GUIDE TECHNIQUE D UTILISATION

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1 GUIDE TECHNIQUE D UTILISATION ÉTANCHÉITÉ À L AIR DES BÂTIMENTS

2 Sommaire CONTEXTE ET OBJECTIFS 4 LES ENJEUX DE L ETANCHÉITÉ A L AIR 5 MESURES D ETANCHÉITÉ A L AIR-CONTRÔLE DE LA PERFORMANCE 10 PRODUITS BARNIER SYSTEM 14 LES APPLICATIONS DES PRODUITS BARNIER 19 ISOLATION THERMIQUE INTÉGRÉE (OSSATURE BOIS) 20 Liaisons dalle / ossature Jonctions de menuiseries / structure Percement de membrane VK2 / VK30 / VK100 Traersée de toiture sur rampant Planchers intermédiaires ISOLATION THERMIQUE RÉPARTIE (MONOMUR) 26 Plancher intermédiaire et parois courantes Liaisons maçonnerie / huisseries Liaisons en parois courantes ISOLATION THERMIQUE EXTÈRIEURE 29 Jonctions menuiserie / maçonnerie Traersées de toitures Jonction toiture / parois courantes ISOLATION THERMIQUE INTÉRIEURE 34 Liaisons menuiseries / maçonnerie Plancher intermédiaire Toiture terrasse COMPLÉMENTS 38-3-

3 Contexte et objectifs Sur l échelle de la construction, l étanchéité à l air des bâtiments est une discipline récente. Déeloppée à partir de la fin des années 70 aux Etats-Unis, elle s est démocratisée en France depuis la fin des années 90 sous l impulsion des CETE régionaux (Centre d études techniques et de l équipement). Les conséquences d infiltrations d air non désirées étaient alors peu connues et les préoccupations des maîtres d ourages plus portées sur l étanchéité à l eau, la structure du bâti, l esthétique Depuis le début des années 2000, aec la prise de conscience de l épuisement des ressources, du changement climatique, de la pollution de l air (intérieur et extérieur), des bruits urbains, la qualité de la construction s est généralement améliorée, et aec elle les technologies associées. La maîtrise de l étanchéité à l air de l eneloppe des bâtiments est une discipline associée à cette amélioration de la qualité du bâti. Il est dorénaant incontournable de réaliser une eneloppe étanche à l air, au même titre qu une eneloppe étanche à l eau. Les coûts associés à une qualité médiocre de réalisation sont éleés, tant sur les aspects énergétiques que sanitaires. Face aux enjeux énergétiques et enironnementaux, la France ient de se doter d une règlementation thermique parmi les plus exigeantes au monde (RT 2012, site web : dans le cadre du Grenelle de l enironnement. Les préoccupations des occupants en matière de qualité de l air intérieur n ont jamais été aussi éleées : les médecins tirent depuis de nombreuses années la sonnette d alarme (Voir publication de référence : Guide de l habitat sain, S. et P. Déoux, 2004). Il est également reconnu que le bruit est source de nuisance pouant entraîner dierses maladies. Les objectifs de la maîtrise de l aéraulique des bâtiments sont multiples, mais isent tous à l amélioration de la qualité des constructions, des économies d énergie et à l amélioration du confort des espaces clos. Les enjeux de l étanchéité à l air dans les espaces de ie sont fondamentaux et seront déeloppés ci-dessous dans ce présent guide. Les préconisations et conseils exposés dans ce guide résultent d une expérience théorique et de terrain significatie de l auteur (bureau d études FGE). L utilisation de ce guide n engage que l utilisateur et l auteur ne pourra nullement être tenu pour responsable d une quelconque application de ce guide. Les enjeux de l étanchéité à l air L étanchéité à l air des bâtiments est une discipline transersale qui impacte des domaines aussi cruciaux que ariés : l énergie, la santé, le bruit, l insalubrité, la réglementation L énergie La France ne dispose sur son territoire que de 0,01 % des réseres fossiles de la planète et consomme pourtant 1,2 % de la production primaire mondiale. Cette forte dépendance extérieure pousse à la performance énergétique, et ce depuis le premier choc pétrolier en 1973, puis le second en De là sont nées les premières réglementations thermiques (RT 1974, 1982, 1988, 2000, 2005 et 2012). La dernière en date est plus stricte que les précédentes : il faut globalement diiser par deux la consommation d énergie des bâtiments par rapport à la réglementation de Le secteur du bâtiment est responsable de presque 45 % de la consommation d énergie primaire de la France. C est pourquoi la RT 2012 se eut pionnière et exigeante. La réglementation thermique RT 2012 : Elle a pour objectif de permettre d atteindre les objectifs du Grenelle de l enironnement en réduisant fortement la consommation d énergie des bâtiments. Comme pour la RT 2005, la RT 2012 prend en compte le coefficient de consommation d énergie primaire théorique à ne pas dépasser (Cepmax) équialent à : Où la consommation Cepmax ne doit pas dépasser 50 kwh en énergie primaire par m2 par an, modulée en fonction du type de bâtiment, de sa localisation géographique, de son altitude, de sa surface et de ses émissions de gaz à effet de serre (GES). Le coefficient Bbio pour «Besoins bioclimatiques» permet d éaluer la performance de l eneloppe hors système. Il a pour ocation de aloriser une conception intelligente : orientation au sud, bon ratio de surfaces itrées, inertie thermique, alorisation des apports gratuits Il sera également pondéré en fonction de la situation géographique, de l altitude et de la surface du bâtiment. Comme pour la RT 2005, le coefficient TiC (Température intérieure conentionnelle) sert à éaluer le confort d été RSYSTEM - CONTEXTES&OBJECTIFS - BARNIERSYSTEM - CONTEXTES&OBJECTIFS -BAR

