PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURLE DE GARBAKOIRA

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURLE DE GARBAKOIRA"

Transcription

1 PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali (PROMISAM) REGION DE TOMBOUCTOU Cercle de Diré rurale de Garbakoïra PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURLE DE GARBAKOIRA Elaboré avec l appui technique et financier de l USAIDMali à travers le projet d appui au CSA, le PROMISAM Juin 2006

2 I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION: La commune rurale de Garbakoira est confrontée à des problèmes environnementaux qui sont entre autre : L assèchement des mares et cours d eau La dégradation des sols ; La perte de la biodiversité biologique ; L insuffisance des eau de surfaces et des pluies ; L insuffisance des moyens de production ; L absence de technologie appropriée à la production alimentaire. Cette situation ayant pour conséquence l insécurité alimentaire, la malnutrition, la désertification, la paupérisation a entraîné l exode des bras valides. Nécessité de l élaboration d un plan de Sécurité Alimentaire ( PSA ) : Ce plan s inscrit dans le cadre se la politique gouvernementale visant à la recherche de la Sécurité alimentaire des populations du Mali dans un contexte de décentralisation. Le plan se définit comme étant un outil de planification et de suivi des actions et initiatives de sécurité alimentaire. Conscient de cet état de fait, il s agit pour la population de base de définir leurs propres difficultés, contraintes et envisager des solutions en matière de Sécurité Alimentaire. Objectifs de l exercice : Cet exercice vise entre autres : A améliorer les conditions d alimentation des populations avec : L aménagement des plaines et des mares, L Amélioration du mode d élevage ( l initiation à l embouche ) ; La promotion de la création d unité de transformation et de conservation; Le reboisement et la mise en défens des espèces protéger ; La vulgarisation des semences améliorées et la création de circuit d approvisionnement avec un encadrement technique et un suivi rapproché des paysans ; L introduction de la technologie pour l amélioration des rendements de cultures céréalières ; La promotion de l emploi des jeunes par la création d atelier artisanaux ; La promotion de la diversification des cultures maraîchères et arbres fruitiers ; La promotion de l éducation des enfants et surtout des filles en hygiène de nutrition au niveau des écoles. La création des points d eau potable L instauration d un système durable de sécurité alimentaire des populations METHODOLOGIE : Depuis 2005, la commune a entrepris avec l appui des partenaires, l élaboration de différents outils de planification du développement local : Plan de Développement Economique Social et Culturel (PDESC) Programme de Développement pour la Croissance Agricole, la Réduction de la Pauvreté et la Protection de l Environnement (PD CARPPE) 2

3 Plan de développement Educatif (PDECOM) Plan d appuis techniques, Convention de gestion des ressources naturelles, Actuellement le plan de sécurité alimentaire Le problème de sécurité alimentaire a toujours retenu l attention des participants à tous les débats lors des concertations intercommunautaires et les 90% des actions du PDESC sont du domaine de la sécurité alimentaire APERCU SUR LA COMMUNE La rurale de Garbakoira est située sur la rive gauche du bras gauche du fleuve Niger. Elle est limitée au nord par la commune rurale de Alafia (cercle de Tombouctou) au sud par la commune rurale de Tinguéréguif Gari à l'est par la commune de Dangha et à l'ouest par la commune rurale de Douékiré. La population est estimée à 5160 habitants repartis entre dix (10) villages et une fraction. Elle est composée de sonrhaî majoritaires peulhs, Bozo, Bella. Les principales activités économiques sont l'agriculture, l'élevage et la pêche. La commune comptait jusqu en 2000 deux écoles (une de trois classes à Garbakoira, et une de 6 classes à Mankalagoungou.La politique sectorielle de l éducation prévoyait l ouverture de 2 nouvelles écoles à partir de 2001 dans la commune de Garbakoïra. Ces écoles ont effectivement ouvert leurs portes à Bani et à Tinam en 2001 avec comme cadre, des habitats privés. Ayant désormais en charge l école primaire, le conseil communal de Garbakoïra, s est engagé très vite à construire des écoles pour les villages de Bani et de Garbakoïra. 1. Caractéristiques Economiques : La commune de Garbakoira a connu des années de sécheresses consécutives, la rareté des pluies et le retrait précoce des eaux dans les mares. Cette situation est pas propice aux activités économiques à savoir l agriculture, l élevage et l artisanat, surtout la pêche également dans ces lacs 1. L agriculture : Elle est l une des principales activités de la population et est dominée par les cultures céréalières de riz et blé en périmètre irrigué villageois ; sorgho dans les mares et le mil cultivé sur les plaines dunaires. Les contraintes liées à l essor de l agriculture demeurent d ordre matériels et organisationnel. En effet le niveau d équipement est passable. Les agriculteurs ne connaissent guère le slogan «S équiper en reboisant». Le rendement du système de production est modeste dans l ensemble. Aujourd hui, les cultures de rente (tabac, oignon, patate, manioc) se diffusent. Cependant ces cultures ne peuvent pas remplacer l agriculture des céréales quoique rentables. Aussi il s avère urgent d aménager des mares de certains villages et curer les voies de passage de l eau pour répondre aux vœux des populations. Les organisations paysannes commencent à sortir de l informel. 3

