1. INTITULE DU PROJET
|
|
- Lucile Paul
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1. INTITULE DU PROJET Archéologie expérimentale : construire en pierre dans l Antiquité Responsable(s) scientifique(s) du projet ZUGMEYER Stéphanie BADIE Alain (IRAA-CNRS) SUCAL Marc LAHARIE Marie-Laure (LAMM-CNRS) 2. RESUME DU PROJET Les architectes de l IRAA et les compagnons du Tour de France Marc Sucal, responsable régional (Avignon, Vernègues) collaborent dans le cadre de l étude de la construction des monuments antiques L objectif scientifique du programme de recherche est d approfondir et de renouveler la connaissance de la mise en oeuvre de la pierre dans l architecture antique du Midi méditerranéen. Pour atteindre cet objectif, il convient d évaluer et de compléter les premiers résultats scientifiques obtenus par l analyse archéologique du bâti, en menant une opération de construction expérimentale en collaboration avec les Artisans Compagnons du Tour de France. 3. PRESENTATION SCIENTIFIQUE DU PROJET 3.1. Objectifs et méthodes L étude des modes de construction mis en oeuvre sur le temple romain de Vernègues et l amphithéâtre d Arles, a conduit les architectes de l IRAA en charge de ces dossiers à aborder les différentes techniques constructives. Cette approche de déterminer des questions pour lesquelles ni la seule analyse rigoureuse des vestiges et des traces archéologiques, ni l état de la bibliographie ne pouvaient apporter, de manière totalement satisfaisante, des réponses concernant les outils, les gestes, les modes opératoires et l organisation générale des chantiers. Comprendre les opérations d ajustage des blocs de grand appareil à joints vifs. L amphithéâtre d Arles et le temple de Vernègues constituent deux témoins privilégiés de la mise en oeuvre du grand appareil réglé à joint vif, utilisé en Provence depuis l époque hellénistique jusqu à l époque romaine. La principale contrainte induite par cette technique du joint vif était constituée par les risques de désordres dus à une mauvaise transmission des charges verticales entre les blocs superposés. Dans les périodes plus récentes, le grand appareil cédera le plus souvent la place à un moyen appareil mis en oeuvre, non plus à joint vif, mais généralement associé à des joints au mortier (appareil des parties basses des murs de la chapelle de Vernègues par exemple). L utilisation du Moyen Age jusqu à nos jours de mortier dans les joints des blocs de pierre de taille permit donc (et permet encore) de contourner la difficulté constructive inhérente au joint vif. Les constructeurs antiques, quant à eux, furent contraints de soigner particulièrement le traitement des surfaces de contact dans les joints verticaux mais surtout dans les joints horizontaux au prix d ajustements successifs des faces de blocs.
2 Différentes propositions de pinces à crochets utilisées pour la mise en place des blocs de grand appareil Comment interpréter précisément les différentes traces laissées par les outils qui permettaient ces différents ajustements? Les restitutions traditionnellement proposées rendent-elles suffisamment compte de la diversité des modes opératoires et des matériaux, révélée par l analyse archéologique des vestiges? Pour une opération d archéologie expérimentale de construction en pierre en collaboration avec les Artisans-Compagnons du Tour de France Les nombreux échanges établis par les architectes de l IRAA avec les artisans Compagnons du Tour de France sur les différents chantiers de restauration où nous intervenons, nous ont conduit à concevoir ensemble un projet d archéologie expérimentale de construction en pierre. En effet, les questions scientifiques rejoignent les propres travaux conduits par les Compagnons du Tour de France sur leurs pratiques et leurs savoir-faire. Pour développer ce programme de recherche et répondre au questionnement mis en évidence par l analyse archéologique, les différentes hypothèses de restitution des techniques de mise en œuvre seront validées ou non par l expérience pratique sur le terrain. En effet, seule une mise en œuvre dans des conditions réelles sera à même de faire évoluer les hypothèses, d améliorer les procédés et de susciter de nouvelles restitutions. En cela, la collaboration avec des artisans professionnels du bâtiment est essentielle. Elle permettra notamment de réaliser des prototypes d outils grandeur nature, qui pourront être utilisés par des ouvriers qualifiés et habitués au maniement de la pierre Les constructions programmées Le projet d archéologie expérimentale envisagé tentera, non pas de reconstruire un bâtiment entier «!à la façon de!», mais de manière, à nos yeux, plus pertinente, de répondre précisément à nos questions en associant les connaissances scientifiques aux savoir-faire pratiques. Nous nous limiterons donc à la construction! d une portion d une dizaine de mètres de mur en grand
