Les LEDs, éclairage du futur, économies d'énergie et effet rebond
|
|
- Estelle Carbonneau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les LEDs, éclairage du futur, économies d'énergie et effet rebond Jean-Yves Duboz, CRHEA novembre 2014
2 Histoire de l éclairage (classique) soleil feu huile - 4M - 0.7M - 20k homme Pétrolebougie 1850 Ampoule halogène incandescence
3 8 hc U(, T) 5 e hc 1 kt 1 50% énergie solaire émise dans le visible: hasard, chance?
4 intensité (u.a.) 8 hc U(, T) 5 Planck bleu rouge e hc 1 kt Corps noir longueur d'onde (µm) T=2700K amp. incandescence T=3000K halogène Ampoule-halogène: entre 3.5 et 6% de l énergie est émise dans le visible Meilleur rendement si température plus haute mais dégradation des matériaux (W) Efficacité: lumen/watt
5 Histoire de l éclairage (quantique) Tube néon (Georges Claude) Tube fluorescent (Hg) Lampe vapeur de sodium OLED DEL-LED bleue DEL-LED blanche
6 Efficacité (lum /W) Histoire de l éclairage (quantique) 300 LED R&D sodium LED commercial tube fluo FluoCompact Année 2 points remarquables: en y la performance très élevée, en x la rapidité de l évolution (révolution)
7 Diodes électroluminescentes DEL-LED Principe, fonctionnement
8 1µm=1/1000 mm Diodes électroluminescentes V 4V Contacts métalliques p-gan qq mm n-gan Puits quantiques GaInN/GaN substrat 1 mm x 1mm Composant semiconducteur
9 Importance des électrons Les électrons sont responsables de la plupart des propriétés des matériaux: Électriques Optiques Thermiques (en partie) Elastiques (en partie) Par exemple, ces propriétés sont similaires (non strictement égales) pour des isotopes (N neutrons différents). La différence devient grande uniquement pour la physique nucléaire!
10 Pour déterminer les propriétés des matériaux, il faut déterminer la structure électronique de la matière = énergie des électrons dans la matière
11 Mécanique classique et quantique Atome Modèle planétaire de l atome: orbites de rayon arbitraire Modèle quantique de l atome: l électron est décrit (dualité onde corpuscule) par une onde ( ) telle que 2 r = n p=mv=h/, mv 2 e 2 /r r = r Bohr n 2 et E e 2 /n 2 r Bohr orbites de rayon et d énergie quantifiés
12 Mécanique quantique Atome énergie Niveaux discrets d énergie E3 E2 E1 E0 = fondamental
13 Mécanique quantique Solides Les niveaux d énergie (des atomes) deviennent des bandes bandes d énergie dans les solides énergie
14 Mécanique quantique Solides Les électrons occupent les bandes d énergie en partant des plus basses énergies énergie Bande n+1 Bande interdite (gap) Bande n Cas d un métal
15 Mécanique quantique Solides Les électrons occupent les bandes d énergie en partant des plus basses énergies énergie Bande de conduction Bas de la BC Bande interdite (gap) DE ev Bande de valence remplie d électrons Haut de la BV Cas d un isolant ou d un semiconducteur
16 Semiconducteurs intrinséques Sous champ électrique Bande de conduction Bande interdite (gap) Bande de valence électrons Etat fondamental F=eE Energie=-eFx Pas de conduction: isolant
17 Semiconducteurs extrinséques (dopé, excité ) Bande de conduction électrons Bande interdite (gap) Bande de valence trous
18 Semiconducteurs extrinséques Tension, champ électrique V électrons 0 trou
19 Semiconducteurs extrinséques Tension, champ électrique V 0
20 Semiconducteurs extrinséques Tension, champ électrique V 0
21 Semiconducteurs extrinséques Tension, champ électrique 0 V électrons Trous (se comportent comme des bulles) Représentation équivalente: on ne représente que les trous en bandes de valence et les électrons en bande de conduction
22 Semiconducteurs extrinséques Tension, champ électrique 0 V électrons Trous (se comportent comme des bulles) Représentation équivalente: on ne représente que les trous en bandes de valence et les électrons en bande de conduction
23 Semiconducteurs Interaction lumière-matière Photon d énergie DE électrons trou
24 Semiconducteurs Interaction lumière-matière Photon d énergie DE électrons trou
25 Diodes électroluminescentes z Trous dans la partie p p-gan n-gan Puits quantiques GaInN/GaN Électrons dans la partie n x substrat
