Réussir un boisement
|
|
- Geneviève Beauchamp
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DÉPENSER M 01 Réussir un boisement Philippe Van Lerberghe, ingénieur à l'lof Le propriétaire qui souhaite boiser ou reboiser se trouve confronté à bien des problèmes dont le moindre n'est pas la présence de souches trop hautes 1 En évitant de perturber le sol par des interventions lourdes de nettoyage ou de mise à nu, il réalisera des économies à court terme, mais aussi à moyen et à long terme, tout en conservant les potentialités du sol. //lui faudra ensuite décider s'il va réaliser un travail du sol, et si oui, quand et comment. Puis, dans l'exécution proprement dite de la plantation, prévoir la facilité d'exécution des opérations futures d'entretien et d'exploitation. Enfin, en présence de gibier, il ne pourra se dispenser de poser des protections, au risque de voir tous ses efforts anéantis. Des souches trop hautes cassent le matériel et augmentent les coats d'entretien. (Dessin S. Filhol, ea'trait de ".Boiser et après" du 111lnistète de l'agriculture, DERF) NeHoyage elu sol Derrière un taillis, un taillis sous futa ie ou une coupe à blanc se pose le problème des souches. Faut-il ou non les éliminer? Selon le CEMAGREF 0982), "une densité comprise entre 200 et 300 souches à l'hectare de plus de 30 cm de diamètre suffit à rendre impossible une vraie préparation du sol et peut constituer une gêne importante pour les entretiens ultérieurs. Au coût direct d'une opération de mise à nu du sol, le sylvicu lteur doit comparer le bénéfice à en attendre en termes de gestion, d 'investisseme nts fin anciers ultérieurs et surtout, de réussite de sa plantation. Au cours des opérations de nettoyage, il faut avant tout éviter de perturber les horizons du sol par des opérations trop lourdes. Dessoucher La solution traditionnelle est le dessouchage. Couramment, il s'effectue à la lame de buudozer, ce qui est loin d'être sa tisfaisant ct qui induit crois conséquences négatives : - un décapage des horizons superficiels ; afin d'extraire les souches, l'opérateur du bu ll est tenu de sectionner les racines maîtresses situées en profondeur, ce qui bouleverse les horizons du sol en pen:urbant fortement leur succession ; - une stérilisation possibl<! du sol : une partie de la couche humifère de surface est décapée et se retrouve dans les andains, avec de la terre. Sur les sols e n pente (supérieu re à 20 %) et pauvres e n matière organique, on déconseille totalement le dessouchage ; - la création d'andains encombranlo:; et inesthétiques : ils constituent une perce de place et offrent des refuges privilégiés aux lapins et autres rongeurs. L'e.xpérience a montré q u'il est techniquement préférable d'extraire les souches à la pelle hydra ulique à godet. Si cette solutiô n exige le déplacement de deux engins (la mise en andains se fera au bulj muni d'un rateau frontal), elle réduit sensiblement Les perturbations du sol. Araser Une deuxième solution est l'arasement des souches. Réalisé à La lame coupante sur bulldozer, avec un broyeur à aj<e horizon tal ou plus simplement à Ja tro1nçonneuse (possibilité intéressant e e n régie), l'araseme nt permet la mécanisation ultérieure des opérations culturales. L'utilisation de systèmes de relevage manuel ou automatique des outils tractés, la mise en œuvre d'engins lourds roulams sur les souches au lieu de butter dessus constituent d es palliatifs iméressants permettant de conserver le sol en l'état. Néanmoins, l.es coûts unitaires des opérations de préparation du sol peuvent être plus élevés en raison 36 PorêL-entreprlse n 1 00
2 des pertes de remps induites, ou de la nécessité d'utiliser des matériels plus robustes et plus puissants. De plus, une dijninution de la qualité du travail est parfois possible. Déchiqueter Troisième solution envisageable, le déchiquetage des souches à l'état de copeaux est, à notre avis, la solution technique optimale. Réalisée à l'aide d'un outil pe1fonnam de type "dent Becker" montée sur pelle hydraulique, cette opération résoud les problèmes de rémanents et réduit au minimum les perturbations du sol. Travail du sol Pour réaliser les opérations de travail du sol nécessaires à la réussite du boisement, Je gestionnaire devra choisir son outil en fonction de l'effet red1erché, cour en tenant compte de la consistance du sol. Choisir l'outil et l'époque Lors d'une opération culturale, les principaux effets red1erchés sont les suivants : - éclatement d'un horizon compact sous la couche arable, - ameublissement superficiel (inférieur à 15 cm) ou profond par passage de l'état massif à l'état fragmentaire, - mélange (répartition homogène des débris végétaux de manière homogène à l'intérieur du sol) superficiel, de 0 à 10 cm, ou profond, de 0 à 25 cm, - effacement d'un relief de surface (nivellement des ornières), - émiettement des mottes. Tout devis de travaux forestiers doit être lu attentivement, particulièrement au niveau des types de matériels utilisés par les entreprises mises en concurrence pour réaliser les travaux, tout en tenant compte de leur expérience professionnelle. Avant toute demande de devis, le sylviculteur