3 appareil à joint sec sur trois assises Les protocoles expérimentaux En préalable à ces opérations seront constitués des protocoles expérimentaux assurant la pertinence et l enregistrement rationnel des résultats de l expérience. L établissement de ces protocoles bénéficiera grandement des premières opérations empiriques déjà menées par nos soins sur deux chantiers de restauration. Ainsi pour le grand appareil, l étude de la construction du temple de Vernègues et de l amphithéâtre d Arles, nous a déjà conduits à tenter de restituer un outil antique disparu, «la pince à crochet» dont un premier prototype a été forgé. Il a été testé in-situ lors de la restauration de l amphithéâtre d Arles sur des blocs voués à la destruction ; puis sur des blocs neufs taillés de manière mécanique à l atelier des Compagnons du Tour de France. Ces pré-expérimentations ont permis de concevoir un nouveau prototype en cours d élaboration.
4 Pré-expérimentation d un prototype de pince à crochet L objectif des protocoles est donc de réunir les conditions expérimentales qui permettent d éviter l anecdotique pour se concentrer sur le pertinent en focalisant l attention tout particulièrement sur les points suivants : - Evaluation des qualités et du comportement des matériaux. - Efficacité des outils. - Faisabilité et efficacité des gestes et de leurs séquences. - Contrôle et maîtrise des temps de mis en oeuvre. - Gestion des problèmes inattendus le cas échéant. Après la construction, un démontage partiel sera effectué afin d inventorier les traces laissées par les différentes manoeuvres Originalité et importance dans le domaine scientifique concerné Une expérimentation ciblée à vocation scientifique L archéologie expérimentale à vocation scientifique s est largement développée dans les champs chronologiques de la préhistoire et de la protohistoire (taille des silex, méthodes de chasse, érection de mégalithes, céramique, maisons néolithiques ou village ibérique par exemple). Pourtant les expérimentations restent finalement peu nombreuses en architecture antique et médiévale. De telles opérations se heurtent en effet aux problèmes de coût et de faisabilité!; il est plus long, plus problématique et plus coûteux de construire un temple ou une église que de tailler un biface. En conséquence les expérimentations en architecture restent plutôt réservées à de l architecture vernaculaire (brique crue), et sont appliquées à de l habitat (Maison romaine de Doura Europos) ou à des points très spécialisés proches de la sculpture (taille des chapiteaux). Au demeurant lorsque l expérimentation est démesurée, elle est confrontée aux risques de devoir sacrifier, aux exigences et aux contraintes de l animation touristique (reconstruction du château de Guédelon). Notre programme de recherche expérimentale évitera ce principal écueil par son caractère ambitieux mais très ciblé, qui cherche à répondre à un questionnement précis et interdisciplinaire Pour mener l expérimentation, la collaboration entre les architectes de l IRAA et les artisans Compagnons du Tour de France, professionnels du bâtiment (tailleurs de pierre, maçons appareilleurs et forgerons) est primordiale. Pour des raisons pratiques et matérielles évidentes d abord, car les compagnons disposent d un outillage, des savoir-faire et d accès aux matériaux que le CNRS ne peut pas fournir. Pour des raisons méthodologiques aussi. Nous avons pu constater en effet dans les premières expériences communes que les Compagnons ne se placent pas dans la posture de l expert qui répondrait automatiquement à toutes les questions des archéologues mais avaient eux-mêmes une démarche de doute et de recherche concernant leurs pratiques. C est la conjonction des savoirs, mais aussi des questionnements, qui permettra d avancer significativement. En dépassant les cadres trop théoriques, les réponses apportées par l expérimentation permettront de mieux comprendre l organisation générale des chantiers et tout
5 particulièrement le nombre d équipes nécessaires, la position des engins de levage et la chronologie des différentes opérations (ordres de pose des blocs, succession des portions de murs dans le cas de murs à parements et blocage, avancement des voûtes). Mieux comprendre le détail, retrouver les outils et les gestes constituent un préalable indispensable à toute réflexion sur l économie de la construction.
