progrès notables accomplis par le pays en le situant en fin de période au niveau de la valeur moyenne de 57,1 de l Afrique sub-saharienne.
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- Cyprien Sylvain
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1 Profil pays EPT 4 Contexte général Pays d Afrique de l Est situé dans la région des Grands Lacs le est l un des pays les plus pauvres du continent avec un PIB par habitant de 25 $US en 2. Au cours des douze dernières années, le pays a enregistré un taux de croissance de son PIB réel de 3,8% rapidement absorbé par une croissance démographique 3,3%. Le niveau élevé du taux de croissance démographique a pour conséquence la grande jeunesse de la population qui pèse sur le développement du système éducatif. En 2, la population des enfants en âge de fréquenter le primaire (6 - ans) représentait 5,2% de la population totale, ce qui est toutefois inférieur à la valeur moyenne correspondante pour l Afrique sub-saharienne (7,4%). La prévalence du VIH&SIDA demeure faible (,3 % chez les adultes de 5-49 ans). En termes de développement humain (IDH), le se classe aujourd hui au 78 ème rang sur 87. Contexte macroéconomique et démographique (2) PIB par habitant ($ E.U.) 25 Population totale () 9,85 % de la population en âge de fréquenter le primaire 5.2 % des enfants d'âge du primaire non scolarisés 8.5 Prévalence VIH&SIDA (5-49 ans).3% IDH (classement) 78/87 Principaux indicateurs de l EPT 2 ou année la plus récente. Le disposait d une situation plutôt difficile en en matière d éducation. L indice africain de développement EPT (IAD/EPT) qui mesure les trois dimensions que sont l achèvement du primaire, la parité entre les sexes et le taux d alphabétisation des adultes, était alors de 27,, bien en dessous de la valeur de 39,3 calculée pour l Afrique sub-saharienne et loin du maximum souhaité de. En 2, la valeur de l indice a plus que doublé pour atteindre 56,8. Ce résultat marque les Indice africain de développement EPT (IAD/EPT) (57) ASS (57) Max ASS (9) Min ASS (8) progrès notables accomplis par le pays en le situant en fin de période au niveau de la valeur moyenne de 57, de l Afrique sub-saharienne. En considérant plus spécifiquement les trois dimensions mesurées directement par l IAD/EPT, on note que l achèvement du primaire (objectif 2) qui était à seulement % en a considérablement augmenté pour atteindre 62% en 2. Parallèlement, l indice de parité entre les sexes (objectif 5) s est également amélioré pour s établir à,99 en 2 contre,8 en. Le taux d alphabétisation des adultes (objectif 4) atteint désormais 67% en amélioration par rapport à sa valeur de 59% en.
2 Le taux brut de scolarisation au préscolaire (objectif ) demeure à un niveau faible de 5% malgré une hausse relative considérable puisqu il n était que de,8% en. En lien avec l objectif 3, on constate que le taux d achèvement du secondaire premier cycle reste bas, malgré avoir doublé sur la période, de 9 % en à % en 2. Objectif Développement de la petite enfance. Taux Brut de Scolarisation du préscolaire 8 Objectif 2 Enseignement primaire universelle. Taux d achèvement du primaire Objectif 3 Compétences nécessaires dans la vie courante chez les jeunes et les adultes. Taux d achèvement du secondaire premier cycle 8 Objectif 4 Alphabétisation des adultes. Taux d alphabétisation des adultes Objectif 5 Equité entre les genres dans l enseignement primaire Indice de parité de sexe au primaire () () 8 (9) (59) (8) Objectif 6 Qualité de l éducation Proportion d élèves de 5ème année du primaire ayant le niveau minimal requis* à l évaluation PASEC Français Mathématiques Légende Objectif à 5 (Valeur de ou proche entre parenthèses) Moyenne Afrique Subsaharienne Fourchette de valeurs ASS (min/max) Objectif 6 Moyenne Pays PASEC (5 ) Fourchette de valeurs (min/max) Pays PASEC (5-) Note : * Au moins 4% de bonnes réponses Scolarisation : pyramide éducative 2 ou année la plus récente. Parmi les objectifs de l EPT, les données présentées dans la fiche-pays permettent de détailler l évolution des indicateurs de scolarisation (accès, rétention, transition) et d équité. Comme il est possible de le constater en examinant les profils de scolarisation et les pyramides éducatives présentés dans la fiche, les progrès en matière d achèvement du primaire accomplis par le entre et 2 concernent davantage l amélioration de l accès, que la rétention en cours de cycle qui semble, au contraire, s être dégradée sur la période. L accès à l enseignement primaire est quasiment universel en 2 avec un taux brut d accès de 29%.
3 Ce développement du primaire sur la période a une importante répercussion sur les niveaux postprimaires même si ceux-ci demeurent encore assez peu développés. Ainsi, le taux brut d accès en fin de er cycle secondaire a doublé (% en 2 contre 9 % en ), de même que le taux brut d accès en fin de 2 nd cycle secondaire (6% contre 3%). Une évolution beaucoup plus prononcée s observe pour le supérieur ou le nombre d étudiants pour habitants a plus que triplé pour atteindre 355 en 2 (3 en ). Finalement, on constate que la part de l enseignement technique dans l effectif total des élèves de l enseignement secondaire a reculé sur la période (aux environs de 4 % des effectifs du secondaire contre 8% en ). Le développement de ce type d enseignement s est fait à un rythme beaucoup plus faible que celui de l enseignement secondaire général. Équité dans l accès à la scolarisation et dans le parcours scolaire 2 ou année la plus récente. En termes d équité d importants progrès ont été accomplis au niveau de la fréquentation du primaire (indice de parité filles/garçons de,99 en 2) et du premier cycle du secondaire (indice de parité filles/garçons de à,8) mais l indicateur comparable pour le second cycle du secondaire n est encore que de,53.