26 Diodes électroluminescentes x barrière puits barrière énergie Bande de conduction barrière barrière puits z Bande de valence Position z
27 Diodes électroluminescentes V 0
28 Diodes électroluminescentes V 0
29 Diodes électroluminescentes
30 Diodes électroluminescentes
31 Diodes électroluminescentes
32 Diodes électroluminescentes Photon d énergie DE Un électron injecté donne un photon (quantification des interactions lumière matière), sauf phénomènes parasites (hélas présents)
33 Electroluminescence (unité arb) Diodes électroluminescentes DEL GaN/InGaN CRHEA Longueur d'onde (nm) Par principe, les DELs fournissent une lumière «monochromatique» (couleur bien définie)
34 Energie de bande interdite et couleur semiconducteur InGaN/GaN (nitrure de gallium) Bande de conduction Bande interdite (gap) DE= ev Bande de valence hc E E( ev ) 1.24 ( µm) Longueur d onde: µm (proche UV, bleu, vert)
35 y Le blanc par mélange des couleurs green 0.5 A2 orange B1 white B2 A3 0.1 blue A x
36 Le blanc par mélange des couleurs Phosphore (Y 3 Al 5 O 12 :Ce 3+ ) Approche classique: Conversion Bleu Jaune On retrouve le principe des tubes fluo! Approche intégrée: émission directe des 3 couleurs primaires
37 Diodes électroluminescentes DEL-LED Fabrication
38 Fabrication des DELs Epitaxie des couches actives sur un substrat
39
40 Des investissements lourds (réacteur d épitaxie)
41 Des investissements lourds (réacteur d épitaxie)
42 p-gan n-gan Puits InGaN Substrat (saphir, Silicium )
43 Microscopie électronique en transmission Puits quantiques In 0.14 Ga 0.86 N/GaN
44 STM-microscope tunnel états électroniques vides d'une surface de GaN(0001) obtenue par EJM-NH3. marches moléculaires (Ga+N=c/2, i.e. 2.6 Å) et des dislocations coins (e) et vis (m). états électroniques pleins d'une surface de GaN(0001)(4*4) :1,5 monocouche (Ga+N) de gallium sur une surface (2*2) riche en azote. Présence d'une pression résiduelle d'arsenic
45 Microscopie électronique à balayage
46 Fabrication des DEL en salle blanche
47 p-gan n-gan Puits InGaN Substrat (saphir, Silicium )
48 Diodes électroluminescentes
49 Diodes électroluminescentes 2 éléments critiques lumière Améliorer la qualité cristalline chaleur Améliorer la densité de trous, dopage p
50 The Nobel Prize in Physics 2014 was awarded jointly to Isamu Akasaki, Hiroshi Amano and Shuji Nakamura "for the invention of efficient blue light-emitting diodes which has enabled bright and energy-saving white light sources". Isamu Akasaki Hiroshi Amano Shuji Nakamura C est avant tout un prix Nobel sur le matériau GaN et sur son épitaxie
51 ECONOMIE ECOLOGIE
52 Efficacité (lum /W) Efficacité énergétique 300 LED R&D sodium LED commercial tube fluo FluoCompact Année Efficacité moyenne actuelle* 50 lum/w Remplacement par LED à 200 lum /W: facteur 4 en consommation * 60% en tube fluo+ 40% en incandescent, en terme de puissance consommée
53 Economies d énergie Consommation énergétique 2014: 100 quad = kwh 40 quad de pétrole dépensés pour produire 14 quad d électricité Eclairage = 20% de l électricité = 3 quad /an Avec un remplacement partiel (2/3) par LED : gain possible de 1.5 quad électrique/ an
54 Eclairage annuel (10 15 lumen heure) Evolution de l éclairage USA Installé Fluo LED HID 10 Incand. Halogene Années Source: DoE, Février 2010
55 Economies d énergie Source: DoE, Février 2010 On retrouve l ordre de grandeur : 1-3 quad /an d électricité soit 3-9 quad de pétrole = million tonnes pétrole
56 Economies d énergie Consommation énergétique 2014: 6 quad dont 25% électricité (origine nucléaire en grande partie) soit 1.5 quad Eclairage = 12% de l électricité = 0.18 quad /an Avec un remplacement partiel (2/3) par LED : gain possible de 0.09 quad / an (soit environ 1 Tonne d Uranium)
57 Economies d énergie Ce qui n a pas été pris en compte Une grande partie des pays développés à forte consommation en éclairage sont dans les zones tempérées: l énergie perdue par un éclairage non efficace est utilisée en chauffage Les économies d énergie seront donc plus faibles que prévu! Cible : éclairage extérieur + éclairage intérieur pays chauds (climatisation!)