Le maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailLa Chapelle de la Ferme d Ithe
La Chapelle de la Ferme d Ithe Le Tremblay-sur-Mauldre / Jouars-Pontchartrain (78 Yvelines) Une dizaine de jeunes, âgés de 17 à 20 ans, ont inauguré, durant les deux dernières semaines de juillet, une
Plus en détailOrganiser, plannifier
Dossier HABITAT - Organiser, plannifier Organiser, plannifier 010-011 Les métiers et l organisation Situation de départ : Les travaux de la maison vont commencer, qui doit intervenir en premier, comment
Plus en détailLe Château de Kerjean est classé monument historique
restauration du château 7/06/06 18:13 Page 1 restauration du château 7/06/06 18:14 Page 2 Le Château de Kerjean est classé monument historique Ce classement a été effectué en 1911, lorsque le château a
Plus en détail1Meknès 2Lambèse Tazoult Paris
Les architectures en terre du Maghreb Table ronde - séminaire Lambèse - Tazoult 2-3-4 juin 2015 1Meknès 2Lambèse Tazoult Paris Programme de recherches archéologiques TERMaghreb 2014 Programme «Investissement
Plus en détailTechniques et matériaux
Techniques et matériaux Bois Techniques et matériaux Le savais-tu? L Homme utilise le bois pour se construire un abri depuis la Préhistoire. est employé depuis longtemps en architecture car il peut se
Plus en détailDiplômes. Expériences professionnelles en Archéologie Préventive
COUSIN Colin 30, rue Burdeau 69001 LYON 0673185568 cousin.colin@icloud.com Diplômes 2012 : Master 2 Professionnel - «Archéologie de l objet, du site et du bâti», Université Lumière Lyon (69) 2011: Master
Plus en détailMur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat
Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique
Plus en détailLa construction au Moyen Age
PlÄdÄliac - CÅtes d Armor 02 96 34 82 10 service-educatif@la-hunaudaye.com www.la-hunaudaye.com La construction au Moyen Age A quoi sert un chäteau fort? Les chäteaux forts ont trois usages. Ils servent
Plus en détailInrap / Les étapes de l archéologie préventive
Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant
Plus en détailNouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT
COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi
Plus en détailANALYSE SPATIALE, MODELISATION DES DYNAMIQUES DE PEUPLEMENT ET DE GESTION DE L ESPACE DU PLATEAU DE SACLAY DE LA PROTOHISTOIRE A L EPOQUE MEDIEVALE.
Résumé : ANALYSE SPATIALE, MODELISATION DES DYNAMIQUES DE PEUPLEMENT ET DE GESTION DE L ESPACE DU PLATEAU DE SACLAY DE LA PROTOHISTOIRE A L EPOQUE MEDIEVALE. Doctorante à Paris I - UMR 4586 Laboratoire
Plus en détailOuellet, Reeves (Montréal)
Ouellet, Reeves (Montréal) Il nous a semblé indispensable, avant d'entreprendre une recherche formelle sur le problème qui nous était posé, de procéder à une réflexion plus générale sur ce qu'est une COMMEMORATION
Plus en détailCi-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture.
Masters culture Ci-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture. activités culturelles anthropologie métiers
Plus en détailUn pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné :
Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : l'assemblage de parpaings le moulage dans un coffrage donnant une forme circulaire
Plus en détailETAT DES LIEUX RAPPEL DE L ETAT DES LIEUX EFFECTUE EN JANVIER 1993
ETAT DES LIEUX RAPPEL DE L ETAT DES LIEUX EFFECTUE EN JANVIER 1993 1 ETAT DES LIEUX AU PRINTEMPS 2010 Végétation Souche effondrée Végétation Parties hautes des murs effondrées Cheminées effondrées Ouverture
Plus en détailVieu X. à Vieux. Il y a bien longtemps... Il y a bien long. Il y a bien longtemps... Il y a bien longtemps... bien longtem.
