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1 N 118 juillet 2010 Magazine de la Chambre de commerce et d industrie de Versailles Val-d Oise/Yvelines SE DÉVELOPPER À L INTERNATIONAL APPRENTISSAGE UN RECRUTEMENT AUX BÉNÉFICES PARTAGÉS PLATO DE NOUVEAUX RESEAUX SUR LE TERRITOIRE

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3 ÉDITO 3 JEAN-FRANÇOIS BERNARDIN Président de la CCI de Versailles Val-d Oise/Yvelines jfbernardin@versailles.cci.fr PRÉPARONS LES TERRITOIRES DE DEMAIN Bousculés par la mondialisation, mis en difficulté par la crise, nombre de territoires pourraient désespérer de leur avenir. Ce n est pas ainsi que nous trouverons ensemble les ressources pour sortir par le haut de la situation actuelle. Pour faire face, les entreprises peuvent s appuyer sur les Chambres de commerce et d industrie, partenaires naturels de leur développement. Les décentralisations successives de compétences ont modifié la culture et les méthodes de l action locale. Notre réseau en a pris depuis longtemps la mesure et sa prochaine réorganisation devra encore renforcer notre efficacité régionale et notre implication locale. En animant de nombreux réseaux, territoriaux (Plato) ou sectoriels (CHR), et filières d entreprises (Ravy, Comité mécanique Ile-de-France ), en soutenant les pôles de compétitivité, en accompagnant les projets locaux, en développant l offre territoriale, en contribuant aux débats sur les infrastructures, la CCIV travaille pour que le dynamisme entrepreneurial assure la compétitivité du Val-d Oise et des Yvelines au sein de notre région-capitale. Cela suppose bien sûr que nos savoir-faire trouvent toute leur place dans les projets des collectivités. Car il n est plus possible de construire une action économique efficace sans y associer étroitement les entreprises et leurs représentants. Après les phases de l aménagement du territoire, puis du développement dit «local», nous entrons en effet dans un univers marqué par l innovation, la révolution numérique et l accélération prodigieuse des mobilités. Les entreprises sont au cœur de ce mouvement. Imaginons de nouvelles alliances, de nouvelles coopérations, et nous préparerons les territoires forts et solidaires de demain qu impose ce nouvel ordre mondial.

4 Ecobiz_180Lx125H_paysage:JCM 31/03/ :03 Page 1 Partage d'informations Mutualisation des connaissances Réseaux professionnels Compétitivité du territoire Performance des entreprises Echange d'expériences Courants d'affaires Renseignez-vous dès maintenant! Pôle Info Contact (0,12 euro TTC/mn) p a r t a g e c o n n a i s s a n c e s r é s e a u x c o m p é t i t i v i t é p e r f o r m a n c e e x p é r i e n c e s a f f a i r e s l e-communauté des acteurs économiques de l Ouest francilien Connectez-vous sur et adhérez en ligne!

5 N 118 juillet 2010 CourrierECO-Mag.indd 1 18/06/10 15:29 SOMMAIRE 5 24 DÉVELOPPEMENT INNOVATION FORMATION TRANSMISSION RÉSEAUX CRÉATION INFORMATION Accéder à des marchés étrangers est une nécessité pour de nombreuses PME. Le dispositif d accompagnement de la CCIV vise à leur apporter les outils indispensables pour élaborer et mettre en oeuvre une stratégie de développement à l international. 10 Six dirigeants de PME ont rassemblé leurs compétences pour créer la société Muses, l une des quatre entreprises lauréates de l appel à projets lancé par le Conseil général des Yvelines pour la réalisation du véhicule urbain du futur. ACTUS 6/ APPRENTISSAGE Un mode de recrutement aux bénéfices partagés 10/ MOOV ÉCO La solution de mobilité urbaine 12/ FINANCEMENT DE L ENTREPRISE À chaque besoin, une réponse adaptée ACTUS LOCALES 16/ FORMATION Une nouvelle école à Saint-Germain-en-Laye ACTUS COMMERCE 19/ RESTO KDO Une recette gagnante 20/ LABEL TOURISME ET HANDICAP La promotion citoyenne 22/ YVELINES ENTRE- PRISES NUMÉRIQUES Un tremplin pour les PME et TPE ACTUS INDUSTRIE 24/ AGIR Se développer à l international 28/ PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE Protéger ses créations BAROMÈTRE 30/ TABLEAU DE BORD ÉCONOMIQUE RÉSEAUX 32/ PLATO De nouveaux réseaux sur les Yvelines et le Val-d Oise L ESSENTIEL 34/ FORMATION Une reconnaissance du tutorat 35/ STAGES Zoom sur les prochaines sessions 36/ CONTRAT INITIATIVE EMPLOI Une aide à l embauche pour les entreprises JURI INFOS 38/ A SAVOIR L approbation des comptes La CCIV soutient les maîtres d apprentissage en leur permettant de se former et de bénéficier d une certification pour sanctionner leur savoir-faire et leur faire-savoir. N 118 JUILLET 2010 Magazine de la Chambre de commerce et d industrie de Versailles Val-d Oise/Yvelines SE DÉVELOPPER À L INTERNATIONAL APPRENTISSAGE UN RECRUTEMENT AUX BÉNÉFICES PARTAGÉS PLATO DE NOUVEAUX RESEAUX SUR LE TERRITOIRE Le Courrier économique, journal bimestriel d information et d action de l opinion socio-économique Chambre de commerce et d industrie de Versailles Val-d Oise/Yvelines 21, avenue de Paris, Versailles Cedex (Tél. : ) Directeur de la publication : Michel Delamaire Directeur de la rédaction : Marie-Pierre Coursat Rédacteur en chef : Frédéric Gaudichon Rédaction : Nicolas Demare, Martine Bousquet, Stéphane Marcovik, Agnès Noël, Patricia Coignard, Christine Cornevin, Alexis de Fontenioux Publicité : HSP Christian Delarette Tél. : Conception : samourai.fr Réalisation : Scoop Communication Impression : ETC, avenue des lions, Sainte-Marie-des-Champs, B.P. 198, Yvetot Cedex. Tél. : N ISSN : Crédits photos : Getty Images, Philippe Hallé, Essec, Commission européenne, Muse, ABB, BASF, Bayer, Renault