58 y Plus blanc que blanc et moins blanc que blanc! green A2 B1 white B2 orange A3 0.1 blue A x Le blanc obtenu par mélange de bleu et jaune ne donne pas un bon rendu des couleurs, en particulier le rouge (couleur blafarde sous les lampes fluo!) IRC (Indice de rendu de couleur) de 0 à 100 (100 = incandescent) IRC<75 : mauvais (éclairage industriel) IRC: 75-90: acceptable, dépend des pays IRC>90: Bon
59 Plus blanc que blanc et moins blanc que blanc! Solution pour augmenter l IRC: ajouter des phosphores rouges! Prix à payer: Efficacité énergétique un peu plus faible. Source: Aurélien David, Soraa, USA
60 Plus blanc que blanc et moins blanc que blanc! En prime, on peut renforcer l émission dans le proche UV pour un blanc plus éclatant! Facteur sociologique. Source: Aurélien David, Soraa, USA
61 Facteurs sociologiques Avec le vieillissement, demande pour plus de lumen et une meilleure qualité de blanc
62 Facteurs sociologiques USA source DoE On privilégie les forts IRC! La mise à disposition d une technologie qui permet un meilleur confort modifie les usages! Au détriment de l énergie
63 Facteurs sociologiques
64 Facteurs sociologiques Effet rebond: stimulation du marché par l offre! Installation d éclairage nouveaux. Augmentation des flux lumineux.
65 Facteurs sociologiques Dans de nombreux domaines, l effet rebond a entraîné des augmentations de consommations (écran TV ou ordinateur de taille croissante). On commence à le voir dans l éclairage. La technologie ne peut pas résoudre tous les problèmes. Les usages ont autant (plus) d impact que les technologies sur le développement durable (exemple du co-voiturage)
66 Quelques belles réalisations! Grands programmes en Italie pour transformer l éclairage des villes historiques. Retour sur investissement économique et écologique en quelques années Venise
67 Chapelle Sixtine, Rome 7000 LED,consommation énergétique réduite de 60%, échauffement réduit de 50%
68 Chapelle Sixtine, Rome Nuance de blanc ajustable dans la journée pour reproduire le rythme journalier du soleil!
69 Conclusion Les LEDs pour l éclairage constitue une véritable révolution - Technologique - Energétique - Architecturale - Economique (nouveaux modèles) - Des usages (éclairage intelligent, LIFI, ) Le lien science / société est capital pour que les avantages potentiels en terme d écologie soient transformés en réalité (éviter l effet rebond)
DIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailGuide de l éclairage 1to1 energy Efficacité énergétique, confort et esthétique
Guide de l éclairage to energy Efficacité énergétique, confort et esthétique Sommaire Pour y voir plus clair 3 L essentiel en bref 4 Comparatif anciennes/nouvelles ampoules 6 Ampoules basse consommation
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailLAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL
LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailFICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE»
FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE» Sources : syndicat de l éclairage et CNIDEP A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales L éclairage a pour vocation : - D assurer de bonnes conditions de travail,
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailL énergie durable Pas que du vent!
