REFONDATION DU RESEAU DE PREVENTION DES CRISES ALIMENTAIRES (RPCA) Note préliminaire pour susciter la réflexion

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1 REFONDATION DU RESEAU DE PREVENTION DES CRISES ALIMENTAIRES (RPCA) Note préliminaire pour susciter la réflexion Sibiri Jean Zoundi Administrateur Principal Secrétariat du Club du Sahel et de l Afrique de l Ouest (CSAO/OCDE) Décembre 2012

2 1. Contexte L année 2009 a été celle de la célébration du 25 e anniversaire du Réseau de Prévention des Crises Alimentaires. La 25 e réunion annuelle du Réseau, les 8-11 décembre 2009 à Bamako (Mali), a été l occasion de jeter un regard sur quelques acquis majeurs du RPCA, mais aussi de rappeler aux membres la nécessité d accélérer la refondation du RPCA. Ce rappel faisait suite aux conclusions de la 21 e réunion annuelle qui s était tenue à Paris les décembre 2005 au cours de laquelle il avait été souligné la nécessité de «renforcer la concertation et de re-dynamiser la réflexion et la coordination». Une série de recommandations avaient été faites lors de cette réunion dans le but de renforcer la contribution du Réseau à la prise de décision, notamment la nécessité d un réinvestissement du Club dans l animation aux côtés du CILSS, la mobilisation des partenaires autour des recommandations du Réseau, ainsi que celle des responsables politiques régionaux pour un meilleur portage politique des conclusions du Réseau au niveau de la région. En ce qui concerne le portage politique régional, les Commissions de la CEDEAO et de l UEMOA se sont particulièrement impliquées aux concertations du Réseau dès 2007, permettant ainsi de valoriser les conclusions du Réseau pour la prise de décision. En 2010 comme en 2012, les recommandations de la réunion restreinte du mois d avril du Réseau ont servi de base aux Commissions de la CEDEAO et de l UEMOA pour l organisation de réunions ministérielles de haut niveau ayant permis la prise de mesures concrètes pour faire face à la crise alimentaire qui frappait durement la bande sahélienne. Tout cela semble indiquer que des progrès sont en cours des avancées certes, mais nous ne sommes qu au début du commencement de la refondation du RPCA! Le but de cette note n est pas d apporter des solutions mais de fournir quelques éléments qui puissent susciter le débat dans le sens d une définition d orientations claires pour un RPCA Rénové. Après un bref rappel historique sur le Réseau, une analyse rapide des raisons et des objectifs de la refondation est faite. La dernière partie de la note traite du débat sur la refondation en rappelant l état actuel des réflexions mais surtout en mettant sur la table de discussion quelques propositions et questionnements. Encadré 1. Quelques repères historiques 1. En , la plupart des pays sahéliens connaissent une mauvaise campagne agricole, démontrant que la région est mal préparée pour prévenir et gérer les crises alimentaires de manière coordonnée. Le Secrétariat du Club du Sahel et le Secrétariat Exécutif du CILSS consultent alors leurs partenaires respectifs autour de l idée d animer un Réseau de responsables afin de mieux se coordonner dans l avenir. 2. En janvier 1985, l idée est endossée par les instances politiques du CILSS. Dans la foulée, en mai 1985, un Conseil extraordinaire des Ministres du CILSS revoit le mandat du CILSS, qui désormais «doit contribuer à la coordination des aides d urgence afin de promouvoir leur utilisation pour le développement» 3. Les mai 1985, au siège de l OCDE à Paris, les Secrétariats du Club et du CILSS convoquent une réunion technique restreinte de ce Réseau au cours de laquelle des recommandations et une série d actions sont prises pour la tenue de la première vraie réunion en octobre de la même année. 4. Les octobre 1985, les deux Secrétariats organisent la première réunion du Réseau qui connaît la participation des principaux opérateurs de l aide alimentaire. Au cours de cette réunion, il est présenté pour la première fois les estimations provisoires de la récolte agricole dans le Sahel et l Afrique de l Ouest conjointement réalisées par le CILSS et la FAO. Celles-ci permettent de réajuster alors la politique et les actions d aide alimentaire. Les participants du Réseau s accordent alors sur la tenue de concertations périodiques pour échanger les informations sur l offre et la demande de céréales, les déficits et les moyens de les combler, et pour examiner les problèmes liés aux prévisions alimentaires et à l utilisation de l aide alimentaire pour soutenir les stratégies de développement. 5. Les deux Secrétariats sont mandatés pour animer les concertations périodiques et faire un compte rendu annuel aux membres du Réseau.

