Enquête sur les causes du dépérissement des fraisiers au Québec. Richard Hogue, Ph.D. biologiste Laboratoire d écologie microbienne IRDA
|
|
- Antonin Goulet
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Enquête sur les causes du dépérissement des fraisiers au Québec Richard Hogue, Ph.D. biologiste Laboratoire d écologie microbienne IRDA Conférence diffusée février 05
2 Projet de recherche Projet de recherche Innov Action IA0 Identification des causes du dépérissement des fraisiers pour élaborer des stratégies de lutte intégrée. Requérant: Richard Hogue Ph.D. IRDA période 0-0 Le projet est réalisé grâce à une aide financière du Programme lnnov Action agroalimentaire, un programme issu de l accord Cultivons l avenir conclu entre le Ministre de l Agriculture, des Pêcheries et de l Alimentation, et Agriculture et Agroalimentaire Canada. R Hogue, Conférence diffusée février 05
3 Collaborateurs MAPAQ Liette Lambert, Stéphanie Tellier et tous les agronomes et conseillers(ères) en horticulture fruitière du comité dépérissement des fraisières. Gérard Gilbert et François Bélanger du Laboratoire de diagnostic en phytoprotection. Producteurs et conseillers(ères) des clubs-conseils IRDA Nathalie Daigle, Véronique Gagné du LAB Thomas Jeanne, Vanessa Villeneuve du LEM USDA Horticultural Crops Research Laboratory Robert «Bob» Martin (Corvallis, Oregon) R Hogue, Conférence diffusée février 05
4 Dépérissement du fraisier Les principaux symptômes du dépérissement Décoloration, chlorose, rougissement des feuilles. Réduction du développement des feuilles, des racines et des stolons, nécrose des racines. Réduction du rendement, mortalité précoce du plant. R Hogue, Conférence diffusée février 05
5 Dépérissement du fraisier : Virus Les agents pathogènes mis en cause Complexe de champignons de pourriture racinaire Infection des plants par virus ou plus Photo Liette Lambert R Hogue, Conférence diffusée février 05
6 Dépérissement du fraisier : Champignons Phytophthora cactorum Cœur rouge du rhizome R Hogue, Conférence diffusée février 05 Photo Liette Lambert
7 Dépérissement du fraisier : Champignons Commentaire associé à la diapositive précédente: Lors de l examen des plants en dépérissement, l on ne peut pas toujours facilement différencier l agent pathogène qui est la cause inititiale du dépérissement, de celui ou ceux qui profitent du changement de l état physiologique des plants infectés pour déjouer les barrières de défense naturelle du fraisier et accélérer ou non le déclin des plants. R Hogue, Conférence diffusée février 05 Photo Liette Lambert
8 Contexte et objectifs 00-0: Épisodes graves de dépérissements 0-0: Enquête au Québec volet: virus Objectifs généraux du projet Préciser les causes du dépérissement; Dresser un inventaire des pratiques culturales adoptées par les producteurs de plants et de fruits au Québec; Identifier des facteurs prépondérant au dépérissement Offrir des services diagnostiques qui aideront les producteurs à identifier rapidement les causes réelles du dépérissement. R Hogue, Conférence diffusée février 05
9 Formulaire d enquête Formulaire d enquête pour chaque champ ciblé Pré-sélection de champs par producteur Source des plants et type de plants Recouvrement des entre-rangs et texture du sol Intensité du dépérissement des plants échantillonnés Nombre de foyers et intensité du dépérissement au champ Diagnostic préalable Type de cultures adjacentes R Hogue, Conférence diffusée février 05
10 Objectifs spécifiques du projet Objectifs spécifiques du projet Combien de virus par plant et lesquels Comparer nombre de virus des zones plants sains versus des zones de plants dépéris Comparer le type et la fréquence des combinaisons de virus Comparer pour les zones de plants sains VS dépéris: Le nombre d espèces de champignons des racines par plant Le nombre d espèces de nématodes dans le sol par plant La fréquence des phytoplasmes dans les feuilles par plant R Hogue, Conférence diffusée février 05
11 Échantillons issus de deux zones Zone de plants dépéris Zone apparence plants sains Zone of declining plants zone Zone of seamingly healthy plants R Hogue, Conférence diffusée février 05
