Conduite à tenir devant une tache café au lait du nourrisson
|
|
- Edith Labonté
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dossier Conduite à tenir devant une tache café au lait du nourrisson Sébastien Barbarot, Jean-François Stalder Clinique dermatologique, Centre nantais neurofibromatoses, CHU Hôtel-Dieu, 1 place Alexis Ricordeau, Nantes cedex doi: /mtp mtp Tirés à part : S. Barbarot Les taches café au lait (TCL) sont des macules brun clair fréquentes chez les enfants. Leur taille est variable, de 0,5 à 50 cm de diamètre. Après avoir éliminé cliniquement un certain nombre de diagnostics différentiels (nævus, pigmentation postinflammatoire, mastocytose cutanée...) la conduite à tenir dépend essentiellement du nombre de TCL. La présence de moins de 3 TCL chez un enfant est normale. La présence de plus de 6 TCL doit faire fortement suspecter une neurofibromatose de type 1. En effet, les TCL sont les signes les plus précoces et les plus fréquents de cette maladie. Le diagnostic de la maladie repose sur des critères cliniques validés. Le diagnostic moléculaire n est pas systématique. En cas de TCL multiples, il convient de rechercher d autres signes de la maladie (petites taches café au lait ou «éphélides» des plis axillaires et inguinaux et du cou, neurofibromes rares chez l enfant, nodules iriens de Lisch à l examen ophtalmologique après 6 ans). Entre 3 et 6 TCL, une surveillance clinique régulière est conseillée car le nombre des TCL augmente rapidement en cas de neurofibromatose de type 1 au cours des premières années de vie. Enfin, il existe d exceptionnels syndromes avec TCL multiples en dehors de la neurofibromatose de type 1. Mots clés : tache café au lait, nourrisson, diagnostic Définition Les taches café au lait (TCL) sont des macules pigmentées ovalaires, de coloration brun clair, à contour régulier, d un diamètre de 0,5 à 50 cm et de localisation ubiquitaire (figures 1 et 2). L examen histologique de ces lésions met en évidence une augmentation du contenu épidermique en mélanine sans modification du nombre des mélanocytes ce qui les distingue des nævus. Conduite à tenir La conduite à tenir devant une ou plusieurs TCL chez un nourrisson suit plusieurs étapes (figure 3). Première étape : est-ce bien une TCL? Cette première étape consiste à s assurer du diagnostic de TCL et d éliminer les diagnostics différentiels. En effet, si dans la majorité des cas le diagnostic clinique est facile, certaines lésions pigmentées peuvent prêter à confusion. Les diagnostics à évoquer sont les suivants. Un nævus congénital Les nævus ont parfois une coloration brun clair à la naissance. Il peut être utile de pratiquer une biopsie car la prise en charge thérapeutique est différente. L exérèse chirurgicale est en effet indiquée avant 2 ans pour certains nævus congénitaux de grande taille. 289
2 Conduite à tenir devant une tache café au lait du nourrisson Figure 1. Tache café au lait et éphélides. TCL < 3 Pas d ATCD 2 1 Tache pigmentée Est-ce une TCL? Oui Est-ce une NF-1? 3 < TCL < 6 sans autre critère diagnostique Figure 2. Tache café au lait sur peau noire. Non Nævus congénital Tache mongoloïde Mastocytose Mélanose pustuleuse Mosaïcisme pigmentaire Au moins 2 critères diagnostiques (tableau 1) Non Peut-être Oui Diagnostics différentiels (tableau 2) Suivi clinique ± IRM cérébrale ± Diagnostic moléculaire Suivi NF-1 Figure 3. Conduite à tenir devant une ou des TCL du nourrisson. 290
