Le diagnostic du cancer de la prostate

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le diagnostic du cancer de la prostate"

Transcription

1 Le diagnostic du cancer de la prostate Le diagnostic du cancer de la prostate à un stade précoce Le cancer de la prostate est actuellement le plus fréquent et la deuxième cause de mortalité par cancer chez l homme, et la première après 70 ans. Ces données brutes qui peuvent paraître inquiétantes, méritent d être nuancées. L âge de détection du cancer de la prostate est de plus en plus bas. La population d hommes de plus de 50 ans représente, en France, environ huit millions de personnes. On estime que 40% d entre elles, soit environ trois millions, présentent des cellules cancéreuses dans leur prostate, mais un petit nombre seulement verra ces cellules cancéreuses devenir un cancer qui grossit et les menacent. Le développement potentiel de ces cellules dépend de leur agressivité : sur ces trois millions d hommes, on estime que 20% d entre eux, soit six cent mille, présentent des cellules suffisamment agressives pour pouvoir se développer. Le cancer de la prostate évolue généralement lentement, sur plus de 10 à 15 ans avec un développement qui reste longtemps local, limité à la prostate ou sa région. Ces chiffres sont à rapprocher de l espérance de vie, que l on estime en France, pour une personne de 70 ans, d environ 12 ans. Ces données éclairent les constatations épidémiologiques. Si le cancer de la prostate est une cause importante de décès par cancer chez l homme âgé, cette mortalité reste relativement faible, si on la compare au très grand nombre de cancers prostatiques latents, puisque plus de 90% d entre eux mourront

2 d une autre cause. Enfin, il faut garder à l esprit que sur les hommes qui décèdent chaque année en France, toutes causes confondues, le cancer de la prostate est responsable de décès. 1-La question du dépistage L intérêt d un dépistage collectif organisé fait l objet depuis de plusieurs années de nombreux débats. Une étude prospective européenne (ERSPC), initiée en 1993 a été réalisée dans le but de répondre à cette interrogation. Elle a porté sur une population de plus de hommes de 55 à 69 ans avec un recul moyen de près de 10 ans. La moitié des patients avaient bénéficié d un dépistage systématique (PSA annuel) l autre moitié n en avait pas eu. Les résultats viennent d être publiés en Mars 2009 dans le prestigieux New England Journal of Médecine : l étude a montré, après 9 ans, une diminution de 27% de la mortalité par cancer de prostate dans la population ayant bénéficiée d un dépistage. Le fait de réaliser le diagnostic n implique pas automatiquement l indication d un traitement mais permet de proposer une prise en charge adaptée à chaque patient (surveillance ou traitement spécifique). Forts de ces conclusions, la Haute Autorité de Santé (HAS), l Institut National du Cancer (INCA) et l Association Française d Urologie (AFU) vont, dans les prochains mois, contribuer à définir une nouvelle politique de santé publique concernant les recommandations de dépistage et de prise en charge du cancer de prostate.

3 Chez qui faut-il évoquer précocement le diagnostic? Le seul facteur prédisposant connu est la présence, dans l ascendance directe ou dans la fratrie, d un cancer de prostate. Dans cette population «à risque» une surveillance particulière peut être proposée à partir de 40 ans. En dehors de ce cas particulier, rien ne justifie a priori un dépistage systématique et répété. Chez un homme en bonne santé qui le souhaite, une évaluation à partir de 50 ans est une pratique recommandable ; si tout est normal une évaluation régulière peut ensuite être proposée jusqu à 75 ans. Passé cet âge, une surveillance ne se justifie plus, car si tout a été normal jusque là, le risque d apparition d un cancer de la prostate et d en souffrir dans l avenir est très faible. Comment évoquer précocement le diagnostic? Deux examens sont utiles : Le toucher rectal permet de palper la partie de la prostate qui bombe dans le rectum. A un stade précoce, sans entraîner aucun symptôme, le cancer de prostate peut se présenter comme une petite induration de la prostate, mais qui n a rien de spécifique. Il est pratiqué à la consultation, est indolore et permet d apprécier le volume et la consistance de la glande prostatique. L adénome de la prostate (hypertrophie bénigne) est lisse, souple et régulier. Le cancer de la prostate se traduit par une zone ferme, dure ou un nodule. Le dosage de l antigène prostatique spécifique (en anglais PSA : prostatic specific antigen). Cet antigène est une protéine normalement sécrétée par les cellules