12 Échantillons issus de deux zones Plant dépéris SMoV-SMYEV-SVBV Plant d apparence sain SMoV R Hogue, Conférence diffusée février 05
13 Échantillons issus de deux zones Plants d apparence saine Plant dépéris rougeâtre R Hogue, Conférence diffusée février 05
14 Échantillons issus de deux zones Plants d apparence saine Plant dépéris rougeâtre R Hogue, Conférence diffusée février 05
15 Dépérissement du fraisier Plant dépéris rougeâtre Plants d apparence saine R Hogue, Conférence diffusée février 05
16 Echantillonnage - Analyses Échantillonnage 0 fraisières régions Zone de plants d apparence saine et Zone de plants avec symptômes de dépérissement plants entiers avec le sol des racines/zone feuilles/plant de 5 plants adjacents/zone R Hogue, Conférence diffusée février 05
17 Analyse de plants/zone Analyses de détection d agents pathogènes virus: SMoV, SMYEV, SVBV, SCrV, SPaV et BPYV Champignons pourriture racinaire et du collet Nématodes Phytoplasmes R Hogue, Conférence diffusée février 05
18 Analyse de plants/zone Commentaire associé à la diapositive précédente: Les plants entiers échantillonnés par zone ont été soumis à des analyses de détection; - de virus à l aide de la technique RT-PCR; Strawberry mottle virus (SMoV), Strawberry mild yellow edge virus (SMYEV), Strawberry vein banding virus (SVBV), Strawberry Crinkle Virus (SCrV), Strawberry pallidosis-associated virus (SPaV) et Beet pseudo yellow virus (BPYV), - des champignons pathogènes isolés des racines ou du collet des plants par des examens sur géloses sélectives, - des champignons pathogènes et bénéfiques isolés du sol et identifié et quantifié à l aide de méthodes moléculaires, - des nématodes pathogènes et non-pathogènes isolés du sol par la technique de filtration et dénombré au microsocope, - Des phytoplasmes isolés des nervures et détectés par PCR. R Hogue, Conférence diffusée février 05
19 Champignons pathogènes Une vingtaine de champignons infectent les fraisiers Des Phytophthora, Verticillium et Pythium causent des pourritures du collet Des Cylindrocarpon, Rhizoctonia, Fusarium et Pythium forment un complexe qui cause des pourritures de racines Difficile de différencier les infections primaires et secondaires. Doit comparer le patron de dispersion des plants en dépérissement au patron de dispersion au champ des champignons pathogènes et au patron de dispersion au champ des virus. R Hogue, Conférence diffusée février 05
20 Virus des fraisiers Plus d une trentaine de virus infectent les fraisiers Enquêtes en Amérique du Nord: virus dont sont dominants 7 virus transmis par les pucerons, dont le puceron du fraisier, les virus SMoV, SMYEV, SVBV, SCV sont détectés souvent. Transmission circulante SMYEV (-5 jours) et SCV (0-5 jours) Transmission non persistante SMoV (-0 minutes) et SVBV (0 heures) virus transmis par les aleurodes: SPaV et BPYV Infection d un virus : ± symptômes sans dépérissement Infections de virus ou + : symptômes sévères, dépérissement R Hogue, Conférence diffusée février 05
21 Répartition des échantillons selon le taux (%) de dépérissement du champ Pour champ/fraisière : 8 échantillons de plants d apparence saine et 8 échantillons de plants dépéris ont été prélevés. Cycle de production re année e année Total général Échantillons 8 80 Classes de % de dépérissement des plants au champ en régions et 0 champs 7% champs (re année production) 7 champs (e année production) R Hogue, Conférence diffusée février 05 7% % %
22 Provenance des plants et type de plants R Hogue, Conférence diffusée février 05
23 Variétés échantillonnées Variété (%) par champ 7 Nombre de variétés par champ Jewel seule Jewel en mélange Wendy en mélange Sunset Valley en mélange R Hogue, Conférence diffusée février 05 variété variétés variétés variétés 5 variétés et plus
24 Proportion des plants infectés par un ou plusieurs virus Nombre de virus/plant 0 Zone Plants sains (%), 5, 8,8 0,8,7 R Hogue, Conférence diffusée février 05 Zone Plants dépéris (%),5,7 8,8,9,