3 Une tache mongoloïde Il s agit de macules de grande taille de coloration bleutée situées dans la région sacrée. Histologiquement, on retrouve une augmentation du nombre de mélanocytes dans le derme profond. L évolution est favorable avant 4 ans. La fréquence des taches mongoloïdes varie beaucoup en fonction de l origine ethnique : 75 à 95 % chez les sujets noirs, 3 % chez les Finlandais [1]. On observe parfois des taches mongoloïdes de localisation atypique sur les membres inférieurs ou le tronc. Une mastocytose Des macules pigmentées multiples révèlent parfois une mastocytose cutanée de type «urticaire pigmentaire». Les lésions ont une coloration brun-rouge et il existe souvent un signe de Darier (œdème et érythème après frottement d une lésion). Un mosaïcisme pigmentaire Dans les cas de mosaïcisme pigmentaire (hyperpigmentation nævoïde), les lésions sont disposées de façon linéaire selon les lignes de Blashko. Ces lésions sont le plus souvent isolées mais peuvent parfois s intégrer dans des génodermatoses complexes. Dans les formes étendues, il peut être difficile de différencier hyperpigmentation nævoïde et hypopigmentation (syndrome de Ito). Hyperpigmentation postinflammatoire : pustulose mélanique transitoire La pustulose mélanique est considérée comme une forme clinique d érythème toxique, plus fréquente chez les nouveau-nés à peau noire. Cliniquement, il s agit d une éruption pustuleuse localisée surtout au tronc et aux fesses évoluant en quelques jours vers une pigmentation maculeuse persistant quelques semaines. Le début est très précoce, souvent dès la naissance. Deuxième étape : s agit-il d une neurofibromatose de type 1? À ce stade, il faut d emblée évoquer le diagnostic de NF-1 (encadré 1). Trois cas de figures sont possibles qui dépendent essentiellement du nombre des TCL. Non, il ne s agit pas d une NF-1 C est la situation la plus fréquente. Il n y a pas d antécédents familiaux, les TCL sont au nombre de deux ou trois : 10 à 25 % des enfants sont porteurs d une à trois taches café au lait dans la population générale [2]. On peut rassurer les parents et proposer une simple surveillance. Encadré 1. La NF-1 segmentaire (ancienne NF de type 5) [5] Les signes cliniques de la NF-1 peuvent être strictement localisés à une partie du corps (hémicorps, segment de membre). Ces formes segmentaires semblent exceptionnelles (prévalence inférieure à 0,001 %) mais probablement sous-estimées. Elles se manifestent par des neurofibromes dermiques ou viscéraux, des lentigines, des taches café au lait localisées sur un segment corporel. Il est parfois difficile de les différencier de formes généralisées paucisymptomatiques. Ces formes résultent probablement d un phénomène de mosaïque somatique pour la mutation du gène de la NF-1 (seules certaines cellules sont porteuses de l anomalie génétique). Ce phénomène de mosaïque somatique a été mis en évidence chez des patients atteints d une forme segmentaire de NF-1. Le conseil génétique est difficile dans ces formes car un phénomène de mosaïque germinale est parfois associé et la transmission de la forme complète de la maladie est donc possible chez ces patients. Le suivi des patients atteints de NF-1 segmentaire est semblable à celui des autres patients NF-1. Il s agit peut-être d une NF-1 Il existe moins de deux critères diagnostiques de NF-1 (tableau 1) mais le nombre de TCL est supérieur à 3. Le diagnostic de NF-1 doit être évoqué. On peut en fonction du contexte proposer un suivi clinique et/ou une IRM cérébrale (recherche d hypersignaux de la substance blanche) et/ou un diagnostic moléculaire. L examen ophtalmologique à la recherche de nodule de Lisch a peu d intérêt avant 5 ans (cf. infra). Il faut également évoquer un certain nombre de diagnostics différentiels très rares dont le plus fréquent est le syndrome de Mc Cune Albright (tableau 2) : dans ce cas les TCL sont de grande taille et ont un contour irrégulier. Cette affection est due à un mosaïcisme pour des mutations du gène de la sous-unité alpha de la protéine Gs. Il faut évoquer ce diagnostic chez un jeune enfant présentant des taches café au lait de grande taille, des anomalies pubertaires et une dysplasie fibreuse des os. Il s agit d une NF-1 Les critères diagnostiques sont remplis. La conduite à tenir est celle recommandée par le réseau NF France [3]. Tableau 1. Critères diagnostiques de la NF-1 1. Avant 12 ans : au moins 6 taches café au lait d un diamètre supérieur à 5 mm. 2. Après 12 ans : au moins 6 taches café au lait d un diamètre supérieur à 15 mm. 3. Au moins 2 neurofibromes ou 1 neurofibrome plexiforme 4. Pseudo-éphélides axillaires ou inguinales 5. Gliome des voies optiques 6. Au moins 2 hamartomes iriens (nodules de Lisch) 7. 1 lésion osseuse spécifique (dysplasie sphénoïdale, amincissement de la corticale d un os long avec ou sans pseudarthrose) 8. Antécédents familiaux directs de NF-1 291