3 2. Bref rappel historique Le RPCA est né dans un contexte d aide alimentaire massive qui se déversait dans le Sahel en réponse aux crises alimentaires récurrentes. Les estimations faites en 1984 indiquaient par exemple que l aide alimentaire représentait 20 % du total de l aide publique au développement des pays membres du CILSS. Il fallait donc trouver rapidement un mécanisme permettant non seulement de fournir l aide alimentaire de manière efficiente, mais surtout de minimiser autant que possible ses effets pervers sur la production locale et le développement. Les quelques repères historiques résumés dans l encadré 1, de même que les objectifs assignés au Réseau (encadré 2), donnent un aperçu des circonstances ayant motivé sa création. Certains membres fondateurs n hésitent pas à déclarer que «les dysfonctionnements de l aide alimentaire ont enfanté le RPCA». 1. Objectifs Encadré 2. Objectifs et fonctions assignés au Réseau à sa création «Aider les différents acteurs impliqués, sahéliens et non sahéliens, à : - Prendre à temps les mesures nécessaires pour qu un volume d aide alimentaire mieux adapté aux besoins arrive dans les délais voulus ; - Minimiser les coûts de fourniture de l aide ; - Éviter que l aide ait des effets néfastes et faire en sorte qu elle participe au développement et donc qu elle disparaisse à long terme.» 2. Fonctions Cinq grands domaines ont été retenus : (i). Évaluation des productions, des déficits et des excédents. A travers cette fonction, le Réseau devrait : - Être un lieu d échange à la fois d informations sur les productions et les déficits mais aussi des méthodologies d évaluation ; - Permettre l identification des zones vulnérables où la probabilité de situation d urgence est la plus élevée ; - Servir de cadre pour une large diffusion auprès de tous les acteurs de l information et des résultats sur les zones critiques. (ii). Amélioration des procédures de demande et d octroi de l aide alimentaire en favorisant la concertation et la diffusion de l information pendant tout le processus. (iii). Contribution à la résolution des problèmes logistiques liés à l acheminement de l aide en identifiant les goulots d étranglement et en favorisant l information auprès des donateurs et la prise de mesures pour les résoudre. (iv). Amélioration des modalités de mise en œuvre de l aide en servant de forum de discussion pour la recherche de réponses à des questions pratiques : Que faire des stocks qui n auraient pas été acheminés à temps? Quelle date limite pour l arrêt des livraisons? Faut-il développer l aide triangulaire et comment? etc. (v). Amélioration de l intégration de l aide alimentaire dans les stratégies de développement à travers la collecte d information, notamment sur les fonds de contrepartie, et en servant d espace d échange sur la destination de ces fonds. Afin de permettre au Réseau de remplir cette mission, les Membres de l époque ont été clairs sur sa nature : «Le Réseau devait être informel et ce caractère informel sera une condition nécessaire pour son succès». «Un réseau souple, informel a le mérite d éviter toute institutionnalisation de l aide alimentaire, ce qui est une préoccupation de l ensemble des donateurs qui souhaitent éviter la création d une institution nouvelle dans le domaine». De même, ils ont décidé de parler de Réseau de Prévention des crises car l objectif des gouvernements était de garantir un approvisionnement minimum aux populations sinistrées et donc de Prévenir, plutôt que simplement de les Prévoir et les gérer. Quant aux tâches du Réseau, les contours suivants ont été tracés. «Pratiquement, les tâches à accomplir seront :

4 de collecter et rediffuser l information auprès de tous les membres Faire mieux circuler l information dans ce Réseau, prévoir des concertations afin que tous les acteurs agissent de concert et dans le sens d une plus grande efficacité de préparer une réunion annuelle des membres du réseau en octobre (et éventuellement d autres réunions si le besoin s en fait sentir).» Au fil du temps, avec la baisse significative de l aide alimentaire, le Réseau semble s être auto-ajusté au niveau de ses missions. Les quatre dernières fonctions, spécifiquement liées à la fourniture de l aide alimentaire, ont ainsi été reléguées au second plan au profit de la première, recentrant ainsi la mission autour de deux piliers : (i) l information au cœur du dialogue (recherche de consensus autour de l information et des actions prioritaires à mettre en œuvre en cas de crise) ; (ii) coordination pour une meilleure efficacité de l action commune (plateforme de dialogue et de coordination). 