L énergie durable Pas que du vent! Première partie Des chiffres, pas des adjectifs 9 Lumière S éclairer à la maison et au travail Les ampoules électriques les plus puissantes de la maison consomment 250
Plus en détailLampes à DEL EcoShine II Plus
Lampes à DEL EcoShine II Plus LAMPES POUR TABLETTE, RAIL et PAVILLON POUR COMPTOIRS MULTI-NIVEAUX, LIBRE-SERVICE ET DE PRODUITS SPÉCIALISÉS Une efficacité d éclairage maximale dans la vente d aliments
Plus en détailBien choisir son éclairage
L habitat AGIR! Bien choisir son éclairage Meilleur pour l environnement, moins coûteux pour vous et efficace partout Édition : février 2015 sommaire glossaire introduction De la lumière sans gaspillage....
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailLe remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur
Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur Un tube fluo de 1.500 mm et de 58 W consomme 68 W avec son ballast. Dans certains cas, il pourrait être
Plus en détailComparaison des performances d'éclairages
Comparaison des performances d'éclairages Présentation Support pour alimenter des ampoules de différentes classes d'efficacité énergétique: une ampoule LED, une ampoule fluorescente, une ampoule à incandescence
Plus en détailL'éclairage des tunnels par LED
NOTE D'INFORMATIONn 19 L'éclairage des tunnels par LED Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement Centre d'études des Tunnels www.cetu.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailPerformances et évolution des technologies LED
Performances et évolution des technologies LED Du composant à l application futur et perspectives Laurent MASSOL Expert AFE, président du centre régional Midi-Pyrénées de l AFE (Led Engineering Development)
Plus en détailHIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE
HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON LES AVANTAGES En comparant
Plus en détailMécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.
Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailBULLETIN L ACADÉMIE DES SCIENCES ET LETTRES MONTPELLIER
BULLETIN DE L ACADÉMIE DES SCIENCES ET LETTRES DE MONTPELLIER NOUVELLE SÉRIE TOME 39 ISSN 1146-7282 ANNÉE 2008 Académie des Sciences et Lettres de Montpellier 183 Séance du 26 mai 2008 Deux aspects des
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailLe LED permet-il réellement de réaliser des économies d'énergie? Le confort est-il assuré? Points d'attentions et cas vécus
Séminaire à Namur - le 24 octobre 2014 Le LED permet-il réellement de réaliser des économies d'énergie? Le confort est-il assuré? Points d'attentions et cas vécus Ingrid Van Steenbergen Consultante en
Plus en détailCircuits intégrés micro-ondes
Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailFORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)
Plus en détailÉclairage efficace : quoi choisir parmi les équipements sur le marché?
