MEDEF Actu-Eco. Semaine du 26 au 30 mars 2012 SOMMAIRE

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1 MEDEF Actu-Eco Semaine du 26 au 30 mars 2012 SOMMAIRE FRANCE 1. Croissance au 1 er semestre 2012 : réactivation au printemps grâce à l investissement 2. Situation des entreprises en 2011 : nouvelle baisse du taux de marge et du taux d autofinancement 3. Climat des affaires en mars 2012 : redressement de l indicateur, qui reste inférieur à son niveau de longue période 4. Situation des ménages en 2011 : pouvoir d achat des revenus en hausse de 1,1%, taux d épargne au plus haut depuis Demandes d emploi en février 2012 : dixième mois consécutif de hausse, avec 2,87 millions de chômeurs 6. Moral des ménages en mars 2012 : redressement marqué de l indice de confiance, inquiétude toujours forte sur le chômage 7. Tissu productif de la France en 2009 : 2,7 millions d entreprises dont 95% de micro-entreprises, groupes dont 20% de micro-entreprises et 70% de PME INTERNATIONAL 8. Tendances récentes des marchés * * * 1 MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars 2012

2 1 Croissance au 1 er semestre 2012 : réactivation au printemps grâce à l investissement * Les comptes trimestriels détaillés que vient de publier l INSEE confirment la croissance du PIB de +0,2% au 4 ème trimestre Sur l ensemble de l année 2011, la croissance a été de +1,7%, grâce à la forte contribution positive de la demande intérieure * Dans sa dernière note de conjoncture (mars 2012), l INSEE prévoit une stabilité de l activité au 1 er trimestre 2012 (-0,1% dans la prévision de décembre), et une croissance de +0,2% au 2 ème trimestre (+0,1% auparavant). Cette orientation très légèrement positive de l activité au 1 er semestre 2012 se démarque de la lourdeur de la conjoncture pour la moyenne de la zone euro T T T T T T2 Evolution trimestrielle (%) PIB +0,9 0,0 +0,3 +0,2 0,0 +0,2 Importations de biens et services +2,7-1,0 +0,6-1,0 +0,6 +0,6 Dépenses de consommation des ménages +0,1-1,0 +0,3 +0,2 +0,2 0,0 Dépenses de consommation des administrations +0,4 +0,1 +0,2 +0,3 +0,2 +0,2 Formation Brute de Capital Fixe, dont: +1,1 +0,6 +0,2 +1,1-0,4 +0,7 Entreprises non financières +1,8 +0,4-0,4 +1,7-0,4 +0,8 Ménages -0,4 +1,2 +1,2 +0,3-0,5 +0,4 Exportations de biens et services +1,1 +1,0 +1,2 +1,2 +0,6 +0,6 Contributions (point) Demande intérieure hors stocks +0,4-0,4 +0,3 +0,4 +0,1 +0,2 Variation de stocks +1,0-0,2-0,1-0,8 0,0 0,0 Commerce extérieur -0,5 +0,5 +0,1 +0,6 0,0 0,0 Comptes nationaux détaillés note de conjoncture de mars 2012 pour les prévisions * La légère croissance attendue au 1 er semestre 2012 reposerait essentiellement sur la demande intérieure hors stocks : légère hausse de la consommation au 1 er trimestre, net redressement des investissements au 2 ème trimestre après une contraction au 1 er trimestre. Autre point positif escompté, le déstockage observé fin 2011 devrait s interrompre. En revanche, après trois trimestres de contribution positive du commerce extérieur, cette dernière serait nulle, exportations et importations de biens et services devant évoluer au même rythme. Ces données, encore à confirmer, conduisent à un acquis de croissance de +0,5% pour 2012, ce qui confirme la dernière prévision officielle pour cette année. 2 MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars 2012