4 Le niveau de dégradation des sols est élevé. Il se fait surtout sentir partout dans la commune. A tout cela il faut évoquer le problème de l ensablement qui commence à menacer sérieusement certaines plaines de la commune. Le taux de pollution est insignifiant dans la commune. La commune doit, avec l appui de ses partenaires chercher à aménager rapidement ses mares qui demeurent de grandes potentialités en matière de développement pour assurer la sécurité alimentaire de la jeune commune. Pour palier à ces problèmes il faut nécessairement former les organisations paysannes par rapport aux tâches qui sont les leurs afin qu ils les appréhendent mieux, mais aussi les outiller en matériels de travail adéquats afin de lutter efficacement contre l insécurité alimentaire. 2. L élevage : Il constitue une activité économique de la commune. Les principaux animaux élevés sont : les bovins, les caprins, les ovins, quelques asins, équidés. Un début d association de l agriculture à l élevage est amorcé. Il n existe aucune pharmacie vétérinaire dans la commune. Aussi le taux de couverture sanitaire du bétail est passable. La transhumance est faible compte tenu de l état des pâturages et des points d eau qui sont bons. Son niveau est de 60 à 70%. Le taux de mortalité du bétail est de l ordre de 2%. Ce sont ces contraintes qui freinent le développement de l élevage dans la commune. Un encadrement des services techniques dans ce domaine contribuera sans nul doute à accroître la production alimentaire dans ce sens. Aussi pour la bonne marche de l élevage il faut nécessairement mener les activités cidessous : Aménager des vastes étendus de bourgoutières ; Creusement d un certain nombre des puits pastoraux ; Construire un certain nombre de parcs de vaccination ; Avoir un marché à bétail qui répond aux normes ; Alimenter la commune en embouche bovine. 3. La pêche : Elle demeure une activité des bozo et des sorko. Très faible, elle se pratique dans les mares et les cours d eau qui sont notamment temporaires. Les principales contraintes sont d ordre climatique notamment l insuffisance de crue et l assèchement précoce de certaines mares. Les problèmes liés à l essor de la pêche sont d ordre technique se traduisant par le manque d équipements, d ordre organisationnel. L insuffisance de l encadrement et de l appui se fait sentir au niveau de la conservation, de la transformation et de la commercialisation du poisson. Leur prise en charge dans le plan de sécurité alimentaire peut constituer un élément d utilisation appropriée des aliments et par la même occasion réduire les maladies liées à l hygiène alimentaire. 4