devra identifier clairement ses objectifs culturaux et être convaincu que l'effet recherché ne sera obtenu que par un choix raisonné de l'outil et de l'époque les mieux adaptés aux travaux. Laborw etl plei11 avec cba1rue monos oc. (Photo Y. du Boullay) Prenons l'exemple du labour. Réalisable route l'année, son objectif cultural diffère selon la période de réalisation : - Les labours d'été et d'automne : à réaliser lorsqu'il s'agit de défricher et retourner (enfouissement de débris végétaux) des prairies ou des résidus de culture en une saison où la fermentation des matières organiques est active. Préférer un labour dressé qui favorise cette décomposition. Utiliser la charrue à soc (si la charrue à disques pénètre bien dans Le sol, e Ue enfouit mal les débris végétaux). Laisser le temps d'agir â un évemuel uairement phytocide dont l'époque d'applic-ation préseme, eue aussi 1 des contraintes. Sur ancienne terre agricole, ne pas intervenir trop tôt, au risque d'un saussement trop rapide du ten ain. Le déchaumage avant labour d'été ou d'automne n'est pas à conseiller ; en sol battant, il vaut mieux l'éviter. - Le labour d'biver : réaliser un labour dressé en hiver, sur sol ressuyé, avec 1.1n versoir de type hélicoïdal pour ne pas trop émietter la Len e. Ce labour a pour effet d'exposer le sol au gel ou à la sécheresse, ce qui assure son ameublissement et permet à l'eau de s'y infiltrer sans stagner. U a aussi l'avantage de déplacer la matière organique en oblique, sans jamais la plaquer au fond de la raie de labour; - Le labour de printem.ps : de tous les labours, c'est le plus délicat et ce peut être Je plus nuisible car la charrue peut malaxer un sol trop humide avec fonnation de zone de tassement et de lissage. Ne pas intervenir trop rard dans la saison pour ne pas raccourcir la période de plantation. Ce type de labour doit ètre réalisé en bonnes conditions de: sol ressuyé avec charrue à socs à versoir cylindrique ou éventuellement avec charrue à disques. Enfin, faut-il faire un labour en plein ou en bandes en se lim.iitant au travail des fun1 res lignes de plaritation? Selon I'AFOCEL (1984), il semblerait que la production ultérieure s'en trouve pénalisée car Ja colonisation J-acinaire des interbandes serait moins dense avec un labour en plein. Toutefois le labour en b:andes est d'un coût inférieur au labour en plein : il se limiœ à travailler les futures lignes de plantation en conservantt des couloirs herbeux entre les bandes. Si lon Forêt-entre prise n
3 . DEPENSER M 01 Vous voulez Consistance Comportement Décomp acter Déchaumer Labourer Reprendre un labour Dune Mottes impossibles Possible mais Possible mais PoS$ible mais Possible mais à briser diffidje du'ficile difficile difficile Friable Semi-plastique Les mottes s'émiettent en ne collant pas ou peu Conseillé Conseillé Conseillé Conseillé Les mottes s'émiettent en collant ou se déforment Risqué Risqué Conseillé Risqué en s'émi.ettant difficilement Plastique Les marres sont modelables ou deviennent liquides A pt ns<.trirc A pro~l'me A prv:-uirc A wscrirc 1 D'aprÇs Bartl1élémy. Boisgonlier et lajoux, ITCF, adopte un espacement entre les lignes de plantation de 3,5 rn, un labour sw- 1 rn de large laisse une inrerbande de 2,5 m encore suffisante au passage d'un tracteur. De plus, le labour en bandes laisse une dérayure d\me vingtaine de centimètres qui 1 en jouant le rôle de rigole, favorise l'évacuation des eaux de njis$ellement. Tenir compte de la consistance du sol Réduire les risques d'échecs des plantations forestières implique d'entreprendre les opérations culturales dans de bonnes conclitions de consistance du sol. Les principes sujvants doivent impérativement être respectés (voir tableau cl-dessus). Faciliter les opérations futures Réaltser la plantation en pensant à La facilité d'exécution des opérations futures d'entretien et d'e.'cploitation est une autre source d'économies. Une fois réalisée la préparation du sol, le gestionnaire devra pener toute son attention sur le choix de la densité de plantarion, de l'interligne de plantation, sur le sens des lignes en fonction de la topographie el de la desserre. Une densité conforme aux normes FFN Les aides financières publiques ont un impact non négligeable sur la rentabilité des reboisements : elles permettent de réduire de 20 à 50 % le montant des frais de création et d'entretien d'une plantation. Si on doit choisir une densité en respectant autant que possible les prescriptions elu FFN, le reboiseur en résineux ne devra pas pour autam êrre amené à planter à une densité teue que l'exploitation des Fes éclaircies soient déficitaires. Selon I'AFOCEL (1992), la densité ne doit pas dépasser 1000 p lants/ ha pour Les essences dont le bois est rouge (Douglas, mélèzes. pins) et 1500 à 1800 plams/ ha pour les résineux blancs (sapins, épicéa commun) dont Le bois est mieux rémunéré et peut suppotter un coût d'exploitation plus élevé. U est possible de réévaluer ces chiffres clans le cas d'une forte pression de gibier, lors de l'utilisation d'un matériel végétal de qualité moyenne ou du risque d'une forte branchaison chez certaines espèces (par exemple, le