25 Répartition des échantillons selon la classe du taux de dépérissement observé au champ et selon le nombre de virus détectés par plant Zone plants sains Classes de dépérissement des fraisiers (%) observés pour le champ complet Nombre virus/plant Échantillons Total Zone plants dépéris Classes de dépérissement des fraisiers (%) observés pour le champ complet Nombre virus/plant Échantillons Total R Hogue, Conférence diffusée février
26 Répartition des échantillons selon le nombre de virus par plant et lescombinaisons de virus détectés par plant SMoV Zone SMYEV plants sains SVBV Nb virus/plant Échantillons SCV Total 0 SMoV SMYEV SMoV SMoV SMoV SMoV SVBV SMYEV SMYEV SMYEV SVBV SMoV SMoV SPaV SVBV SCV SPaV SPaV SMYEV SVBV SMoV Zone SMYEV plants dépéris SVBV Nb virus/plant Échantillons SCV Total 0 SMoV SMYEV SMoV SMoV SMoV SMoV SVBV SMYEV SMYEV SMYEV SVBV SMoV SMoV SPaV SVBV SCV SPaV SPaV SMYEV SVBV R Hogue, Conférence diffusée février 05 SMoV SCV SMoV SPaV 5 5 SMoV SCV SMoV SPaV SMoV SMYEV SPaV SMoV SMYEV SPaV 8 8 Aucun virus Aucun virus
27 Répartition des échantillons selon le nombre de virus par plant et lescombinaisons de virus détectés par plant Commentaires assoicées à la diapositive précédente: Ce tableau-ci présente la répartition des échantillons toujours selon le nombre de virus par plant, mais en détaillant toutes les combinaisons de virus qui ont été détectées dans les échantillons. Le tableau du haut présente les résultats des échantillons prélevés en zone de plants sains, tandis que le tableau du bas présente les résultats des zones de plants en dépérissement. Les zones de plants sains ont un nombre plus élevé d échantillons dans lesquels aucun virus ou un seul virus a été détecté. Le virus SMoV est le plus fréquemment détecté, suivi du SMYEV et le virus SPaV a été plus rarement détecté seul dans les échantillons. Lorsque les plants sont infectés par des combinaisons de virus, ce sont les échantillons prélevés dans les zones de plants dépéris qui sont en plus grand nombre comparativement aux nombre échantillons détectés en zone saine. Les plants prélevés en zone de dépérissement étaient aussi plus nombreux à être infectés par ou virus comparativement aux plants prélevés en zone saine. NOTE IMPORTANTE À PRÉCISER: La fréquence relativement élevée de plants prélevés en zone saine qui sont infectés par des combinaisons de, ou même virus soulève des doutes sur l hypothèse que les virus seraient les seuls agents pathogènes en cause dans le dépérissement des fraisiers. R Hogue, Conférence diffusée février 05
28 Conclusions des analyses de détection des virus Zone de plants d apparence saine Détecte un plus grand nombre de plants sains 5 % des plants sont infectés par un virus (SMoV) Détecte les combinaisons (SMoV-SPaV et SMoV-SCrV) % des plants sont infectés par virus et plus Zone de plants en dépérissement Détecte cinq fois moins de plants sains % des plants sont infectés par un virus (SMoV) La combinaison (SMoV-SMYEV) domine et les virus SVBV et SPaV s ajoutent à cette combinaison 7 % des plants sont infectés par virus et plus R Hogue, Conférence diffusée février 05
29 Infections fongiques du collet Genre fongiques détectés au Zones de collet plants sains Acremonium 8 Fusarium Cylindrocarpon 7 Rhizoctonia Verticillium 0 Gliocladium 0 Autres Total détectés 9 Zone de plants dépéris R Hogue, Conférence diffusée février 05 Fréquence totale de détection
30 Champignons vs Taux de dépérissement Plants d apparence saine Détection fongique sur gélose SNA - Plants sains Nombre de sites Zone plants sains (n=5) Détection de Pythium (n= 5x=90) PYT Détection de Rhizoctonia (n=5x=90) PYT Détection de Cylindrocarpon (n=5x=90) PYT Détection de Pythium (n= 5x=90) Détection de Rhizoctonia (n=5x=90) Détection de Cylindrocarpon (n=5x=90) Détection de Fusarium (n=5x=90) Détection de Trichoderma (n=5x=90) Détection de Gliocladium (n=5x=90) Détection de Verticilium (n=5x=90) Détection d'autres genres (n=5x=90) Détection de 0 genres sur gélose SNA (n=90x0=800) Détection de genres sur gélose PYT (n=90x=70) Taux de dépérissement moyen des plants des zones du champ Total R Hogue, Conférence diffusée février
