Analyse de la valeur et évaluation économique

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1 Analyse de la valeur et évaluation économique Jacques Perrin Professeur de Sciences Économiques INSA Lyon 1. Évaluer ne se réduit pas à mesurer La première grande étude qui marque les débuts de l'histoire de l'évaluation serait celle conduite par Ralph Tyler à partir de 1932 aux États-Unis et dont l'objectif était l'évaluation de deux systèmes d'enseignements secondaires différents à partir des cursus universitaires suivis par les élèves. D un point de vue méthodologique, l apport principal de Tyler est d établir une distinction claire entre l évaluation et la mesure. L évaluation est conçue comme un processus inscrit dans le temps. Introduits par Tyler, les objectifs de référence permettent de caractériser les changements attendus dans les phénomènes considérés à évaluer. La mesure conserve un rôle important, mais s en tient aux effets. L évaluation est de portée plus générale : on tente de remonter aux causes et on se prononce donc sur les objectifs et leur mise en œuvre..[jacot, 1990]. Objectifs de référence Mise en œuvre Effets Effets MESURE MESURE Figure 9. L'évaluation (par rapport à la mesure) d'après Tyler [Jacot,1990]. 2 Valeur et évaluation Étymologiquement, évaluer c est assigner une valeur bonne ou mauvaise, meilleure ou pire, à une chose à un événement. La mise en œuvre d une démarche d évaluation va donc dépendre de la notion de la valeur qui sera retenue. 1

2 2.1 Différence entre valeur et valeur ajoutée La méthodologie de "l'analyse de la valeur" est fondée sur une notion bien précise de la valeur et pouvant s apprécier à partir du rapport satisfaction du besoin / coûts ou fonctions / coûts. Valeur = Fonctions /Coûts Dans leur ouvrage "La logique de la valeur, une approche européenne du management par la qualité totale" [1996] Pierre Jocou et Pierr Meyer soulignent que la valeur d'un bien ou d'un service, procède principalement du désir que suscite son acquisition. Ce désir résulte d'une alchimie complexe où, à des critères objectifs (coûts, services, performances, disponibilité, etc.) se combinent des critères beaucoup plus subjectifs. Produire de la valeur c'est produire cet attrait. Il est aussi important de souligner que la valeur est une notion relative à un moment donné et par rapport à des produits et services déjà disponibles. En intégrant les composantes de la valeur validées par le client, chaque nouvelle offre qui apparaît sur un marché contribue à banaliser les éléments qui font la valeur d'un produit. Chaque nouvelle offre doit donc arriver sur la marché avec une valeur supérieure. Plus les éléments valorisés par le client sont rares sur le marché, plus la valeur qu'ils confèrent au produit est élevée. On peut dire avec Lorino [1989] que La valeur intervient comme phénomène fondateur des mouvements économiques par ses variations dans le temps et non par ses niveaux absolus. Une loi statique de la valeur ne peut servir de base à la compréhension d'un monde économique structuré par le mouvement (irréversible ) et le déséquilibre. La seule loi de la valeur réellement pertinente doit être une loi du changement de valeur : la loi fondatrice de la théorie économique n'est pas une loi de la valeur mais une loi du changement de valeur. Les variations de valeur sont fondées sur l'innovation La valeur ne doit pas être confondue avec la valeur ajoutée. Dans une entreprise la valeur ajoutée créée par l'entreprise est : Valeur ajoutée = chiffre d'affaire consommation intermédiaire La valeur ajoutée correspond à une richesse additionnelle créée par l'entreprise, elle constitue la base à partir de laquelle les différents ayants droits concernés par l'entreprise pourront être rémunérés. 2.2 Évaluation économique et Analyse Coût/Bénéfice En sciences économiques, les démarches d évaluation, tentent souvent de centrer leur problématique sur le calcul économique et notamment sur l'analyse coûts/bénéfices avec taux d actualisation qui est la méthode la plus employée pour fonder économiquement une décision [Bontemps, Rotillon.1998].. Si on se place dans le cadre conceptuel de "l'analyse de la valeur", on perçoit de suite que l analyse coût/bénéfice relève de la logique de la valeur ajoutée et aucunement de la logique de la valeur et ne peut servir de guide de référence à une démarche d évaluation (bien qu elle puisse être mobilisée pour la mesure de certains effets). De plus, rappelons que la pratique de l actualisation dans l analyse coût-avantage pose deux problèmes. Le premier, c est le choix du taux d actualisation sur lequel il n y a pas de consensus qui se soit dégagé. Le second, c est la rapide diminution des sommes actualisées qui fait compter comme négligeable les conséquences de la décision au-delà de cinquante ans, au point que certains économistes, comme Kaldor, y voyaient la victoire de la rapacité contre la raison. [Bontemps, Rotillon.1998]. 2