pin laricio). Les espacements de plantation Dans Je cas où un entretien mécanisé dans les interbandes perpendiculaires est souhaitable (on renonce alors à l'accompagnement), il faut aligner la 38 plantation dans les deux sens. Les espaces interligne er sur la ligne entre cbaque plant sonr souvent supérieurs à 3 m ou 3,5 m (densité inférieure à 1111 plants/ha). Ceci facilite la circulation et la surveillance du chantier tout en réduisant au minimum les interventions manueues. Une distance inférieure à 3 m augmente les risques de blessures du collet des plants liées aux embardées latérales des outils derrière le tracteur. Quand L'alignemenr se fair dans un seul sens, la densité peut être plus forte grâce à des espacements, sw- la ligne, inférieurs aux écartements entre les lignes. Le sens des lignes et la topographie On privilégiera toujours une plantation dans le sens de la pente, sauf Lorsque les risques de 1 avioement du sol sont importants. Il faul éviter de planter les arbres selon les courbes de niveau, au risque de compliquer la mécanisation des opérations culturales ou d'exploitation et d'en augmenter le coût. Sur un terrain en dévers, les abarteuses travaillent moins vite, les risques de blessw-e des arbres de chaque ligne en aval de l'engin sont plus élevés, la réalisation d'un cloisonnement perpendiculaire aux lignes est nettement plus complexe. Fo rêt-~!ntreprise n l 00
4 Le sens des lignes et la desserte Sur les terrains plats ou ii faibl e penre (inférietlre à 5 %), on facilitera les opérations d'entretien en disposant les lig nes selon la plus grande longueur du temün. En bout de ligne, la largeur des lisières doit être au minimum de 6 m. On peut la réduire et faciuter les manœ uvres ou virages de sortie des matériels d'entretien en adoptant un système ''en arêtes de poisson'' où l'angle entre les lignes et les lisières est de 45. Protéger les plants contre le gibier Une densité importante de gibier à proximité d\!n boisement constitué d'essences sensibles implique impérativement une protection dès la plantation, même en l'absence de dégâts visibles. Occasionnés par le chevreuil, le cerf, le sanglier, les lapins ou lièvres, ils peuvent entraîner la réduction du nombre de plants viables, des déformations ou retard de croissance Induisant des SLLrcoûts en regarnis et en entretien (tailles cle formation), parfois la destruction complète du boisement et souvent une dépréciation de la qualité du bois après dégradation de la bille de pied. L'appétence des jeunes arbres varie selon l'espèce et l'état physiologique de la plante. L'obligation actuelle de produite du bois de qualité er la tendance à réduire les densités de plantations impliquent de protéger les jeunes plants, d'autant plus que l'essence est sensible er la densité du gibier élevée. les principales essences abrouties par les cervidés sont le merisier, le frêne, les chênes (en particulier le chê ne rouge d'amériqlje), le Douglas, le pin maritime, le mélèze... Le lapin et le lièvre n'épargnent aucune essence. Le frottis touche essentiellement des essences odoranres comme le Douglas, l'épicéa, le sapin grandis, mais aussi le merisier, le frêne, le peuplier, le chê ne, Je hêtre et l'érable, Quant à l'écorçage, ce sont les essences à écorce lisse qui y sont le plus sensibles : é picéa, Dougt as, peu plier, frêne, châtaignier et chajrme. Identifier l'animal responsable Avant de choisir la mérhode de protection, il convient de déterminer quel est l'animal responsable des dégats. l'examen du dommage va permettre de le faire, l'aspect des blessures différant selo n!"anima l. Trois grands types de dé:gâts existent : l'abrourissement, le froctis, le rongement d'écorce (ou écorçage). - l'abroutissement ~ pour se nourrir, ch evreu il s, cerfs, lapins et li èvres consomment aiguilles et bourgeons, ce qui entraîne une!blessure des rameall'< (mâchonnés pour les cervidés, à section biseautèe nette pour les lièvres ou lapins) ; - le frottis : pou.r marquer leur territoire en période de rut ou pour aider la chute des velours en période de frayure, les cervidés frottent: l'écorce des arbres ou frouent les rameaux ; - Je rongement d'écorce est engendré, en période de disette, par le lièvre et le lapin, principalement sur des essences feuillues. On l'jdentifie par des traces de dents obliques au collet des jeunes tiges ligneuses. En hiver, l'écorçage est surtout causé par le cerf. Privilégier l'efficacité plutôt que le coût R éaliset la piantatior~ en pensa11t à la facilité d'exécution des opérations futwres. (Dessin S. Filhol, "Boiser et après", ministère de l'agriculture, DERF) Le choix d'une stratégie ne doit pas se faire uniquement en fonction de son prix de revient, et fàil e l'impasse sur son efficacité réelle n'est jamais un bon calcut Le d1oix d'une protection s'effectuera en fonction de l'essence protégée, de la hauteur initiale des plants, de leur vitesse de croissance, ainsi que du gibier redou- rorêt-emrepdsc n J 00: 39