5 4. L artisanat : L artisanat est très pratiqué par la population surtout les femmes. Il occupe une grande majorité de personnes et participe beaucoup à l émergence de l économie de la commune. 5. Le commerce : Le commerce de détails porte sur les produits agricoles, laitiers, le bétail sur pied, les produits industriels importés et de l artisanat (nattes colorées, étoffes, vannerie, cordage, chaussures, harnachement). La population de la commune commerce généralement avec les communes voisines de Dangha et Diré. Le commerce au niveau local mérite d être renforcé par l instauration d autres foires et par la libéralisation du marché ou l appui aux commerçants de la commune. Mais, pour cela il urge de désenclaver les différentes zones de production de la commune. Mieux, il serait d un apport inestimable pour les commerçants d être bénéficiaires des fonds alloués par l Etat malien aux commerçants détaillants et la promotion des systèmes financiers décentralisés dans la commune. 6. La Santé : La couverture sanitaire est moyenne dans la commune. On compte 1 CSCOM à Garbakoira. Les évacuations et les urgences sont reçues par le centre de santé de référence de Diré. Il existe un comité de gestion pour diligenter les affaires en instance. L approvisionnement en médicaments bon, se fait conformément au schéma directeur d approvisionnement en médicaments essentiels. La fréquentation des structures de santé est assez bonne dans l ensemble. 7. Hydraulique : Tous les villages de la commune dispose au moins un puits. Il faut noter pendant la crue la disponibilité de l eau des rivières pour les travaux champêtres et abreuvage des animaux. Il faut par ailleurs noter que le ratio population/puits reste très élevée d où la programmation de fonçage de puits à grand diamètre dans beaucoup de villages de la commune (voire plan des actions) et des forages équipés. 8. Education : Le taux de scolarisation est assez bon. La commune compte sur son territoire 4 1 er cycles. Ces écoles sont fonctionnelles aujourd hui grâce à l appui de la mairie et le financement des partenaires. 5

6 9. Communication et Désenclavement : La prise en compte de ce facteur est l élément salvateur de la sécurité alimentaire dans la commune. En effet, la zone connaît un enclavement sans précédent pendant la crue. Le déplacement est très difficile pendant cette période. Des pirogues à perches sont utilisées. En saison sèche, des pistes rurales relient la commune aux principaux centres commerciaux tels que Diré, Bourem Sidi Amar, Dangha. Dans toute la commune, il n existe aucun moyen de communication. Il serait utile de doter le CSCOM d un système RAC. La mairie ne dispose d aucune logistique de déplacement. Cela pose énormément de problèmes pour le conseil communal. C est pourquoi il est envisageable d acquérir de nouvelles motos. L analyse des diagnostics démontre un ensemble de potentiels agro sylvo pastoral très conséquents dans la commune. Cependant les contraintes liées aux aléas climatiques, à l invasion acridienne, à la coupe abusive du couvert végétal risquent de compromettre le développement de la jeune commune. Malgré tout, si les interventions des partenaires au développement comme le PADLT, l ANICT, PAICOL, et tant d autres, sont suivies régulièrement avec intelligence de la part des autorités qui pourront générer beaucoup d espoir au sein de la population. L analyse des différents documents élaborés disponibles et des échanges ont abouti à 4 grands axes de développement prioritaires pour assurer la sécurité alimentaire dans la commune. Ce sont : L augmentation de la production agro sylvo pastorale pour une grande disponibilité ; L amélioration de services sociaux de base à travers une utilisation rationnelle et en qualité de la consommation alimentaire ; La promotion du développement à partir des ressources locales en vue d assurer leur stabilité ; Le désenclavement de la zone à travers la réalisation des pistes rurales afin de développer le commerce, le transport et la communication. Ce sont essentiellement des projets qui embrassent tous les 4 secteurs de développement précédemment cités haut. Les choix qui ont été porté sur des secteurs productifs doivent recueillir le soutien de tous les bailleurs de fonds de la commune car les communautés sont très éprouvées par les résultats négatifs des campagnes agricoles. Les femmes surtout ont besoin de fonds pour développer des activités génératrices de revenus (AGR) Quant aux populations, elles doivent savoir que seul le paiement des impôts et taxes peut conduire à l aboutissement de leurs préoccupations. Il reste entendu que l instauration de la sécurité alimentaire dans la commune reste tributaire beaucoup d actions qui peuvent concerner tous les secteurs de la vie : agriculture, élevage, 6

7 communication, désenclavement et encadrement et appui financier des populations. C est pourquoi les actions retenues y font référence. 7