3. Raisons de la refondation Le RPCA fait de l Afrique de l Ouest la région pionnière du continent où existe un cadre d échange et de coordination en matière de sécurité alimentaire. Depuis sa création, des avancées significatives ont été enregistrées dans le domaine du partage de l information et de la recherche de consensus, de la coordination et de la mise en cohérence des actions. Ainsi, de nombreux acquis sont à mettre à l actif du Réseau, parmi lesquels : La Charte de l aide alimentaire adoptée en 1990, puis une vingtaine d années plus tard, la Charte pour la prévention et la gestion des crises alimentaires adoptée en Beaucoup d observateurs s accordent à reconnaître que la Charte de 1990 a positivement influencé l évolution des politiques d aide alimentaire. L amélioration des outils méthodologiques des dispositifs d information sur la sécurité alimentaire de même que des instruments de réponse aux crises alimentaires. A la fin des années 1990 par exemple, le Réseau a servi de cadre pour la prise en compte des prix et autres indicateurs de marché dans l analyse de la sécurité alimentaire tout comme en 2012, il a piloté le processus d élaboration d un Menu des Instruments de réponse aux crises alimentaires dans le cadre de la mise en œuvre de la Charte pour la prévention et la gestion des crises alimentaires. Toutefois, ces acquis ne doivent en aucun cas faire perdre de vue les nombreux défis auxquels le Réseau devrait faire face, dont deux méritent particulièrement d être mentionnés : 1. La recherche du consensus devenue de plus en plus difficile. Comme indiqué plus haut, le Réseau a auto-ajusté ses missions originelles et s est recentré autour du partage de l information et la recherche du consensus, de la coordination et la contribution à l amélioration des outils méthodologiques. Force est de reconnaître de nos jours que la formulation d un message consensuel devient de plus en plus difficile à obtenir au sein du Réseau, même si par ailleurs un semblant de consensus existe au niveau des données de base. D anciens membres du Réseau ne manquent pas souvent de rappeler que «le consensus est avant tout du dialogue, de la négociation, de la confiance le Réseau offre ce type d espace avec un recul que n autorise pas les espaces nationaux». La réalité de nos jours est que le Réseau peine malheureusement à faire converger les positions de ses membres autour du message essentiel qui doit servir de déclencheur pour le choix des types d actions à mener en cas de crise. La réunion restreinte d avril 2012 en a fait la démonstration de cette périlleuse recherche de consensus. Des progrès énormes avaient pourtant été faits, notamment pour la production d une carte consensuelle de la vulnérabilité au niveau régional Mais cela n a pas suffit pour faire converger les vues et positions des membres autour des principaux messages et actions.

5 2. L utilité même du Réseau dans la prise de décision. Le Réseau n a de raison d exister que si ses analyses et recommandations permettent effectivement à ses membres et notamment les organisations économiques régionales de prendre des décisions. Une timide avancée a été observée en 2010 et en 2012, où les recommandations du RPCA ont servi de base aux réunions ministérielles de haut niveau organisées par la CEDEAO et l UEMOA. Mais tout cela demeure ponctuel et non institutionnalisé. Ces questionnements autour du Réseau doivent nécessairement être re-situés dans le nouveau contexte dans lequel il évolue désormais. L environnement des acteurs et l architecture globale de la sécurité alimentaire ont fondamentalement changé. Au moment de la création du Réseau, le CILSS affichait une certaine suprématie régionale dans la plupart des domaines thématiques, notamment celui de l information. De nos jours, cette situation a nettement évolué, avec une plus grande diversité d acteurs très influents dans le domaine de l information et de l analyse de la sécurité alimentaire certains mêmes avec des champs de compétence plus diversifiés et en harmonie avec la complexification des crises alimentaires. Ces acteurs concernent aussi bien des institutions spécialisées du système des Nations unies, des programmes spécialisés, que de nombreuses ONG. Cette diversité d acteurs permet un gain en qualité de données, mais rend les processus de recherche de consensus encore plus complexes et difficiles à manager. L environnement institutionnel et politique a aussi nettement évolué. Au moment de la création du Réseau, le CILSS était pratiquement l unique OIG représentant la région. De nos jours, les deux organisations économiques régionales - la CEDEAO et l UEMOA - constituent le pilier