6 6 ACTUS «Nos élus et collaborateurs des écoles sont très à l écoute des demandes des entreprises et font en permanence remonter l information du terrain» L APPRENTISSAGE, UN MODE DE RECRUTEMENT AUX BÉNÉFICES PARTAGÉS Les jeunes dépourvus d expérience professionnelle éprouvent les plus grandes difficultés à intégrer le marché du travail. Les entreprises, confrontées à un contexte économique difficile, ont besoin de recruter des collaborateurs rapidement opérationnels. L apprentissage comme mode de pré-recrutement : une solution à cette équation délicate. Bruno Bouniol, vice-président de la CCIV chargé de l enseignement formation initiale. L apprentissage, la fin d une idée reçue. Dans l imaginaire collectif, l apprentissage a souvent été considéré comme un mode de formation destiné principalement aux métiers «manuels», délivrant essentiellement des diplômes de niveau CAP et Bac pro. Pourtant la réalité d aujourd hui est tout autre. De la classe préparatoire à l apprentissage jusqu au Bac +5 et au diplôme d ingénieur, les formations de la CCIV, premier acteur de l apprentissage en Ile-de-France, concernent ainsi plus de 200 métiers et couvrent la quasi-totalité des secteurs d activité et des filières. «J étais motivée et volontaire pour la démarche de l apprentissage, mais j ignorais qu il existait des filières pouvant répondre à mon domaine d activité spécifique, souligne Odile Nancy, responsable achats cadeaux promotionnels de la division des produits professionnels chez L Oréal. Il est temps de sortir de l image traditionnelle d un apprentissage cantonné à quelques métiers, à quelques qualifications». Pour Jean Louis Coste, expert comptable à Asnières, DES MESURES FISCALES ET FINANCIÈRES INCITATIVES Les aides de l État et des collectivités facilitent le recrutement d un apprenti dans l entreprise. Des crédits d impôt. Pour chaque apprenti employé, l entreprise peut bénéficier d un crédit d impôt de par an, montant valorisé si l apprenti est handicapé ou s il bénéficie d un accompagnement spécialisé. Une indemnité compensatrice. Le Conseil régional d Ile-de-France porte à l indemnité par année de contrat d apprentissage pour les entreprises. Des exonérations de cotisations sociales. Entreprises de moins de 11 salariés : exonération des cotisations patronales et salariales d origine légale et conventionnelle, à l exception des cotisations dues aux accidents du travail et aux maladies professionnelles. Entreprises de 11 salariés et plus : exonération dans le cadre du dispositif «zéro charge» pour toute embauche d apprenti avant le 31 décembre Prime exceptionnelle. Pour les entreprises de moins de 50 salariés, une prime de euros pour toute embauche d un apprenti supplémentaire avant le 31 décembre 2010.

7 7 le contrat d apprentissage est aussi un «véritable contrat de travail, correspondant à un vrai emploi. L entreprise et le maître d apprentissage apportent à l apprenti deux éléments clés : le développement de compétences professionnelles et l appréhension d un bon comportement relationnel». Une solide expérience et une vision aboutie de l apprentissage. Au fil des décennies, l apprentissage a acquis une maturité pédagogique. Une maturité qui s appuie en grande partie sur le développement de liens privilégiés entre tous les acteurs du recrutement : l entreprise, le maître d apprentissage, l apprenti, l école et le tissu économique représenté par la Chambre. Pour former les compétences de demain, la CCIV observe les marchés, les filières et leurs besoins. «Nos élus et collaborateurs des écoles sont très à l écoute des demandes des entreprises et font en permanence remonter l information du terrain, précise Bruno Bouniol, vice-président de la CCIV chargé de l enseignement formation initiale. Nous travaillons aussi en étroite collaboration avec l Education nationale et, avant de créer des formations, nous étudions les besoins des entreprises». Chaque année, les syndicats et les fédérations professionnelles siègent au sein des comités de gestion et de perfectionnement des écoles pour adapter les formations aux évolutions des métiers et des technologies. Les relations particulières entre l apprenti et l entreprise. Pour Isabelle Raynaud, chargée des contrats en alternance sur le site industriel PSA de Poissy, «le bénéfice de l apprentissage est mutuel. La durée suffisamment longue du contrat permet à l apprenti de se saisir de projets dans leur globalité et nous bénéficions en retour d un regard critique qui permet de nous remettre en question et de faire évoluer nos pratiques». «L apprentissage, c est un véritable partenariat dans lequel toutes les parties doivent s impliquer, souligne également Odile Nancy. Il est important que le maître d apprentissage connaisse les droits et les devoirs de l employeur et de l apprenti. La formation dispensée à cet effet par la CCIV est rassurante et les nombreux échanges avec l école tout au long du contrat permettent de nous accompagner dans cette responsabilité» (NDLR : sur la formation des maîtres d apprentissage, voir également notre article page 34). LES FORMATIONS PHARES DE LA RENTRÉE La CCIV propose aujourd hui 170 formations, réparties dans 16 écoles et forme apprentis par an. Chaque année, elle crée, met en sommeil ou supprime des formations selon l évolution du tissu économique et des préoccupations des territoires. Les tendances actuelles orientent, entre autres, l offre pédagogique vers les métiers de l environnement et du développement durable, de l achat et du management de projets. Les nouveautés de la rentrée 2010 portent sur des secteurs innovants et porteurs comme la formation de «Concepteur d installations de systèmes électroniques de sécurité» (titre certifiée de niveau III), dispensée par l IFA Adolphe Chauvin. Des formations en partenariat inter- écoles de la CCIV, ou avec des Grandes écoles sont également proposées. Avec le réseau des Ecoles de gestion et de commerce EGC (30 écoles en France), la CCIV inaugure également une formation labélisée. Le bachelor EGC «Responsable en marketing, commercialisation et gestion» forme des managers intermédiaires, proches du terrain, opérationnels et dotés d un vrai sens entrepreneurial. Le titre est enregistré au Répertoire national des certifications professionnelles au niveau II (voir notre article page 16). Dans une perspective d embauche, le contrat d apprentissage est donc un processus progressif. «C est un véritable mode de recrutement, explique Benoît Langlais, administrateur de système réseau pour l opérateur touristique Promo Vol, et je considère l apprentissage comme un investissement. Au moment de l embauche, l apprenti connaîtra la maison et nous serons sûrs de lui». Et les chiffres parlent d eux-mêmes : 85 % des apprentis des écoles de la CCIV s insèrent dans la vie professionnelle dans les 6 mois qui suivent l obtention de leur diplôme. Pour les entreprises comme pour les jeunes, l apprentissage est vraiment un investissement gagnant-gagnant. Contact CCIV au ou recruterunapprenti@versailles.cci.fr Internet :

