Analyse de la valeur et évaluation économique
|
|
- Rodolphe Morel
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Analyse de la valeur et évaluation économique Jacques Perrin Professeur de Sciences Économiques INSA Lyon 1. Évaluer ne se réduit pas à mesurer La première grande étude qui marque les débuts de l'histoire de l'évaluation serait celle conduite par Ralph Tyler à partir de 1932 aux États-Unis et dont l'objectif était l'évaluation de deux systèmes d'enseignements secondaires différents à partir des cursus universitaires suivis par les élèves. D un point de vue méthodologique, l apport principal de Tyler est d établir une distinction claire entre l évaluation et la mesure. L évaluation est conçue comme un processus inscrit dans le temps. Introduits par Tyler, les objectifs de référence permettent de caractériser les changements attendus dans les phénomènes considérés à évaluer. La mesure conserve un rôle important, mais s en tient aux effets. L évaluation est de portée plus générale : on tente de remonter aux causes et on se prononce donc sur les objectifs et leur mise en œuvre..[jacot, 1990]. Objectifs de référence Mise en œuvre Effets Effets MESURE MESURE Figure 9. L'évaluation (par rapport à la mesure) d'après Tyler [Jacot,1990]. 2 Valeur et évaluation Étymologiquement, évaluer c est assigner une valeur bonne ou mauvaise, meilleure ou pire, à une chose à un événement. La mise en œuvre d une démarche d évaluation va donc dépendre de la notion de la valeur qui sera retenue. 1
2 2.1 Différence entre valeur et valeur ajoutée La méthodologie de "l'analyse de la valeur" est fondée sur une notion bien précise de la valeur et pouvant s apprécier à partir du rapport satisfaction du besoin / coûts ou fonctions / coûts. Valeur = Fonctions /Coûts Dans leur ouvrage "La logique de la valeur, une approche européenne du management par la qualité totale" [1996] Pierre Jocou et Pierr Meyer soulignent que la valeur d'un bien ou d'un service, procède principalement du désir que suscite son acquisition. Ce désir résulte d'une alchimie complexe où, à des critères objectifs (coûts, services, performances, disponibilité, etc.) se combinent des critères beaucoup plus subjectifs. Produire de la valeur c'est produire cet attrait. Il est aussi important de souligner que la valeur est une notion relative à un moment donné et par rapport à des produits et services déjà disponibles. En intégrant les composantes de la valeur validées par le client, chaque nouvelle offre qui apparaît sur un marché contribue à banaliser les éléments qui font la valeur d'un produit. Chaque nouvelle offre doit donc arriver sur la marché avec une valeur supérieure. Plus les éléments valorisés par le client sont rares sur le marché, plus la valeur qu'ils confèrent au produit est élevée. On peut dire avec Lorino [1989] que La valeur intervient comme phénomène fondateur des mouvements économiques par ses variations dans le temps et non par ses niveaux absolus. Une loi statique de la valeur ne peut servir de base à la compréhension d'un monde économique structuré par le mouvement (irréversible ) et le déséquilibre. La seule loi de la valeur réellement pertinente doit être une loi du changement de valeur : la loi fondatrice de la théorie économique n'est pas une loi de la valeur mais une loi du changement de valeur. Les variations de valeur sont fondées sur l'innovation La valeur ne doit pas être confondue avec la valeur ajoutée. Dans une entreprise la valeur ajoutée créée par l'entreprise est : Valeur ajoutée = chiffre d'affaire consommation intermédiaire La valeur ajoutée correspond à une richesse additionnelle créée par l'entreprise, elle constitue la base à partir de laquelle les différents ayants droits concernés par l'entreprise pourront être rémunérés. 2.2 Évaluation économique et Analyse Coût/Bénéfice En sciences économiques, les démarches d évaluation, tentent souvent de centrer leur problématique sur le calcul économique et notamment sur l'analyse coûts/bénéfices avec taux d actualisation qui est la méthode la plus employée pour fonder économiquement une décision [Bontemps, Rotillon.1998].. Si on se place dans le cadre conceptuel de "l'analyse de la valeur", on perçoit de suite que l analyse coût/bénéfice relève de la logique de la valeur ajoutée et aucunement de la logique de la valeur et ne peut servir de guide de référence à une démarche d évaluation (bien qu elle puisse être mobilisée pour la mesure de certains effets). De plus, rappelons que la pratique de l actualisation dans l analyse coût-avantage pose deux problèmes. Le premier, c est le choix du taux d actualisation sur lequel il n y a pas de consensus qui se soit dégagé. Le second, c est la rapide diminution des sommes actualisées qui fait compter comme négligeable les conséquences de la décision au-delà de cinquante ans, au point que certains économistes, comme Kaldor, y voyaient la victoire de la rapacité contre la raison. [Bontemps, Rotillon.1998]. 2
