La crise a-t-elle induit un rationnement du crédit bancaire aux PME?

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1 La crise a-t-elle induit un rationnement du crédit bancaire aux PME? Séminaire Fourgeaud, Bercy, 12 juin 2013 Elisabeth Kremp Banque de France, Direction des enquêtes et des statistiques sectorielles et NBER

2 1. Did the crisis induce credit rationing for French SMEs? Elisabeth Kremp, Banque de France and NBER Patrick Sevestre, Banque de France and Paris I University Working Paper, N 405, Banque de France Forthcoming in Journal of Banking and Finance 2. Que nous indique le modèle sur la période plus récente, incluant 2011? 3. Un regard à partir de la nouvelle enquête de la Banque de France, lancée en 2012

3 1 - Objectif de cette étude Évaluer les contributions respectives de la demande de crédit des PME de l offre de crédit des banques dans l évolution observée du crédit aux PME A partir de données bilancielles de près de PME indépendantes entre 2000 et 2010 Banque de France

4 2 - Le contexte : les crédits aux PME ont continué à croître pendant la crise, sauf à la fin de l année Taux de croissance annuel glissant janv.-08 mai-08 sept.-08 janv.-09 mai-09 sept.-09 janv.-10 mai-10 sept.-10 PME indépendantes (tous secteurs) PME indépendantes (tous secteurs hors agriculture) PME indépendantes de l'échantillon Source : Banque de France, Fiben, Service central des risques et base bilans Banque de France

5 L accès au financement bancaire est un sujet central pour les PME Elles apportent une contribution essentielle à la croissance et à l innovation Un manque de financement constitue un frein à leur développement : ceci n est pas un sujet nouveau, de nombreux rapports Elles sont plus dépendantes que les grandes entreprises du financement bancaire : peu accès au marché financier Débat animé Les entreprises expliquent que les banques ont resserré leurs critères d octroi et qu en conséquence elles (les banques) ont réduit leur offre de crédit aux PME Les banques expliquent que l environnement économique a conduit les entreprises à réduire leur activité et leurs projets d investissement et qu en conséquence elles (les entreprises) ont réduit leur demande de crédit aux banques Banque de France 3 - La question : Qu est ce qui explique l évolution du crédit bancaire : l offre ou la demande?

6 4 Que savait-on sur l accès au crédit de PME en France Plusieurs rapports et enquêtes Rapport sur le financement des PME ETI en France, de l Observatoire du Financement des Entreprises, Avril 2011 Tableaux de bord de l OCDE sur le financement des PME 2011 et 2012 Depuis > l enquête semestrielle de la BCE (SAFE) : Survey on the Access to Finance of SMEs in the Euro area 2011: Eurostat / INSEE : enquête ponctuelle qualitative pour examiner quels sont les besoins de financement des PME (prêts bancaires, fonds propres et autres) et quelles sont les contraintes qu elles ont perçues 2010/2012 : Plusieurs enquêtes régulières: OSEO, CAPEB, Baromètre KPMG CGPME Banque de France

7 5 - Que répondent les entreprises sur l accès au crédit bancaire en 2009? * Entre 1/4 et 1/3 des PME font une demande de crédit bancaire un trimestre ou un semestre donné * Parmi celles qui demandent un crédit, seule une petite proportion subit un rationnement total ou partiel => La proportion globale de PME qui subissent un rationnement du crédit reste faible % de PME ayant demandé un crédit bancaire Conditions d'accès au crédit déclarées par les PME 35% 9% 30% 8% 25% 20% 7% 6% 5% 15% 4% 10% 3% 5% 0% Ensemble des PME dont micro (<=9) dont petites (10-49) dont moyennes ( ) 2% 1% 0% Ensemble des PME dont micro (<=9) dont petites (10-49) dont moyennes ( ) % partiel. rationnées parmi celles ayant demandé un crédit Source : BCE, enquêtes SAFE 2009 % totalement rationnées parmi celles n'ayant aucun crédit

8 6 - Le champ : les PME indépendantes Le crédit bancaire constitue le mode de financement externe dominant des PME Les PME indépendantes sont les entreprises qui, potentiellement, ont la probabilité la plus élevée d être rationnée (asymétries d information) Le financement des PME (et des grandes entreprises) contrôlées par un groupe repose aussi les ressources financières collectées au niveau du groupe et relève d une logique très différente Banque de France Paris, séminaire Fourgeaud, 12 juin 2013

