Réflexions relatives à la fixation d une taille minimale de la Coquille Saint-Jacques Pecten maximus en Manche.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Réflexions relatives à la fixation d une taille minimale de la Coquille Saint-Jacques Pecten maximus en Manche."

Transcription

1 PDG-DOP-DCMMN DHMMN-RHPEB Eric FOUCHER Octobre 2008 Réflexions relatives à la fixation d une taille minimale de la Coquille Saint-Jacques Pecten maximus en Manche. 1

2 SOMMAIRE 1. Introduction 3 2. Biologie et biométrie Quelques éléments de biologie Allométrie hauteur-largeur Croissance Discussion 8 4. Conclusion 12 2

3 1. Introduction La coquille Saint-Jacques constitue une ressource primordiale pour l équilibre des flottilles françaises le long des côtes de la Manche Est. En France, cette pêche est conditionnée par une période d ouverture hivernale, puisqu elle n est autorisée au niveau national pour l ensemble des gisements que d octobre à mi-mai de l année suivante. De plus, dans certains gisements, l accès à la pêcherie est soumise à des règles d accès encore plus strictes, contrôlées par l obtention d une licence de pêche, permettant de réguler à la fois les caractéristiques techniques des navires et des engins de pêche, mais également le nombre de navires autorisés et les conditions d accès à la pêcherie (nombre de jours d ouverture restreints, nombre d heures limité pour chaque jour de pêche.). C est le cas dans la partie côtière de la baie de Seine, dans les eaux territoriales françaises. Les réglementations européennes sont par contre relativement limitées, puisqu elles n imposent qu une taille minimale de capture, fixée à 11 cm en Manche Est (comme en mer d Irlande) dans la plus grande largeur de la coquille, contre 10 cm dans toutes les autres zones des eaux européennes, ainsi que par l interdiction de mise en noix à bord des navires (débarquement de l animal entier). Cette taille minimale de 11 cm, prise en raison d une croissance plus rapide en Manche Est que dans les autres zones (due notamment à une productivité primaire forte en Manche Est 1 ), est inscrite dans le règlement CE n 850/98. La Commission a soumis récemment aux états membres et aux organisations professionnelles un projet de refonte de ce règlement technique, dans lequel la taille minimale de la coquille Saint-Jacques serait homogénéisée pour l ensemble des zones et fixée à 10 cm. 1 Hoch T., Modélisation du réseau trophique pélagique et de la production primaire en Manche. Oceanologica acta, 21(6),

4 2. Biologie et biométrie 2.1. Quelques éléments de biologie La coquille Saint-Jacques est une espèce hermaphrodite à fécondation externe. La glande génitale, ou «corail», s étend sur le côté du muscle adducteur, et comprend une partie supérieure mâle, de couleur blanchâtre, et une partie inférieure femelle, de couleur rouge orangé. En Manche Est, la première reproduction survient à l âge de deux ans en baie de Seine, à trois ans en dehors de la zone côtière. Les glandes des deux sexes ne sont pas mûres en même temps, les gamètes mâles l étant généralement avant les femelles (il y a protandrie). En baie de Seine, les coquilles présentant des gonades mûres se rencontrent sans discontinuer de février à juillet, mais la ponte principale a lieu de fin avril à début juin. Un deuxième cycle de ponte a lieu en septembre. Après une période brève de repos sexuel qui dure au maximum un mois, la gamétogénèse reprend dès le mois de novembre. Plusieurs cycles de ponte ont ainsi lieu au cours d une même année en baie de Seine, comme pour l ensemble de la Manche Est, contrairement à ce qui est observé en baie de Saint-Brieuc. En baie de Seine, la première observation de gonades matures a lieu à 78 mm (largeur). On considère que tous les individus de la population sont matures à 102 mm, et que la fécondité maximale individuelle est atteinte à 115 mm 2. Les œufs donnent naissance à une larve planctonique qui au bout de trois semaines se fixe sur le substrat pendant environ 10 semaines. La morphologie définitive de la coquille apparaît lorsque la taille atteint un centimètre : la jeune coquille acquiert alors le comportement libre de l adulte. La croissance est très rapide lors des trois premières années (en particulier les deux premières), particulièrement en baie de Seine, et la taille maximale y est de l ordre de 170 mm (même si des individus d une taille exceptionnelle supérieure à 200 mm aient été signalés). La coquille Saint-Jacques peut vivre une quinzaine d années. Cependant, il est rare de trouver des individus âgés de plus de 7 ans dans les gisements fortement exploités. La coquille Saint-Jacques est un filtreur, détritivore et planctonophage (phytoplancton, essentiellement des diatomées). Elle peut effectuer de courts déplacements, par bonds successifs de quelques mètres (l eau contenue dans la cavité palléale est propulsée par claquement des deux valves). Il s agit d un comportement de défense pour échapper aux prédateurs (comme les étoiles de mer). 2 Mathieu M. et P. Lubet, Etude des mécanismes physiologiques contrôlant la croissance et la reproduction chez des bivalves d intérêt commercial, Rapport pour le Fond Régional de Recherche et de Développement de la Région Basse-Normandie, Université de Caen, 24 pages. 4

