent être adaptées à chaque pays en fonction de leurs profils de risque détaillés et des lacunes de financement actuels. 5. Une étude de faisabilité concernant la possibilité d établir une structure pour le financement des risques au niveau régional. Cette étude définira également l environnement nécessaire pour la mise en place d un tel engagement. L IFPP a déjà entrepris les trois premières étapes du projet, au cours desquelles les outils nécessaires ont été identifiés, puis mis en place et ajustés, et chacun des cinq états membres ou territoires insulaires s est familiarisé et formé à leur utilisation. La quatrième étape du projet, actuellement en cours, a commencé en juin 2014 et prévoit l étude et la mise en œuvre des politiques nationales de financement des risques, qui serviront de base à l'étude de faisabilité mentionnée à l étape 5, qui sera réalisée par la Banque mondiale durant la période Cette cinquième étape qui a débuté depuis avril 2014 constitue le «South and Western Indian Ocean Risk Assessment and programme (SWIO-RAFI)» de la Banque mondiale. 2. OBJECTIFS DE LA REUNION La 6e réunion de la plate-forme régionale pour les mécanismes de protection financière contre les risques de catastrophes naturelles et climatiques visait à examiner: le contexte mondial de développement d une perspective de prévention des catastrophes; les progrès accomplis dans la mise en œuvre du Programme de protection financière de ISLANDS (IFPP) mis en œuvre conjointement par la COI-UNISDR-WB; d'autres initiatives régionales avec qui de potentielles collaborations et un réel besoin de coordination se font sentir. 3. RESUME DE LA REUNION A. Cérémonie d ouverture Le Colonel Mamy Razakanaivo, Président de la plate-forme régionale pour les Mécanismes de financement des risques de catastrophes a pu officier comme maître de cérémonie lors de cette session initiale. Après des mots de bienvenue et un rappel sur l importance et le travail réalisé par la plateforme au cours des deux dernières années, le Colonel Mamy a ensuite appelé Mme Gina Bonne, Chargée de mission à la COI, Mr Christophe Push, DRM practice Leader for the Africa Region de la Banque Mondiale pour des allocutions qui ont permis de resituer le travail de ce programme pour la protection financière contre les risques de catastrophes dans une perspective plus régionale (programme COI, préparation du FED 11 donnant priorité à la réduction des risques de catastrophes et le changement climatique) et globale (inscription

4 de ce programme dans une approche menée par la Banque mondiale au niveau de l Afrique via plus d assistance technique, de nouveaux produits tels que les fonds de contingence comme celui récemment approuvé pour les Seychelles, ou en liant avec des initiatives comme l Africa Risk Capacity de l Union africaine). Le colonel Mamy a ensuite invité son Excellence Seif Shariff Hamad, First Vice-president of Zanzibar à prononcer son discours d ouverture. Donnant ici une perspective nationale de ce programme, le First Vice-president a pu clairement mettre l accent sur la déclaration de la 3 ième conférence internationale sur les PEID intitulée «Samoa, la Voie à suivre» (Samoa Pathway) en paraphrasant l article 51 : «Les petits États insulaires en développement continuent d être durement éprouvés par les catastrophes, dont certaines ont été aggravées par les changements climatiques, ce qui entrave leur progrès vers un développement durable. Nous constatons également que les catastrophes affectent ces États de manière disproportionnée et qu il faut impérativement améliorer la résilience, renforcer le contrôle et la prévention, réduire la vulnérabilité, faire œuvre de sensibilisation et augmenter la préparation pour répondre et se relever de ces catastrophes». Sur ce constat le First Vice president à pu conclure en rappelant six points de la déclaration qui permettraient d atteindre cet objectif ensemble : 1. Continuer d avoir accès à l assistance technique et au financement nécessaire ; 2. Promouvoir la coopération et l investissement dans le domaine de la gestion des risques de catastrophe dans les secteurs public et privé; 3. Mettre en œuvre le Cadre d action de Hyogo; 4. Intégrer les politiques et les programmes relatifs à la réduction des risques de catastrophe, à l adaptation aux changements climatiques et au développement; 5. Mettre en place des dispositifs d assurance contre les risques de catastrophe ou de renforcer ceux qui existent déjà aux niveaux national et régional; 6. Accroître la participation aux initiatives internationales et régionales en matière de réduction des risques de catastrophe. Après une photo de groupe (en couverture de ce rapport), les participants ont pu revoir les objectifs et le programme des deux jours avant de procéder avec la première session technique de la réunion. Le programme est donné en annexe 1 de ce rapport, tandis que les noms et contacts des participants sont donnés en annexe 2.