du leadership politique régional, avec le CILSS comme bras technique en matière de sécurité alimentaire. L orientation générale des politiques de sécurité alimentaire a aussi fondamentalement changé. Depuis les années 1980 à nos jours, on est passé de la gestion de l aide alimentaire à la prévention et à la gestion des crises alimentaires, voire la recherche d une sécurité alimentaire durable. A travers le cadre Stratégique de Sécurité Alimentaire durable dans une perspective de lutte contre la pauvreté (CSSA) du CILSS adopté en 2000, la Politique agricole de l union (PAU) de l UEMOA adoptée en 2001 et la politique agricole commune (ECOWAP) de la CEDEAO adoptée en 2005, le cap semble se fixer vers la réalisation de trois grands objectifs : (i) structurelle-résilience ; (ii) mécanismes de gestion ; (iii) information / alerte. A ces interrogations sur la capacité actuelle du Réseau à construire le consensus et aussi à contribuer efficacement à la prise de décision, s ajoutent aussi d autres attentes pressantes imposées par la résurgence de crises alimentaires de plus en plus hybrides et complexes. Ces attentes concernent surtout la contribution du Réseau à l adaptation des outils de prévention et de gestion aux dynamiques nouvelles - à savoir les questions macro-économiques, les indicateurs de marché, les troubles socio-politiques et les conflits armés, la démographie et le peuplement, etc. Autant de motifs militant en faveur de la démarche engagée par les membres du RPCA en 2005 en vue d une refondation / redynamisation du Réseau. 4. Débat sur la refondation De 2006 à 2012, quelques discussions préliminaires ont déjà été engagées sur la redynamisation du Réseau. En avril 2010, une proposition d organisation des réunions restreintes avait été discutée (voir annexe 1). De même, celle d avril 2012 avait servi de cadre à une discussion préliminaire sur les grands axes de la refondation (voir schéma 1 ci-après). Ainsi, quelques propositions sont déjà mises sur la table et méritent d être discutées et validées par l ensemble des membres.

6 Co-Portage politique (CEDEAO / UEMOA) réunions Schéma 1 : REVITALISATION DU RESEAU DE PREVENTION DES CRISES ALIMENTAIRES (RPCA) Objectif : Un RPCA plus visible et contribuant efficacement à la prise de décision GRANDS AXES 1. Renforcer sa capacité d aide à la prise de décision 2. Accroître sa lisibilité 3. Renforcer l audience et les partenariats Lien avec Instances Décision Réunion Haut Niveau (Déc.) (1 Ministre CTS + 1 Ministre CHN) Refonte Site Web Produits Info & prise décision Membership renforcé Partenariats élargis CTS AERE (CEDEAO) CHN SA (UEMOA) - Architecture - Système veille - Réseau animation - NISA - NAD - Système Alerte - Foras - Parlementaires - Elus locaux - Médias - Afrique Est - Pays émergents - CFS & autres Réunion : Janv. Fév. Réunion Haut Niveau (Av.) (Membres & Non CAD OCDE) Système Com : Porte Voix Régional & International CTS AERE : Comité Technique Spécialisé Agriculture, Environnement et Ressources en Eau CHN SA : Comité de Haut Niveau sur la Sécurité Alimentaire CAD : Comité d Aide au Développement, OCDE

7 La gouvernance du Réseau et la recherche de consensus Les réflexions inter-agences de développement (Amaral et al., ) sur les difficultés récurrentes de recherche du consensus montrent que tout le monde est conscient du problème. Elles insistent notamment sur la nécessité de dépasser les divergences «d école» pour travailler ensemble, utiliser des méthodologies communes d analyse, confronter les interprétations et les analyses, etc. des prescriptions, sommes toutes contenues dans les engagements de la Charte pour la prévention et la gestion des crises alimentaires, notamment au niveau des chapitres «information» et«concertation et coordination». De toutes ces discussions, il ressort surtout que le consensus ne peut se construire qu autour d un leadership régional fort. A ce sujet, les Commissions de la CEDEAO et de l UEMOA ont déjà donné un signal politique, en confirmant leur volonté d assumer ce leadership régional. La réunion ministérielle conjointe de haut niveau sur la crise alimentaire au Sahel, tenue le 5 juin 2012 à Lomé (Togo), a clairement exhorté les deux organisations à assumer clairement ce leadership au sein du RPCA afin de mettre fin à la cacophonie actuelle dans l information sur la sécurité alimentaire dans la région. Action / Décision (à discuter) : - Le RPCA nouveau est désormais placé sous le co-pilotage politique de la CEDEAO et de l UEMOA avec l appui de leur bras technique le CILSS et celui du Secrétariat du Club, tous deux assurant la co-animation technique. Les réunions du Réseau sont