3 2.3 "L'analyse de la valeur" : une démarche d'évaluation "L'analyse de la valeur", qui s appuie sur des procédures bien définies telles que l analyse fonctionnelle, le cahier des charges fonctionnel, le choix de solutions techniques pour chaque fonction, et qui nécessite un travail en groupe pluridisciplinaire (associant notamment le client ou son porte-parole) constitue une réelle démarche d évaluation qualitative et participative. L analyse fonctionnelle 1 consiste dans une première phase, à exprimer, sous forme de fonctions, le besoin que l utilisateur réclame d un produit (ou d un service) à concevoir ou qu un produit déjà existant peut fournir. Les fonctions sont les actions d un produit ou de l un de ses constituants exprimées exclusivement en terme de finalité. Une fonction est généralement formulée par un verbe à l infinitif suivi d un complément. Parmi ces fonctions ( de service) celles qui sont attachées à la destination pratique de l objet sont appelées fonctions d usage, et celles qui correspondent à des motivations subjectives sont appelées fonction d estime. L analyse fonctionnelle est définie comme démarche qui consiste à recenser, ordonner, caractériser, hiérarchiser et valoriser les fonctions. Le recensement des fonctions est nécessaire pour ne pas en oublier, ce qui n est pas toujours évident. Différentes méthodes ont été mises au point pour recenser les fonctions : matrice ayant pour double entrée les éléments extérieurs du produit, représentation graphique en forme de rosace dont le produit occupe le centre. L ordonnancement des fonctions vise à les classer en fonctions de services, en fonctions techniques (ou fonctions de construction qui est jugée nécessaire pour assurer les fonctions de service), en fonctions contraintes (limitation à la liberté du concepteur-réalisateur du produit, les normes par exemple) et à identifier les relations de dépendance entre elles et les possibilités de regroupement des fonctions (par le diagramme FAST : Functionnal Analysis System Technique ou arbre fonctionnel). La caractérisation des fonctions consiste à énoncer les critères d appréciation de chacune des fonctions, à préciser leurs niveaux et leurs limites d acceptation. La hiérarchisation des fonctions vise à évaluer leur ordre d importance (par comparaison des fonctions deux par deux et utilisation d une matrice à double entrée). La valorisation des fonctions concrétise cet ordre d importance par l attribution à chacune d elles d'un poids en valeur relative ou absolue indépendamment des solutions. Intérêt de la démarche fonctionnelle L intérêt d exprimer le besoin en termes de services attendus plutôt qu en termes de solutions est de plus en plus largement reconnu. Qui pourtant, à titre personnel ou professionnel, ne s est pas surpris à choisir ou à faire appel à une des premières solutions qui lui soit venue à l esprit, avant d avoir fait le tour du problème? Qui plus tard, ne l a pas regretté en découvrant que son choix ne satisfait pas les véritables attentes et que, par contre, il a payé pour des choses dont il 1 L analyse fonctionnelle et les différents concepts auxquels elle fait appel on fait l objet d une norme française (AFNOR X50-150). 3
4 n avait pas besoin. S il en est ainsi, c est par défaut ou insuffisance d acquisition d une démarche intellectuelle appropriée. La démarche fonctionnelle amène à s interroger sur les véritables attentes, rationnelles et affectives, des futurs utilisateurs (les bénéficiaires et les prestataires de services attendus), sur les contraintes résultant des différents cas d environnement et sur l intangibilité de celles-ci. Elle conduit à exprimer les différentes facettes du juste besoin par des fonctions traduisant les services attendus (fonctions de service) ; à les grouper s il y a lieu, à faire apparaître les critères permettant de juger comment chaque fonction est assurée ; chaque fois que la quantification est nécessaire et possible, le niveau visé est indiqué. Le réalisme conduisant à admettre que tous les niveaux visés ne peuvent être atteints, on précise les limites au-delà desquelles le service n est plus considéré comme rendu. De plus pour atteindre la solution la plus appropriée, on indique les poids relatifs attribués aux critères ou le taux d échange admis entre les écarts favorables et les écarts défavorables. L ensemble de ces informations définit la flexibilité Source ; AFAV Exprimer le besoin, applications de la démarche fonctionnelle, AFNOR 1989 L analyse fonctionnelle ou l expression fonctionnelle du besoin constitue la partie principale du Cahier des Charges fonctionnel. Ce cahier des charges comporte, dans une première partie, la définition du problème à traiter, la présentation du concept général du produit (ou du service), le contexte du projet, les objectifs. Le cahier des charges fonctionnel va être complété et précisé tout au long des différentes phases de réalisation du projet (étude préliminaire, étude d avant projet, étude de projet, développement et réalisation). Dans la démarche d "analyse de la valeur", pour chaque fonction recensée et caractérisée, plusieurs solutions techniques respectant les caractérisations fonctionnelles retenues sont recherchées. Différentes méthodes de créativité (brain-storming, matrices de découvertes, checklist,...) peuvent être mobilisées pour trouver des solutions potentielles. L évaluation des solutions se fait en attribuant une note à chacune des solutions (par exemple 1 : solution douteuse, 2 : solution moyenne, 3 : solution adaptée) et en dressant un tableau croisé fonctions / solutions qui intègre la pondération des fonctions établies dans l analyse fonctionnelle. En prenant en compte les incompatibilités techniques entre certaines solutions techniques, cette approche permet de définir et de hiérarchiser un nombre restreint de propositions finales ( 2 à 3). Pour chacune de ces propositions ; il est alors nécessaire de vérifier le niveau de respect du cahier des charges fonctionnel, le niveau de respect des contraintes (internes et externes) et de chiffrer le coût de la solution globale. Cette démarche d évaluation permet ainsi d apprécier pour chaque fonction le rapport fonction/ coût, de comparer la hiérarchie de l importance relative des fonctions et la hiérarchie de leur coût ; cette démarche permet également d apprécier et de comparer le rapport satisfaction des besoins / côut de chaque solution globale. 4
5 Bibliographie AFAV, Exprimer le besoin, Afnor gestion, Paris, 1989 Bontems Ph, Rotillon G., Economie de l'environnement, La Découverte, Paris, 1998 Cohen E;, Dictionnaire de gestion, article valeur, La Découverte, Paris, 2000 Denis Neveu, Actualités Financières de juin 1999, Guerrien B., Dictionnaire d'analyse économique, La Découverte, Paris, Jacot J-H, "A propos de l'évaluation économique des systèmes intégrés de production", in ECOSIP Gestion industrielle et mesure économique, Economica, Paris, 1990 Jocou P., Meyer P., La logique de la valeur, Dunod, Paris, 1996 Ladriere P., Gruson C. (1992) Ethique et Gouvernabilité, Paris,Puf Neveu D., La création de valeur : une méthode infaillible?, Problèmes Economiques, N 2.658, 29 mars Perret B., "Les enjeux épistémologiques de l'évaluation" in Conseil Scientifique de l'evaluation, L'évaluation en développement 1996, La Documentation Française, Paris,
Tableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication
Bande de Com! Tableau de Bord Julien Pansier PROJET Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication 1.1.1 Prise en charge du dossier de l annonceur C11.1. S approprier la demande de l annonceur - Comprendre
Plus en détailLa veille d'information sur Internet
1 La veille d'information sur Internet Cours IV : I - Une introduction générale Peter Stockinger Séminaire de Maîtrise en Communication Interculturelle à l'institut National des Langues et Civilisations
Plus en détailDocument d accompagnement pour le référentiel national du C2i niveau 2 Métiers de l environnement et de l aménagement durables
Document d accompagnement pour le référentiel national du C2i niveau 2 Métiers de l environnement et de l aménagement durables A - Compétences générales et transversales liées à l exercice des métiers
Plus en détailC11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges
Classe de situation (3) Clas.1.1. Conduite d'un projet de F1 Mise en œuvre et suivi de projets de (3 classes de situations / 10 situations / 12 compétences) Situations (4+2+4) Compétences (6+2+4) Compétences
Plus en détailGouvernance des mesures de sécurité avec DCM-Manager. Présentation du 22 mai 2014
Gouvernance des mesures de sécurité avec DCM-Manager Présentation du 22 mai 2014 Gérer les actifs logiciels et leur répartition Maîtriser le durcissement des configurations Suivre l application des correctifs
Plus en détail- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES
- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES Objectif(s) : o o Pré-requis : o Modalités : Relation Besoin en Fonds de Roulement (B.F.R.) et Chiffre d'affaires (C.A.), Eléments variables
Plus en détailAccompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE
Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions
Plus en détailLE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE
LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailA1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE
Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de
Plus en détailSERVICE D ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE DE L UNIVERSITE SORBONNE PARIS CITE
SERVICE D ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE DE L UNIVERSITE SORBONNE PARIS CITE CATALOGUE DE FORMATION POUR LES ENSEIGNANTS DE USPC 2014-2015 Le service SAPIENS créé en janvier 2014 propose durant l année 2014-2015
Plus en détailPlan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011
Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 D.D.T.M de la Somme SOMMAIRE Les risques majeurs sur le littoral
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile
CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS
Plus en détailINTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1
LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre
Plus en détailSEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation
SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailExtrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables
Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm Notez que vous trouverez les fiches citées à chaque étape sur le site (Normalement, les liens ont été conservés et fonctionnent) Reste
Plus en détailQu est-ce qu une problématique?
Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?
Plus en détailProblématique / Problématiser / Problématisation / Problème
Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont
Plus en détailSystèmes de transport public guidés urbains de personnes
service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration
Plus en détailGuide du tuteur en entreprise
Brevet de Technicien Supérieur Assistant Gestion PME - PMI Guide du tuteur en entreprise LYCEE LA MENNAIS 2 rue Général Dubreton (site général-technologique) Directeur : Ihsan JAAFAR 3 rue de Guibourg
Plus en détailAssociation science et bien commun Projet de charte
Association science et bien commun Projet de charte L Association science et bien commun (ASBC) est un organisme sans but lucratif enregistré au Registre des entreprises du Québec depuis juillet 2011.
Plus en détailBaccalauréat technologique
Baccalauréat technologique Épreuve relative aux enseignements technologiques transversaux, épreuve de projet en enseignement spécifique à la spécialité et épreuve d'enseignement technologique en langue
Plus en détailLicence professionnelle Intégration des systèmes voix / données
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Intégration des systèmes voix / données Université de Pau et des Pays de l Adour - UPPA Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations
Plus en détailFiche conseil n 16 Audit
AUDIT 1. Ce qu exigent les référentiels Environnement ISO 14001 4.5.5 : Audit interne EMAS Article 3 : Participation à l'emas, 2.b Annexe I.-A.5.4 : Audit du système de management environnemental SST OHSAS
Plus en détailPRXSENTATION D UN GESTIONNAIRE DE DONNEES NUMERIQUES HIERARCHISEES DESTINE AU DE- -POUILLEMENT D ENQUETES
97 PRXSENTATION D UN GESTIONNAIRE DE DONNEES NUMERIQUES HIERARCHISEES DESTINE AU DE- -POUILLEMENT D ENQUETES Jacques Vaugelade & Marie Piron (Demographie et Statistique) (UR 702) Centre ORSTOM de Ouagadougou
Plus en détailDans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise
Communiqué de presse Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Paris, le 27 mai 2013 L Institut Randstad et l Observatoire du Fait Religieux en Entreprise
Plus en détailÉvaluer la formation dans l entreprise
L objectif de ce guide méthodologique est de dresser un bilan des actions de formation menées. L évaluation constitue la dernière étape du management de la formation. La démarche permet de : mesurer la
Plus en détailANALYSE DU BESOIN. L ANALYSE FONCTIONNELLE par Jean-Marie VIRELY & all (ENS Cachan) Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin».
-- Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin». AA-GC-CL-JMV Page mis à jour le oct 00 L'objectif L'Analyse du Besoin est une méthode qui permet de caractériser le besoin exprimé -- L objet est
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailLE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING
LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications
Plus en détailBTS Assistant de manager(s) LES FINALITES PROFESSIONNELLES
BTS Assistant de manager(s) LES FINALITES PROFESSIONNELLES 1 FINALITÉ 1 Soutien à la communication et aux relations internes et externes L assistant facilite la communication à tous les niveaux (interpersonnel,
Plus en détailInterne Forces Faiblesses Externe Opportunités Menaces
L ANALYSE SWOT 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L'analyse SWOT (Strengths Weaknesses Opportunities Threats) ou AFOM (Atouts Faibses Opportunités Menaces) est un outil d'analyse stratégique.