5 2.2. Allométrie hauteur-largeur La taille minimale de capture de la coquille Saint-Jacques est mesurée dans le sens de la plus grande largeur de la coquille, soit suivant un axe perpendiculaire à l axe de symétrie. Par contre, toutes les mensurations biologiques sont réalisées en hauteur, dans le sens de la symétrie de chaque individu. Une relation (allométrie) entre la hauteur et la largeur a été calculée lors des campagnes de prospection du gisement de la baie de Seine, menées par l Ifremer (fig. 1). Largeur (mm) y = x R 2 = Allométrie Hauteur-Largeur Hauteur (mm) Figure 1 : Allométrie hauteur-largeur (en mm) pour les coquilles Saint-Jacques de la baie de Seine (juillet 2007). Une taille minimale (en largeur) de 100 mm correspond à une hauteur de 87 mm, une taille de 110 mm à une hauteur de 95 mm. Ce sont ces deux valeurs de hauteur que nous emploierons par la suite Croissance. La ponte principale ayant lieu au printemps, on considère que la date anniversaire de chaque groupe d âge est le premier juillet. La croissance de la coquille Saintjacques est rapide, et surtout élevée lors des deux premières années. Des différences notables sont observées selon les gisements 3. Ainsi, la croissance est beaucoup plus rapide en baie de Seine qu'en baie de Saint-Brieuc : à 2 ans, il y a près de 2 cm de différence (en hauteur, sens de la symétrie), 60 mm à Saint-Brieuc pour 80 mm en baie de Seine (fig. 2). A la fin du printemps de leur deuxième année en baie de Seine, les coquilles Saint-Jacques mesurent en moyenne 87 mm 3 Antoine L., La croissance de la coquille Saint-Jacques Pecten maximus L. et ses variations en mer Celtique et en Manche. Thèse de doctorat de 3 ème cycle, Université de Bretagne Occidentale, 148 pages. 5

6 en hauteur (soit L=100 mm). Compte tenu de la croissance estivale, une hauteur de 95 mm (L=110 mm) est atteinte vers 2 ans - 3 mois. Hauteur (mm) Courbes théoriques de croissance Baie Seine côte Baie Seine large Vergoyer Baie de Saint-Brieuc Nombre d'anneaux Années Figure 2 : Courbes de croissance de coquilles Saint-Jacques issues de différents gisements en Manche. Le nombre d anneaux comptabilisé correspond au nombre de marques d arrêt de croissance observable sur la coquille. En effet, la croissance ralentit durant l hiver, les stries d accroissement journalier sont ainsi très resserrées et forment une marque. Chaque coquille Saint-Jacques étant née au printemps, une marque donnée N correspond ainsi approximativement à un âge N ½ an (2 anneaux correspondent à 1an ½, 3 à 2 ans ½, etc ). La croissance est également variable d une année à l autre, en fonction des conditions environnementales (et notamment de la quantité de phytoplancton disponible), ce que l on peut observer lors des campagnes de prospection en baie de Seine (fig. 3). 6

7 Baie de Seine Max Min Moy COMOR Taille (Hauteur) Age Figure 3 : Croissance moyenne (1990 à 2007) des coquilles Saint-Jacques de la Baie de Seine, et tailles moyennes aux âges observée en juillet 2008 (COMOR 38). Enfin, une relation entre la taille et le poids a été ajustée (fig. 4) à partir de données recueillies lors des campagnes de prospection en baie de Seine de 2002 à Elle s inscrit sous la forme : Poids (en g) = x Hauteur (en mm) 2.9 Relation Taille/Poids Coquille St-Jacques de Baie de Seine Poids (en g) Taille (Hauteur en mm) Figure 4 : Relation Hauteur-Poids de la coquille Saint-Jacques en baie de Seine. 7