31 Champignons vs Taux de dépérissement Plants dépéris Détection fongique sur gélose SNA - Plants dépéris Nombre de sites Zone plants dépéris (n=5) Détection de Pythium (n= 5x=90) Détection de Rhizoctonia (n=5x=90) Détection de Cylindrocarpon (n=5x=90) Détection de Pythium (n= 5x=90) Détection de Rhizoctonia (n=5x=90) Détection de Cylindrocarpon (n=5x=90) Détection de Fusarium (n=5x=90) Détection de Trichoderma (n=5x=90) Détection de Gliocladium (n=5x=90) Détection de Verticilium (n=5x=90) Détection d'autres genres (n=5x=90) Détection de 0 genres sur gélose SNA (n=90x0=800) Détection de genres sur gélose PYT (n=90x=70) Taux de dépérissement moyen des plants des zones du champ Total Les fréquences de détection observées pour les genres fongiques dans les racines des plants sains sont similaires à celles observées dans les racines des plants dépéris.
32 Nématodes vs Taux de dépérissement Nombre de sites pour lesquels des nématodes étaient pathogènes Total Nombre de sites Zone plants sains (n=0) 5 Nombre de nématodes pathogènes 0 Nombre de sites Zone plants dépéris (n=0) Nombre de nématodes pathogènes 7 08 Nombre de sites pour lesquels des Pratylenchus étaient détectés Nombre de sites Zone plants sains (n=0) Nombre de nématodes Pratylenchus Total 88 Nombre de sites Zone plants dépéris (n=0) Nombre de nématodes Pratylenchus 00 Taux de dépérissement moyen des plants des zones du champ Taux de dépérissement moyen des plants des zones du champ Les fréquences de détection observées pour les nombres de nématodes pathogènes dans le sol des plants sains sont similaires à celles observées dans le sol des plants en dépérissement. R Hogue, Conférence diffusée février 05
33 Conclusions de la première année pour la détection des champignons, nématodes et phytoplasmes La fréquence de détection des champignons pathogènes dans les plants d apparence saine est assez similaire à celle observée avec les plants en dépérissement. La fréquence de détection des nématodes pathogènes dans le sol des plants d apparence saine est similaire à celle observée avec le sol des plants en dépérissement. Des phytoplasmes ont été détectés dans deux plants dépéris parmi les 80 échantillons analysés. R Hogue, Conférence diffusée février 05
34 Conclusions et Perspectives Nous allons poursuivre l analyse des résultats de détection en utilisant la base de données établie avec les informations des formulaires pour mieux nuancer nos interprétations par rapport aux plants «sains». Nous allons mettre davantage d efforts à détecter et identifier les champignons pathogènes à l aide des méthodes moléculaires, puisque les méthodes de culture sur gélose sous-estiment certains genres fongiques R Hogue, Conférence diffusée février 05
35 Conclusions et Perspectives Un rapport complet des résultats associés à un champ sera transmis au conseiller-agronome et au producteur. Nous sommes disponibles en février-mars 05 à présenter les résultats du projet à des groupes de producteurs conseillers en région. Le projet se poursuit en 05 pour une e année, les producteurs et conseillers qui veulent soumettre des échantillons pourront remplir le formulaire d échantillon disponible en 05. R Hogue, Conférence diffusée février 05
36 R Hogue, Conférence diffusée février 05
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailChapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailBulletin d information
Bulletin d information CULTURES EN SERRES No 17 1 er mars 2004 RÉGULATEURS DE CROISSANCE EN ORNEMENTAL : GUIDE DES BONNES PRATIQUES La majorité des régulateurs de croissance employés en floriculture sont
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailRÉSUMÉ. Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat
RÉSUMÉ Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat Importance de la récolte de blé a entraîné attention sur la recherche sur la santé des plantes et, en particulier, mycose affectant la récolte
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailFiche technique. Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation?