5 B. Définir le contexte de la réunion Le contexte international et la GRC M. Christophe Legrand a initié sa présentation avec le triangle de la résilience donné cidessous, à la fois comme résumé du projet ISLANDS et comme résumé des processus convergents vers un nouvel agenda international du développement et l adoption vraisemblable d objectifs du développement durable ou ODD (Sustainable Development Goals SDG), en septembre 2015 (échéance fixée pour atteindre les cibles des OMD). En utilisant la GRC comme point d entrée, il est ainsi revenu sur : - la conférence internationale pour les PEID (Apia, Samoa Sept. 2014) ; - la préparation de la conférence mondiale pour la GRC (Sendai au Japon, mars 2015) qui s accompagnera de l adoption d un nouveau cadre global pour la GRC/RRC post 2015 (Hyogo Framework for Action 2 HFA2) ; - les processus globaux en cours liés au changement climatique tels que la mise en place du Fond Global Vert (processus d accréditation et de proposition de projets déjà définis ; capitalisation du fonds initiée) et la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) avec la COP20 (Lima, Pérou Dec 2014) et la COP 21 (Conférence Paris Climat, Nov-Dec 2015) qui mèneront à la signature d un nouveau cadre pour le changement climatique voulu plus contraignant et ayant pour objectif une augmentation maximale des températures limitée à 2 C d ici En dehors de la convergence et l intégration recherchée de ces différents cadres, il faut également retenir que la GRC/RRC continuera d être traitée comme une dimension transversale dans la lignée de HFA. Ainsi pas moins de 7 objectifs du développement durable ont actuellement identifié des cibles ayant trait à la GRC/RRC. Figure 1 Triangle de la résilience

6 A la question du traitement de l économie bleue dans ce contexte global, Christophe Legrand a suggéré aux participants de suivre les travaux du groupe de travail de l ODD 14 portant sur les océans. Programme risques et catastrophes de la COI Mme Gina Bonne a ici pu présenter le programme GRC/RRC de la COI en focalisant sur les points suivants : - Axes stratégiques de la COI ; - Champs d actions ; - Projet ISLANDS (Phase II) ; - Perspectives. La présentation générale du programme de la COI a permis aux nouveaux participants de mieux connaître l institution derrière l initiation de cette initiative régionale en découvrant les domaines d intervention qui structurent le secrétariat pour atteindre les objectifs fixés par les quatre axes stratégiques définis. Ainsi, il apparaît que le programme GRC/RRC relève du domaine d intervention 4 et contribue au succès de tous les axes stratégiques, mais surtout l axe 3 : «Un environnement insulaire et océanique commun, résilient et durable». Ainsi, on retrouve l intégration de la GRC dans trois projets en cours (ISLANDS, Surveillance épidémiologique et Education, Recherche et Innovation) et un projet qui vient de se terminer (Risques Naturels). En termes de perspectives, la COI prépare actuellement avec l UE le 11 ième programme du Fonds européen de développement (FED) et les deux institutions se sont mises d accord pour mettre l accent sur la GRC/RRC et le changement climatique. C est sur cette base, et en se reposant sur les premiers brouillons du HFA2 ou encore sur la base du travail de la COI mené sur ces deux thèmes ces dernières années, que le secrétariat de la COI planifie maintenant un programme intégré Changement climatique et réduction des risques caractérisé par : - Des actions à court, moyen et long terme ; - Bâti sur les acquis du projet risques naturels, ISLANDS et les plates-formes existantes ; - Un renforcement des partenariats ; - Une mutualisation des moyens, des structures et institutions en place. Les grandes lignes de ce programme peuvent se définir ainsi : - Renforcement des capacités institutionnelles et techniques des états membres ; - Renforcement des capacités de coopération régionale et des partenariats ; - Sensibilisation, éducation, recherche et innovation.