8 8 ACTUS «La CCIV a un rôle à jouer pour rompre la cassure entre le bac pro et le bac technique, pour aider les jeunes à aller le plus loin possible.», explique Renaud Nadjahi, membre du bureau de la CCIV. «SUP DE PRO» UNE PASSERELLE D ACCES A L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR La CCIV innove avec «Sup de Pro», un dispositif unique en France qui favorise la continuité entre formation technologique et formation supérieure. Depuis la rentrée 2009, 31 jeunes (18 filles et 13 garçons) de moins de 26 ans et titulaires d un bac professionnel poursuivent leur formation dans l enseignement supérieur grâce à un dispositif expérimental d excellence, «Sup de Pro». Conçu et développé par la CCIV, ce programme propose un cursus par la voie de l apprentissage soutenu par le Conseil régional d Ile-de-France. «Nos motivations sont sociales et économiques, explique Renaud Nadjahi, membre du bureau de la CCIV. D une part, nous souhaitons permettre à des jeunes motivés titulaires d un bac pro de préparer un BTS, une filière de formation où ils sont rarement admis. D autre part, nous visons à mettre à disposition des entreprises de notre territoire des compétences professionnelles adaptées à leurs besoins.» L accompagnement pour socle Deux écoles de la CCIV accueillent la première promotion Sup de Pro, l Itin, pour le BTS informatique de gestion et l Escia pour le BTS comptabilité et gestion des organisations. Après avoir recruté les apprentis sur la base de leur potentialité, de leur talent et de leur implication, ces écoles les forment dans un cadre pédagogique approprié. «Une des spécificités du programme, précise Gilbert Deunf, directeur du Groupe Itin-Escia, chargé du projet Sup de Pro, est de proposer un travail individualisé. L équipe pédagogique met en œuvre des méthodologies qui aident les jeunes à combler leurs carences et à prendre confiance en eux. Ils travaillent ainsi à la réalisation de projets pour le compte d entreprises ou d associations (réalisation de prototypes, de maquettes, actions d audit conseil,), projets personnalisés propices à stimuler l esprit de réussite et la cohésion du groupe.» D autres acteurs interviennent à leurs côtés : les entreprises qui les accueillent en apprentissage ainsi que des étudiants de l Essec qui, dans le cadre de la chaire entrepreneuriat social du groupe, sont volontaires pour les accompagner via un coaching axé sur l échange et l ouverture culturelle. Une extension en perspective A mi-étape de cette expérimentation d une durée de deux ans, le premier bilan est plutôt positif : les résultats aux partiels des apprentis sont comparables à ceux des autres promotions et leur intégration dans les entreprises comme dans les écoles se déroule bien. Dans les deux filières, les jeunes se révèlent très demandeurs pour représenter leur établissement (journées portes ouvertes, salons ). Autant d éléments porteurs d espoirs pour la réussite à l examen et la poursuite du dispositif. Actuellement, l Itin et l Escia travaillent à la sélection de leur nouvelle promotion avec pour horizon l accueil de 24 apprentis par classe, sachant que, comme le souligne Gilbert Deunf, «l idée n est pas de se limiter au seul BTS. Nous espérons que les jeunes iront plus loin et prépareront une licence, un master ou un titre national de la CCIV proposé dans nos écoles (équivalence à bac + 4, voire bac + 5). Par ailleurs, en 2011, une fois la promotion actuelle sortie, la Chambre envisage d étendre le dispositif à l ensemble de ses écoles, de l ouvrir à d autres filières (vente, secrétariat ).» Un challenge bien engagé. Contact CCIV : Gilbert Deunf - gdeunf@versailles.cci.fr

9 Repositionnement des programmes Depuis 1999 et son accréditation par l AACSB, l Essec délivrait un MBA à ses étudiants à l issue du programme grande école, accessible après les classes préparatoires. A partir de la prochaine rentrée, l Essec va s aligner sur les standards internationaux et rebaptiser ce programme Master of Science (Msc). Dans le même temps, l Essec va transformer son école post bac, l Epsci, en bachelor. Les diplômés de ce cursus sortiront avec un bachelor in business administration (BBA). Renforcement des alliances à l international Une alliance mondiale de six à sept business schools est notamment au programme, «aux côtés d écoles avec lesquelles l Essec a déjà développé des partenariats, comme des doubles diplômes», a précisé Pierre Tapie. L Essec compte également renforcer sa présence en Asie, en faisant de son L ESSEC DÉVOILE SES AMBITIONS POUR 2015 Pierre Tapie, directeur général de l Essec, a présenté le 6 mai dernier les objectifs et la stratégie de développement du groupe pour les cinq prochaines années. campus de Singapour (30 professeurs et 100 salariés en 2015) une «plate-forme» pour son développement dans la région. Une nouvelle campagne de fundraising L Essec a enfin lancé sa deuxième campagne de levée de fonds et prévoit de rassembler 150 millions d euros d ici Les sommes récoltées seront allouées à la recherche et au corps professoral (70 M ), aux bourses sociales et à l entrepreneuriat (20 M ), aux infrastructures (40 M ), ainsi qu à la marque et à l International (20 M ). Un programme qui ne manque pas d ambition, puisque l école espère faire partie des 20 business schools mondiales les plus influentes et se placer parmi les 10 meilleures d Asie et des 5 meilleures en Europe. En savoir plus : 9 VAL-D OISE : UNE PLATE-FORME POUR LES ENTREPRISES EN DIFFICULTE Accompagner les chefs d entreprise dans leurs démarches, les informer sur les dispositifs de prévention, les orienter vers les organismes ou juridictions concernés, tel est l objectif de SOS Entreprises inauguré en avril dernier. À l initiative de ce nouveau dispositif, les principaux partenaires de l entreprise dans le département : Chambre de commerce et d industrie, Chambre de métiers et de l artisanat du Vald Oise, Ordre des experts-comptables, tribunal de commerce et Barreau du Val-d Oise. «Face à un contexte économique particulièrement difficile, il devenait nécessaire de mutualiser nos moyens et nos compétences afin de mieux répondre aux chefs d entreprise qui rencontrent des difficultés dans leurs activités», explique Frédéric Vernhes, vice-président de la CCIV, président de la délégation du Val-d Oise. L engagement des partenaires se traduit par la mise à disposition d intervenants (avocat, expert-comptable, juge honoraire du tribunal de commerce, conseiller CCI ou CMA), un jeudi sur deux, avec garantie de confidentialité et de gratuité. Inauguré le 12 avril dernier, ce dispositif vient en complément des cellules d accueil qui existent déjà tant à la CCI qu à la CMA et au tribunal de commerce. Contacts : CCIV, au CMA, au Maison de l avocat, au

