TABLEAU DE BORD SYstème de COllecte des DÉSordres Sycodés régional BASSE-NORMANDIE

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1 LSE UITINE UVERGNE BOURGOGNE BRETGNE ENTRE HMPGNE-RDENNE FRNHE-OMTÉ ILE-DE-FRNE LNGUEDO-ROUSSILLON LIMOUSIN LORRINE MIDI-PYRÉNÉES NORD-PS-DE-LIS BSSE-NORMNDIE HUTE-NORMNDIE PYS DE L LOIRE PIRDIE POITOU-HRENTES PROVENE-LPES-ÔTE-D ZUR RHÔNE-LPES NTILLES ILE DE L RÉUNION TBLEU DE BORD SYstème de Ollecte des DÉSordres Sycodés régional BSSE-NORMNDIE alvados Manche Orne OBSERVTOIRE DE L ULITÉ DE L ONSTRUTION vec la participation du MEDDE

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3 Résultat régional BSSE-NORMNDIE LES 2 VITESSES DE SYODÉS Mesurer les améliorations & analyser la pathologie Tous les ans, dans le cadre des travaux de l Observatoire de la qualité de la construction, l gence qualité construction () présente les indicateurs d évaluation de la sinistralité dans le Tableau de bord Sycodés. es indicateurs ont pour rôle de mesurer l impact des efforts des professions du bâtiment pour maîtriser les désordres dans la construction en France. L enjeu est de taille : les non-qualités représentent un coût annuel de l ordre de 10 % du chiffre d affaires du secteur, qu elles soient ou non prises en charge par l assurance construction sans compter les nuisances de tous ordres qu elles occasionnent. Parallèlement, avec le soutien de la Direction de l habitat, de l urbanisme et des paysages (DHUP), l propose dans chaque région un travail complémentaire. Il s agit de l étude de la répartition des désordres et de l analyse des situations sinistrantes, à partir de Sycodés. ette déclinaison régionale de l Observatoire est préalable à la mise en œuvre d une politique de prévention de la sinistralité, conduite par les Directions régionales de l environnement, de l aménagement et du logement (DREL), intéressées par le sujet. vec le temps, les indicateurs de la sinistralité des Tableaux de bord Sycodés devront refléter le fruit des actions d amélioration et de prévention, soutenues dans le pays et dans notre région. Il permettra aussi de voir l effort qui reste à accomplir pour atteindre l engagement pris par toutes les professions du bâtiment réunies au sein de l : réduire le coût de la sinistralité. M e s u r e r l e s a m é l i o r a t i o n s U TBLEU DE BORD SYODÉS LeTableau de bord Sycodés propose des statistiques uniques sur la sinistralité en regard du marché de la construction, par référence aux coûts de construction (oût relatif des désordres), corrigés par les effectifs annuels des mises en chantier (Sit@del2). En outre, il offre une vision des évolutions par année de construction, qui révèle les impacts des améliorations du secteur, qu elles soient issues de progrès techniques, de modifications réglementaires ou de toute autre variation. u-delà des indicateurs eux-mêmes, ce sont les progressions qu ils dessinent qui vont être suivies avec intérêt. ar le but est de livrer des évolutions, incitant chacun à améliorer ses pratiques et orientant l action préventive de tous. n a l y s e r l a p a t h o l o g i e U RÉSULTT RÉGIONL Sycodés régional exploite l échantillon de désordres qui le concerne dans Sycodés, par référence à l échantillon national total. insi, les chiffres dessinent un profil régional de la pathologie de la construction. Ici, les désordres sont présentés par année d apparition des désordres (et non plus par année de construction des bâtiments sinistrés). La pathologie est caractérisée globalement, puis est précisée pour les trois principales destinations de construction : la maison individuelle, le logement collectif et les locaux d activité. Elle est décrite et analysée à dire d expert. Reste à poursuivre les actions d amélioration conçues depuis les premiers résultats régionaux de 2007, avec le concours de tous les professionnels engagés. 3 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

4 Résultat régional REMERIEMENTS et Observatoire existe grâce aux données signalées à l par les experts construction, et avec le soutien de la FE, de la FFS, du GEM et du SNEI. Remerciements particuliers à Pascal LEBOURDIS et Yves PEREZ. La conception et le développement des indicateurs Sycodés ont été effectués par Michel MOUILLRT, professeur d économie à l université de Paris X Nanterre et Michel FNTON, enseignant chercheur en informatique contributeur aux exploitations statistiques régionales de Sycodés. alvados M 4 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

5 BSSE-NORMNDIE SOMMIRE SYODÉS BSSE-NORMNDIE DÉSORDRES PR GÉNÉRTION DE ONSTRUTION DÉSORDRES PR NNÉE D PPRITION DÉSORDRES PR DESTINTION ONLUSION NNEXES P G E anche - Orne 5 La base de données p 6 Les échantillons p 6 Les caractères régionaux p 7 oût Relatif de Désordre RD p 8 oût moyen de réparation p 9 d pparition des Désordres FD p 12 oût moyen de réparation p 11 Manifestations p 12 Dysfonctionnements p 13 MISON INDIVIDUELLE Effectif p 16 oût de réparation p 17 oût moyen de réparation p 18 Délais d apparition p 18 LOGEMENT OLLETIF Effectif p 24 oût de réparation p 25 oût moyen de réparation p 26 Délais d apparition p 26 LOUX D TIVITÉ Effectif p 30 oût de réparation p 31 oût moyen de réparation p 32 Délais d apparition p 32 Points d alerte p 34 u-delà des causes techniques... p 34 Notes p 35 Nomenclature D de Sycodés p 36 Publication p 38 Les membres p 43 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