Il y a bien longtemps... bien longtem. Il y a bien long Il y a bien longtemps... Il y a bien longtemps... Il y a bien longtemps... a bien longte Il y a bien lon longtemps... Il y a bien longtemps... Il
Plus en détailCe document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.
Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté,
Plus en détailcommunes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager
Schéma de restaurationvalorisation du petit patrimoine des communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager SOMMAIRE 1) ÉDIFICE PRÉSENTE... 3 A) DÉNOMINATION ET POSITION GÉOGRAPHIQUE...
Plus en détailASSURANCE DÉCENNALE: MODE D EMPLOI : GUIDE À USAGE DES CONSTRUCTEURS EUROPÉENS
ASSURANCE DÉCENNALE: MODE D EMPLOI : GUIDE À USAGE DES CONSTRUCTEURS EUROPÉENS Ce guide est destiné à vous aider à préparer votre entretien, en vue de souscrire un contrat d assurance de responsabilité
Plus en détailLivret de visite. 7-12 ans. l e. âge du EXPOSITION. VILLENEUVE D ascq. Hall de la Bibliothèque Universitaire Centrale Lille 3
Sur les pas des archéologues : une autre lecture de l histoire du territoire moderne s Livret de visite 7-12 ans os exp ition av l e ec uv r Bronze âge du Fer âge du Moyen Âge Déco Palé olith ique e romain
Plus en détailMASTER Les pensées du projet
MASTER Les pensées du projet L ARCHITECTURE COMME DISCIPLINE EQUIPE ENSEIGNANTE Christian Blachot ingénieur, responsable de l équipe Patrick Chedal-Anglay Charles Chifflet Anne Coste -historienne Guy Depollier
Plus en détailLES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE
LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE Au I er siècle après Jésus-Christ, la ville romaine d Arles (photo ci-dessous) est entourée de remparts. Elle comporte de grandes rues principales appelées Cardo et Decumanus.
Plus en détailMaçon. Les métiers liés à l architecture
Maçon Les métiers liés Dans une entreprise de bâtiment, le maçon intervient lors de la réalisation du gros œuvre, il est donc le premier à travailler sur un chantier. Il conçoit le support sur lequel tous
Plus en détailBulletin d infos et de liaison destiné aux plongeurs-archéologues de l EST
n 1 - juin 2009 Bulletin d infos et de liaison destiné aux plongeurs-archéologues de l EST PAGE 2 Mandat 2009-2012 Le mot de la nouvelle équipe Actions Com en région PAGE 3 Des outils de communication
Plus en détailTechnicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants
PARCOURS COMPLET DE PROFESSIONNALISATION Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants proposer un ensemble de prestations liées à l amélioration de la performance thermique
Plus en détailAu printemps, les activités fleurissent au château du Haut-Kœnigsbourg!