8 3. Discussion La structure de la population de coquilles de la baie de Seine observée en juillet 2008, aussi bien dans sa partie côtière (Fig. 5) que large (Fig. 6) montre que la fixation d une taille minimale de capture à 100 ou 110 mm ne concerne que les individus de 2 ans. En effet, si cette structure de la population peut varier d une année à l autre, en raison d une part des variations inter-annuelles de croissance individuelle des coquilles Saint-Jacques (Fig. 4) et d autre part de la proportion entre les individus issus du recrutement et les individus plus âgés ayant déjà subi au minimum une saison de pêche, les coquilles de 3 ans et plus se situeront toujours au-delà de la taille minimale, qu elle soit fixée à 100 ou 110 mm (respectivement 87 ou 95 mm en hauteur). Baie de Seine juil mm 95mm Effectifs ans 3ans Hauteur (mm) Figure 5 : Structure de la population de coquilles Saint-Jacques de la baie de Seine (côte) 8

9 Extérieur Baie de Seine juil08 Effectifs mm 95mm Hauteur (mm) 2ans 3ans+ Figure 6 : Structure de la population de coquilles Saint-Jacques de la baie de Seine (large) A deux ans révolus (en juillet), 83% des individus ont atteint une hauteur de 95 mm et 97% une hauteur de 87 mm dans la partie côtière. Les ordres de grandeur sont similaires dans la partie du large, avec respectivement 71 et 92% pour H=95 et 87 mm. Chaque coquille va grandir de 5 à 10 mm entre la prospection estivale de juillet et les mois d octobre (ouverture au large) ou de décembre (ouverture du gisement près de la côte) ; une taille minimale de 110 mm sera ainsi atteinte par 97% des individus de 2 ans au large et 100% à la côte au moment de l ouverture de la pêche. Entre mars (début de la reprise de croissance après l arrêt hivernal, qui coïncide en Manche Est avec le début du bloom phytoplanctonique) et juillet, une coquille gagne près de 10 mm entre 1 an ½ et 2 ans, et de l ordre de 5 mm entre 2 ans ½ et 3 ans (valeurs moyennes observées lors des campagnes de prospection en juillet, entre le dernier anneau correspondant à l hiver précédent et la taille de chaque individu mesuré en été). En déduisant ces taux de croissances aux distributions de taille des populations observées en juillet 2008, on peut recalculer la structure des populations de coquilles Saint-Jacques au cours de l hiver (figures 7 et 8). 9

10 Baie de Seine hiver mm 95mm Effectifs an 1/2 2 ans 1/ Hauteur (mm) Figure 7 : Structure de la population de coquilles Saint-Jacques de la baie de Seine (côte) recalculées à partir des observations faites en juillet 2008 et des taux de croissances. Extérieur Baie de Seine hiver Effectifs mm 95mm Hauteur (mm) 1 an 1/2 2 ans 1/2 Figure 8 : Structure de la population de coquilles Saint-Jacques de la baie de Seine (large) recalculées à partir des observations faites en juillet 2008 et des taux de croissances Au moment de l arrêt de croissance hivernal, les coquilles Saint-Jacques de 1 an ½ ayant une largeur comprise entre 100 et 110 mm correspondent à 38% de la cohorte en baie de Seine et 32% au large. Dans l hypothèse d une taille minimale de 100 mm, 51% des individus immatures dans la partie côtière et 42% dans la partie large seraient alors exploitables. Dans 10

11 l hypothèse de la taille minimale de 110 mm actuellement en vigueur, 13% des immatures dans la partie côtière et 10% dans la partie large sont exploitables. Ainsi, si la réduction de la taille minimale de 110 à 100 mm était adoptée, la pêche étant ouverte en hiver, environ la moitié des individus pourrait être exploitée avant la première maturité sexuelle et la première ponte qui aurait eu lieu à la fin du printemps suivant, et donc avant d avoir participé au renouvellement du stock. Bien que les effets de cette augmentation des captures de juvéniles sur la biomasse du stock et les captures potentielles ne puissent être estimés précisément, il est très vraisemblable qu'elle entraînerait, à effort de pêche constant, une baisse durable des captures totales, ce qui irait à l'encontre de l'objectif de maximisation des captures tel que fixé lors du Somment Mondial sur le Développement Durable de Johannesburg en

12 4. Conclusion Une diminution de la taille minimale de 11 à 10cm en Manche Est n irait pas dans le sens d une exploitation durable du stock de coquilles Saint-Jacques. Ce choix reviendrait à se priver de près de 50% de la biomasse féconde, ce qui ne peut qu avoir un impact négatif à terme sur le stock. Matthieu et Lubet, dès 1990, insistaient sur la nécessité au contraire d augmenter cette taille minimale à 11,5 cm : «Les animaux de 10cm sont souvent immatures ou possèdent peu d'ovocytes, leur pêche faisant disparaître une classe d'âge qui n'a pas eu le temps d'effectuer sa première reproduction et dont la fécondité reste faible par rapport à celle des animaux plus âgés. En effet, la fécondité maximale a été constatée chez les animaux atteignant 11,5 cm (3 ans). Elle se manifeste à ce niveau pendant plusieurs années. D'où la nécessité de proposer une taille minimale de capture de 11,5 cm». L'Ifremer recommande le maintien d une taille minimale de capture fixée à 11 cm dans le cas spécifique de la Manche Est. 12