7 Résumé de l activité "mécanismes de financement des risques"/ Project ISLANDS M. Philippe Boullé est tout d abord revenu sur ce qu était le programme de protection financière contre les risques de catastrophes de ISLANDS en mettant l accent sur l importance des partenariats. Il faut percevoir ce programme comme la provision de boîtes à outils pour mieux prévoir et fiancer la réduction ou le transfert des risques, via des mécanismes de financement publiques ou privés. En plus des bases de données, profils de risques et autres recommandations que ce programme a déjà apportés, ce programme a également : - apporté une approche coordonnée (plate-forme régionale ; agence hôte et coordinatrice dans chaque pays ; des plates-formes nationales dans certains pays) ; - un changement dans la perception de la question de a GRC/RRC parmi les acteurs mobilisés : les action s de développement doivent viser à réduire les risques de catastrophes ; - des objectifs et activités concrètes de renforcement de capacité matérielle et intellectuelle : outils open source ; utilisation de l expertise locale. En termes de vision à plus long terme, pour ce programme et en phase avec la présentation précédente de Mme Gina Bonne, M. Philippe Boullé ainsité sur le besoin de voir la plateforme penser à l intégration GRC/RRC et l adaptation au changement climatique, à intégrer plus d acteurs (ex. : les ONG). Il a surtout souhaitée une approche holistique de la GRC (identification des risques, réduction des risques, protection financière, préparation aux catastrophes, la reconstruction post-catastrophe), posant ainsi implicitement la question de la durabilité dans le temps du fonctionnement de cette plate-forme. Cette question est maintenant intégrée dans le tableau de décisions arrêté en dernière session. C. Progrès sur le Programme ISLANDS de Protection Financière Présentation des résultats du programme conjoint UNISDR / COI-ISLANDS Mme Kazuko Ishigaki a ici initié une présentation générale du travail des deux dernières années menées entre l UNISDR, la COI et les pays portant sur le développement des capacités de ces derniers à augment les investissements publics pour la GRC et l adaptation au changement climatique. Elle a pu tout d abord justifier ce programme à partir de deux éléments clés : - l adoption du cadre d action de Hyogo par 168 pays ; - le coût économique des catastrophes naturelles et climatiques : o l augmentation des coûts économiques des catastrophes naturelles et climatiques ; o 250 Millions USD dépensés pour des perturbations tropicales aux Comores, Madagascar, Maurice, Seychelles et Zanzibar ; o Haute vulnérabilité des PEID à ces catastrophes (voir aussi «Samoa, la Voie à