6 Résultat régional LE SYODÉS L dispose d un outil de connaissance et d observation statistique : Sycodés, le SYstème de Ollecte des DÉSordres, riche de plus de désordres expertisés et signalés à l Observatoire de la qualité de la construction depuis Mais quels désordres? Tout naturellement, de par le lien de l à l assurance construction, ce sont ceux faisant l objet d une déclaration de sinistre à caractère décennal domaine des responsabilités définies par la loi du 4 janvier 1978 qui entrent dans Sycodés. Le fonctionnement du système est simple : il est alimenté par des fiches remplies par les experts construction dans le cadre de leur mission. haque fiche est la traduction anonyme et simplifiée des constatations relatives à un seul désordre, c est-à-dire une seule cause technique affectant une seule opération de construction et dont les coûts de réparation sont compris entre 762 et HT. Jusqu en juin 2006, la collecte était aléatoire, basée sur le principe de la contribution volontaire des experts construction, qui partagent leur retour d expérience sur la pathologie avec tous les acteurs du secteur. Depuis juillet 2006, une convention entre l ssurance, l Expertise et l garantit le signalement exhaustif des conclusions d expertises conduites en Dommages-Ouvrage pour compte commun (DO R). Données d entrée : échantillons issus de Sycodés Un désordre, une opération de construction, une cause technique : tous ces paramètres sont renseignés dans Sycodés. À ces informations s ajoutent la destination du bâtiment sinistré, la date à laquelle il a été réalisé, sa localisation géographique, le profil de son maître d ouvrage, son coût de construction, la date à laquelle le désordre est survenu, le montant des réparations à effectuer, l ouvrage cause du désordre, le dysfonctionnement qui a induit le dommage et la manifestation de ce dommage en termes d usage. L Observatoire régional peut disposer de toutes ces informations même si, dans cette seconde édition, seules les plus utiles à l analyse sont présentées. Les résultats par génération de construction (indicateurs du Tableau de bord annuel présentés pages 8 à 10), portant sur les désordres en France, ont été calculés à partir d un échantillon de près de désordres sur travaux neufs, signalés entre le 01/01/1995 et le 31/12/2012. Les bâtiments sinistrés ont été construits durant le même intervalle ce qui permet de pondérer les résultats en fonction des effectifs et des surfaces mises en chantier durant toute cette période. insi, les résultats sont corrigés pour atténuer les conséquences des fluctuations du marché de la construction. ette exigence nécessite d exploiter un échantillon restreint (bâtiments sinistrés construits entre 1995 et 2012). est pourquoi, parallèlement, un échantillon plus large a été observé (bâtiments sinistrés construits depuis 1986), afin de vérifier les tendances. Les résultats par année d apparition des désordres ont été calculés à partir de l échantillon des désordres, dont environ apparus dans la région Basse-Normandie entre 1995 et 2012, dans des bâtiments neufs construits entre 1986 et 2012 et réparés pour un coût total de près de 37 millions d euros. es désordres représentent un coût moyen de réparation de contre pour le coût moyen d une réparation en France. Rappelons que Sycodés ne prend pas en compte le coût de gestion des désordres par l assurance ou encore les impacts immatériels induits, pas plus que les dépenses effectuées en dehors de l assurance par les entreprises intervenant directement en deçà des franchises, tels les SV par exemple. Les valeurs présentées ici sont donc uniquement relatives aux coûts de réparation, hors taxes. Les moyennes sont pondérées et présentées en euros courants (actualisées par l I moyen 2012). 6 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

7 BSSE-NORMNDIE LES RTÈRES RÉGIONUX Dans chaque région de France, la sinistralité présente des caractéristiques propres. Elle est souvent influencée par les conditions géographiques, climatiques, par les matériaux locaux ou les habitudes constructives. La région Basse-Normandie comprend les départements du alvados, de la Manche et de l Orne. aractéristiques naturelles La Basse-Normandie s étend sur une superficie et km 2, où vivent près de 1,5 million d habitants. La géologie organise largement les contrastes de la région. À l ouest, on trouve le Massif armoricain, avec des roches imperméables, des vallées et de nombreuses rivières. À l est, le Bassin parisien avec des roches tendres. La plaine de aen une falaise et rgentan s adossent au pays d uge, avec un plateau et des coteaux raidis. Le Perche se singularise par des vallées, peu marquées. ux jonctions entre ces divers terroirs, de vastes dépressions s étalent, lentement assainies les marais du otentin et du Bessin, de la Dives. Le front de mer présente la même diversité : on trouve des côtes basses sableuses, des côtes rocheuses «armoricaines», des falaises de calcaires et de marnes remaniées par l érosion. La Basse-Normandie présente les caractéristiques climatiques de type océanique : précipitations, températures et vents sont fortement conditionnés par le courant perturbé atlantique au voisinage du 50 e parallèle nord. Des nuances importantes existent néanmoins entre les régions littorales et l intérieur des terres, ainsi qu en fonction du relief. En moyenne, la pluviométrie de la région compte entre mm (relief de bocage, nord du otentin) et 800 mm (plaines de l estuaire de l Orne ; pays d rgentan). Le vent dominant est de secteur sud-ouest. On relève en moyenne 130 jours de vent fort aux alentours de La Hague. Les conditions thermiques dépendent également beaucoup de la proximité marine. La rigueur hivernale épargne les régions côtières où les périodes de gel sont courtes et peu fréquentes. Les amplitudes thermiques y sont faibles. Dans le bocage, le pays d uge et le Perche, ainsi que dans les cuvettes, le caractère continental conjugué à la présence de relief entraîne plus d hétérogénéité : les versants orientaux connaissent des gelées plus précoces, plus tardives et plus fréquentes que les parties occidentales ; les hivers y sont plus froids, les étés plus marqués, la température maximale dépassant 25 plus de 30 jours par an. aractéristiques constructives Les caractéristiques constructives sont également singulières. En 1998 et en 2008, l a publié Les Parts de marché (et l'évolution des parts de marché) des produits et des matériaux de construction dans le résidentiel neuf. Vous trouverez le détail des caractéristiques constructives régionales dans l édition 2007 des résultats de Sycodés pour la Basse-Normandie (étude réalisée à partir des descriptifs des autorisations de construire 2004, 2005 et 2006 pages 8 à 10). 7 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