3 2 Situation des entreprises en 2011 : nouvelle baisse du taux de marge et du taux d autofinancement La publication par l INSEE des comptes nationaux trimestriels détaillés des entreprises au 4 ème trimestre 2011 permet un premier bilan annuel confirmant que la dégradation des comptes des entreprises s est poursuivie en Un partage de la valeur ajoutée qui continue de s opérer au détriment des entreprises * En moyenne annuelle, la part des rémunérations dans la valeur ajoutée s est encore accrue. Celle des seuls salaires et traitements bruts versés atteint désormais 50,8% de la valeur ajoutée. En conséquence, le taux de marge a continué de baisser, de 30,1% en 2010 à 29,1% en 2011, son plus bas niveau depuis % VA (sociétés non financières) Masse salariale chargée, dont : Salaires et traitements bruts versés Marge brute (EBE) ,6 48,9 31, ,0 49,3 31, ,7 50,7 29, ,8 50,7 30, ,3 50,8 29,1 * Ainsi, malgré le redressement de l activité en 2010 et 2011 après la récession de 2009, le partage de la valeur ajoutée continue de se déformer en défaveur des entreprises, que la crise a considérablement affaiblies. Ainsi, entre 2007 et 2011, pour les sociétés non financières : hausse de +4,3% de la valeur ajoutée, de +8,7% de la masse salariale chargée et baisse de -4,3% de la marge brute. Des profits distribuables en 2011 inférieurs de 6% à leur niveau de 2007 * Les profits avant impôt se sont à peine redressés en 2011 (+0,5%), restant très en deçà de leur niveau de 2007 (-8,4%). En pourcentage de la valeur ajoutée, ils sont tombés de 26,1 à 25,3% (28,8% en 2007). profit avant impôts profit autofinancement distribution % VA impôt*, dont : directs distribuable, dont ,8 4,5 24,3 16,6 7, ,8 4,6 22,2 13,9 8, ,3 1,8 22,4 13,5 8, ,1 2,7 23,3 14,6 8, ,3 3,3 21,9 13,5 8,4 / (*) autofinancement + distribution + impôts directs * Le taux de profits distribuables (profits bruts après impôts directs et avant distribution), est inférieur de 10 % à celui de Le redressement «mécanique» de la fiscalité directe se poursuit (+27% en 2011) après sa chute de 62% en 2009 (plan de relance). Dans le même 3 MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars 2012

4 temps, les revenus distribués (dividendes, rémunérations des parts d associés), supérieurs à leur niveau de 2007, ont continué de se contracter. Ils représentaient 8,4% de la valeur ajoutée en 2011 (8,7% en 2010 et 8,9% en 2009, leur point haut). Au total, l autofinancement (épargne brute) a fortement chuté en 2011, tombé de 3 points de valeur ajoutée entre 2007 et 2011 (-15% en niveau absolu). Nouvelle baisse du taux d autofinancement en 2011 * Entre 2010 et 2011, les sociétés non financières ont augmenté leurs investissements de 6,2%, qui représentent 19,1% de la valeur ajoutée (19% en 2010). Compte tenu de la baisse de l épargne brute, le taux d autofinancement s est établi à 70,8% en 2011 (78,3% en 2010), inférieur de 13,2 points à celui de 2007, et de 15,5 points à sa moyenne de long terme. % VA Autofinancement Investissements Taux d'autofinancement ,6 19,7 84, ,9 20,2 68, ,5 18,5 73, ,6 18,6 78, ,5 19,1 70,8 Alourdissement de la dette des entreprises en 2011 * Conséquence de la baisse de leur autofinancement, les entreprises ont dû recourir davantage à la dette pour financer leurs investissements. Au troisième trimestre 2011 (dernier connu), elle représentait 131% de la valeur ajoutée des sociétés non financières, soit 20 points de plus qu en 2007, malgré un effort d investissement légèrement inférieur. Ceci explique l accroissement des charges d intérêt au cours de Endettement des sociétés non financières (% valeur ajoutée) 131,9 * La poursuite de l effort d investissement dépendra très largement des conditions de son financement qui ne s améliorent pas : profitabilité des entreprises qui reste à restaurer, accès au crédit qui s est durci. 4 MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars 2012