Institut National de la Recherche Agronomique du Niger Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Fiche technique RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger Comment lutter
Plus en détailDésherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole
Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés
Plus en détailCadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale
Agriculture and Agri-Food Canada Agriculture et Agroalimentaire Canada Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Les initiatives environnementales Eau Nutriments,
Plus en détailCompétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali
Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détailIdentification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré
Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Rencontre du groupe RAP Maïs sucré, 3 avril 2013 Jean-Philippe Légaré, M. Sc., biologiste-entomologiste, Laboratoire de diagnostic en
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailLa culture de la fraise à jours neutres
La culture de la fraise à jours neutres INTRODUCTION : Introduite en 1985 par l'université Laval à titre d'essai, la culture de la fraise à jour neutre est restée une production marginale au Québec. Le
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailbiophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées
biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités
Plus en détailMYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailCONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013
Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin
Plus en détailConseil Spécialisé fruits et légumes
Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de
Plus en détailStratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre
Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre Rapport de recherche No. 217-T Présenté au : Par : M. Bruno Bélanger, agr. M.Sc. Institut de recherche et de développement
Plus en détailPASSÉ, PRÉSENT ET FUTUR DES SYSTÈMES DE
PASSÉ, PRÉSENT ET FUTUR DES SYSTÈMES DE PRODUCTION DANS LA FRAISE Par : LUC URBAIN, agronome Direction régionale de la Chaudière-Appalaches Depuis les 25 dernières années, nous avons connu de nombreuses
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailLe verger du parc national du Mont-Saint-Bruno
Le verger du parc national du Mont-Saint-Bruno Une vitrine unique de sensibilisation et de solutions pour la production pomicole dans un contexte de développement durable au Québec Vincent Philion 1, Gérald
Plus en détailRay-grass anglais auto-regarnissant
Robuste COMME L ACIER Ray-grass anglais auto-regarnissant Une technologie révolutionnaire : auto-regarnissage et tolérance au jeu la plus élevée, même avec une tonte courte! RPR technology inside! RPR
Plus en détailToitures vertes : bien commun ou bien privé?
Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Owen A. Rose LEED, M.Arch, B.Comm www.ecologieurbaine.net www.montroyal-avenueverte.org www.ecosensuel.net Toitures vertes à la montréalaise Un vieux concept
Plus en détailPrésenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF
Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailARRETE Arrêté du 9 juin 2009 portant habilitation à délivrer des masters dans les établissements habilités à délivrer le diplôme d ingénieur
Le 21 février 2011 ARRETE Arrêté du 9 juin 2009 portant habilitation à délivrer s masters dans les établissements habilités à délivrer le diplôme d ingénieur NOR: ESRS0831506A Version consolidée au 23
Plus en détailRESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
Plus en détailEnsemble vers de saines habitudes de vie!
Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 10 5 juin 2015 Ce qu'il faut retenir Balanin : des balanins sont présents en verger et d'après les dissections de femelles et de mâles, les accouplements devraient commencer dans les prochains jours.
Plus en détailLes compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailPesticides. agricoles Moins et Mieux. Cahier d auto- évaluation
Pesticides agricoles Moins et Mieux Cahier spécifique Cahier d auto- évaluation Maïs sucré 1 re ÉDITION (2004) : Coordination et réalisation : Marie-Hélène April Raymond-Marie Duchesne Stratégie phytosanitaire
Plus en détailANCRÉ PAR NOS RESSOURCES
ANCRÉ PAR NOS RESSOURCES VOUS VOULEZ DIVERSIFIER VOS ACTIVITÉS? VOUS DÉSIREZ UN APPROVISIONNEMENT GARANTI POUR VOTRE ENTREPRISE? DÉVELOPPER DE PLUS GRANDS MARCHÉS ET DISCUSTER DIRECTEMENT AVEC LES CONSOMMATEURS?
