La Laïcité à l école. Prix Littéraire Inspection Lille 1 Marcq
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- Aubin St-Amand
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1 La Laïcité à l école Prix Littéraire
2 La laïcité en questions et en réponses La laïcité est-elle hostile aux religions? La laïcité et la morale La laïcité et la citoyenneté
3 Pour une pédagogie de la laïcité, 2012 Préface Vincent Peillon «Le problème majeur auquel la laïcité est aujourd hui confrontée, c est, au-delà d un contestation qu il ne faut pas nier, l ignorance ou l incompréhension de son sens et de ses enjeux. Or, c est à l école -cette enceinte laïque et impartiale où l élève construit sa personnalité et son rapport aux autres- que la laïcité doit d abord être garantie; c est à l école qu elle doit se transmettre et s enseigner aux citoyens en devenir. Parce qu elle n est pas une option religieuse ou idéologique parmi d autres, mais le principe qui permet de les faire vivre toutes ensemble, la laïcité scolaire n est pas optionnelle. Elle est au cœur des missions de l Ecole, c est-a-dire au cœur des missions de chacun des personnels, agents de l Etat et du service public de l éducation, qui la font vivre et y enseignent. [ ] Comprendre que se dépouiller de ses signes religieux à l entrée de l école n est pas une entrave à la liberté mais la condition de sa réalisation, ne va pas de soi. Comprendre que la laïcité n est jamais dirigée contre l individu, contre la religion et encore moins contre une religion particulière, mais qu elle garantit l égal traitement de tous les élèves, l égale dignité de tous les citoyens, ne va pas de soi. Comprendre que la laïcité n est en aucun cas l intolérance ou l exclusion, mais le fondement du respect mutuel et de la fraternité, ne va pas de soi.»
4 La Laïcité au cœur des enseignements Dominique Borne, Doyen IGEN, 2004 «Pratiquer la laïcité c est montrer qu elle seule permet la coexistence des différences, c est surtout donner aux élèves les outils intellectuels qui leur permettent de la pratiquer dans un équilibre des droits et des devoirs. La laïcité augmente la liberté individuelle de chacun en fournissant les éléments nécessaires à son plein exercice, elle ne cherche pas à la réduire. Pratiquer la laïcité, ce n est pas exclure, c est au contraire faire entrer dans la République.»
5 Définitions Larousse Laïcité latin laicus, commun, du peuple (Laos) Conception et organisation de la société fondée sur la séparation de l Eglise et de l Etat et qui exclut les Églises de l'exercice de tout pouvoir politique ou administratif, et, en particulier, de l'organisation de l'enseignement. (Le principe de la laïcité de l'état est posé par l'article 1 er de la Constitution française de 1958.) Caractère de ce qui est laïque, indépendant des conceptions religieuses ou partisanes
6 La Laïcité est un idéal dont l originalité est qu il permet à tous, croyants ou athées, de vivre ensemble sans que les uns ou les autres soient stigmatisés en raison de leurs convictions particulières. Sa raison consiste à promouvoir ce qui est commun à tous les hommes, non à certains d entre eux. Définition d Henri PENA RUIZ
7 Place dans le Socle Commun, Avril 2015 Domaine 3 : la formation de la personne et du citoyen L'École a une responsabilité particulière dans la formation de l'élève en tant que personne et futur citoyen. Dans une démarche de coéducation, elle ne se substitue pas aux familles, mais elle a pour tâche de transmettre aux jeunes les valeurs fondamentales et les principes inscrits dans la Constitution de notre pays. Elle permet à l'élève d'acquérir la capacité à juger par lui -même, en même temps que le sentiment d'appartenance à la société. Ce faisant, elle permet à l'élève de développer dans les situations concrètes de la vie scolaire son aptitude à vivre de manière autonome, à