9 7 - Les données Des données bilancielles de la base Fiben de la Banque de France Une base de données importante et riche observations ( entreprises) sur la période d estimation du modèle Couvrant Données comptables, âge de l entreprise, cotation de la BdF Les limites Un seuil de collecte: chiffre d affaires au dessus de 0,75 million Absence des PME les plus petites Deux difficultés sur les variables elles-mêmes Pas d information sur les demandes de crédit ni sur les montants des nouveaux crédits On observe seulement les encours de crédit Banque de France Paris, séminaire Fourgeaud, 12 juin 2013

10 8 - L analyse : un modèle de déséquilibre «adapté» Pourquoi un modèle de déséquilibre? => Les données comptables fournissent une information sur les crédits obtenus par les entreprises => On ne sait pas si ces montants correspondent aux crédits demandés par les entreprises (non rationnement) ou à ceux accordés par la banque (rationnement potentiel) =>On sait simplement que : Crédits observés = min (crédits demandés, crédits accordés) Nécessité d adapter le modèle de déséquilibre «standard», car on est dans un cadre microéconomique, où le montant observé des crédits par une entreprise peut être nul. Dans ce cas, on n observe pas de taux d intérêt. Le modèle ne peut pas être estimé pour ces entreprises et il faut prendre en compte ce risque de sélection sous jacent. Banque de France

11 9 - L analyse : un modèle de déséquilibre «adapté» On s inspire d un modèle macro économique de déséquilibre NL = X b + u * d d d d NL = X b + u * s s s s NL NL NL * * obs = min( d, s ) Au niveau macroéconomique, la demande (NL* d ) et l offre (NL* s ) de nouveaux prêts sont strictement positives Au niveau de l entreprise, la demande et / ou l offre peuvent êtres égales à zéro pour certaines entreprises X d (respectivement X s ) représente les variables explicatives de la demande (i.e. de l offre) de nouveaux prêts (voir diapo 11) b d et b s leurs coefficients et u d et u s les facteurs non observés, qui peuvent affecter la demande et l offre de prêts Restriction de l échantillon aux entreprises qui ont demandé un prêt et l ont obtenu : biais de sélection

12 10 - L analyse : un modèle de déséquilibre «adapté» Le modèle prend en compte ce possible biais de sélection et corrige pour Le fait que la demande et l offre doivent être positives Le taux d intérêt au niveau de l entreprise doit être observée Modèle Tobit, avec une estimation par le maximum de vraisemblance La variable expliquée NL i t : quantité de nouveaux prêts obtenus par une entreprise i à la date t Quantité malheureusement non observée Seul l encours L i t est observé, i.e. le stock de prêts bancaires On a cependant : Ce qui donne Avec RL i t le remboursement et δ g le taux de remboursement constant par groupes d entreprises g Banque de France

13 11 - Les facteurs explicatifs de la demande et de l offre DEMANDE : X d la taille de l entreprise (-) le taux d intérêt apparent (-) ses ressources internes (excédent brut d exploitation) (-) ses ressources externes alternatives mesurées par l ensemble des financements non bancaires, dont les délais de paiement (-) son investissement (+) ses besoins en fonds de roulement (+) (ces 4 grandeurs étant rapportées au total du bilan) des indicatrices annuelles des indicatrices sectorielles OFFRE : X s la taille de l entreprise (+) son âge (+) une éventuelle dégradation de la cotation par la BdF (-) son endettement rapporté à son cash-flow en t-1 (-) sa profitabilité en t-1 (+) le collatéral (les garanties) (+) des indicatrices annuelles rendant compte de l évolution macroéconomique de l offre des indicatrices sectorielles Banque de France

14 12 - Évaluation du rationnement partiel (en % des entreprises avec crédits) 30% 25% 25,8% 20% 15% 10% 5% 6,9% 7,7% 8,8% 8,4% 6,2% 6,8% 6,4% 6,8% 8,0% 6,9% 12,3% 10,3% 9,0% 7,8% 8,3% 7,1% 6,6% 6,0% 6,8% 5,9% 15,3% 7,4% 13,0% 6,7% 7,60% 0% Ensemble PME Très petites (Bil <0,5M ) Petites (0,5<Bil <1 M ) Moyennes (1<Bil <2 M ) Grandes (>2 M ) Jeunes Matures Cotation dégradée Cotation non dégradée rationnement partiel - Ensemble rationnement partiel - Industrie Précision : la taille des entreprises est définie à partir du total du bilan (Bil dans la légende)

