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1 Jeu de simulation de gestion d entreprise PEDAGOGIX Denis Baillaud - Xavier Terrien

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3 Sommaire 1 PRINCIPES GÉNÉRAUX OBJECTIFS ET MOYENS DÉCISIONS STRATÉGIQUES La création de magasin Le choix de l îlot (un îlot ne peut supporter l'implantation de plus de 12 magasins) La répartition en rayons La modification des magasins DÉCISIONS D EMPRUNT OU DE PLACEMENT FINANCIER DÉCISIONS MARKETING La promotion d enseigne Le service après-vente Le prix La promotion Le nombre de salariés CONCEPTS ÉCONOMIQUES La rémanence La capacité de service d un rayon La satisfaction de la demande L attractivité d un rayon Le prix La promotion Les rayons DONNÉES CHIFFRÉES DE DISTRIVILLE Situation au début du jeu Rémanence liée à l idée que les consommateurs se font des magasins Paramètres au trimestre Implantation des commerces préexistants Profil socio-économique des habitants Paramètres socio-économiques des îlots Tableau des distances entre les îlots FEUILLES DE DÉCISIONS Décisions stratégiques Décisions marketing Denis Baillaud Xavier Terrien 3/16

4 1 PRINCIPES GÉNÉRAUX Le jeu de simulation DISTRIVILLE vous amène dans une agglomération où les commerces traditionnels sont encore prédominants. Votre travail consiste à implanter un ou plusieurs magasins généralistes, progressivement, en fonction de vos résultats, de vos choix stratégiques et de l environnement. Le partage de la ville entre des surfaces de vente, développées par des sociétés concurrentes, est l enjeu de cette simulation. La ville est découpée en quartiers, très différents les uns des autres, tant en terme de population, de richesse, d infrastructures mais aussi de distance avec le centre ville. Le choix du lieu d implantation détermine une partie de l attractivité du point de vente pour les ménages de la ville. Il engage aussi le coût d investissement du magasin. La répartition de l espace entre vos rayons, associée à votre politique marketing choisie par l enseigne ou propre au magasin affectera le comportement des consommateurs potentiels. Vos magasins doivent vendre de l alimentaire et du non alimentaire, une option luxe est envisageable, mais du début à la fin du jeu, chaque enseigne doit posséder au moins un rayon luxe. La simulation se fait par périodes successives, représentant un trimestre. Chaque période peut se diviser en cinq étapes : - Décisions stratégiques : création de magasin, agrandissement d un magasin déjà créé, répartition des surfaces de ventes entre les rayons - Décisions financières : emprunt, placement ou retrait de sommes préalablement placées - Décisions marketing : prix, promotions, salariés, service après vente - Élaboration des documents comptables, traitement informatique des décisions - Analyse des résultats du trimestre, étude des évolutions de l environnement, des effets de la politique marketing, de la rentabilité des magasins et rayons, de la concurrence À chaque trimestre, la ville bouge. Les habitants déménagent, les revenus progressent, les aménagements routiers évoluent, les infrastructures sportives ou environnementales se construisent, un afflux touristique revient périodiquement... Vous serez informés de ces changements. 2 OBJECTIFS ET MOYENS L objectif de chaque directeur de magasin et du responsable d enseigne est d augmenter le chiffre d affaires, le bénéfice d exploitation, la part de marché de chaque rayon, la rentabilité des capitaux investis. Pour y parvenir, il faut agir sur la capacité de service des rayons, la répartition des m² entre les rayons, le personnel salarié, le service après-vente, l option luxe. Pour prendre les décisions, il faut étudier les informations données sur la concurrence, bien évaluer sa position stratégique, ses atouts et ses faiblesses commerciales. Il est possible, moyennant finances, de réaliser des relevés de prix dans les magasins des enseignes concurrentes, de s informer sur leurs budgets promotion-communication, le nombre de salariés qu ils emploient ainsi que sur la répartition des parts de marché. Denis Baillaud Xavier Terrien 4/16

