Essai comparatif de matériels d injection de tuberculine bovine JJ Bénet, S Philizot, J Gane, A Fediaevsky

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Essai comparatif de matériels d injection de tuberculine bovine JJ Bénet, S Philizot, J Gane, A Fediaevsky"

Transcription

1 Résumé Essai comparatif de matériels d injection de tuberculine bovine JJ Bénet, S Philizot, J Gane, A Fediaevsky Un essai comparatif de trois matériels d injection de tuberculine (Synthena, Multo et ) dans le cadre du dépistage des élevages bovins infectés de tuberculose a été réalisé par des vétérinaires praticiens volontaires pendant la campagne de prophylaxie L'étude a évalué pendant une courte période de temps la satisfaction des usagers quant à la qualité de l'intradermotuberculination et à sa facilité de réalisation. La seringue est apparue satisfaisante, notamment en comparaison de la seringue Synthena, mais son entretien va nécessiter un apprentissage de la part des vétérinaires praticiens. Introduction La lutte contre la tuberculose bovine repose en partie sur le dépistage de l infection par la réalisation de tuberculinations intradermiques. Pendant de très nombreuses années, un matériel d injection automatique à carpules plastiques (Synthena ND) contenant la tuberculine a été largement utilisé par les vétérinaires sanitaires français. Du fait de l interdiction de l utilisation d un des composants des carpules (Bisphénol A) dans la fabrication de nombreux objets, le fabricant n a plus été en mesure de fournir les carpules nécessaires, ce qui a conduit à devoir changer de matériel et à adopter un conditionnement en flacon de verre, comme utilisé dans la plupart des autres pays européens. Dans ce contexte, la Direction générale de l'alimentation (DGAl) a organisé, en partenariat avec la Société Nationale des Groupements Techniques Vétérinaires (SNGTV) et l'ecole Nationale Vétérinaire d Alfort (ENVA), un test sur le terrain. Le but de cette étude était de vérifier que ces deux dispositifs présentaient des qualités d utilisation satisfaisantes pour les vétérinaires sanitaires du point de vue de la qualité de l'intradermotuberculination et de sa facilité de réalisation. L'étude a consisté à comparer la seringue Synthena ND à deux autres seringues très utilisées dans d autres pays, Mac Lintock ND et Multo ND. La seringue Synthéna fonctionne avec des carpules de,8 ml, les deux autres dispositifs fonctionnent avec des flacons de tuberculine de 2 ml. Matériels et méthode Principe Chaque cabinet vétérinaire participant à l étude a reçu : - une paire de seringues Multo ND, - un coffret de deux pistolets à injection intradermique McLintock ND, - un lot de tuberculines aviaire et bovine conditionnées en flacon. L étude devait commencer le jour de la date de livraison du matériel et prendre fin trois semaines après le début du protocole.

2 A la fin de la période d essai, le vétérinaire devait renseigner un questionnaire de satisfaction par type de matériel. Il était demandé d alterner régulièrement le matériel par exemple entre exploitations ou entre journées. Plusieurs vétérinaires d un même cabinet étaient encouragés à essayer le matériel : chaque utilisateur devait renseigner un questionnaire, en utilisant une échelle de (très insatisfaisant) à 5 (très satisfaisant) pour l évaluation du matériel, portant sur les thèmes suivants : - les conditions d utilisation : matériel utilisé, technique de tuberculination intradermotuberculination simple (IDS) ou intradermotuberculination comparative (IDC) latéralité de l utilisateur, nombre d animaux, d élevages, type racial dominant, degré de satisfaction des conditions de contention ; - la commodité d usage : conditions de prise en main, ergonomie de l appareil, facilité à délivrer la dose exacte, facilité à distinguer les seringues de tuberculine bovine et aviaire (IDC) ; - qualité du matériel : facilité à démonter et remonter le matériel, impression de robustesse, facilité de remplissage du réservoir, risque de perte de dose lors du remplissage du réservoir, facilité de vérification le niveau de remplissage du réservoir, facilité à changer les aiguilles, qualité des aiguilles, possibilité de réglage de la longueur de l aiguille selon l épaisseur de la peau ; - qualité des injections : facilité à injecter la dose dans le derme, adéquation entre le volume du flacon et le nombre de d injections réalisées, absence de retour de tuberculine après injection ; - Observations générales (texte libre). L ensemble des questionnaires était à retourner à la Direction départementale en charge de la protection des populations (DDPP) dès la fin de l étude. Gestion de données et analyse statistique Les fiches ont été transmises au bureau tuberculose de la DGAl, en vue de la saisie des données à l aide d un tableur. En raison d'une utilisation partielle des trois dispositifs par chaque vétérinaire, il n'a pas été possible d'effectuer les comparaisons statistiques initialement prévues. Par conséquent, les scores ont été présentés par item global, reprenant le score exprimé par le vétérinaire, et ce, quel que soit le dispositif d essai, en le rapportant à un score théorique maximal afin de faciliter les comparaisons de la façon suivante : les nombres d avis favorables (scores 4 et 5) ont été cumulés pour chaque thème afin d exprimer l opinion des vétérinaires sur le matériel. Pour permettre la comparaison entre les différents matériels malgré les nombres différents de données, ce score a été pondéré par le score maximal (5 multiplié par le nombre de vétérinaires ayant répondu à l item pour le matériel considéré) et exprimé en pourcentage. La moyenne du classement des réponses aux questions détaillées est donnée à titre indicatif pour expliciter les caractéristiques constituant les notes globales. Les données ont été traitées avec les logiciels Excel ND et R ND. 2