10 10 ACTUS MOOV ECO LA SOLUTION DE MOBILITÉ URBAINE VENUE DES YVELINES ET DU VAL-D OISE Six dirigeants de PME ont rassemblé leurs compétences pour créer la société Muses, l une des quatre entreprises lauréates de l appel à projets lancé par le Conseil général des Yvelines pour la réalisation du véhicule urbain du futur. Une plateforme unique, pourvue d un moteur électrique et sur laquelle s adaptent différents habitacles, voici Moov eco, la solution de mobilité urbaine proposée par un consortium de six entreprises du Val-d Oise et des Yvelines. Les concepteurs de ce projet ont adopté une démarche originale : partir des contraintes qui s imposent à l utilisateur pour imaginer des réponses technologiques adaptées. Constatant que les citadins recherchent surtout des services de mobilité et que la propriété d un véhicule n est plus un enjeu, les fondateurs de Muses ont donc inventé un concept innovant qui répond aux besoins conjugués du professionnel, du transport collectif, du livreur ou de l individu. Epousant les dimensions d une petite citadine, dotée de performances adaptées à la conduite urbaine, notamment un petit rayon de braquage et une autonomie de 100 à 250 km, la plate-forme Moov eco se décline en termes d habitacles, d aménagements, de services à bord, en fonction des usages. La solution proposée apparaît ainsi également performante pour le transport de personnes, y compris à mobilité réduite, ou les livraisons en centre-ville, un espace de chargement étant alors greffé sur le châssis. Il est également envisageable de transformer Moov eco en bureau équipé des technologies de communication indispensables au professionnel itinérant. Enfin, les véhicules peuvent former des «trains» à usage de livraison ou pour (re)distribuer des véhicules dans des applications de type auto-partage, covoiturage ou «rabattage». Complémentarité phénoménale La force de Muses, c est l étonnante complémentarité de ses savoir-faire. Car Muses est né de la rencontre, dans le cadre du Ravy, le réseau automobile Val-d Oise /Yvelines animé par la CCIV, de six entrepreneurs venus d horizons divers, le design, les technologies de liaisons au sol ou encore la gestion de projets. «Nous sommes tous membres de la commission synergies transversales dont l objet est justement de favoriser l émergence de projets collaboratifs et de répondre aux appels d offre des grands donneurs d ordres» explique Patrick Souhait, directeur de Muses. Ces six chefs d entre-

11 11 DÉVELOPPEMENT INNOVATION FORMATION TRANSMISSION RÉSEAUX CRÉATION INFORMATION prise vont se fédérer autour de l idée d un véhicule électrique de type nouveau. Mais le contenu et le positionnement du projet vont fortement évoluer au cours des séances de travail. «Le Ravy est l espace de dialogue neutre qui nous a permis de surmonter nos divergences car à l origine, nos cultures, nos méthodes, nos logiques de travail n étaient pas les mêmes» poursuit Patrick Souhait. «Notre rôle est d accompagner des PME et de les aider à structurer des projets complexes qu elle ne sauraient mener à bien seules» explique Estelle Duflot, animatrice du Ravy. «L appui du réseau a été décisif, notamment sur le plan juridique, pour nous permettre de bâtir une stratégie de long terme» précise Patrick Souhait. En mars 2010, le projet est labellisé par le pôle de compétitivité Mov eo. «Ce fut un exercice difficile mais enrichissant que de défendre notre projet devant les experts de Mov eo» explique Patrick Souhait. «Le label atteste que nos solutions techniques apportent une réponse pertinente et que le modèle économique est bien construit et réaliste». Muses répond alors à l appel à projets, lancé par le Conseil général des Yvelines, en partenariat avec le pôle de compétitivité Mov eo, et dont l objet est de faire émerger des solutions de mobilité innovantes autour du concept de véhicule urbain décarboné. Cette initiative, dotée de 3 millions d euros, est un axe fondamental de l ambitieux plan de soutien à la filière automobile lancé par le Conseil général. En effet, les Yvelines, où sont notamment implantés les plus grands centres de R&D automobile de l hexagone, disposent d atouts majeurs pour relever le défi des inévitables mutations auxquelles la filière doit se préparer et devenir le territoire d élection du véhicule propre de demain préservant ainsi sa stature de premier département automobile français et les emplois attachés aux 200 entreprises du secteur. L appel à projets a permis de faire foisonner les initiatives venues notamment de PME. «Plus de quarante dossiers ont été déposés, c est du jamais vu» se réjouit Yves Fouchet, premier vice-président de la CCIV. Le comité de sélection a finalement retenu quatre projets selon des critères d excellence technique, de crédibilité financière, d inventivité, de sécurité et d éco-conception. L industrie automobile du futur Outre Moov eco, trois autres projets ont été retenu par le Conseil général. Le groupe européen d ingénierie et de conseil Akka Technologies, qui a décidé de créer un centre de recherche sur son site de Guyancourt, présentait Astute Car, un véhicule électrique innovant, habitabilité optimisée, autonomie supérieure à 200 km, absence de liaison mécanique entre le volant et les roues, commandes de conduite au volant Le Modulgo, un véhicule urbain électrique à bas coût de 3 places frontales et disposant d un système de recharge automatisé de batteries et de fonctions intégrées de partage en libre-service, sera développé par la société Induct, concepteur de navettes de transport en commun. La société monégasque Venturi mobilisera pour sa part une dizaine de personnes sur son site de Satory pour optimiser le moteur de son Eclectic 2.O, un quadricycle ludique et communicant. Les lauréats bénéficieront chacun d environ E de subvention pour développer, dans les Yvelines, des démonstrateurs roulants. «C est un coup de pouce formidable pour notre projet» se félicite Patrick Souhait, «le soutien de la collectivité donne du crédit à la valeur ajoutée de Moov eco, ce qui facilitera la recherche de partenaires financiers privés». Le prototype pourrait être dévoilé dès décembre «L identification des PME porteuses des innovations technologiques, autour desquelles se dessineront les contours de l industrie automobile du futur, revêt toute son importance, notamment dans l optique de la création du futur pôle technologique «Vallée de l automobile et de la mobilité durable» en Seine-Aval, projet phare, attracteur de nouvelles entreprises, créateur d emplois et facteur de dynamisation du territoire» souligne Yves Fouchet. EN SAVOIR PLUS : Conseil général des Yvelines : index.html Projet MUSES : Pôle de compétitivité MOVEO L identification des PME porteuses des innovations technologiques revêt toute son importance, notamment dans l optique de la création du futur pôle technologique «Vallée de l automobile et de la mobilité durable» en Seine-Aval. Yves Fouchet, 1 er vice-président de la CCIV, président de la délégation des Yvelines

