Quizz sur les prisons françaises
|
|
- Yves Delisle
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Quizz sur les prisons françaises 1- Combien de personnes sont incarcérées au 1 er juillet 2012? A. Environ B. Environ C. Environ D. Environ Parmi les personnes incarcérées, combien (en %) n ont pas été condamnées? A. 5 % B. 12 % C. 18 % D. 25 % 3- Au 1er juillet 2012, sur un total de personnes dites «sous écrou 1», combien de personnes bénéficient d un aménagement de peine? A. Environ B. Environ C. Environ L écrou est l acte juridique qui marque le fait qu une personne est placée dans un établissement pénitentiaire, sous la responsabilité de son directeur, à compter de telle date, sur la base de tel titre d écrou, pour tel motif (infractions poursuivies ou sanctionnées). Le placement sous écrou peut ne pas correspondre à une entrée en détention (Exemple, en France, pour le placement d un condamné sous surveillance électronique). Dans ce cas la personne est sous écrou, mais non détenue Surpopulation : combien de personnes (en %) sont détenues dans des prisons dont la densité carcérale est supérieure à 100%? A. 5 % B. 20 % C. 35 % D. 60 % 5- Quelle est la durée moyenne passée sous écrou (chiffres pour l'année 2012)? A. Environ 1 mois B. Environ 10 mois C. Environ 2 ans et demi D. Environ 7 ans 6- Quelles sont les différentes peines alternatives à la peine de prison? A. La permission de sortir, le travail d intérêt général, la libération conditionnelle. B. Les jours-amendes, le travail d intérêt général, le sursis. 7. Quels sont les aménagements de peine sous écrou? A. La permission de sortir, le placement extérieur, la semi-liberté, le placement sous surveillance électronique. B. Le travail d intérêt général, les joursamendes, la semi-liberté, le placement sous surveillance électronique. C. Les jours amendes, le suivi sociojudiciaire, le sursis, la libération conditionnelle. 1
2 8- Depuis quand le placement sous surveillance électronique existe-t-il? A B C D Quelles sont les peines avec levée d écrou 2? A. La permission de sortir et le placement sous surveillance électronique. B. Le travail d intérêt général et le placement sous surveillance électronique. C. Le suivi socio-judiciaire 10- Qui a dit que la prison devait être un dernier recours? A. Robert Badinter B. La loi pénitentiaire de C. Nelson Mandela. 11-Qu'entend-t-on par mesure alternative aux poursuites? A. Une mesure de remplacement aux poursuites pénales devant un tribunal. B. La décision d abandon de la recherche d une personne. 2 La levée d écrou résulte d un acte judiciaire (ordonnance de mise en liberté, ordonnance ou jugement d une juridiction d application des peines). Elle a lieu lors de : - la fin du placement en détention provisoire; - la fin de l exécution d une peine; - la libération conditionnelle Sur les 43 pays du Conseil de l'europe, à quel rang le budget de la justice (rapporté au PIB par habitant) se situe-t-il? A. Dans les dix premiers. B. Entre la dixième et la vingtième place. C. Entre la vingtième et la trentième place. D. Au-delà de la trentième place. 13- Dans l appel de Clairvaux, qui a demandé le retour à la peine de mort? A. Un groupe de personnalités politiques B. Un groupe de personnes détenues 14- Une personne détenue dont la mort semble prochaine est-elle automatiquement libérée? A. Oui. B. Non. 15- En maison d'arrêt, quel est le temps passé en moyenne en cellule sur une journée? A. Les cellules ne sont pas fermées. B. Les cellules sont fermées de 18h à 8h. C. Les personnes détenues passent en moyenne 18h sur 24h en cellule. D. Les personnes détenues passent en moyenne 22h sur 24h enfermés dans leurs cellules. 16- Selon les chiffres de l'administration Pénitentiaire, combien de personnes incarcérées se sont donné la mort en 2011? A. Moins de dix. B. Entre dix et cinquante. C. Entre cinquante et cent. D. Plus de cent. 2
3 Réponses 1. Réponse D personnes sont détenues au 1 er juillet 2012 en France. C est personnes de plus qu en janvier 2012 et de plus qu en janvier Le nombre de délits n a pas significativement augmenté pendant cette même période. 2. Réponse D 25,4% des personnes incarcérées en France n ont pas encore été condamnées par un Tribunal. Il y a ainsi aujourd hui «prévenus» pour personnes condamnées. 3. Réponse A. Au 1er juillet 2012, personnes bénéficient d'un aménagement de peine sous écrou, soit 20,6 % de l'ensemble des personnes écrouées condamnées. Les aménagements de peine ont progressé de 21 % en un an ( au 1er juillet 2011) et de 44,5 % en deux ans (8 728 au 1er juillet 2010). 4. Réponse D. En France, 59 % des personnes détenues sont emprisonnées dans des prisons surpeuplées. 