4 de la prostate, et l on peut établir une corrélation approximative entre le taux de l antigène détecté dans le sang et le volume de la prostate. Un certain nombre de situations non cancéreuses peut faire augmenter le taux de l antigène, de façon transitoire comme une infection de la prostate, une poussée évolutive d un adénome de la prostate, ou même la pratique assidue de la bicyclette, ou de façon définitive comme l adénome de la prostate, puisque le nombre de cellules prostatiques est augmenté. Les cellules cancéreuses sécrètent dans le sang environ 10 fois plus d antigène que les cellules prostatiques normales : un déséquilibre entre le taux de l antigène dosé dans de bonnes conditions et le volume de la prostate peut ainsi devenir un élément de suspicion de la présence de cellules cancéreuses. Mais les méthodes de dosage sont nombreuses et de sensibilités différentes. Un dosage légèrement élevé est difficilement interprétable et certainement pas spécifique du cancer. Il peut être parfois nécessaire de répéter ce dosage dans des conditions connues. L Echographie de la prostate isolée n a pas de valeur d orientation diagnostique suffisante. 2- Le P.S.A. : Qu est-ce que c est? Le PSA (Prostatic Specific Antigen ou antigène spécifique de la prostate) est une protéine qui est sécrétée par les glandes de la prostate. Une partie du PSA passe dans le sang où il peut être dosé par un prélèvement dans une veine. On dose le PSA total ou global ainsi que le taux de PSA libre circulant dans le sang.

5 Comment calcule-t-on son taux? Le PSA existe dans le sang sous 2 formes : liée à une protéine et libre (non lié à une protéine). Le PSA total est la somme des 2 PSA lié et libre. Il existe plusieurs méthodes de dosage, ce qui doit rendre très prudente l interprétation du taux du PSA total. La majorité des dosages indique une norme à 4 ou inférieure à 4ng/ml ; d autres une norme à 2,5 ou inférieure ; beaucoup plus rarement, la norme est à 5 ng/ml. Cette disparité de mesures rend très difficile la comparaison de 2 dosages successifs effectués dans 2 laboratoires différents. C est pourquoi il est important d effectuer les prélèvements dans le même laboratoire ou à défaut avec la même technique. Il faut retenir qu un dosage isolé lorsqu il est modérément élevé (4 à 10 ng/ml) ne veut rien dire en soit. En effet, en fonction de l âge et de l augmentation de volume de la prostate, le dosage augmente régulièrement sans qu il y ait forcément de cancer. Le taux de PSA libre exprimé en % du taux global de PSA peut inciter à réaliser des biopsies s il est bas (inférieur à 12 %). A quoi sert le dosage? Toutes les maladies de la prostate peuvent augmenter le taux de PSA, le cancer, un adénome de la prostate, une infection aiguë de la prostate (prostatite). Certaines manipulations prostatiques peuvent aussi élever le taux, telles que : une cystoscopie ou une fibroscopie vésicale, les biopsies de la prostate à l aiguille. En revanche, le toucher rectal, malgré ce qui a été souvent dit, n élève pas le taux de l antigène de la prostate de façon significative (tout au plus, il l augmentera de 0,1 à 0,4 ng/ml, ce qui est à considérer comme négligeable).