5 D É P E N S E R M 0 1 té et des risques encourus. IJ sera bon de prendre conseil auprès de professionnels (experts, coopératives, CRPF... ), en particulier : - s'informer sur la composition des protections inctividuelles en plastique. Eviter les manchons brise-vent en polypropylène : meilleur marché mais peu durable, ce plastique est rapidement cassant, car sensible à l'action des ultraviolets ; - éviter les solutions séduisantes maj.s inopérantes : boules répulsives de naphtalîne, colifichets (vêtements, cheveux... )... - ne pas confondre efficacité et durabilité : si l'on considère généralement qu'un système de procection doit être effbtce pendant 3 à 5 ans et prufois plus, une durabilité excessive peut être rédhibitoire pour le développement du jeune plant. On évitera donc les protections individuelles pouvant à tenue blesser ou étrangler les plants er nécessitant une dépose, coûteuse en temps et en argent. Poser correctement les systèmes de protection - Respecter les hauteurs minimales pour les protections individuelles : la hauteur sera de 50 cm contre le lapin ou le lièvre, de 120 cm contre le chevreuil, de 180 cm contre le cerf. Réévaluer ces hauteurs sur tejtains pentus facilitant l'accès du gibier aux plants ; - privilégier l'usage de mteurs bois durables (châtaignier) aux t11teurs bambous, fragiles et légers, ou métalliques. Placés face aux vents dominants, verticalement et à 5 cm de chaque plant, ij faudra s'assurer de leur bonne stabilité dans Je sol (mini~ mum de 30 cm enterrés) ; - éviter l'ajout coûteux d'un tuteur bambou pow les manchons brise-vent agrafés à un tuteur bois. Une meilleure tenue au vent peut ên e assurée simplement en reroumanr, conune une chaussette, les premiers centimètres de la partie supérieure du manchon, garantissant ainsi une meilleure 1iglctité ; - éviter que les manchons ne dépas Frottis de cet:f. (Photo S. Levoye) +sem la hauteur hors sol du tuteur bois ; soumise à l'action du vent, la partie supérieure de la protection peut se plier, interdisant la sortie du plant vers l'exrérieur ; - éviter les protections en grillage plastique à grandes mailles (supérieures à 5 mm) qui autorisent la sortie latérale des rameaux, risquant de déformer irrémédiable ment la tige apicale du plant forestier. Surveiller l'état des protections Passer chaque année au départ de la végétation, en profiter pour redresser les protections inclinées, les plants courbés dans les protections. Au besoin défourcher. Protection totale ou individuelle? C'est en fonction du type de plants à protéger et du prix posé des protections individuelles utilisables, de la densité de plantation, et du prl'c du mè tre linéaire d'un engrillagement total que le sylviculteur pourra évaluer l'intérêt de la protection individuelle ou globale. D'une manière générale, la clôture en g1illage lourd rendu sur des piquets est à réserver aux planration,s sur grandes stufaces. Contre le chevreuil, l'investissement est de 30 à 40 F le mètre linéaire. Sachant. qu'on plante rarement des feuillus précieux sur des surfaces de plus de 3 hz d\m seul tenant, la protecuon incuviduelle demeure moins onéreuse que l'engrillagement dans le cas du chevreuil. Enfm, il ne faudra en aucun cas chercher à réduire les prix de revient en faisant l'impasse sur les lrailles de formation et les élagages. Ces opémtions som une obligation rechnico- économique si l'on veut garantiir l'avenir des peuplements dont l'importance des débouchés est proportionnelle à leur valeur, et réaliser de fo1tes plus-values financières lors des ventes. Elles consrituenl un investissement qui se justifie largement par une vente plus facile des bois, mais aussi par l'augmentation de la solidité des arbres et de leur résistance au vent. 40 PorêH:mreprise n l 00
Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN
GIP Ecofor Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN P. Riou-Nivert (IDF) avec J.-C. Hervé (Engref/IFN), B. Piton (Engref), T. Belouard, J.-P. Renaud, C. Cluzeau, A. Colin
Plus en détailPREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE
PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE DIRECTION REGIONALE DE L ALIMENTATION DE L AGRICULTURE & DE LA FORET Service Régional de la Forêt & du Bois Arrêté du 13 août 2009 conditions de financement par des aides
Plus en détailBulletin n 6 LA MALADIE DU ROND
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS COMMISSION D'ÉTUDES DES ENNEMIS DES ARBRES, DES BOIS ABATTUS ET DES BOIS MIS EN ŒUVRE Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND On appelle «maladie du
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailPLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR
NOTE AU LECTEUR Dans le cadre de notre certification forestière à la norme du Forest Stewardship Council de la Seigneurie de Perthuis, nous vous présentons un résumé du plan général d aménagement forestier
Plus en détailLA SYLVICULTURE D ARBRES «OBJECTIF» OU D ARBRES DE PLACE INTRODUCTION
une croissance rapide, un bois sain sans coloration et au tronc cylindrique ; des fûts de qualité sur 6 à 8 m, de minimum 150 cm de circonférence (absence de nœuds, cernes réguliers) ; 70 % à 90 % de la
Plus en détailFormulaire d'adhésion PEFC
Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailSTANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.