5 3 DÉCISIONS STRATÉGIQUES Les décisions d investissement sont prises solidairement par l ensemble des membres d une société. L intérêt général doit prévaloir sur l intérêt particulier d un magasin. La décision d investir relève de critères essentiellement financiers, la manière d investir s élabore à partir de critères stratégiques, commerciaux et environnementaux. La surface de terrain acquise est fixée pour toute la durée du jeu. Elle ne peut être ni diminuée, ni augmentée. Proposée en m², elle doit être inférieure à m². Il faut prévoir d acquérir une surface de terrain suffisante pour créer une surface de vente d au moins 200 m² et permettre un éventuel agrandissement ultérieur de cette surface de vente. La surface de vente développée ne peut pas être réduite au cours du jeu, mais elle peut ne pas être entièrement affectée aux rayons. Exprimée en nombre entier de m², elle doit être comprise entre 200 m² minimum et un maximum déterminé par la surface de terrain acquise multipliée par le coefficient d occupation de la surface de vente de l îlot d implantation. La surface de vente pourra être augmentée tant que la surface maximum autorisée ne sera pas atteinte. 3.1 La création de magasin Chaque unité de surface de vente est appelée magasin. Un magasin est identifié par un numéro d ordre précédé du nom de l enseigne. Une fois créé, un magasin ne peut être ni fermé, ni vendu. Il doit être géré jusqu à la fin de la session. La direction d un magasin peut être confiée à un membre du groupe ou être gérée collectivement par l équipe. Pour bien comprendre en quoi consiste la création d un magasin, observez ci-dessous l écran de saisie que l animateur devra remplir pour enregistrer vos créations (les cases à remplir sont en blanc) 3.2 Le choix de l îlot (un îlot ne peut supporter l'implantation de plus de 12 magasins) L adresse d un magasin de DISTRIVILLE est définitive pour la durée de la session et correspond au numéro de l îlot d implantation (compris entre 1 et 25). Cette décision a immédiatement des incidences financières et commerciales : Denis Baillaud Xavier Terrien 5/16

6 - Incidence financière : Le choix de l îlot va définir le coût du terrain et le coût des équipements. De plus, chaque îlot possède son propre coefficient d occupation de la surface de vente qui exprime la quantité de terrain qu il faut acquérir pour développer une surface de vente. Le choix de l îlot va donc déterminer le montant de l investissement nécessaire pour la création d un magasin d une taille donnée. Prenons par exemple le projet d ouvrir 600 m² de surface de vente dans l îlot 14 : le coefficient de surface de vente y est de 60%, il faut donc au moins 1000 m² de terrain, et davantage encore si on veut se réserver une possibilité d agrandissement. Le terrain étant à 0,7 k le m² et le coût des équipement à 2 k le m², le coût total de l opération sera au minimum de 0,7X X600 = k (soit ) - Incidence commerciale : le choix de l îlot positionne définitivement un magasin par rapport à la demande et à la concurrence. Le profil socio-économique des îlots proches est susceptible de déterminer la structure de la demande des produits du magasin, et donc l importance relative des rayons et de l option luxe. À l égard de la concurrence on peut s implanter à l écart pour drainer une clientèle mal desservie, ou au contraire, on peut rechercher la proximité d autres magasins pour bénéficier d un effet de synergie qui accroît l attractivité du magasin. 3.3 La répartition en rayons La répartition de la surface de vente est une décision essentiellement commerciale qui relève de la responsabilité de la direction des magasins. Ce choix permet d adapter l assortiment du magasin à la demande, en suivant les évolutions comportementales des clients. Pour chaque rayon, il faut indiquer en nombre entier, les m² qui lui sont réservés, le total ne pouvant bien évidemment pas dépasser la surface de vente du magasin. Il est important de mesurer l incidence de l offre proposée à chaque période, et notamment de bien peser les conséquences de l option luxe sur les charges salariales. Il est obligatoire d être présent en alimentaire et non alimentaire dans chaque magasin. Durant toute la durée du jeu, chaque enseigne doit avoir au moins un magasin travaillant sur les produits luxe. Observez ci-dessous l écran de saisie des décisions stratégiques Répartition de la surface de vente Denis Baillaud Xavier Terrien 6/16