6 A quel âge faut-il le faire? Compte tenu des données acquises de la science, la règle commune est aujourd hui de faire pratiquer un dosage du PSA à partir de 50 ans et ce une fois par an jusqu à 75 ans. Chez les hommes qui ont des antécédents de cancer de prostate familiaux (au moins deux membres de la famille), un dosage du PSA à partir de 40 ans peut être proposé. A 75 ans ou au-delà il devient discutable de faire pratiquer un dosage du PSA. En effet, la fréquence du cancer est à partir de cet âge très importante, mais heureusement l immense majorité des cancers de la prostate chez l homme âgé sont de toutes petites tumeurs qui ont peu de risque d évoluer. Tenter de rechercher ces cancers expose à toute l angoisse d un diagnostic, alors que très probablement il n y aura pas de traitement réellement utile à proposer sauf bien sûr si le malade présente des symptômes. En pratique Lorsqu un premier dosage du PSA est fait et que le taux est un peu au-dessus de la norme, il faut premièrement s assurer qu il n y a eu aucune manipulation prostatique ou aucune infection aiguë dans les deux mois qui précèdent. Il faut ne pas hésiter à faire pratiquer un nouveau dosage du PSA 15 jours plus tard, puis si le taux reste élevé, discuter avec votre médecin qui verra s il y a lieu de demander une consultation à un urologue. Si le taux au 2e dosage reste audessus de la normale, il pourra être discuté de l utilité de réaliser des biopsies de la prostate à la recherche d un cancer. Attention : Le Finastéride (Chibroproscar) utilisé dans le traitement de l adénome de la prostate baisse le taux de PSA d environ 50%.

7 Le PSA après traitement L antigène spécifique de la prostate est un des éléments de surveillance du cancer de la prostate. Après prostatectomie radicale le PSA doit redescendre à un taux de 0,1ng/ml ou moins. Un dosage annuel est ensuite suffisant. Après traitement par rayons, le taux minimal de PSA qu il faut atteindre n est pas encore bien défini. Après traitement hormonal, le taux de PSA redescend à des valeurs basses, variables selon chaque homme en 1 à 3 mois. La réascension du taux du PSA après traitement par chirurgie radicale ou par radiothérapie indique la présence d une récidive locale de la maladie ou le développement de métastases, même en l absence de tout symptôme. Il faut savoir que : cette réascension est presque toujours lente et ne signifie pas obligatoirement qu il faille changer de traitement, le traitement d un homme atteint d un cancer de la prostate ne doit pas être modifié uniquement sur une variation du dosage du PSA qui resterait modérée. En cas de traitement hormonal, la réascension du taux de PSA peut être due soit à une reprise de la maladie, soit à un effet secondaire au traitement anti-androgène. Dans ce cas, lorsque l on supprime le médicament en cause, le PSA peut redescendre. Conclusion Le taux de l antigène spécifique de la prostate (PSA) doit être interprété avec prudence lorsque qu il reste modérément élevé au-dessus de la normale. Il n y a jamais d urgence à entreprendre des biopsies et il est préférable de répéter le dosage du PSA lorsque sa valeur est un peu au dessus de la normale car des variations individuelles du taux sont fréquentes.

8 Lorsque le cancer de la prostate est traité, l évolution peut être suivie par un taux de PSA en sachant qu il est inutile de le répéter mois après mois. Il faut des intervalles de plusieurs mois pour se rendre compte exactement de l évolution du taux. Enfin, le taux d antigène de la prostate ne résume pas à lui seul la maladie cancéreuse prostatique. Les décisions médicales à prendre dépendent d un ensemble de facteurs et non pas du seul résultat d un examen biologique. 3-Comment faire le diagnostic? La preuve définitive de la présence d un cancer ne peut se faire qu en analysant du tissu prostatique. Devant la présence d éléments de suspicion, l Urologue pratiquera des biopsies de la prostate. Cet examen, fait en consultation et sans anesthésie, consiste à prélever plusieurs «carottes» très fines de tissu prostatique à travers le rectum, en contrôlant le site des différents prélèvements par une échographie prostatique. Ces biopsies sont réalisées à l aide d un pistolet qui rend l opération pratiquement indolore. Un traitement antibiotique est prescrit pour diminuer le risque d une infection prostatique (3% des cas). L examen microscopique des fragments prélevés peut alors permettre d infirmer ou de confirmer le doute. En présence de cellules cancéreuses, cet examen apporte également des renseignements indispensables sur l agressivité potentielle de ces cellules, en appréciant le volume de la tumeur cancéreuse, et l importance des modifications des cellules cancéreuses par rapport aux cellules prostatiques normales. C est uniquement en possession de tous ces renseignements, complétés au besoin par des examens radiographiques spécialisés (scanner, scintigraphie osseuse, IRM), que l urologue peut proposer un projet thérapeutique adapté au patient et à sa maladie, cas par cas, en tenant compte d une part des désirs personnels du patient, de son âge et de son état de santé, et d autre part