4 Conduite à tenir devant une tache café au lait du nourrisson TCL et NF-1 Tableau 2. Syndromes associés aux TCL (en dehors de la NF-1)[4] Sd de Mc Cune Albright NF segmentaire (cf. encadré) NF-2 Chromosome en anneau Sd de Cowden Nævomatose basocellulaire Sd de Bloom Ataxie télangiectasie Sclérose tubéreuse de Bourneville Sd de Jaffe-Campanacci Les TCL sont les plus fréquentes et les plus précoces des manifestations cliniques de la NF-1. Elles sont présentes dès la naissance ou apparaissent dans la première année de vie, et augmentent en taille et en nombre pendant l enfance. Un enfant porteur de plus de 6 taches café au lait doit être suivi comme un patient atteint d une NF-1 jusqu à preuve du contraire [3]. À l âge de 10 ans, les critères supplémentaires permettant le diagnostic de NF-1 sont toujours présents. Les éphélides axillaires et inguinales. Leur prévalence est d environ 80 % à l âge de 6 ans. Il s agit en fait de TCL de petite taille (figure 2). Les éphélides des plis apparaissent donc précocement dans la NF-1, après les taches café au lait, et constituent un signe capital dans l enfance permettant souvent de poser le diagnostic de la maladie chez un jeune enfant porteur de nombreuses taches café au lait. Le diagnostic de la NF-1 [3, 6-9] Pourquoi faire le diagnostic de NF-1? La NF-1 est souvent considérée comme une affection bénigne. Toutefois, seuls 30 % des enfants atteints ont un retentissement mineur de la maladie et 10 à 15 % des patients présentent des complications potentiellement sévères (tumeurs intracrâniennes, neurofibromes plexiformes, anomalies orthopédiques, anomalies endocrinologiques, troubles de l apprentissage graves). La survenue de ces complications est souvent précoce et totalement imprévisible. Le diagnostic de la NF-1 doit donc être porté le plus tôt possible, dès l enfance, pour permettre d instaurer un suivi clinique adapté. La reconnaissance précoce des complications permet d améliorer la qualité de la prise en charge (ceci est évident en ce qui concerne les troubles de l apprentissage). De même, l éducation et l information des familles (qui ne doit en aucun cas être un inventaire systématique des complications possibles) permettent d améliorer le vécu de la maladie. Enfin, le conseil génétique est rendu possible par le diagnostic précoce de l affection. Comment faire le diagnostic de la NF-1 chez l enfant? Les critères reconnus depuis 1988 pour porter le diagnostic de la NF-1 sont rappelés dans le tableau 1. Le diagnostic de la NF-1 est établi chez un individu si deux ou plus des critères suivants sont trouvés. La NF-1 s exprime essentiellement dans l enfance par des signes dermatologiques (taches café au lait, éphélides axillaires et inguinales et plus rarement neurofibromes cutanés) qui sont les marqueurs les plus précoces de l affection. Dans 50 % des cas, on ne retrouve pas d histoire familiale susceptible d orienter le diagnostic et les techniques de biologie moléculaire ne permettent pas en routine d identifier les mutations du gène de la NF-1. Les critères cliniques sont donc indispensables à la mise en évidence de la maladie. 70 % des enfants NF-1 peuvent être diagnostiqués avant l âge d un an grâce aux critères habituels. Cette proportion n est que de 55 % pour les enfants NF-1 sans antécédent familial pour la même tranche d âge. Le diagnostic peut être difficile et rester en suspens au cours des premières années de vie car les signes cliniques apparaissent progressivement (figure 4). À l âge de 8 ans, seuls 5 % des enfants NF-1 n ont pas les critères habituels pour le diagnostic. En pratique, la situation la plus fréquente est celle des enfants prépubères porteurs de plus de 6 taches café au lait, sans antécédents familiaux de NF-1. Dans ces cas, l examen ophtalmologique (recherche de nodules de Lisch), la recherche de signes mineurs comme une macrocéphalie et la réalisation d une IRM cérébrale (dépistage d un gliome des voies optiques, recherche d hyperintensités de la substance blanche en mode T2) sont % TCL Éphélides des plis 20 > 2 Neurofibromes > 2 Nodules de Lisch Âge (ans) Figure 4. Chronologie d apparition des principaux signes cutanés et ophtalmologiques de NF
