Manutention sécuritaire des bovins de boucherie

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1 Manutention sécuritaire des bovins de boucherie Auteur (s) : Michel Fortier, ingénieur Nom de l'auteur, Organisme, Adresse du site Internet de l'organisme Pour commentaires : michel.fortier@agr.gouv.qc.ca Cet article a déjà paru dans un autre média : Oui 1 Non Parution : Si ce texte a déjà paru dans un autre média, indiquer lequel et quand Dernière révision le : 1998 Manutention sécuritaire des bovins de boucherie Michel Fortier, ingénieur Conseiller régional en génie rural L élevage de bœuf de boucherie requiert de la part de l éleveur, de nombreuses interventions sur les animaux. Un corral est un outil indispensable qui permet de faciliter, de rendre sécuritaire et d accélérer les principales tâches relatives à l élevage de bœuf de boucherie, soit : réception du bétail, triage, rassemblement, vaccinations, traitements anti-parasites, administration de médicaments, décornage, castration, insémination, test de gestation, pesée, expédition, etc... Toutes ces opérations se font par contacts rapprochés ou directs producteurs-bêtes, et se traduisent souvent par des blessures graves au producteur, quand ces interventions se font sans les équipements requis. p.1

2 Un corral est donc nécessaire, d autant plus que l éleveur a affaire à des animaux robustes, souvent nerveux et au comportement imprévisible. COMPORTEMENT DES BOVINS DE BOUCHERIE Pour bien concevoir le corral, il est important de bien connaître le comportement des bovins de type de boucherie. INSTINCT Les bovins de boucherie ont un instinct grégaire, c est-à-dire qu ils ont tendance à suivre un animal dominant, un chef. Ils ont aussi tendance à se tenir en groupe et à se suivre. On sait aussi qu ils s affolent et deviennent nerveux s ils se sentent isolés et essaient de rejoindre le groupe. On mettra donc à profit ces comportements naturels lors de la manutention des animaux. p.2

3 RÉACTION À LA LUMIÈRE Ils la perçoivent facilement et réagissent brusquement et rapidement aux variations d intensité lumineuse. Les jeux d ombres leur feront peur ; ils refuseront d avancer et reculeront en présence de contrastes d ombres et de lumière. Un éclairage uniforme et suffisant est donc requis autour des postes de contention. RÉACTIONS AUX MOUVEMENTS Les bovins sont apeurés et cherchent à fuir s ils voient quelque chose qui bouge (objet ou personne) ou qui claque. Il faut donc que soit bien choisi l endroit où les intervenants doivent se tenir par rapport à la zone de contention et ce, pour éviter d apeurer les animaux. Le meilleur endroit où se placer pour travailler est illustré par les points A et B de la figure suivante. FIGURE 1 p.3

4 COMPOSANTES DU CORRAL Les principales composantes du corral sont : = l allée de circulation ; = les parcs d attente ou de retenue ; = le parc de rassemblement (entonnoir) ; = la barrière d arrêt ; = la cage de contention ; = la balance ; = la rampe de chargement ; PRINCIPE D OPÉRATION DU CORRAL La fonction principale d un corral est d acheminer les bêtes vers un endroit stratégique d intervention où on pourra les manipuler et les traiter individuellement avec le minimum d efforts, d efficacité et surtout de sécurité pour l éleveur et les autres opérateurs. Ces résultats sont obtenus par un jeu d allées de circulation, de couloirs, de barrières et d équipements bien conçus et bien disposés les uns par rapport aux autres. La figure suivante illustre bien les diverses composantes d un corral : FIGURE 2 p.4

5 Les animaux peuvent être dirigés en groupe via une allée de circulation les amenant directement au couloir de contention. Pour des lots d animaux plus importants et moins uniformes ils pourront aussi être dirigés vers des enclos d attente (parcs d attente) où un premier triage peut se faire et de là vers un parc de rassemblement raccordant l allée au couloir de contention. Le parc de rassemblement en forme d entonnoir est muni d une barrière poussante actionnée manuellement pour forcer les animaux à entrer dans le couloir de contention. Les animaux sont alors alignés un derrière l autre et obligés de circuler vers l aire dite de traitement (cage, balance, etc). Des portes d arrêt placées à différents endroits du couloir de contention et plus particulièrement à l entrée de la cage de contention et à l entrée du couloir de contention, permettent de contrôler le refoulement des animaux et leur passage un à un à la section de traitement. LE COULOIR DE CONTENTION Le couloir de contention permet aux animaux d être acheminés un derrière l autre, de l entonnoir jusqu au centre de traitement ou à la rampe de chargement. Des couloirs à côtés verticaux sont préférés. Ces parois doivent être pleines sur une hauteur de 5 pieds, et avoir une hauteur totale de 6 pieds.. Un marche pied de 2 pieds à 2 pi 4 pouces de hauteur sur lequel l éleveur peut monter doit être prévu le long du couloir. Ce marche pied permet à l éleveur de faire avancer les animaux et de les traiter directement par le dessus. p.5

6 Pour les vaches de boucherie la largeur du couloir de contention est de 28 pouces et est de 26 pouces pour les bouvillons. FIGURE 3 FIGURE 4 FIGURE 5 FIGURE 6 FIGURE 7 p.6

7 CONCLUSION Tous les élevages vaches-veaux de plus de 25 vaches et les élevages de 50 bouvillons et plus devraient être dotés d un corral. L utilisation d un tel aménagement facilite la tâche de l éleveur, tout en rendant les opérations requises sur les animaux moins dangereuses. Les blessures aux animaux sont aussi de beaucoup réduites, ce qui fait que ça coûte moins cher en frais vétérinaires. De plus, les diverses opérations réalisées sur l animal sont mieux faites, et dans le cas du vache-veau, le taux de naissance est entre autre de beaucoup amélioré. La rentabilité d un corral est donc facilement démontrable. Le 7 mars p.7

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