9 des critères d agressivité potentielle de sa tumeur. a- Les examens radiologiques : L échographie A quoi sert l échographie dans le diagnostic du cancer de la prostate localisé? Par voie abdominale, l échographie ne permet pas de visualiser correctement la prostate. Par voie rectale, l échographie est plus précise, elle permet de bien cerner les contours de la prostate. Les zones dites hypo-échogènes que l on peut voir dans la prostate lorsqu elles sont isolées, c est à dire sans anomalie au toucher rectal ou sans une élévation du PSA ne doivent pas être considérées comme des zones suspectes. Les zones dites hyper-échogènes n ont aucune valeur diagnostique. Conclusion L échographie par le rectum ne peut être considéré comme un élément premier du diagnostic au même titre que le toucher rectal ou le dosage du PSA. L échographie a comme intérêt principal de permettre une bonne visée des biopsies de la prostate. Le scanner abdominal et pelvien (TDM) Cet examen permet la découverte des ganglions iliaques et obturateurs lorsqu ils sont volumineux. Nous ne le pratiquons que lorsque le dosage du PSA est supérieur à 20ng/ml, sauf exception. La résonance magnétique nucléaire (IRM) Cet examen, réalisé par voie abdominale ou endo-rectale, n apporte pas plus d éléments que le scanner en terme d extension de la maladie à distance. Elle est par contre souvent utile pour préciser une éventuelle atteinte ou un franchissement de la capsule prostatique. La scintigraphie osseuse La scintigraphie osseuse est un examen radiologique qui permet de détecter l existence de métastase, c est à

10 dire de localisation secondaire d un cancer au niveau des os. Le cancer de la prostate peut entraîner ce type de métastases. La technique est simple. Elle consiste à injecter dans une veine un produit radio-actif qui ira se fixer électivement sur les os. 3 à 4 heures après l injection dans la veine, vous revenez pour être placé sous une gamma caméra qui va photographier votre corps et retrouver les zones où le produit radio actif s est fixé. L examen n est pas douloureux, il est simplement long. Il n y a pas de complication notable connue. L interprétation des images peut être difficile car la fixation du produit radio-actif ne se fait pas uniquement sur les zones où il y a des cellules cancéreuses. La plupart des maladies osseuses, telles que l arthrose, les séquelles de traumatisme, les maladies inflammatoires des articulations, etc., fixent aussi le produit radio actif. L interprétation de la scintigraphie osseuse doit donc être prudente, notamment lorsqu il y a peu de zones de fixation. L examen peut être répété sans problème, voire complété, en cas de doute, par un scanner centré sur les zones osseuses suspectes. b- Les biopsies de la prostate La pratique du toucher rectal systématique chez l homme à partir de la cinquantaine et l apparition du dosage de l Antigène Spécifique de la Prostate (PSA : Spécific Prostatic Antigen) favorise la détection des cancers de la prostate à un stade plus précoce qu auparavant. Mais seules les biopsies permettent de savoir s il existe ou non un cancer de la prostate en prélevant des petits morceaux de la glande pour les analyser au microscope. Faut-il une préparation? Compte tenu du passage de la sonde d échographie par le

11 rectum, il est préférable d entreprendre un traitement antibiotique de courte durée. Il n est pas indispensable de réaliser un lavement. Faut-il être à jeun pour l examen? Les biopsies se font à la consultation sous anesthésie locale et il n est pas nécessaire d être à jeun pour l examen. Vous êtes installé sur le côté gauche, cuisses fléchies sur le ventre. L urologue pratique un toucher rectal puis place la sonde d échographie dans le rectum. Il repère sur l écran de l échographe, la prostate et réalisera à l aide d un petit pistolet ultrarapide monté d une aiguille très fine, six biopsies situées à des endroits différents de la prostate. L une dans la partie haute de la prostate appelée»base», une autre dans la partie moyenne de la prostate appelée» médiane» et une dans la partie basse de la prostate appelée»apex» et ce, de chaque côté droit et gauche. Eventuellement, des biopsies des vésicules séminales qui s abouchent dans la glande prostatique seront pratiquées. Ces biopsies durent quelques minutes et ne sont pas très douloureuses. Dans tous les autres cas, les hommes interviewés ont dit qu ils avaient bien supporté la biopsie et qu ils seraient prêts si nécessaire à en pratiquer de nouveau. Dans les heures et jours qui suivent, il est possible de voir apparaître quelques émissions de sang dans le rectum (rectorragies), par le canal de l urètre (urétrorragies) ou dans le sperme (hémospermie). Ces signes n ont aucun caractère de gravité. Ils se tasseront spontanément sans aucun traitement. Risque-t-on une infection? Le risque d une infection de la prostate après les biopsies est réel. C est pourquoi on utilise des antibiotiques qui entourent la biopsie de la prostate. Malgré le traitement antibiotique, il se peut dans 2% des cas que de la fièvre