4 Le calcul de ces aleurs est standardisé par une méthode appelée ThBCE et alable pour l ensemble des bâtiments soumis à la réglementation thermique. La date d entrée en igueur de cette réglementation est applicable pour tous les permis de construire déposés à partir du 28 octobre 2011 pour les bâtiments neufs du secteur tertiaire, public et les bâtiments à usage d habitation construits en zone ANRU et à partir du 1er janier 2013 pour tous les autres types de bâtiments neufs. La réalisation de tests d étanchéité à l air sera obligatoire pour les bâtiments d habitation (maisons et immeubles). Les nieaux d étanchéité à l air à ne pas dépasser sont ceux du label BBC Effinergie. En matière de rénoation, seule la RT 2005 est pour l instant de igueur, les traaux pour la RT 2012 sont en cours. Ce n est pas pour autant que l enjeu n est pas réel : le parc de bâtiment en France ne se renouelle que de 1 % par an! Les objectifs du gouernement sont d atteindre le bâtiment à énergie positie d ici 2020! RT 2012 RT 2000 Bâtiments moyens Épae thermique RT 2005 Voie des bâtiments neufs Route du parc existant En route ers des bâtiments à énergie posite (source : Effinergie) A l heure actuelle, certains labels permettent d atteindre un nieau performant en matière de consommation d énergie : Passi Hauss, Minergie, BBC Effinergie mais sont minoritaires pour l ensemble du patrimoine bâti français. Ils ont seri d expérimentateurs pour la RT Le scénario Négawatt, promu par l association Négawatt ( a démocratisé les bonnes pratiques de l utilisation rationnelle de l énergie, qui se résume par ce triptyque : Sobriété, Efficacité et Energies renouelables. L étanchéité à l air est un des points clé de l efficacité. Le scénario Négawatt (source : association Négawatt) Tendance négawatt 1. Sobriété 2. Efficacité 3. Renouelables Une mauaise étanchéité à l air est synonyme de pertes d énergie éleées : En entilation simple, une mauaise étanchéité à l air cause une surconsommation de l ordre de +10 %, et peut monter jusqu à 25 % dans le cas d une entilation double flux (source CETE Lyon). En effet, des entrées d air parasite augmentent le taux de renouellement d air et par la même l efficacité des systèmes de entilation. Pétrole 70$ Pétrole 70$ Pétrole 70$ Bonne étanchéité Simple flux + 10% Pétrole 70$ Pétrole 70$ Pétrole 70$ Double flux + 25% Pétrole 70$ Pétrole 70$ Pétrole 70$ Pétrole 70$ Mauaise étanchéité La pose aléatoire d une membrane pare-apeur peut causer des dégâts irréersibles. Par exemple, une fente de 1 mm par 1 m (très courant encore aujourd hui) sur 1 m 2 de paroi implique une perte de presque 80 % des propriétés thermiques de cette dernière. Impact sur la consommation d une mauaise étanchéité à l air (source : CETE de Lyon) RSYSTEM - CONTEXTES&OBJECTIFS - BARNIERSYSTEM - CONTEXTES&OBJECTIFS -BAR