8 suivre») ; o Pays tropicaux présentant une extrême vulnérabilité économique à ce genre de catastrophes. La présentation est ensuite revenue sur les deux aspects sur laquelle s est portée cette collaboration, à savoir l information sur les risques (base de données sur les catastrophes, évaluation probabilistique des risques) et l information sur les coûts (la GRC dans les investissements publiques analyse macroéconomique des impacts des catastrophes sur l économie et les finances publiques ; analyse microéconomique avec des analyses coûtsbénéfices de l impact des investissements pour la GRC ; revue des politiques et budgets pour mesurer les manquements entre les risques financiers et économiques identifiés et les politiques actuelles).ces deux composantes du projet avait pour objet de placer les pays dans une situation ou la discussion et la prise de décision politique informée est rendue possible. Le détail des figures présentées ensuite par l UNISDR et chacun des pays, comme en figure 2 ci-dessous, peut être consulté au niveau des présentations mais surtout dans le rapport global de l UNISDR et ces déclinaisons nationales. Ces rapports sont en cours de finalisation pour les réunions de restitution planifiées pour les deux premiers mois de Les brouillons de ces rapports ont été remis lors de cette session aux représentants des différents pays pour revue et commentaires avant finalisation. Lors de la session question réponse, la COI a remercié les pays et l UNISDR pour ce travail innovant dans la région qui a eu l avantage de mettre la notion économique de la GRC sur l agenda des pays, en renforçant leur compréhension du sujet. Cependant, vis à vis des recommandations pour les politiques et décideurs qui ont été formulées par les pays, la COI a suggéré au pays de renforcer le lien entre le travail d analyse économique mené et les recommandations pour les décideurs (ex. : Ministre des finances) qui se doivent être d ordre économique et ayant vocation une révision des budgets et politiques financières vis à vis de la GRC, d ici les réunions nationales de restitution. En effet, des recommandations telles que «besoin de renforcement des capacités», un besoin bien réel, ne ressort pas pour autant des analyses macro et micro économiques réalisées, en appui et coordination total de la COI/ISLANDS et autres partenaires.

9 Figure 2 Pertes économiques dues aux catastrophes naturelles Rapport d avancement et perspectives sur la mise en œuvre des projets SWIO RAFI Mr. Doekle Wielinga, Senior Disaster Risk Management Specialist de la Banque mondiale et en charge de la mise ne oeuvre du projet SWIO-RAFI dans le cadre du programme de protection financière de ISLANDS a tout d abord rappelé les caractéristiques générales de ce projet (un don d assistance technique finance par l ACP-UE via la GFDRR pour une période de 3 ans en phase avec ISLANDS 2) ainsi que son objectif, ses deux composantes (évaluation et information sur les risques; financement pour la réduction des risques de catastrophes). Il a ensuite présenté la séquence des activités de ce projet (figure 3 ci-dessous) avant de revenir sur des messages clés tels que : solutions spécifiques au pays, projet basé» sur les besoins, importance du renforcement des capacités.

10 Figure 3 Séquence des activités du projet SWIO-RAFI de la Banque mondiale o Evaluation des risques Les objectifs de cette composante du projet SWIO-RAFI sont les suivants : - Dresser un inventaire des risques pour différents types de catastrophes pour chacun des cinq états insulaires : - Utiliser les informations sur les risques générées par les processus de modélisation des risques pour informer: o Les stratégies de financement des risques de catastrophes ; o Les décisions visant à améliorer la résilience et la capacité des États insulaires pour faire face aux risques naturels ; - S assurer que toutes les données sont partagées, accessibles à tous et réutilisables ; - Compléter le travail du projet ISLANDS mené avec l UNISDR. La présentation est revenue sur la définition du risque et les différentes notions qui le caractérise: danger ; exposition au danger ; la vulnérabilité ; et le risque, celui-ci étant le résultat de la combinaison des autres.

11 La présentation a ensuite présenté différents types d utilisation de ce type d information sur les risques comme présenté en figure 4. Figure 4 Utilisations possibles des inventaires de risques L accent a ensuite été mis sur le fait que différentes méthodologies existes pour différents types d inventaires des risques et que le SWIO-RAFI combinera le travail existant (UNISDR- ISLANDS ; pays) et la récole de nouvelle information. La présentation détaille ensuite différents aspects techniques sur «les données», et les profiles de risques avant de détailler GeoNode, l outil que le SWIO RAFI utilisera car c est un outil open source qui permet à la fois de collecter et partager les données spatiale. Les concepts à retenir ici pour en faire un outil performant étant : couche de données, cartes (en tant que combinaison de plusieurs couches), documents, les gens/utilisateurs (devant collaborer). Après avoir donnée différents exemples concrets d utilisation de telles informations à la prise de décision, la présentation terminait sur les étapes suivantes de la mise ne oeuvre. Lors de la session questions/réponses, le représentant de la SEAS-OI et la COI ont pu mentionner l existence de la plateforme d échanges développée sous le projet Risques naturels par la COI et qu il serait bon de développer des échanges entre la COI et la Banque mondiale pour évaluer sa possible utilisation pour (1) la plate-forme régionale, comme outil