8 Résultat régional DÉSORDRES PR GÉNÉRTION DE ONSTRUTION oût relatif de désordre (RD) oût de réparation par rapport au coût de construction tous deux actualisés par l Indice du oût de la onstruction (I) moyen Le RD est exprimé selon les générations de construction entre 1996 et 2003, c est-à-dire que les bâtiments sinistrés ont été construit s respectivement entre 1996 et oût relatif du désordre T O U S S E T E U R S E N % 1996 à 2003 Viabilité Fondations Structure ouverture Toiture- Façade Menuiserie Partition Équipement utres Ensemble charpente terrasse revêt. int. climatique équipements Basse-Normandie ,5 10,2 8,0 10,0 7,0 5,0 1,5 9,3 1,9 1,9 6, ,5 9,6 7,4 11,3 8,6 3,1 2,0 8,9 2,5 2,3 6, ,9 8,4 6,6 9,3 4,1 2,6 2,2 8,3 3,2 2,5 5, ,3 7,5 3,9 7,7 3,3 2,9 1,9 9,7 2,6 2,1 5, ,0 7,3 5,9 7,6 1,3 2,9 2,2 9,6 2,0 2,5 5, ,5 6,4 7,3 5,6 1,1 3,1 2,7 9,7 2,7 2,3 5, ,0 7,3 5,8 3,5 1,1 3,2 3,6 9,0 3,0 1,2 5, ,5 6,3 4,3 2,5 2,1 3,0 3,3 7,3 2,8 1,8 4,7 France métropolitaine ,8 11,1 6,9 3,2 1,3 2,5 1,7 2,9 2,0 1,4 3, ,8 10,8 7,3 3,4 1,2 2,8 1,6 3,0 2,1 1,6 3, ,3 10,4 7,2 3,6 1,1 2,7 1,6 3,3 2,2 1,7 3, ,3 11,4 5,9 3,4 1,1 2,5 1,5 3,3 2,4 1,6 3, ,3 11,3 5,0 3,1 1,1 2,2 1,4 3,4 2,0 1,7 3, ,3 10,2 5,0 2,7 1,0 2,0 1,6 3,6 1,7 1,7 3, ,8 10,1 3,9 2,4 0,9 1,9 1,5 3,4 1,8 1,5 2, ,9 9,7 3,3 2,3 0,8 1,9 1,3 3,0 2,2 1,5 2, nnée de construction ,6 6,3 5,4 5,2 5,5 5,5 5,5 4,7 3,7 3,9 3,8 3,7 3,4 3,2 2,9 2,8 Basse-Normandie France Les résultats présentés dans le tableau ci-dessus sont les oûts Relatifs de Désordre (RD). Ils représentent la part du coût de réparation des désordres, exprimée en % du coût de construction, dans des bâtiments construits entre 1996 et 2003 et sinistrés entre 1996 et 2012 c est-à-dire durant la période de garantie décennale tout entière. Les calculs sont réalisés toutes destinations de construction confondues. Globalement, les RD de la région sont nettement plus élevés que ceux de l ensemble du pays : en France, en moyenne 2,8 % du coût de construction est consacré à la réparation de désordres à caractère décennal ; en région Basse-Normandie, en moyenne 4,7 % du coût de construction est consacré à ces réparations quelle que soit la destination Basse-Normandie 4,7 % France 2,8 % RD DES BÂTIMENTS ONSTRUITS EN 2003 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

9 BSSE-NORMNDIE DÉSORDRES PR GÉNÉRTION DE ONSTRUTION oût moyen de réparation oût moyen de réparation des bâtiments tous secteurs construits entre 1996 et 2003 et sinistrés durant dix ans. oût moyen de réparation T O U S S E T E U R S 1996 à 2003 Viabilité Fondations Structure ouverture Toiture- Façade Menuiserie Partition Équipement utres Ensemble charpente terrasse revêt. int. climatique équipements Basse-Normandie France métropolitaine Les tableaux ci-dessus présentent les coûts moyens de réparation des désordres pour les bâtiments construits entre 1996 et 2003 et sinistrés entre 1996 et 2012 c est-à-dire durant la période de garantie décennale tout entière. Les coûts sont signalés par les experts construction ; ils sont mentionnés hors taxes (HT) et actualisés par l indice du coût de la construction (I moyen 2012). On distingue les coûts moyens de réparation des désordres globaux tous secteurs confondus (premier tableau) et les coûts moyens de réparation relatifs au secteur résidentiel (tableau page 10). On constate que le coût moyen de réparation est toujours supérieur dans la région au coût moyen de réparation à l échelle nationale, quelle que soit la période de construction de bâtiments sinistrés. 9 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

10 Résultat régional DÉSORDRES PR GÉNÉRTION DE ONSTRUTION oût moyen de réparation oût moyen de réparation des bâtiments en secteur résidentiel construits entre 1996 et 2003 et sinistrés durant dix ans. oût moyen de réparation S E T E U R R É S I D E N T I E L 1996 à 2003 Viabilité Fondations Structure ouverture Toiture- Façade Menuiserie Partition Équipement utres Ensemble charpente terrasse revêt. int. climatique équipements Basse-Normandie France métropolitaine Les tableaux ci-dessus présentent les coûts moyens de réparation des désordres pour les bâtiments construits entre 1996 et 2003 et sinistrés entre 1996 et 2012 c est-à-dire durant la période de garantie décennale tout entière. Les coûts sont signalés par les experts construction ; ils sont mentionnés hors taxes (HT) et actualisés par l indice du coût de la construction (I moyen 2012). On constate que le coût moyen de réparation est supérieur dans la région au coût moyen de réparation à l échelle nationale, quelle que soit la période de construction de bâtiments sinistrés avec une différence très marquée pour les années 1996 et Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

11 BSSE-NORMNDIE DÉSORDRES PR NNÉE D PPRITION oût moyen de réparation oût moyen de réparation T O U S S E T E U R S PR NNÉE D PPRITION Basse-Normandie France métropolitaine Ensemble Ensemble 58 Système d isolation thermique par l extérieur Toiture-terrasse jardin Etanchéité de piscine Fondations profondes ucun ouvrage Fondations superficielles Équipements divers Façade légère Revêtement de sol intérieur harpente-arc-portique ouverture spéciale Vide-ordures utre (colombage bois...) Dallage sur terre-plein Voirie Toiture-terrasse sans isolant et avec étanchéité autoprotégée ouverture en grands éléments uvelage ssainissement autonome Générateur de chaleur (fioul, gaz...) TOTL Le tableau ci-dessus montre les coûts moyens de réparation des désordres selon leur année d apparition. Les coûts sont signalés par les experts construction. Ils sont mentionnés hors taxes (HT) et actualisés par l indice du coût de la construction (I moyen 2012). es coûts moyens de réparation sont répartis selon les 20 éléments d ouvrage qui ont causé les sinistres les plus coûteux à réparer dans la région. Les calculs sont réalisés toutes périodes de construction des bâtiments sinistrés et toutes destinations confondues. Deux périodes sont distinguées pour présenter l évolution des coûts. Dans la région et en France, les résultats sont comparés : dans chacun des cas, la première colonne montre les coûts moyens de réparation des désordres apparus entre1995 et 2003 ; la seconde colonne montre ces coûts pour des désordres apparus entre 2004 et 2012 ; la troisième colonne montre ces coûts pour des désordres apparus durant l ensemble des années 1995 à Le «Total» présente les coûts moyens de réparation par période et par lieu, quel que soit l élément d ouvrage mis en cause. Globalement, le coût moyen de réparation dans la région est de soit supérieur à celui du pays (5 140 ). Les plus lourds sont les lots suivants : les systèmes d isolation thermique par l extérieur, les toiture-terrasses jardin, les étanchéités de piscine, les fondations profondes, aucuns ouvrages et les fondations superficielles. Notons tout de même que depuis dix-huit ans, en France comme dans la région, l évolution des coûts moyens de réparation est assez disparate. La stabilité de ces coûts moyens de réparation est fragile : un désordre exceptionnellement cher une année suffira à modifier la hiérarchie des causes et ce, d autant plus que l échantillon des désordres signalés dans la région sera maigre. Prudence donc à la lecture de ces valeurs qui reflètent parfois fortement les éventuels accidents d alimentation de Sycodés. 11 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