39 % d entre elles sont détenues dans des prisons dont la densité carcérale est supérieure à 135 %. La surpopulation est particulièrement préoccupante dans les maisons d arrêt pour hommes et dans les prisons d outre-mer. 5. Réponse B. En France, la durée moyenne passée sous écrou en 2011 et de 9,8 mois. Cette durée moyenne a doublé en 40 ans puisqu elle était de 4,9 mois en Réponse B. Le sursis est une mesure accordée par une juridiction pénale qui dispense une personne condamnée d exécuter la peine dans sa globalité ou en partie. Si la personne fait l objet d une nouvelle condamnation à une peine d emprisonnement pour une nouvelle infraction commise pendant le délai d épreuve prévu par la loi, le sursis est révoqué et la peine est mise à exécution. Le travail d intérêt général (TIG) est une peine alternative à l'incarcération qui consiste en un travail non rémunéré au sein d'une association, d'une collectivité publique, d'un établissement public ou d'une personne morale de droit privé, chargée d'une mission de service public. Sa durée est comprise entre 20 et 210 heures. Enfin, la peine de jours-amende consiste pour la personne condamnée à «verser au Trésor public une somme dont le montant global résulte de la fixation par le juge d une contribution quotidienne». Un nombre de jours-amende (360 au maximum) est fixé par la condamnation, chaque jour «payé» venant remplacer une journée de prison. 7. Réponse A. Une permission de sortir est une autorisation d absence temporaire de l établissement pénitentiaire accordée à la personne condamnée par le juge de l application des peines. Le placement à l extérieur est un aménagement de peine sous écrou, qui permet à une personne 3
4 condamnée de bénéficier d un régime particulier de détention l autorisant à quitter l établissement pénitentiaire sous certaines conditions. Chaque jour, l activité terminée, la personne placée doit se rendre, selon la décision du juge de l'application des peines, soit dans les locaux d une association qui l héberge et l accompagne, soit au domicile d un proche ou à l établissement pénitentiaire. La semi-liberté est un aménagement de peine qui permet à une personne condamnée de bénéficier d un régime particulier de détention l autorisant à quitter l établissement pénitentiaire sous certaines conditions. Chaque jour, l activité terminée, la personne est incarcérée dans un centre de semi-liberté ou dans un quartier spécifique de l établissement pénitentiaire où elle est écrouée. Le placement sous surveillance électronique (PSE) ou «bracelet électronique» est une façon d'exécuter une peine de prison sans être incarcéré. Cette mesure repose sur le principe que la personne s'engage à rester à son domicile (ou chez quelqu'un qui l'héberge) à certaines heures fixées par le juge (par exemple de 19 h à 8 h du matin). La personne porte le bracelet à la cheville. Si elle sort de chez elle en dehors des heures fixées, un surveillant pénitentiaire est aussitôt averti par une alarme à distance. 8. Réponse C. Le bracelet magnétique ou «arrêt domiciliaire sous surveillance électronique», prévu par les lois du 19 décembre 1997 et du 15 juin 2000, est en place à titre expérimental depuis septembre Réponse C. Le suivi socio-judiciaire est généralement une peine complémentaire mais il peut être prononcé au titre de peine principale en matière de délit. Les mesures à respecter peuvent prendre différentes formes telles que l obligation de répondre aux convocations, de prévenir d'un changement d'adresse, l interdiction de fréquenter certains lieux ou les injonctions de soins. 10. Réponse B. Le projet de loi pénitentiaire du 24 novembre 2009, dans son titre II, poursuit deux objectifs : réduire le nombre de peines d emprisonnement prononcées (la prison doit être «l ultime recours») et diminuer la durée des peines de prison exécutées en multipliant les possibilités de libérations anticipées. Paradoxalement la loi du 27 mars 2012 de programmation relative à l'exécution des peines prévoit la construction de places supplémentaires de prison et l ouverture d établissements pour l exécution des courtes peines. 11. Réponse A. Il s agit de mesures prises par le procureur de la République dans un souci d assurer la réparation du dommage ou de mettre fin aux troubles résultant de l infraction. Il peut s'agir par exemple d'un simple rappel à la loi, de la régularisation de la situation par l auteur des faits ou encore de l éviction du domicile conjugal du conjoint violent. 12. Réponse D. D'après une étude de 2010 de la Commission Européenne pour l'efficacité de la Justice (CEPEJ), la France est au 37 ème rang sur 43 pays en termes de budget public annuel total alloué au système judiciaire. A titre d'exemple la France ne compte que 3 procureurs pour habitants contre une moyenne de 10,4 pour le reste des pays du Conseil de l'europe. 4
