Intervention de C. Demilly Directeur de la Caf d Ille-et- Vilaine au Forum des FRANCAS le 28 juin 2008 à Tours LOISIRS DES JEUNES ET MIXITE SOCIALE
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- Renée Lamontagne
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1 Intervention de C. Demilly Directeur de la Caf d Ille-et- Vilaine au Forum des FRANCAS le 28 juin 2008 à Tours LOISIRS DES JEUNES ET MIXITE SOCIALE INTRODUCTION Pour un enfant ou un jeune, le temps libre est un temps où il n est pas en milieu scolaire, où il ne répond pas à des besoins fondamentaux (sommeil, nutrition), un temps où il ne répond pas à des obligations familiales. C est un temps dont l enfant ou le jeune est acteur ou pourrait l être. Au cours des années 80, le travail des femmes ayant un enfant d âge scolaire s est généralisé. Elles étaient 30% en Elles sont plus de 85% aujourd hui. Cette mise au travail salarié des femmes a bouleversé la conception traditionnelle de l accueil de l enfant et de son temps libre au sein de notre société, conception qui s appuyait sur deux institutions : l école et la famille. Les modes de vie familiaux ont aussi profondément évolué. Les familles monoparentales augmentent, les grands-parents traditionnels auxiliaires d éducation, ne sont plus autant disponibles, la mobilité géographique et sociale les ayant éloignés de leurs enfants. Par ailleurs la diminution du temps de travail permet plus de temps libre partagé. De nouveaux vecteurs éducatifs ont vu le jour : la télévision pour enfants ainsi que les outils multimédias ont connu un essor considérable. Enfin, nombre d enfants vivent dans des zones très urbanisées, zones où les loisirs naturels sont peu présents. Aujourd hui, le temps libre est devenu pour tous les enfants et les jeunes un pôle de vie à part entière. Cela ne signifie pas repli sur soi et nouvelles pratiques de consommation, ni retrait dans la famille avec gain d autonomie en son sein. Le temps libre porte, en potentiel tout au moins, 1
2 toute une dimension socialisatrice complémentaire de celle de la famille et de l école. Ce temps libre est aussi celui de l apprentissage de l autonomie et de la citoyenneté. Enfin, il est important de souligner qu il est encore très inégalement investi par les familles tant en nombre d heures qu en choix d activités, que les offres de service par territoire sont très diversifiées et ces offres de loisirs ne sont pas toujours bâties sur la mixité sociale, sujet qui nous réunit dans cet atelier. LES CAISSES D ALLOCATIONS FAMILIALES ET LE TEMPS LIBRE : ETAPES D UNE POLITIQUE. Quelques mots au préalable de l histoire des Caf et de la politique du temps libre. Dès l après guerre, les Caf s inscrivent dans une politique de soutien au départ en vacances. En 1948, le poste vacances représentera 31% des dépenses d action sociale. Cette politique va s orienter autour de deux axes jusqu en D une part, elle favorisera le départ en vacances des enfants par une solvabilisation de leurs familles, d autre part, elle participera à l essor du secteur associatif dans le domaine du tourisme et du loisir. La période verra s intensifier l aide aux organismes de vacances créés par le secteur associatif, l intervention directe auprès des familles se réduisant plus ou moins selon les caisses. Peu à peu on va glisser d une aide au départ des seuls enfants vers une aide au départ familial, mais toujours dans un cadre collectif avec des animations sur place. Cette conception -familiale et collective- va s affirmer de 1975 à Tout en continuant de soutenir les équipements destinés à accueillir les vacanciers, les CAF vont aussi prendre conscience que les familles les plus défavorisées se trouvent écartées du bénéfice de cette formule et vont s orienter progressivement vers une aide plus sélective en termes de ressources. La notion de familles défavorisées reste large, puisque près des deux tiers des familles allocataires ouvrent droit aux bons-vacances. Le virage est toutefois amorcé et, au fil des ans, le nombre de bénéficiaires va décroître. La période se caractérisera par un abandon de l aide aux organismes de vacances. C est une page qui se 2
3 tourne, celle d un tourisme social collectif. Les fonds consacrés aux vacances dans les budgets d action sociale sont sensiblement réduits au profit d autres champs d action comme celui de la petite enfance. L intervention se concentre sur les familles modestes et défavorisées par l intermédiaire du bon vacances et sur deux axes en développement : les opérations de premier départ en vacances et les loisirs de proximité. Derniers positionnements de la branche famille : La problématique du temps libre des enfants et des jeunes reste une composante importante de la politique familiale des CAF. La CNAF a d ailleurs rappelé récemment que la politique du temps libre de l institution visait à favoriser l accès aux loisirs de proximité et aux séjours de vacances pour les enfants, les jeunes et les familles par la structuration d une offre de qualité et le développement d outils mieux adaptés à leurs besoins différenciés. Trois objectifs sont poursuivis : - favoriser l épanouissement de l enfant et de l adolescent et mieux préparer son intégration dans la société, - permettre aux parents l articulation de leurs obligations professionnelles et leur vie familiale, - resserrer les liens parents enfants à l occasion de loisirs partagés. Pour atteindre ces objectifs, la Cnaf a mis en place un dispositif national en 1998 : le contrat temps libre. Ce contrat avait pour vocation d aider les communes ou groupes de communes à développer une politique globale d action sociale en faveur des loisirs organisés et des temps libres des jeunes de 6 à 18 ans. Un des principes affirmés par la Cnaf était celui de la couverture de l ensemble de la population. Ce principe, compte tenu des fortes contraintes qui pèsent sur les finances publiques, est largement amendé. Les nouveaux principes qui se dégagent sont ceux de l efficience et du ciblage social territorialisé. De plus les contrats temps libres sont 3