3 2.3 "L'analyse de la valeur" : une démarche d'évaluation "L'analyse de la valeur", qui s appuie sur des procédures bien définies telles que l analyse fonctionnelle, le cahier des charges fonctionnel, le choix de solutions techniques pour chaque fonction, et qui nécessite un travail en groupe pluridisciplinaire (associant notamment le client ou son porte-parole) constitue une réelle démarche d évaluation qualitative et participative. L analyse fonctionnelle 1 consiste dans une première phase, à exprimer, sous forme de fonctions, le besoin que l utilisateur réclame d un produit (ou d un service) à concevoir ou qu un produit déjà existant peut fournir. Les fonctions sont les actions d un produit ou de l un de ses constituants exprimées exclusivement en terme de finalité. Une fonction est généralement formulée par un verbe à l infinitif suivi d un complément. Parmi ces fonctions ( de service) celles qui sont attachées à la destination pratique de l objet sont appelées fonctions d usage, et celles qui correspondent à des motivations subjectives sont appelées fonction d estime. L analyse fonctionnelle est définie comme démarche qui consiste à recenser, ordonner, caractériser, hiérarchiser et valoriser les fonctions. Le recensement des fonctions est nécessaire pour ne pas en oublier, ce qui n est pas toujours évident. Différentes méthodes ont été mises au point pour recenser les fonctions : matrice ayant pour double entrée les éléments extérieurs du produit, représentation graphique en forme de rosace dont le produit occupe le centre. L ordonnancement des fonctions vise à les classer en fonctions de services, en fonctions techniques (ou fonctions de construction qui est jugée nécessaire pour assurer les fonctions de service), en fonctions contraintes (limitation à la liberté du concepteur-réalisateur du produit, les normes par exemple) et à identifier les relations de dépendance entre elles et les possibilités de regroupement des fonctions (par le diagramme FAST : Functionnal Analysis System Technique ou arbre fonctionnel). La caractérisation des fonctions consiste à énoncer les critères d appréciation de chacune des fonctions, à préciser leurs niveaux et leurs limites d acceptation. La hiérarchisation des fonctions vise à évaluer leur ordre d importance (par comparaison des fonctions deux par deux et utilisation d une matrice à double entrée). La valorisation des fonctions concrétise cet ordre d importance par l attribution à chacune d elles d'un poids en valeur relative ou absolue indépendamment des solutions. Intérêt de la démarche fonctionnelle L intérêt d exprimer le besoin en termes de services attendus plutôt qu en termes de solutions est de plus en plus largement reconnu. Qui pourtant, à titre personnel ou professionnel, ne s est pas surpris à choisir ou à faire appel à une des premières solutions qui lui soit venue à l esprit, avant d avoir fait le tour du problème? Qui plus tard, ne l a pas regretté en découvrant que son choix ne satisfait pas les véritables attentes et que, par contre, il a payé pour des choses dont il 1 L analyse fonctionnelle et les différents concepts auxquels elle fait appel on fait l objet d une norme française (AFNOR X50-150). 3