Communiqué de presse Printemps 2015 Au printemps, les activités fleurissent au château du Haut-Kœnigsbourg! En cette saison printanière, accompagnés par une douce chaleur et de légères brises, les visiteurs
Plus en détailFermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme
* Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme Le programme, lancé en 2009** et coordonné par FCBA, a pour objet d affiner les connaissances sur le comportement au séisme des habitats
Plus en détailVoie Romaine F-57280 Maizières-lès-Metz Tél : +33 (0)3 87 51 11 11 Fax : +33 (0 3 87 51 10 58
Voie Romaine F-57280 Maizières-lès-Metz Tél : +33 (0)3 87 51 11 11 Fax : +33 (0 3 87 51 10 58 PROCES-VERBAL PROCES-VERBAL DE CLASSEMENT n 13 A - 789 Résistance au feu des éléments de construction selon
Plus en détailPrésentation du projet Descriptif et plans Fiche technique
estuaire 2011 Présentation du projet Descriptif et plans Fiche technique BUDGET PREVISIONNEL EQUIPE / C.V. / AUTRES REALISATIONS Présentation du projet La citerne Il s agit d une vraie grande piscine dans
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : FCPB1511507D Intitulé du texte : Décret modifiant les décrets n 2010-509 et n 2010-518 Ministère à l origine de la mesure : Finances et comptes publics
Plus en détailLa Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois
Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature
Plus en détaill'escalier bois & menuiserie d'intérieure www.bonnehorgne.com
www.bonnehorgne.com l'escalier bois & menuiserie d'intérieure Un escalier bois BH, une réalisation unique! Le choix d'un escalier n'a rien d'anodin. Il ne s'agit pas simplement de monter et descendre des
Plus en détailLA FRANC-MACONNERIE EXPLIQUÉE PAR L IMAGE
Percy John Harvey LA FRANC-MACONNERIE EXPLIQUÉE PAR L IMAGE Échantillon des illustrations Presentation_FMEI.indd 1 20/09/13 14:54:55 La cérémonie d initiation n est pas une opération magique qui transformerait
Plus en détailSpécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES
ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser
Plus en détailTout sur le processus CPQ Configure Price Quote
Configure Price Quote Comment vendre plus et mieux vos produits et services complexes SOMMAIRE CPQ? Kézaco?. 2 Quand doit-on avoir recours à une solution CPQ? 4 Quelles sont les offres CPQ disponibles?
Plus en détailCOMPRENDRE. Le métier de courtier en travaux
COMPRENDRE Le métier de courtier en travaux À PROPOS DE L AUTEUR Clico Travaux Clico Travaux est une enseigne de courtage en travaux basée à Achèresdans les Yvelines. Il n est pas simple de trouver des
Plus en détailMARNE REIMS PALAIS DU TAU
CENTRE DES MONUMENTS NATIONAUX DIRECTION REGIONALE DES AFFAIRES CULTURELLES DE CHAMPAGNE-ARDENNE, Maître d'ouvrage délégué CONSERVATION REGIONALE DES MONUMENTS HISTORIQUES 3, FAUBOURG SAINT-ANTOINE 51
Plus en détailTravaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc
Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)
Plus en détailLES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION
LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION Trois constats généraux sont encore prépondérants dans bon nombre d organisations actuelles : Un fonctionnement avec une planification a priori et des constats a posteriori.
Plus en détailAugustin-Charles d'aviler
Thierry Verdier Augustin-Charles d'aviler architecte du roi en Languedoc 1653-1701 LES PRESSES DU LANGUEDOC K SOMMAIRE AVANT-PROPOS INTRODUCTION LA FORTUNE CRITIQUE DE D'AVILER I. LES SOURCES IMPRIMEES
Plus en détailLE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE
LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats. Pierre Dagnelie
PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats Pierre Dagnelie TABLE DES MATIÈRES 2012 Presses agronomiques de Gembloux pressesagro.gembloux@ulg.ac.be www.pressesagro.be
Plus en détailPlancher chauffant avec revêtement de sol
Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,
Plus en détailHistoire de charpente
Histoire de charpente Le 15 juin 2012 la restauration de la toiture de l église de Murtin a débuté. Malgré sa hauteur honorable, la grue installée sur la place s est retrouvée bloquée par le coq dominant