co-présidées par les Commissaires en charge l agriculture et de l alimentation des deux organisations. Les concertations du RPCA sont intégrées dans le calendrier des réunions officielles des deux organisations. Les deux organisations contribuent financièrement et techniquement aux activités du Réseau. - En vue de renforcer la discipline et le processus de recherche de consensus, il pourrait être envisagé l institutionnalisation 2 du Réseau avec un Mandat ou une Charte signé par l ensemble de ses Membres ou l élaboration d une charte de principes à laquelle chaque Membre souscrirait. La contribution du Réseau à la prise de décision La contribution effective du RPCA à la prise de décision ne peut se faire que si un lien est établi entre ses concertations et les instances décisionnelles des deux organisations (CEDEAO et UEMOA) assurant le portage politique au niveau régional. De même, l audience et l influence du Réseau auprès de la communauté internationale méritent d être débattues. Action / Décision (à discuter) : - Comme cela l a été en 2010 et en 2012, le RPCA est désormais considéré comme une instance consultative officielle de la CEDEAO et de l UEMOA. Les résultats de ses concertations fournissent les inputs pour leurs instances statutaires, à savoir le Comité technique spécialisé, agriculture, environnement et ressources en eau (CTS-AERE) de la CEDEAO et le Comité de haut niveau sur la sécurité alimentaire (CHN-SA) de l UEMOA. - La réunion annuelle du Réseau au mois de décembre de chaque année est suivie de sessions du CTS-AERE et du CHN-SA, pendant la période janvier février de l année suivante, afin de 1 Amaral C., Eilerts G., Ibrahim L., Luma J., Senahoun J., Réflexions basées sur un examen multi-organismes de la crise alimentaire au Sahel. FAO, USAID, FEWS NET, WFP, 21 p. 2 Ce point devrait être discuté en ayant à l esprit les raisons qui avaient milité au choix d un Réseau évoluant dans l informel (voir la section 2 Bref rappel historique )

8 permettre à la CEDEAO et à l UEMOA de décider de mesures concrètes à prendre en cas de crise. Par conséquent, la réunion de décembre du Réseau est portée à un niveau politique plus élevé, avec la participation de ministres (au moins trois : deux ministres en charge de l agriculture et de l alimentation des pays présidant le CTS-AERE, le CHN-SA et le Conseil des Ministres du CILSS) et de hauts responsables des agences de coopération. - Le contenu de la réunion de décembre pourrait éventuellement être revu pour répondre à la préoccupation suivante : y a-t-il une pertinence à maintenir le volet thématique de la réunion annuelle? - Si la réunion restreinte d avril est institutionnalisée 3, son format pourrait être revu afin que celle-ci serve de forum de dialogue de haut niveau entre la région et la communauté internationale (membres et non-membres de l OCDE). Il pourrait servir aussi d espace de dialogue élargi entre la communauté internationale et la région sur les conclusions de la revue de la Charte pour la prévention et la gestion des crises alimentaires discutée lors de la réunion annuelle de décembre 4. La participation à cette réunion devrait être très ciblée et de haut niveau. De même, deux conditions sont nécessaires : a. Une bonne préparation pour une participation de haut niveau du côté des partenaires b. Un travail préalable au niveau de la région pour rendre le message plus percutant et garantir aussi une participation de haut niveau politique - Globalement, en rapport avec l organisation des concertations du RPCA : peut-on rendre le fonctionnement du Réseau plus flexible afin de faire face aux situations anormales des crises? - Au-delà du CTS-AERE et du CHN-SA, d autres sphères décisionnelles comme les parlements communautaires ne peuvent-elles pas entrer dans le jeu? La visibilité du Réseau La gestion des crises récentes des années 2000 a révélé de nombreux déficits de communication et de coordination tant au niveau régional que sur le plan international. En termes de support de communication régulière, une «Note d information sur la sécurité alimentaire NISA» a été lancée en 2006, dans un premier temps coordonnée par le Secrétariat du Club puis ensuite transférée sous la coordination du Secrétariat exécutif du CILSS à partir de La NISA était sensée partir des informations et analyses faites par les membres du RPCA afin de sortir mensuellement une note consensuelle succincte (2 pages maximum) faisant le point de la situation et donnant quelques orientations en termes d actions. Son processus d élaboration est conçu pour être participatif avec la contribution des membres clés du Réseau. Cette note, sensée