5 Le changement climatique Les émissions de gaz à effet de serre (GES) responsables en grande partie des changements climatiques sont imputées pour 25% au secteur du bâtiment. Les liens entre émissions de GES et consommation d énergie sont éleés : toute consommation (combustion) d énergie fossile produit des gaz à effet de serre, essentiellement sous forme de CO 2. Plus les bâtiments sont performants, moins ils polluent! C est pourquoi la réduction des consommations d énergie des bâtiments aura aussi un effet bénéfique sur le climat. Santé et dégradation du bâti Un français «moyen» passe plus de 80 % de son temps dans des lieux clos, essentiellement des bâtiments (au traail, à la maison, au cinéma, en acances ). Déjà annoncé par Hippocrate il y a plus de 2500 ans, et remis au goût du jour depuis le scandale de l amiante, les relations de cause à effet entre santé et enironnement sont fortes. Il est inconceable de passer le plus clair de son temps dans des endroits pollués. Une bonne étanchéité à l air permet d éiter de nombreuses pathologies liées aux bâtiments malsains : l Une bonne efficacité du système de entilation permet un bon renouellement d air et limite l accumulation de polluants de l air intérieur. Dans certains cas extrêmes, cette pollution engendre chez des personnes sensibles l apparition du syndrome des bâtiments malsains (SBM). l Les infiltrations d air indésirables peuent prooquer de la condensation et faoriser l apparition de moisissures. Ces dernières sont à l origine d allergies et de maladies pulmonaires. Diminution de la température Augmentation de l'humidité Relatie INTERIEUR Ecoulement Aéraulique Condensation = = = = = = = = EXTERIEUR Dégradations liés à la condensation suite à une mauaise étanchéité à l air (source : CETE de Lyon) Moisissures et Oxydations Le confort des occupants Une mauaise étanchéité à l air est génératrice de courants d air à l intérieur des olumes chauffés, ce qui a pour conséquence d abaisser la température opératie (T ressentie) des occupants. Tout le monde le sait, le ent accentue l effet du froid! Vent INFILTRATIONS Confort hygrothermique (source : CETE de Lyon) De la même manière, les sons pénètrent plus facilement dans les bâtiments par les entrées d air. Un bâtiment peu étanche à l air est très sujet aux bruits extérieurs. Protections antibruit EXFILTRATIONS Des infrastructures coûteuses sont mises en place pour palier à la piètre qualité des constructions. L inconfort acoustique peut mener à des troubles graes (fatigue, insomnies, nerosité, ) et à des conflits de oisinage. Un bon traitement de l étanchéité à l air permet de réduire la contrainte acoustique RSYSTEM - CONTEXTES&OBJECTIFS - BARNIERSYSTEM - CONTEXTES&OBJECTIFS -BAR