Éclairage efficace : quoi choisir parmi les équipements sur le marché? Patrick Martineau, ing. Colloque des gestionnaires techniques du logement social et communautaire 12 mars 2014 CONTENU DE LA PRÉSENTATION
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailNouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr
Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille
Plus en détailLes LEDs et les plantes
Les LEDs et les plantes Ing. Samuël Colasse 1, Ir. Julien Louvieaux 2,Dr. Thierry Marique 3 et Dr. Cécile Nanbru 4 L emploi des diodes luminescentes (ou LED pour «light emitting diode») devient de plus
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailLe nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement
Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble
Plus en détailD Utilisation des Spectromètres à CCD
D Utilisation des Spectromètres à CCD (de marque Ocean Optics, Avantes ou Getspec version USB2000 et USB650) I PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT DU SPECTROMETRE : La lumière à analyser est transmise au spectromètre
Plus en détailEclairage artificiel
Eclairage artificiel Directions de lumière Effets de la source Mise en Scène Mise en Valeur Eléments de Projet Directions de lumière La composition lumineuse d une scène suppose la maîtrise des directions
Plus en détailCaractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault
Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324
Plus en détailTP N 5 EDF, compteur
Données : Fichiers nécessaires pour le TP : http://tof225391.free.fr/forum (Entraide Index du Forum Electrotechnique 2AE Fichiers nécessaires pour les TP série 4 TP5 ). Présentation de la maison : Schéma
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailL'ÉCLAIRAGE : DOSSIER TECHNIQUE
L'ÉCLAIRAGE : DOSSIER TECHNIQUE Dernière révision du document : juillet 2012 L'éclairage d'un site de production ne fait pas toujours l'objet d'une attention particulière. Or, une installation d'éclairage
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailLA GAMME BRIO. KAUFEL Systèmes de sécurité KAUFEL, NOTRE EXPERTISE A VOTRE SERVICE
KAUFEL, NOTRE EXPERTISE A VOTRE SERVICE KAUFEL Systèmes de sécurité LA GAMME BRIO UNE GAMME UNIQUE POUR TOUTES VOS APPLICATIONS Des hommes, des produits et des références pour vous accompagner dans vos
Plus en détailContribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple
Comité National Français de Radioélectricité Scientifique Section française de l Union Radio Scientifique Internationale Siège social : Académie des Sciences, Quai de Conti Paris Journées scientifiques
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailLa recherche d'indices par fluorescence
La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes
Plus en détailEco. Plus chères à l'achat, les ampoules faible consommation se révèlent très économiques au bout de quelques mois...
Eco consommation La mairie ou la société de remontée mécanique veillent à limiter et à réduire leur consommation d énergie pour l éclairage des locaux et de la station. Grâce à des gestes simples et les
Plus en détailRecycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent!
Recycler mes lampes? Une idée lumineuse En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Prévu par deux règlements européens relatifs à l éco-conception des lampes, le retrait progressif
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détailÉCLAIRAGE INDUSTRIEL. EXCELLENTES PERFORMANCES POUR UNE FAIBLE CONSOMMATION D'ÉNERGIE.
ÉCLAIRAGE INDUSTRIEL. EXCELLENTES PERFORMANCES POUR UNE FAIBLE CONSOMMATION D'ÉNERGIE. 03 Introduction 04 05 Améliorer la motivation et la sécurité Présentation 06 07 Éclairage de façade Floodlight 3000
Plus en détailGuide pratique de l éclairage domestique pour un éclairage efficace et confortable
Guide pratique de l éclairage domestique pour un éclairage efficace et confortable Table des matières Pour y voir plus clair Applications classiques 3 Comparatif anciennes/nouvelles lampes 4 Lampes économiques
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détailÉlaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC)
Faculté Polytechnique Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Prof. André DECROLY Dr Abdoul Fatah KANTA andre.decroly@umons.ac.be Service de
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détailLivre blanc. Utilisation de diodes électroluminescentes en éclairage opératoire dentaire
Livre blanc Utilisation de diodes électroluminescentes en éclairage opératoire dentaire 2 Livre blanc A-dec Utilisation de diodes électroluminescentes en éclairage opératoire dentaire Table des matières
Plus en détailGesti0n de l éeclairage. Sommaire. Équipe de travail