Le Crabe commun des eaux côtières du Québec

Le Crabe commun des eaux côtières du Québec Pêches et Océans Canada Sciences Fisheries and Oceans Canada Science MPO Sciences Région Laurentienne Rapport sur l état des stocks C-2 (21) 5 16B 16A 17A-C D 16C 16D 16E YZ E-X A-C Le Crabe commun des

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement

Plus en détail

Tout savoir sur Mr.Goodfish

Tout savoir sur Mr.Goodfish Tout savoir sur Mr.Goodfish 1 BIENVENUE DANS LE PROGRAMME MR.GOODFISH Par votre adhésion au programme Mr.Goodfish, vous faites un geste important pour une consommation durable des produits de la Mer. Soyez

Plus en détail

DEMANDE D'UN PERMIS DE MISE EN EXPLOITATION D'UN NAVIRE DE PECHE PROFESSIONNELLE

DEMANDE D'UN PERMIS DE MISE EN EXPLOITATION D'UN NAVIRE DE PECHE PROFESSIONNELLE ANNEXE 1 (réf. Circulaire DPMA/SDRH/C2010-9634 du 11/10/2010) DEMANDE D'UN PERMIS DE MISE EN EXPLOITATION D'UN NAVIRE DE PECHE PROFESSIONNELLE Identité du demandeur Personne physique Personne morale Nom

Plus en détail

Les vers de nos compagnons

Les vers de nos compagnons Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur

Plus en détail

12-03 BFT. I ère Partie Dispositions générales

12-03 BFT. I ère Partie Dispositions générales 12-03 BFT RECOMMANDATION DE L ICCAT POUR AMENDER LA RECOMMANDATION DE L ICCAT VISANT À L ÉTABLISSEMENT D UN PROGRAMME PLURIANNUEL DE RÉTABLISSEMENT POUR LE THON ROUGE DE L ATLANTIQUE EST ET DE LA MÉDITERRANÉE

Plus en détail

Antony Subaquatique Commission Bio Vidéo. Les Vers

Antony Subaquatique Commission Bio Vidéo. Les Vers Antony Subaquatique Commission Bio Vidéo Les Vers C est quoi un vers? La notion de vers est dénuée de sens pour les puristes de la classification des espèces. Mais pour nous, plongeurs, on range dans ce

Plus en détail

Les vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés

Les vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés Les vers marins A partir des vers marins, les animaux se complexifient dans l organisation de leur tissus. Nous avons vu qu avec les coraux, les organismes possédaient deux feuillets séparés d une gelée.

Plus en détail

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps

Plus en détail

Erika GERVASONI - CEPRALMAR. Grâce au soutien financier de

Erika GERVASONI - CEPRALMAR. Grâce au soutien financier de Etude de prospection pour la diversification des élevages sur filières conchylicoles en mer en Languedoc-Roussillon Synthèse réalisée à partir de l étude bibliographique réalisée en avril 2009 par A. Boglino,

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés

Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés Professeur Patrice Francour francour@unice.fr Une grande partie des illustrations viennent

Plus en détail

E 4619 TEXTE SOUMIS EN APPLICATION DE L ARTICLE 88-4 DE LA CONSTITUTION ASSEMBLÉE NATIONALE SÉNAT PAR LE GOUVERNEMENT,

E 4619 TEXTE SOUMIS EN APPLICATION DE L ARTICLE 88-4 DE LA CONSTITUTION ASSEMBLÉE NATIONALE SÉNAT PAR LE GOUVERNEMENT, E 4619 ASSEMBLÉE NATIONALE TREIZIÈME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2008-2009 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 22 juillet 2009 Enregistré à la Présidence du Sénat le 22 juillet

Plus en détail

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage

Plus en détail

Module Les animaux Animation Le monde de l étang

Module Les animaux Animation Le monde de l étang Module Les animaux Animation Le monde de l étang Animations nature à l école de Pinchat, Veyrier, février à juin 2014, classes de 8P AVANT L ANIMATION 1. Préparation des élèves avant l animation - Lire

Plus en détail

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte

Plus en détail

& Que choisir. favoriser le bien-être

& Que choisir. favoriser le bien-être Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider

Plus en détail

ÉVALUATION DU DORÉ JAUNE (Sander vitreus) DU LAC TATHLINA, DANS LES TERRITOIRES DU NORD-OUEST

ÉVALUATION DU DORÉ JAUNE (Sander vitreus) DU LAC TATHLINA, DANS LES TERRITOIRES DU NORD-OUEST Secrétariat canadien de consultation scientifique Avis scientifique 1/3 ÉVALUATION DU DORÉ JAUNE (Sander vitreus) DU LAC TATHLINA, DANS LES TERRITOIRES DU NORD-OUEST Photo prise par Mike Low Figure 1.