7 3.4 La modification des magasins Cette décision est prise en début de période si le besoin de développer la surface de vente ou de modifier la répartition des rayons se fait sentir. Chaque trimestre, il faut réfléchir à l optimisation de ses m². L une des difficultés de DISTRIVILLE est de s entraîner à mener une politique d écart de rentabilité entre les rayons afin de maximiser la rentabilité financière de chaque magasin, en s intéressant particulièrement aux marges compensées et à l effet multi-rayons. 4 DÉCISIONS D EMPRUNT OU DE PLACEMENT FINANCIER Les décisions d emprunt sont prises par les responsables de la société et non pas uniquement par le directeur d un magasin. Le montant et la durée de l emprunt sont proposés à l animation qui peut accepter, modifier ou refuser selon les résultats de la société, les règles d encadrement du crédit et la justification du projet. La décision d emprunt est motivée par des investissements et non par des soucis de fonctionnement d un magasin. Le montant de l emprunt est exprimé en k. La durée de l emprunt est exprimée en trimestres. Le premier remboursement a lieu le trimestre qui suit celui où l emprunt a été accordé, les frais de dossiers sont réglés immédiatement. Lorsque la trésorerie d une enseigne est largement positive, des placements rémunérés sont envisageables si l enseigne n a pas d investissement immédiatement prévu. Cet argent est disponible d un trimestre sur l autre. 5 DÉCISIONS MARKETING Avant d entrer dans le détail, observez ci-dessous l écran de saisie des décisions marketing Denis Baillaud Xavier Terrien 7/16

8 5.1 La promotion d enseigne Décidée collectivement par les directeurs de magasins de la société, elle est exprimée en nombre entier de k. L image que la clientèle se fait de cette enseigne est établie sur plusieurs périodes successives: c'est la promotion d enseigne rémanente. 5.2 Le service après-vente L effort financier consacré par un magasin au service après vente est exprimé en % du montant total des achats du magasin avant ristourne. On considère comme normal un budget de 2%. Le nombre indiqué est unique par magasin. La mise en place de l option luxe peut nécessiter un service après vente plus conséquent. L image du service après vente perçue par la clientèle sur plusieurs périodes successives, est le service après vente rémanent. 5.3 Le prix Le prix est exprimé en taux de marge. Chaque magasin décide chaque trimestre et pour chaque rayon du taux pratiqué. La perception du niveau de prix par la clientèle dépend des décisions des sociétés sur plusieurs périodes successives et correspond au prix rémanent. En toute logique, le directeur du magasin déterminera son prix à l intérieur d une fourchette : - prix minimum en deçà duquel la marge ne couvre pas les frais d exploitation et les budgets commerciaux du magasin - prix maximum au delà duquel la clientèle préfère se tourner vers la concurrence, directe et indirecte Des compensations dans le temps et entre les rayons peuvent anticiper ou rattraper des choix plus stratégiques. Les sociétés peuvent adapter leurs prix en fonction des réactions de la clientèle. 5.4 La promotion La direction du magasin décide chaque trimestre du budget affecté à la promotion de chaque rayon. Ce budget est exprimé en nombre entier de k. On considère comme normal d y affecter 3 à 5% du chiffre d affaires du magasin. La répartition entre les rayons doit tenir compte de la spécificité des rayons et des comportements d achats correspondant. Il ne faut pas oublier que le comportement d achat est fonction de l image que la clientèle se fait des promotions. Cette image qui se construit sur plusieurs périodes successives, correspond à la promotion rémanente. 5.5 Le nombre de salariés Il faut décider chaque trimestre de la répartition de l effectif salarié du magasin entre les rayons. Le nombre indiqué par rayon est un nombre entier. Il y a embauche dès lors que l effectif salarié du magasin dépasse celui du trimestre précédent. Les salariés peuvent changer de rayon d une période sur l autre. Il y a licenciement si l effectif du magasin a diminué entre deux périodes. Un salarié d un magasin ne peut pas être réembauché dans un autre magasin de la même société sans faire supporter à son magasin d origine les frais de licenciement. Les primes et frais de licenciement s élèvent à un trimestre de salaire par licencié. Le personnel salarié des rayons joue essentiellement un rôle technique (mise en rayon, nettoyage, passation de commandes, caisses ) qui permet d atteindre une certaine capacité de service exprimée en chiffre d affaires au m². Il est important de s informer sur les paliers de main d œuvre (voir Denis Baillaud Xavier Terrien 8/16