12 12 ACTUS Il y a un intérêt collectif à structurer le financement sur le territoire. FINANCEMENT DE L ENTREPRISE : À CHAQUE BESOIN, UNE RÉPONSE ADAPTÉE Dans un contexte où le marché du financement se contracte, l accompagnement des entreprises vers les dispositifs les mieux à même de répondre à leurs besoins est un axe majeur de l action de la CCIV. Gérard Bachelier, élu de la CCIV Création et reprise, innovation et mise au point de prototypes, développement et prospection de nouveaux marchés autant d étapes de la vie d une entreprise qui requièrent des ressources conséquentes. Or il n est pas toujours facile de se repérer parmi l offre de financement qui, dans nos départements, apparait très diversifiée. La CCIV et ses partenaires, ont donc décidé, en juin 2009, de constituer la communauté des financeurs des Yvelines pour favoriser les échanges entre les acteurs du financement, coordonner leurs actions et, in fine, faciliter les démarches des entrepreneurs à la recherche de fonds. Une structure similaire sera créée au cours des prochains mois dans le Vald Oise. En effet, plateformes d initiatives locales ou départementales comme les Aface (Associations pour favoriser la création d entreprise), Réseau Entreprendre, Centre francilien de l innovation, dispositifs de financement des services de l État, capitaux-risqueurs, associations de Business Angels, banquiers, sont autant de structures qui répondent à des besoins bien spécifiques. La chaîne du financement «Tous ces acteurs ont accepté de faire vivre la communauté» se réjouit Gérard Bachelier, élu de la CCIV. Sa première tâche a été de comprendre quels étaient réellement les domaines et le potentiel d intervention de chacun. «La chaîne du financement est complexe, nous souhaitions la rendre plus lisible» explique Géraldine Frobert, directrice de la création, de l information et des formalités d entreprises à la CCIV. «Nous avons donc mis en place une cartographie du financement en fonction du profil du projet, de sa localisation, du montant et du type de financement recherché». Ces données ainsi que les fiches descriptives de l ensemble des acteurs du financement sont désormais accessibles en ligne à partir de la plateforme Ecobiz. De véritables parcours de financement, où différents organismes viennent œuvrer en appui les uns des autres, ont ainsi émergé. «Les membres de la communauté ont réalisé que leurs outils pouvaient être complémentaires et qu ils trouvaient avantage à mieux se connaître» constate Gérard Bachelier, «il y a un intérêt collectif à structurer le financement sur le territoire». Mais il est également apparu que la chaîne du financement présentait des manques, par exemple le soutien à l amorçage de projets qui réclament entre et un million d euros, et les membres de la communauté ont été invités à se pencher sur ces lacunes. Sébastien Perrin et Sébastien Giraudier, créateurs de MA.I.A Woundcare, société spécialisée dans la conception, le développement et la commercialisation d une nouvelle génération de pansements thérapeutiques, ont su faire reconnaître leurs innovations et s entourer de soutiens d organismes comme l ACCET-Val-d Oise Technopole, Oséo, le Centre francilien de l innovation ou encore le

13 13 DÉVELOPPEMENT INNOVATION FORMATION TRANSMISSION RÉSEAUX CRÉATION INFORMATION Réseau Entreprendre. «Il existe, en effet, des outils pour le financement de la phase amont d un projet, aide à la création, embauche d un premier salarié, études de stratégie Il est par contre beaucoup plus difficile de trouver les fonds nécessaires à la phase de développement des produits jusqu à leur commercialisation» remarquent les dirigeants de l entreprise technopolitaine de Cergy-Pontoise, qui est tout de même parvenue à lever plus de e auprès de business angels. Orienter les porteurs de projets L objectif de la CCIV est surtout de faciliter l orientation des porteurs de projets. «Nous aidons les entreprises à élaborer un business plan qui soit lisible par les financeurs potentiels» explique Géraldine Frobert qui précise «chaque projet est singulier et un besoin est toujours inédit». La CCIV apporte également une aide au montage de dossiers de financement et met en relation personnalisée les entrepreneurs avec les organismes de financement les mieux à même de répondre à leurs requêtes. «Nous réfléchissons à la possibilité de créer un mécanisme qui permette au chef d entreprise de présenter son dossier auprès de l ensemble des structures de financement» poursuit Gérard Bachelier. Signalons aussi que la CCIV est tiers de confiance auprès du médiateur du crédit ce qui l amène à examiner les demandes de recours de chefs d entreprise qui se sont vus refuser, sans explication, un prêt bancaire. Pour répondre à certains besoins qui peinent à être satisfaits dans le périmètre des dispositifs classiques de financement, des opérations exceptionnelles sont mises en places. C est le cas des rencontres d affaires Finance Innov créées à l initiative des CCI de l Essonne, de Paris et de Versailles Val-d Oise/ Yvelines. Trois fois par an, en l espace d une soirée, dix entreprises innovantes, à fort potentiel de croissance mais qui ne parviennent pas à passer le cap de l amorçage par manque de fonds propres, ont l opportunité de présenter leurs projets devant un parterre de business angels et de représentants de fonds de capital risque. A la suite de leur exposé, ils reçoivent dans un espace privatif les investisseurs intéressés qui les aideront à finaliser leurs projets. Depuis leur création, il y a trois ans, ces soirées d affaires ont permis à une centaine de sociétés sélectionnées de lever près de huit millions d euros. La prochaine rencontre se déroulera le 30 novembre prochain à Versailles. Les rencontres Tremplin entreprises, organisées par l Essec et le Sénat et auxquelles la CCIV a souhaité s associer, sont également destinées à faciliter la rencontre entre entrepreneurs et investisseurs. Cette année encore, une trentaine de projets ont été présentés à 600 investisseurs. MA.I.A Woundcare, doublement récompensée par le Prix de l entreprise de croissance et le Grand Prix Sciences de la Vie, figure parmi les plus prometteuses d entre elles. «Tremplin nous a apporté de la visibilité, ce qui est précieux en termes de communication, mais aussi des contacts intéressants qui en ont eux-mêmes initié d autres dans la sphère des investisseurs» précise Sébastien Perrin qui compte finaliser une nouvelle levée de fonds prochainement. Après deux ans d activité, MA.I.A compte six salariés et parachève la mise au point de ses prototypes. Les premiers produits devraient apparaître sur le marché hospitalier en Contact CCIV : Géraldine Frobert gfrobert@versailles.cci.fr Tél. : EN SAVOIR PLUS : Finance Innov : Aface Val-d Oise et Aface Yvelines Initiative (association pour favoriser la création d entreprise) : Tremplin Entreprises :