3 Résultats Population étudiée 22 vétérinaires volontaires ont participé à cette étude, mais les données n étaient exploitables que pour 2 d entre eux (20 droitiers, ambidextre) : 0 n ont utilisé qu un seul matériel, 6 en ont comparé deux et 5 ont utilisé les trois (tableau et figure ). Tableau : distribution du nombre de vétérinaires selon le matériel utilisé. Nb de matériels testés Multo Synthéna vétérinaires total Figure : Nombre d essais par type de matériel Synthéna Multo 208 élevages ont été visités et bovins ont été tuberculinés, en IDC et en IDS (348 non précisé), dont : 5 934, Multo 6 974, Synthena : Comparaison globale des matériels selon les thèmes. En ce qui concerne les conditions de réalisation (tableau 2), une proportion importante de sans opinion (score 3) a été observée. 3

4 Tableau 2 : L opinion globale des vétérinaires sur les différents matériels selon les thèmes du questionnaire. Multo Synthéna n=9 n= n=7 Conditions de réalisation Satisfaisant 48% 60% 26% Insatisfaisant 0% 0% 0% Sans opinion 52% 40% 74% Commodité d'usage Satisfaisant 77% 48% 64% Insatisfaisant % 3% 5% Sans opinion 22% 39% 3% Qualité du matériel Satisfaisant 36% 60% 64% Insatisfaisant 9% 6% 5% Sans opinion 55% 34% 3% Qualité des injections Satisfaisant 7% 28% 50% Insatisfaisant 4% 2% 5% Sans opinion 25% 5% 35% Réglage des aiguilles Oui 2/7 0 4/7 Non 5/7 / 3/7 Avis global Satisfaisant 55% 46% 52% Insatisfaisant 6% 0% 9% Sans opinion 29% 44% 39% Dans l ensemble, en amalgamant les scores donnés par les vétérinaires, que ceux-ci aient utilisé une, deux ou trois seringues, les jugements sur la commodité d usage et la qualité des injections placent en premier la seringue, en deuxième la Synthena et en dernier la Multo. La Multo semble avoir une moins bonne prise en main et ergonomie que les deux autres. La semble particulièrement meilleure que les autres pour la facilité de délivrer les doses et la distinction des seringues (pastilles de couleurs différentes). La est la mieux évaluée pour la facilité à injecter dans le derme, suivi de la Synthéna. La apparaît également supérieure en ce qui concerne l'adéquation entre le volume par flacon et le nombre IDT effectivement réalisé, les deux autres étant équivalentes. Enfin la Multo apparaît moins performante que les deux autres concernant l'absence de retour de tuberculine après injection. 4

5 Le jugement sur la qualité du matériel place la en dernier derrière la Synthena et la Multo. Le jugement moyen est malgré tout favorable pour la Mc Lintock, légèrement devant la Synthena et plus nettement devant la Multo. Le jugement défavorable de la semble particulièrement lié à l'impossibilité de vérifier le niveau du produit, le réservoir étant opaque, et à un remplissage moins aisé notamment par rapport à la la Synthena, pour lequel il est particulièrement simple. La seringue est la mieux évaluée en ce qui concerne la robustesse, les deux autres étant équivalentes, son démontage semble plus complexe (une traduction en français de la notice a été réalisée par S. Philizot, du GTV Bourgogne). Les figures 2 à 4 rendent compte des scores (exprimés en valeurs décimales et non en pourcentage comme dans les résultats précédents) en fonction du matériel utilisé par les vétérinaires ayant utilisé simultanément deux ou trois seringues, permettant ainsi les comparaisons deux à deux pour un même ensemble de vétérinaires. 0,88 0,9 0,8 0,4 0,2 0 Synthéna 0,43 0,46 0,47 0,49 Commodité d'usage Multo Figure 2 : Score de satisfaction concernant la commodité d usage pour les vétérinaires ayant utilisé simulanément deux ou trois matériels Ces trois graphiques rendent compte des moyennes pour le thème considéré pour chaque appareil, mais dans le cadre de la comparaison avec un autre matériel donné ; c est pourquoi pour un matériel donné, on dispose de deux valeurs, la couleur révélant avec quel autre appareil cette valeur doit être comparée. Par exemple, pour la commodité d usage, la ND a été évaluée 0,88 par rapport à la Synthéna ND et 0,9 par rapport à la Multo ND qui a obtenu un score de 0,46 par rapport à la et la valeur de 0,49 par rapport à la Synthena ND. La raison de cette dualité des valeurs tient au fait que le protocole initialement prévu n ayant pas été respecté, le nombre de vétérinaires ayant participé à ce type de comparaison n est pas le même selon les matériels. Globalement, les valeurs pour un même matériel concordent, sauf pour la qualité des injections (figure 4), dans la comparaison entre ND et Multo ND, peut-être 5