9 chapitre suivant) qui permettent un fonctionnement normal d un rayon. Si le palier n est pas atteint, la capacité de service du rayon sera réduite. 6 CONCEPTS ÉCONOMIQUES 6.1 La rémanence L effet rémanent est en quelque sorte la trace de vos décisions dans l esprit du consommateur. Il traduit l inertie des comportements du consommateur qui s explique par deux phénomènes : - les consommateurs ne réagissent pas instantanément aux décisions marketing - les consommateurs gardent en mémoire les décisions marketing passées Dans Distriville, la rémanence concerne les décisions marketing suivantes : prix, promotion des rayons, promotion d enseigne, service après-vente. Ce sont les effets rémanents qui, à chaque période, déterminent les comportements d achats des consommateurs. 6.2 La capacité de service d un rayon Il ne suffit pas d attirer la clientèle par une politique marketing offensive, il faut être en mesure de la servir. La capacité de service d un rayon est définie par le chiffre d affaires maximum qu il permet. Celui-ci est déterminé par deux variables que la direction d un magasin se doit de maîtriser : - la surface de vente affectée au rayon - le personnel salarié affecté au rayon Pour prendre ses décisions, le directeur d un magasin doit tenir compte des paramètres suivants : - le chiffre d affaires maximum au mètre carré - le palier de main d œuvre Palier de main d œuvre en salarié pour 100m² de surface de vente Chiffre d affaires maximum en k pour 100m² de surface de vente, au palier de main d œuvre. Luxe Alimentaire Non alimentaire On peut augmenter la capacité de service d un rayon en embauchant un ou plusieurs salariés supplémentaires ou en augmentant sa surface. En doublant à la fois la surface de vente et le nombre de salariés, on double la capacité de service. 6.3 La satisfaction de la demande Pour simplifier les problèmes de gestion de stocks, les fournisseurs sont sensés approvisionner les rayons au fur et à mesure des ventes. Cependant, un rayon ne peut satisfaire la demande dans deux cas de figure : - la surface du rayon est trop faible par rapport à la demande - le personnel salarié affecté au rayon est en nombre insuffisant Dans l un ou l autre de ces deux cas, le modèle signale une demande insatisfaite, qui traduit l insuffisance de la capacité de service d un rayon. Denis Baillaud Xavier Terrien 9/16

10 6.4 L attractivité d un rayon L attractivité d un rayon d un magasin est recalculée à chaque période. Le budget trimestriel disponible des ménages va se répartir proportionnellement à l attractivité de tous les rayons d une même catégorie développés dans la ville. Les éléments constitutifs de l attractivité d un rayon sont : - la distance entre l îlot d origine d un ménage et l îlot d implantation du magasin - le prix rémanent par rapport au prix rémanent moyen - la promotion rémanente par rapport à la promotion rémanente moyenne - le service après vente rémanent par rapport au service après vente rémanent moyen - la promotion d enseigne rémanente par rapport à la promotion d enseigne rémanente moyenne - l effet multi-rayons - l effet de zone commerciale L attractivité est une fonction décroissante des deux premiers éléments et une fonction croissante des cinq suivants. 6.5 Le prix Le prix est exprimé en taux de marge, défini comme suit : Taux de marge en % = (ventes - achats) / achats x 100 Son incidence comptable est immédiate. Le prix détermine automatiquement la marge qui permet au magasin de fonctionner, de mener une politique commerciale et de faire un résultat. Son incidence sur les ventes ne sera pas entièrement immédiate, du fait de la rémanence. 6.6 La promotion C est l effort financier consenti pour promouvoir les ventes d un rayon. Son incidence sur les ventes est étalée dans le temps du fait de la rémanence, mais cette décision se traduit immédiatement par un coût commercial. Le modèle part du principe que plus un magasin consacre d argent pour dire ou montrer qu il est le meilleur, plus la clientèle le croira meilleur. Un effort promotionnel peut efficacement contrebalancer une image de prix élevé. La promotion du rayon intègre : - la promotion sur le lieu de vente prise en charge par le distributeur, la gestion des têtes de gondole, la qualité de l accueil, les catalogues promotionnels, la publicité locale, les promotions de fin de saison - l animation du lieu de vente telle que l accueil, les conseils, les démonstrations, les services et tout particulièrement les rayons traditionnels 6.7 Les rayons Dans les magasins de Distriville, les rayons ne correspondent pas à ceux que l on a l habitude de voir dans la grande distribution. Pour simplifier le jeu, ils correspondent à 3 grandes catégories de produits : produits alimentaires, non alimentaires et de luxe. On peut les distinguer par l élasticité prix plus ou moins ou forte, qui permet de pratiquer une politique de marge compensée. Denis Baillaud Xavier Terrien 10/16