12 d échanges entre les acteurs, (2) portail géo-spatial dont la BM pourrait développer les fonctions basiques actuelles o Financement contre les risques de catastrophes Cette session de la Banque mondiale focalisait sur les Initiatives de financement et d assurance contre les risques de catastrophes. Ainsi, il a tout d abord été rappelé que ce genre d initiatives (1) sont appliqués à travers le monde, (2) s appuient sur et complémentent de nombreuses autres politiques sectorielles de développement et (3) se développent mieux dans une approche programmatique. Ces trois éléments sont repris en figure 5 ci-dessous Figure 5 Quelques caractéristiques générales des mécanismes de financement des risques

13 L état d avancement de cette composante du projet SWIO-RAFI est comme suit : - Consultations nationales initiales entreprises en Avril 2014 ; - Examen des mobilisations budgétaires post-catastrophe existantes et leurs dispositions d'exécution, et identification des dépenses post-catastrophes faites par le passé: o L identification des mécanismes pertinents de financement contre les risques de catastrophes a débuté ; o Le processus est le plus avancé aux Comores et à Madagascar ; - Ace jour, les pays ont exprimé leurs intérêts comme étant: o Réserves dédiées aux catastrophes ; o Assurance des biens publics clés ; o Assurance nationale contre les catastrophes ; o Régimes de protection sociale en cas de catastrophe ; - Des outils pédagogiques pour favoriser la compréhension sur la façon dont l information sur les risques peut être utilisée pour éclairer les décisions sur les mécanismes de financement contre les risques de catastrophes ont été développés. La présentation a ensuite fourni des informations sur les activités à venir mais également sur différents types de mécanismes de financement possibles selon les situations, en rappelant bien que plusieurs stratégies sont possibles. C est en effet l intégration de divers outils de financement sélectionnés par rapport (1) à la situation du pays (profile de risques), (2) aux objectifs que le pays veut se fixer en termes de transfert et rétention des risques, (3) aux coûts des différentes stratégies possibles, sur lesquels la stratégie peut être décidée. La Banque mondiale a adopté une approche à trois niveaux pour le financement des risques de catastrophe, démontrant différents outils qui devraient être utilisés pour financer différentes couches de risque, présentée ici en figure 6. Figure 6 Instruments et stratégies potentiels de financement contre les risques de catastrophes

14 Lors de la session question/réponse, un représentant des Seychelles s interrogeait sur le bien fondé de telles initiatives qui poussaient à responsabiliser les gouvernements et mobiliser l argent public, sans se pencher sur la question des «assets» privés qu ils osent du business privé ou des ménages. Plusieurs réponses ont été apportées : - ces mécanismes se focalisent principalement sur les coûts d aide pour permettre aux états d amenuiser l impact des catastrophes sur l économique du pays ; - le même principe que le représentant des Seychelles applique aux ménages responsabilité d avoir un «rainy day pot» (une cagnotte en cas d urgence) doit s appliquer au gouvernement qui devait toujours avoir une palette de stratégies financières pour faire face en cas de coup dur. Présentation du programme SEAS-OI et des perspectives de synergies dans la région OIO M. Pierre Tessier, Directeur SEAS-OI, a présenté la mission et structure du SEAS-OI ainsi que les programmes actuellement en cours ou en développement. Les perspectives de collaboration régionale dans le cadre de cette plateforme on également été abordés, et des points d action ont pu être arrêtés avec la Banque mondiale, lors de cette session mais surtout lors de rencontres parallèles entre ces institutions. Lors de cette présentation, M. Tessier a pu mettre l accent sur les forces du SEAS-OI qu il identifie comme étant le formation et son expérience de geo-portail. Lors des questions réponse, la COI a pu réexpliquer son désir de voir le SEAS-OI présent à cette réunion alors que la Banque mondiale a initié ces derniers mois sont travail sur l évaluation des risques et s plate-forme Geonode. La COI a également indiqué sa satisfaction devoir déjà des axes de collaboration identifiés entre ces deux institutions. Présentations par les pays du programme

