Maladies Peroxysomales

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Maladies Peroxysomales"

Transcription

1 06/10/15 GAVAZZA Sophie L2 CR : Orianne Dodier Bases Moléculaires et Cellulaires des Pathologies Dr. M.GASTALDI 15 pages BMCP : Introduction / Maladies peroxysomales Plan : Maladies Peroxysomales A. Rappels sur le peroxysome I. Définition II. Historique B. Biogenèse et dynamique des peroxysomes C. Fonctions métaboliques chez l'homme D. Maladies héréditaires du métabolisme peroxysomal E. Stratégies diagnostiques des pathologies peroxysomales F. Approches du mécanisme cellulaire et moléculaire A. Rappels sur le peroxysome I. Définitions Le peroxysome est un organite cellulaire de limite par une seule membrane. Il est pre sent dans toutes les cellules animales et ve ge tales, sauf les e rythrocytes (globules rouges). Il est particulierement abondant dans deux types cellulaires : les hepatocytes (CR : qui sont spécialisés dans la désintoxication) les cellules epitheliales renales (cellules des tubules re naux). Il ne possede pas de ge nome et donc pas d'adn. II. Historique En 1954, Rhodin re alise l'identification ultra-structurale des peroxysomes qu'il de crit comme de petits corps cellulaires appele s "microbodies". Dans les anne es 60, l'e quipe de Deduve et Coll re alise la caracte risation biochimique des peroxysomes (identification des enzymes) : les oxydases produisent l'eau oxygénée H 2 O 2. la catalase utilise la H 2 O 2 produite. Les peroxysomes sont caracte rise s par la catalase. En 1976, la chaine complete de la β-oxydation est identifie e dans les peroxysomes de foie de rat. 1/10

2 B. Biogenèse et dynamique des peroxysomes BMCP : Introduction / Maladies peroxysomales Les peroxysomes sont formés a partir de vésicules membranaires préexistantes. En 2005 on a montré que ces membranes provenaient du RE. Les peroxines : Il s'agit de protéines nécessaires à la biogenèse des peroxysomes. Elles permettent à la fois l'assemblage de la membrane, l'import des protéines de la lumière, la prolifération des peroxysomes et l'héritage des peroxysomes. Ces peroxines sont codées par des gènes PEX. Toutes les protéines du peroxysome (environ 23) sont codées par le génome nucléaire. Leur synthèse débute dans le cytosol. L'adressage au peroxysome est réalisé par deux peptides signal PTS1 et PTS2, à la fois pour les protéines membranaires et pour les protéines matricielles. PTS1 correspond à trois acides aminés en C-terminal, il est reconnu par la peroxine 5 (PEX 5). PTS2 correspond à neuf acides aminés en N-terminal, il est reconnu par la peroxine 7 (PEX 7). Le système d'importation au peroxysome est un complexe multiprotéique différent pour les protéines membranaires et matricielles. Exemple : Importation des protéines matricielles. 2/10

3 Dynamique des peroxysomes : Il y croissance des peroxysomes préexistants, puis fission de ces derniers. Les peroxysomes se reproduisent en se coupant en deux. C. Fonctions métaboliques chez l'homme Fonction d'oxydation : Il y a plusieurs oxydases dans la matrice peroxysomale. Ces oxydases sont impliquée dans le métabolisme lipidique ainsi que dans le catabolisme de la lysine. Elles produisent l'eau oxygénée H 2 O 2. On note aussi la présence de catalase qui a pour rôle l'oxydation en utilisant l'eau oxygénée produite par les oxydases. Elle permet la détoxification, donc elle a un rôle de protection cellulaire (foie, rein). Exemples des fonctions métaboliques chez l'homme : α oxydation des acides gras : Acide phytanique. β oxydation des acides gras : Acides gras a tres longue chaîne (C26, C24, C22). Acide pristanique, provenant de l'oxydation de l'acide phytanique. Acide dicarboxyliques (nombre impair de C). /!\ La mitochondrie est spe cialise e dans l'oxydation des chaines courtes, moyennes et longues, jusqu'a C22. Il y a coope ration entre les mitochondries et les peroxysomes. Syntheses (fonction de cooperation) : Synthese des plasmalogenes (etherphospholipides) en coope ration avec le RE. Synthese des interme diaires des sels biliaires en coope ration avec le cytosol, la mitochondrie, le RE. Synthèse des acides gras essentiels (DHA, acide arachidonique). Synthese du choleste rol en coope ration avec le cytosol et le RE. 3/10