12 Résultat régional DÉSORDRES PR NNÉE D PPRITION Répartition par manifestation Répartition par manifestation T O U S S E T E U R S PR NNÉE D PPRITION Basse-Normandie France métropolitaine Ensemble Ensemble 2 Défaut d'étanchéité à l'eau 62,3 51,7 54,3 56,0 56,3 56,2 9 utre manifestation 18,5 23,6 22,3 20,5 20,5 20,5 1 Défaut de stabilité 10,1 10,8 10,7 10,6 8,6 9,1 5 Sécurité d'utilisation 5,3 10,0 8,9 7,9 10,0 9,5 8 Problème lié à la température intérieure des locaux 1,3 1,1 1,2 1,4 1,3 1,3 3 ondensation à l'intérieur du bâtiment 1,3 1,0 1,1 1,5 1,4 1,4 4 Défaut d'étanchéité à l'air 0,5 0,6 0,6 1,2 1,0 1,1 7 Défaut d'isolation acoustique 0,3 0,6 0,5 0,5 0,4 0,4 6 Sécurité incendie 0,4 0,4 0,4 0,5 0,5 0,5 TOTL ,3 56,2 22,3 20,5 Basse-Normandie France Défaut d étanchéité à l eau utres manifestations Défaut de stabilité Sécurité d utilisation Problème lié à la température intérieure des locaux Le tableau ci-dessus présente la répartition du nombre de désordres en %, selon leur manifestation. Les calculs sont réalisés toutes périodes de construction des bâtiments sinistrés et toutes destinations confondues. Deux périodes sont distinguées pour présenter l évolution des répartitions selon les manifestations. Dans la région et en France, les résultats sont comparés : dans chacun des cas, la première colonne totalise le nombre de désordres apparus entre1995 et 2003 ; la seconde colonne rend compte des désordres apparus entre 2004 et 2012 ; la troisième colonne présente les effectifs des désordres apparus durant l ensemble des années 1995 à omme pour la moyenne nationale, on constate que le défaut d étanchéité à l eau est le désordre le plus fréquent dans cette région (dans 54,3 % des cas contre 56,2 % en France). Entre les deux périodes d observation, on observe une baisse de l effectif (62,3 % entre 1995 et 2003 contre 51,7 % entre 2004 et 2012) ; à l inverse, le défaut de sécurité incendie y est moins caractéristique (0,4 % contre 0,5 % en France), de même que les défauts d isolation acoustique (0,5 % contre 0,4 % en France). Les autres champs sont répartis de façon relativement similaire en France et dans la région. 12 ondensation à l intérieur du bâtiment Défaut d étanchéité à l air Défaut d isolation acoustique Sécurité incendie 1 0 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

13 BSSE-NORMNDIE DÉSORDRES PR NNÉE D PPRITION Répartition par dysfonctionnement à l origine des désordres Répartition par dysfonctionnement T O U S S E T E U R S PR NNÉE D PPRITION Basse-Normandie France métropolitaine Ensemble Ensemble 2 Défaut d'exécution 79,6 79,6 79,6 77,7 80,1 79,5 1 Défaut de conception 15,3 11,7 12,5 13,3 8,6 9,8 4 Vice de matériau ou de procédure 3,3 3,7 3,6 3,9 3,2 3,4 9 utres dysfonctionnements 1,0 2,3 2,0 2,3 3,5 3,2 5 Défaut d'entretien ou d'utilisation 0,2 1,4 1,1 1,2 2,3 2,0 6 ucun dysfonctionnement imputable 0,2 0,8 0,7 0,8 1,6 1,4 3 Incident de chantier 0,4 0,6 0,5 0,7 0,7 0,7 Tous dysfonctionnements ,6 79,5 12,5 Basse-Normandie France Défaut d exécution Défaut de conception Vice de matériau ou de procédure utres dysfonctionnements Le tableau ci-dessus présente la répartition du nombre de désordres en %, selon le dysfonctionnement à l origine du sinistre. Les calculs sont réalisés toutes périodes de construction des bâtiments sinistrés et toutes destinations confondues. Deux périodes sont distinguées pour présenter l évolution des répartitions selon les dysfonctionnements. Dans la région et en France, les résultats sont comparés : dans chacun des cas, la première colonne totalise les désordres apparus entre 1995 et 2003 ; la seconde colonne rend compte des désordres apparus entre 2004 et 2012 ; la troisième colonne présente les désordres apparus durant l ensemble des années 1995 à omme pour la moyenne nationale, on constate que le défaut d exécution est le désordre le plus fréquent dans cette région (dans 79,6 % des cas contre 79,5 % en France). Entre les deux périodes d observation, son effectif est stable. Dans une moindre proportion, le défaut de conception est plus invoqué dans la région (12,5 %) que dans le pays (9,8 %) ; à l inverse, le défaut d entretien ou d utilisation y est moins mis en cause (1,1 % des cas contre 2,0 % en France) tout comme les autres dysfonctionnements imputables. 13 Défaut d entretien ou d utilisation ucun dysfonctionnement imputable aux constructeurs Incident de chantier 1 0 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