11 L un des objectifs pédagogiques du jeu est de mettre en avant l étude de l environnement dans l analyse des résultats commerciaux et financiers d un magasin. Il parait donc judicieux d associer plus ou moins, des catégories de produits à des catégories de clientèles. Chaque rayon peut être analysé par rapport aux services qu il rend aux autres rayons du magasin ou en étudiant les charges et les produits financiers qui lui sont propres. La répartition de la surface de vente entre les rayons est une décision fondamentale. Le rayon luxe concerne une catégorie de produits présentant les caractéristiques suivantes : faible fréquence des achats, fabrication de haute qualité, haut niveau technologique, meilleur service à la vente, meilleur service après vente, niveau de prix élevé (faible élasticité). Sur toute la durée du jeu, chaque enseigne doit posséder au moins un magasin offrant un rayon luxe. La clientèle de ce rayon est donc particulièrement sensible à la promotion et au service après vente. La mise en place de cette gamme de produits induit des charges plus élevées, notamment en personnel. Le rayon non alimentaire concerne une catégorie de produits qui présentent les caractéristiques suivantes : fréquence moyenne des achats, assez bon service à la vente, assez bon service après vente, niveau de prix moyen Le rayon alimentaire concerne une catégorie de produits qui présentent les caractéristiques suivantes : très grande fréquence des achats, fabrication de qualité courante, très faible service après vente, forte sensibilité au niveau de prix. La clientèle de ce rayon est plus sensible au prix qu au service après vente. 7 DONNÉES CHIFFRÉES DE DISTRIVILLE 7.1 Situation au début du jeu Rémanence liée à l idée que les consommateurs se font des magasins - Prix rémanents de vos magasins (marges) : o Rayon Luxe :...60% o Rayon Non alimentaire :...40% o Rayon Alimentaire :...25% - Promotion rémanente : par rayon - Service après vente rémanent :... 2% des achats du magasin - Promotion d enseigne rémanente : Prix rémanents des commerces préexistants (marges) : o Rayon Luxe :...100% o Rayon Non alimentaire :...70% o Rayon Alimentaire :...40% Paramètres au trimestre 1 - Disponibilités en début de jeu : par enseigne - Taux d intérêt des emprunts :... 1% par trimestre - Frais de dossier pour les emprunts : (fixe) - Frais de dossier pour un remboursement anticipé... 3% du capital restant dû - Taux d intérêt d un découvert bancaire :... 3% par trimestre - Taux de rémunération des placements :... 0,5% par trimestre Denis Baillaud Xavier Terrien 11/16