4 Detoxification du glycoxylate (me tabolisme d'acides amine s). Autres fonctions : Oxydation de l'acide pipe colique (acide amine ). De gradation des prostaglandines. De gradation H2O2 (catalases). L'H2O2 est produit et de grade dans cet organite (catalase). Antioxydant. D. Maladies héréditaires du métabolisme peroxysomal Il y a trois groupes de pathologies : 1- Défaut de biogenèse des peroxysomes : Défaut total avec perte de toutes les fonctions du peroxysome. Défaut sélectif (par exemple affectant la reconnaissance de PST2 seulement). 2- Déficit sélectif isolé des fonctions peroxysomales. 3- Désordre de la dynamique peroxysomale (récemment décrit, il affecte l'élongation, la constriction, la fission). Ce sont des pathologies qui peuvent se developper en periode prenatale, neonatale, et durant toute la vie. Plus les symptomes sont precoces, plus la maladie est grave. Les maladies peroxysomales sont des pathologies rares. 1. Maladies résultant d'un déficit dans la biogenèse du peroxysome : On les appelle des Peroxysome Biogenesis Disorder (PBDs). Ces maladies (létales) affectent toutes les voies métaboliques du peroxysome. Elles peuvent résulter de n'importe quelle mutation dans un au moins des 13 gènes PEX connus. Il s'agit par exemple : - du groupe du syndrome de Zellweger (affectant divers gènes PEX). - de la chondrodysplasie rhizomélique ponctuée (RCPD) qui affecte PEX Maladies résultant d'un déficit d'une seule enzyme peroxysomale : Ces maladies affectent en général une seule voie métabolique. Il s'agit par exemple : de l'adrénoleucodystrophie liée à l'x. d'autres déficits de la β oxydation. de la maladie de Refsum adulte. d'un déficit de synthèse des plasmalogènes. d'un déficit du métabolisme du glyoxalate. 3. Maladies résultant d'un déficit de la dynamique du peroxysome ( fission/ élongation ) : déficit en DLPI déficit en PEX 11β 4/10

5 E. Stratégies diagnostiques des pathologies peroxysomales 1. Éléments d orientation clinique. 2. Investigations biochimiques dans les fluides biologiques (il n'existe pas de test unique). 3. Confirmation du déficit par études des biochimiques sur des fibroblastes : exploration des fonctions peroxysomales. 4. Caractérisation moléculaire du déficit : tests de complémentation sur les fibroblastes screening des gènes pex les plus souvent retrouvés Les maladies peroxysomales : Elles appartient aux maladies héréditaires du métabolisme, et plus précisément au groupe des pathologies des molécules complexes (troisième groupe, auquel appartiennent les maladies de surcharge, les désordres de la glycosylation des protéines et les maladies peroxysomales). Ces maladies ont différentes caractéristiques : il n'y a pas de cause déclenchante. la maladie évolue par elle même. il y a des méthodes de diagnostic spécifiques. Il y a seulement des approches thérapeutiques (pas de traitement). 1. présentation clinique des maladies peroxysomales : Les maladies peroxysomales sont caractérisées par : Des traits dysmorphiques du crâne, de la face et du squelette. Une atteinte neurologique (hypotonie néonatale sévère, encéphalopathie, crises d épilepsie, neuropathies périphériques, trouble de la marche, leucodystrophies). Une atteinte oculaire et une surdité. Des dysfonctionnements hépatiques et gastro-intestinaux. Un retard de développement. Elles peuvent se présenter sous trois formes cliniques : Les atteintes néonatales. Les atteintes infantiles précoces. Les atteintes plus tardives. 2. Investigations biochimiques - bilan de première intention : Ces investigations ont pour but l'exploration des principales fonctions du peroxysome. On peut doser : les acides gras à très longue chaine (AGTLC) (β oxydation) : C26:0 C24:0 C22:0. l'acide phytanique (α oxydation) qui dérive de l'alimentation (phytol). l'acide pristanique (β oxydation) qui dérive aussi de l'alimentation. 5/10