15 15% 13% 13 - Évaluation du rationnement total (en % des entreprises sans crédit) 23,5% 11,8% 11% 9% 7% 5% 3,5% 3,8% 4,1% 3% 1% 1,9% 1,8% 2,3% 1,6% 2,0% 2,4% 2,1% 1,9% 1,4% 1,2% 1,8% 1,9% 1,8% 1,5% 1,4% 1,1% 1,9% 1,8% 1,8% 1,7% 0,0% -1% Ensemble PME Très petites (Bil <0,5M ) Petites (0,5<Bil <1 M ) Moyennes (1<Bil <2 M ) Grandes (>2 M ) Jeunes Matures Cotation dégradée Cotation non dégradée rationnement total - Ensemble rationnement total - Industrie Précision : la taille des entreprises est définie à partir du total du bilan (Bil dans la légende) Paris, 28 juin 2011

16 14 - Évaluation du rationnement partiel - comparaison et (en % des entreprises avec crédits) 15% 13% 27,7% 28,3% 11% 10,3% 10,1% 9% 8,5% 8,4% 9,0% 8,5% 7% 6,9% 6,6% 6,3% 6,8% 6,4% 6,2% 6,4% 5,9% 6,1% 7,1% 6,6% 6,6% 6,4% 6,0% 5,7% 6,8% 6,7% 6,4% 6,3% 5% 3% 1% -1% Ensemble PME Précision : la taille des entreprises est définie à partir du total du bilan (Bil dans la légende) 2011 Très petites (Bil <0,5M ) Petites (0,5<Bil <1 M ) Moyennes (1<Bil <2 M ) Grandes (>2 M ) Jeunes Matures Cotation dégradée rationnement partiel - Ensemble rationnement partiel - Ensemble Cotation non dégradée Paris, 28 juin 2011

17 15 - Un autre approche des résultats Comparaison avec les résultats d enquête Rationnement partiel Rationnement total en % des entreprises demandant un crédit Estimation économétrique avec une correction basée sur les données bilantielles Estimation économétrique avec une correction basée sur les données d'enquête 6,9 % 0,3 % 6,4 % 4,6 % Capeb 4,3 % 6,0 % Oseo 14,0 % 7,0 % Insee 10,0 % 7,0 % SAFE ,2 % 9,3 % SAFE ,0 % 10,0 % Moyenne des enquêtes 8,5 % 7,9 %

18 16 - Conclusions de l étude 1. Les PME indépendantes en France ne semblent pas avoir souffert d un rationnement important du crédit entre 2007 et 2010, même pendant la crise 2. Si les banques ont utilisé des critères plus sévères sur la période récente, l essentiel de la faible performance de distribution du crédit bancaire s explique cependant par une baisse de la demande, plutôt que par une restriction de l offre de crédit 3. Légère augmentation du rationnement du crédit en De même, en réestimant le modèle jusqu'en 2011, coefficient un peu plus fort que par rapport à Les résultats sont comparables a ceux de l enquête SAFE de la BCE, de l INSEE et de CAPEB, et un peu moins avec ceux d OSEO 6. Des résultats comparables par Kahle et Stulz (2010) pour les États-Unis et Rottmann et Wollmershaüser (2010) pour l Allemagne.

19 Explications Conclusions - suite 1. Les entreprises le plus susceptibles d être soumises à un rationnement du crédit ont pu avoir recours à la Médiation du crédit 2. OSEO a augmenté les garanties 3. Les données d enquête sur le coût du crédit suggèrent qu après la forte baisse du taux de la BCE qui a suivi la chute de Lehman Brothers, les banques ont augmenté la hiérarchie des taux en fonction de la taille des entreprises et de la qualité des garanties 4. Des entreprises en difficulté relative ont pu avoir accès au crédit en ayant un taux d intérêt plus élevé 5. Seules les entreprises en très grande difficulté ont effectivement été rationnées

20 18 - Les évolutions récentes Enseignements de l enquête trimestrielle auprès des entreprises sur l accès au crédit des PME et ETI en France Mise en place en juillet 2012 à la Banque de France Disponible sur le site de la BdF Un article à paraitre dans le prochain trimestriel de la BdF, juin 2013

21 19 - Pourquoi une nouvelle enquête? 1. Besoin de connaissance plus régulière sur la perception de l accès au financement bancaire de la part des entreprises 2. En regard de l enquête BLS (Bank Lending Survey) conduite auprès des banques Intérêt de connaître l autre facette, le point de vue des entreprises : la demande adressée par ces entreprises aux banques l offre faite par les banques 3. Intérêt d avoir des informations infra annuelles (la BdF dispose de données bancaires trimestrielles) sur des évolutions récentes