5 13. Réponse B. Dans un communiqué datant du 16 janvier 2006, 10 personnes incarcérées au centre pénitencier de Clairvaux ont réclamé «la fin de l'hypocrisie» et demandé, pour elles-mêmes, le rétablissement de la peine de mort, tant leur peine de réclusion criminelle à perpétuité était insupportable. La comparaison du vécu des très longs séjours en détention à la peine de mort est d ailleurs régulièrement mise en avant par les personnes détenues. 14. Réponse B. Deux expertises médicales doivent établir que la personne détenue souffre d une pathologie engageant le pronostic vital ou que son état de santé est durablement incompatible avec le maintien en détention (hors les cas d hospitalisation des personnes détenues pour troubles mentaux). Pour que la décision de libération, si elle est positive, puisse être effective, la personne doit disposer d'un hébergement, ce qui est loin d'être toujours le cas. La loi Kouchner exposée ci-avant n'est donc appliquée que très rarement. 15. Réponse D. Les personnes détenues passent en moyenne 22h sur 24h enfermées dans leurs cellules. 16. Réponse D. Les chiffres de suicide sont éloquents: en 2011 on comptabilise 116 décès en détention, auxquels s'ajoutent 7 suicides hors détention (bracelet électronique). Le taux de suicide est en moyenne 7 fois plus important en détention que dans le reste de la population française. Selon une étude de l'inserm ( ), le taux de suicide des surveillants pénitentiaires est également sensiblement supérieur à celui de la population française (+ 31%) 5
l L immense majorité des condamnations concernent des délits
Prévention de la récidive et individualisation des peines Chiffres-clés Juin 2014 Les condamnations En 2012, environ 900 000 infractions ont donné lieu à environ 600 000 condamnations pénales prononcées
Plus en détail«La prison est la seule solution pour préserver la société.»
«La prison est la seule solution pour préserver la société.» Nous n enfermons rien d autre en prison qu une partie de nous-mêmes, comme d autres abandonnent sur le bord de la route leurs souvenirs encombrants
Plus en détail1. Informations générales 124
L Accès au droit, LE recours et LES requêtes 122 11_4 4 Contrôles extérieurs des conditions de détention Le Comité de prévention de la torture et des traitements inhumains et dégradants (CPT) Le CPT est
Plus en détailACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? SANCTIONNER AUTREMENT. Et si la prison n était pas toujours la solution?
ACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? SANCTIONNER AUTREMENT Et si la prison n était pas toujours la solution? ACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? ACAT-France.
Plus en détailA. Recommandations générales
Lettre de la FARAPEJ n 4 Décembre 2008 Le Conseil d administration de la FARAPEJ 13 décembre 2008 recommande vivement la lecture de : Synthèse des recommandation de la Commission Nationale Consultative
Plus en détailTextes abrogés : Notes de l administration pénitentiaire du 15 juillet 2002 et 29 mars 2004 Circulaire AP9206GA3 du 26 novembre 1992
7 avril 2005 Procureurs généraux près les cours d'appel - Procureurs de la République près les tribunaux de grande instance - Directeurs régionaux des services pénitentiaires - Directeur régional, chef
Plus en détailDISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION
DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a
Plus en détailProcédures. L extrait de casier judiciaire
Vos droits Institutions Acteurs Procédures L extrait de casier judiciaire F i c h e P r a t i q u e Qu est-ce que le casier judiciaire? Le casier judiciaire conserve les condamnations prononcées par les
Plus en détailAllocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe
SEUL LE PRONONCE FAIT FOI! 17.06.2014 Allocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe 19 e Conférence du Conseil
Plus en détailDirection de l administration pénitentiaire Le placement sous surveillance électronique mobile
Direction de l administration pénitentiaire Le placement sous surveillance électronique mobile Sous-direction des personnes placées sous main de justice (PMJ) Pôle PSEM Septembre 2007 Le placement sous
Plus en détailTextes de référence : Table des matières
Les alternatives aux peines d'emprisonnement et le Juge d'application des peines au Niger Textes de référence :! Code pénal du NIGER, Niamey1993.! Code de procédure pénale du NIGER.! Décret n 96-069 du
Plus en détailGUIDE METHODOLOGIQUE. Guide du Travail d Intérêt Général (T.I.G.) MAI 2011
GUIDE METHODOLOGIQUE Guide du Travail d Intérêt Général (T.I.G.) MAI 2011 Introduit il y a plus de 25 ans dans notre système pénal, le travail d intérêt général (TIG) apparaît plus que jamais comme une
Plus en détailEn devenant majeur-e, vous devenez responsable de vos actes, c est-à-dire que vous en mesurez toutes les conséquences.