15 Les différentes présentations faites par les pays portaient sur différents aspects que le président de la plate-forme avait arrêté. Ceux-ci portaient sur le progrès de ce programme de protection financière contre les risques de catastrophes, les défis rencontrés ainsi que sur les perspectives futures de la plate-forme régionale. Plusieurs des points mentionnés ont été discutés directement : - Besoin de renforcement de capacité : Certaines des requêtes spécifiques ont été prises en compte par l UNISDR et d autres seront parties intégrantes du projet SWIO- RAFI qui a rappelé l accent mis sur cet aspect dans la mise en œuvre du projet. Il est en effet important de noter que le programme ne s arrête pas avec la fin du travail mené par l UNISDR. - Madagascar et Maurice ont fait part de leur difficulté de faire prendre en compte par les décideurs les résultats du travail réalisé. Les partenaires ont fait part de l importance justement des réunions nationales de restitution pour les décideurs, ainsi que l importance de faire valoir ses études lors de l élaboration des budgets nationaux (peut-être trop tard pour 2015). - L importance de montrer que les initiatives des différents partenaires sont toutes parties prenantes d un seul programme à long terme a été discutée. Les efforts ont été faits dans ce sens - documentation expliquant les différentes étapes et partenaires, réunions/missions conjointes, échange d information entre les partenaires, etc. Ces efforts doivent continuer sur la durée. Il faut aussi reconnaître que depuis avril 2014, les risques étaient plus grands dans la mesure ou les deux institutions clés, l UNISDR et la Banque mondiale, étaient sur le terrain.avec la complétion des activités de l UNISDR, les risques de confusion vont être réduits, si les nouvelles initiatives (ex. : ARC) continuent à travailler dans le même esprit de collaboration. - Concernant la requête spécifique de Zanzibar pour l appui financier à la WCDRR à Sendai, la Coi a répondu qu il serait préférable pour Zanzibar de se rapprocher de la partie continentale de l Union de Tanzanie et élaborer une requête officielle que dans le cadre des actions menées sur la GRC avec la COI, l UNISDR et la Banque mondiale, il souhaite avoir des représentants de Zanzibar présents à Sendai. Dans ses invitations, l UNISDR ne peut effectivement pas demander à un pays de nommer spécifiquement des personnes. - Finalement la COI a demandé au représentant des Comores des précisions sur la base de données de référence nationale e taux représentants de Seychelles des précisions sur la mise à jour annuelle de DESINVENTAR. La COI a également appelé les pays à contacter Sylvain Ponserre de l UNISDR et en charge du volet DESINVENTAR, dans la mesure où seul les Seychelles est actuellement en ligne sur le site officiel. Le dur travail des pays n est donc toujours pas accessible à tous et cela semble dommage alors que pour plusieurs pays le travail semblait complet. Il a été décidé que ces présentations demandaient une réponse conséquente et une des décisions de la réunion a capturé le fait que le projet ISLANDS reviendra vers les pays avec