Plus en détailQuelques données : Domaines & Patrimoine. Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise. Membre de l ASFFOR.
1 2 Quelques données : Domaines & Patrimoine Membre de Adhérent à : l ASFFOR Membre de l ASFFOR Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise 10 11 salariés 7000 8 500 ha ha gérés 12 13 groupements
Plus en détailRéussir l assemblage des meubles
Réussir l assemblage des meubles Assemblages en ligne Systèmes d accrochage de meuble LES BONS CONSEILS POUR FAIRE SOI-MÊME! 1 Les différents types d assemblage Les assemblages en angle ou en croix permettent
Plus en détailOrganisme certificateur : 10 rue Galilée 77420 Champs sur Marne Tél : +33 (0)1 72.84.97.84 Fax : +33 (0)1 43 30 85 65 www.fcba.fr. www.marque-nf.
N d identification AFNOR Certification : NF 061 MQDQ-CERT 15-306 du 18/01/2015 N de Révision : 16 Date de mise en application : 04/03/2015 Annule et remplace le MQDQ-CERT /14-324 du 15/05/2014 REGLES GENERALES
Plus en détailRèglement type relatif à l abattage d arbres
Règlement type relatif à l abattage d arbres INTRODUCTION «Une municipalité ou une MRC peut régir ou restreindre la plantation ou l'abattage d'arbres afin d'assurer la protection du couvert forestier et
Plus en détailDébroussailler autour de sa maison : «une obligation»
Guide du débroussaillement règlementaire aux abords des constructions dans le département de Vaucluse Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» 2 ème édition Le débroussaillement vous protège,
Plus en détailR é u s s i r la plantation
Guide technique R é u s s i r la plantation forestière Contrôle et réception des travaux de reboisement 3ème édition Décembre 2014 Avertissement Le présent guide n'est pas un document contractuel au sens
Plus en détailDiagnostic de la Tranche 1 du programme. de restauration de la Sienne
Diagnostic de la Tranche 1 du programme de restauration de la Sienne Méthodologie : - Choix du secteur géographique Le chiffrage a été fait à partir d un diagnostic global de la Tranche 1 du programme
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailCirrus Activ Cirrus Cirrus Ac A tiv cti
Cirrus Activ 1 Le bon semoir de toutes les situations Le semis est une étape importante pour la réussite d une culture avec des rendements stables et élevés. L efficacité et la rentabilité d un matériel
Plus en détailLES MENUISERIES INTÉRIEURES
Les portes intérieures Seuls les ouvrages relatifs aux portes intérieures sont décrits ci-après. Pour la description des pièces de bois (montant, traverse ) et des accessoires de quincaillerie (paumelle,
Plus en détail- Tente de réception louée complète (structure, bâches de toit et cotés, piquets)
Location tente de réception 5x10 état neuf gris clair et blanc La tente de réception est conçue pour une utilisation lors des fêtes et autres événements est, en tant que tels, uniquement destiné à un montage
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailEnglish Français. Série 300
English Français Série 300 AVANT 300 Le chargeur compact robuste AVANT traction directe Traction par quatre moteurs hydrauliques à prise directe; un sur chaque roue Force de traction supérieure L AVANT
Plus en détailENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE
ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE ETAPE 1 LE PLAN DE TRAVAIL 1.a Repères Repères Mettez en place provisoirement le plan de travail et tracez au crayon effaçable deux repères qui correspondent
Plus en détailLes dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)
Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers
Plus en détail[Signature]Essais réalisés en collaboration entre les Chambres d'agriculture de Bretagne, les fédérations de Cuma et Arvalis Institut du végétal.
[Titre]Semis de maïs : 3 semoirs à l'épreuve de la vitesse [Commentaires sur la mise en forme : Le tableau des caractéristiques des matériels avec les photos des semoirs doit être placé en première page.