3La responsabilité La responsabilité civile La responsabilité pénale La procédure judiciaire applicable La protection judiciaire pour les jeunes majeurs En devenant majeur-e, vous devenez responsable de
Plus en détailSéries statistiques des personnes placées sous main de justice
Direction de l administration pénitentiaire Séries statistiques des personnes placées sous main de justice 1980-2014 Sous-direction des personnes placées sous main de justice Bureau des études et de la
Plus en détail2. Le placement sous surveillance. électronique mobile 162 3. La rétention de sûreté 164
13 Les mesures de sûreté 1. La surveillance judiciaire 160 2. Le placement sous surveillance électronique mobile 162 3. La rétention de sûreté 164 4. La surveillance de sûreté 167 5. L inscription au fichier
Plus en détailLOI N 2006-01 portant Code des Postes
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,
Plus en détailGroupe de travail Santé Justice. «Aménagements et suspensions de peine pour raison médicale»
Groupe de travail Santé Justice «Aménagements et suspensions de peine pour raison médicale» RAPPORT à Madame la Garde des sceaux, Ministre de la Justice, Madame la ministre des Affaires sociales et de
Plus en détailN 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI
N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 DOUZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 25 mai 2005. PROPOSITION DE LOI abrogeant l article 434-7-2 du code
Plus en détailLA RESPONSABILITE PROFESSIONNELLE DE L INFIRMIER(E) Laurence VENCHIARUTTI, Infirmière Libérale, Expert infirmier, Nantes
LA RESPONSABILITE PROFESSIONNELLE DE L INFIRMIER(E) Laurence VENCHIARUTTI, Infirmière Libérale, Expert infirmier, Nantes La profession infirmière Elle est protégée par le Code de la santé publique. L exercice
Plus en détailBAREME INDICATIF DES HONORAIRES
BAREME INDICATIF DES HONORAIRES Tarifs applicables à compter du 01/01/2014 Maitre MAIRET Christophe Avocat 1 Sommaire Notice du barème p.03 Consultations et postulations p.04 Droit Civil p.05 Droit du
Plus en détailDétenu, emprisonné, mis sous garde; quelles sont les règles concernant nos adolescents?
Détenu, emprisonné, mis sous garde; quelles sont les règles concernant nos adolescents? Amélie St-Denis, avocate Congrès de l Association des jeunes barreaux du Québec 22 mai 2015 Au-delà du procès et
Plus en détailEncellulement Individuel Faire de la prison un outil de justice
Encellulement Individuel Faire de la prison un outil de justice Dominique RAIMBOURG Député de Loire Atlantique Vice président de la Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l administration
Plus en détailTABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28
Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions
Plus en détailLe budget. de la. Justice
Le budget de la Justice 2009 Ministère de la Justice, 13 place Vendôme, 75001 Paris Maquette : Secrétariat Général - SDAC - DICOM Crédits photographiques : Caroline Montagné (DICOM) - Pierrette Nivet (SCERI)
Plus en détailEmplacement de la photo d ouverture du domaine
FORMATION INITIATEUR Emplacement de la photo d ouverture du domaine Commission pédagogique de la Direction Technique Nationale 28/11/03 Une dimension morale «Être responsable» c est accepter et subir,
Plus en détailTRIBUNAL DE POLICE ET SANCTIONS PENALES : PEINES PRINCIPALES, SUBSIDIAIRES & ACCESSOIRES
TRIBUNAL DE POLICE ET SANCTIONS PENALES : PEINES PRINCIPALES, SUBSIDIAIRES & ACCESSOIRES Adrien MASSET Avocat Professeur U.Lg Le 26.01.2012 Jeune Barreau de Verviers Voir notre étude in Chronique de droit
Plus en détailMinistère des Affaires sociales et de la Santé
1 Direction générale de la cohésion sociale Sous-direction de l inclusion sociale, de l insertion et de la lutte contre la pauvreté Bureau des minima sociaux Personne chargée du dossier : Nadia SIMON Ronan
Plus en détailSURVEILLANCE ÉLECTRONIQUE
Strasbourg, 21 juin 2012 pc-cp\docs 2012\pc-cp (2012) 7 f rév PC-CP (2012) 7 rév COMITÉ EUROPÉEN POUR LES PROBLÈMES CRIMINELS (CDPC) Conseil de coopération pénologique (PC-CP) CHAMP D APPLICATION ET DÉFINITIONS
Plus en détailLes articles modifiés par la loi Macron au 30 janvier 2015
Les articles modifiés par la loi Macron au 30 janvier 2015 Pour faciliter lecture, les textes nouveaux ou ajouts à des textes existants figurent en bleu, les suppressions en rouge. Les textes en noir ne
Plus en détailResponsabilité pénale de l association
Responsabilité pénale de l association Infractions limitativement définies : Le code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales à raison des infractions réalisées pour leur compte et
Plus en détailLES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE. Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris
LES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris 2 DEFINITION La lutte contre les violences faites aux femmes s'inscrit
Plus en détailL ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs
L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite
Plus en détailRencontre des hautes juridictions de France et d Israël. Séminaire du 23 mai 2011 à la Cour de cassation. L exécution des décisions de justice
1/36 Rencontre des hautes juridictions de France et d Israël Séminaire du 23 mai 2011 à la Cour de cassation L exécution des décisions de justice L EXECUTION DES DECISIONS PENALES Dans son Traité des délits
Plus en détailVous divorcez, vous vous séparez?