8

9 CADRE LOGIQUE DU PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE Contraintes Insuffisance de terres aménagées et dégradation de celles existantes Manque d équipements agricoles Manque de matériels et de semences Manque de matériels de pêche Insuffisance de marchés hebdomadaires Nombre limité de commerçants Insuffisance de banques de céréales Objectifs globaux Assurer l auto suffisance alimentaire Augmentation de la production agricole Augmentation de la production agricole Augmentation de la production piscicole Accès aux produits à l ensemble de la population Libéralisation du marché Accès à une alimentation Objectifs spécifiques Augmentation de la production agricole autour des lacs Idem Idem Améliorer la production du poisson et des produits de pêche Suffisance de l alimentation sur tous les marchés Prix abordable des différents produits Suffisance de l alimentation sur tous les marchés Activités Résultats attendus Intervenants Période Responsables DISPONIBILITE aménagement des Disponibilité des PIV et mares céréales Partenaires, CT Maire Achats des équipements agricoles Achats matériels et semences pour maraîchage Acquisition matérielle de pêche Disponibilité des céréales Partenaires, CT Maire Disponibilité des céréales Partenaires, CT Maire Disponibilité du poisson et des produits de pêche ACCESSIBILITE Organisation et formation des commerçants et OP Appui aux populations pour faire du commerce Construction d un magasin de stockage Les populations peuvent se procurer sur les marchés Partenaires et CT Maire Partenaires et collectivités Maire Disponibilité des produits Partenaires et CT Maire Disponibilité des céréales sur les marchés Partenaires, CT Maire

10 Manque d intrants agricoles Amélioration du cheptel Disponibilité de l aliment bétail pour le bétail Commerce des intrants agricoles Le bétail est nourrit Partenaires et CT Maire Manque d information Absence de jardins maraîchers Ignorance de la valeur nutritive de l aliment Enclavement de la commune Manque de ressources pour la commune Améliorer la santé nutritive de l homme par une bonne alimentation Améliorer la santé nutritive de l homme par une alimentation complète Améliorer la santé nutritive de l homme par une alimentation complète Désenclaver la commune Assurer la stabilité des produits sur tous les marchés Améliorer la consommation des aliments par la population Instaurer une bonne habitude alimentaire Instaurer une bonne habitude alimentaire Assurer le ravitaillement des banques Disponibilité régulière des produits sur le marché UTILISATION APPROPRIEE Sensibilisation et Les populations information en sont informées matière de santé de la valeur /nutrition nutritive des aliments Commerce de légumes Formation des leaders communautaires sur la nutrition Ravitaillement trimestriel des banques Création des pistes et routes reliant les grands centres STABILITE L alimentation est diversifiée par se qualité Les leaders communautaires peuvent influencer l habitude alimentaire Les produits sont toujours disponibles sur le marché La commune est fournie à tout moment de l année Partenaires, CT, radios Partenaires, CT, radios Partenaires, CT, radios Maire Maire Maire Partenaires, CT Maire ETAT, Maire 10

11 I. SUIVIEVALUATION : Indicateurs liés aux différentes composantes Composantes Activités Indicateurs Coût total Source Localisation Aménagement des PIV et Augmentation de la mares production agricole commune à 2 00 HA ANICT, X AFRICARE, PAICOL DISPONIBILITE Achats des équipements agricoles X ACCESSIBILITE Achats matériels et semences pour maraîchage Acquisition matérielle de pêche Organisation et formation des commerçants et OP Construction d un magasin de stockage Sensibilisation et information en matière de santé /nutrition Augmentation de la production agricole à 100 T/an PADLT, ANICT, PAICOL Augmentation des produits maraîchers PADLT ANICT Etat Augmentation des produits piscicole à PADLT ANICT X 100 balles /an Présence de la consommation CSA,PASAOP ANICT Accès facile à la consommation PADLT ANICT Changement positif dans l habitude alimentaire UTILISATION Commerce de légumes Production de 1T/an Etat Etat 11