6 Mesure de l étanchéité à l air Contrôle de la performance Seule la mesure de l étanchéité à l air d un bâtiment (ou partie de bâtiment) est efficace pour contrôler la qualité de la réalisation. Lors du processus de Conception Réalisation, il s agit d un moyen optimal pour alider la réalisation de l étanchéité à l air. Principe Il s agit de mesurer les débits d air parasites de la construction en créant une pression différentielle entre l intérieur et l extérieur de l eneloppe au moyen d une turbine mécanisée. Cette technique permet également de isualiser les infiltrations d air, et de corriger les défauts identifiés. La méthodologie suit scrupuleusement la norme NF EN (férier 2001) et son guide d application. Pour réaliser ce type de tests, il faut faire appel à un spécialiste de la discipline, référencé sur le site de la réglementation thermique Actuellement, un test d étanchéité à l air n est obligatoire que dans le cadre de la demande de label BBC Effinergie, ainsi que pour certains concours spécifiques. La RT 2012 imposera la réalisation des tests pour les logements neufs (maisons indiiduelles et logements collectifs). Implantation d une porte soufflante (Source : Bureau d étude FGE) Les outils Les tests d étanchéité à l air sont réalisés, dans la plupart des cas, par un système de entilation de type «porte soufflante», mis en lieu et place d une ouerture du bâtiment. Il existe d autres systèmes, mais utilisés de manière marginale (Banc grand olume, perméascope ). L inspection des fuites peut être réalisée par plusieurs moyens : l par obserations isuelles et au «toucher» par ressenti des courants d air l par l injection de fumigènes, permettant de isualiser les flux d air, l par thermographie, mettant en éidence les contrastes de températures liés aux infiltrations. Visualisation des défauts: fumigènes et thermographie (Source : bureau d études FGE) Généralement, deux à trois tests sont réalisés : un à deux en cours de chantier, qualitatifs, permettent de corriger les éentuels défauts et un à réception, à la fin des traaux, pour alider la réalisation. Grandeurs représentaties La mesure de l étanchéité à l air d un bâtiment nécessite la manipulation de grandeurs physiques. L étanchéité à l air se quantifie en France par la aleur de Q4PaSurf, en m 3 /(h.m 2 ). Cette grandeur est calculée suite aux mesures réalisées par le système d acquisition des données. Il s agit de l indice de perméabilité à l air sous 4 pascals de pression en fonction de la surface déperditie de parois (hors planchers bas). Pour obtenir le label Passi Hauss, l indicateur utilisé est le n50, taux de renouellement d air sous 50 pascal, en h RSYSTEM - MESURES&CONTROLES - BARNIERSYSTEM - MESURES&CONTROLES -BAR

7 La figure ci-dessous permet de comparer les aleurs de Q4 et de n50 : Pour les logements indiiduels : Excellent LABEL BBC RT ,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 1,6 1,7 1,8 1,9 2,0 2,1 Et pour les logements collectifs : Excellent Bon RT 2005 Valeur de référence Moyen LABEL BBC RT 2012 Bon RT 2005 mauais RT 2005 (source : CETE de Lyon) Valeur par défaut Valeur de référence Moyen Très mauais RT 2005 mauais Valeur par défaut 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 1,6 1,7 1,8 1,9 2,0 2,1 Très mauais Il est clairement indiqué que le nieau Passi Hauss est nettement plus exigeant. La surface de fuite équialente Al représente la surface totale de fuite et de défauts d étanchéité à l air obseré pour le bâtiment testé. A titre de comparaison un nieau «aleur de référence» RT 2005 représente (pour une habitation de 110 m2 et 2,5 m de hauteur sous plafond) une surface de 282 cm 2. Pour une habitation équialente de nieau Passi Hauss, cette surface représente 56 cm 2, soit 5 fois moins! Comparaisons des fuites pour une maison traditionnelle (en rouge) et passie (en bleu) (Source : CETE de Lyon) L étanchéité à l air est une discipline exigeante, qui nécessite l implication de chaque corps d état. Il est impératif, pour le succès de l opération, d impliquer l ensemble des métiers. Il faut pour cela, une prise en compte de l étanchéité à l air par les concepteurs : réalisation de carnets de détails, concertation aec le BE Fluide thermique ou l AMO (Assistant Maîtrise d Ourage) Etanchéité à l air. Il faut à cela ajouter une équipe de réalisation formée et concernée, et bien éidement, de bons produits, adaptés aux cas de figure. A titre indicatif, pour une habitation de 110 m 2 et de 2,50 m sous plafond, il faut entre 220 et 270 m 2 de membrane pare-apeur et plus de 250 m d adhésifs type 1235 Barnier Sytem RSYSTEM - MESURES&CONTROLES - BARNIERSYSTEM - MESURES&CONTROLES -BAR