14 Résultat régional BSSE-NORMNDIE L MISON L échantillon est de désordres ; le coût moyen 14

15 Pathologie de la MISON INDIVIDUELLE DÉSORDRES PR DESTINTION DE ONSTRUTION INDIVIDUELLE de réparation est de contre en France pour les maisons individuelles OUVRGES USE DES DÉSORDRES En pourcentage de l effectif En pourcentage du coût de réparation global En coût moyen de réparation nalyse à dire d expert Les résultats par année d apparition des désordres sont présentés par destination de construction. ela permet de restituer plus précisément la pathologie car, schématiquement, chaque destination regroupe une typologie homogène de cadres de réalisation et de systèmes constructifs, que ce soit dans la région ou dans le reste du pays. 15 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

16 Pathologie de la MISON INDIVIDUELLE OUVRGES USE DES DÉSORDRES en pourcentage de l effectif Pourcentage de l effectif PR NNÉE D PPRITION Basse-Normandie France métropolitaine Ensemble Ensemble 51 Façade à base de maçonnerie en blocs de béton 23,6 17,9 19,4 11,2 11,7 11,5 74 Revêtement de sol intérieur 8,7 18,8 16,2 6,1 10,0 8,9 12 Mur enterré ou de soubassement 12,4 7,0 8,4 8,1 4,3 5,4 31 ouverture en petits éléments 7,9 7,1 7,3 12,5 12,4 12,4 90 Réseaux d eau intérieurs au bâtiment 3,8 8,3 7,1 5,9 8,4 7,7 60 Fenêtre et porte-fenêtre (hors toiture) 7,2 4,0 4,8 3,8 3,1 3,3 91 Équipement sanitaire 1,4 3,0 2,6 1,6 2,9 2,5 2 Réseaux extérieurs au bâtiment 1,9 2,6 2,4 4,4 4,7 4,6 85 onduit de fumée 3,7 1,8 2,3 2,0 1,1 1,4 4 ssainissement autonome 1,7 2,3 2,2 2,0 1,8 1,8 10 Fondations superficielles 1,6 1,9 1,9 5,2 5,1 5,1 26 Dallage sur terre-plein 2,4 1,7 1,9 3,0 2,2 2,4 utres inférieurs à 2 % TOTL ,4 11,5 16,2 12,4 Basse-Normandie France Façade à base de maçonnerie en blocs de béton Revêtement de sol intérieur Mur enterré ou de soubassement ouverture en petits éléments Réseaux d eau intérieurs au bâtiment Fenêtre et porte-fenêtre (hors toiture) Le tableau ci-dessus présente la répartition en % du nombre des 12 éléments d ouvrage cause des désordres, qui sont les plus fréquents parmi les désordres signalés dans la région pour les maisons individuelles. Les désordres sont présentés par année d apparition, quelle que soit l année de la construction du bâtiment sinistré entre 1986 et Les résultats régionaux sont comparés à ceux de l ensemble du pays. Les désordres les plus nombreux concernent les façades à base de maçonnerie en blocs de béton. Ils représentent 19,4 % de l effectif total des désordres de la région sur les dix-huit ans soit une proportion nettement supérieure à celle observée à l échelle nationale (11,5 %). On constate tout de même une diminution entre les deux périodes d observation, passant de 23,6 % en 1995/2003 à 17,9 % en 2004/2012. Les causes de désordre portent majoritairement sur les couvertures en tuiles de terre cuite défauts aux points singuliers tels que faîtages, noues, rives... qui se manifestent par des infiltrations d eau. est principalement le défaut d exécution qui est à l origine de ce type de désordre. Viennent ensuite les revêtements de sol intérieurs (16,2 % contre 11,5 % en France), puis les murs enterrés ou de soubassement (8,4 % contre 5,4 %) et les couvertures en petits éléments (7,3 % contre 12,4 %). 16 Équipement sanitaire Réseaux extérieurs au bâtiment onduit de cheminée ssainissement autonome Fondations superficielles Dallage sur terre-plein Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

17 Pathologie de la MISON INDIVIDUELLE OUVRGES USE DES DÉSORDRES en pourcentage du coût de réparation global Pourcentage du coût de réparation PR NNÉE D PPRITION Basse-Normandie France métropolitaine Ensemble Ensemble 74 Revêtement de sol intérieur 16,8 35,9 32,1 6,6 13,7 12,0 51 Façade à base de maçonnerie en blocs de béton 13,5 10,7 11,3 7,0 8,1 7,8 12 Mur enterré ou de soubassement 19,5 7,6 9,9 9,2 5,3 6,3 31 ouverture en petits éléments 7,6 5,8 6,2 8,1 8,4 8,3 10 Fondations superficielles 6,1 6,1 6,1 22,7 22,5 22,6 90 Réseaux d eau intérieurs au bâtiment 3,0 3,9 3,7 2,8 4,7 4,2 4 ssainissement autonome 3,0 3,0 3,0 2,5 2,2 2,3 26 Dallage sur terre-plein 3,5 2,5 2,7 6,1 4,5 4,9 60 Fenêtre et porte-fenêtre (hors toiture) 3,1 2,4 2,5 2,0 1,7 1,8 30 harpente-arc-portique 1,7 2,5 2,4 3,7 2,6 2,8 20 Ossature poutres poteaux (hors charpente) 1,5 1,8 1,7 2,4 2,1 2,1 91 Équipement sanitaire 0,4 2,0 1,7 0,8 1,4 1,3 utres inférieurs à 2 % TOTL ,1 12,0 11,3 22,6 Basse-Normandie France Revêtement de sol intérieur Façade à base de maçonnerie en blocs de béton Mur enterré ou de soubassement ouverture en petits éléments Fondations superficielles Réseaux d eau intérieurs au bâtiment Le tableau ci-dessus présente la répartition en % du coût de réparation des 12 éléments d ouvrage cause des désordres, dont les montants de réparation sont les plus importants parmi les coûts signalés dans la région pour les maisons individuelles. Les désordres sont présentés par année d apparition, quelle que soit l année de la construction du bâtiment sinistré entre 1986 et Les résultats régionaux sont comparés à ceux de l ensemble du pays. En dix-huit ans, 32,1 % du coût total des réparations de la région ont été affectés aux désordres de revêtements de sol intérieur, avec une hausse exponentielle entre les deux périodes 1995/2003 (16,8 %) et 2004/2012 (35,9 %) alors qu en France, cette pathologie utilise 12,0 % des montants de réparation affectés aux maisons individuelles. En seconde position viennent les réparations de façades à base de maçonnerie en blocs de béton (11,3 % sur dix-huit ans contre 7,8 % en France). Les murs enterrés ou de soubassement viennent en troisième position (9,9 % contre 6,3 % à l échelle nationale), et sont en forte baisse entre les deux périodes (19,5 % en 1995/2003 et 7,6 % en 2004/2012). 17 ssainissement autonome Dallage sur terre-plein Fenêtre et porte-fenêtre (hors toiture harpentearc-portique Ossature poutres poteaux (hors charpente)2,1 Équipement sanitaire Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