Équipe de travail Matthieu Le Guen Jean-Paul Pruvost Pascal Pujades Sous la direction de : Marc Mahieu Merci à Jean-Michel Raynaud Année scolaire 2008-2009 Sommaire Page 1 : Présentation Page 2 : Consommation
Plus en détailLampes MASTER LED & Novallures Septembre 2011
Lampes MASTER LED & Novallures Septembre 2011 GU5.3 GU10 GU4 E27 B22 Aujourd hui, MASTER LEDlamps c est: La gamme la plus large du marché. Le plus large choix de culots et de formes disponibles sur le
Plus en détailINSTALLATIONS ÉLECTRIQUES CIVILES
index ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATIONS DL 2101ALA DL 2101ALF MODULES INTERRUPTEURS ET COMMUTATEURS DL 2101T02RM INTERRUPTEUR INTERMEDIAIRE DL 2101T04 COMMUTATEUR INTERMEDIAIRE
Plus en détailCATALOGUE 2010 SPOTS AMPOULES TUBES COMPACTLED
CATAOGUE 2010 SPOTS AMPOUES TUBES COMPTED Page 3 TUBES DF- MUTIED HAUTE PERFORMANCE Page 4 - Fiche technique Tube DF-MultiED HP Blanc chaud 3000 Page 5 - Fiche technique Tube DF-MultiED HP Blanc chaud
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailVers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE
Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE 1 Le nombre de logements dont la SWL et ses sociétés agréées sont propriétaires s élève à 101.242 ; le montant annuel des investissements
Plus en détailUne stratégie Bas Carbone
Colloque UFE - Mardi 17 juin 2014 Une stratégie Bas Carbone au service de la Transition énergétique Comment réussir la Transition énergétique à moindre coût? 1 12 Contexte A la veille de la présentation
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations
Plus en détailRenouvellement à 50000MW étalé sur 20 ans (2020-2040) rythme de construction nucléaire: 2500MW/an
L uranium dans le monde 1 Demande et production d Uranium en Occident U naturel extrait / année 40.000 tonnes Consommation mondiale : 65.000 tonnes La différence est prise sur les stocks constitués dans
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations
Plus en détailTP Détection d intrusion Sommaire
TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée
Plus en détailACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 HYGIENE ET SÉCURITÉ JUIN 2001 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène et de Sécurité Correspondant académique à la sécurité Tel : 02 38 79 46 64 Secrétariat
Plus en détailComment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET?
Comment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET? Décembre 2010 En 2009, Eco-Emballages, ELIPSO et Valorplast se sont associés pour conduire une étude d évaluation des impacts environnementaux
Plus en détailNom : Prénom :. Date :..Classe : 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX
2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX Objectif : Indiquer les règles de base de colorimétrie en coiffure (échelle de tons, reflets) LA COLORIMETRIE Du soleil nous parvient la lumière du
Plus en détailQuestionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie
Questionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie Edition: juillet 2013 SuperDrecksKësct B.P. 43 L-7701 olmar-berg Tel. : 00352 488 216 1 Fax : 00352
Plus en détailLe projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke. 11 décembre 2012
Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke 11 décembre 2012 Sherbrooke, ville sous les étoiles HISTORIQUE 2003 Création du Comité de lutte contre la pollution
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailGAMME UVILINE 9100 & 9400
GAMME UVILINE 9100 & 9400 SPECTROPHOTOMÈTRES UV & VISIBLE NOUVEAU Sipper avec effet peltier Une combinaison intelligente d innovations EXCELLENTE PRÉCISION DE MESURE GRÂCE À UNE OPTIQUE HAUT DE GAMME Gain
Plus en détailGuide de référence de L ÉCLAIRAGE
Guide de référence de L ÉCLAIRAGE CLAUSE DE NON-RESPONSABILITÉ : Ni CEA Technologies Inc., ni les auteurs, ni les commanditaires, ou toute autre personne agissant en leur nom, ne seront en aucun cas tenus
Plus en détailParrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies.
LUDIVINE TASSERY 1ere S 5 Parrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies. Lors de la seconde visite, Monsieur PAREIGE, nous a parlé des nanotechnologies et
Plus en détailLes avancées dans le domaine de l éclairage
Les avancées dans le domaine de l éclairage Patrick Martineau, ing. 27 e congrès de l AQME 9 mai 2013 CONTENU DE LA PRÉSENTATION Avancées technologiques Survol des technologies Évolution des normes en
Plus en détailINSTITUT INTERDISCIPLINAIRE D INNOVATION TECHNOLOGIQUE (3IT)
INSTITUT INTERDISCIPLINAIRE D INNOVATION TECHNOLOGIQUE (3IT) Conception, intégration et valorisation : des nanotechnologies aux systèmes et à leurs applications NOTRE VISION L INSTITUT INTERDISCIPLINAIRE
Plus en détail