12 APPROPRIEE STABILITE Formation des leaders communautaires sur la nutrition Création des banques de céréales Ravitaillement trimestriel des banques Création des pistes et routes Bonne habitude alimentaire Etat T/an sur le marché CSA Pas de rupture CSA (50T/semaine) Pas de rupture de céréales A ETAT déterminer II. PROGRAMME ANNUEL Sources Composantes Activités Indicateurs Coût total Partenaires Etat PADL ANICT Aménagement des PIV et mares Achats des équipements DISPONIBILITE agricoles Achats matériels et semences pour maraîchage Acquisition matérielle de pêche Organisation et formation des commerçants et OP Construction d un magasin ACCESSIBILITE de stockage Commerce des intrants Accès facile aux agricoles intrants agricoles Sensibilisation et Changement positif information en matière de dans l habitude santé /nutrition alimentaire UTILISATION Commerce de légumes Légumes présents sur le marché autres Localisa tion Augmentation de la production agricole Effort physique Idem Augmentation des produits maraîchers Augmentation des produits piscicole Ravitaillement régulier des populations 000 Accès facile à l alimentation

13 APPROPRIEE STABILITE Formation des leaders communautaires sur la nutrition Création des banques de céréales Ravitaillement trimestriel des banques Création des pistes et routes reliant les grands centre Bonne habitude alimentaire Absence de rupture Pas de rupture de céréales Pas de rupture de céréales A déterminer 100% 13

PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE TOMINIAN

PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE TOMINIAN PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI ---------------------- Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ----------------------- Projet de Mobilisation des Initiatives

Plus en détail

PLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE

PLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE

Plus en détail

PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE LOBOUGOULA

PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE LOBOUGOULA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI ---------------------- Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ----------------------- Projet de Mobilisation des Initiatives

Plus en détail

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur. INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES

Plus en détail

BOURSE DE L EMPLOIL ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE

BOURSE DE L EMPLOIL ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi BOURSE DE L EMPLOIL ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE BAMAKO LE 10 JUILLET 2008 CENTRE INTERNATIONAL

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité. Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes

Plus en détail

Revue des expériences Nigériennes. Présentée par Mr SANI Mahamadou Economiste Consultant Indépendant en Microfinance au Niger

Revue des expériences Nigériennes. Présentée par Mr SANI Mahamadou Economiste Consultant Indépendant en Microfinance au Niger Revue des expériences Nigériennes Présentée par Mr SANI Mahamadou Economiste Consultant Indépendant en Microfinance au Niger Plan de présentation Définition du warrantage Pourquoi le warrantage? Le cercle

Plus en détail

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération

Plus en détail

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009 Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie

Plus en détail

Resilience et Innovation Locale face aux Changements Climatiques. Capitalisation des résultats du programme "Fonds de Soutien aux Stratégies Locales

Resilience et Innovation Locale face aux Changements Climatiques. Capitalisation des résultats du programme Fonds de Soutien aux Stratégies Locales Resilience et Innovation Locale face aux Changements Climatiques. Capitalisation des résultats du programme "Fonds de Soutien aux Stratégies Locales d Adaptation (FSSA) " Par Cheikh Tidiane SALL, Mamadou

Plus en détail

* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy.

* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy. (< Le chez soi pour nous, c'est l'eau 11 Cet entretien a été réalisé chez les Tamashek par J.-M. Yung le 30 novembre 1988, et traduit U au pied de la dune n. Il nous a impressionné. Le choix des extraits

Plus en détail

Portefeuille de projet

Portefeuille de projet Portefeuille de projet MALI I. PROJETS RÉCEMMENT ACHEVÉS Projet d Aménagement Périmètre Irrigué de Manikoura (PAPIM) FAD- FAT 2002-08 15 604 millions FCFA Aménagement hydro-agricole de 1 094 ha Développement

Plus en détail

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations

Plus en détail

Title: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708

Title: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708 Title: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708 Language: English Translations: French Country: Botswana

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

Annexe 2: Région des Savanes Caractéristiques et bas fonds identifiés

Annexe 2: Région des Savanes Caractéristiques et bas fonds identifiés Annexe 2: Région des Savanes Caractéristiques et bas fonds identifiés La mise en valeur des bas fonds en saison des pluies est intense et est l œuvre des femmes qui y pratiquent essentiellement la culture