5 3 Climat des affaires en mars 2012 : redressement de l indicateur, qui reste inférieur à son niveau de longue période * Selon l enquête mensuelle INSEE de mars 2012 auprès des chefs d entreprise, l indicateur synthétique s est nettement redressé, tout en restant inférieur à sa moyenne de longue période Indice synthétique du climat des affaires * Cette amélioration se retrouve dans tous les principaux secteurs d activité à l exception du bâtiment. Dans l industrie manufacturière, les stocks de produits finis s allègent, les carnets de commandes globaux se regarnissent (de manière plus nette pour les commandes étrangères), les perspectives de production, générales comme personnelles, se redressent. Dans le commerce, les perspectives générales se redressent. Les détaillants sont moins nombreux à anticiper une baisse des ventes et leurs intentions de commandes se stabilisent. Les intentions de commandes des grossistes se redressent, notamment pour les commandes passées à l étranger. Dans les services, les perspectives générales se sont redressées, mais l indicateur reste à un niveau très bas, signe de l inquiétude persistante des entreprises sur leur activité future. Enfin, dans le bâtiment, le climat des affaires s est légèrement détérioré. Les carnets de commandes sont toujours jugés largement inférieurs à la normale. Les entrepreneurs restent pessimistes pour l activité des prochains mois. 5 MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars 2012

6 4 Situation des ménages en 2011 : pouvoir d achat des revenus en hausse de 1,1%, taux d épargne au plus haut depuis 1982 Les résultats détaillés des comptes nationaux trimestriels que vient de publier l INSEE permettent d analyser la situation des ménages sur l ensemble de l année Hausse de gains de pouvoir d achat de +1,1% pour l ensemble des revenus, de +1,8% pour les salaires versés dans le secteur privé * Entre 2010 et 2011, compte tenu de la hausse de 2% des prix 1, les gains du pouvoir d achat du RDB se sont accélérés (+1,1% après +0,7% en 2010), du fait de l accélération des salaires réels, et de façon toute particulière dans le secteur privé (+1,8% après +0,8%). Le pouvoir d achat des prestations sociales a continué d augmenter mais à un rythme modéré. Par unité de consommation 2, le pouvoir d achat du RDB s est accru de +0,4%. Evolution annuelle du pouvoir d achat (%) Revenu disponible brut, dont : Prestations sociales versées Salaires bruts versés*, dont : 6 MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars 2012 Salaires dans les sociétés non financières ,0 +1,8 +2,0 +2, ,3 +0,4 +0,2 +0, ,3 +6,2 +0,6-0, ,7 +2,2 +0,8 +0, ,1 +1,2 +1,0 +1,8 / (*) entreprises et administrations publiques confondues * En 2010 et 2011, le pouvoir d achat du RDB des ménages a augmenté moins vite que le PIB en volume, contrairement aux années précédentes. Néanmoins, entre 2007 et 2011, alors que le PIB a tout juste retrouvé son niveau de 2007 (+0,2%), le RDB s est accru de 3,5% en euros constants, du fait notamment de la forte hausse des prestations sociales (1/3 du revenu des ménages) durant la crise (+10,3% depuis 2007). Dans le même temps, les salaires versés ont augmenté de 2,6%. Produit Intérieur Brut Revenu disponible brut, dont : Prestations sociales versées Salaires bruts versés*, dont : Salaires dans les sociétés non financières ,0 100,0 100,0 100, ,8 100,3 100,4 100,2 100, ,2 101,6 106,6 100,8 99, ,5 102,4 109,0 101,6 100, ,2 103,5 110,3 102,6 102,6 / (*) entreprises et administrations publiques confondues 1 - Le déflateur utilisé ici est celui de la consommation des ménages dans la comptabilité nationale, dont l évolution peut être différente de celle de l indice mensuel des prix à la consommation. 2 - Système de pondération attribuant un coefficient à chaque membre du ménage et permettant de comparer les niveaux de vie de ménages de tailles ou de compositions différentes. Avec cette pondération, le nombre de personnes est ramené à un nombre d'unités de consommation (UC). L'échelle actuellement la plus utilisée retient la pondération suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage ; 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus ; 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans.