participer activement à l'amélioration de la vie commune et à préparer son engagement en tant que citoyen. Ce domaine fait appel: - à l'apprentissage et à l'expérience des principes qui garantissent la liberté de tous, comme la liberté de conscience et d'expression, la tolérance réciproque, l'égalité, notamment entre les hommes et les femmes, le refus des discriminations, l'affirmation de la capacité à juger et agir par soi- même ; - à des connaissances et à la compréhension du sens du droit et de la loi, des règles qui permettent la participation à la vie collective et démocratique et de la notion d'intérêt général ; - à la connaissance, la compréhension mais aussi la mise en pratique du principe de laïcité, qui permet le déploiement du civisme et l'implication de chacun dans la vie sociale, dans le respect de la liberté de conscience. Ce domaine est mis en œuvre dans toutes les situations concrètes de la vie scolaire où connaissances et valeurs trouvent, en s'exerçant, les conditions d'un apprentissage permanent, qui procède par l'exemple, par l'appel à la sensibilité et à la conscience, par la mobilisation du vécu et par l'engagement de chacun
8 Modalités d enseignement Un volume horaire dédié qui correspond à celui du vivre ensemble au cycle 1 («Une école où les enfants vont apprendre ensemble et vivre ensemble»)et de «l instruction civique et morale» aux cycles 2 et 3 soient environ 80h annuelles.
9 Place dans les programmes, Maternelle, mars 2015 Une école où les enfants vont apprendre ensemble et vivre ensemble L école maternelle structure les apprentissages autour d un enjeu de formation central pour les enfants : «Apprendre ensemble et vivre ensemble». La classe et le groupe constituent une communauté d apprentissage qui établit les bases de la construction d une citoyenneté respectueuse des règles de la laïcité et ouverte sur la pluralité des cultures dans le monde. C est dans ce cadre que l enfant est appelé à devenir élève, de manière très progressive sur l ensemble du cycle. [ ] L école maternelle construit les conditions de l égalité, notamment entre les filles et les garçons. Apprendre en réfléchissant et en résolvant des problèmes Pour provoquer la réflexion des enfants, l enseignant les met face à des problèmes à leur portée. Quels que soient le domaine d apprentissage et le moment de vie de classe, il cible des situations, pose des questions ouvertes pour lesquelles les enfants n ont pas alors de réponse directement disponible. Mentalement, ils recoupent des situations, ils font appel à leurs connaissances, ils font l inventaire de possibles, ils sélectionnent. Ils tâtonnent et font des essais de réponse. L enseignant est attentif aux cheminements qui se manifestent par le langage ou en action ; il valorise les essais et suscite des discussions. Ces activités cognitives de haut niveau sont fondamentales pour donner aux enfants l envie d apprendre et les rendre autonomes intellectuellement. Se construire comme personne singulière au sein d un groupe Se construire comme personne singulière, c'est découvrir le rôle du groupe dans ses propres cheminements, participer à la réalisation de projets communs, apprendre à coopérer. C'est progressivement partager des tâches et prendre des initiatives et des responsabilités au sein du groupe. Par sa participation, l'enfant acquiert le goût des activités collectives, prend du plaisir à échanger et à confronter son point de vue à celui des autres. Il apprend les règles de la communication et de l échange. L enseignant a le souci de guider la réflexion collective pour que chacun puisse élargir sa propre manière de voir ou de penser. Ainsi, l enfant trouve sa Inspection place Lille dans 1 Marcq le groupe, se fait reconnaître comme une personne à part entière et éprouve le rôle des autres dans la construction des apprentissages.