12 - Frais de structure / m² de terrain : par trimestre - Frais de structure / m² de surface de vente ouverte par trimestre - Frais variable en % du chiffre d affaires... 6% par trimestre - Taux d imposition des résultats de la société... 33, 1/3% - Dotations aux amortissements en % du coût des équipements : 2,5% par trimestre - Salaires et charges par salarié pour un trimestre : par trimestre - Ristournes accordées par les fournisseurs : o 3% si le total des achats du magasin est supérieur à o 5% si le total des achats du magasin est supérieur à o 8% si le total des achats du magasin est supérieur à Achat de documents o Relevés de prix o Sans les effectifs salariés...2 k par magasin concurrent o Avec les effectifs salariés...3 k par magasin concurrent o Répartition des parts de marché des rayons...5 k Implantation des commerces préexistants Les commerces préexistants sont regroupés dans les îlots 3, 6, 10, 12, 13, 18 et 22. Dans chacun de ces îlots se trouvent des rayons luxe, alimentaires et non alimentaires. Ces commerces résistent plus ou moins fortement aux attaques des enseignes ; leur résistance est modulable par l animation, séparément pour chacun des trois types de produits Denis Baillaud Xavier Terrien 12/16

13 7.2 Profil socio-économique des habitants Résidentiel Pavillonnaire Populaire Nombre de ménages par îlot Revenu trimestriel net moyen d un ménage Budget Luxe / revenus 10% 5% 1% Budget Non alimentaire / revenus 30% 20% 20% Budget Alimentaire / revenus 20% 25% 30% 7.3 Paramètres socio-économiques des îlots Populaire Pavillonnaire Résidentiel îlot n 1 îlot n 2 îlot n 3 îlot n 4 îlot n 5 Coefsv 0,4 Coefsv 0,4 Coefsv 0,4 Coefsv 0,4 Coefsv 0,4 Terrain k /m² 0,2 Terrain k /m² 0,2 Terrain k /m² 0,2 Terrain k /m² 0,2 Terrain k /m² 0,5 Équip k /m² 0,8 Équip k /m² 0,8 Équip k /m² 1,2 Équip k /m² 0,8 Équip k /m² 1,2 Nb ménages Nb ménages Nb ménages 500 Nb ménages Nb ménages 500 Bdg alim (k ) 1,35 Bdg alim (k ) 1,35 Bdg alim (k ) 2,5 Bdg alim (k ) 1,35 Bdg alim (k ) 2,5 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg nalim (k ) 2 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg nalim (k ) 2 Bdg luxe (k ) 0,05 Bdg luxe (k ) 0,05 Bdg luxe (k ) 0,5 Bdg luxe (k ) 0,05 Bdg luxe (k ) 0,5 îlot n 6 îlot n 7 îlot n 8 îlot n 9 îlot n 10 Coefsv 0,4 Coefsv 0,6 Coefsv 0,6 Coefsv 0,6 Coefsv 0,4 Terrain k /m² 0,2 Terrain k /m² 0,7 Terrain k /m² 0,8 Terrain k /m² 0,7 Terrain k /m² 0,2 Équip k /m² 0,8 Équip k /m² 1,2 Équip k /m² 2 Équip k /m² 1,2 Équip k /m² 0,8 Nb ménages Nb ménages 500 Nb ménages 200 Nb ménages 500 Nb ménages Bdg alim (k ) 1,35 Bdg alim (k ) 2,5 Bdg alim (k ) 6 Bdg alim (k ) 2,5 Bdg alim (k ) 1,35 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg nalim (k ) 2 Bdg nalim (k ) 9 Bdg nalim (k ) 2 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg luxe (k ) 0,05 Bdg luxe (k ) 0,5 Bdg luxe (k ) 3 Bdg luxe (k ) 0,5 Bdg luxe (k ) 0,05 îlot n 11 îlot n 12 îlot n 13 îlot n 14 îlot n 15 Coefsv 0,4 Coefsv 0,6 Coefsv 1 Coefsv 0,6 Coefsv 0,4 Terrain k /m² 0,2 Terrain k /m² 0,7 Terrain k /m² 1 Terrain k /m² 0,7 Terrain k /m² 0,2 Équip k /m² 0,8 Équip k /m² 1,2 Équip k /m² 2 Équip k /m² 2 Équip k /m² 1,2 Nb ménages Nb ménages 500 Nb ménages 200 Nb ménages 200 Nb ménages 500 Bdg alim (k ) 1,35 Bdg alim (k ) 2,5 Bdg alim (k ) 6 Bdg alim (k ) 6 Bdg alim (k ) 2,5 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg nalim (k ) 2 Bdg nalim (k ) 9 Bdg nalim (k ) 9 Bdg nalim (k ) 2 Bdg luxe (k ) 0,05 Bdg luxe (k ) 0,5 Bdg luxe (k ) 3 Bdg luxe (k ) 3 Bdg luxe (k ) 0,5 îlot n 16 îlot n 17 îlot n 18 îlot n 19 îlot n 20 Coefsv 0,4 Coefsv 0,6 Coefsv 0,6 Coefsv 0,6 Coefsv 0,4 Terrain k /m² 0,5 Terrain k /m² 0,8 Terrain k /m² 0,7 Terrain k /m² 0,4 Terrain k /m² 0,2 Équip k /m² 1,2 Équip k /m² 2 Équip k /m² 1,2 Équip k /m² 0,8 Équip k /m² 0,8 Nb ménages 500 Nb ménages 200 Nb ménages 500 Nb ménages Nb ménages Bdg alim (k ) 2,5 Bdg alim (k ) 6 Bdg alim (k ) 2,5 Bdg alim (k ) 1,35 Bdg alim (k ) 1,35 Bdg nalim (k ) 2 Bdg nalim (k ) 9 Bdg nalim (k ) 2 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg luxe (k ) 0,5 Bdg luxe (k ) 3 Bdg luxe (k ) 0,5 Bdg luxe (k ) 0,05 Bdg luxe (k ) 0,05 îlot n 21 îlot n 22 îlot n 23 îlot n 24 îlot n 25 Coefsv 0,4 Coefsv 0,4 Coefsv 0,4 Coefsv 0,4 Coefsv 0,4 Terrain k /m² 0,2 Terrain k /m² 0,2 Terrain k /m² 0,2 Terrain k /m² 0,5 Terrain k /m² 0,2 Équip k /m² 0,8 Équip k /m² 0,8 Équip k /m² 0,8 Équip k /m² 1,2 Équip k /m² 0,8 Nb ménages Nb ménages Nb ménages Nb ménages 500 Nb ménages Bdg alim (k ) 1,35 Bdg alim (k ) 1,35 Bdg alim (k ) 1,35 Bdg alim (k ) 2,5 Bdg alim (k ) 1,35 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg nalim (k ) 2 Bdg nalim (k ) 0,9 Bdg luxe (k ) 0,05 Bdg luxe (k ) 0,05 Bdg luxe (k ) 0,05 Bdg luxe (k ) 0,5 Bdg luxe (k ) 0,05 Denis Baillaud Xavier Terrien 13/16