18 Pathologie de la MISON INDIVIDUELLE OUVRGES USE DES DÉSORDRES en coût moyen de réparation oût moyen de réparation PR NNÉE D PPRITION Basse-Normandie France métropolitaine Ensemble Ensemble 51 Façade à base de maçonnerie en blocs de béton Revêtement de sol intérieur Mur enterré ou de soubassement ouverture en petits éléments Réseaux d eau intérieurs au bâtiment Fenêtre et porte-fenêtre (hors toiture) Équipement sanitaire Réseaux extérieurs au bâtiment onduit de fumée ssainissement autonome Dallage sur terre-plein Fondations superficielles MOYENNE Le tableau ci-dessus présente les coûts moyens de réparation des 12 éléments d ouvrage cause des désordres, qui sont les plus importants en maison individuelle dans la région. Les désordres sont présentés par année d apparition, quelle que soit l année de la construction du bâtiment sinistré entre 1986 et Les résultats régionaux sont comparés à ceux de l ensemble du pays. Parmi les désordres les plus coûteux figurent les fondations superficielles, dont le coût moyen de réparation est de (contre en France). Les autres éléments d ouvrage portent des coûts de réparation bien moins élevés et plus homogènes entre eux ; les revêtements de sol intérieur viennent en seconde position (contre en France) et sont en augmentation entre les deux périodes d observation : 1995/2003 (9 260 ) et 2004/2012 ( ). OUVRGES USE DES DÉSORDRES Délais d apparition Délais d apparition POURENTGE DES EFFETIFS nnée d apparition du désordre 1 re 2 e 3 e 4 e 5 e 6 e 7 e 8 e 9 e 10 e >10 e Tous délais 8,0 13,6 11,0 11,8 12,0 9,8 9,2 8,7 7,3 8,0 0, ,6 16,6 12,0 10,6 10,0 9,0 8,4 7,7 7,2 7,5 0,3 100 POURENTGE DU OÛT DE RÉPRTION GLOBL nnée d apparition du désordre 1 re 2 e 3 e 4 e 5 e 6 e 7 e 8 e 9 e 10 e >10 e Tous délais 8,9 11, ,1 9 9,3 9,1 8,4 10,3 0, ,3 14,3 10,1 9,5 9,5 9,4 9,0 7,7 8,3 9,3 0,6 100 Basse-Normandie France Les tableaux ci-dessus présentent les coûts moyens de réparation des désordres pour les bâtiments construits en 1996 et sinistrés entre 1996 et 2012 c est-à-dire durant la période de garantie décennale tout entière. Les coûts sont signalés par les experts construction ; ils sont mentionnés hors taxes (HT) et actualisés par l indice du coût de la construction (I moyen 2012). On distingue les coûts moyens de réparation des désordres globaux (tous secteurs confondus premier tableau) et les coûts moyens de réparation relatifs au secteur résidentiel (deuxième tableau). ue ce soit en effectifs ou en coût de réparation, les délais d apparition sont plus lents en région qu à l échelle nationale. 18 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

19 Pathologie de la MISON INDIVIDUELLE OUVRGES USE DES DÉSORDRES analyse à dire d expert STRUTURE Mur enterré ou de soubassement L humidité dans les sous-sols est souvent la conséquence d une méconnaissance de la nature des sols environnants mais aussi de négligences dans la réalisation des ouvrages. Les infiltrations vont de la simple trace d humidité ponctuelle sur la face intérieure des murs périphériques, ou à la jonction entre murs périphériques et dallage, jusqu à l inondation totale du sous-sol. e type de désordre concerne plus particulièrement les constructions sur sous-sol réalisé en maçonnerie de petits éléments (parpaings, par exemple). es désordres sont principalement dus à l absence ou au mauvais fonctionnement des dispositifs de protection (cf. «Fiche pathologie» n B02). OUVERT ouverture en tuiles Les infiltrations de couvertures de bâtiments en petits éléments sont caractéristiques dans la région. Elles se produisent au niveau des points singuliers : liaisons entre versants (faîtages, noues, arêtiers), liaisons entre versants et murs (solins) et bordures de versants (rives latérales, égout). Les désordres constatés trouvent leur origine dans des défauts d exécution tels que : défaut de fixation des éléments de rive et d égout ; oubli d un solin ; absence de protection de la tête de solin contre le ruissellement le long de la paroi ; utilisation d un matériau inadapté (ciment au lieu de mortier bâtard) pour les solins en mortier ; absence ou réalisation défectueuse de l engravure des solins en zinc ; relevé insuffisant des noues et couloirs ; recouvrement insuffisant de la première rangée sur noue. Parfois aussi, ils viennent d un défaut de conception, soit une mauvaise exposition du faîtage aux vents de pluie dominants, soit un défaut de dimensionnement des noues et des chéneaux. À ces pénétrations continues s ajoutent celles qui sont discontinues, dues aux petits ouvrages isolés : souches de cheminées, lanterneaux d éclairage, jouées de lucarnes, chiens-assis, (cf. «Fiche pathologie» n O1). 19 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