Plus en détail

particuliers professionnels ENTREPRISES Face à face argumenté de vente

particuliers professionnels ENTREPRISES Face à face argumenté de vente particuliers professionnels ENTREPRISES Face à face argumenté de vente La prévoyance en France La prévoyance sociale obligatoire Les couvertures complémentaires Les prestations de base, complétées par

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

4. Verdissement, une PAC plus verte

4. Verdissement, une PAC plus verte 4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.

Plus en détail

Cent quinzième session. Rome, 25-29 septembre 2006

Cent quinzième session. Rome, 25-29 septembre 2006 Août 2006 F COMITÉ FINANCIER Cent quinzième session Rome, 25-29 septembre 2006 Recommandations et décisions de la Commission de la fonction publique internationale et du Comité mixte de la Caisse commune

Plus en détail

REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP. DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes

REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP. DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes REG 4-21 Vous trouverez l'ensemble des textes et réglementation ici : http://www.sitesecurite.com/portail/

Plus en détail

DEMANDE DE PERMIS DE MISE EN EXPLOITATION D'UN NAVIRE DE PECHE PROFESSIONNELLE

DEMANDE DE PERMIS DE MISE EN EXPLOITATION D'UN NAVIRE DE PECHE PROFESSIONNELLE MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, ET DE L ÉNERGIE DEMANDE DE PERMIS DE MISE EN EXPLOITATION D'UN NAVIRE DE PECHE PROFESSIONNELLE Identité du demandeur : Nom, Prénom: N identification Marin

Plus en détail

Calopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur

Plus en détail

Punaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation

Punaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation Punaise des lits À quoi ressemblent-elles? Lorsqu elle est à jeun, la punaise des lits présente une coloration allant du brun au brun jaunâtre. Une fois gorgée de sang, elle devient brune rougeâtre et

Plus en détail

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés...

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... 2 Contenus... 3 niveaux, disciplines, compétences... 3 notions... 4 Vocabulaire... 4 découpage du film... 5 Suggestions

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014 BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

FORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1

FORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1 FORTUNA di GENERALI 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie dont le rendement est lié à des fonds d investissement (branche 23). Fortuna di Generali garantit des prestations en cas de vie ou en

Plus en détail

COMMISSION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DES THONIDES DE L ATLANTIQUE. GT sur les espèces. Sous-comité des statistiques

COMMISSION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DES THONIDES DE L ATLANTIQUE. GT sur les espèces. Sous-comité des statistiques CHAPITRE 1 : PERSPECTIVE GLOBALE 1. PERSPECTIVE GLOBALE 1.1 Qu est-ce que l ICCAT? Introduction AUTEUR : SECRÉTARIAT DERNIÈRE MISE À JOUR : 25 janv. 2006 Les thonidés et les autres grandes espèces de grands

Plus en détail

Végétaux Exemples d individus

Végétaux Exemples d individus Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»

Plus en détail

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE DURÉE DU JUR E FCTI DE LA DATE ET DE LA LATITUDE ous allons nous intéresser à la durée du jour, prise ici dans le sens de période d éclairement par le Soleil dans une journée de 4 h, en un lieu donné de

Plus en détail

LE BRUIT A BORD DES NAVIRES DE PECHE

LE BRUIT A BORD DES NAVIRES DE PECHE LE BRUIT A BORD DES NAVIRES DE PECHE SOMMAIRE ENJEUX EN MATIERE DE PREVENTION ETAT DES LIEUX : ENSEIGNEMENTS DE L ETUDE «ERGOSPACE» EVOLUTION REGLEMENTAIRE EXEMPLE DANOIS ACTIONS ENGAGEES ENJEUX - 1 Le

Plus en détail

Réserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC

Réserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC Réserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC Les petits tortillons éparpillés sur la plage signalent la présence d'un ver : l'arénicole (Arenicola marina). Bien connu des pêcheurs comme très bon appât, des biochimistes

Plus en détail

BILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS

BILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS ZAC du quartier de l école Polytechnique BILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS ZAC DU QUARTIER DE L ECOLE POLYTECHNIQUE Commune de Palaiseau Juillet 2014 7C785 Table des matières Table des matières... 2 Liste