7 Rapporté au PIB, le RDB n a cessé d augmenter, notamment depuis le début de la crise, pour atteindre 67,1% en En 2011, il a représenté 66,8% du PIB, soit 2,2 points de plus qu en 2007 et 3,4 points de plus qu en C est la même tendance que celle du partage de la valeur ajoutée des entreprises, avec une montée continue de la part des rémunérations. Les revenus ne peuvent durablement augmenter plus vite que la production. Seule une accélération durable de la croissance, empêchera un ralentissement durable des gains de pouvoir d achat. Taux d épargne au plus haut depuis 1982 * En moyenne annuelle, le taux d épargne des ménages s est accru, de 16,1% de leur revenu disponible brut en 2010 à 16,8% en Il s agit de son plus haut niveau depuis Entre 2007 et 2011, le taux d épargne total s est donc accru de +1,4 point (+9%) alors que le taux d épargne financière s est accru de +2,2 points (+44%), ce qui montre bien un comportement de précaution des ménages, toujours très inquiets dans leurs perspectives (pouvoir d achat, emploi, anticipation de nouveaux prélèvements). En même temps, ce niveau très élevé de l épargne représente une réserve pour soutenir la consommation, dès lors que l horizon conjoncturel s éclaircira. % Taux d'épargne des ménages, dont : Taux d'épargne financière ,4 5, ,6 5, ,5 7, ,1 6, ,8 7,2 En 2011, l épargne des ménages représentait 223 milliards d euros. Si leur taux d épargne était resté en 2011 à son niveau de 2007 (15,4% au lieu de 16,8%), l épargne ne représenterait «que» 205 milliards d euros. Cet écart de 18 milliards d euros est équivalent à quelque 1,6 point de consommation. 7 MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars 2012

8 févr.-96 févr.-97 févr.-98 févr.-99 févr.-00 févr.-01 févr.-02 févr.-03 févr.-04 févr.-05 févr.-06 févr.-07 févr.-08 févr.-09 févr.-10 févr.-11 févr Demandes d emploi en février 2012 : dixième mois consécutif de hausse, avec 2,87 millions de chômeurs * Le nombre de demandeurs d emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (sans emploi) s est accru en février 2012 de chômeurs, soit +0,2% (hausse de pour l ensemble des catégories A, B et C). Il s agit du dixième mois consécutif de hausse, même si cette dernière ralentit depuis novembre Par catégorie, il faut souligner la légère baisse du chômage sur un mois pour les femmes et les moins de 50 ans. La France métropolitaine comptait en février chômeurs, niveau le plus élevé depuis octobre Demandeurs d'emploi de la catégorie A (milliers, France métropolitaine) 2 867,9 Source : Dares * Entre février 2011 et février 2012, le nombre de demandeurs d emploi s est accru de personnes, soit +6,2%. La progression a été à peine plus élevée chez les hommes et chez les femmes. En revanche, par tranche d âge, il y a eu un contraste très marqué entre les demandeurs d emploi de moins de 50 ans et ceux de 50 ans et plus, dont le nombre a augmenté de +15% sur un an Evolution sur un an des demandeurs d'emploi de la catégorie A (%, France métropolitaine) +15,3 +6,4 +6,0 +3,5 +4,2 Hommes Femmes < 25 ans ans +6,2 > 50 ans Total Source : Dares 8 MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars 2012

9 6 Moral des ménages en mars 2012 : redressement marqué de l indice de confiance, inquiétude toujours forte sur le chômage Comme celui des entreprises, l indicateur synthétique de confiance des ménages s est fortement redressé en mars Il a retrouvé son niveau de février Mais, comme celui des entreprises, il reste inférieur à sa moyenne des années Indice synthétique de confiance des ménages 100 Moyenne Cette nette amélioration tient au redressement de leurs perspectives. C est vrai notamment de leur situation financière, dont l indicateur reste à un niveau toujours bas. C est vrai également de leurs anticipations de chômage. Si l indicateur baisse depuis trois mois, il demeure à un niveau très élevé, ce qui confirme que le chômage reste une forte préoccupation pour les ménages Perspectives d'évolution au cours des 12 prochains mois (solde d'opinion, points) Chômage Situation financière personnelle 9 MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars 2012