Service Com&Doc - Crédit image : drx - Fotolia.com - Imprimerie Caf35 - Mars 2014 Vous divorcez, vous vous séparez? 5 questions pour mieux comprendre Vous informer et vous aider dans vos démarches Vous
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 100 (1 er octobre au 31 décembre 2005)
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 100 (1 er octobre au 31 décembre 2005) 4 Circulaires de la direction de l'administration pénitentiaire Signalisation des circulaires du 1 er octobre au 31
Plus en détailavant-propos Goodshot : Business and Euro Photo Alto : Crowds by Frédéric Cirou Corbis : Crime and Justice
Vous êtes condamné avant-propos Vous êtes condamné par le juge. Selon la nature des faits qui vous ont été imputés et des circonstances dans lesquelles ils ont été commis, le juge peut vous infliger une
Plus en détailIntervention d Isabelle AMIOT Chargée de mission auprès de l IA-IPR (8h05-8h10)
STAGE «LA JUSTICE EN NOUVELLE-CALÉDONIE» Éducation civique jeudi 11 octobre 2012 Lieu : salle 120 (Vice Rectorat imm. Flize) Horaires : 08h00-11h15 13h00-16h00 Établissements représentés (25 enseignants)
Plus en détailLes violences conjugales
MINISTÈRE le point sur Femmes/égalité Lutte contre les violences envers les femmes Les violences conjugales Les victimes de violences craignent le plus souvent de s exprimer. Paralysées par la peur, une
Plus en détailLa responsabilité pénale dans l entreprise
La responsabilité pénale dans l entreprise PLATO Le Lieu : CCI Granville. 1 Plan de l intervention Déterminer les zones de risques pénales dans l entreprise. Qui peut voir sa responsabilité pénale engagée?
Plus en détailIntroduction au droit La responsabilité professionnelle
Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige
Plus en détailORDINE DEGLI AVVOCATI D IVREA
ORDINE DEGLI AVVOCATI D IVREA Introduction Les italiens divorcent depuis peu de temps. En effet le divorce a été introduit dans la législation italienne par la loi n 898 du 1er décembre 1970 sur la dissolution
Plus en détailLA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX
LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX Par Michel LEDOUX Avocat Associé CABINET MICHEL LEDOUX ET ASSOCIES 10 RUE PORTALIS 75008 PARIS Tél : 01.44.90.98.98
Plus en détailRAPPORT Pour renforcer l efficacité de l exécution des peines
RAPPORT Pour renforcer l efficacité de l exécution des peines PRÉSENTÉ par M. Eric CIOTTI Député en conclusion des travaux d une mission confiée par Monsieur le Président de la République. 1 «La certitude
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE ET DES LIBERTÉS Décret n o 2010-148 du 16 février 2010 portant application de la loi organique n o 2009-1523 du 10 décembre 2009 relative
Plus en détailDemande d avis n/ C 14-70.001 ( Juge de l application des peines du tribunal de grande instance de Créteil, 23 décembre 2013 ) RAPPORT
COUR DE CASSATION Demande d avis n/ C 14-70.001 ( Juge de l application des peines du tribunal de grande instance de Créteil, 23 décembre 2013 ) Audience : 7 avril 2014 Rapporteur : Benoît Laurent, conseiller
Plus en détail- La mise en cause d une personne déterminée qui, même si elle n'est pas expressément nommée, peut être clairement identifiée ;
E-réputation : la poursuite et les sanctions des propos injurieux ou diffamatoires sur internet Article juridique publié le 15/07/2014, vu 4483 fois, Auteur : MAITRE ANTHONY BEM L'injure et la diffamation
Plus en détailPRINCIPES GENERAUX ET CRITERES ORDINAUX D APPLICATION DE L ARTICLE L.4113-6 DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE
21/06/2007 PRINCIPES GENERAUX ET CRITERES ORDINAUX D APPLICATION DE L ARTICLE L.4113-6 DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE I PRINCIPES GENERAUX L article L 4113-6 du CSP pose le principe d une interdiction pour
Plus en détailN 3038 ASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI
N 3038 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 19 août 2015. PROJET DE LOI ratifiant l ordonnance n 2015-380 du
Plus en détailDéclaration de Lilongwe sur l accès à l assistance juridique dans le système pénal en Afrique
Déclaration de Lilongwe sur l accès à l assistance juridique dans le système pénal en Afrique Conférence sur l assistance judiciaire dans le système pénal : le rôle des avocats, nonavocats et autres acteurs
Plus en détailOrientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action
Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres
Plus en détailJean Juliot Domingues Almeida Nicolas. Veille Juridique [LA RESPONSABILITE DES ADMINISTRATEURS SYSTEMES ET RESEAUX]
2014 Jean Juliot Domingues Almeida Nicolas Veille Juridique [LA RESPONSABILITE DES ADMINISTRATEURS SYSTEMES ET RESEAUX] S O M M A I R E Définition de l administrateur systèmes et réseau........... 3 Administrateur
Plus en détailLa responsabilité juridique des soignants
La responsabilité juridique des soignants Les soignants, face à des conditions de travail parfois difficiles et aux aléas de la médecine, songent plus souvent aux risques thérapeutiques qu aux risques
Plus en détailLA SURVEILLANCE ÉLECTRONIQUE: UNE RÉELLE INNOVATION DANS LE PROCÈS PÉNAL?