Plus en détail

Insurance of agricultural Risks. Jeudi 30 Janvier 2014

Insurance of agricultural Risks. Jeudi 30 Janvier 2014 Insurance of agricultural Risks Jeudi 30 Janvier 2014 1 Sommaire 1. Brève introduction d Al Amana Microfinance et de son historique dans le rural 2. Mécanisme d Assurance interne et comportement 3. Analyse

Plus en détail

Caisse Nationale de Mutualité Agricole

Caisse Nationale de Mutualité Agricole Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

Rapport de revue technique indépendante. Programme national d investissement prioritaire dans le secteur agricole (PNIP-SA) MALI

Rapport de revue technique indépendante. Programme national d investissement prioritaire dans le secteur agricole (PNIP-SA) MALI Rapport de revue technique indépendante Programme national d investissement prioritaire dans le secteur agricole (PNIP-SA) MALI Mali Version date: 27 Septembre 2010 1 Résumé Analytique : Principales conclusions

Plus en détail

Définition des variables présentées dans le RICA

Définition des variables présentées dans le RICA Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail

LISTE DES ETABLISSEMENTS PUBLICS A CARACTERE NON ADMINISTRATIF CONSIDERES COMME ENTREPRISES PUBLIQUES. (Décret n 2006-2579 du 2 octobre 2006)

LISTE DES ETABLISSEMENTS PUBLICS A CARACTERE NON ADMINISTRATIF CONSIDERES COMME ENTREPRISES PUBLIQUES. (Décret n 2006-2579 du 2 octobre 2006) LISTE DES ETABLISSEMENTS PUBLICS A CARACTERE NON ADMINISTRATIF CONSIDERES COMME ENTREPRISES PUBLIQUES (Décret n 2006-2579 du 2 octobre 2006) Présidence de la République - Société des Services Nationaux

Plus en détail

Crédit intrant et crédit warrantage au Togo : Quels enseignements?

Crédit intrant et crédit warrantage au Togo : Quels enseignements? AGRONOMES ET VETERINAIRES SANS FRONTIERES Crédit intrant et crédit warrantage au Togo : Quels enseignements? Réflexion concernant les différentes modalités de crédit proposées dans le cadre du projet d

Plus en détail

REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION

REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

PLAN D INVESTISSEMENT PNIA/SDR NIGER

PLAN D INVESTISSEMENT PNIA/SDR NIGER REPUBLIQUE DU NIGER COMITE INTERMINISTERIEL DE PILOTAGE DE LA SDR FRATERNITE-TRAVAIL-PROGRES SECRETARIAT EXECUTIF PLAN D INVESTISSEMENT PNIA/SDR NIGER Juin 2010 TABLE DE MATIERES INTRODUCTION... 1 I. ORIGINE

Plus en détail

Résultats et impacts

Résultats et impacts Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraîchère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77

Plus en détail

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement

Plus en détail

Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD

Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS

Plus en détail

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure : OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques

Plus en détail

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie. 1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN

Plus en détail

Universita Degli Studi di Milano. Facoltà di Agraria. Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale

Universita Degli Studi di Milano. Facoltà di Agraria. Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale Universita Degli Studi di Milano Facoltà di Agraria Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale Seminari del CICSAA Centro Interuniversitario per la Cooperazione allo Sviluppo

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PERSPECTIVES

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PERSPECTIVES SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS EN TUNISIE, ETATS DES LIEUX ET PERSPECTIVES Mr. Mohamed Chokri REJEB DG CTAA Le 25 septembre 2010 Yasmine Hammamet Plan Sécurité des aliments dans la politique nationale

Plus en détail

PRESENTATION DE L AMAB ET DE SES PRODUITS

PRESENTATION DE L AMAB ET DE SES PRODUITS PRESENTATION DE L ET DE SES PRODUITS PRESENTATION L Assurance Mutuelle Agricole du Bénin en abrégé est une société d assurance mutuelle (SAM) à cotisations fixes avec conseil d administration, régie par