6 en raison du plus faible nombre d observations pour la comparaison Synthéna (4) par rapport à Multo (8). 0,8 0,4 0,34 0,2 0 0,3 8 0,56 Synthéna Multo Qualité du matériel Figure 3 : Score de satisfaction concernant la qualité du matériel pour les vétérinaires ayant utilisé simultanément deux ou trois matériels Synthéna 0,42 0,75 0,8 0,83 0,4 0,2 0 0,24 0,5 0,33 Multo Qualité des injections Figure 4 : Score de satisfaction concernant la qualité des injections pour les vétérinaires ayant utilisé deux ou trois matériels Les vétérinaires ont explicité leur jugement par des commentaires. «La a l avantage que l on sent la progression de la crémaillère à l injection, mais l aiguille peut traverser l embase au moment de l injection». «Elle comporte de nombreuses petites pièces rendant difficile le changement d aiguille sur le terrain. On visualise bien le niveau de tuberculine dans la seringue. Appareil adopté!». «La prise en main est facile, le remplissage aisé, la délivrance de la dose efficace, l injection sans difficulté. Le nettoyage de la seringue n est pas aisé, bien que le remplacement de l aiguille soit rapide et simple. «Les aiguilles de la Synthéna sont fragiles et chères. La carpule se met de travers et on n arrive pas à injecter toute la dose. J utilise la Multo depuis 2009». «La Multo est très mal commode pour le changement des aiguilles, qui sont fragiles. La prise en main de l appareil n est pas adaptée». «La prise en main de la Multo 6

7 semble peu compatible avec les espaces de tuberculination (cornadis, barrières de couloir), qui peut rendre difficile le retrait suffisamment rapide de la main ou du bras». Discussion Malgré les difficultés liées au non respect du protocole, on peut répondre à la question du remplacement de la seringue traditionnellement la plus utilisée (Synthéna) par un autre appareil : la seringue est jugée au moins équivalente, si ce n est supérieure de façon globale. Les défauts signalés de la Synthéna (imprécision de la dose injectée tenant à la trop grande souplesse de la carpule ainsi qu au dérapage de la crémaillère) sont compensés par une meilleure fiabilité de la. Apparemment plus complexe pour son entretien, elle demandera l acquisition d une habitude, comme pour tout nouvel appareil. Quant à la Multo, c est principalement sa grande taille qui lui est reprochée, ce qui a un retentissement sur le jugement porté sur la qualité de l injection ; hormis cela, elle est jugée de façon similaire à la Synthéna. Enfin, les trois dispositifs répondant à l'exigence réglementaire de correspondre à des dispositifs d'injection à aiguilles, aucun ne peut être formellement écarté. Conclusion Cet essai comparatif de trois matériels d injection par des vétérinaires praticiens réalisé dans les conditions usuelles de la campagne de prophylaxie montre que la seringue devrait pouvoir être proposée aux vétérinaires praticiens pour remplacer le matériel habituel qui ne pourra plus être utilisé du fait de la transition vers la tuberculine en flacon. Même si ce matériel comporte certains défauts (son démontage ne semble pas aisé), il répond aux attentes d une meilleure fiabilité d injection, et d une bonne prise en main. Remerciements Les auteurs remercient le ministère de l'agriculture pour le financement du projet, les vétérinaires praticiens de Côte d'or, de Dordogne, de Saône-et-Loire et de l'yonne qui se sont portés volontaires pour participer à l'étude ainsi que les Directions départementales en charge de la protection des populations de Côte d'or, de Dordogne, de Saône-et-Loire et de l'yonne pour leur contribution logistique. 7

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine CROPSAV POITOU-CHARENTES Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine Plan de la présentation La situation sanitaire Les mesures de surveillance de la tuberculose mises en place en Poitou-Charentes

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance Editorial BREVES DU GDS 85 N 29 - NOVEMBRE 2010 Ne pas confondre le PSE et le SPE (Support Personnalisé d Epidémiosurveillance), ce dernier mis en place avec le GTV (Groupement Technique Vétérinaire) et

