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3 Professionnels de santé votre vaccination est essentielle Médecin, infirmier, pharmacien, chirurgien-dentiste et sage-femme, en vous vaccinant, vous vous assurez une protection individuelle face à un risque professionnel et prévenez la transmission des infections aux malades, particulièrement ceux qui sont les plus fragiles. Les recommandations suivantes s ajoutent à celles du calendrier vaccinal standard, figurant pages 2 et 3. Rougeole Si vous êtes né avant 1980, si vous n êtes pas vacciné, sans antécédent de rougeole (ou dont l histoire est douteuse) et si votre sérologie est négative, faites une dose du vaccin combiné rougeoleoreillons-rubéole ; Grippe À faire chaque année ; La grippe (avec la rougeole et l hépatite A) est une maladie à très fort potentiel de contagiosité ; Coqueluche Une seule injection durant sa vie d adulte, 10 ans au moins après le dernier rappel comprenant la coqueluche ; Diphtérie Tétanos Poliomyélite Un rappel tous les 10 ans ; Hépatite B Le schéma vaccinal en trois doses n implique pas de rappel ni de surveillance s il est réalisé avant l âge de 13 ans ; en cas de contrôle des anti-corps anti-hbs inférieur à 10 Ui/L, il n y a pas lieu de faire plus de six injections de vaccin au total ; Varicelle Quelque soit votre âge, si vous n avez aucun antécédent de varicelle (ou dont l histoire est douteuse) et si votre sérologie est négative, faites deux doses avec un intervalle d au moins un mois. Entre 1,5 et 4,3% des personnels soignants restent réceptifs à la varicelle. Hépatite A Il n y a pas de recommandation générale sauf pour les professionnels en contact régulier avec des enfants. Compte tenu de la circulation du virus de l hépatite A à Marseille et de sa contagiosité importante, la vaccination peut être envisagée au cas par cas, si besoin après un titrage des IgG de l hépatite A (ne pas prescrire «sérologie hépatite A» : seules les IgM seraient dosées) ; BCG Pour mémoire. 3 VACCINATION carnet de bord

4 VACCINATION carnet de bord Vaccination, où en êtes-vous? Le calendrier v NAISSANCE 2 MOIS 3 MOIS 4 MOIS 12 MOIS 16- BCG DIPHTÉRIE/TÉTANOS/POLIOMYÉLITE COQUELUCHE HIB [Haemophilus influenzae de type B] HÉPATITE B PNEUMOCOQUE MÉNINGOCOQUE de type C ROUGEOLE/OREILLONS/RUBÉOLE PAPILLOMAVIRUS HUMAIN [HPV] GRIPPE Où se vacciner? Chez votre médecin traitant Chez une infirmière sur prescription Dans un centre de vaccinations public : à Marseille : 23 rue Louis Astruc, 5 e arrondissement ; hors Marseille : voir liste des centres sur le site : Pour acquérir une immunité de base, plusieurs injections sont souvent nécessaires (par exemple, trois injections à un mois d intervalle avec rappel un an après). Par la suite, l immunité doit être entretenue par la pratique de rappels réguliers définis dans le calendrier vaccinal afin de maintenir une protection suffisante et durable. Lorsqu un retard est intervenu dans la réalisation d un programme de vaccination, il n est pas nécessaire de le recommencer. Il suffit de reprendre ce programme au stade où il a été interrompu et de compléter la vaccination en réalisant le nombre d injections requis en fonction de l âge. VACCINATION DANS CERTAINES CON BCG Dès la naissance chez tous les enfants exposés à un risque élevé de tuberculose (notamment tous les enfants résidant en Ile-de-France et en Guyane). Elle peut être proposée jusqu à 15 ans chez les enfants à risque élevé non encore vaccinés. DIPHTÉRIE - TÉTANOS - POLIOMYÉLITE Un rappel tous les 10 ans à partir de 16 ans. COQUELUCHE Une dose de vaccin contenant la composante «coqueluche» est recommandée une seule fois chez les adultes n ayant pas été vaccinés dans les dix années précédentes, en particulier chez les futurs parents et les personnels soignants. H L la in le 2 fe d p ju re ri P L to P s m d re a