Plus en détail5 ème Technologie collège
5 ème Technologie collège Fiche d'activité N 1 CI 1.L ENVIRONNEMENT CONSTRUIT DU COLLEGE DECOUVERTE, VISITE D UN CHATEAU D EAU --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailMunicipalité 16 avril 2014
Municipalité 16 avril 2014 RAPPORT AU CONSEIL COMMUNAL D'YVERDON-LES-BAINS concernant PR14.12PR une demande de crédit d'investissement de Fr. 680 000.- pour les travaux de remise en état du Temple Pestalozzi
Plus en détailPROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3
ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation
Plus en détailLe château de Versailles Architecture et décors extérieurs
Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs Les rois de France viennent régulièrement chasser à Versailles à partir du XVI ème siècle. Henri IV y amène son fils, le futur Louis XIII. Devenu
Plus en détailLES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE
Circulaire d'informations n 2009/17 du 15 septembre 2009 LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE Références : - Loi n 84-594 du 12 juillet 1984 modifiée relative à la formation des agents de
Plus en détailDIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 CODEP-DOA-2011-071487 SS/NL Centre Hospitalier de Roubaix 35, rue de Barbieux BP 359 59056 ROUBAIX CEDEX Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailL auto-éco-construction accompagnée pour l accession à la propriété des ménages modestes. Réunion d information le 16 novembre 2012
L auto-éco-construction accompagnée pour l accession à la propriété des ménages modestes Réunion d information le 16 novembre 2012 1. Introduction générale 2. Projection du film «Auto-construction accompagnée
Plus en détailEchafaudages Caractéristiques générales
Echafaudages Caractéristiques générales Mise à jour Octobre 2009 Echafaudage multidirectionnel, multiniveaux 12 7 22 20 14 11 23 21 6 15 13 10 4 5 18 17 16 19 3 9 8 2 1 1 Cale-bois 2 Socle réglable 3 Poteau
Plus en détailLa théorie des trois systèmes (the three systems theory)
La théorie des trois systèmes (the three systems theory) Jean-François VAUTIER, AFSCET (pour en savoir plus : http://www.terivau.org) Introduction Dans quel type de démarche globale s insère cette théorie?
Plus en détailAMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER
AMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER Où trouve-t-on de l amiante? Interdit en France depuis 1997, l'amiante est toujours présente dans les bâtiments construits avant cette date. Des dizaines de millions de mètres
Plus en détailPORTFOLIO ETUDES D ARCHITECTURE LOUISE LEONARD
PORTFOLIO ETUDES D ARCHITECTURE LOUISE LEONARD Mail : leonardlouisearchitecte@yahoo.fr Site Web : www.leonardlouisearchitecte.sitew.com BI-CURSUS, DESS, MATERIAUX POUR L ARCHITECTURE 2003-2004 École d
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PRATICULIERES (CCTP)
MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PRATICULIERES (CCTP) Pouvoir adjudicateur Institut d'etudes Politiques de Rennes Représentant du pouvoir adjudicateur Monsieur le
Plus en détailOuvrage d'entrée dit Tour de Moingt
Ouvrage d'entrée dit Tour de Moingt Moingt Dossier IA42003629 réalisé en 2006 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel ; Conseil général de la Loire Guibaud
Plus en détailGestion Projet. Cours 3. Le cycle de vie
Gestion Projet Cours 3 Le cycle de vie Sommaire Généralités 3 Séquentiel 7 Itératif/Incrémental 17 Extreme Programming 22 Que choisir? 29 Etats Transverse 33 Cours 3 2006-2007 2 Généralités Cours 3 2006-2007
Plus en détailChâteau des Ducs de Bretagne, France : l accessibilité permet la réappropriation par les habitants de Nantes du château-musée
Château des Ducs de Bretagne, France : l accessibilité permet la réappropriation par les habitants de Nantes du château-musée Thierry Mezerette FICHE D IDENTITÉ Type d établissement : château - musée Localisation
Plus en détailContenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008
Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008 Introduction Dans
Plus en détailENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?
ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont
Plus en détailAssociation provinciale des constructeurs d habitations du Québec (APCHQ) www.apchq.com
Liste de professionnels et d artisans oeuvrant dans le domaine de la rénovation ou de la restauration des bâtiments anciens et offrant leurs services sur le territoire de la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu
Plus en détailURBANISME DES SYSTÈMES D INFORMATION
FAYCAL AYECH GL2. INSAT 2010/2011 INTRODUCTION AUX SYSTÈMES D INFORMATIONS URBANISME DES SYSTÈMES D INFORMATION De l Urbanisme à L Urbanisation des SI Urbanisme : Mise en œuvre des politiques urbaines
Plus en détailProcontain Construction modulaire : l architecture créative
ARCHITECTURE CONSTRUCTION MODULAIRE Procontain Construction modulaire : l architecture créative Filiale du groupe allemand Alho, Procontain est le spécialiste en France de la construction modulaire. Dans
Plus en détailMario Botta (1943) Le Musée d'art moderne de San Francisco
Mario Botta (1943) Architecte suisse. De 1961 à 1964, il étudie au Liceo Artistico à Milan puis, jusqu'en 1969 à l'istituto Universitario di Architettura à Venise où il est l élève de Carlo Scarpa. En
Plus en détailwww.europa prefabri.com/export +34 902 200 272 international@europa prefabri.com Skype: international.europa prefabri
Spécialiste en construction modulaire www.europa prefabri.com/export +34 902 200 272 international@europa prefabri.com Skype: international.europa prefabri PRÉSENTATION DE L ENTREPRISE Le Groupe EUROPA
Plus en détailæ æffiæffiæ* -*-qesla ***-lgryia -r:gd e
æ æffiæffiæ* tr -*-qesla E ***-lgryia -r:gd e Remerciements à 0uest Terre Cuite qui, avec les conseils éclairés de représentants de I'Association Ouvrière des Compagnons du Devoir, a æuvré pour la rédaction
Plus en détailLes Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires»
é Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires» >Un ouvrage conçu en collaboration avec l IRAG (Institut pour la recherche d applications gravées),
Plus en détailLa nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments
La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailpour les plus petits
pour les plus petits U N D E R N I E R 5-6H = 3-4P VE Petit guide actif pour découvrir le monde du verre cycle 2 degrés avec RR Plexiglas E Salut! Plexiglas, c est moi. Daniel Stevan 2015 U N D E R N I
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailPROGRAMME DE CRÉATION ET INNOVATION TECHNOLOGIQUES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Enseignement d exploration
PROGRAMME DE CRÉATION ET INNOVATION TECHNOLOGIQUES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Enseignement d exploration Préambule La société doit faire face à de nouveaux défis pour satisfaire les
Plus en détailINDICATIONS DE CORRECTION
SUJET NATIONAL POUR L'ENSEMBLE DES CENTRES DE GESTION ORGANISATEURS CONCOURS INTERNE ET TROISIÈME VOIE DE TECHNICIEN TERRITORIAL PRINCIPAL DE 2 ème CLASSE SESSION 2014 SPÉCIALITÉ : INGENIERIE, INFORMATIQUE
Plus en détailPeintre décorateur. Formation qualifiante de
Formation qualifiante de Peintre décorateur Titre de peintre décorateur en bâtiment (niveau IV) inscrit au RNCP Parcours complet avec réalisations pratiques sur murs Depuis la conception du décor jusqu
Plus en détailINTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN
I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers
Plus en détailEtanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42
Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air
Plus en détailCahier des charges pour l appel d offres. février 2015 SOMMAIRE
Actions Thématiques 2015 : développer les compétences des travailleurs handicapés, usagers des ESAT bas-normands dans la Branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée, à but non lucratif Cahier des
Plus en détailMAQUETTE DE MAISON EN BOIS ET EN BRIQUES
évolutions possibles Dossier réalisé par Christian BÉGUÉ Cyril LASCASSIES HPY version d' août 00 Table des matières A) IMPLANTATION DE LA MAISON... )Travail à faire :... )Matériel nécessaire :... B & C)
Plus en détailSommaire. Préambule... 3. Introduction... 5
Sommaire Préambule... 3 Introduction... 5 Séance 1 : Images de la construction du Moyen-âge à la Renaissance... 7 Fiche élèves : Comparer des images du Moyen-âge à la Renaissance... 9 Séance 2 : Mais comment
Plus en détailRochecorbon : l église Saint-Georges et sa charpente romane
ATLAS ARCHÉOLOGIQUE DE TOURAINE IV LES LIEUX Rochecorbon : l église Saint-Georges et sa charpente romane Frédéric Epaud 2013 L ancienne église paroissiale Saint-Georges de Rochecorbon est située à 3 km
Plus en détailPour votre projet de rénovation, BatiMAILAN France Partage avec vous ses
Tél : 06.20.63.65.35 Pour votre projet de rénovation, BatiMAILAN France Partage avec vous ses 1 10 conseils de pros pour la bonne préparation de votre chantier 1- La première chose à faire est une étude
Plus en détailGroupements d entreprises offre globale: retours d expériences
Groupements d entreprises offre globale: retours d expériences NORDBAT 2012 Qu est ce qu un groupement permanent d entreprises d offre globale? - Notion de groupement permanent Un certain nombre d entreprises
Plus en détailConsolider le développement du Jardin
Association «Solidarité & Initiative» pour le développement du Jardin de Cocagne de la Haute Borne pour la création de la Table de Cocagne de la Haute Borne Projet 2014 Adresse : 10 rue Héloïse Europarc
Plus en détail1. F e r d i n a n d F i l l o d, q u i é t a i t - i l?