10 Place dans les projets de programmes, Avril 2015, C2 Domaine 4: les systèmes naturels et les systèmes techniques Etayé par l enseignant, l élève s essaie à expérimenter, présenter la démarche suivie, expliquer, démontrer, exploiter et communiquer les résultats de mesures ou de recherches, la réponse au problème posé en utilisant un langage précis. Le discours produit est argumenté et prend appui sur des observations et des recherches et non sur des croyances. Cet enseignement développe une attitude raisonnée sur la connaissance, un comportement responsable vis à-vis des autres, de l environnement, de sa santé à travers des gestes simples et l acquisition de quelques règles simples d hygiène relatives à la propreté, à l alimentation et au sommeil, la connaissance et l utilisation de règles de sécurité simples. QUESTIONNER LE MONDE Dès l école maternelle les élèves explorent et observent le monde qui les entoure ; au cycle 2, ils vont apprendre à le questionner de manière plus précise. Les objectifs généraux de ce domaine d enseignement sont à la fois de permettre aux élèves de construire des connaissances nécessaires pour décrire et comprendre le monde qui les entoure mais aussi de contribuer à leur formation de citoyens. Les apprentissages, pensés de manière «spiralaire» et curriculaire, seront approfondis tout au long de la scolarité en convoquant des registres explicatifs de plus en plus élaborés et complexes.
11 Place dans les projets de programmes, Avril 2015, C3 SCIENCES ET TECHNOLOGIE L organisation et la progression des apprentissages au cours des différents cycles de la scolarité obligatoire est pensée de manière spiralaire et curriculaire. En effet, au cycle 2 les élèves sont d abord amenés à explorer, observer, questionner le monde qui les entoure. Les premières notions sont installées en s interrogeant sur le «comment?» des faits et des phénomènes observés alors qu aux cycles 3 et 4, ces savoirs seront revisités pour permettre de comprendre le «pourquoi». Pour y parvenir, au cycle 3, l élève poursuit ses observations et apprend à exploiter le réel et le concret. Il émet des hypothèses et comprend que l on peut les éprouver. La construction de savoirs, à travers la mise en œuvre de démarches scientifiques variées, lui permet de distinguer science, opinion et croyance.
12 BO, programme d enseignement moral et civique, juin 2015 Principes généraux Articulés aux finalités éducatives générales définies par la loi du 8 juillet 2013 d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République, les axes principaux du programme d'enseignement moral et civique de l'école élémentaire au lycée se fondent sur les principes et les valeurs inscrits dans les grandes déclarations des Droits de l'homme, la Convention internationale des droits de l'enfant et dans la Constitution de la Ve République. 1. L'éducation morale n'est pas du seul fait ni de la seule responsabilité de l'école ; elle commence dans la famille. L'enseignement moral et civique porte quant à lui sur les principes et valeurs nécessaires à la vie commune dans une société démocratique. Il se fait dans le cadre laïque qui est celui de la République et de l'école. Ce cadre impose de la part des personnels de l'éducation nationale une évidente obligation de neutralité, mais celle-ci ne doit pas conduire à une réticence, voire une abstention, dans l'affirmation des valeurs transmises. Les enseignants et les personnels d'éducation sont au contraire tenus de promouvoir ces valeurs dans tous les enseignements et dans toutes les dimensions de la vie scolaire. 2. Cet enseignement a pour objet de transmettre et de faire partager les valeurs de la République acceptées par tous, quelles que soient les convictions, les croyances ou les choix de vie personnels. Ce sont les valeurs et les normes impliquées par l'acte même d'éduquer telle qu'une école républicaine et laïque peut en former le projet. Elles supposent une école à la fois exigeante et bienveillante qui favorise l'estime de soi et la confiance en soi des élèves, conditions indispensables à la formation globale de leur personnalité. Cet enseignement requiert de l'enseignant une attitude à la fois compréhensive et ferme. À l'écoute de chacun, il encourage l'autonomie, l'esprit critique et de coopération. Il veille à éviter toute discrimination et toute dévalorisation entre élèves. 3. Les connaissances et compétences à faire acquérir ne sont pas juxtaposées les unes aux autres. Elles s'intègrent dans une culture qui leur donne sens et cohérence et développe les dispositions à agir de façon morale et civique. 4. L'enseignement moral et civique a pour but de favoriser le développement d'une aptitude à vivre ensemble dans une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Il met en œuvre quatre principes a)- penser et agir par soi-même et avec les autres et pouvoir argumenter ses positions et ses choix (principe d'autonomie) b)- comprendre le bien-fondé des normes et des règles régissant les comportements individuels et collectifs, les respecter et agir conformément à elles (principe de discipline) c)- reconnaître le pluralisme des opinions, des convictions, des croyances et des modes de vie (principe de la coexistence des libertés) ; d)- construire du lien social et politique (principe de la communauté des citoyens). 5. L'enseignement moral et civique privilégie la mise en activité des élèves. Il suppose une cohérence entre ses contenus et ses méthodes (discussion, argumentation, projets communs, coopération...). Il prend également appui sur les différentes instances qui permettent l'expression des élèves dans les écoles et les collèges.