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Ordonnance n o 2010-18 du 7 janvier 2010 portant création d une agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l

Plus en détail

Foire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST

Foire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST Foire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST Ouagadougou/Burkina Faso, du 05 au 07 novembre 2013 1. Introduction Au Sahel, environ

Plus en détail

SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA

SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA INTITULE DU PROJET : PROJET DE PROMOTION DE L INITIATIVE LOCALE POUR LE DEVELOPPEMENT D AGUIE 1 Intitulé du Projet : Projet de Promotion de l Initiative Locale pour le

Plus en détail

Burundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga

Burundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Burundi Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Organisation : Ministère de l'intérieur et de la Sécurite Publique

Plus en détail

INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT

INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS L INDIANOCEANIE INVESTIR DANS LA PRODUCTION AGRICOLE 25-27 MARS

Plus en détail

ANNEXE 1-A UNOPS BUREAU DES SERVICES D APPUI AUX PROJETS DES NATIONS UNIES INDICATEURS DES PERFORMANCES DU PROJET

ANNEXE 1-A UNOPS BUREAU DES SERVICES D APPUI AUX PROJETS DES NATIONS UNIES INDICATEURS DES PERFORMANCES DU PROJET ANNEXE 1-A UNOPS A. ETAT D EXECUTION DES RECOMMANDATIONS DE LA MISSION DE SUPERVISION DU MOIS DE SECTION II : RECOMMA NDATIONS DE LA MISSION N. ET ACTIONS ENTREPRISES PAR LE PROJET RECOMMANDATIONS SITUATION

Plus en détail

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque

Plus en détail

Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008

Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la

Plus en détail

Micro-irrigation à Madagascar

Micro-irrigation à Madagascar P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles

Plus en détail

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

Rapport d activités 2012

Rapport d activités 2012 République de Guinée-Bissau MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE Projet d Appui à la Sécurité Alimentaire (PASA) Composant II : Aménagements hydroagricoles (CAHA) Rapport d activités 2012 Élaboré

Plus en détail

PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE

PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1 PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1. LE RENFORCEMENT DE LA COMPLEMENTARITE DES ACTIVITES AGRICOLES ET D'ELEVAGE, UN LEVIER VITAL POUR

Plus en détail

Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique

Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique REGLEMENT GENERAL Le Clos du Verger organise cette année les Champêtreries a Jasseron le 23 Mai 2015. Au programme : Marché des animaux

Plus en détail

INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU

INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel

Plus en détail

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537

Plus en détail

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau

Plus en détail

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA

Plus en détail

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE 9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,

Plus en détail

RAPPORT DE FIN DE CYCLE

RAPPORT DE FIN DE CYCLE 1 MINISTERE DE L ENSEIGNEMENTS SUPERIEUR MALI ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE Foi REPUBLIQUE DU Un Peuple - Un But - Une ----------- ----------- Direction Nationale de l'enseignement Supérieur et de la

Plus en détail

Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013

Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013 Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun Le 5 novembre 2013 Plan de la présentation 1. Contexte du Programme 2. Objectifs et méthode du Programme 3. Activités prévues dans

Plus en détail

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom

Plus en détail

Détail des cultures de l'exploitation en 2007

Détail des cultures de l'exploitation en 2007 République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

LES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE

LES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE Direction départementale des territoires PRÉFET DES HAUTES-ALPES Service d'appui territorial Application du droit des sols LES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE D'une manière générale, les zones naturelles

Plus en détail

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

Index alphabétique. Liste des mots clés du FORMACODE (nomenclature du Centre INFFO) utilisés pour décrire les domaines de formation.