JEAN CERE 105 LA SURVEILLANCE ÉLECTRONIQUE: UNE RÉELLE INNOVATION DANS LE PROCÈS PÉNAL? Jean-Paul Céré * RESUMO: O monitoramento eletrônico é uma inovação tecnológica que toca muitas fases do processo
Plus en détailCongo. Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Congo
Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Loi n 19-2005 du 24 novembre 2005 Titre 1 - Dispositions générales Art.1.- La présente loi définit les conditions d exercice
Plus en détailLes chiffres clés de la Justice 2013
Les chiffres clés de la Justice 2013 Directeur de la publication Benjamin Camus Sous-directeur de la Statistique et des Études Coordination Thérèse Ferré Réalisation Faustine Busch - Marie-Dominique Minne
Plus en détailPRISE EN CHARGE SANITAIRE DES PERSONNES PLACÉES SOUS MAIN DE JUSTICE PRISE EN CHARGE SANITAIRE DES PERSONNES PLACÉES SOUS MAIN DE JUSTICE
GUIDE MÉTHODOLOGIQUE PRISE EN CHARGE SANITAIRE DES PERSONNES PLACÉES SOUS MAIN DE JUSTICE La première version de ce guide éditée en décembre 1994 avait pour objectif d accompagner la mise en place de la
Plus en détailCOUPABLE D ETRE IRRESPONSABLE A propos de la réforme des procédures de déclaration d irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental
1 COUPABLE D ETRE IRRESPONSABLE A propos de la réforme des procédures de déclaration d irresponsabilité pénale pour cause de trouble mental La loi du 25 février 2008 instaurant la rétention de sureté,
Plus en détailLa Justice et vous. Les acteurs de la Justice. Les institutions. S informer. Justice pratique. Vous êtes victime. Ministère de la Justice
La Justice et vous Les acteurs de la Justice Les institutions S informer Justice pratique Ministère de la Justice Vous êtes victime Vous pouvez, en tant que victime d une infraction, déposer une plainte
Plus en détail(BON. 1930 du 21-10-1949) (BON. 2039 du 23-11-1951) Que l on sache par les présentes puisse Dieu en élever et en fortifier la teneur!
Dahir du 5 kaada 1368 (30 août 1949) relatif à la répression des infractions à la réglementation des changes, tel qu il à été modifié et complété par le dahir du 25 moharrem 1371 (27octobre 1951). LOUANGE
Plus en détailMESURES CARCÉRALES ET MESURES NON PRIVATIVES DE LIBERTÉ. Détention avant jugement
MESURES CARCÉRALES ET MESURES NON PRIVATIVES DE LIBERTÉ Détention avant jugement Compilation d'outils d'évaluation de la justice pénale 2 NATIONS UNIES OFFICE CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne MESURES
Plus en détailI. PRINCIPES FONDAMENTAUX
I. PRINCIPES FONDAMENTAUX Règle 1. Les personnes privées de liberté doivent être traitées dans le respect des droits de l homme. La question des droits de l homme se pose inévitablement en cas de recours
Plus en détailLA REBELLION. a) il faut que l'agent ait agi dans l'exercice de ses fonctions.