13 Une approche modifiée Abandon du travail par maximes et adages au profit d une démarche d apprentissage méthodique et régulière à partir de supports diversifiés Textes de littérature Contes Documents Images Films Situations de la vie quotidienne
14 Des exemples de thèmes à travailler La liberté L égalité (garçon/fille, ) La solidarité La dignité La justice Le respect L absence de toute forme de discrimination - La différence - Le handicap -
15 Cadre réglementaire La laïcité est un principe de droit que les personnels de l Education nationale ont pour responsabilité de garantir. Leur mission s inscrit dans un cadre réglementaire que les quelques références qui suivent permettent de retracer. DDHC, 26 août 1789 Loi du 28 mars 1882 qui rend l enseignement primaire obligatoire, Loi Goblet du 30 octobre 1886 sur l organisation de l école primaire Loi du 09 décembre 1905 relative à la séparation des Eglises et de l Etat Constitution du 4 octobre 1958 Loi du 15 mars 2004 sur les signes religieux Circulaire n 21 du 27 mai 2004 Circulaire n 33 du 12 septembre 2013
16 DDHC 26 Aout 1789 Art. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi. Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
17 Loi du 28 mars 1882 Article premier, L enseignement primaire comprend : L instruction morale et civique ; La lecture et l écriture ; La langue et les éléments de la littérature française ; La géographie, particulièrement celle de la France ; L histoire, particulièrement celle de la France jusqu à nos jours ; Quelques leçons usuelles de droit et d économie politique ; Les éléments des sciences naturelles physiques et mathématiques, leurs applications à l agriculture, à l hygiène, aux arts industriels, travaux manuels et usage des outils des principaux métiers ; Les éléments du dessin, du modelage et de la musique ; La gymnastique ; Pour les garçons, les exercices militaires ; Pour les filles, les travaux à l aiguille. Article 2, Les écoles primaires publiques vaqueront un jour par semaine, en outre du dimanche, afin de permettre aux parents de faire donner, s ils le désirent, à leurs enfants, l instruction religieuse en dehors des édifices scolaires. L enseignement religieux est facultatif dans les écoles privées.
18 Loi Goblet du 30 octobre 1886 La loi Goblet du 30 octobre 1886 prolonge la loi de 1882, en confiant à un personnel exclusivement laïque l'enseignement dans les écoles publiques (article L du code de l'éducation). Elle redéfinit aussi l organisation de l enseignement primaire. Elle remplace les salles d asiles, qui assuraient la garde et l'éducation des enfants de 2 à 6 ans, par des écoles maternelles, tenues par des institutrices de même formation que les institutrices des écoles élémentaire (article 62). Ces écoles maternelles sont des établissements indépendants, mais la scolarisation maternelle peut être aussi assurée dans des classes enfantines rattachées aux écoles élémentaires. Les écoles primaires élémentaires scolarisent les enfants de 6 à 13 ans, c'est-à-dire durant la période de la scolarité alors obligatoire
19 Loi du 09 décembre 1905 Article 1 La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l'intérêt de l'ordre public. Article 2 La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du 1er janvier qui suivra la promulgation de la présente loi, seront supprimées des budgets de l'etat, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l'exercice des cultes. Pourront toutefois être inscrites auxdits budgets les dépenses relatives à des services d'aumônerie et destinées à assurer le libre exercice des cultes dans les établissements publics tels que lycées, collèges, écoles, hospices, asiles et prisons. Les établissements publics du culte sont supprimés, sous réserve des dispositions énoncées à l'article 3.