4 fusionnés avec les contrats enfance pour donner les «contrats enfance jeunesse». Il est indéniable que dans ces contrats unifiés la partie loisirs jeunesse se retrouve au deuxième plan par rapport à la partie petite enfance. (Enveloppes budgétaires moins importantes actions limitées en direction des ans). TEMPS LIBRE ET MIXITE SOCIALE La mixité sociale est aussi difficile à réaliser dans le domaine du temps libre de proximité que dans celui des vacances familiales. Pour avoir géré des centres de vacances, je peux vous dire que si la mixité sociale est un objectif louable, sa réalisation est extrêmement difficile. Des modes de vie différents, des cultures différentes, des besoins différents font que la coexistence de familles de milieux différents est difficile. Pour parler clair, il est plus facile de réaliser de la mixité sociale avec les enfants qu avec les parents. Les Caf ont toujours souhaité que les enfants de familles modestes voire défavorisées puissent bénéficier d une offre de service dans le domaine du temps libre. Comment favoriser cette mixité? C est d abord en aidant financièrement les structures ou les associations qui proposent des activités aux enfants et aux jeunes qu on permettra un accès à tout le monde. L accent doit être particulièrement mis sur le milieu rural, moins bien pourvu, et où les difficultés de financement peuvent être exacerbées. Cette aide se traduit par un soutien financier pour la création, puis pour le fonctionnement des équipements. C est à travers les contrats enfance jeunesse que l aide de la Caf peut avoir un effet levier. Par un soutien financier, et l accompagnement technique proposé, elle permet aux communes d augmenter et de diversifier leur offre en direction des jeunes et des enfants. Ce soutien est destiné aux communes qui développent une politique jeunesse mais a inévitablement des répercussions sur les associations actrices du temps libre. 4
5 C est ensuite en préconisant l application de tarifications en fonction des ressources pour faciliter l accès des familles les plus modestes. Cette mesure déjà inscrite dans les conventions passées entre la Caf et les gestionnaires est réaffirmée dans le cadre des contrats enfance jeunesse, qui la rendent désormais obligatoire. Ces tarifications relèvent de chaque gestionnaire et ne font pas l objet d une uniformisation. Les Caf ont pour mission d accompagner les gestionnaires dans cette démarche. Par ailleurs, les aides aux vacances, soumises à condition de ressources viennent atténuer les participations des familles bénéficiaires : quelques chiffres clés de la Caf d'ille-et-vilaine : Montant prestation de service aux gestionnaires structures accueils de loisirs : pour 321 structures ; Montant prestation de service dispositifs contractuels jeunesse : ; Nombre de communes couvertes par un contrat temps libre ou jeunesse (volet jeunesse) : 213 sur les 352 communes du département ; Subventions de fonctionnement et d investissement accueils de loisirs : La Caf de Rennes complète son engagement par le soutien à des actions spécifiques : La Caf accompagne des projets initiés ou soutenus par les partenaires dans le cadre de sa politique vacances temps libre ou sa politique jeunesse. Les mini-camps Marabout : Organisés par les accueils de loisirs, 27 sites labellisés ont permis à enfants et jeunes de vivre une expérience collective et éducative en juillet août L opération «Sac Ados» : 148 jeunes Avec un soutien dans le financement et le montage du projet, la Caf crée les conditions, pour les structures de proximité, permettant un départ en autonomie pour des jeunes de 16 à 5
6 22 ans. Ceux-ci sont peu ou jamais partis en vacances et issus de familles défavorisées. Les projets de départs collectifs jeunes : accordés en 2007 La Caf participe à 16 projets concernant 492 enfants et jeunes, initiés par les animateurs de structures ou par un groupe de jeunes. L intérêt de ces projets est la forte implication des jeunes. Les projets de départs collectifs familles : (14 départs en 2007, soit ) 145 familles ont bénéficié de cette action en 2007 dont 260 enfants. Week-end ou vacances d une semaine, les enfants expérimentent et découvrent de nouveaux horizons. Ces départs sont souvent les préalables à des départs autonomes. DES QUESTIONNEMENTS 1 La ségrégation urbaine Comment mettre en place une mixité sociale dans un quartier quand l urbanisme lui-même n est pas mixte? Et cela ne concerne pas les quartiers dévastés par l échec et la pauvreté C est tout le problème des tensions séparatistes qui traversent la société, à commencer par ses Elites. Le drame de la ségrégation territoriale, c est qu en conditionnant l environnement social de chacun, elle pèse aussi de tout son poids sur le destin de chacun. La mixité sociale passe peut-être par la «sortie des territoires», par des CLSH en dehors de la ville 2 La volonté politique Favoriser la mixité sociale nécessite un engagement politique local fort et un engagement des institutions. Il faut que les élus soient convaincus que la mixité sociale soit une bonne chose pour les jeunes et la politique jeunesse ne soit pas qu une politique de prévention de la délinquance. 6
7 3 Activité sociale et mixité scolaire La question est simple. Peut-on réussir la mixité sociale dans les loisirs de mixité si cette mixité n existe qu à l école 4 Mixité sociale et universalisme La mixité sociale est incompatible avec les tendances communautaristes, qu elles quelles soient. 5 Mixité sociale et désir des jeunes La mixité sociale ne doit pas être qu un objectif institutionnel. Il faut qu elle réponde également à un désir des jeunes. Et ce désir dépend de l éducation reçue tant à la maison qu à l école. 6 Dernier questionnement : les finances Jusqu à quel niveau de financement les pouvoirs publics sont prêts à aller pour développer une nouvelle politique jeunesse prenant en compte la mixité sociale? 7
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