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

STRUCTURE STOCKAGE & MANUTENTION BIG-BAG MANI-BAG

STRUCTURE STOCKAGE & MANUTENTION BIG-BAG MANI-BAG STRUCTURE STOCKAGE & MANUTENTION BIG-BAG 1- Le Mani-Bag est la solution idéale pour le transport, la manutention et le stockage des produits contenus en Big-Bags. Cette structure robuste et démontable,

Plus en détail

SOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4

SOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur Logement métropole... 4 SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES. Présentation

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES. Présentation RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES Présentation Les matériels agricoles, de travaux publics et de manutention, de parcs et jardins sont de plus en plus complexes et l'évolution de leurs technologies

Plus en détail

Destinataires d'exécution

Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Service des actions sanitaires en production primaire Sous-direction de la santé et de protection animales Bureau de la santé animale 251 rue de Vaugirard

Plus en détail

Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009

Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009 Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009 Entre médecine humaine et médecine vétérinaire: l usage et l abandon de la vaccination dans la prophylaxie de la tuberculose

Plus en détail

Qualité. Sécurité Alimentaire

Qualité. Sécurité Alimentaire Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

MECANICIEN POLYVALENT AUTOMOBILE (En CPU) Électromécanique

MECANICIEN POLYVALENT AUTOMOBILE (En CPU) Électromécanique AU 2 e ETUDES SUPERIEURES EN RELATION DIRECTE MECANICIEN POLYVALENT AUTOMOBILE (En CPU) 3 e degré Technique de Qualification Électromécanique 7TQ Mécanicien(ne) des moteurs diesels et engins hydraulique

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Pierre-Yves GOMEZ Professeur EMLYON Directeur de l Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE)

Plus en détail

CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie

CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie Voici le Programme de salubrité des aliments à la ferme pour le bœuf- Bœuf Qualité Plus-

Plus en détail

Performance 2010. Eléments clés de l étude

Performance 2010. Eléments clés de l étude Advisory, le conseil durable Consulting / Operations Performance 2010 Eléments clés de l étude Ces entreprises qui réalisent deux fois plus de croissance. Une enquête sur les fonctions ventes et marketing.

Plus en détail

EdIntégral. Module ENCAISSEMENT. Le logiciel d encaissement multifonctions, évolutif et tactile

EdIntégral. Module ENCAISSEMENT. Le logiciel d encaissement multifonctions, évolutif et tactile EdIntégral Module ENCAISSEMENT Le logiciel d encaissement multifonctions, évolutif et tactile La gestion de la caisse, des stocks, de la fidélisation, les nombreuses et puissantes statistiques, sont autant

Plus en détail

THÉÂTRE DU BEAUVAISIS

THÉÂTRE DU BEAUVAISIS THÉÂTRE DU BEAUVAISIS THÉÂTRE DU BEAUVAISIS Un peu d histoire Enquête publique : le cadre Le dossier Déroulement de l enquête Avis et conclusions du CE Après remise du rapport Octobre 2014 : où en est-on?

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

catégorie - développement rh

catégorie - développement rh Mise en œuvre d un outil de développement des compétences 360 Feedback au sein de l Université du Courrier du Groupe La Poste Marion TREMINTIN Diplômée d un DESS Gestion Stratégique des Ressources Humaines

Plus en détail

LES FORMALITÉS DE DÉDOUANEMENT À L IMPORT

LES FORMALITÉS DE DÉDOUANEMENT À L IMPORT LES FORMALITÉS DE DÉDOUANEMENT À L IMPORT Les formalités accomplies auprès du GUCE par les transitaire / CAD se résument aux opérations suivantes : Dépôt de la déclaration en douane et obtention du BAE,

Plus en détail

Modalités de candidature et de certification. Niveau 1. Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA

Modalités de candidature et de certification. Niveau 1. Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA Modalités de candidature et de certification Niveau 1 Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA La certification d'expert méthode HACCP/SMSDA s adresse à des professionnels confirmés qui veulent

Plus en détail

Animal de compagnie. Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation

Animal de compagnie. Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation Animal de compagnie Les animaux de compagnie sont des animaux dont l'homme a la garde, notamment dans son foyer, pour son agrément et qui ne

Plus en détail

Appliquer la réglementation dans la filière

Appliquer la réglementation dans la filière Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière re Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière Analyse des risques, enregistrements et GBPH Application à la filière laitière

Plus en détail

La solution à vos mesures de pression

La solution à vos mesures de pression Mesure de force linéique La solution à vos mesures de pression Sensibilité Répétabilité Stabilité Le système X3 de XSENSOR propose un concept innovant spécialement adapté pour vos applications de mesure

Plus en détail

PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE

PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE DIRECTION DEPARTEMENTALE INTERMINISTERIELLE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS Siège : 22, Rue Borde - 13285 MARSEILLE CEDEX 08 Publipostage MARSEILLE, 03.04.2013 Téléphone :