14 14 ACTUS DÉVELOPPEMENT INNOVATION FORMATION TRANSMISSION RÉSEAUX CRÉATION INFORMATION «LES ANGES DU BUSINESS INVESTISSENT LES QUARTIERS SENSIBLES «Business Angels des Cités» se propose d investir dans des entreprises créées par des habitants des cités dites sensibles ou des sociétés qui souhaitent s implanter dans ces quartiers. Qu est-ce qui manque dans les banlieues?» s interroge Aziz Senni. «Ce sont des entreprises et des emplois ; il faut donc en créer, soit en attirant des entrepreneurs dans ces territoires, soit en aidant les habitants de ces quartiers à réaliser leurs projets». Le taux de chômage est, il est vrai, deux fois plus important dans certains quartiers qu au niveau national. C est de ce constat qu est né Business Angels des Cités (BAC), le premier fonds d investissement de capital-risque dédié au développement économique des banlieues. Aziz Senni, lui-même jeune entrepreneur à Mantesla-Jolie, fondateur en 2000 d A.T.A., devenu le premier réseau national de transport à la demande et qui compte aujourd hui une cinquantaine de salariés, est convaincu que la banlieue présente un fort potentiel de création de richesses. «BAC est un fonds, ce n est pas une fondation, notre but est lucratif, nous nous positionnons simplement là où il y a un marché» insiste Aziz Senni, conscient toutefois de la dimension socialement responsable de son action. En effet, la volonté d entreprendre serait particulièrement vive chez les jeunes originaires des zones urbaines sensibles. Mais en banlieue, peut-être plus qu ailleurs, il manque aux aspirants-entrepreneurs et aux entrepreneurs, des fonds propres, de l expérience et un réseau relationnel. «C est ce que nous nous proposons de leur apporter» explique Aziz Senni. Un coach personnel En 2007, Aziz Senni convainc de grands patrons et d éminents financiers, comme Claude Bébéar, Gonzague de Blignères ou Dominique Oger, de le rejoindre dans l aventure et de l aider à réunir un premier fonds de 5 millions d euros. «Nous investissons dans des entreprises, jeunes ou en développement, par un apport financier compris entre e et e et pour une durée de trois à sept ans» précise-t-il. Les projets sont sélectionnés au cours de séances de speed business meeting, un exercice réputé difficile où le candidat dispose de quinze minutes pour présenter son projet. BAC a déjà misé sur une douzaine d entreprises comme le site Rue des consuls, spécialisé dans la vente de produits d artisanat marocain et créé par une jeune femme originaire de Mantes-la-Jolie. Les entrepreneurs accompagnés par BAC bénéficient de séances mensuelles de monitoring pour acquérir un capital de compétences et se perfectionner sur des aspects juridiques ou commerciaux. Surtout, ils sont guidés par un coach personnel recruté parmi la petite centaine d investisseurs que compte aujourd hui la société de capital-risque. Ainsi, quand BAC a investi dans l entreprise strasbourgeoise Sago, fabricant et distributeur de polos, qui travaille notamment pour la Gendarmerie nationale, l expérimenté Alain Spriet, membre du directoire du groupe textile Devanlay- Lacoste, s est porté volontaire pour aider son fondateur à structurer sa filière de production et de distribution et, une fois la confiance établie, lui a fait profiter de son réseau relationnel. BAC conclut actuellement une nouvelle levée de fonds auprès de la Caisse des dépôts, de BNP, HSBC et d investisseurs privés pour réunir un capital de 20 millions d euros. «Nous souhaitons que BAC, qui répond précisément à un gap de financement et concourt au développement de territoires au cœur de nos départements, rejoigne la communauté des financeurs des Yvelines» souligne Gérard Bachelier, élu de la CCIV.

15 15 ATELIERS LOCATIFS UN CONCEPT QUI REMPORTE L ADHESION Initiés par la CCIV, les ateliers locatifs de la ZAC des Tulipes de Gonesse ont été inaugurés le 29 juin dernier. «Avec les ateliers locatifs, la CCIV aspire à créer des zones d activités porteuses d émulation économique pour les artisans et les TPE.» Frédéric Vernhes, vice-président de la CCIV, président de la délégation du Val-d Oise. De nombreux élus du Conseil régional d Ile-de- France, du Conseil général du Val-d Oise et de la Ville participaient, aux côtés de Jean-François Bernardin, président de la CCIV, au lancement officiel de ce programme immobilier original, en phase avec les demandes des entreprises artisanales. «Cette réalisation vise à répondre à la carence en ateliers locatifs de petite taille, précise Frédéric Vernhes, vice-président de la CCIV, président de la délégation du Val-d Oise. Soucieuse de favoriser le développement des entreprises artisanales, la Chambre s est impliquée dans la construction de ces locaux comme maître d ouvrage avec le soutien financier du Conseil régional et du Conseil général. Aujourd hui, nous sommes heureux de proposer aux TPE, PME et PMI du secteur du Triangle de Gonesse en plein développement, un concept adapté à leurs besoins.» Un produit moderne et bien conçu Et le résultat brille par ses atouts. Situé à l entrée de la ZAC des Tulipes, rue de la ferme Saint Simon, au bord des pistes de l aéroport de Paris Le Bourget, ce parc d activités propose, sur une zone de 1 800m 2, quinze locaux individuels et trente-quatre places de parking. Outre sa conception (chaque cellule comprend un espace atelier au rez-de-chaussée et un espace bureau en mezzanine) et sa facilité d accès, l attractivité du programme réside dans sa qualité : une architecture moderne, des espaces modulables, une démarche HQE (Haute Qualité Environnementale), des coûts locatifs modérés et un accompagnement économique de la CCIV. «Pour nous, c est un vrai coup de foudre industriel, témoigne Serge Martinez, directeur général d Aéro Services, entreprise spécialisée dans l aviation d affaires qui loue deux surfaces (100m 2 et 150m 2 ). Nous sommes implantés au Bourget et avons besoin d une base arrière pour deux ateliers, l un en maintenance aérienne et l autre en services d approvisionnement des avions (coussins, produits consommables ). Outre la proximité avec notre plate-forme, les ateliers locatifs nous ont séduits par leur design contemporain, leur souplesse d aménagement et leur coût très accessible.» Des emplois à la clé Un engouement partagé par Michel Cadeilhan, directeur de l entreprise de plomberie, chauffage ventilation Cadeilhan qui loue un atelier de 150m 2. «Je travaille avec les aéroports du Bourget et de Roissy et cherchais depuis deux ans à quitter le centre ville de Drancy pour me rapprocher de mes clients, explique-t-il. J ai trouvé ici la configuration atelier/bureau qui me convient, agrémenté d un environnement sécurisé et pratique avec mes trois places de parking. L espace adaptable et conforme aux normes HQE confère à mon entreprise une image de modernité appréciable.» «A ce jour, plusieurs cellules ont été commercialisées, poursuit Frédéric Vernhes, et à terme nous espérons une cinquantaine d emplois sur le site. Cette dynamique nous incite à réfléchir sur la possibilité d une extension de ce type de constructions.» CCIV : Emanuel Aureau, DGADD / eaureau@versailles.cci.fr