LA REBELLION La rébellion est le fait de s'opposer violemment aux fonctionnaires et officiers publics qui agissent pour l'exécution et l'application des lois. I - ELEMENTS CONSTITUTIFS A - L ELEMENT LEGAL
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE ET DES LIBERTÉS
Circulaire du 6 juillet 2011 relative à la présentation des dispositions de droit pénal et de procédure pénale relatives à la lutte contre la violence routière résultant de la loi n 2011-267 du 14 mars
Plus en détailLes victimes et auteur-e (s) de violences domestiques dans la procédure pénale
Les victimes et auteur-e (s) de violences domestiques dans la procédure pénale (Le contenu de cette présentation n engage pas le Ministère public) 1 Objectifs et plan I. Tour d horizon des différentes
Plus en détailCONDITIONS PARTICULIERES DES OFFRES 100% GRATUITES
CONDITIONS PARTICULIERES DES OFFRES 100% GRATUITES Les présentes conditions particulières d enregistrement, de renouvellement et de transfert de noms de domaine (ci-après les «CPV») forment un contrat
Plus en détailDossier pratique n 6
Dossier pratique n 6 Internet, mineurs et législation Contributeurs : Action Innocence France et Maître Ségolène Rouillé-Mirza, Avocate au Barreau de Paris - Mai 2010 www.actioninnocence.org france@actioninnocence.org
Plus en détailcomparante par Maître MILLIARD, avocat au barreau de NOUMÉA,
TRIBUNAL DU TRAVAIL DE NOUMÉA N 06/00232 Président : M. THIBAULT RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS Greffier : Brigitte LAPORTE Jugement du 20 Avril 2007 PARTIES EN CAUSE : DEMANDERESSE : -
Plus en détailLES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT. Formation AVS Janvier 2013
LES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Formation AVS Janvier 2013 LES RESPONSABILITES GENERALES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Les responsabilités des agents publics de l État sont de trois ordres:
Plus en détailConvention. Assurance Protection Juridique de Generali Belgium SA
Convention La durée du contrat est fixée aux conditions particulières. Elle ne peut excéder un an. A chaque échéance annuelle, le contrat est reconduit tacitement pour des périodes consécutives d un an.
Plus en détailRESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL
RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL 02/06/2015 En matière de droit du travail, la responsabilité de l employeur peut être engagée dans de nombreuses situations que nous allons examiner ci-dessous.
Plus en détailJE SUIS PRISON Guide du détenu arrivant 3e édition
JE SUIS EN PRISON Guide du détenu arrivant 3 e édition Sommaire Je suis incarcéré Je suis incarcérée Je suis mineur incarcéré Écrire à ma famille Téléphoner Obtenir un avocat Réduire ma peine Ma situation
Plus en détailRECUEIL DE LEGISLATION. A N 130 11 août 2010. S o m m a i r e MISE SUR LE MARCHÉ DES DÉTERGENTS
MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 2157 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 130 11 août 2010 S o m m a i r e MISE SUR LE MARCHÉ DES DÉTERGENTS
Plus en détailIntroduction. Une infraction est un comportement interdit par la loi pénale et sanctionné d une peine prévue par celle-ci. (1)
Vous êtes victime Introduction Vous avez été victime d une infraction (1). C est un événement traumatisant et vous vous posez sûrement de nombreuses questions : Quels sont mes droits? Que dois-je faire
Plus en détailCONTENTIEUX JUDICIAIRE DU PERMIS DE CONSTRUIRE
II. CONTENTIEUX JUDICIAIRE DU PERMIS DE CONSTRUIRE Il convient de rappeler que le permis de construire est un acte administratif individuel. Il ne peut pas être apprécié ni interprété par un Tribunal civil.
Plus en détailEn savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr www.permisdeconduire.gouv.fr
En savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr www.permisdeconduire.gouv.fr Délégation à la sécurité et à la circulation routières Place des Degrés Tour Pascal B 92055 LA Défense Cedex Délégation à la sécurité
Plus en détailLe divorce. Procédures
Vos droits Institutions Acteurs F i c h e P r a t i q u e Le divorce Procédures Le divorce Les procédures de divorce sont aujourd hui pacifiées et simplifiées. Toutefois, les conséquences restent les mêmes
Plus en détailLe Garde des Sceaux, Ministre de la Justice
MINISTÈRE DE LA JUSTICE DIRECTION DES AFFAIRES CRIMINELLES ET DES GRACES SOUS-DIRECTION DE LA JUSTICE PENALE GENERALE Bureau de la législation pénale générale Circulaire du 2 septembre 2004 Date d application
Plus en détailLoi n 1.162 du 7 juillet 1993 relative à la participation des organismes financiers à la lutte contre le blanchiment de capitaux
PRINCIPAUTÉ DE MONACO Loi n 1.162 du 7 juillet 1993 relative à la participation des organismes financiers à la lutte contre le blanchiment de capitaux RAINIER III PAR LA GRACE DE DIEU PRINCE SOUVERAIN
Plus en détailL Assemblée Nationale a délibéré et adopté en sa séance du 14 décembre 1996 1995 ;
Loi n 96-022/ Régissant la mutualité en République du Mali. L Assemblée Nationale a délibéré et adopté en sa séance du 14 décembre 1996 1995 ; Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur
Plus en détailVotre droit au français
Votre droit au français République française dans le monde du travail > Vous êtes salarié d une entreprise : vous avez un droit imprescriptible à vous exprimer et à recevoir une information en français.