Plus en détail

Fourniture de matériels pour la plomberie et le chauffage

Fourniture de matériels pour la plomberie et le chauffage Marchés Publics de Fournitures Centre Hospitalier Montperrin Cellule Marchés Publics - 109, avenue du Petit Barthelémy 13617 Aix en Provence Cedex 01 Centre Hospitalier Montperrin Fourniture de matériels

Plus en détail

GESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION

GESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION GESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION Votre contact : Pierre Larchères 06 30 35 96 46 18, rue de la Semm - 68000 COLMAR p.larcheres@agelis.fr PRESENTATION GENERALE LES PROGICIELS

Plus en détail

CAPTURE DES PROFESSIONNELS

CAPTURE DES PROFESSIONNELS CAPTURE DES PROFESSIONNELS 2 Téléchargement 3 Installation 8 Prise en main rapide 10 Lancement Recherche 14 Gestion des fichiers 23 Compare et Sépare 24 Fichiers annexes 2/ Le menu Utilitaires 32 Internet

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

Plus en détail

Une gamme complète de logiciels pour maîtriser vos marges & améliorer votre productivité

Une gamme complète de logiciels pour maîtriser vos marges & améliorer votre productivité Des logiciels de référence pour la gestion Transport Une gamme complète de logiciels pour maîtriser vos marges & améliorer votre productivité LA GAMME Acstrans.fr Des logiciels de référence pour la gestion

Plus en détail

DETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE

DETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE P1S2 Chimie ACTIVITE n 5 DETERMINATION DE LA CONCENTRATION D UNE SOLUTION COLOREE Le colorant «bleu brillant FCF», ou E133, est un colorant artificiel (de formule C 37 H 34 N 2 Na 2 O 9 S 3 ) qui a longtemps

Plus en détail

GROUPE DE TRAVAIL "OUTIL GESTION DES TEMPS DE TRAVAIL" Alice Brembilla Lionel Paulet Journée régionale des EOH et présidents de CLIN 19 décembre 2013

GROUPE DE TRAVAIL OUTIL GESTION DES TEMPS DE TRAVAIL Alice Brembilla Lionel Paulet Journée régionale des EOH et présidents de CLIN 19 décembre 2013 GROUPE DE TRAVAIL "OUTIL GESTION DES TEMPS DE TRAVAIL" Alice Brembilla Lionel Paulet Journée régionale des EOH et présidents de CLIN 19 décembre 2013 Composition du groupe de travail BERJAMY Fatima Praticien

Plus en détail

Démographie des masseurs-kinésithérapeutes

Démographie des masseurs-kinésithérapeutes Démographie des masseurs-kinésithérapeutes AQUITAINE 24 33 47 40 64 24 33 40 47 64 - Conseil national de l Ordre des masseurs-kinésithérapeutes Dordogne Gironde Landes Lot-et-Garonne Pyrénées-Atlantiques

Plus en détail

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse

Plus en détail

Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013

Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 A. P. M. E. P. EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 5 points Une entreprise informatique produit et vend des clés USB. La vente de ces clés est réalisée

Plus en détail

Maison ou un Pôle de santé

Maison ou un Pôle de santé Les 4 points clés pour créer une Maison ou un Pôle de santé pluri-professionnel De nouveaux modes d exercice coordonné et regroupé : L exercice médical dans les villes et dans les campagnes est aujourd

Plus en détail

Les responsabilités à l hôpital

Les responsabilités à l hôpital Les responsabilités à l hôpital Pour aller à l essentiel Dans leurs activités de prévention de diagnostic et de soins, les établissements publics de santé et les personnels qui y exercent relèvent principalement

Plus en détail

MAISON de RETRAITE DEPARTEMENTALE de la LOIRE ST-JUST, ST-RAMBERT = = = = = = = = = = REAMENAGEMENT DE LOCAUX

MAISON de RETRAITE DEPARTEMENTALE de la LOIRE ST-JUST, ST-RAMBERT = = = = = = = = = = REAMENAGEMENT DE LOCAUX SOCIETE D'ETUDES TECHNIQUES POUR LE CHAUFFAGE ET L'INDUSTRIE Société à responsabilité limitée au capital de 50 000 R.C Saint-Etienne 64 B 96 C/A 15, rue de l'eternité- 42.000 SAINT-ETIENNE Téléphone :

Plus en détail

INDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE

INDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE INDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE Date: 10 Novembre 2014 Pays: TUNISIE Description de la consultation: RECRUTEMENT D UN CONSULTANT NATIONAL EXPERT SOCIETE CIVILE Nom du projet: JUSTICE TRANSITIONNELLE