16 16 ACTUS LOCALES DÉVELOPPEMENT INNOVATION FORMATION TRANSMISSION RÉSEAUX CRÉATION INFORMATION LE RMVO : LAURÉAT DE LA PREMIÈRE PROMOTION DES GRAPPES D ENTREPRISES Le réseau Mesure du Val-d Oise (RMVO) figure parmi les 42 lauréats de la première promotion des «grappes d entreprises» désignées par Michel Mercier, ministre de l espace rural et de l aménagement du territoire. Doté d un budget de 20 millions d euros pour , cette politique de soutien aux «grappes d entreprises» vise à donner une plus grande visibilité et apporter un appui aux initiatives exemplaires. Depuis sa création, le réseau Mesure bénéficie du soutien de la CCIV et de nombreux partenaires. L appui aux grappes d entreprises permettra de soutenir les projets d animation et les actions structurantes pour le réseau Mesure, de favoriser l émergence de projets interentreprises et d améliorer la compétitivité et la performance des entreprises de la grappe. JOUY-LE-MOUTIER : L ENTREPRISE EDM SERVICE PRIMÉE Installée à Jouy-le-Moutier depuis 1984, l entreprise EDM Service, spécialisée notamment dans les outils industriels de surfaçage, a été récompensée lors du salon «Industrie Paris 2010» en mars dernier, à Paris Nord Villepinte où elle s est illustrée dans la catégorie «Machine-Outil», pour avoir conçu une tête de perçage rapide universelle. FORMATION UNE NOUVELLE ÉCOLE À SAINT-GERMAIN-EN-LAYE Située dans les locaux de Sup de V, l EGC (école de gestion et de commerce) Ilede-France Ouest accueillera sa première promotion en septembre Le nouvel établissement s appuie sur l important réseau national EGC géré par les CCI : au total 30 écoles alliant la qualité et la proximité avec le monde de l entreprise, jeunes formés par an, anciens élèves et un concours commun, le bachelor EGC. Le titre certifié niveau II «responsable en marketing, commercialisation et gestion» délivré par l ACFCI (Assemblée française des Chambres de commerce et d industrie) est inscrit au RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles). PLAN DE DÉPLACEMENTS D ENTREPRISES : SAINT-QUENTIN-EN-YVELINES RÉCOMPENSÉE. La Communauté d agglomération de Saint-Quentin-en- Yvelines et la CCIV ont travaillé avec les entreprises locales Cette formation en trois ans après le Bac répond à un besoin important des entreprises en «middle management». Ces profils sont en effet très recherchés par les employeurs pour leur pragmatisme, leurs connaissances solides, leur autonomie et leur comportement professionnel. Insertion rapide et forte proportion de CDI En 2009, plus de la moitié des diplômés (57 %) sont entrés dans la vie active après le bachelor EGC (*), l insertion a été rapide (6 diplômés sur 7 juste à la sortie de l école) et réussie (salaire annuel brut de à l élaboration de différents plans de déplacements d entreprises (PDE). Cette démarche s est notamment 23 ke). 2 diplômés sur 3 ont été recrutés en CDI, ce qui, dans le contexte économique actuel, constitue une proportion rassurante. Journée de recrutement le 9 juillet. *Source : enquête d insertion auprès des 730 diplômés 2009 Internet : traduite par la création de lignes de bus supplémentaires, le développement de l information multimodale et de pistes cyclable personnes en profitent actuellement. Une initiative récompensée par une deuxième place au prix européen du PDE décerné lors de la 14 e édition de la Conférence européenne du management de la mobilité (ECOMM) organisée à Graz en Autriche en mai dernier.

17 17 AXE ROISSY-PICARDIE : LES DÉBATS SONT OUVERTS «CHÂTEAU DE VERSAILLES» POURRAIT DEVENIR UNE MARQUE Comment rejoindre rapidement la plate-forme aéroportuaire de Roissy et son bassin d emploi sans passer par la case «gare du Nord». Un casse-tête quotidien pour bon nombre de picards. Pour améliorer cette desserte, une nouvelle ligne ferroviaire est à l étude. Le projet soumis à débat public jusqu au 31 juillet 2010 prévoit la construction d une ligne nouvelle d une dizaine de kilomètres au nord de Roissy, reliant l axe Paris-Creil-Amiens à la ligne à grande vitesse qui dessert la gare Aéroport-Charles de Gaulle-TGV. Vous pouvez retrouver les documents et les études réalisées par le maître d ouvrage sur ce UN TRAINING CENTER À FLINS projet, ainsi que toutes les informations utiles pour participer au débat sur le site internet : Renault a créé une école de fabrication (Global training center) en plein coeur de son site de Flins pour permettre une «standardisation des compétences» des salariés à travers le monde. Le GTC, qui propose des formations pouvant durer jusqu à 18 mois, espère recevoir à terme 500 stagiaires par an. L Etablissement public du château de Versailles (EPV) cherche des financements pour engager sa rénovation. Une des pistes serait la création d une marque «Château de Versailles», licence qui pourrait être utilisée par des entreprises et qui serait une source de revenus importante. Autre piste, l optimisation de l exploitation des concessions de l EPV par la création d hôtels de haut standing dans des bâtiments périphériques au château. Une négociation est actuellement en cours avec un grand groupe hôtelier au sujet de l hôtel du Grand Contrôle (situé rue de l Indépendance américaine). CARNET Nous avons le regret de vous faire part de la disparition de Jean-Pierre Chapalain, conseiller technique Val-d Oise de la Chambre, le 1 er avril Il avait été membre associé de 1989 à 1991 et membre titulaire de 1992 à 2004

18 18 ACTUS COMMERCE Ce club doit être un lieu d échanges et un vivier d idées susceptibles de favoriser le développement d activités commerciales de tous types, y compris le commerce traditionnel Guy Blanchart, vice-président de la CCIV en charge du commerce UN CLUB POUR LES DIRIGEANTS DE CENTRES COMMERCIAUX ET D ENSEIGNES DU VAL-D OISE ET DES YVELINES Amener les dirigeants des grands centres commerciaux et enseignes à réfléchir ensemble sur le devenir commercial des deux départements, tel est l objectif poursuivi par la CCIV à l origine de cette initiative. Deux rencontres se sont déjà déroulées avec succès à Versailles et à Pontoise. Depuis quelques années, l équipement commercial évolue dans un contexte de réformes et de projets de loi qui brouille les pistes et ne permet pas toujours aux grands acteurs de l activité commerciale d avoir une vision claire sur leur environnement économique et concurrentiel. «Il nous a semblé important de mobiliser régulièrement les dirigeants de centres commerciaux et d enseignes pour discuter des implications de ces réformes mais aussi de leur impact sur leurs stratégies de développement» explique Guy Blanchart, vice-président de la CCIV, en charge du commerce. «Ce club doit être également un lieu d échanges et un vivier d idées susceptibles de favoriser le développement d activités commerciales de tous types, y compris le commerce traditionnel, dans nos deux départements», Les deux rencontres organisées par la Chambre le 19 mai à Versailles et le 7 juin à Pontoise ont rassemblé au total une trentaine de dirigeants de grandes enseignes et surfaces commerciales des deux départements. L occasion pour l ensemble des participants de découvrir, grâce à une cartographie exhaustive, l ensemble des projets commerciaux recensés sur le territoire. «Des projets qui, à court, moyen ou long terme, vont forcément modifier non seulement le paysage commercial mais aussi le comportement des consommateurs», poursuit Guy Blanchart. Les responsables de centres commerciaux ont également pu, à partir de la présentation des résultats de l enquête CCIV «Pluripôle» menée en 2007 auprès des consommateurs du Val-d Oise et des Yvelines, affiner leur connaissance des besoins et des attentes de la population. Cette enquête qui fournit un grand nombre d indicateurs clés -habitudes de consommation, types de magasins fréquentés selon les produits (hypermarché, supermarché, superette ou commerce de proximité), lieux des achats (à l intérieur ou à l extérieur de ces départements) sera réactualisée cette année. Les soldes complémentaires, la sécurité, l ouverture du dimanche, mais aussi les projets d infrastructures et leurs répercussions sur l activité,, sont quelques unes des problématiques également soulevées lors des débats. L importance et la richesse des échanges entre les participants a démontré tout l intérêt de ce type de rencontres qui se dérouleront à présent tous les trimestres. Contact et information : Magali Bonnier, au ou mbonnier@versailles.cci.fr QUELQUES CHIFFRES CLÉS Nombre total de mètres carrés commerciaux qui existent actuellement : dans le Val-d Oise > , 02 m² dans les Yvelines >> , 00 m² (source : fichier des + de 300 m²) Mètres carrés de surface potentielle : dans le Val-d Oise : près de m² (exclu le grand projet de Gonesse, soit m²) dans les Yvelines : m²