22 20 - Atouts de la banque et caractéristiques de l enquête 1. Interrogation trimestrielle par téléphone dans le cadre de l enquête de conjoncture de la Banque de France : fréquence élevée 2. Résultats obtenus très rapidement : la fin semaine suivant la fin du trimestre 3. Échantillon : les entreprises ayant une autonomie de décision en matière de crédit répondant déjà aux enquêtes de conjoncture 4. Nombre d entreprises interrogées : Industrie 52 % et services 48 % ; PME 88 % et ETI 12 % 6. Niveau élevé du taux de réponse grâce au réseau des succursales :> 80 % 7. Possibilité de croiser ces données avec d autres sources : données bilancielles et bancaires notamment

23 21 - Crédits globaux trésorerie et investissement des PME et des ETI 1 - Depuis le T2 2012, la demande des PME se tasse légèrement, mais moins que pour les ETI 2 - La demande de crédit est largement satisfaite et s est globalement maintenue Demande PME Obtention de nouveaux crédits PME 85 % 83 % 82 % 83 % 26 % 23 % 21 % 22 % Demande ETI Obtention de nouveaux crédits ETI 86 % 87 % 82 % 85 % 31 % 29 % 27 % 23 %

24 22 - Une comparaison de l enquête BdF avec l enquête SAFE Demande de nouveaux crédits (trésorerie et investissement confondus), Comparaison SAFE pour la France/Enquête Banque de France Accès au crédit PME Demande Obtention totale ou à plus de 75 % du montant 86 % 84 % 79 % 77 % 34 % 30 % 31 % 28 % T T T T SAFE BDF T T T T SAFE BDF Sources : BCE (2013) et DGS, calculs Banque de France

25 COMPLEMENTS

26 Évaluation du rationnement partiel et total sur la période (Partiel : en % des entreprises avec crédits) (Total : en % des entreprises sans crédit) 15% 13% 27,7% 28,3% 11% 10,1% 9% 8,5% 8,5% 7% 6,6% 6,3% 6,4% 5,9% 6,1% 6,6% 6,4% 5,7% 6,4% 5% 4,1% 5,3% 3% 1% 2,2% 2,7% 1,9% 2,1% 2,6% 1,9% 2,2% 1,9% 1,1% 2,2% -1% Banque de France All SMEs Very small (Assets <0,5M ) Small (0,5<Assets <1 M ) Medium (1<Assets <2 M ) rationnement partiel - Ensemble rationnement total - Ensemble Large (>2 M ) Young Mature Bad rating Paris, 28 juin 2011

27 1 - La demande de crédit à l investissement reste plus soutenue que celle relative à la trésorerie 2 - L accès au crédit d investissement reste largement satisfait 3 - L accès au crédit de trésorerie est toujours restreint malgré une amélioration Demande de nouveaux crédits de trésorerie PME Obtention de nouveaux crédits de 72 % trésorerie 69 % 63 % 68 % 8 % 6 % 6 % 6 % Demande de nouveaux crédits d'investissement Obtention de nouveaux crédits 88 % d'investissement 87 % 87 % 87 % 21 % 19 % 18 % 18 %

28 PME 1-10% des PME subissent une révision à la baisse de leurs lignes de crédit 2-10% des PME se voient demander des garanties supplémentaires 3 - Les PME ne perçoivent pas pour la plupart d augmentation du coût du crédit Révision des lignes de crédit par le banquier (3 derniers mois) 9 % 8 % 8 % 10 % Coût global du financement perçu stable ou en baisse 71 % 72 % 73 % 72 % Demande de nouvelles garanties par le banquier ; PME 9 % 10 % 9 % 10 %

29 Lignes de crédit 1 Quel que soit le trimestre, les PME demandent moins de lignes de crédit que les ETI et les utilisent moins 2 L utilisation des lignes de crédit est restée plutôt stable au cours de la période que ce soit pour les PME ou les ETI Demande par les PME (12 derniers mois) Utilisation par les PME (3 derniers mois) 66 % 66 % 68 % 68 % 39 % 37 % 34 % 33 % Demande par les ETI (12 derniers mois) Utilisation par les ETI (3 derniers mois) 73 % 76 % 74 % 76 % 54 % 51 % 52 % 46 %

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