4 n avait pas besoin. S il en est ainsi, c est par défaut ou insuffisance d acquisition d une démarche intellectuelle appropriée. La démarche fonctionnelle amène à s interroger sur les véritables attentes, rationnelles et affectives, des futurs utilisateurs (les bénéficiaires et les prestataires de services attendus), sur les contraintes résultant des différents cas d environnement et sur l intangibilité de celles-ci. Elle conduit à exprimer les différentes facettes du juste besoin par des fonctions traduisant les services attendus (fonctions de service) ; à les grouper s il y a lieu, à faire apparaître les critères permettant de juger comment chaque fonction est assurée ; chaque fois que la quantification est nécessaire et possible, le niveau visé est indiqué. Le réalisme conduisant à admettre que tous les niveaux visés ne peuvent être atteints, on précise les limites au-delà desquelles le service n est plus considéré comme rendu. De plus pour atteindre la solution la plus appropriée, on indique les poids relatifs attribués aux critères ou le taux d échange admis entre les écarts favorables et les écarts défavorables. L ensemble de ces informations définit la flexibilité Source ; AFAV Exprimer le besoin, applications de la démarche fonctionnelle, AFNOR 1989 L analyse fonctionnelle ou l expression fonctionnelle du besoin constitue la partie principale du Cahier des Charges fonctionnel. Ce cahier des charges comporte, dans une première partie, la définition du problème à traiter, la présentation du concept général du produit (ou du service), le contexte du projet, les objectifs. Le cahier des charges fonctionnel va être complété et précisé tout au long des différentes phases de réalisation du projet (étude préliminaire, étude d avant projet, étude de projet, développement et réalisation). Dans la démarche d "analyse de la valeur", pour chaque fonction recensée et caractérisée, plusieurs solutions techniques respectant les caractérisations fonctionnelles retenues sont recherchées. Différentes méthodes de créativité (brain-storming, matrices de découvertes, checklist,...) peuvent être mobilisées pour trouver des solutions potentielles. L évaluation des solutions se fait en attribuant une note à chacune des solutions (par exemple 1 : solution douteuse, 2 : solution moyenne, 3 : solution adaptée) et en dressant un tableau croisé fonctions / solutions qui intègre la pondération des fonctions établies dans l analyse fonctionnelle. En prenant en compte les incompatibilités techniques entre certaines solutions techniques, cette approche permet de définir et de hiérarchiser un nombre restreint de propositions finales ( 2 à 3). Pour chacune de ces propositions ; il est alors nécessaire de vérifier le niveau de respect du cahier des charges fonctionnel, le niveau de respect des contraintes (internes et externes) et de chiffrer le coût de la solution globale. Cette démarche d évaluation permet ainsi d apprécier pour chaque fonction le rapport fonction/ coût, de comparer la hiérarchie de l importance relative des fonctions et la hiérarchie de leur coût ; cette démarche permet également d apprécier et de comparer le rapport satisfaction des besoins / côut de chaque solution globale. 4

5 Bibliographie AFAV, Exprimer le besoin, Afnor gestion, Paris, 1989 Bontems Ph, Rotillon G., Economie de l'environnement, La Découverte, Paris, 1998 Cohen E;, Dictionnaire de gestion, article valeur, La Découverte, Paris, 2000 Denis Neveu, Actualités Financières de juin 1999, Guerrien B., Dictionnaire d'analyse économique, La Découverte, Paris, Jacot J-H, "A propos de l'évaluation économique des systèmes intégrés de production", in ECOSIP Gestion industrielle et mesure économique, Economica, Paris, 1990 Jocou P., Meyer P., La logique de la valeur, Dunod, Paris, 1996 Ladriere P., Gruson C. (1992) Ethique et Gouvernabilité, Paris,Puf Neveu D., La création de valeur : une méthode infaillible?, Problèmes Economiques, N 2.658, 29 mars Perret B., "Les enjeux épistémologiques de l'évaluation" in Conseil Scientifique de l'evaluation, L'évaluation en développement 1996, La Documentation Française, Paris,

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