5 r vaccinal simplifié 2010 OIS MOIS 24 MOIS 6 ANS ANS 14 ANS ANS ANS ANS +65 ANS NES CONDITIONS HÉPATITE B MÉNINGOCOQUE DE TYPE C PAPILLOMAVIRUS s u- i- ). s n- e m- m- s x r n- La vaccination débute dès le jour de la naissance (si la mère de l enfant est infectée par l hépatite B), et pour tous les autres enfants à partir de l âge de 2 mois. Si la vaccination n a pas été effectuée au cours de la première année de vie, elle peut être réalisée en rattrapage pour les enfants et adolescents jusqu à 15 ans. Chez l adulte, elle est recommandée chez les personnes à risque. PNEUMOCOQUE La vaccination est recommandée pour tous les nourrissons à 2, 4 et 12 mois. Pour les prématurés et les nourrissons à haut risque, une dose supplémentaire est nécessaire à 3 mois. Audelà de 24 mois, cette vaccination est recommandée pour les enfants et les adultes à risque. La vaccination est recommandée avec une dose pour tous les enfants de 12 à 24 mois et en rattrapage chez les personnes de 2 à 24 ans. ROUGEOLE / OREILLONS / RUBÉOLE La vaccination est recommandée dès l âge de 9 mois pour les enfants vivant en collectivité et à 12 mois pour tous les autres enfants avec une deuxième dose au moins un mois plus tard et, au plus tard, à 24 mois. Les sujets nés depuis 1992 devraient avoir reçu deux doses de vaccin à un mois d intervalle. Un rattrapage avec une dose de vaccin trivalent doit être proposé aux personnes qui, nées entre 1980 et 1991, n ont jamais été vaccinées, ainsi qu à toutes les femmes non vaccinées contre la rubéole et en âge d avoir des enfants. La vaccination est recommandée à toutes les jeunes filles de 14 ans, avant exposition au risque d infection. Un rattrapage est possible entre 15 et 23 ans pour les femmes qui n ont pas eu de rapports sexuels ou au cours de l année qui suit le début de leur vie sexuelle. GRIPPE La vaccination contre la grippe est recommandée chaque année à partir de l âge de six mois pour les personnes à risque et pour toutes les personnes âgées de 65 ans et plus. D après l INPES VACCINATION carnet de bord 5

6 VACCINATION carnet de bord

7 Optimiser et sécuriser les pratiques : mémorandum des erreurs les plus fréquentes Faire un vaccin diphtérique non atténué à un adulte Chez l adulte (+ de 16 ans), les vaccinations doivent être effectuées avec une anatoxine diphtérique moins concentrée («d») que l anatoxine utilisée chez l enfant («D») en raison du risque de réactions locales sévères si le sujet est déjà immunisé. Le vaccin DTPolio, actuellement en rupture d approvisionnement, est à réserver aux enfants. Il en est de même pour les vaccins combinés incluant la coqueluche comme Infanrix- Tétra et Tétravac, car ils contiennent une anatoxine diphtérique concentrée («D»). Faire plus d une injection dtp (Revaxis ) chez l adulte Pour l adulte vacciné dans l enfance, la règle est de se contenter d un seul rappel, même si la dernière injection date de plus de 20 ans. Repousser la deuxième injection de RRO au-delà de 24 mois Le deuxième RRO n est pas un rappel mais un rattrapage pour les enfants qui n auraient pas séroconverti lors de la première injection. Dès lors, retarder ce 2 e RRO, ferait encourir un risque aux enfants non immunisés contre la rougeole. Faire un dtp (Revaxis ) à la place d un dtpca (Repevax / Boostrixtetra ) L indication de la vaccination contre la coqueluche est régulièrement oubliée, notamment chez les moins de 30 ans. Il convient de faire une dose -et une seuleà l âge adulte (+ de 16 ans), 10 ans au moins après le dernier rappel. L objectif principal est la réduction de la morbimortalité des nourrissons de moins de six mois. Note : «ca» = valence coqueluche acellulaire faible dose. Ne pas réaliser le rappel coqueluche à ans Ce rappel a été introduit en 1998 pour protéger indirectement le nourrisson en prolongeant la protection des adolescents et jeunes adultes qui l entourent. La contamination des nourrissons est le fait des parents et/ou de la fratrie dans 75% des cas. En cas d oubli, faire un dtpca à ans. 7 VACCINATION mode d emploi