6 Exemples d'investigations biochimiques : Plasma : acide pipecolique. intermédiaires de sels biliaires. synthèse des plasmalogenes. Urines : acide pipecolique. chromatographie des acides organiques. glycuroconjugués des sels biliaires. BMCP : Introduction / Maladies peroxysomales 3. Confirmation du déficit par études biochimiques sur fibroblastes - exploration des fonctions peroxysomales : Exemple de la phytanoyl-coa hydrolase qui est déficiente dans la maladie de REFSUM : 4. Caractérisation moléculaire du déficit : a. Tests de complémentation sur des fibroblastes de patients : Ce test est indiqué en cas de suspicion d'un déficit de biogenèse du peroxysome (altération de l'assemblage) par défaut d'incorporation des protéines PEX qui resteront dans le cytosol et seront rapidement dégradées. Dans ce cas les peroxysomes sont absents ou très diminués en nombre. Expérience de ''sauvetage'' in vitro : On apporte in vitro la protéine X suspectée déficitaire avec un moyen de visualisation. Si la protéine X est déficitaire, il y aura restauration de l assemblage des peroxysomes du patient : quand on observera les cellules on visualisera un marquage punctiforme. Si une autre protéine que la protéine X est déficitaire, le ''sauvetage '' de l'assemblage des peroxysomes n'est pas réalisé et il n'y a pas de visualisation des peroxysomes. Exemple d'un test de complémentation sur les fibroblastes d'un patient : 6/10

7 b. Screening des gènes PEX : Il s'agit du séquençage des exons les plus fréquemment mutés des gènes PEX les plus souvent rencontrés dans les PBD (PEX1, PEX6, PEX12, PEX26, PEX10, PEX2). On peut identifier dans 70 a 80% des cas la peroxine en cause Le screening est réalisable directement sur l'adng. Les diagnostics prénataux : Ce sont des tests biologiques. On peut tester : Les acides gras a très longues chaînes dans les villosités choriales ou dans des amniocytes cultivés ainsi que dans le sang fœtal. La β-oxydation des C24 et des C26 dans les villosités choriales ou dans des amniocytes cultivés. Les plasmalogènes dans les villosités choriales ou dans des amniocytes cultivés. Par biologie moléculaire : dans les villosités choriales ainsi que dans des amniocytes en direct ou cultivés. Approches thérapeutiques : Ces approches sont très limitées et ne sont (plus ou moins) efficaces que si il n'y pas de forme cérébrale. Régimes pauvres en acide phytaniques (efficacité très incertaine). Supplémentation en DHA (idem, efficacité incertaine). Huile de Lorenzo (c'est un mélange de C18:1 et C22:1 qui diminue la synthèse des AGTLC, cette huile normalise les taux mais il y a tout de même peu d'effets cliniques). Acides biliaires : acide cholique, acide ursodésoxycholique. Vitamines liposolubles. Prévention et traitement de l'hyperoxalurie. Traitement hormonal si il y a une insuffisance surrénale. Transplantation de cellules hématopoïétiques dans le cas de l'x-ald. Si il y a une forme cérébrale, rien ne marche. F. Approches du mécanisme cellulaire et moléculaire 1. Exemple de l'x- ALD (Adrénoleucodystrophie liée a l'x) Il s'agit d'une mutation sur le gène ABCD1 codant pour une protéine ATP binding cassette, ou transporteur ABC (CR : ce transporteur ABC est utilisé pour l'internalisation des acides gras à très longue chaîne). Cette anomalie constitue un déficit isolé d'une fonction peroxysomale. L'incidence de cette mutation est de 1/17000 garçons. CR : on dénombre plus de 600 mutations pouvant être la cause de cette maladie. Il s'agit du plus fréquent des déficits du peroxysome et des leucodystrophies monogéniques. 7/10