Plus en détailInrap / Les étapes de l archéologie préventive
Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant
Plus en détailLa Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt
La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailTerre végétale. www.remu.fi. Remblaiement de tranchée. Enrobage de réseaux. Compostage. Applications industrielles. Recyclage et dépollution
Screening Technology & Amphibious Excavators Terre végétale Remblaiement de tranchée Enrobage de réseaux Compostage Applications industrielles Recyclage et dépollution Criblage de tourbe et produits organiques
Plus en détailContrôle Non Destructif C.N.D.
Contrôle Non Destructif C.N.D. 16 Principales techniques Particules magnétiques Pénétrants 7% Autres 7% 6% Ultrasons 30% Objets divers Pétrochimique 15% 10% Aérospatial 25% Courants de Foucault 10% Autres
Plus en détailINSTRUCTIONS COMPLÉTES
INSTRUCTIONS COMPLÉTES Le Service de plans du Canada, un organisme fédéral-provincial, favorise le transfert de technologie au moyen de feuillets, de croquis et de plans de construction qui montrent comment
Plus en détailBref rappel du contexte et des objectifs
NOTICE POUR LA MISE EN PLACE ET LA SAISIE DES DONNEES DU PROTOCOLE DE SUIVI DENDROMETRIQUE DES RESERVES FORESTIERES Bref rappel du contexte et des objectifs La survie de plus de 20% des espèces forestières
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailLA FILIERE BOIS ENERGIE D ORIGINE AGRICOLE. Utilisation domestique du bois énergie
LA FILIERE BOIS ENERGIE D ORIGINE AGRICOLE Utilisation domestique du bois énergie JOURNEES DE DEMONSTRATION ORGANISEES PAR LA FEDERATION DEPARTEMENTALE DES CUMA DU TARN FEVRIER 2005 Plus d informations
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailMobilisation du bois énergie sous forme de plaquettes forestières
Mobilisation du bois énergie sous forme de plaquettes forestières Regefor Champenoux 8 au 10 Juin 2009 Jean Pierre Laurier - FCBA Introduction Les programmes de recherche en cours pilotés par l ADEME et
Plus en détailRampes, marches et escaliers
Rampes, marches et escaliers Marches et escaliers représentent un obstacle à la mobilité de nombreuses personnes, même si certaines solutions techniques telles que mains courantes et paliers - permettent
Plus en détailPASSAGE A NIVEAU HO/N
PASSAGE A NIVEAU HO/N Description Ce passage à niveau en laiton est composé de deux demi-barrières, ainsi que de deux feux lumineux rouges. Vous pouvez utiliser ce PN sur un nombre quelconque de voie y
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailDestructeur de documents à coupe transversale X7CD
Destructeur de documents à coupe transversale X7CD Guide d'utilisation 91607 Veuillez lire attentivement le manuel avant toute utilisation. Tenez particulièrement compte des consignes de sécurité suivantes.
Plus en détailCODE DU TRAVAIL Art. R. 233-15 Art. R. 233-16 Art. R. 233-17 Art. R. 233-18
CODE DU TRAVAIL Art. R. 233-15.- Les éléments mobiles de transmission d'énergie ou de mouvements des équipements de travail présentant des risques de contact mécanique pouvant entraîner des accidents doivent
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailNourrir les oiseaux en hiver
les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les
Plus en détailQuelques éléments de bibliographie :
Quelques éléments de bibliographie : La plupart des données et schémas sont issus des travaux de recherche du Laboratoire d Ecologie du Sol et de Biologie des Populations, Université de Rennes 1 (Cluzeau
Plus en détailCANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE
CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.
Plus en détailLa desserte des bâtiments
F I C H E T E C H N I Q U E N 1 2 / 1 La Service PréveNTiON edition janvier 2012 Nota : cette fiche annule et remplace la fiche technique n 05/1 Outre les mesures fixées par les règlements relatifs à chaque
Plus en détailNotice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:
Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,
Plus en détailDES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE
DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE 2 ÉDITO C R C - M C Daniel BEGUIN Jean-Marie HARAUX Jean-Pierre RENAUD Henri PLAUCHE GILLON 3 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 PARTIE 1 : DESCRIPTION DE L ESPÈCE
Plus en détailLes portes intérieures
Les portes intérieures TECHNOLOGIE 2è DEGRE Wilmotte Bernard Institut Saint-Joseph de Saint Hubert Généralités 2 Description 2 Relevé des dimensions 3 Les genres de portes 3 Systèmes de suspension ou de
Plus en détailParking. Les places accessibles devront être les plus proches de l entrée.
Parking Si vous avez un parking privé, 2% des places devront être accessibles : largeur minimum 3,30 m, place et devers de pente maxi 2%, signalétique horizontale et verticale. Les places accessibles devront
Plus en détailIII.1 - PREREQUIS. L ensemble des étapes décrites constitue les pré-requis pour cette fiche technique. Version 1.0 du 04/02/13
OBJECTIF : La constitution d un S.I.G. dédié à la connaissance du bocage d un territoire et à la gestion des actions en faveur de celui-ci est abordé dans le chapitre II du guide. Cette fiche technique
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détailPHPWEBSITE -Tutoriel image
PHPWEBSITE -Tutoriel image La capture des images depuis le web pour mon site. L optimisation d images pour le web, 1 Préparer des images pour le Web A. Généralités 1. Les trois formats d'images sur le
Plus en détailAvec quel bois. se chauffer?