20 Constitution du 04 octobre 1958 Article 1 La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée. La loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu'aux responsabilités professionnelles et sociales. Article 2 La langue de la République est le français. L'emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge. L'hymne national est la "Marseillaise". La devise de la République est "Liberté, Egalité, Fraternité". Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
21 Loi du 15 mars 2004 Article 1 Il est inséré, dans le code de l'éducation, après l'article L , un article L ainsi rédigé : «Art. L Dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit. Le règlement intérieur rappelle que la mise en œuvre d'une procédure disciplinaire est précédée d'un dialogue avec l'élève.»
22 Circulaire n 21 du 27 mai 2004 RESPECT DE LA LAÏCITÉ Port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les écoles, collèges et lycées publics La loi du 15 mars 2004 encadrant, en application du principe de laïcité, le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les écoles, collèges et lycées publics, marque la volonté très largement partagée de réaffirmer l importance de ce principe indissociable des valeurs d égalité et de respect de l autre. Elle témoigne de la volonté des représentants de la Nation de conforter l école de la République. La présente circulaire précise les modalités d application de la loi du 15 mars 2004.
23 Circulaire n 21 du 27 mai 2004 Les principes La loi du 15 mars 2004 est prise en application du principe constitutionnel de laïcité qui est un des fondements de l école publique. Ce principe, fruit d une longue histoire, repose sur le respect de la liberté de conscience et sur l affirmation de valeurs communes qui fondent l unité nationale par-delà les appartenances particulières. L école a pour mission de transmettre les valeurs de la République parmi lesquelles l égale dignité de tous les êtres humains, l égalité entre les hommes et les femmes et la liberté de chacun y compris dans le choix de son mode de vie. Il appartient à l école de faire vivre ces valeurs, de développer et de conforter le libre arbitre de chacun, de garantir l égalité entre les élèves et de promouvoir une fraternité ouverte à tous. En protégeant l école des revendications communautaires, la loi conforte son rôle en faveur d un vouloir-vivre-ensemble. Elle doit le faire de manière d autant plus exigeante qu y sont accueillis principalement des enfants. L État est le protecteur de l exercice individuel et collectif de la liberté de conscience. La neutralité du service public est à cet égard un gage d égalité et de respect de l identité de chacun. En préservant les écoles, les collèges et les lycées publics, qui ont vocation à accueillir tous les enfants, qu ils soient croyants ou non croyants et quelles que soient leurs convictions religieuses ou philosophiques, des pressions qui peuvent résulter des manifestations ostensibles des appartenances religieuses, la loi garantit la liberté de conscience de chacun. [ ] Parce qu elle repose sur le respect des personnes et de leurs convictions, la laïcité ne se conçoit pas sans une lutte déterminée contre toutes les formes de discrimination. Les agents du service public de l éducation nationale doivent faire preuve de la plus grande vigilance et de la plus grande fermeté à l égard de toutes les formes de racisme ou de sexisme, de toutes les formes de violence faite à un individu en raison de son appartenance réelle ou supposée à un groupe ethnique ou religieux. Tout propos, tout comportement qui réduit l autre à une appartenance religieuse ou ethnique, à une nationalité (actuelle ou d origine), à une apparence physique, appelle une réponse. Selon les cas, cette réponse relève de l action pédagogique, disciplinaire, voire pénale. Elle doit être ferme et résolue dans tous les cas où un élève ou un autre membre de la communauté éducative est victime d une agression (qu elle soit physique ou verbale) en raison de son appartenance réelle ou supposée à un groupe donné. Parce que l intolérance et les préjugés se nourrissent de l ignorance, la laïcité suppose également une meilleure connaissance réciproque y compris en matière de religion. À cet égard, les enseignements dispensés peuvent tous contribuer à consolider les assises d une telle connaissance. De même, les activités de vivre ensemble à l école primaire, l éducation civique au collège ou l éducation civique, juridique et sociale au lycée constituent des moments privilégiés pour faire progresser la tolérance et le respect de l autre. Plus spécifiquement, les faits religieux, notamment quand ils sont des éléments explicites des programmes, comme c est le cas en français et en histoire, doivent être utilisés au mieux dans les enseignements pour apporter aux élèves les éléments de culture indispensables à la compréhension du monde contemporain.