8 VACCINATION carnet de bord Optimiser et sécuriser les pratiques : mémorandum des erreurs les plus fréquentes Faire le rappel coqueluche à 5-6 ans Erreur classique depuis l introduction du rappel à ans. Dans ce cas, le rappel de ans doit être fait avec du Revaxis (dtp) et celui de ans avec une valence coqueluche (Repevax /Boostrixtétra, dtpca) Faire des rappels hépatite B Il n est plus nécessaire de faire des rappels décennaux contre l hépatite B au delà des trois injections de la primo vaccination. Dans le cadre de l obligation professionnelle et en cas de sérologie négative, il n y a pas lieu de faire plus de six injections de vaccin. Faire une IDR à la tuberculine après un BCG ou faire plus d un BCG Il n y a pas lieu de faire plus d un BCG car cela ne modifie en rien l efficacité du vaccin ; il n y a donc aucun intérêt à faire une IDR à la tuberculine post vaccination. Ne pas pratiquer la vaccination contre le méningocoque C chez les jeunes jusqu à l âge de 24 ans Recommandation universelle à l âge de 12 mois depuis 2010, avec rattrapage jusqu à l âge de 24 ans, cette vaccination n est pas encore bien intégrée. L apparition d un nouveau phénotype en 2005, plus virulent, touchant plutôt les adolescents et les jeunes adultes, est une des trois justifications de cette recommandation. Différer une vaccination chez un bébé ou un enfant en raison d une pathologie bénigne, type rhinopharyngite La seule contre-indication générale à tous les vaccins est un état pathologique aigu, avec ou sans une forte fièvre. Les écoulements du nez, les petits fébricules sans signe clinique inquiétant, fréquents chez les petits enfants l hiver, ne justifient pas le report de la ou des vaccinations. Renseigner partiellement les certificats de vaccination La traçabilité est essentielle à la sécurité vaccinale, sans oublier l aspect pratique de la connaissance de leurs situations par les patients. Pour l hépatite B, en cas d obligation professionnelle, la bonne rédaction du certificat dispense de faire une sérologie si la vaccination est complète et effectuée dans l enfance. Il faut systématiquement dater, signer et tamponner les certificats de vaccination, en inscrivant le numéro de lot ainsi que le nom du vaccin. Le médecin doit consigner les vaccinations dans le dossier du patient. Injecter dans le muscle fessier L injection des vaccins se fait au niveau du deltoïde ou de la face antéro-latérale du tiers moyen de la cuisse (nourrisson jusqu à un an). L injection dans la fesse n est pas recommandée, même chez le nourrisson, car le tissu graisseux est épais et l aiguille est courte : l injection est très souvent intra-graisseuse et non intra-musculaire, ce qui peut réduire l efficacité de certains vaccins.

9 La vaccination contre l hépatite B La vaccination des nourrissons et des enfants contre l hépatite B pose toujours problème en France. Une enquête récente révèle un décalage entre les représentations des médecins et celles des patients face à cette vaccination : les médecins demeurent persuadés que de nombreux patients sont hostiles à cette vaccination et donc peu accessibles à leurs conseils, alors que les patients sont disposés à se faire vacciner et regrettent que leurs médecins ne leur proposent pas! (1) Au delà de l aspect psychologique de ce sujet, de vrais arguments scientifiques existent pour justifier cette vaccination chez les nourrissons, alors que la France est un pays à faible prévalence pour l hépatite B et que les modes de contaminations principaux (sang et sexe) n apparaissent pas comme une menace pour les bébés. (1) «Vaccinations : perceptions et attitudes», Enquête Nicolle 2006, connaissances, attitudes et comportements face au risque infectieux, INPES novembre Testez vos connaissances, pour améliorer votre argumentation : 1 Le risque de passer d une hépatite B aiguë à une hépatite B chronique (cible de la vaccination) est d autant plus important que l on est jeune : 2 La vaccination universelle a pour but de tarir le réservoir strictement humain du virus de l hépatite B, donc de «contrôler» à terme la circulation du virus : 3 Le vaccin contre l hépatite B est recommandé jusqu à l âge de 40 ans : 4 L immunité provoquée par le vaccin de l hépatite B est d autant plus forte que le sujet vacciné est jeune : 5 Une fois le protocole vaccinal réalisé chez les enfants, aucun rappel n est nécessaire : 6 En France, la tranche d âge ans est celle où la contamination par l hépatite B est la plus fréquente : 7 Les vaccins contre l hépatite B sont contre indiqués en cas d antécédent familial de sclérose en plaque : 8 En France, l hépatite B est responsable de 1300 à 1500 décès annuel ; plus de 3 millions de personnes (7,30% de prévalence) ont été en contact avec le virus de l hépatite B et personnes sont porteuses de l antigène Hbs : Réponses : 1) V ; 2) V ; 3) F ; 4) V ; 5) V ; 6) V ; 7) F. 8) V VACCINATION carnet de bord 9 9