8 Produits Barnier System La réalisation d une étanchéité à l air performante ne peut être réalisée sans les produits adaptés. C est pourquoi la gamme Barnier System a été conçue pour traiter la totalité des points clés. Les carnets de détails présentés ci-dessous expliquent comment employer les produits à bon escient. Attention! Ils ne remplacent pas les DTU et/ou autres documents spécifiques des règles de l art. Les pare-apeur frein-apeur Barnier System Frein apeur VK2 / VK30 et Pare-apeur VK100 : L écran frein-apeur ou pare-apeur à employer dépend de plusieurs facteurs : le climat local, le procédé constructif, les conditions d utilisation du bâtiment Plus les conditions hygrothermiques sont difficiles (fort taux d humidité intérieur, températures extérieures négaties ), plus la aleur de Sd doit être éleée. Il est généralement conseillé d utiliser un Sd 100 pour l isolation par l intérieur en France, un Sd 20 à 100 pour l isolation intégrée (ossature bois) et l isolation répartie (Monomur). La aleur de Sd dans le cas d une isolation par l extérieur peut être comprise entre 2 et 100 selon les cas de figure. Conseils de pose : L application du pare-apeur doit être entièrement continue et exempte de trou ou d accroc. La continuité entre deux membranes doit être assurée par les adhésifs de la gamme 1235, apposés sans plis ni discontinuités. Il ne faut pas fixer les pare-apeur à l aide d agrafes. Il existe un risque fort de déchirure. L emploi de l adhésif 4472F et de la colle BB100 est recommandé SYSTEM - LAGAMME - BARNIERSYSTEM - LAGAMME - BARNIERSYSTEM - LAG

9 Les rubans adhésifs Barnier System Gamme 1235 : Adhésifs conçus pour le jointoiement des pare-pluie et pare-apeur. Conseils de pose : Appliquer sur une surface plane, sèche et propre. Reprendre la pose en cas de plis et de agues (infiltrations d air pénalisant l étanchéité à l air). Pour tout traitement d angle, utiliser la référence 1235 PP F : Transfert double face permettant de fixer les membranes pare-apeur sur les supports adaptés. Conseils de pose : Préférer un adhésif double face ou un transfert à des agrafes. Ce produit permet d éiter tout déchirement lors de l application des membranes, et garantit de meilleurs résultats d étanchéité à l air. La durée de ie de la liaison est également plus longue qu aec des agrafes. La colle Barnier System Colle BB100 : Colle adaptée à la fixation des pare-apeur sur tous supports dans une optique de performance. Améliore la qualité de l étanchéité à l air. Conseils de pose : Appliquer la colle en réalisant une pression continue. Le filet de colle doit être homogène et doit contenir une quantité de matière suffisante sur l ensemble de la jonction à traiter. Pour palier au risque de rupture du filet de colle et garantir une bonne étanchéité à l air, appliquer deux filets de colle. Pour assurer une étanchéité à l air conenable, il est indispensable d appliquer le produit sur une surface propre et sèche. Les joints de compression Barnier System 3509 Patch et 3509 Band : Joints de compression adhésifs assurant l étanchéité de points particuliers (issage, clouage, jonctions de parements...). Conseils de pose : Appliquer systématiquement entre l élément particulier et le pare-apeur (par exemple fixation d un parement sur des tasseaux comprimés sur un pare-apeur, zone où il y a risque de frottement et d usure du pare-apeur ). Il éite l arrachement du pare-apeur et assure un renfort de l étanchéité à l air durablement SYSTEM - LAGAMME - BARNIERSYSTEM - LAGAMME - BARNIERSYSTEM - LAG