24 Circulaire n 21 du 27 mai 2004 Aux termes du premier alinéa de l article L du code de l éducation, dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit. 2.1 La loi interdit les signes et les tenues qui manifestent ostensiblement une appartenance religieuse Les signes et tenues qui sont interdits sont ceux dont le port conduit à se faire immédiatement reconnaître par son appartenance religieuse tels que le voile islamique, quel que soit le nom qu on lui donne, la kippa ou une croix de dimension manifestement excessive. La loi est rédigée de manière à pouvoir s appliquer à toutes les religions et de manière à répondre à l apparition de nouveaux signes, voire à d éventuelles tentatives de contournement de la loi. La loi ne remet pas en cause le droit des élèves de porter des signes religieux discrets. Elle n interdit pas les accessoires et les tenues qui sont portés communément par des élèves en dehors de toute signification religieuse. En revanche, la loi interdit à un élève de se prévaloir du caractère religieux qu il y attacherait, par exemple, pour refuser de se conformer aux règles applicables à la tenue des élèves dans l établissement. 2.2 La loi s applique aux écoles, aux collèges et aux lycées publics La loi s applique à l ensemble des écoles et des établissements d enseignement scolaire publics. Dans les lycées, la loi s applique à l ensemble des élèves, y compris ceux qui sont inscrits dans des formations post-baccalauréat (classes préparatoires aux grandes écoles, sections de technicien supérieur). La loi s applique à l intérieur des écoles et des établissements et plus généralement à toutes les activités placées sous la responsabilité des établissements ou des enseignants y compris celles qui se déroulent en dehors de l enceinte de Inspection l établissement Lille 1 Marcq (sortie scolaire, cours d éducation physique et sportive...).
25 Circulaire n 21 du 27 mai La loi ne modifie pas les règles applicables aux agents du service public et aux parents d élèves Les agents contribuant au service public de l éducation, quels que soient leur fonction et leur statut, sont soumis à un strict devoir de neutralité qui leur interdit le port de tout signe d appartenance religieuse, même discret. Ils doivent également s abstenir de toute attitude qui pourrait être interprétée comme une marque d adhésion ou au contraire comme une critique à l égard d une croyance particulière. Ces règles sont connues et doivent être respectées. La loi ne concerne pas les parents d élèves. Elle ne s applique pas non plus aux candidats qui viennent passer les épreuves d un examen ou d un concours dans les locaux d un établissement public d enseignement et qui ne deviennent pas de ce seul fait des élèves de l enseignement public. Ceux-ci doivent toutefois se soumettre aux règles d organisation de l examen qui visent notamment à garantir le respect de l ordre et de la sécurité, à permettre la vérification de l identité des candidats ou à prévenir les risques de fraudes. 2.4 Les obligations qui découlent, pour les élèves, du respect du principe de laïcité ne se résument pas à la question des signes d appartenance religieuse La loi du 15 mars 2004 complète sur la question du port des signes d appartenance religieuse le corpus des règles qui garantissent le respect du principe de laïcité dans les écoles, collèges et lycées publics. Les convictions religieuses des élèves ne leur donnent pas le droit de s opposer à un enseignement. On ne peut admettre par exemple que certains élèves prétendent, au nom de considérations religieuses ou autres, contester le droit d un professeur, parce que c est un homme ou une femme, d enseigner certaines matières ou le droit d une personne n appartenant pas à leur confession de faire une présentation de tel ou tel fait historique ou religieux. Par ailleurs, si certains sujets appellent de la prudence dans la manière de les aborder, il convient d être ferme sur le principe selon lequel aucune question n est exclue a priori du questionnement scientifique et pédagogique. Les convictions religieuses ne sauraient non plus être opposées à l obligation d assiduité ni aux modalités d un examen. Les élèves doivent assister à l ensemble des cours inscrits à leur emploi du temps sans pouvoir refuser les matières qui leur paraîtraient contraires à leurs Inspection convictions. Lille 1 Marcq C est une obligation légale. Les convictions religieuses ne peuvent justifier un absentéisme sélectif par exemple en éducation physique et sportive ou en sciences de la vie et de la Terre.