Plus en détailLutter contre l habitat indigne : Guide pénal
Lutter contre l habitat indigne : Guide pénal 1 er septembre 2011 Ministère de l Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement Délégation à l hébergement et à l accès au logement www.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailComment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent?
Comment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent? Lorsque l enfant vit au domicile de l un de ces parents, ce qui est,
Plus en détailjeunesse Catégorie : Mesures d organisation retenues par les ministres pour la mise en œuvre des dispositions dont il s agit.
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DE LA JUSTICE Direction générale de l offre de soins Direction générale de la santé Direction générale de la cohésion sociale Direction de la sécurité
Plus en détailNomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein
Enseignants associés Référence : décret n 85-733 du 17 juillet 1985 modifié décret n 2007-772 du 10 mai 2007 et arrêté du 10 mai 2007 Le régime de l association régi par le décret n 85-733 du 17 juillet
Plus en détailSection 4 bis - Des crimes qualifiés d actes terroristes ou subversifs 87 bis - 87 bis 10 31-34
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE Secrétariat Général du Gouvernement Année 2015 SOMMAIRE INTITULE Articles Page PREMIERE PARTIE PRINCIPES GENERAUX 1-60 bis 1
Plus en détailLICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL ACOUBAT SOUND VERSION 7
03 Juin 2014 LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL ACOUBAT SOUND VERSION 7 La présente licence d utilisation du Logiciel ACOUBAT SOUND VERSION 7 est téléchargeable à tout moment et gratuitement sur le site
Plus en détailCOURTIER EN ASSURANCE I. CONDITIONS REQUISES. A. Age et nationalité 23/07/2012
COURTIER EN ASSURANCE 23/07/2012 Le courtier d assurance est un commerçant qui fait à titre principal des actes d entremise dont le caractère est commercial. A ce titre, il doit s inscrire au Registre
Plus en détail(juillet 2007) En France en 2007 il est préférable de tuer une petite vieille que de ne pas payer ses contraventions de stationnement
(juillet 2007) En France en 2007 il est préférable de tuer une petite vieille que de ne pas payer ses contraventions de stationnement Cette phrase, à ne surtout pas prendre au premier degré, aurait pu
Plus en détailNotice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures
Notice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures 1. Situation actuelle De l article 123 al. 2 de la Constitution fédérale (RS 101) découle le principe selon lequel l exécution des sanctions
Plus en détailNotions de responsabilité. Commission Technique Régionale Est
Notions de responsabilité 1 Notions de responsabilité Responsabilité: l auteur d une faute a l obligation d assumer les conséquences de ses actes Quand une personne cause un dommage à autrui : obligation
Plus en détailCONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE
Nicolae Cochinescu Juge à la Cour constitutionnelle de la Roumanie CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE 1. Conformément à l article 146 de la Constitution de la
Plus en détailOBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE
OBJECTIF DU GUIDE Présenter au public et en particulier aux investisseurs, les règles de constitution et de fonctionnement des organismes d assurance. Arrêté n 2005-0773 du 14 décembre 2005 fixant les
Plus en détailProjet de loi Q 6 9 cdmiliétant la loi n 15.95. formant code de commerce
Royaume du Maroc Ministère de l'industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies..: (L C I j
Plus en détailAvant-projet de loi. Loi modifiant le Code civil et d autres dispositions législatives en matière d adoption et d autorité parentale
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Avant-projet de loi Loi modifiant le Code civil et d autres dispositions législatives en matière d adoption et d autorité parentale Déposé par Madame Kathleen
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Circulaire du 11 mars 2015 relative à la communication aux administrations publiques et aux organismes exerçant une prérogative de puissance publique d informations ou copies de pièces issues des procédures
Plus en détailARTICLE 90 DU DECRET 91-1266 DU 19 DECEMBRE 1991 MODIFIE
ARTICLE 90 DU DECRET 91-1266 DU 19 DECEMBRE 1991 MODIFIE Réf. Art.90 du 20/01/2001 au 31/12/2001 01/01/2002 S DES MISSIONS DE BASE D2012-349 D2001-52 D2001-512 D2003-853 D2004-1406 D2007-1151 D2008-1486
Plus en détailLE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION
LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION 1 Document Unique de Délégation Un document qui permet de définir les responsabilités : civiles - pénales Des dirigeants pleinement conscients de leur périmètre de responsabilité,
Plus en détailCe qu il faut savoir en 20 points
Ce qu il faut savoir en 20 points 1. Comptabilité allégée : o registre des ventes : les obligations comptables des autoentrepreneurs sont réduites. Ils peuvent simplement tenir un livre chronologique mentionnant
Plus en détail