Plus en détail

Build Your Island 2014 Annexe TFR 1

Build Your Island 2014 Annexe TFR 1 Build Your Island 2014 Annexe TFR 1 1 2 1 L importance du TFR... 3 2 Complexité du protocole de calcul... 3 2.1 Les indicateurs... 3 2.2 Les Dynamiques... 4 2.3 Le Taux de Fréquentation Espéré, une hypothèse

Plus en détail

Lecture critique et pratique de la médecine

Lecture critique et pratique de la médecine 1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne

Plus en détail

FICHE N 2 LA GESTION COMMERCIALE DES CLIENTS ET PROSPECTS POUR LE SECTEUR DES ASSURANCES (NS 56)

FICHE N 2 LA GESTION COMMERCIALE DES CLIENTS ET PROSPECTS POUR LE SECTEUR DES ASSURANCES (NS 56) Pack de conformité - Assurance 14 FICHE N 2 LA GESTION COMMERCIALE DES CLIENTS ET PROSPECTS POUR LE SECTEUR DES ASSURANCES (NS 56) LES TRAITEMENTS DE DONNÉES PERSONNELLES AU REGARD DE LA LOI I&L Finalités

Plus en détail

Mode d Emploi. Résult Arc Logiciel de Gestion de Compétitions. Droits d utilisation Informations Générales. 1/. Présentation de Résult Arc

Mode d Emploi. Résult Arc Logiciel de Gestion de Compétitions. Droits d utilisation Informations Générales. 1/. Présentation de Résult Arc Résult Arc Logiciel de Gestion de Compétitions Mode d Emploi Droits d utilisation Informations Générales 1/. Présentation de Résult Arc 2/. Installation du logiciel 3/. Utilisation du logiciel 3.1/- Généralités

Plus en détail

DESCRIPTIF DU DOCUMENT. Déploiement Nouveau système de rémunération au 01.01.2009-13 ème salaire

DESCRIPTIF DU DOCUMENT. Déploiement Nouveau système de rémunération au 01.01.2009-13 ème salaire 13 EME SALAIRE 13 EME SALAIRE - ETAT DE GENEVE Confidentiel Etat de Genève 23/01/2009 DESCRIPTIF DU DOCUMENT Phase du projet Domaine État du document Version actuelle Déploiement Nouveau système de rémunération

Plus en détail

Fiche descriptive d activités

Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires

Plus en détail

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014 n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance

Plus en détail

Le code à barres EAN 13 mes premiers pas...

Le code à barres EAN 13 mes premiers pas... Le code à barres EAN 13 mes premiers pas... k étape 1 Vous venez d adhérer à GS1 France, Vous souhaitez connaître les démarches à suivre pour mettre en place un code à barres sur vos emballages. Ce guide

Plus en détail

L ergonomie a été notre premier souci et la personnalisation et donc son appropriation nous ont guidés tout au long de l élaboration de ce produit.

L ergonomie a été notre premier souci et la personnalisation et donc son appropriation nous ont guidés tout au long de l élaboration de ce produit. ERP GPMI.net + Logiciel de scanners pour WMS et suivi fabrication Configurateur pour la génération des numéros de lots et de série Passerelles EDI de et vers GPMI Successeur du logiciel GPMI installé sur

Plus en détail

CLASSEMENT des MEUBLES de TOURISME EN DORDOGNE

CLASSEMENT des MEUBLES de TOURISME EN DORDOGNE CLASSEMENT des MEUBLES de TOURISME EN DORDOGNE NOUVELLE PROCEDURE ISSUE DE LA LOI DU 22 juillet 2009 et textes d application Comité Départemental du Tourisme de la Dordogne CDT/24 01/06/2012 1 Définition:

Plus en détail

LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE

LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE Structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d un projet implique la maîtrise des besoins, des objectifs, des ressources, des coûts et des délais. Dans le cadre de la gestion d un projet informatique

Plus en détail

LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE

LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE LA GESTION DE PROJET INFORMATIQUE Lorraine Structurer, assurer et optimiser le bon déroulement d un projet implique la maîtrise des besoins, des objectifs, des ressources, des coûts et des délais. Dans

Plus en détail

TPM Totale Productive Maintenance

TPM Totale Productive Maintenance T.P.M ou Topo Maintenance Méthodes de maintenance TPM Totale Productive Maintenance 1 T.P.M ou Topo Maintenance 1. CONTEXTE GENERAL La TPM (de l anglais Total Productive Maintenance) est un système global

Plus en détail

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et

Plus en détail

I-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation

I-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation I-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation I-3 : pourcentage de contrôle et pourcentage d intérêt II-1 : les missions de l auditeur des comptes consolidés

Plus en détail

Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012

Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

un Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de

un Plan d Action Séniors un accord ou d entreprise Construire TRANSPORT & LOGISTIQUE Avec la participation de Construire un accord ou d entreprise un Plan d Action Séniors TRANSPORT & LOGISTIQUE Direction régionale du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle Avec la participation de La loi, les