10 Les avis et rapports du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) : Pour aller plus loin rubrique > Avis et rapports > Maladies transmissibles De nombreux articles scientifiques en français sont accessibles gratuitement par internet. Ils constituent d excellents supports d auto-formation continue sur la vaccination, chaque document nécessitant entre 5 et 30 minutes de travail. Les articles du Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire (BEH), particulièrement le numéro annuel, comportant le calendrier vaccinal français : beh/2010/ (index thématique pour chaque année) beh/2010/14_15/beh_14_15.pdf Les documents, notamment sur la pharmacovigilance des vaccins, de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) : Produits-de-sante/Vaccins Le site du Centre de Référence sur les Agents Tératogènes (CRAT) qui permet d informer (souvent de rassurer) vos patientes en cas de vaccination pendant la grossesse ou l allaitement : sommairefr.php3 Le site internet de la Ville de Marseille (rubrique vaccination) contient de nombreux liens et documents sur la vaccination et les recommandations sanitaires aux voyageurs : rubrique > Santé social > Vaccination

11 Pour vos patients Pour vous Supports de communication gratuits Le Guide des vaccinations 2008 Vous pouvez télécharger gratuitement le «Guide des vaccinations Édition 2008», guide pratique, référencé, présentant l état des connaissances scientifiques les plus récentes sur la vaccination (444 pages - 3,4 Mo), à l adresse : GV2008.pdf Le guide fera l objet d une nouvelle édition réactualisée courant 2011 (papier et électronique). Le Calendrier vaccinal 2010 Disque (13 cm de diamètre, référence DQ). Argumentaire en faveur de la triple vaccination rougeole-oreillons-rubéole. Questions-réponses pour rassurer en cas de réticences à cette vaccination (8 pages, 21 x 29,7 cm, référence W ) ; uniquement sous forme électronique (téléchargement). Guide-Calendrier vaccinal des adolescents et des adultes avec un carnet de vaccinations individuel (20 pages, 10,5 x 15 cm, référence B) ; Calendrier vaccinal 2010 simplifié Carte postale recto verso (15 x 10,4 cm, référence : PC ) ; Vaccination rougeole-oreillonsrubéole. Pour en finir avec ces maladies, faites vacciner votre enfant (4 pages, 14,8 x 21 cm, référence DE). Comment obtenir ces documents? Passez votre commande en spécifiant les références et les quantités, auprès du CoDES 13 : par courriel : contact@codes13.org par télécopie : ou sur place : CoDES 13 8 rue Jules Moulet, 13006, métro Estrangin Préfecture Tél. : Téléchargez-les sur le site internet de l Institut national de prévention et d éducation pour la santé (INPES) : VACCINATION carnet de bord

12 Sources Les données scientifiques figurant dans ce livret sont extraites du : Guide des vaccinations 2008 élaboré par le Comité Technique des Vaccinations, l AFSSAPS et l InVS Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire (BEH) du 22 avril 2010, n 14/15 Conception et rédaction du livret Ville de Marseille VACCINATION carnet de bord Ville de Marseille Direction de la gestion urbaine de proximité, Service de la santé publique et des handicapés, Centre de vaccinations de la Ville de Marseille 23 rue Louis Astruc Marseille Tél. : +33 (0) /82 Fax. : + 33 (0) vaccinsetvoyages@mairie-marseille.fr L agence PHOTOS : STOCKLIB : Vladimir Nenov

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