16 une telle réponse. 6. Autres initiatives régionales Regional Humanitarian Partnership Team (RHPT) in the South Western Indian Ocean Region Colonel Ismael Mogne Daho, Directeur Général de la Sécurité Civile de l Union des Comores a présenté l initiative menée à partir des plus hautes autorités de ce pays en collaboration avec le Bureau du Coordinateur résident des Nations unies, OCHA et ECHO. Sur un financement de 1an (2015) de ECHO, cette initiative consiste à évaluer la faisabilité de la mise en place d une équipe régionale pour la réponse humanitaire et la valeur ajoutée que ce mécanisme pourrait avoir par rapport aux mécanismes régionaux et nationaux existants. Les questions ont ensuite porté sur ce dernier point et en particulier par rapport à la PIROI. Il a alors été indiqué que la PIROI issue du mouvement Croix rouge n a pas la mandate pour jouer le rôle d une équipe régionale humanitaire telle que présentée ou envisage par les Comores qui est vouée à être d ordre plus gouvernementale ou intergouvernementale. La COI a également pu indiquer que suite aux derniers conseil des ministres et des officiers de liaison permanents, le secrétariat avait effectivement envoyé un courrier aux différents pays membres leur demandant à se prononcer sur cette proposition A l heure actuelle la France (La Réunion) et les Seychelles ont répondu et manquent encore les réponses de Madagascar et Maurice. Les représentants de ces deux pays ont été invités à faire leur possible pour que réponse officielle soit envoyée à la COI. Note : OCHA a également remis aux participants une copie de «Disaster Response and Preparedness in Southern Africa A guide to International Tools and Services Available to Governments» (OCHA Regional Office for Southern Africa, 2014). Africa Risk Capacity & Africa Risk Capacity Limited Le représentant de l Africa Risk Capacity (ARC) a rappelé les grandes lignes de l initiative menée ces dernières années à partir de l Union africaine portant sur l évaluation et le financement contre les risques de catastrophes. Après un focus porté sur les sécheresses lors des premières années de mise en oeuvre, le programme cherche maintenant à élargir son champ d actions à d autres catastrophes naturelles et climatiques telles que les inondations et les tempêtes cycloniques. Par ailleurs, à la question peut-on mettre en place un mécanisme d assurance régional paramétrique, le représentant a indiqué que celui-ci existait depuis la création de l Africa Risk Capacity Limited.

17 Finalement l ARC a souhaité indiqué son intérêt à devenir membre à part entière et à participer plus activement dans cette plate-forme régionale alors qu ils indiquent vouloir donner une place plus grande à la région WIO. Lors de la session question/réponse, la COI a tenu a rappeler que l initiative régionale menée autour du projet ISLANDS avait montré l importance de coordonner les travaux des différents partenaires techniques portant sur les évaluations des risques, élaborations de profiles de risques et autres études de faisabilité en termes de mécanismes pour la protection financière contre les risques de catastrophes naturelles et climatiques. Cela répond effectivement à une demande de ces pays membres ou bénéficiaires du projet ISLANDS qui ont exprimé à plusieurs reprises et encore pendant cette réunion, le besoin de voir ces initiatives présentées comme parties intégrantes d un seul programme conjoint pour d une part faciliter la sensibilisation au niveau décisionnaire et d autre part éviter la multiplication des missions portant sur les mêmes thématiques. L échange de calendrier des activités des différents partenaires a, par exemple, largement contribué à la coordination sur le terrain des missions UNISDR et Banque mondiale. Ainsi, la COI s est réjouie de savoir que des réunions parallèles avaient pu avoir lieu entre la Banque mondiale et l ARC. Par ailleurs, pour la COI, il semble peut-être prématuré de répondre à la question d un mécanisme régional d assurance paramétrique pour le WIO alors que la banque mondiale commence tout juste son travail d évaluation. La Coi note l existence d un tel mécanisme, qui pourrait le cas échéant être utilisé pour remplir un tel besoin, mais rappelle que la question qui demande réponse actuellement porte plus sur le fait de savoir si un tel mécanisme est appropriée au cas du WIO (comme il semble l être pour les Caraïbes et le Pacifique). La COI a finalement indiqué être favorable à l appel de l ARC d être plus impliqué dans cette plate-forme à l avenir et militera auprès du président et des membres dans ce sens là. 4. DECISIONS La dernière session avant la clôture a permis d arrêter une série de décisions classées sous différents thèmes plus génériques. Le tableau de décisions est joint ici en annexe 3. TOUTES LES PRESENTATIONS DE CETTE REUNION SONT DISPONIBLES SUR :