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5 Qualité des apprentissages 2 ou année la plus récente. Les informations concernant la qualité des apprentissages (objectif 6) ne sont pas disponibles en évolution. Il n y a pas non plus de mesure récente de la proportion d adultes (22-44 ans) sachant lire aisément après 6 années d études primaires qui était déjà de 89% en, un score plus qu honorable comparé aux valeurs relevées dans d autres pays. La dernière évaluation PASEC au (9) a montré un niveau des apprentissages plutôt encourageant en comparaison avec les autres pays d Afrique francophone qui ont bénéficié d évaluations du même type. Les résultats obtenus par les élèves burundais de 5 ème année lors de cette évaluation sont ainsi légèrement plus élevés que la moyenne des pays testés avec les mêmes items (4,6% de bonnes réponses contre une moyenne de 38,7% en français; respectivement 45, % contre 4,9 % pour les mathématiques). De la même manière, la proportion d élèves de 5 ème année du primaire obtenant 4% de bonnes réponses à l évaluation est bien au dessus de la moyenne de l ensemble des pays testés avec les mêmes items (53% contre 45 % en français ; 6% contre 47 % en mathématiques). En considérant ces deux familles de données dans une perspective temporelle, la première caractérisant des individus plus âgés que la seconde, on pourrait formuler l hypothèse qu elles rendent compte communément d un niveau général plutôt satisfaisant de la qualité des apprentissages des élèves du primaire au. Financement de l éducation 2 ou année la plus récente. Minimum Afrique Subsaharienne Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Mobilisation des ressources, 2 Répartition du budget courant de l éducation, Ressources propres en % du PIB 66 % % (yc EFTP) % Dep. Courantes de l'ed. dans les dep. Courantes de l'etat % Supérieur % Autres niveaux Les résultats obtenus par le en matière de progression vers les objectifs de l EPT, notamment le développement quantitatif des scolarisations, l ont été via une mobilisation financière favorable au secteur de l éducation. Avec des ressources propres représentant environ % du PIB depuis, la part du secteur éducatif dans les dépenses récurrentes totales de l Etat a substantiellement augmenté pour passer de 2% en à 3% en 2. Sur ce point le fait nettement mieux que la moyenne sub-saharienne qui est de 22%. L enseignement primaire occupe une place importante dans les dépenses éducatives publiques au où ce niveau d enseignement bénéficiait de 46% des dépenses publiques d éducation en, contre 44 % pour l ensemble de l Afrique sub-saharienne.
6 Paramètre de la politique éducative 2 ou année la plus récente. Minimum Afrique Subsaharienne Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Ratio élève maître dans le public, 2 Salaire moyen enseignant du public en PIB/hab, Part des dépenses hors salaire enseignants (%), Pourcentage de redoublants, Pourcentage du privé dans les effectifs, Coût public par élève en % du PIB par habitant (Dép. courantes), (yc EFTP) EFTP Supérieur
7 Concernant les composantes de la politique éducative on constate que le se distingue par des coûts publics moyens annuels par élève largement au dessus de la moyenne sub-saharienne. Au niveau du primaire on reste néanmoins assez proche de cette moyenne avec un coût unitaire égal à 4% du PIB/habitant ( % pour l ensemble de l Afrique sub-saharienne). Dans l enseignement secondaire (général et technique) le coût unitaire public est par contre de 75% du PIB/habitant soit trois fois plus que la moyenne sub-saharienne qui est de %. L enseignement technique et l enseignement supérieur présentent des coûts unitaires relatifs respectivement 2 fois et 4 fois plus élevés que la moyenne des pays d Afrique sub-saharienne (respectivement 327 % du PIB/habitant contre 6 % et 743 % du PIB/habitants contre 79 %). La décomposition de ce coût unitaire pour le primaire permet de relever le niveau de rémunération élevé des enseignants qui dépasse très largement celui de la moyenne sub-saharienne (7, fois le PIB par habitant contre 3,4 pour l Afrique subsaharienne). En revanche, la part des dépenses administratives et pédagogiques n est que de 3% au primaire, bien en dessous de la moyenne régionale de %. Ces dépenses sont proportionnellement plus importantes dans le coût unitaire du secondaire où elles valent 4% pour le er cycle et 62% pour le 2 nd cycle. Le taux d encadrement moyen des élèves reste assez proche de la moyenne sub-saharienne dans l enseignement primaire (:48 contre :44 pour l Afrique subsaharienne). Dans l enseignement secondaire er cycle le ratio élèves/maître est bien plus faible que la moyenne sub-saharienne (:26 contre :35). On peut enfin relever le niveau particulièrement élevé du redoublement au. En 2 un tiers des élèves du primaire reprenaient leur classe soit une fréquence de redoublement presque trois fois plus élevée que la moyenne des pays d Afrique sub-saharienne. Dans l enseignement secondaire, le pourcentage de redoublants dans l effectif total est également élevé. Il est de 25% pour le er cycle et de 7,6% pour le 2 nd cycle contre respectivement 3,4% et 3,3% en moyenne pour l Afrique sub-saharienne.
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