Plus en détailLe tableau de bord de la DSI : un outil pour mieux piloter son informatique.
Le tableau de bord de la DSI : un outil pour mieux piloter son informatique. Introduction Face à l évolution constante des besoins fonctionnels et des outils informatiques, il est devenu essentiel pour
Plus en détailManuel de recherche en sciences sociales
Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales
Plus en détailQuel contrôle de gestion pour les ONG 1?
Quel contrôle de gestion pour les ONG 1? (Rémi Bachelet et Nathalie Claret) Dans le cadre de l atelier portant sur les nouveaux champs du contrôle de gestion, une réflexion sur la place de ce dernier dans
Plus en détailACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ACTIVITES
Plus en détailChap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE
I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3054 Convention collective nationale IDCC : 925. DISTRIBUTION ET COMMERCE
Plus en détailMARKETING. Denis Pettigrew D. Se. gestion Professeur titulaire de marketing Université du Québec à Trois-Rivières
MARKETING 6 e édition Denis Pettigrew D. Se. gestion Professeur titulaire de marketing Université du Québec à Trois-Rivières Normand Turgeon Ph. D. (Marketing) Professeur titulaire Service de l'enseignement
Plus en détailÉVALUATION ÉCONOMIQUE ET SANTÉ PUBLIQUE : TENDANCES ACTUELLES ET QUESTIONS ÉTHIQUES
ÉVALUATION ÉCONOMIQUE ET SANTÉ PUBLIQUE : TENDANCES ACTUELLES ET QUESTIONS ÉTHIQUES BROUSSELLE, Astrid, Ph. D., Université de Sherbrooke BENHADJ, Lynda, Ph. D. (c), Université de Sherbrooke BENMARHNIA,
Plus en détailChristophe CANDILLIER Cours de DataMining mars 2004 Page 1
Christophe CANDILLIER Cours de DataMining mars 2004 age 1 1. Introduction 2. rocessus du DataMining 3. Analyse des données en DataMining 4. Analyse en Ligne OLA 5. Logiciels 6. Bibliographie Christophe
Plus en détail"La démarche marketing, le système d information marketing et l étude de marché"
ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES Module : Marketing Fondamental Année Académique : 2014/2015 Niveau : 1 ère année Master (TC) Enseignant : KHERRI Abdenacer Groupes : 12, 13, 14, 15 et 16 Site web :
Plus en détailPréparer la formation
Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailCHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES
CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les
Plus en détailFilière «Économie et Entreprise» 2015/2016
Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016 1. Présentation de la filière Économie et Entreprise La filière «Economie et entreprises» de quatrième année de SciencesPo Strasbourg donne aux étudiants, dans
Plus en détailGUIDE SUIVI EVALUATION RIDER SUODE
GUIDE SUIVI EVALUATION RIDER SUODE Ce document, réalisé dans le cadre du GT5 «suivi / évaluation», est un guide pour les experts du Comité Scientifique. Les critères et indicateurs choisis dans ce document
Plus en détailAider à la décision. - La matrice d Eisenhower - Le diagramme de Pareto - Les arbres d objectifs - Le diagramme d affinités - La méthode Philips 6.
Guide méthodologique du travail en commun Aider à la décision > Hiérarchiser les priorités > Choisir les bonnes solutions > Hiérarchiser les priorités - La matrice d Eisenhower - Le diagramme de Pareto
Plus en détailLE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES
LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : janvier 1995 Réédité
Plus en détailTREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE
TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. RÉGLEMENTAIRES FORME JURIDIQUE TreeTop Asset Management S.A. (ci-après «TREETOP» ou la «Société») est une société anonyme
Plus en détailIntitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011
Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailREFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,
Plus en détailLa fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.
Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies ECE/CECI/2015/4 Conseil économique et social Distr. générale 30 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de la coopération et de l intégration économiques
Plus en détailIntroduction à la relativité générale
Introduction à la relativité générale Bartolomé Coll Systèmes de référence relativistes SYRTE - CNRS Observatoire de Paris Introduction à la Relativité Générale Préliminaires Caractère théorique (formation)
Plus en détailRecherche et veille documentaire scientifique
Recherche et veille documentaire scientifique Élodie Chattot BU Médecine Pharmacie juin 2006 Introduction Le but de cet atelier est de vous initier à la méthodologie de recherche documentaire scientifique,
Plus en détailLes clés de l évaluation. Hervé Bardin
Les clés de l évaluation Hervé Bardin Evaluation d entreprise : principes généraux Evaluation d entreprise : principes généraux Que veut-on évaluer? Contexte de l évaluation Typologie des méthodes d évaluation
Plus en détailUNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce
UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce Année Universitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Année Etudes Supérieures Commerciales & Sciences Comptables DECISIONS FINANCIERES Note de cours N 2
Plus en détailRéaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!
Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!) 1. Réaliser la note sur l auteur (bien lire le document, utiliser Internet)
Plus en détailMASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS
MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours
Plus en détailCONTRAT DE MAINTENANCE INTERcom
CONTRAT DE MAINTENANCE INTERcom Pour un crédit de.points. ENTRE LES SOUSSIGNES SERVICES soft Eurl Dont le Siège social est : 1 er Groupe, Bt B Place du 1 er Mai Alger Ci après dénommer «LE PRESTATAIRE»
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailSPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE
SPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE Finance, Contrôle des Organisations Cette spécialisation se fonde sur la nécessité de prendre des décisions et/ou d organiser les différents processus au cœur de
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION
Innovation - Prévention conseil - accompagnement - formation Innovation-Prévention 19 rue Paul Séramy 77300 Fontainebleau N SIRET : 48155965600030 Tel : 09.88.99.99.59 www.innoprev.com Contact Direct avec
Plus en détailFiche descriptive d activités
Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires
Plus en détailVers l amélioration continue
Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission
Plus en détailFormation aux écrits professionnels
Quelles pratiques pour développer la de base dans les services publiques, les entreprises et faciliter l accès à la validation des acquis de l expérience? Résumé : Formation aux écrits professionnels Groupe
Plus en détailBTS - Assistant de gestion PME-PMI
Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 18/08/2015. Fiche formation BTS - Assistant de gestion PME-PMI - N : 0079468 - Mise à jour : 09/07/2015 BTS - Assistant de gestion PME-PMI
Plus en détailplate-forme mondiale de promotion
plate-forme mondiale de promotion À propos de The Institute of Internal Auditors (Institut des auditeurs internes) L'institut des auditeurs internes (IIA) est la voix mondiale de la profession de l'audit
Plus en détail- Le Diagramme de Gantt. - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier des charges fonctionnel
Planifier le projet > Identifier les étapes > Organiser le projet > Identifier les étapes - Le Diagramme de Gantt > Organiser le projet - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier
Plus en détailMaster Sales Analysis. Analyse et développement des compétences de vente
Master Sales Analysis Analyse et développement des compétences de vente L'essentiel L essentiel à propos du système MSA 360 Description résumée du système MSA 360 Le système Master Sales Analysis (MSA)
Plus en détailSupply Chain Management ou Gestion de la Chain Logistique
Supply Chain Management ou Gestion de la Chain Logistique Définition : Gestion de la Chaine Logistique «Supply Chain Management» ou «La gestion de la chaîne logistique» est fait l'activité consistant à
Plus en détailMNG360 Rapport 360. de M. John DOE
MNG360 Rapport 360 de M. John DOE Evaluation réalisée MNG360 Date de création vendredi 19 juin 2009 12:23 Date de début vendredi 19 juin 2009 12:31 Date de fin vendredi 19 juin 2009 12:45 Temps de passation
Plus en détailANNEXE 2 : Liste des questions entre le directeur et l étudiant
ANNEXE 2 : Liste des questions entre le directeur et l étudiant LES QUESTIONS PROPRES À L ÉTUDIANT 4 Ai-je bien identifié mes besoins de formation et d'encadrement et les objectifs que je désire atteindre
Plus en détailChapitre 1 Comprendre l évolution du marketing
Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Ce que vous allez apprendre Définir le marketing et comprendre son rôle Comprendre les différentes évolutions du marketing Comprendre les nouveaux enjeux
Plus en détailObjectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie.
C HAPI TRE 8 Tableau de bord et reporting Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. 1 Principes A Le tableau
Plus en détailREFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 165 [ARR 1977] Décret du 21 septembre 1977 pour l'application de la loi n 76-663 du 19 juillet 1976 relative aux installations classées pour la protection de l'environnement.