18 Annexe 1 - Programme de la Sixième Réunion de la Plateforme Régionale ISLANDS de Protection Financière contre les Catastrophes Climatiques et Naturelles, Zanzibar, Décembre 2014 Jour Jour 1: 11 1: 11 Décembre Programme Intervenants Horaire Ouverture de la 6ème Définir réunion le contexte de la plateforme régionale 08h30 09h00 Arrivée et enregistrement des participants Secrétariat, ISLANDS 09h15-09h45 Bienvenue du président de la plateforme Discours Bienvenue de la Commission de l Océan Indien Colonel Mamy, Président de la plateforme Gina Bonne, Chargée de mission Envt, CC & RRC, COI Bienvenue de la Banque Mondiale Christophe Push, practice Leader GRC Banque Mondiale pour la Région Afrique Bienvenue des Nations unies Ouverture par le pays hôte Kasuko Ishigaki, Spécialiste en matière de connaissance des risques à l UNISDR S.E. Seif Shariff Hamad First vice-president of Zanzibar 10h00 10h30 Séance de photo et pause-café 10h30-10h45 - Présentation du but et de l ordre du jour de la réunion - Présentation des participants Colonel Mamy

19 10h45 11h15 - Contexte international de la RRC: - Conférence PEID, processus UNFCCC; SDGs; Christophe Legrand du projet ISLANDS; Responsable - Processus pour le WCDRR et le cadre post Hyogo - Questions et réponses 11h15-12h00 - Phase II ISLANDS et programme RRC COI Gina Bonne 12h00 13h45 - Bref résumé de l activité "mécanismes de financement des risques"/ Project ISLANDS Déjeuner Progrès sur le Programme ISLANDS de Protection Financière Philippe Boullé, Conseiller Technique Programme ISLANDS de Protection Financière 14h00 15h30 - Présentation des résultats du programme conjoint UNISDR / COI-ISLANDS - Questions/ réponses UNISDR 15h30-15h45 Pause-café 15h45 17h00 - Rapport d avancement et perspectives sur la World Bank mise en œuvre des projets SWIO RAFI (évaluation et financement des risques) au niveau des pays mise à jour sur les progrès et composante évaluation des risques - Questions/ réponses 17h00 17h15 Résumé du Jour Philippe Boullé, ISLANDS

20 Jour 2: Décembre 12, Horaire Programme Progrès sur le Programme ISLANDS de Protection Financière (suite) Intervenants 9H00-10h00 SWIO RAFI composante Financement des Risques 10H00 10h30 - Présentation du programme SEAS-OI et des perspectives de synergies dans la région OIO. - Questions/ réponses 10h30-10h45 Pause-café 10h45 12h00 - Présentations des pays suivies de questions / réponses (10 minutes par pays) sur: réalisations et défis, faiblesses et perspective durant la mise en œuvre du programme ISLANDS de protection financière - Discussion et Recommandations 12h00 13h45 Déjeuner Autres initiatives régionales 13h45 14h45 - Equipe humanitaire régionale - Questions/ réponses 14h45-15h15 - Présentation du projet ARC - Questions/ réponses Pierre Tessier, Directeur SEAS OI Représentants des pays Comores, OCHA et ECHO Simon Young & Assia Sidibe, ARC 15h15-15h30 Pause-café Sessions de clôture 15h30-16h30 - Résumé des actions prioritaires identifiées durant les discussions 16h30 17h00 - Remarques de clôture par la COI - Discours de clôture par le pays hôte Président, Philippe Boulle, Christophe Legrand Gina Bonne Dr Islam S. Salum, Deputy PS, First Vice President Office

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