10 Les bandes de raccordement Barnier System Bande de raccordement et d étanchéité BB350 : Permet la jonction entre un élément traersant une paroi et la membrane (ou le panneau) d étanchéité à l air. Il s agit d un butyle extensible pour applications courbes de précision (passages de câbles, de gaines d éacuation, de conduits ). Conseils de pose : Appliquer sur une surface propre et sèche. Sa flexibilité permet d ajuster la bande sur tout support et de traiter parfaitement l étanchéité à l air. Vérifier la parfaite continuité entre le support et l élément après la pose. A chaque percement doit correspondre un traitement par bande sous peine de courir un risque de fuite. Bande d arase BA 300 : Elle assure la correction des défauts de planéité entre le support et la structure et éite les remontées capillaires. Conseils de pose : La bande d arase doit être appliquée sur une surface propre et sèche. Elle ne doit être plissée pour assurer une bonne étanchéité à l air. Les applications des produits Barnier System diergent en fonction du procédé constructif. Il sera présenté 4 grands procédés constructifs (du point de ue de l isolation) utilisés en France. Il existe bien éidemment d autres procédés, mais étant plus marginaux, ils ne font pas parti de ce guide. Les détails exposés ci-après sont les plus courants, mais ne représentent en aucun cas l exhaustiité des cas de figure. La discipline étant en éolution constante, les risques de non étanchéité à l air exposés et les solutions à apporter ne peuent être complets

11 Isolation thermique intégrée (ossature bois) La réalisation de bâtiments en ossature bois impose de maîtriser les flux de apeur et d air dans les parois. Les détails ci-après expliquent, pour les principaux points singuliers de la construction, des possibilités de réalisation. Liaisons dalle / ossature : Risques d infiltrations : jonction du pare-apeur au sol brut (sur béton),percement de la membrane par issage / clouage du parement intérieur, utilisation d un mauais pare-apeur. Colle BB 100 (2 bandes) pour la jonction au sol, bande d arase BA 300 étanche à l eau et si possible à l air (dépend de la planéité), patch ou bande de issage 3509, pare-apeur VK Jonctions de menuiseries / structure : Risques d infiltrations : manque de continuité entre le pare-apeur et le dormant de la menuiserie, utilisation du mauais pare-apeur, percement inolontaire d une membrane, oubli d adhésif entre l huisserie et la membrane pare-apeur. Utilisation d un pare-apeur VK30/100 sans plis ni accrocs, assurer la jonction entre le dormant de la menuiserie et le pare-apeur à l aide d un adhésif de la gamme 1235 et 1235 PP, prendre en sandwich la membrane pare-apeur entre le dormant et l appui, assurer la planéité de la jonction entre adhésif et pare-apeur IERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS - BARNIERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS

12 Centre d'information Technique : ,150 TTC / MN Percement de membrane VK30/100 : Risques d infiltrations : risque d arrachement de la membrane par torsion lors du issage, risque d arrachement post-percement suite aux mouements incontrôlés de la membrane (effet «parapente»), agrafages intempestifs Mise en place d un patch ou d une bande de issage / clouage 3509 entre les deux éléments concernés (tasseaux, montants, lisses, ) IERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS - BARNIERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS

13 Traersée de toiture sur rampant : Risques d infiltrations : rupture de la continuité du pare-apeur, percement, malfaçon dans la pose des adhésifs. Optimisation de la continuité du pare-apeur VK30/100 aec adhésifs 1235, ajout d une bande de raccordement BB 350 pour fixation des fourreaux, mise en place de patch et /ou bandes de issages 3509 sur cherons. Planchers intermédiaires : Risques d infiltrations : frottements entre parement et pare-apeur, mauaise continuité entre deux lés de membranes, pose approximatie des adhésifs de recourement. Usage des pare-apeur VK30/100 et recourement des lés aec un adhésif de la gamme 1235, pose d un patch ou bande de recourement adhésif 3509 à la jonction entre le parement et la membrane pare-apeur IERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS - BARNIERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS

14 Isolation thermique répartie (Monomur) L isolation d un bâtiment est assurée par la maçonnerie. Des éléments de parois sont dit «Monomur» lorsque leurs propriétés permettent d assurer à la fois une fonction structurelle (résistance) et d isolation. Ces matériaux se présentent en blocs (brique, pierre ponce, argile expansée, ) qu il faut jointoyer. Ce type de paroi est, de par la conception, non étanche à l air durablement. L enduit intérieur ou extérieur ne peut pas assumer durablement la fonction d étanchéité à l air. Les coupes décrites ci-dessous présentent quelques possibilités de traitement de l étanchéité à l air au nieau des principaux points faibles : les huisseries et les parois courantes. Centre d'information Technique : ,150 TTC / MN Liaisons maçonnerie / huisseries : Risques d infiltrations : au nieau de l appui de fenêtre, entre le rejingot et l élément de structure, entre le rejingot et le dormant de la menuiserie. Assurer la continuité du pare-apeur entre le rejingot ou l appui de fenêtre et la brique. Appliquer pour cela un adhésif spécial angle 1235 PP entre la menuiserie et le pare-apeur en continu. Les enduits ne peuent assurer durablement l étanchéité à l air IERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS - BARNIERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS

15 Liaisons en parois courantes : Risques d infiltrations : au nieau du recourement des lés, de la réalisation d accrocs et de percements, de la fixation des tasseaux et du parement intérieur. En parois courantes, utiliser un adhésif 1235 pour recourir les lés de pare-apeur, en érifiant la planéité de la réalisation (pas de plis ni de agues). Cette technique impose de réaliser un ide technique aec parement intérieur permettant de laisser passer les gaines et les câbles dans le bâtiment, à l intérieur de l eneloppe étanche à l air. Appliquer une membrane pare-apeur VK2/30/100 sur la totalité du mur en recourant les lés aec un adhésif 1235 adapté. Attention, l enduit ne doit pas assumer l étanchéité à l air du bâtiment, car les enduits peuent être facilement dégradés (percements, fissuration au séchage et à l usage, décoration ) et pénaliser l étanchéité à l air. Isolation thermique extérieure Les risques d une mauaise étanchéité à l air sont réduits en isolation par l extérieur dans le cas d une réalisation des murs en béton plein (béton banché). Les risques de fuites sont accrus lorsque les parois sont réalisées en brique ou en blocs de béton creux. Les détails ci-dessous présentent essentiellement les cas de figures aec une structure en blocs. Plancher intermédiaire et paroi courante : Risques d infiltrations : rupture (ou absence) de la continuité des filets de colle, mauais plaquage des adhésifs pour joindre les lés de pare-apeur, arrachements en torsion du pareapeur lors du issage ou clouage du parement intérieur, passage de gaines et de câbles depuis l extérieur, percement du parement (décorations, boitiers électriques, ). Fixation d un pare-apeur VK2/30/100 continu par deux liserés de colle BB 100, pose de patch ou bande de issage clouage 3509, passage des gaines et câbles dans le ide technique, recourement des lés de pare-apeur par des adhésifs de la gamme IERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS - BARNIERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS

16 Jonctions menuiseries / maçonnerie : Risques d infiltrations : absence ou manque de recourement du pare-apeur au nieau du dormant des huisseries, mauaise jonction entre dormant et pare-apeur, rupture de la continuité du pare-apeur au nieau du rejingot. Centre d'information Technique : ,150 TTC / MN Pose d un pare-apeur VK2/30/100 continu et jointoiement par un adhésif adapté type 1235 PP. Eiter les plis et les agues sources d infiltrations d air. Ni l enduit intérieur ni l enduit extérieur ne peuent assurer l étanchéité du bâtiment IERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS - BARNIERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS

17 Traersées de toitures : Risques d infiltrations : essentiellement à la jonction entre l élément traersant (gaine, conduit, ) et la partie maçonnée. Réaliser des percées ou des trémies les plus régulières possibles. Glisser les gaines dans des fourreaux résilients. Apposer une bande de raccordement extensible (butyl) type BB 350 entre la maçonnerie et l élément à encastrer. Ne pas utiliser d adhésifs. Jonction toiture / parois courantes : Risques d infiltrations : mauais (ou absence) recourement des lés de pare-apeur, plis et agues liés à une mauaise pose des adhésifs de recourement, pare-apeur inadapté, percement et arrachement suite à un issage / clouage intempestif. Choisir un adhésif de recourement des lés adapté type 1235, installer un pare-apeur de qualité type VK2/30/100, fixer si besoin le pare-apeur à l aide d un adhésif double-face type 4472 F IERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS - BARNIERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS

18 Isolation thermique intérieure Comme pour réaliser un bâtiment basse consommation, réaliser une eneloppe étanche à l air en isolation par l intérieur est plus délicat que pour les autres procédés constructifs. Il est nécessaire de redoubler de igilance et de doubler les sécurités. Liaisons menuiseries / maçonnerie : Risques d infiltrations : absence de pare-apeur continu (très fréquent), absence ou réalisation partielle de jonction entre le dormant de la menuiserie et la maçonnerie. Pose d une membrane pare-apeur homogène et continue adaptée type VK2/30/100 sur l ensemble des murs du bâtiment et recourement des lés par un adhésif durable type 1235 S. Pose d un adhésif 1235 PP serant de liaison entre le dormant de la menuiserie et la membrane pare-apeur. Bien aplanir les surfaces à lier. Ne pas laisser de plis ni de agues entre l adhésif et la membrane. Centre d'information Technique : ,150 TTC / MN IERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS - BARNIERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS

19 Plancher intermédiaire : Risques d infiltrations : rupture de continuité de l étanchéité entre le mur ou la dalle aec le pare-apeur. Déchirure par frottement du parement intérieur sur le pare-apeur. Pose des membranes pare-apeur VK2/30/100 protégées par le parement intérieur, collage par deux liserés de colle BB 100 en partie haute et en partie basse des lés, fixer sur une surface propre et sèche, pose de patch et/ou bande de issage 3509 pour éiter l arrachement de la membrane lors d une fixation. Toiture terrasse : Risques d infiltrations : absence de continuité entre la membrane pare-apeur horizontale et la membrne erticale, percement des membranes par issage, mauaise fixation en toiture et au sol des membranes pare-apeur. Pose de membranes pare-apeur adaptées type VK 2/30/100, fixation en plafond et en dalle par deux liserés de colle BB 100, recourement des membranes pare-apeur horizontales et erticales scellées par un adhésif de type 1235 S. Pose de patch / bande de issage 3509 pour éiter tout arrachement de membrane IERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS - BARNIERSYSTEM - PROCÉDÉSCONSTRUCTIFS

20 COMPLÉMENTS Le SD Pour tout matériau, il peut être défini un facteur de résistance à la diffusion de apeur dépendant de caractéristiques physiques telles que la porosité, nommé µ (sans unité). En multipliant ce facteur de résistance à la diffusion µ, par l épaisseur du matériau on obtient «l épaisseur de couche d air de diffusion équialente» : Sd (en m). Représentant l épaisseur d une couche d air dont la perméance est identique à l épaisseur de matériau considéré. Plus cette aleur est importante, plus le film est «étanche». Par exemple : Un frein-apeur ayant un Sd de 100 m équiaut à la perméance d une lame d air de 100 m d épaisseur. Il est généralement conseillé d utiliser un SD100 pour l isolation par l intérieur en France, un Sd 20 à 100 pour l isolation intégrée (ossature bois) et l isolation répartie (Monomur). La aleur de Sd dans le cas d une isolation par l extérieur peut être comprise entre 2 et 100 selon les cas de figure. Le recours à un bureau d étude spécialisé est recommandé afin d estimer le nieau de perméabilité optimal correspondant à la composition de chaque paroi limitant ainsi les risques de dégradations ultérieures. Ratio d utilisation A titre indicatif pour une habitation de 110m² et de 2,50m sous plafond il faut entre 220 et 270m² de membrane frein-apeur et plus de 250m d adhésifs type

21 Une gamme complète de produits adaptés 1235 Spécial 1235S 1235 Spécial Box 1235SB 1235 Large 1235L 1235 Extra Large 1235XL 1235 PrePosition 1235PP 4472 Fix 4472F 3509 Patch 3509P 3509 Band 3509B Colle pare apeur BB100 BB350 Extensible BB350 BA300 Protect BA300 Vapour Kontrol 2 VK2 Vapour Kontrol 100 VK100 GUIDE TECHNIQUE D UTILISATION ÉTANCHÉITÉ À L AIR DES BÂTIMENTS - infobarnier@scapa.com -FGE Bureau d études - Photos : / Fotolia SCAPA FRANCE - Diision BARNIER , rue Edouard Branly - BP VALENCE cedex Tél Fax

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