5 particulièrement utiles. Un jeune enfant présentant des taches café au lait multiples doit être considéré et suivi comme un patient porteur d une NF-1 jusqu à preuve du contraire (tableau 2). Manifestations cliniques de la NF-1 On peut classer les manifestations cliniques survenant au cours de la NF-1 en trois groupes : Les signes cliniques majeurs : taches café au lait, éphélides axillaires et inguinales, nodules de Lisch, neurofibromes. Ces signes, très fréquents, sont nécessaires au diagnostic de la maladie (tableau 1) mais n entraînent aucun retentissement fonctionnel, à l exception des neurofibromes cutanés. Les signes cliniques mineurs sont associés de manière significative à la NF-1 mais n appartiennent pas aux critères diagnostiques. Il s agit de la macrocéphalie, de la petite taille et de certaines anomalies morphologiques thoraciques (pectus excavatum). Les complications qui grèvent le pronostic de la maladie : certaines sont assez fréquentes (troubles de l apprentissage, scolioses, neurofibromes plexiformes), d autres rares (pseudo-arthroses des os longs, gliome des voies optiques, anomalies endocrinologiques, épilepsie, tumeurs malignes des gaines des nerfs périphériques, hémopathie myéloïdes, phéochromocytomes). Conclusion Les TCL sont fréquentes chez le nourrisson et le plus souvent isolées, sans signification pathologique. Il faut cependant suspecter une NF-1 si les TCL sont nombreuses, même si les critères sont souvent en nombre insuffisant à cet âge pour affirmer le diagnostic chez un nourrisson. Références 1. Barbarot S, Stalder JF. Dermatologie néonatale. In : Encycl Méd Chir Paris, Dermatologie A-10, 2003, 18 p. 2. Burwell RG, James NJ, Johnston DI. Cafe-au-lait spots in schoolchildren. Arch Dis Child 1982 ; 57 : Pinson S, Creange A, Barbarot S, et al. Neurofibromatose de type 1 : recommandations pour la prise en charge. Ann Dermatol Venereol 2001 ; 128(4) : Eichenfield L, Larralde M. Neonatal skin and skin disoders in Pediatric Dermatology 3 rd ed. Mosby, Barbarot S, Mansat E, Stalder JF. Faire le diagnostic de la neurofibromatose de type 1. In : Wolkenstein P, et al., eds. Neurofibromatoses. Paris : Doin, Landau M, Krafchik BR. The diagnostic value of cafe-au-lait macules. J Am Acad Dermatol 1999 ; 40 : Korf BR. Diagnostic outcome in children with multiple cafe-au-lait spots. Pediatrics 1992 ; 90 : Obringer AC, Meadows AT, Zackai EH. The diagnosis of neurofibromatosis 1 in the child under the age of 6 years. Am J Dis Child 1989 ; 143 : DeBella K, Szudek J, Friedman JM. Use of the national institutes of health criteria for diagnosis of neurofibromatosis 1 in children. Pediatrics 2000 ; 105 :
Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen
Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLES LASERS EN DERMATOLOGIE
1 LES LASERS EN DERMATOLOGIE Dr Hervé VAN LANDUYT Dermatologue - Attaché au CHU St Jacques Adresse personnelle : 36 grande rue - 25000 Besançon Si la conception physique du laser est ancienne (Einstein),
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailLaserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS)
Laserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS) Programme de certificat d'aptitude technique du 1 er janvier 2001 2 Texte d'accompagnement concernant le programme de formation pour le certificat
Plus en détailLe vitiligo touche 1 personne sur 50 à 100 de la population mondiale avec 10 à 30 % de formes familiales. Ce n est donc pas une maladie rare.