14 7.4 Tableau des distances entre les îlots Les distances sont calculées en intégrant à la fois les distances proprement dites, les temps moyens de parcours et des difficultés de stationnement. Denis Baillaud Xavier Terrien 14/16

15 8 FEUILLES DE DÉCISIONS 8.1 Décisions stratégiques Numéro du trimestre : Enseigne : Emprunt Capital emprunté (k ) durée (trimestre) Capital remboursé (k ) date de l'emprunt Placement Capital placé (k ) Capital retiré (k ) Création des magasins (Inscrire uniquement les nouveaux magasins) Îlot n Surface du terrain (m²) Surface de vente (m²) Mag 1 Mag 2 Mag 3 Mag 4 Mag 5 Mag 6 Extension des magasins (m²) Mag 1 Mag 2 Mag 3 Mag 4 Mag 5 Mag 6 Répartition des surfaces de vente (m²) Alim Non alim Luxe Mag 1 Mag 2 Mag 3 Mag 4 Mag 5 Mag 6 Denis Baillaud Xavier Terrien 15/16

16 8.2 Décisions marketing Numéro du trimestre : Enseigne : Budget promotion-communication de l'enseigne (k ) : SAV Mag 1 Mag 2 Mag 3 Mag 4 Mag 5 Mag 6 Marges (%) Promo (k ) Nb salariés Alim Non alim Luxe Alim Non alim Luxe Alim Non alim Luxe Denis Baillaud Xavier Terrien 16/16

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