Plus en détail

Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle

Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Par Jean-Paul Soucy, agr. Les acariens nuisibles en serre Tétranyque à deux points Tétranyque de Lewis Acariens des bulbes Mite du cyclamen/tarsonème du

Plus en détail

enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.

enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. 4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

Sarcelle d été. Anas querquedula

Sarcelle d été. Anas querquedula Sarcelle d été Anas querquedula Neil Fifer Sarcelles d été Hong Kong. R.P de Chine Principaux caractères spécifiques La sarcelle d été est un canard de petite taille, un peu plus massif que la sarcelle

Plus en détail

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

MATHEMATIQUES GRANDEURS ET MESURES

MATHEMATIQUES GRANDEURS ET MESURES FICHE GM.01 Objectif : Choisir la bonne unité de mesure Pour chaque objet, choisis entre les trois propositions celle qui te paraît la plus juste : ta règle ton cahier une coccinelle ta trousse la Tour

Plus en détail

Biologie du psylle Inventaire des auxiliaires spontanés Evaluation de leur impact réel sur la saison

Biologie du psylle Inventaire des auxiliaires spontanés Evaluation de leur impact réel sur la saison ELEMENTS DE BIOLOGIE DU PSYLLE DE L ELAEAGNUS, CACOPSYLLA FULGURALIS (KUWAYAMA, 1908) [HEMIPTERA : PSYLLIDAE] ET RELATIONS AVEC SES AUXILIAIRES SPONTANÉS A. FERRE ET M. BEAUJEAN LIFE HISTORY TRAITS OF

Plus en détail

IMPORTANT: LIRE ENTIEREMENT CETTE NOTICE ET BIEN LA COMPRENDRE. GARDER CETTE NOTICE EN LIEU SUR ET ACCESSIBLE. POOL SCOUT. Conformité à la norme ASTM

IMPORTANT: LIRE ENTIEREMENT CETTE NOTICE ET BIEN LA COMPRENDRE. GARDER CETTE NOTICE EN LIEU SUR ET ACCESSIBLE. POOL SCOUT. Conformité à la norme ASTM IMPORTANT: LIRE ENTIEREMENT CETTE NOTICE ET BIEN LA COMPRENDRE. GARDER CETTE NOTICE EN LIEU SUR ET ACCESSIBLE. POOL SCOUT Conformité à la norme ASTM MANUEL D INSTALLATION ET D UTILISATION POOL SCOUT a

Plus en détail

La reconnaissez- vous?

La reconnaissez- vous? La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès

Plus en détail

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau

Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau SURFRIDER FOUNDATION EUROPE Mettre en place des actions d'information pour la reconquête des milieux utilisés pour des activités nautiques Remerciements

Plus en détail

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Première tournée / premier spectacle Nouvelle tournée / nouveau spectacle Entrée en Suisse de l étranger

Plus en détail

Panneau solaire ALDEN

Panneau solaire ALDEN SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition

Plus en détail

PREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015

PREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015 PREVENTION ASV Partie réalisée par Le 09/05/2015 Atelier n 2 : Parasites et intoxication Principaux parasites de l été: - Les puces : c est quoi? - Les tiques : c est quoi? - Les aoutats : c est quoi?

Plus en détail

Règlement du concours Rocketry Challenge 2016

Règlement du concours Rocketry Challenge 2016 Règlement du concours Rocketry Challenge 2016 Traduction : BESSON Sylvain. Traduction basée sur la version américaine «TARC 2016 Event Rules» Adaptation : SERIN Pierre, FRANCILLETTE Elodie. Diffusion :

Plus en détail

Du bon usage de la téléphonie mobile

Du bon usage de la téléphonie mobile Du bon usage de la téléphonie mobile Sommaire 1. Introduction 3 2. Le téléphone mobile a-t-il un impact sur la santé? 4 3. Antenne et terminaux : le Maroc veille à respecter les normes internationales

Plus en détail

Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis

Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Asian longhorned beetle (ALB) Longicorne asiatique Photo LNPV DRAAF - SRAL ALSACE Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora

Plus en détail

Statistique : Résumé de cours et méthodes

Statistique : Résumé de cours et méthodes Statistique : Résumé de cours et méthodes 1 Vocabulaire : Population : c est l ensemble étudié. Individu : c est un élément de la population. Effectif total : c est le nombre total d individus. Caractère

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

SOMMAIRE DOMAINE SCIENCES TECHNOLOGIES SANTE

SOMMAIRE DOMAINE SCIENCES TECHNOLOGIES SANTE SOMMAIRE DOMAINE SCIENCES TECHNOLOGIES SANTE Mention SCIENCES ET TECHNOLOGIES DES TELECOMMUNICATIONS Spécialité «Electronique des systèmes communicants» (ESCO)... 01 Spécialité «Télécom et réseaux»...