20 Pathologie de la MISON INDIVIDUELLE OUVRGES USE DES DÉSORDRES analyse à dire d expert FONDTION Fondation superficielle On constate des désordres dus aux tassements différentiels des sols d assise de fondation, en particulier dans le cas de bâtiments réalisés sans étude préalable de sol, sur des terrains de nature argileuse. FÇDE Façade en maçonnerie de blocs de béton Faïençage ou fissuration, affectant parfois l étanchéité de la façade, de maçonneries en blocs de béton, en particulier au droit des rives de plancher, des raidisseurs verticaux ou des allèges. L enduit monocouche, généralement apposé en surface, ne résiste pas aux déformations. Les sollicitations thermiques, celles des vents et des pluies sont des contraintes aggravantes du phénomène de fissuration et par voie de conséquence, d infiltration. Un support mal préparé, le retrait de l enduit ou encore une épaisseur d enduit insuffisante peuvent aussi contribuer aux désordres (cf. «Fiche pathologie» n D01). ÉUIPEMENT analisations encastrées en cuivre Les canalisations sanitaires ou de chauffage noyées dans une dalle béton font l objet de sinistres de fuites d eau dus au percement du métal qui les constitue (cuivre). es percements sont la conséquence d une corrosion (phénomène chimique), d une abrasion (phénomène mécanique) et parfois des deux. La corrosion apparaît sous forme de piqûres ou pitting. La corrosion externe est relativement fréquente. Elle provient du passage de l eau par les arases de gaines au niveau du sol ou par les raccords de gaine de protection non étanches. L eau provient des lavages de sol et contient donc des produits de nettoyage (présence de chlorures et de sulfates). La concentration de ces sels agressifs dans les points bas entraîne une attaque rapide et caractéristique. La corrosion interne peut être due à plusieurs facteurs qui rendent complexe le phénomène (cf. «Fiches pathologie» n EO3). 20 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

21 Pathologie de la MISON INDIVIDUELLE OUVRGES USE DES DÉSORDRES analyse à dire d expert PRTITION ET REVÊTEMENT Revêtement de sol carrelé Le raccourcissement des délais de construction, les contraintes esthétiques et une mise en œuvre déficiente sont à l origine de la plupart des fissurations et décollements des carrelages de sol. La mince membrane que constitue le carrelage traduit rapidement les carences de son support et de sa mise en œuvre. Les dommages les plus fréquemment rencontrés sur les surfaces carrelées sont : la fissuration, le décollement et le soulèvement. La fissuration se développe linéairement dans diverses directions, notamment aux emplacements les plus sensibles. Elle traduit une déformation des couches constituant le support du carrelage. Le décollement des carreaux a pour causes principales : une mauvaise préparation du mortier de pose, un surdosage ou une mise en œuvre qui n optimise pas l adhérence, avec une colle ne respectant parfois pas les prescriptions du fabricant. Le soulèvement peut survenir de façon brutale après un réchauffement rapide du carrelage, alors que le support est encore à une température inférieure à celui-ci, ou après retrait du gros œuvre dans les premières années. La cause principale est une mise en compression du revêtement. Si à ces différents facteurs s ajoutent un collage ou un scellement défaillant, le revêtement carrelé se soulève par flambement. Enfin restent encore des fissures qui ont pour origine l incorporation de canalisations dans le mortier de pose, une pratique pourtant interdite de longue date. 21 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

22 Résultat régional BSSE-NORMNDIE LE LOGEME L échantillon est de désordres ; le coût moyen 22

23 Pathologie du LOGEMENT OLLETIF DÉSORDRES PR DESTINTION DE ONSTRUTION T OLLETIF de réparation est de contre en France pour les logements collectifs OUVRGES USE DES DÉSORDRES En pourcentage de l effectif En pourcentage du coût de réparation global En coût moyen de réparation nalyse à dire d expert Les résultats par année d apparition des désordres sont présentés par destination de construction. ela permet de restituer plus précisément la pathologie car, schématiquement, chaque destination regroupe une typologie homogène de cadres de réalisation et de systèmes constructifs, que ce soit dans la région ou dans le reste du pays. 23 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

24 Pathologie du LOGEMENT OLLETIF OUVRGES USE DES DÉSORDRES en pourcentage de l effectif Pourcentage de l effectif PR NNÉE D PPRITION Basse-Normandie France métropolitaine Ensemble Ensemble 90 Réseaux d eau intérieurs au bâtiment 12,6 17,3 16,3 11,9 12,3 12,2 74 Revêtement de sol intérieur 10,0 11,9 11,5 6,8 8,4 8,0 51 Façade à base de maçonnerie en blocs de béton 7,6 8,7 8,4 4,4 5,0 4,9 60 Fenêtre et porte-fenêtre (hors toiture) 5,5 6,3 6,2 4,1 3,9 3,9 12 Mur enterré ou de soubassement 8,0 4,1 5,0 3,9 3,6 3,6 54 Façade à base de béton banché 3,7 4,8 4,6 6,7 6,3 6,4 33 ouverture en grands éléments 4,4 3,7 3,9 2,4 2,7 2,7 31 ouverture en petits éléments 2,7 3,4 3,2 5,8 5,2 5,4 91 Équipement sanitaire 1,9 2,8 2,6 2,6 3,2 3,1 83 Distribution et émission de chaleur 4,3 1,9 2,4 3,3 2,3 2,6 5 Toiture-terrasse accessible 3,6 2,0 2,3 4,2 4,5 4,4 41 Toiture-terrasse avec isolant et étanchéité autoprotégée 1,8 2,2 2,1 1,2 2,1 1,9 utres inférieurs à 2 % TOTL ,3 12,2 11,5 Basse-Normandie France Réseaux d eau intérieurs au bâtiment Revêtement de sol intérieur Façade à base de maçonnerie en blocs de béton Fenêtre et porte-fenêtre (hors toiture) Mur enterré ou de soubassement Façade à base de béton banché Le tableau ci-dessus présente la répartition en % du nombre des 12 éléments d ouvrage cause des désordres, qui sont les plus fréquents parmi les désordres signalés dans la région pour les logements collectifs. Les désordres sont présentés par année d apparition, quelle que soit l année de la construction du bâtiment sinistré entre 1986 et Les résultats régionaux sont comparés à ceux de l ensemble du pays. Les désordres les plus nombreux concernent les réseaux d eau intérieurs au bâtiment. Ils représentent 16,3 % du total des désordres régionaux sur les dix-huit ans soit une proportion supérieure à celle observée à l échelle nationale (12,2 %). On constate une augmentation de l effectif entre les deux périodes d observation, passant de 12,6 % en 1995/2003 à 17,3 % en 2004/2012. Les causes de désordre portent majoritairement sur les fuites de canalisations encastrées en cuivre. est le défaut d exécution qui est principalement à l origine de ce type de désordre. Viennent ensuite les revêtements de sol intérieur qui portent des taux en légère augmentation entre les deux périodes d observation : respectivement 10,0 % et 11,9 % pour les dix-huit ans, et supérieurs à ceux du pays 11,5 % contre 8,0 %. 24 ouverture en grands éléments ouverture en petits éléments Équipement sanitaire Distribution et émission de chaleur Toitureterrasse accessible Toitureterrasse avec isolant et étanchéité autoprotégée Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