Plus en détailTraits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR
Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR Ecole Chercheurs AgroEcologie 5-8 Juin 2012 1 Diversité spécifique
Plus en détailPetits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification
Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailInfluence du changement. agronomiques de la vigne
Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique
Plus en détailLe contrôle et la certification en agriculture biologique
Version Tunisie 1 ère édition 2006 AGRICULTURE BIOLOGIQUE REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l agriculture et des ressources hydrauliques Direction Générale de la Production Agricole TCP/TUN/2903 Le contrôle
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailLA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015
LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,
Plus en détailL environnement alimentaire de l école:
L environnement alimentaire de l école: définitions i i et concepts, méthodes et outils de mesure Pascale Morin, Ph.D. JASP, 24 novembre 2010 Environnement alimentaire? Vous dites! 14es Journées annuelles
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailLa lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie
La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis
Plus en détailRapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts
Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailBesoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016
Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Comité agriculture biologique du Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CAAQ) Octobre 2012 mise à jour
Plus en détailPour en savoir plus sur la
Pour en savoir plus sur la Connaître son ennemi Moyens de lutte Mycotoxines La recherche Ce que vous pouvez faire La fusariose de l épi est une maladie fongique qui touche plusieurs cultures céréalières
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailProposition d une démarche pour la conception et l évaluation d idéotypes de plantes
Proposition d une démarche pour la conception et l évaluation d idéotypes de plantes Le concept d idéotype a été proposé au départ par C.M. Donald (1968) comme support de réflexion pour renouveler les
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
1 er juin 2011 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 152 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT
Plus en détailUn nouveau service d information et de mesures. Lignes électriques haute et très haute tension et champs magnétiques de très basse fréquence
Un nouveau service d information et de mesures Lignes électriques haute et très haute tension et champs magnétiques de très basse fréquence RTE aux côtés des maires Le 17 décembre 2008, Jacques Pélissard,
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailForum francophone sur la santé mentale et les dépendances : Parlons-en! Ordre du jour
Forum francophone sur la santé mentale et les dépendances : Parlons-en! Ordre du jour Le mercredi 18 avril 2012 Édifice Centre d'excellence, Collège Glendon, Université York De 17 h 30 à 21 h Heure Description
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailLE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014
LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014 en quelques chiffres (Loi de finances initiale) Évaluation des recettes perçues par l État en 2014 (art. 60 de la loi de finances initiale pour 2014) RECETTES FISCALES
Plus en détailSTATUTS DE LA COMMISSION SUISSE POUR LA CONSERVATION DES PLANTES CULTIVEES (CPC)
STATUTS DE LA COMMISSION SUISSE POUR LA CONSERVATION DES PLANTES CULTIVEES (CPC) Dénomination et siège Article 1 Sous le nom de «Commission Suisse pour la Conservation des Plantes Cultivées» (abrégé CPC),
Plus en détailÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT
STATISTIQUES ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT REPERTOIRE D EMPLOIS Sur les 78 diplômés entrant dans le champ d enquête (de nationalité française et en formation initiale), 66 ont répondu au questionnaire soit un
Plus en détailListe des matières enseignées
Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13
Plus en détailNormes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)
105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site
Plus en détailFICHE INDIVIDUELLE D'INSCRIPTION AUX COURS DE SURF
Document à compléter et renvoyer signé accompagné de votre chèque d acompte à l adresse suivante : Santocha surf club ECOLE 43 rue des Pyrénées 40130 Capbreton FICHE INDIVIDUELLE D'INSCRIPTION AUX COURS
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailCHRISTINE BOUDREAU Téléphone: (514) 990-7582 Courriel: cb@cbmc-inc.ca Site web : www.cbmc-inc.ca