Plus en détail

UFR d Informatique. FORMATION MASTER Domaine SCIENCES, TECHNOLOGIE, SANTE Mention INFORMATIQUE 2014-2018

UFR d Informatique. FORMATION MASTER Domaine SCIENCES, TECHNOLOGIE, SANTE Mention INFORMATIQUE 2014-2018 UFR d Informatique FORMATION MASTER Domaine SCIENCES, TECHNOLOGIE, SANTE Mention INFORMATIQUE 2014-2018 Objectif L UFR d informatique propose au niveau du master, deux spécialités sous la mention informatique

Plus en détail

Documents et démarches

Documents et démarches Documents et démarches Recommandations : Ne pas changer d adresse électronique au cours de votre séjour sauf en cas de force majeure et dans ce cas prévenir votre coordinateur Erasmus+ ; Bien lire les

Plus en détail

Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente?

Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Approvisionnement et gestion des stocks : des quantités vendues dans un Du stock initial, final et des livraisons, des commandes

Plus en détail

Annexe #3 Questionnaire # 1 : Responsables du projet CRM

Annexe #3 Questionnaire # 1 : Responsables du projet CRM Annexe #3 Questionnaire # 1 : Responsables du projet CRM Chèr Collègue : 25 Mars 2005 Dans le cadre de sa stratégie CRM, PANALPINA WORLD TRANSPORT, vous propose de participer à une enquête sur le CRM.

Plus en détail

Circulaire du 7 juillet 2009

Circulaire du 7 juillet 2009 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l économie, de l industrie et de l emploi NOR : ECEC0907743C Circulaire du 7 juillet 2009 concernant les conditions d application de l arrêté du 31 décembre 2008 relatif

Plus en détail

Monte-escaliers électriques

Monte-escaliers électriques Monte-escaliers électriques LIFTKAR PT Fiable, polyvalent, ingénieux Que vous soyez un utilisateur de fauteuil roulant, une personne à mobilité réduite, une aide à domicile ou un professionnel de santé

Plus en détail

La Certification. de Personnes. en HACCP

La Certification. de Personnes. en HACCP p. 1/7 La Certification de Personnes en HACCP p. 2/7 Qui est Calyxis? Calyxis (ex-cepr, Centre Européen de Prévention des Risques) est une Association de Loi 1901. C'est un centre de recherche appliqué

Plus en détail

La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène»

La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» Direction Départementale des Services Vétérinaires de Meurthe-et-Moselle Plan 1. Objectifs de la réforme 2. Quels

Plus en détail

Nouveautés I7.10. Chers clients,

Nouveautés I7.10. Chers clients, Nouveautés I7.10 Chers clients, La sortie officielle de la version I7.10 est une nouvelle occasion de vous présenter les bénéfices de la nouvelle génération des logiciels Sage 100 Génération I7. Outre

Plus en détail

1. Les types d enquêtes

1. Les types d enquêtes La conduite d une enquête par questionnaire La conception d un questionnaire ne doit pas être réalisée de façon hasardeuse. Elle suit une méthodologie stricte qui permet d atteindre des résultats utilisables

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Version 0.4. Cahier des charges Openvet 0.4 Page 1

CAHIER DES CHARGES Version 0.4. Cahier des charges Openvet 0.4 Page 1 LOGICIEL DE GESTION VETERINAIRE OPENVET CAHIER DES CHARGES Version 0.4 Cahier des charges Openvet 0.4 Page 1 Table des matières 1 Caractéristiques générales...4 2 Etude des différentes fonctions attendues...4

Plus en détail

QUE PENSEZ-VOUS DE VOTRE CLUB? Un outil indispensable pour évaluer les clubs

QUE PENSEZ-VOUS DE VOTRE CLUB? Un outil indispensable pour évaluer les clubs GUIDE ADMINISTRATIF QUE PENSEZ-VOUS DE VOTRE CLUB? Un outil indispensable pour évaluer les clubs QUE PENSEZ-VOUS DE VOTRE CLUB? Un outil indispensable pour évaluer les clubs - Guide administratif Vous

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update

Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update Configuration des Objectifs Analytiques La nouvelle version permet, en un écran, de configurer un lot, un panel ou un instrument. Le menu est accessible au moyen

Plus en détail

Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang

Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Notice de Pose, de maintenance, et de garantie pour portes sectionnelles R150 R150

Notice de Pose, de maintenance, et de garantie pour portes sectionnelles R150 R150 Réf : MM6152 Version : 01/12/10 Notice de Pose, de maintenance, et de garantie pour portes sectionnelles R150 R150 A B C D E F G H I J K 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 2000 10 2125 10,5 2250 11 2375 11,5

Plus en détail

COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Saisine n 2010-SA-0215 Le directeur général Maisons-Alfort, le 11 août 2011 COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail

Calcul de la marge brute en production laitière

Calcul de la marge brute en production laitière Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation

Plus en détail

Cahier des Charges Administratives Particulières. Marché public Prestation de nettoyage de locaux extrahospitaliers

Cahier des Charges Administratives Particulières. Marché public Prestation de nettoyage de locaux extrahospitaliers Centre Hospitalier Cahier des Charges Administratives Particulières Marché public Prestation de nettoyage de locaux extrahospitaliers Octobre 2014 1 Article 1 - Objet du marché, procédure et dispositions

Plus en détail

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures

Plus en détail

CONVENTION DE PORTAGE

CONVENTION DE PORTAGE S.A.R.L. au capital de 7 700 - SIRET : 409 016 961 00032 409 016 961 RCS Châteauroux - Code NAF : 741 G A ssistance et Conseil Administratif - Formation Siège social : 68 rue J.J. Rousseau - 36200 ARGENTON

Plus en détail

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés

Plus en détail

La diffusion des résultats statistiques du recensement de la population

La diffusion des résultats statistiques du recensement de la population La diffusion des résultats statistiques du recensement de la population Le cadre juridique La diffusion des résultats statistiques est encadrée par l arrêté du 19 juillet 2007 mis au point en liaison avec

Plus en détail

HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE

HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive

Plus en détail

Fine dosing Opti-feeder FD- SPA

Fine dosing Opti-feeder FD- SPA MICRO-DOSEURS PONDERAUX DE HAUTE PRECISION Fine dosing Opti-feeder FD- SPA MCPI Fine dosing est une technologie dédiée au dosage et saupoudrage de haute précision. La technologie MCPI Fine dosing est protégée

Plus en détail

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE Direction Départementale de la Protection des Populations De Seine-Saint-Denis (DDPP 93) - Immeuble l Européen - 5 et 7 promenade Jean

Plus en détail

préventive est le facteur essentiel pour optimiser la disponibilité d un parc d onduleurs

préventive est le facteur essentiel pour optimiser la disponibilité d un parc d onduleurs La maintenance préventive est le facteur essentiel pour optimiser la disponibilité d un parc d maintenance Descriptifs des prestations : Fabricant reconnu pour sa technicité, la société assure des prestations

Plus en détail

L Enseignement religieux au Luxembourg. Sondage TNS-ILRES Juillet 08 N 11

L Enseignement religieux au Luxembourg. Sondage TNS-ILRES Juillet 08 N 11 L Enseignement religieux au Luxembourg Sondage TNS-ILRES Juillet 08 11 5 av. Marie Thérèse L-2132 Luxembourg tél.: 44743-501 sesopi-ci@sesopi-ci.lu www.sesopi-ci.lu 978-2-9599806-3-3 Documentation Etude

Plus en détail

Observation statistique

Observation statistique 2. APERÇU DES RÉSULTATS DU RENDEMENT Observation statistique s. Les résultats présentés dans ce rapport sont fondés sur des échantillons. Des échantillons distincts ont été sélectionnés pour chaque instance

Plus en détail

Magisoft. Gestion commerciale. L intelligence Software. Progiciels de gestion pour l industrie

Magisoft. Gestion commerciale. L intelligence Software. Progiciels de gestion pour l industrie ZA LA LAYE 12 Rue de Truchebenate 01100 ARBENT Tél : +33 (0)4.74.81.22.20 Fax : +33 (0)4.74.73.08.99 contact@cerai.fr Www.cerai.fr Gestion commerciale Magisoft L intelligence Software Progiciels de gestion

Plus en détail

Pour vous et vos patients

Pour vous et vos patients T h e a r t o f m e d i c a l d e s i g n FR Pour vous et vos patients Notre philosophie est simple, conception et fabrication des fauteuils et units dentaires hauts de gammes pour satisfaire le besoin

Plus en détail

Une implantation nationale Grâce à un réseau de 3 agences (Caen, Tours, Lyon), vous bénéficiez ou conservez un interlocuteur de proximité.

Une implantation nationale Grâce à un réseau de 3 agences (Caen, Tours, Lyon), vous bénéficiez ou conservez un interlocuteur de proximité. Logiciel de Gestion DL NÉGOCE Le spécialiste du Négoce Une expérience de plus 20 ans DL NÉGOCE, forte d une expérience de plus de 20 ans (issue des sociétés historiques du groupe), a conçu et développé

Plus en détail

APPORT DE LA MICROKINESITHERAPIE DANS LES TMS

APPORT DE LA MICROKINESITHERAPIE DANS LES TMS APPORT DE LA MICROKINESITHERAPIE DANS LES TMS 10è Congrès International en Microkinésithérapie, Arcachon 2 juin 2012 André Bonté Daniel Grosjean Introduction: Cette étude a été lancée dans le cadre d'une

Plus en détail