Avec quel bois se chauffer??? Pourquoi choisir l énergie bois? Le bois énergie est bon marché Contrairement aux prix des énergies fossiles, celui du bois est stable. Le faible coût de ce combustible, associé
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailGarde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité.
bfu bpa upi Mb 9401 Garde-corps Base: norme sia 358 Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. Habitations, magasins, bâtiments administratifs, écoles
Plus en détail7 bis impasse Denis Dulac - 94700 Maisons-Alfort FRANCE Tél. : 01 43 68 06 13 / Fax : 01 43 68 66 09 @ : promattex@promattex.com www.promattex.
7 bis impasse Denis Dulac - 94700 Maisons-Alfort FRANCE Tél. : 01 43 68 06 13 / Fax : 01 43 68 66 09 @ : promattex@promattex.com www.promattex.com NOTICE DB-30 Ce manuel de montage contient les éléments
Plus en détailC0nstruire une mais0n. Sommaire
Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2011 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel(s)
Plus en détailDOSSIER : TOURISME ET HANDICAP
DOSSIER : TOURISME ET HANDICAP Dossier à l intention des professionnels souhaitant s améliorer dans l accueil des personnes handicapées. Réaliser les aménagements fondamentaux pour l accueil des personnes
Plus en détail(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE,
DECRET N 2-64-445 DU 21 CHAABANE 1384 (26 DECEMBRE 1964) DEFINISSANT LES ZONES D HABITAT ECONOMIQUE ET APPROUVANT LE REGLEMENT GENERAL DE CONSTRUCTION APPLIABLE A CES ZONES (B.O. n 2739 du 28-4-1965, page
Plus en détailEntente sur le passage des lignes de transport en milieux agricole et forestier. Septembre 2014
Entente sur le passage des lignes de transport en milieux agricole et forestier Septembre 2014 Table des matières INTRODUCTION...7 PARTIE 1 IMPACTS IMPACTS DES LIGNES ET DES POSTES D ÉNERGIE ÉLECTRIQUE....9
Plus en détailGUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES
GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES 1 INTRODUCTION AU PRODUIT 3 QUALITE PROFILS 4 CARACTERISTIQUES TECHNIQUES 9 TABLEAU DE PRE-DIMENSIONNEMENT 10 2 INTRODUCTION AU PRODUIT DESCRIPTION Les
Plus en détailDécrète : Ce règlement est applicable aux zones définies à l'article premier. Fait à Rabat, le 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964). Ahmed Bahnini.
Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d'habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones.( BO n 2739 du 28 Avril 1965)
Plus en détailVu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;
Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,
Plus en détailThème 17: Optimisation
OPTIMISATION 45 Thème 17: Optimisation Introduction : Dans la plupart des applications, les grandeurs physiques ou géométriques sont exprimées à l aide d une formule contenant une fonction. Il peut s agir
Plus en détailJOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES
JOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES L. R. P. C. d Autun Florian SEMENTA Février / Mars 2007 Résultats statistiques Résultats statistiques CHEMINEMENT ~ Pourquoi
Plus en détailUn outil polyvalent pour vos champs FO, FO_L, FN, FN_L + ALFA DRILL
Un outil polyvalent pour vos champs FO, FO_L, FN, FN_L + ALFA DRILL FENIX FO, FO_L Description générale PRINCIPAUX AVANTAGES DE LA MACHINE Un double châssis central (150 100 mm/120 120 mm) qui vous permettra
Plus en détailDISPOSITIF 123 B : AIDE A L EQUIPEMENT DES ENTREPRISES DE MOBILISATION DES PRODUITS FORESTIERS
AXE 1. AMELIORER LA COMPETITIVITE DES SECTEURS AGRICOLES ET SYLVICOLES Objectif : Mesures visant à restructurer et à développer le capital physique ainsi qu à promouvoir l innovation DISPOSITIF 123 B :
Plus en détailInstallez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif
Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Lors de l installation de la clôture Zenturo ou Zenturo Super en tant que mur décoratif, vous devez tenir compte de quelques
Plus en détailL ARBRE DE NOS BOURGS. carnet de santé. environnement. architecture environnement. architecture
L ARBRE DE NOS BOURGS carnet de santé architecture architecture environnement environnement L ARBRE DE NOS BOURGS CARNET DE SANTÉ SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 L ARBRE JEUNE : LES QUINZE PREMIÈRES ANNÉES 7 LA
Plus en détailDOSSIER TECHNIQUE R-GO SPA. Production et assemblage 100 % Française. 3 Rue Pierre Mendès France 61200 ARGENTAN
DOSSIER TECHNIQUE R-GO SPA R-GO SPA Production et assemblage 100 % Française 1 Implantation technique Il faut retenir que la partie technique a un encombrement total de 250 cm par 90 cm au minimum, et
Plus en détailDÉBARDAGE & SÉCURITÉ ROUTIÈRE MAI 2012
Fiche N 8 DÉBARDAGE & SÉCURITÉ ROUTIÈRE MAI 2012 OBJET Cette fiche s'applique exclusivement au domaine public RÈGLEMENTATION DÉFINITION Un chantier de débardage (dépôt de bois, stationnement ou évolution
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détail«La Fiscalité Forestière» FOGEFOR 15 novembre 2014. Ph. LADEN C.R.P.F. de Lorraine Alsace Aurélien HAAZ Expert Forestier
«La Fiscalité Forestière» FOGEFOR 15 novembre 2014 Ph. LADEN C.R.P.F. de Lorraine Alsace Aurélien HAAZ Expert Forestier Spécificités forestières : Phases d investissements lourdes et longues Risques (sanitaires,
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006
Plus en détailOutil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux -
Outil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux - 17 septembre 2014 (mis à jour le 31 octobre 2014) Afin d avoir une idée du niveau d accessibilité de son cabinet et des principales
Plus en détailPOINT DROIT. Pour obtenir le point droit triple renforcé, tournez la molette de longueur de point à la position «S1».