CHRISTINE BOUDREAU Téléphone: (514) 990-7582 Courriel: cb@cbmc-inc.ca Site web : www.cbmc-inc.ca Christine Boudreau, Microbiologiste Consultante inc. Consultation dans le domaine alimentaire Formation
Plus en détailPROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE SAINT-ANTOINE-DE-TILLY 15 octobre 2012
Procès-verbal de la séance ajournée du conseil de la Municipalité de Saint-Antoine-de-Tilly, tenue le 15 octobre 2012, à 20 h, au centre communautaire, 945, rue de l Église, Saint-Antoine-de-Tilly. La
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction «Prévention des risques liés à l environnement et à l alimentation» Bureau «Qualité des
Plus en détailFonctionnement et procédure Prêt REER-RAP La Capitale
Fonctionnement et procédure Prêt REER-RAP La Capitale Formulaires à remplir (fichiers PDF) Contrat de prêt REER-RAP T128 Demande d adhésion-instruction RER (pour RAP) T015 Régime d accession à la propriété
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS
ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:
Plus en détailBILAN DE LA CAMPAGNE 2014
BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailLE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE
AMBASSADE DES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE UN INSTRUMENT POUR APPUYER LES INITIATIVES LOCALES PAR LES COMMUNAUTES POUR
Plus en détail2. Questionnaire pour une base de données
2. Questionnaire pour une base de données Merci de remplir un questionnaire pour chaque base de données (2.1) Nom de l institution : (2.2) Nom du département ou du laboratoire : Base de données : (2.3)
Plus en détailMASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)
MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE
Plus en détailFusariose : réduire les risques aux champs!
Fusariose : réduire les risques aux champs! Denis Pageau, M. Sc., Ferme de recherche de Normandin, AAC Pierre Filion, t.a., MAPAQ Montérégie Ouest Collaborateurs : Jean Lafond, M. Sc., Julie Lajeunesse,
Plus en détail2. Les auxiliaires de culture
III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs
Plus en détailL intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue
L intégration des TIC chez les futurs enseignants : votre point de vue Réservé à l administration Associés Questionnaire - Enseignants associés 1 QUESTIONNAIRE ENSEIGNANTS ASSOCIÉS Ce questionnaire permettra
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailLes approches globales et intégrées en promotion de la santé et du bien-être : les conditions nécessaires à leur développement 1
Les approches globales et intégrées en promotion de la santé et du bien-être : les conditions nécessaires à leur développement 1 Marthe Deschesnes, Ph.D. Catherine Martin, M.Sc. Adèle Jomphe Hill, Ph.D
Plus en détailLE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU
LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU RÉSUMÉ Une étude de Tristat Resources commandée par l Institut Broadbent démontre que la majorité des
Plus en détailProjet. Coordination des régimes de sécurité sociale dans le cadre de la libre circulation des travailleurs
Projet Coordination des régimes de sécurité sociale dans le cadre de la libre circulation des travailleurs Brève présentation des partenaires des régimes de sécurité sociale pour la Conférence européenne
Plus en détailLE RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE
LE RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE PREMIERE ETAPE : 2003 à 2004 Questionnaire DERNIER AVANT-PROJET, Version 2.1 RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE - RAFINE EVALUATION DES CAPACITES
Plus en détailSONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014
1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,
Plus en détailBaromètre de confiance dans l exécutif. Vague 21 Février 2014
Baromètre de confiance dans l exécutif Vague 21 Février 2014 Sommaire Méthodologie de l enquête P.3 1. La confiance envers le couple exécutif P.4 2. Les raisons de la confiance ou du manque de confiance
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailStratégie nationale d innovation et de recherche sur la pomme de terre. Conseil canadien de la pomme de terre Le 7 novembre 2012
Stratégie nationale d innovation et de recherche sur la pomme de terre Conseil canadien de la pomme de terre Le 7 novembre 2012 Le Programme canadien d adaptation agricole, financé par Agriculture et Agroalimentaire
Plus en détailPermet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles
Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de
Plus en détailLe Lab 1:1 de Xerox contribue à fidéliser les actionnaires du Fonds de solidarité FTQ
Étude de cas Le Lab 1:1 de Xerox contribue à fidéliser les actionnaires du Fonds de solidarité FTQ Fonds de solidarité FTQ, siège social, Montréal, Québec, Canada. Le Fonds de solidarité FTQ (le Fonds)
Plus en détail