26 Circulaire n 33 du 12 septembre 2013 Charte de la laïcité à l'école Valeurs et symboles de la République La Charte de la laïcité à l'école, dont le texte est annexé à cette circulaire, a été élaborée à l'intention des personnels, des élèves et de l'ensemble des membres de la communauté éducative. Dans un langage accessible à tous, cette Charte explicite les sens et enjeux du principe de laïcité à l'école, dans son rapport avec les autres valeurs et principes de la République. Elle offre ainsi un support privilégié pour enseigner, faire partager et faire respecter ces principes et ces valeurs, mission confiée à l'école par la Nation et réaffirmée dans la loi d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République du 8 juillet Adaptée aux spécificités de la mission éducative de l'école, la Charte de la laïcité à l'école vise à réaffirmer l'importance de ce principe indissociable des valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité exprimées par la devise de la République française. La laïcité souffre trop souvent de méconnaissance ou d'incompréhension. Ce texte permet d'en comprendre l'importance, comme garante à la fois des libertés individuelles et des valeurs communes d'une société qui dépasse et intègre ses différences pour construire ensemble son avenir. La laïcité doit être comprise comme une valeur positive d'émancipation et non pas comme une contrainte qui viendrait limiter les libertés individuelles. Elle n'est jamais dirigée contre des individus ou des religions, mais elle garantit l'égal traitement de tous les élèves et l'égale dignité de tous les citoyens. Elle est l'une des conditions essentielles du respect mutuel et de la fraternité. Ce texte s'attache aussi à montrer le rôle de l'école dans la transmission du sens et des enjeux de la laïcité. La transmission de ce principe par l'école est indispensable pour permettre l'exercice de la citoyenneté et l'épanouissement de la personnalité de chacun, dans le respect de l'égalité des droits et des convictions, et dans la conscience commune d'une fraternité partagée autour des principes fondateurs de notre République
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28 12 février 2015
29 Déclaration sur la promotion de l'éducation à la citoyenneté et aux valeurs communes de liberté, de tolérance et de non-discrimination, 12 février 2015 Nous, ministres en charge de l éducation, et commissaire pour l éducation, la culture, la jeunesse et le sport, déclarons : En réponse aux attaques terroristes qui ont frappé la France et le Danemark en ce début d année et en mémoire d atrocités similaires commises en Europe dans un passé récent, nous réaffirmons notre détermination à faire front, ensemble, afin d oeuvrer en faveur des valeurs fondamentales qui sont au cœur de l Union européenne : le respect de la dignité humaine, la liberté (notamment la liberté d expression), la démocratie, l égalité, l état de droit et le respect des droits de l Homme. Ces valeurs sont communes aux États membres dans une société européenne où prévalent le pluralisme, la non-discrimination, la tolérance, la justice, la solidarité et l égalité entre femmes et hommes. La mobilisation immédiate de nos pays a été exceptionnelle. Aujourd hui, une nouvelle étape doit être franchie. Nous pouvons être fiers en Europe d avoir su triompher des antagonismes du passé, mais nous devons à nouveau être à la hauteur des défis que sont la protection et le renforcement de cet esprit européen de liberté qui, en accord avec les valeurs de l Union, sait concilier esprit critique et respect de l