POINT DROIT Point droit - position d aiguille au centre Tournez le sélecteur de point jusqu à ce que le «A» apparaisse dans la fenêtre d af chage du point. Installez le pied-de-biche standard. Réglez la
Plus en détailLES ESCALIERS. Les mots de l escalier
Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement
Plus en détailProblèmes sur le chapitre 5
Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire
Plus en détailRetrouvez l ensemble des productions et services Gipen sur www.gipen.fr. Ferme comble perdu (EV : avec débord queue de vache) Ferme comble habitable
Echelle de pignon Chevêtre Ferme comble habitable (A entrait porteur (AEP)) Ferme comble perdu (EV : avec débord queue de vache) Ferme pignon Ferme comble perdu (W : avec débord entrait long) Pénétration
Plus en détailVariotec 150/GV. La ferrure. Domaine d'utilisation. Données spécifiques HAWA-Variotec 150/GV. Exemples de construction. Entailles du verre.
Ferrure en construction modulaire pour portes et cloisons coulissantes élégantes en verre de 70 à 150 kg par vantail et épaisseurs de verre de 10 12,7 mm. La ferrure La ferrure HAWA- a d'exceptionnelles
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailPerte de superficies ayant fait l objet de traitements sylvicoles
OBJET : Perte de superficies ayant fait l objet de traitements sylvicoles Numéro de la politique : FMB 017 2006 Numéro du dossier : 836 00 0003 Date d entrée en vigueur : 1 er septembre 2006 Date de révision
Plus en détailLES MURS EN STRUCTURE BOIS
LES MURS FICHE TECHNIQUE / 03 LES TECHNIQUES CONSTRUCTIVES TRADITIONNELLES Le mur en structure bois est toujours posé sur une base en pierre ou maçonnerie afin de le protéger de l'humidité (voir fiche
Plus en détailBancs publics. Problématiques traitées : FICHE
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son
Plus en détailBiomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution?
C est correct. La scie mécanique fonctionne au biocarburant. Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? Evelyne Thiffault David Paré Jacques Morissette Sébastien Dagnault Ressources naturelles
Plus en détailMarquage laser des métaux
62 Colorer Marquage laser des métaux TherMark Produit à base aqueuse pour un nettoyage rapide. Appliquer une fine couche de produit sur le métal, laisser sécher moins de 2 minutes et graver au laser. L
Plus en détailINOFOX_T2_TRACKS. Phase 1 : recherche de solutions matérielles
INOFOX_T2_TRACKS TRAINS DE CHENILLES POUR ENGINS A ROUES Phase 1 : recherche de solutions matérielles Rapport intermédiaire N interne B01203 Equipe projet : Emmanuel CACOT Pascale HELIOT Xavier MONTAGNY
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailSALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile
SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement L Epoxy facile DOMAINES D EMPLOI Recommandé pour salle de bain, douche, plan de travail cuisine, piscine, bassins thermaux,
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailNormes techniques d'accessibilité
Normes techniques d'accessibilité Informations tirées du site de la CRIPH (Cellule de Recrutement et d Insertion des Personnes Handicapées) La notion d accessibilité intègre plusieurs composantes : l accès
Plus en détailPrincipes d utilisation des lames de sol Silvadec
www.silvadec.com / info@silvadec.com / tel.:+33 (0)2.97.45.09.00 Principes d utilisation des lames de sol Silvadec A LIRE ATTENTIVEMENT AVANT TOUTE POSE DE LAMES DE SOL SILVADEC Attention!!! Les lames
Plus en détail