Plus en détailBâtir et améliorer son système d appréciation
Bâtir et améliorer son système d appréciation Bâtir et faire évoluer son système d'appréciation, Se doter de critères pertinents pour son entreprise, Se positionner en tant que conseil dans l'entretien
Plus en détailLa référence pour maîtriser votre risque. Guide de référence. de la cotation
La référence pour maîtriser votre risque Guide de référence de la cotation MARS 2015 Sommaire 1. LA COTATION : UN PROCESSUS D APPRÉCIATION DE LA SITUATION FINANCIÈRE DES ENTREPRISES 1 1.1. POURQUOI LA
Plus en détailLa qualité des services mobiles en France métropolitaine
Juin 2014 La qualité des services mobiles en France métropolitaine Synthèse de l enquête 2014 ISSN : 2258-3106 Synthèse des résultats de l enquête 2014 de l ARCEP sur la qualité des services mobiles Ce
Plus en détailDEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM!
DEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM! NIVEAU DEBUTANT http://www.poker-killer.com/ 1 INTRODUCTION Je m'appelle david Jarowsky, 53 ans. Je n ai jamais été le premier de la clase, ni quelqu un d extraordinaire.
Plus en détailVu la Convention de sauvegarde des droits de l homme et des libertés fondamentales du Conseil de l Europe du 4 novembre 1950 ;
DELIBERATION N 2012-114 DU 16 JUILLET 2012 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE SUR LA DEMANDE PRESENTEE PAR LA POSTE MONACO RELATIVE A LA MISE EN ŒUVRE DU TRAITEMENT
Plus en détailRÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES. Présentation
RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES Présentation Les matériels agricoles, de travaux publics et de manutention, de parcs et jardins sont de plus en plus complexes et l'évolution de leurs technologies
Plus en détailSymantec CyberV Assessment Service
Symantec CyberV Assessment Service Cyber-résilience : gagnez en visibilité Le cyber-espace, monde technologique hyperconnecté constamment en évolution, offre des opportunités inégalées de connectivité,
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailCahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS
Département fédéral de l intérieur (DFI) Office Fédéral de la Statistique OFS Etat-major Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Table des matières 1 Généralités
Plus en détailPrévention des TMS-MS dans les entreprises de moins de 50 salariés. Dr Olivier PALMIERI
Prévention des TMS-MS dans les entreprises de moins de 50 salariés Dr Olivier PALMIERI Introduction La prévention des troubles musculo-squelettiques des membres supérieurs est l un des deux axes retenus
Plus en détailL expérience de la Cour des comptes en matière d évaluation des projets publics. Rapporteur général à la Cour des comptes
L expérience de la Cour des comptes en matière d évaluation des projets publics Par: Saïd MOURABIT Rapporteur général à la Cour des comptes Introduction Rappel des missions de la Cour des comptes: jugement
Plus en détailLA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE
LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE La question posée s inscrit dans une démarche d amélioration de la circulation de l information. questionnaire d
Plus en détail21/09/2012. La vente par Internet. Pourquoi vendre par Internet?
VENDRE GRÂCE A INTERNET - POURQUOI ET COMMENT? ALES 20 septembre 2012 La vente par Internet Pourquoi vendre par Internet? - c est un nouveau canal de commercialisation. - pour mettre son catalogue produits
Plus en détailStructure typique d un protocole de recherche. Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV
Structure typique d un protocole de recherche Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV Introduction Planification et développement d une proposition de recherche Étape
Plus en détailPlan de communication et Web marketing
Plan de communication et Web marketing 2030, boul. Pie-IX, bureau 430 Montréal (Québec) H1V 2C8 Pie-IX Téléphone 514 254-7131 poste 4811 Courriel sfc@cmaisonneuve.qc.ca Notre site Web : http://fc.cmaisonneuve.qc.ca/
Plus en détailL analyse des pratiques : une démarche facilitatrice pour la construction et l évolution de l identité professionnelle... 4
FICHES TECHNIQUES La carrière de l'enseignant : comment durer dans le métier? Comment optimiser les ressources des professeurs expérimentés? Usure, adaptation, épreuves et ressources.... 3 L analyse des
Plus en détailAPPELS D OFFRE: COMMENT BIEN DÉFINIR VOS BESOINS EN AMONT
APPELS D OFFRE: COMMENT BIEN DÉFINIR VOS BESOINS EN AMONT POUR NE PAS LE REGRETTER ENSUITE? POUR UNE MISE EN PLACE SEREINE MICHAEL MONCHALIN INGÉNIEUR COMMERCIAL EUDONET JENNIFER STEPHENSON RESPONSABLE
Plus en détail