Index alphabétique. Liste des mots clés du FORMACODE (nomenclature du Centre INFFO) utilisés pour décrire les domaines de formation. Index alphabétique Commission permanente du 09/09/2005 Index alphabétique Liste des mots clés du FORMACODE (nomenclature du Centre INFFO) utilisés pour décrire les domaines de formation. Accompagnement

Plus en détail

Résumé du rapport final du Projet ECDD

Résumé du rapport final du Projet ECDD Résumé du rapport final du Projet ECDD Janvier 2010 avril 2013 A propos du projet ECDD Le projet ECDD a été mis en œuvre par la Bristol Conservation & Science Foundation (une unité opérationnelle de Bristol,

Plus en détail

PROTECTION DE PRODUITS EN IG

PROTECTION DE PRODUITS EN IG PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr

Plus en détail

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture

Plus en détail

SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES POTENTIEL AGRICOLE ASSURABLE ET PERSPECTIVES D EVOLUTION

SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES POTENTIEL AGRICOLE ASSURABLE ET PERSPECTIVES D EVOLUTION REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMNET RURAL SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES POTENTIEL AGRICOLE ASSURABLE ET PERSPECTIVES D EVOLUTION Communication

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

PROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009

PROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009 Présidence de la République Commissariat à la Sécurité Alimentaire APCAM/MSU/USAID Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali Phase II (PROMISAM - II) PROMISAM -

Plus en détail

23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS)

23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS) 23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS) Rabat (Maroc) du 04 au 07 décembre 2013 PLAN DE PRÉSENTATION (1/2) La description du 4 ème RNA; La méthodologie utilisée;

Plus en détail

RAPPORT FINAL ----***---- ANALYSE GENRE DANS LA REGION DE TAMBACOUNDA DANS LE CADRE DE L INITIATIVE 4R AU SENEGAL

RAPPORT FINAL ----***---- ANALYSE GENRE DANS LA REGION DE TAMBACOUNDA DANS LE CADRE DE L INITIATIVE 4R AU SENEGAL RAPPORT FINAL ----***---- ANALYSE GENRE DANS LA REGION DE TAMBACOUNDA DANS LE CADRE DE L INITIATIVE 4R AU SENEGAL Les consultants : Mamour NGALANE, Chef de mission, Consultant en Développement Durable

Plus en détail

NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES

NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES Cette notice présente les principaux points de la réglementation. Lisez-la avant de remplir la demande.

Plus en détail

Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale

Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Agriculture and Agri-Food Canada Agriculture et Agroalimentaire Canada Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Les initiatives environnementales Eau Nutriments,

Plus en détail

Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation

Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation Secteur Tertiaire 6 ème édition - 2003 Réali sé par la Chambre de Commerce et d Industrie Centre en partenariat avec le pôle ORFE du Groupement

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85 DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47

Plus en détail

Agriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle

Agriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts

Plus en détail

FERME ECOLE AGRO-ECOLOGIQUE KAYDARA

FERME ECOLE AGRO-ECOLOGIQUE KAYDARA JARDINS D'AFRIQUE Villa 255 Zone résidentielle MBOUR SENEGAL BP 1846 Tél 957 03 52/ 634 76 04 Email : jardins.afrique@free.fr FERME ECOLE AGROECOLOGIQUE KAYDARA «Viens à l école de la vie» KER SAMBA DIA

Plus en détail

les cinq étapes pour calculer les jours d avance

les cinq étapes pour calculer les jours d avance À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule

Plus en détail

Typologie à dire d expert des systèmes de production agricole du district de Cho Don, province de Bac Kan

Typologie à dire d expert des systèmes de production agricole du district de Cho Don, province de Bac Kan Typologie à dire d expert des systèmes de production agricole du district de Cho Don, province de Bac Kan Jean-Christophe Castella Institut de Recherche pour le Développement (IRD) et International Rice

Plus en détail

Étiquettes approuvées pour les bisons

Étiquettes approuvées pour les bisons Étiquettes approuvées pour les bisons Programme d identification et de traçabilité des animaux d élevage VERSION 4 2014/03/31 Les étiquettes approuvées sous le programme national d'identification et de

Plus en détail

UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT

UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique

Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Auteurs : Sophie Valleix, responsable d ABioDoc et Esméralda Ribeiro, documentaliste à ABioDoc

Plus en détail

Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT

Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT CONTEXTE GÉNÉRAL L amélioration de la compétitivité logistique des flux import-export, en termes de développement

Plus en détail