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le vitiligo. Elle
Plus en détailComprendre. son Psoriasis du Cuir Chevelu
Comprendre son Psoriasis du Cuir Chevelu Vous avez un psoriasis du cuir chevelu ou une personne de votre entourage en est atteinte. Cette brochure vous est destinée. Grâce aux informations transmises,
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailSont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :
Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailLe mélanome. Ce que vous devez savoir
Le mélanome Ce que vous devez savoir Table des matières À propos de ce livret... 2 La peau... 3 Importance de la peau...3 Couches de la peau...3 La croissance des cellules : les cellules normales et les
Plus en détailPsoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?
Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLe syndrome de Noonan
Le syndrome Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailTumeurs cutanées bénignes
Chapitre 13: Tumeurs cutanées bénignes page: 368 Tumeurs cutanées bénignes Tumeurs épidermiques page: 369 13.1 Tumeurs épidermiques Verrucosités; Kératoses Verrues séborrhéiques (kératoses séborrhéiques)
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLES DERMATOSES LINÉAIRES
L. THIRION (1), A. F. NIKKELS (2, 3), G.E. PIÉRARD (4) RÉSUMÉ : En sémiologie dermatologique, le type de groupement des lésions élémentaires cutanées peut fournir une aide précieuse à l établissement du
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailPROFITER DU SOLEIL EN TOUTE SÉRÉNITÉ. Les bons réflexes de prévention solaire
PROFITER DU SOLEIL EN TOUTE SÉRÉNITÉ Les bons réflexes de prévention solaire LE SOLEIL et notre vitalité Rien ne vaut un rayon de soleil pour retrouver le sourire. C est un fait établi, le soleil joue
Plus en détailLa Nouvelle Solution. Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages. Science. Results. Trust.
La Nouvelle Solution Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages Science. Results. Trust. La technologie de PicoWay TM aux pulses ultra-courts nécessite des énergies plus faibles et génère des résultats
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailLes carcinomes cutanés, basocellulaires et épidermoïdes,
Mesure 17 DÉPISTAGE Détection précoce des cancers de la peau C O L L E C T I O N Fiches repère ÉTAT DES CONNAISSANCES EN DATE DU 07 NOVEMBRE 2011 Les carcinomes cutanés, basocellulaires et épidermoïdes,
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailENDERMOTHÉRAPIE THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE
ENDERMOTHÉRAPIE THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE 1 Endermothérapie THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE DEPUIS PLUS DE 25 ANS, LPG SYSTEMS ACCOMPAGNE LES KINÉSITHÉRAPEUTES DANS
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailMéthode de construction du e-learning
SE FORMER MISE AU POINT Création d un site de e-learning sur le mélanome à l intention des médecins généralistes et des dermatologues Hélène AUBERT-WASTIAUX 1, Gaëlle QUEREUX 1, Jean-Pierre BLANCHERE 2,
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailDermatologie buccale
Dermatologie buccale Sophie-Myriam DRIDI - Anne-Laure EJEIL Sophie KOSINSKI, Attachée, hôpital Albert Chenevier/Créteil, Paris. Anne-Laure EJEIL, MCU/PH, hôpital Bretonneau, Paris. François LEPELLETIER,
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailDÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :
Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique
Plus en détailCommuniqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008
Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailLe cavernome cérébral
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le cavernome cérébral.
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLa sclérose tubéreuse de Bourneville
La sclérose tubéreuse de Bourneville La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec : les situations de handicap au quotidien En savoir plus
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailSoins palliatifs en salle de naissance. Pierre Bétrémieux CHU de Rennes 9 octobre 2009 Chantilly
Soins palliatifs en salle de naissance Pierre Bétrémieux CHU de Rennes 9 octobre 2009 Chantilly La loi du 22 avril 2005 S applique au nouveau-né Rappelle l interdit de l obstination déraisonnable Et l
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailDémarche de prévention des TMS et outils pour l action
Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailLa plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation
La plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation Découvrez la plate-forme Xlase Plus La technologie laser est aujourd hui de plus en plus utilisée dans les traitements
Plus en détail