12 survienne dans les heures ou jours qui suivent les biopsies. Il s agit d une fièvre qui est en général élevée à avec frissons, comme une grippe. Dans ce cas, voyez votre médecin ou votre urologue pour un changement d antibiotiques. Peut-on réaliser les biopsies sous anticoagulants? Les hommes qui sont sous traitement anti-coagulant ou sous aspirine pour une maladie de coeur ou des vaisseaux doivent arrêter leur traitement avant les biopsies afin d éviter le risque d hématome. A quoi servent les biopsies? Leur intérêt est double : Elles seules permettent de confirmer l existence ou non de cellules cancéreuses dans la prostate. En analysant le nombre de biopsies positives sur le nombre total de biopsies réalisées, en analysant l aspect des cellules cancéreuses retrouvées, on peut avec une certaine précision connaître l agressivité du cancer et savoir si il est localisé à la prostate ou s il a déjà dépassé sa capsule. Ces renseignements sont importants pour déterminer le meilleur traitement à adopter face à la maladie. Institut Mutualiste Montsouris Urologie Fiche Info Patient Auteur : Professeur Guy Vallancien 2010

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Prostate Une petite glande de grande importance

Prostate Une petite glande de grande importance Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Les cancers de la prostate

Les cancers de la prostate Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

L opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE

L opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE 1 L opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE Informations concernant la chirurgie et la rééducation fonctionnelle destinées aux patients Yves CASTILLE Docteur en Réadaptation et Kinésithérapie Service de

Plus en détail

RAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009

RAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 RAPPORT D ORIENTATION Dépistage du cancer de la prostate Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 Juin 2010 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Incontinence urinaire : trop souvent taboue

Incontinence urinaire : trop souvent taboue Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :

Plus en détail

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.

Plus en détail

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein? Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.

Plus en détail

UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS

UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS À L ACTE DE LA RAMQ POUR IDENTIFIER LES CAS DE CANCER NON DÉCLARÉS AU FICHIER DES TUMEURS DU QUÉBEC ÉTUDE DE FAISABILITÉ VOLET : CANCER DE LA PROSTATE DIRECTION PLANIFICATION,

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur

Plus en détail

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Infections urinaires chez l enfant

Infections urinaires chez l enfant Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin

Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin Rapport de mission N 1 9 février 2005 Daniel Oberlé, Arnauld Villers, Dominique Decherf, Jean Christophe

Plus en détail

ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ"

ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ" ICI VOUS ÊTES ICI VOUS ÊTES VOUS ÊTES UNIQUE UNIQUE < L espérance de vie augmente régulièrement. Cela est

Plus en détail

Le cancer de la thyroïde GRAND PUBLIC

Le cancer de la thyroïde GRAND PUBLIC GRAND PUBLIC Edition actualisée Janvier 2010 SOMMAIRE > Ce livret a été préparé par le professeur Martin Schlumberger, chef du Service de Médecine Nucléaire à l Institut Gustave Roussy (IGR), à Villejuif

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester

Plus en détail

Y A-T-IL ENCORE UNE VIE SEXUELLE APRÈS TRAITEMENT POUR CANCER DE LA PROSTATE?

Y A-T-IL ENCORE UNE VIE SEXUELLE APRÈS TRAITEMENT POUR CANCER DE LA PROSTATE? B. Tombal 1, R.J. Opsomer 1, L. Renard 2 Y A-T-IL ENCORE UNE VIE SEXUELLE APRÈS TRAITEMENT POUR CANCER DE LA PROSTATE? Résumé Correspondance : Pr. Bertrand Tombal Service d Urologie Cliniques universitaires

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

«Docteur, j ai la prostate!»