8 C'est un maladie hétérogène avec différents phénotypes : Forme médullaire : dégénération axonale. Forme cérébrale : neuroinflammation et démyélinisation des hémisphères cérébraux. Il peut y avoir aussi, en plus, une insuffisance surrénalienne (CR : cette insuffisance surrénalienne peut aussi être isolée). Il n'y a aucune corrélation entre le génotype et le phénotype. Dans tous les cas, l'x-ald se caractérise par une diminution de la β-oxydation des acides gras à très longue chaïne, ainsi que par leur accumulation plasmatique et tissulaire. Hétérogénéité clinique de l'x-ald : Formes adultes : Formes médullaires : Adrénomyéloneuropathie (environ 40% des malades, dont 1/3 développeront une forme cérébrale). Les formes médullaires de l'adulte débutent entre 20 et 40 ans chez l'homme, et elles apparaissent après 40 ans chez la femme. Elles entraînent un trouble de la marche, des paraparésies spastiques (raideurs des jambes) progressives, et des troubles urinaires. Elles peuvent être associées à une insuffisance surrénale. Formes limitées à une insuffisance surrénalienne (8 % des malades). Formes cérébrales adulte (touchant 10 % des malades). Les formes cérébrales toucheront 1/3 des patients atteints d'une forme médullaire. Elles ne touchent que les hommes, ne surviennent jamais chez les femmes mais 40% des femmes sont conductrices. Formes cérébrales de l'enfant (40% des malades) : Elles touchent les enfants entre 5 et 12 ans et sont caractérisées par : Des troubles cognitifs, visuels, auditifs. Un syndrome pyramidal. Un syndrome cérébelleux. Des convulsions. Il peut y avoir une insuffisance surrénale. L'atteinte IRM précède les signes cliniques (la surveillance par l'irm est donc très importante). Diagnostic : On diagnostique l'x-ald par la mesure de l'accumulation des acides gras a très longue chaîne. Cette technique est fiable à 100% chez l'homme et à 90-95% chez la femme. La quantité d'acides gras à très longue chaîne n'est pas corrélée au phénotype. Neuropathologie : Forme médullaires : axonopathie caractérisée par : La perte des axones myélinisés des faisceaux ascendants et descendants de la moelle. Une polyneuropathie des nerfs périphériques avec perte des fibres myélinisées de petit et gros diamètre. 8/10

9 Forme cérébrale : maladie inflammatoire caractérisée par : Une perte myélinique pariéto-occipitale. Un front de démyélinisation : réaction inflammatoire importante périvasculaire. X-ALD et bio marqueurs du stress oxydant : Il y a une augmentation du taux basal des ROS dans les lymphoblastes. Il y a aussi une modification de l'activité de la glutathion peroxydase, de la catalase et de la SOD sur les fibroblastes (CR : ces enzymes ont normalement un rôle de protection contre le stress oxydant). On constate aussi une modification de la structure des composants cellulaires, notamment une carbonylation des protéines et une peroxydation des lipides. X-ALD et bio marqueurs de l'inflammation : On observe dans des tissus tels que des cerveaux humains, et notamment dans leurs lymphoblastes, une augmentation des cytokines et des chémokines. Bases moléculaires de l'x ALD et '' three hit hypothesis '' : CR : L'inactivation d'abcd1 engendre le stress oxydant (déséquilibre représenté par la balance). Cela entraîne une peroxydation des lipides, une carbonylation des protéines et, à terme, un dysfonctionnement et la mort cellulaire. C'est le premier coup, qui est modulé par des facteurs environnementaux, épigénétiques et génétiques. Lors du deuxième coup, l'inflammation provoque le passage à la forme cérébrale. Au troisième coup, il y a finalement atteinte de la fonction peroxysomale. 2. Exemple de la mutation PEX 1 La mutation PEX 1 est la plus fréquente des PBD (59%). C'est une mutation privée. (CR : cela signifie qu'il n'y a pas qu'une seule mutation pouvant affecter PEX 1). Les deux mutations les plus fréquemment retrouvées sont : c.2528g>a (p.g843d) : instabilité de la protéine et perte partielle de fonction, dans le cas d'une mutation homozygote la maladie sera de phénotype modéré. c.2097_2098inst (p.1700fsx41) : protéine tronquée et perte totale de fonction PEX 1, dans le cas d'une mutation homozygote la maladie sera de phénotype sévère. 9/10