25 Pathologie du LOGEMENT OLLETIF OUVRGES USES DES DÉSORDRES en pourcentage du coût de réparation global Pourcentage du coût de réparation PR NNÉE D PPRITION Basse-Normandie France métropolitaine Ensemble Ensemble 90 Réseaux d eau intérieurs au bâtiment 19,7 16,1 16,8 11,0 12,3 12,0 74 Revêtement de sol intérieur 10,4 13,3 12,7 9,4 11,6 11,1 47 Toiture-terrasse jardin 0,2 7,6 6,1 1,3 1,5 1,4 51 Façade à base de maçonnerie en blocs de béton 6,9 5,6 5,8 1,7 3,2 2,8 54 Façade à base de béton banché 2,2 5,3 4,7 4,9 5,2 5,1 2 Réseaux extérieurs au bâtiment 0,7 5,6 4,6 2,2 3,0 2,8 2 Mur enterré ou de soubassement 5,4 3,7 4,0 4,0 4,1 4,1 59 utres éléments particuliers de façade (non étanchés) 8,5 2,3 3,6 6,2 5,7 5,8 60 Fenêtre et porte-fenêtre (hors toiture) 6,9 2,8 3,6 2,4 2,6 2,5 13 uvelage 8,3 2,1 3,4 1,3 1,6 1,5 1 Voirie 1,0 3,2 2,8 1,1 2,5 2,2 10 Fondations superficielles - 3,0 2,4 0,5 1,1 1,0 utres inférieurs à 2 % TOTL ,8 12,0 12,7 11,1 Basse-Normandie France Réseaux d eau intérieurs au bâtiment Revêtement de sol intérieur Toitureterrasse jardin Façade à base de maçonnerie en blocs de béton Façade à base de béton banché Réseaux extérieurs au bâtiment Le tableau ci-dessus présente la répartition en % du coût de réparation des 12 éléments d ouvrage cause des désordres, dont les montants de réparation sont les plus importants parmi les coûts signalés dans la région pour les logements collectifs. Les désordres sont présentés par année d apparition, quelle que soit l année de la construction du bâtiment sinistré entre 1986 et Les résultats régionaux sont comparés à ceux de l ensemble du pays. En dix-huit ans, 16,8 % du coût total des réparations de la région ont été affectés aux désordres de réseaux d eau intérieurs au bâtiment, avec unelégère baisse entre les deux périodes 1995/2003 (19,7 %) et 2004/2012 (16,1 %) alors qu en France, cette pathologie utilise 12,0 % des montants de réparation affectés aux logements collectifs. En seconde position viennent les revêtements de sol intérieur (12,7 % sur dix-huit ans contre 11,1 % en France). Les toiture-terrasses jardin viennent en troisième position, avec 6,1 % des montants affectés aux réparations des logements collectifs dans la région (contre 1,4 % pour la France). 25 Mur enterré ou de soubassement utres éléments particuliers de façade (non étanchés) Fenêtre et porte-fenêtre (hors toiture) uvelage Voirie Fondations superficielles Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

26 Pathologie du LOGEMENT OLLETIF OUVRGES USE DES DÉSORDRES en coût moyen de réparation oût moyen de réparation PR NNÉE D PPRITION Basse-Normandie France métropolitaine Ensemble Ensemble 90 Réseaux d eau intérieurs au bâtiment Revêtement de sol intérieur Façade à base de maçonnerie en blocs de béton Fenêtre et porte-fenêtre (hors toiture) Mur enterré ou de soubassement Façade à base de béton banché ouverture en grands éléments ouverture en petits éléments Équipement sanitaire Distribution et émission de chaleur Toiture-terrasse accessible Toiture-terrasse avec isolant et étanchéité autoprotégée MOYENNE Le tableau ci-dessus présente les coûts moyens de réparation des 12 éléments d ouvrage cause des désordres, qui sont les plus importants en logement collectif dans la région. Les désordres sont présentés par année d apparition, quelle que soit l année de la construction du bâtiment sinistré entre 1986 et Les résultats régionaux sont comparés à ceux de l ensemble du pays. Les désordres de revêtements de sol intérieur sont les plus coûteux, avec un coût moyen de réparation de contre en France. Les façades à base de béton banché viennent en deuxième position, avec un coût de réparation moyen de 5 560, très supérieur au coût moyen observé à l échelle nationale (3 360 ). OUVRGES USE DES DÉSORDRES Délais d apparition Délais d apparition POURENTGE DES EFFETIFS nnée d apparition du désordre 1 re 2 e 3 e 4 e 5 e 6 e 7 e 8 e 9 e 10 e >10 e Tous délais 4,0 17,6 11,9 11,0 8,5 9,7 10,0 10,3 8,7 7,1 0, ,9 21,5 14,4 11,7 10,2 8,8 7,9 7,1 6,6 6,6 0,2 100 POURENTGE DU OÛT DE RÉPRTION GLOBL nnée d apparition du désordre 1 re 2 e 3 e 4 e 5 e 6 e 7 e 8 e 9 e 10 e >10 e Tous délais 4,3 17,6 10,6 16,3 7,3 8,9 8,3 10,0 7,8 8,1 0, ,2 23,2 12,8 10,5 8,8 8,3 7,6 6,7 6,9 6,6 0,3 100 Basse-Normandie France Les deux tableaux ci-dessus présentent la répartition des désordres selon leur année d apparition en logement collectif, quel que soit l élément d ouvrage mis en cause et quelle que soit l année de la construction du bâtiment sinistré entre 1986 et Les résultats régionaux sont comparés à ceux de l ensemble du pays. Dans le premier tableau, on trouve les parts des effectifs en % des désordres apparus chronologiquement durant les dix années de garantie. Dans le second tableau, on trouve la part des montants de réparation dépensés chaque année, par rapport au montant total des réparations engagées sur dix ans, en %. Le graphique présente les effectifs cumulés croissants des désordres durant les dix années de la garantie. Les délais d apparition sont plus lents dans les logements collectifs de la région que dans ceux du reste du pays, et ce jusqu à la neuvième année. Les coûts de réparation dépensés les premières années sont moins importants en région qu à l échelle nationale, même si 1/5 e du total est engagé dès la deuxième année. 26 Sycodés régional B S S E - N O R M N D I E

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