1. F e r d i n a n d F i l l o d, q u i é t a i t - i l? Ferdinand Fillod est né à la fin du XIXème siècle, en 1891 à Saint-Amour dans le Jura. Après avoir suivi une formation de chaudronnier, Fillod s
Plus en détail1. GENERALITES MOBILIER D ARCHIVAGE 2. DESCRIPTIF ET LISTE DES OUVRAGES
1. GENERALITES MOBILIER D ARCHIVAGE 1.1 - Objet 1.2 - Qualification 1.3 - Offre 2. DESCRIPTIF ET LISTE DES OUVRAGES 2.0 Mobilier d archivage fixe 2.1 Meuble à plan 2.2 Armoire à produits dangereux 2.3
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE FAITES VOS JEUX! AV E C SAINT- H ONORÉ-LES-BAIN S. infos www.bibracte.fr. Exposition photographique jusqu au 1 er septembre 2010
AV E C FAITES VOS JEUX! SAINT- H ONORÉ-LES-BAIN S DOSSIER DE PRESSE Exposition photographique jusqu au 1 er septembre 2010 Rencontres autour de Bibracte du 15 juin au 24 août 2010 infos www.bibracte.fr
Plus en détailLE TRAVAIL EN HAUTEUR
F I C H E P R E V E N T I O N N 0 2 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LE TRAVAIL EN HAUTEUR STATISTIQUES Avec près d une centaine d agent victime de chutes de hauteur durant les 5 dernières années dans les
Plus en détailNos références. Mise à jour : Mars 2015
Nos références. Mise à jour : Mars 2015 Oriane Rebillard - Bureau d études 43 rue Saint-Pierre de Vaise 69009 LYON 06 24 48 13 34 contact@bureau-rebillard.fr SIRET : 538 641 630 00024 Patrimoine & Architecture
Plus en détailDOSSIER PEDAGOGIQUE DESTINE AUX ENSEIGNANTS
DOSSIER PEDAGOGIQUE DESTINE AUX ENSEIGNANTS Ce document est réalisé à l intention des enseignants de manière à faciliter leur visite du Centre d interprétation du Roc-aux-Sorciers. Ce document comprend
Plus en détail2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts
2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts DESCRIPTION ET PLAN L église paroissiale de Cernay- La- Ville inscrite à l inventaire des Monuments
Plus en détailLES SUGGESTIONS DE CIRCUITS
AT EUR DE Le kilométrage des suggestions part du premier point de visite jusqu au lieu d hébergement du premier jour, et pour les jours suivants, du lieu d hébergement de la veille jusqu au nouveau lieu
Plus en détail«RÉFECTION DES PLOTS Salle MATISSE» C.C.T.P. (Cahier des Clauses Techniques Particulières) Lot n 1 Maçonnerie
«RÉFECTION DES PLOTS Salle MATISSE» C.C.T.P. (Cahier des Clauses Techniques Particulières) Lot n 1 Maçonnerie Maître d ouvrage : Maître d œuvre : Marché : Objet : Mode de consultation : Personnes à contacter
Plus en détailService Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09
CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE
Plus en détailVocabulaire maisons Maisons Paysannes de Charente
Vocabulaire maisons Maisons Paysannes de Charente Définition de la maison C est l abri qui permet aux humains de vivre décemment. Elle se compose de 4 murs et d un toit qui nous apparaissent ainsi : -
Plus en détail