10 Effet de la température sur la biosynthèse d'un mutant PEX1 : La conformation est liée à la température : à 30 C la protéine mutée a 60% de l'activité de la protéine normale. à 37 C 10% la protéine mutée a 10% de l'activité de la protéine normale. à 40 C il y a une perte totale de l'activité de la protéine. Ceci est faux pour les autres mutations. Un shift en température (de 37 C a 30 C) augmente non seulement le nombre de peroxysomes mais aussi leur activité. Effet de l'augmentation des concentrations en arginine sur les peroxysomes des patients présentant des mutations de PEX1 : L'addition d'arginine en culture augmente l'activité de PEX1. L'arginine fonctionne comme une chaperonne pour permettre le repliement correct de PEX1. Il y a des études en cours, in-vivo sur un modèle animal (souris). Informations données par la prof en début de cours : marguerite.gastaldi@univ-amu.fr Premier semestre : 20h de cours magistraux 2 ECTS ( système européen de transfert et cumul des crédits ) Contrôle des connaissances : QR courtes de 10 minutes chacune ; épreuve de 30 minutes notée sur 20 note éliminatoire si elle est inférieure a 10 ENT : on y trouvera le plan et les schémas des cours ou les power point. Deuxième semestre : 20h de cours magistraux 6h d'ed à présence obligatoire (1 seule absence autorisée avec un certificat médical) 3 ECTS Contenu plus intégré avec des pathologies centrées sur le cancer Contrôle des connaissances : Question courte (problème expérimental avec question de cours inclus) notée sur 14 durée de 30 minutes au total ED comptant pour 6 points donc total sur 20 : note éliminatoire si elle est inférieure a 10 pas de compensation possible avec la note du premier semestre et dette impossible en raison des ED ENT : - plan et schéma du cours ou ppt - prérequis pour les ED - problèmes résolus ( annales, épreuves de 45 minutes ) 3 ED : - dosage plasmatique et urinaire des protéines - imagerie et microscopie - potentiel thérapeutique des cellules souches Pré requis aux ED 2 et 3 : documents sur l'ent et articles (peut-être une inscription à un mooc pour l'ed 3). 10/10

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire : La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

Le déficit en MCAD. La maladie. Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD. Qu est-ce que le déficit en MCAD?

Le déficit en MCAD. La maladie. Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD. Qu est-ce que le déficit en MCAD? Le déficit en MCAD Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

L agénésie isolée du corps calleux

L agénésie isolée du corps calleux L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

Utilisation des substrats énergétiques

Utilisation des substrats énergétiques Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité?

Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité? Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité? L e métabolisme aérobie est un moyen très efficace de produire de l'énergie en oxydant la matière organique, mais l'utilisation d'oxygène entraîne

Plus en détail

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

La prise en charge de votre épilepsie

La prise en charge de votre épilepsie G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Bulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone?

Bulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Bulletin Numéro 34 I Novembre 2013 Vaincre la Sclérose en Plaques par la recherche Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Depuis 1992, les interférons (IFNs) et le Copaxone

Plus en détail

La maladie de Berger Néphropathie à IgA

La maladie de Berger Néphropathie à IgA Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

F.Benabadji Alger 22.11.13

F.Benabadji Alger 22.11.13 F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

La maladie de Huntington, une maladie du cerveau

La maladie de Huntington, une maladie du cerveau Actualités à propos de la recherche sur la maladie de Huntington. Expliqué simplement. Écrit par des scientifiques. Pour la communauté mondiale HD. La greffe de moelle osseuse dans la maladie de Huntington

Plus en détail

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une

Plus en détail

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique

Plus en détail

La bêta-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que la bêta-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde?

La bêta-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que la bêta-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde? La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la bêtathalassémie.

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Les Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises

Les Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE

MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Physiopathologie : de la Molécule à l'homme

Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Mention Sciences du Vivant Spécialité de Master : Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Pourquoi, comment, combien, contourner, greffer, restaurer, inhiber, suppléer Responsables : Dr Gilles Prévost

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

www.dondemoelleosseuse.fr

www.dondemoelleosseuse.fr Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants

Plus en détail

La maladie de Stargardt

La maladie de Stargardt La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.

Plus en détail

Insulinothérapie et diabète de type 1

Insulinothérapie et diabète de type 1 Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang

Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Communiqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008

Communiqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008 Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont

Plus en détail

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire»

Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Par le Dr Stéphane BURLOT Plan : Les chiffres de l échec scolaire La spirale de l echec Les points d appels des difficultés scolaires Les Origines «médicales»

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

Bases de données des mutations

Bases de données des mutations Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app

Plus en détail

L alpha-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que l alpha-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde?

L alpha-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que l alpha-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde? La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur l alphathalassémie.

Plus en détail

Les tests génétiques à des fins médicales

Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4 Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein? Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE

INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment

Plus en détail

Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales

Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales Aix 11 Septembre 2006 Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales «Sciences de la Vie» Jean-François DHAINAUT Président du Pôle de Recherche et Enseignement Supérieur «Université Paris-Centre»

Plus en détail

Pour une meilleure santé

Pour une meilleure santé Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES

Plus en détail

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février

Plus en détail

Avancées dans la maladie de Pompe

Avancées dans la maladie de Pompe AVANCÉES DE LA RECHERCHE Avancées dans la maladie de Pompe > Glycogénose musculaire de type II > Déficit en alpha-glucosidase acide > Déficit en maltase acide > Maladie de Pompe à début tardif > Pompe

Plus en détail

LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES

LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement

Plus en détail

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

Aspects réglementaires du don et de la transplantation des organes. Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès

Aspects réglementaires du don et de la transplantation des organes. Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès Aspects réglementaires du don et de la transplantation des organes Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès Cadre législatif au Maroc Loi 16/98 relative au don, au prélèvement

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

TRANSFORMEZ VOTRE IMPÔT EN DON

TRANSFORMEZ VOTRE IMPÔT EN DON TRANSFORMEZ VOTRE IMPÔT EN DON Transformez votre impôt en don! Particuliers, au titre de l ISF, vous bénéficiez d une réduction d impôts de 75% du montant du don, dans la limite de 50 000. Vous avez 1000

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

Fécondation in vitro avec don d ovocytes

Fécondation in vitro avec don d ovocytes Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur

Plus en détail

CRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient

CRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient CRPP Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires Syndrome MYH9 Macrothrombocytopénies constitutionnelles liées à MYH9 (Anomalie de May-Hegglin, Syndrome de Sebastian, d Epstein, de Fechtner, d Alport-like

Plus en détail

Marquage CE et dispositifs médicaux

Marquage CE et dispositifs médicaux Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Génétique et génomique Pierre Martin

Génétique et génomique Pierre Martin Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée

Plus en détail

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans. Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

L équilibre alimentaire.

L équilibre alimentaire. L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter

Plus en détail

La rétinite pigmentaire Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa

La rétinite pigmentaire Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

Dystrophie musculaire

Dystrophie musculaire Définition Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence et l affaiblissement progressif

Plus en détail

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé. RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl

Plus en détail

Sport et traumatisme crânien

Sport et traumatisme crânien Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme

Plus en détail