Plus en détail

CENTRE DE DOCUMENTATION OUTIL DE RECHERCHE MER/LITTORAL/ENVIRONNEMENT

CENTRE DE DOCUMENTATION OUTIL DE RECHERCHE MER/LITTORAL/ENVIRONNEMENT CENTRE DE DOCUMENTATION OUTIL DE RECHERCHE MER/LITTORAL/ENVIRONNEMENT ORGANISMES PUBLIQUES ET PRIVES SITES INTERNET (consultation informations/documentations et catalogues des ouvrages) ACCES MINITEL (catalogues

Plus en détail

45. CONTRIBUTION MUTUALISEE DES CLUBS AU DEVELOPPEMENT REGIONAL (C.M.C.D.)

45. CONTRIBUTION MUTUALISEE DES CLUBS AU DEVELOPPEMENT REGIONAL (C.M.C.D.) 44. LES INSTANCES DIRIGEANTES 44. LES CLUBS 45. CONTRIBUTION MUTUALISEE DES CLUBS AU DEVELOPPEMENT REGIONAL (C.M.C.D.) 44 Principes généraux 45 Présentation du dispositif 50 Contrôle du dispositif régional

Plus en détail

I. BILAN 2013 ET PROSPECTIVE 2014

I. BILAN 2013 ET PROSPECTIVE 2014 OBSERVATOIRE DYNAMIQUE DES METIERS DE LA BRANCHE I. BILAN 2013 ET PROSPECTIVE 2014 TENDANCES D EVOLUTION ET COMPETENCES EMERGENTES I.3. SECTEUR ETUDES & CONSEIL OPIIEC 25 Quai Panhard et Levassor 75013

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

> ÉDITION mars 2015 DONNÉES 2014. Achats de fruits et légumes frais par les ménages français

> ÉDITION mars 2015 DONNÉES 2014. Achats de fruits et légumes frais par les ménages français > ÉDITION mars 2015 DONNÉES Achats de fruits et légumes frais par les ménages français Rappel Méthodologique Le panel Kantar Worldpanel mesure les achats de 12 000 ménages représentatifs de la population

Plus en détail

Règlement du concours dans le cadre de l édition 2012 du «mois de l origine et de la qualité»

Règlement du concours dans le cadre de l édition 2012 du «mois de l origine et de la qualité» Règlement du concours dans le cadre de l édition 2012 du «mois de l origine et de la qualité» I. Le concours dans les enseignes de la distribution 1- Objectif global du concours L objectif du concours

Plus en détail

Exposition photographique de l Ifremer

Exposition photographique de l Ifremer Exposition photographique de l Ifremer SCIENCES BLEUES, COULEURS OUTRE-MER Composition de l exposition 1. Liste des photographies 34 photographies : 24 photos de dimension 5 photos de dimensions 30x40

Plus en détail

e tic o N t u in g o L

e tic o N t u in g o L LogiNut Notice Notice Loginut v2 sept 2013 INTRODUCTION LogiNut est un logiciel de recommandation et de suivi nutritionnel pour la gamme d aliments Virbac VetComplex. Il fonctionne via internet, est accessible

Plus en détail

CHALLENGE NATIONAL ÉQUIP ATHLÉ

CHALLENGE NATIONAL ÉQUIP ATHLÉ CHALLENGE NATIONAL ÉQUIP ATHLÉ PRÉAMBULE L objectif du Challenge National Équip Athlé est de : 1. Proposer aux benjamins, minimes et cadets une compétition par équipes se déroulant sur l ensemble de l

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs

Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Lesauxiliaires auxiliaires Les enarboriculture arboriculture en Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Insectes pollinisateurs : respecter les

Plus en détail

OFFRE DE FORMATION DANS LE SYSTÈME LMD

OFFRE DE FORMATION DANS LE SYSTÈME LMD OFFRE DE FORMATION DANS LE SYSTÈME LMD Par le Pr YAYA MAHMOUT, Recteur/UDM Plan 1. Rappel du concept LMD 2. Présentation d une offre de formation selon la réforme LMD 3. Conclusion 2 1. Qu est-ce que le

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient

Plus en détail

CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS

CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence

BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence Premiers essais 2009 Observateurs : Fabien Berhault Arnaud Le Houédec Chloé Thomas Rédacteur : Arnaud Le Houédec Présentation du matériel Le matériel