19 19 Les partenaires Resto kdo : Metro, l Association des restaurateurs indépendants du Val-d Oise (Ariv), les Restaurateurs indépendants et le Club hôtelier 78, les comités départementaux du tourisme et les offices de tourisme du Val-d Oise et des Yvelines, Transports Vald Oise (TVO), Phébus, les Parcs naturels régionaux de la Haute Vallée de Chevreuse et du Vexin RESTO KDO : UNE RECETTE GAGNANTE! 16, 17 et 18 novembre 2010, trois dates à retenir par les restaurateurs du Val-d Oise et des Yvelines qui souhaitent s inscrire aux journées «Resto KDO». 2couverts 1 offert, tel est le principe de ces journées dont la première édition en 2009 a permis aux restaurateurs engagés dans l opération de servir couverts en trois jours, soit une augmentation de 54 % de leur taux de fréquentation par rapport à Règle du jeu : chaque restaurateur participant s engage à offrir durant cette période un repas pour chaque repas acheté (les deux, hors boisson) sur une même table de 8 personnes maximum au cours du même repas, hors séminaires et banquets. La participation est gratuite, les repas offerts restant seuls à la charge du restaurateur. Resto KDO, c est le moyen d élargir sa clientèle, de valoriser l image de la profession et de faire découvrir son métier, attirer, peut-être, des vocations et, ainsi, favoriser le recrutement de personnel qualifié. C est aussi booster l activité de son restaurant. N hésitez pas, inscrivez-vous sur Internet! Internet : Contacts : Catherine Stéphant, au ou Philippe Taillard, au NORD VALLÉE DE L OISE : UNE ÉTUDE INSTRUCTIVE SUR LES SERVICES À LA PERSONNE L enquête présentée en avril dernier à Persan a permis d amorcer une démarche organisée en faveur de cette activité sur le territoire. Menée dans les cantons de Beaumont, l Isle-Adam et Viarmes, ainsi qu à Chambly, l étude présente une analyse sociodémographique réalisée par la CCIV, ainsi que les résultats d une enquête de la Maison de l emploi du Haut Vald Oise auprès des 25 organismes de services à la personne présents sur le périmètre. Entre 1999 et 2006, la part des 46 à 65 ans a fortement augmenté, contrairement à celle des 25 à 34 ans (source Insee). Pour le secteur des services à la personne, cette évolution démographique n est pas sans conséquences. Ainsi, pour la tranche des 46 à 65 ans, la demande s oriente en grande partie sur les services d aide aux tâches domestiques (41 % des services à la personne sont rendus aux seniors, personnes dépendantes et handicapées). Autre constatation : 81,4 % des cadres et 74,4 % des professions intermédiaires travaillent hors du périmètre géographique étudié, ce qui entraîne nécessairement d importants besoins en services au domicile des particuliers. De cette étude ont émergé des pistes d actions pour accompagner l évolution de ce secteur d activités sur le territoire : reconduite pour d une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC), formations collectives pour les dirigeants et les salariés, sensibilisation à la gestion des risques professionnels spécifiques à ce secteur Amandine Massé conseillère en projet de territoire à la CCIV, au Pascal Klingler directeur de la MDE du Haut Val-d Oise, au

20 20 ACTUS COMMERCE Il s agit d une démarche volontariste qui favorise l émergence de produits et de services touristiques réellement ouverts à tous et permettant aux handicapés d avoir un maximum d autonomie. Jean-Claude Impens, élu de la CCIV LABEL TOURISME ET HANDICAP LA PROMOTION CITOYENNE Choisir ses vacances et ses loisirs en toute liberté fut longtemps une gageure pour les personnes en situation de handicap. Un label ad hoc et, d ici 2015, de nouvelles obligations légales changent progressivement cette donne. Depuis mai 2001, un label facilite la vie des touristes handicapés. Créé à l initiative du secrétariat d État à la consommation et au tourisme, il apporte une information fiable, descriptive et objective de l accessibilité des sites et des équipements, tenant compte de tous les types de handicap. Le label s adresse à tous les établissements de vacances (hôtels, villages de vacances, chambres d hôtes, auberges de jeunesse, ), aux sites touristiques et de loisirs (musées, châteaux, monuments, parcs thématiques, salles de sport, bases de loisirs, ), ainsi qu au secteur de la restauration (restaurants, bars, brasseries, fermes auberges, ). «Il s agit d une démarche volontariste qui favorise l émergence de produits et de services touristiques réellement ouverts à tous et permettant aux handicapés d avoir un maximum d autonomie. Les professionnels du tourisme qui s engagent dans cette voie s affirment comme des ambassadeurs de l accueil du public handicapé. Ils se dotent également d un avantage concurrentiel supplémentaire au plan national et international puisque la présence du logo Tourisme et Handicap constitue un facteur d attractivité indéniable pour une nouvelle clientèle dotée d un pouvoir d achat non négligeable», remarque Jean-Claude Impens, élu de la CCIV. Un label qui tient aussi compte des spécificités des sites Action citoyenne au service de la promotion de son établissement, l obtention du label a été formalisée par le ministère du tourisme qui a confié à l association «Tourisme et Handicap» la mission de son déploiement sur le terrain. Les démarches transitent par les instances régionales, sous l égide de la direction régionale du tourisme. Concrètement, l établissement-candidat au label remplit un questionnaire d auto-évaluation destiné à apprécier l état d accessibilité de ses infrastructures pour les quatre typologies de handicap (moteur, visuel, auditif et mental). Une commission régionale donne un avis circonstancié sur la base de critères spécifiques aux types de structures touristiques et/

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