10 7 Tissu productif de la France en 2009 : 2,7 millions d entreprises dont 95% de microentreprises, groupes dont 20% de micro-entreprises et 70% de PME * L INSEE vient de publier une photographie du tissu français d entreprises en 2009, à partir de la définition statistique de l entreprise introduite par la loi dite LME 1. Cette loi prévoit notamment de répartir les entreprises en quatre catégories selon trois critères économiques (effectifs, chiffre d affaires, bilan). Catégories d entreprises Nombre (2009) Effectifs Chiffre d'affaires (euros) Total de bilan (euros) PME, dont: < 250 salariés < ou = 50 millions ou < ou = 43 millions Micro-entreprises < 10 salariés < ou = 2 millions ou < ou = 2 millions PME (hors micro-entreprises) salariés 2 à 50 millions 2 à 43 millions Entreprises de taille intermédiaire (ETI) salariés < ou = 1,5 milliard ou < ou = 2 milliards Grandes entreprises salariés et + >1,5 milliard et > 2 milliards L entreprise peut recouvrir aussi bien une unité légale (entreprise individuelle, société) qu un groupe (regroupement d unités légales), constitué pour des raisons économiques ou des objectifs de pure gestion 2. Tout groupe, petit ou grand, est considéré comme une entreprise. * On dénombrait 2,691 millions d entreprises ainsi définies en 2009 dans le secteur marchand non agricole, dont 2,65 millions d unités légales hors groupes, et groupes ( groupes français et groupes sous contrôle étranger). * Cette nouvelle définition fait apparaître trois caractéristiques, dans le champ du secteur marchand non agricole et non financier : - Un tissu d entreprises plus concentré que dans l ancienne définition, avec notamment deux fois plus de grandes entreprises (217). Si elles représentent 0,01% du total des entreprises en nombre, elles en représentent 28% en termes d effectifs salariés, 33% en termes de valeur ajoutée, 62% en termes de dépenses de R&D. A contrario, le poids des PME et des ETI est nettement moins important que dans l ancienne définition, du fait que de nombreuses unités légales de la taille des PME ou des ETI sont des filiales de groupes. 1 Loi de Modernisation de l Economie (4 août 2008). Définition des catégories d entreprise mise en place par le décret n du 18 décembre Désormais, une entreprise recouvre, par exemple, une unité de production, une unité pour le marché intérieur, une unité pour l exportation, alors qu il s agissait de trois unités légales à part entière avec l ancienne définition. 10 MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars 2012

11 Poids comparé des entreprises selon leur catégorie 94,9 (%, 2009) Nombre (100 = 2,7 millions) Effectifs salariés (100 = 12,8 millions) 27,6 31,2 18,6 22,5 4,9 0,2 0, Répartition des groupes par catégorie d'entreprise en 2009(100 = ) 69,4 20,8 9,3 0,5 / (*) hors micro-entreprises - Un dualisme marqué du tissu productif, imputable au poids des groupes Les groupes représentent 2% du total des entreprises. Pourtant, ils emploient 64% des salariés de ces dernières, et assurent 70% de leur valeur ajoutée. Bien loin de la vision courante des «grands groupes mondialisés», les groupes se répartissent ainsi : 21% de micro-entreprises, 69% de PME, 9% d ETI et seulement 0,5% de grandes entreprises. - Un renforcement du poids de l industrie Du fait de la réaffectation de leurs filiales tertiaires aux entreprises industrielles - fonctions commerciales, fonctions support l importance de l industrie dans le secteur marchand s est accrue par rapport à ce qu elle était dans l ancienne définition, qu il s agisse de ses effectifs (+2 points), de sa valeur ajoutée (+4 points) ou de son chiffre d affaires exporté (+7 points). Répartition des entreprises par catégorie et par secteur Catégories d'entreprises Microentreprises PME ETI GE 100=total de la catégorie d'entreprise (2009) Industrie Construction Commerce, transports, hébergement et restauration Information et communication Activités financières et d'assurance Activités spécialisées, scientifiques et techniques, services administratifs et de soutien Activités immobilières ; administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale ; autres activités de services Total Total MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars 2012

12 8 Tendances récentes des marchés Indices boursiers (100 = 2008) pays émergents monde Indices boursiers (100 = 2008) CAC 40 Eurostox x 50 Eurostoxx banque 4,0 Taux de rendement des obligations d'etat à 10 ans (%) 1,36 1 euro =... dollar 3,5 1,34 1,33 3,0 2,5 2,0 1,5 2,97 France Allemagne 1,84 1,32 1,30 1,28 1, Cours des matières premières hors pétrole et métaux précieux (100 = 1998) dollars Prix du baril de pétrole brut Mer du Nord (brent) en dollars 125, euros en euros 94, Rédaction achevée le 30 mars MEDEF Actu-Eco semaine du 26 au 30 mars2012

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