Plus en détail

A l heure de Pâques Equipe rouge : Les «monsieur et madame» branchés

A l heure de Pâques Equipe rouge : Les «monsieur et madame» branchés A l heure de Pâques Equipe rouge : Les «monsieur et madame» branchés Temps de Préparation : 2 h environ RECAPITULATIF Monsieur moustache : Œuf noir pulvérisé au flocage noir, moustache pâte amande orange

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES TRANSPORTS ROUTIERS ET DES ACTIVITES AUXILIAIRES DU TRANSPORT

CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES TRANSPORTS ROUTIERS ET DES ACTIVITES AUXILIAIRES DU TRANSPORT CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES TRANSPORTS ROUTIERS ET DES ACTIVITES AUXILIAIRES DU TRANSPORT Accord du 7 août 2015 relatif à la durée et à l organisation du travail dans les activités du transport

Plus en détail

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions CYCLE 1 SOMMAIRE Des jeux tout prêts Colorie les animaux Le pelage des animaux Mères et petits Les modes de locomotion Animaux mélangés Plumes, poils et écailles Ranger les familles par ordre de taille

Plus en détail

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent

Plus en détail

09-10 GEN LA COMMISSION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DES THONIDES DE L'ATLANTIQUE (ICCAT) RECOMMANDE:

09-10 GEN LA COMMISSION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DES THONIDES DE L'ATLANTIQUE (ICCAT) RECOMMANDE: 09-10 GEN RECOMMANDATION DE L ICCAT AMENDANT DE NOUVEAU LA RECOMMANDATION DE L ICCAT VISANT L ETABLISSEMENT D UNE LISTE DE NAVIRES PRESUMES AVOIR EXERCE DES ACTIVITES DE PECHE ILLICITES, NON DECLAREES

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure : OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques

Plus en détail

Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire

Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Contexte Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Fédération des spécialités de Master des 5 pôles universitaires partenaires de la région Nord-Pas-de-Calais

Plus en détail

Réunion publique/téléconférence

Réunion publique/téléconférence Réunion publique/téléconférence Dorval Cornwall Kingston Watertown Oswego Burlington Rochester Kingston/Oswego Téléconférence: 1-877-413-4814 486 9841 (français) 447 9980 (anglais) Appeler entre 18h45-18h55

Plus en détail

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. 1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin

Plus en détail

Règlement du concours dans le cadre de l opération «Fête-moi Signes» de 2014

Règlement du concours dans le cadre de l opération «Fête-moi Signes» de 2014 Règlement du concours dans le cadre de l opération «Fête-moi Signes» de 2014 I. Le concours dans les enseignes de la distribution 1- Objectif global du concours L objectif du concours est de mettre en

Plus en détail

Site d étude. Résultats

Site d étude. Résultats Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude

Plus en détail

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également

Plus en détail

MOHAMAD Rihab 4 rue de la Bergeonnerie 37300 Joué-Lès-Tours, FRANCE 33 (0)6 20 85 90 65 dib305@hotmail.com

MOHAMAD Rihab 4 rue de la Bergeonnerie 37300 Joué-Lès-Tours, FRANCE 33 (0)6 20 85 90 65 dib305@hotmail.com MOHAMAD Rihab 4 rue de la Bergeonnerie 37300 Joué-Lès-Tours, FRANCE 33 (0)6 20 85 90 65 dib305@hotmail.com (31 ans) Statut civil : mariée avec 2 enfants SITUATION ACTUELLE 2008-2012 Doctorat : Etude de

Plus en détail

SEMAINE DES MATHEMATIQUES

SEMAINE DES MATHEMATIQUES SEMAINE DES MATHEMATIQUES Titre de l'activité Découverte de la suite de Fibonacci ou cinq activités à traiter simultanément : les billes, les escaliers, les étages peints, les fauxbourdons, les lapins

Plus en détail

POLYNESIE FRANÇAISE - AGENCES DE VOYAGES - REGLEMENTATION DE LA LICENCE

POLYNESIE FRANÇAISE - AGENCES DE VOYAGES - REGLEMENTATION DE LA LICENCE POLYNESIE FRANÇAISE - AGENCES DE VOYAGES - REGLEMENTATION DE LA LICENCE Polynésie française : la chronique juridique des notaires TEXTES Délibération n 87-138 AT du 23 décembre 1987 (JOPF du 7 janvier

Plus en détail

AUTOPORTE III Notice de pose

AUTOPORTE III Notice de pose AUTOPORTE III Notice de pose Vous avez acquis le système AUTOPORTE, nous vous en remercions. Veuillez lire attentivement cette notice, vous serez à même de faire fonctionner correctement ce système. FONCTIONNEMENT

Plus en détail