«Docteur, j ai la prostate!» «Docteur, j ai la prostate!» Texte D r Alain BITTON Urologue FMH Genève Conception et graphisme Comic Brains, Pécub Introduction 1 «Docteur, j ai la prostate! Pour moi, ce sera une opération au laser comme

Plus en détail

Le dépistage. du cancer de la prostate - mise à jour 2013. Lignes directrices. du Collège des médecins du Québec

Le dépistage. du cancer de la prostate - mise à jour 2013. Lignes directrices. du Collège des médecins du Québec Le dépistage du cancer de la prostate - mise à jour 2013 Lignes directrices du Collège des médecins du Québec juin 2013 Table des matières Pertinence de la mise à jour 4 Méthodologie 5 Synthèse de l analyse

Plus en détail

Les traitements du cancer du rein

Les traitements du cancer du rein MARS 2013 Les traitements du cancer du rein COLLECTION GUIDES PATIENTS LES REINS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LES MÉDICAMENTS ANTICANCÉREUX LES PROFESSIONNELS LA VIE QUOTIDIENNE www.e-cancer.fr

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un

Plus en détail

La recherche en urologie à l hôpital Foch... p.2-4 ACTUALITÉ

La recherche en urologie à l hôpital Foch... p.2-4 ACTUALITÉ DOSSIER La recherche en urologie à l hôpital Foch............. p.2-4 ACTUALITÉ Inauguration du service d oncologie..........................p.5 Actualités de l hôpital Foch...................................p.6

Plus en détail

Les tumeurs bénignes ne sont pas cancéreuses. Elles ne se propagent pas à d autres parties du corps.

Les tumeurs bénignes ne sont pas cancéreuses. Elles ne se propagent pas à d autres parties du corps. Vivre avec le cancer Renseignements généraux à propos du cancer Le cancer apparaît lorsque des cellules deviennent anormales et prolifèrent de manière incontrôlée. Ces cellules empêchent les cellules saines

Plus en détail

Cancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic

Cancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

Le dépistage du cancer du sein. Une information de la Ligue contre le cancer

Le dépistage du cancer du sein. Une information de la Ligue contre le cancer Le dépistage du cancer du sein Une information de la Ligue contre le cancer Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case postale 8219 3001 Berne tél. 031 389 91 00 fax 031

Plus en détail

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de

Plus en détail

L arthrose, ses maux si on en parlait!

L arthrose, ses maux si on en parlait! REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement

Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Pendant la grossesse, les muscles du ventre, appelés abdominaux, s étirent beaucoup et perdent souvent de la force. Il est important

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

Les tests génétiques à des fins médicales

Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des

Plus en détail

Dépistage du cancer colorectal :

Dépistage du cancer colorectal : Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière

IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière Prise en charge du cancer de prostate 120000 patients 7% active surveillance

Plus en détail

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique

Plus en détail

Comprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches

Comprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES

Plus en détail

GROUPE CLINIQUE DU MAIL

GROUPE CLINIQUE DU MAIL DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la

Plus en détail

Cancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca

Cancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de

Plus en détail

Livret d accueil des stagiaires

Livret d accueil des stagiaires Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques?

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités

Plus en détail

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance

Plus en détail

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées

Plus en détail

HEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs

HEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du

Plus en détail

PLAQUETTE D INFORMATION

PLAQUETTE D INFORMATION Mutuelle du personnel du groupe Société Générale PLAQUETTE D INFORMATION Registre National des Mutuelles N 784 410 805 Juillet 2010 Comment calculer un taux de remboursement de Mutuelle? Les remboursements

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur, Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter

Plus en détail

Dépistage par mammographie : feuille d information

Dépistage par mammographie : feuille d information feuille d information Dépistage par mammographie : feuille d information Le dépistage par mammographie consiste à faire passer à intervalles réguliers, dès l âge de 50 ans, des radiographies des seins

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

Sang, plasma, plaquettes...

Sang, plasma, plaquettes... Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors

Plus en détail