autre. [ ] C est pourquoi nous appelons à redoubler d efforts afin de renforcer dès le plus jeune âge l enseignement et l appropriation de ces valeurs fondamentales, et de travailler à construire grâce à l éducation des sociétés plus inclusives. L objectif premier de l éducation n est pas seulement de transmettre des connaissances, des compétences, des savoir-être et des valeurs fondamentales. Il lui revient aussi d aider les jeunes, en lien étroit avec les parents et les familles, à devenir des membres de la société actifs, responsables et ouverts d esprit. La jeunesse incarne notre avenir. Il faut qu elle puisse le façonner. Nous devons unir nos forces pour prévenir et lutter contre la marginalisation, l intolérance, le racisme et la radicalisation, et pour l égalité des chances. Pour cela, nous pouvons à la fois nous appuyer sur le sens de l initiative et de l engagement des jeunes et réaffirmer les valeurs sur lesquelles nos démocraties sont fondées. C est Inspection un beau Lille et 1 Marcq grand défi qu il nous appartient de relever ensemble.
30 Déclaration sur la promotion de l'éducation à la citoyenneté et aux valeurs communes de liberté, de tolérance et de non-discrimination, 12 février 2015 Aux niveaux national, régional et local Nous nous engageons à intensifier nos actions dans le domaine de l éducation en vue de : - Conserver à l éducation toute sa dimension de formation de la personne et du citoyen, en transmettant les valeurs fondamentales et les principes qui constituent le socle de nos sociétés ; - Garantir à tous les jeunes une éducation inclusive qui combatte le racisme ainsi que tout type de discrimination, promeuve la citoyenneté et leur apprenne à comprendre et à accepter les différences d opinions, de convictions, de croyances et de modes de vie, tout en respectant l état de droit, la diversité et l égalité des genres ; - Renforcer les capacités d esprit critique et de jugement des jeunes afin qu ils soient en mesure, s agissant en particulier de l usage d Internet et des réseaux sociaux, de saisir la réalité, de distinguer les faits établis des opinions, de déceler ce qui relève de la propagande, de résister à toutes les formes d endoctrinement et aux discours de haine ; - Combattre les inégalités territoriales, sociales et scolaires ainsi que tous les déterminismes, moteurs de la désespérance et terreau des extrémismes, en transmettant à tous les jeunes les connaissances et les compétences nécessaires à la construction de leur avenir professionnel et à la réussite de leur vie en société, et en prenant des mesures pour réduire le décrochage scolaire et améliorer leur insertion sociale et professionnelle ; - Encourager le dialogue et la coopération entre tous les acteurs de l éducation, en particulier les parents, les familles et les structures associatives, et s appuyer sur le sens de l initiative et de l engagement des jeunes pour renforcer les liens sociaux et le sentiment d appartenance ; - Former Inspection et accompagner Lille 1 Marcq les enseignants afin de les rendre mieux à même de prendre position contre toutes les formes de discrimination et de racisme, d éduquer les jeunes aux médias, de répondre aux besoins d élèves issus d environnements divers, de transmettre des valeurs fondamentales communes, de prévenir et combattre le racisme et l intolérance
31 Ressources bibliographiques Pour une pédagogie de la laïcité à l école, Abdennour Bidar, 2012 La laïcité au cœur des enseignements, Dominique Borne, Doyen IGEN, septembre 2004, Eduscol
32 Merci
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