éclairer les États et leurs partenaires pour l action au quotidien, connaît depuis quelques temps d énormes difficultés tant au niveau de son contenu qu au niveau de la régularité de sa parution une situation ayant affecté sa pertinence et entraîné du coup la floraison d autres initiatives portées individuellement par certains membres du Réseau. En plus de la NISA, une «Note aux décideurs politiques NAD» est produite chaque année, en s appuyant sur les conclusions et recommandations de la réunion annuelle du Réseau. L idée derrière la NAD est que celle-ci serve de 3 Voir les discussions préliminaires sur cette réunion en annexe 1. A l origine cette réunion était optionnelle, c'est-à-dire si la situation alimentaire impose un suivi des recommandations faites en décembre en vue de leur réajustement et pour la prise de mesures complémentaires au regard de l évolution de la crise. Mais progressivement elle s est institutionnalisée pour les raisons suivantes : (i) servir de cadre de dialogue de haut niveau et de plaidoyer auprès de la communauté internationale, notamment les membres de l OCDE ; (ii) systématiser le suivi des recommandations de décembre et permettre leur réajustement éventuel au vu des résultats définitifs de la campagne agricole. 4 Les dispositions de la Charte précisent que «Le RPCA coordonne le suivi et l évaluation de l application de la Charte La réunion annuelle du RPCA examine ces évaluations et en tirent des conclusions/recommandations consensuelles».

9 base pour la prise de décision par les membres, notamment en servant de support technique au sein des instances statutaires des organisations économiques régionales où les grandes décisions sur la sécurité alimentaire se prennent. Dans la même foulée, en 2007, un site web ( entièrement dédié au Réseau et véhiculant son identité, a été créé. Cet outil semble malheureusement ne pas répondre entièrement aux attentes en raison d insuffisances et de difficultés au niveau de l animation et du système de veille. Au-delà des insuffisances au niveau des supports de communication, le Réseau a aussi brillé ces dernières années par l absence d un Porte voix à même de porter son message au niveau régional et international. En dehors de quelques rares cas où les recommandations du Réseau sont reprises par la presse internationale, le RPCA est demeuré dans la plupart des cas peu visible sur la scène régionale et internationale. Action / Décision (à discuter) : - Si la raison d être de la NISA est toujours justifiée, en tant qu expression de la capacité des membres du RPCA à livrer un message consensuel chaque mois, il faudrait clarifier son format (le message véhiculé et l objectif) et son processus d élaboration. Une discussion préliminaire avait déjà eu lieu en avril 2011 et les résultats sur un nouveau format sont consignés en annexe 2. - Le RPCA devrait être porteur d un message et le véhiculer au plus haut niveau au plan régional et international. A cette fin, les Commissions de la CEDEAO et de l UEMOA, désormais coleaders politiques du RPCA, assumeraient la fonction de Porte Voix du Réseau en portant les conclusions et recommandations du Réseau au plus haut de la sphère régionale et internationale. - La pertinence du site web du Réseau en tant que véhicule de l identité du Réseau n est plus à démontrer. Il faudrait cependant lui donner une vie effective au niveau de l animation et de la veille. Cela passe également par la revue complète de son architecture et le renforcement de l interface anglais. La mise en service du Portail de l Afrique de l Ouest offre une opportunité de lien pour le site web du Réseau pour une visibilité plus accrue. Comment gérer la question de l animation et de veille en valorisant la contribution de tous les membres sans oublier les relais au niveau pays? - Si le RPCA doit renforcer sa lisibilité et sa contribution à la prise de décision, n y a-t-il pas d autres supports et mécanismes de communication à développer? L audience et les partenariats La question de l élargissement des membres du Réseau et de ses partenariats a souvent été posée. Cela va de pair avec la diversification des acteurs ayant une influence dans la prise de décision ou l action face à des crises alimentaires de plus en plus complexes. Au cours de ces cinq dernières années, une expérimentation intéressante a été faite avec l implication de parlementaires aux réflexions, notamment des représentants du parlement de la CEDEAO. Des discussions préliminaires au sein du Réseau ont également démontré la pertinence de partenariats élargis avec d autres pays émergents et régions d Afrique partageant les mêmes préoccupations que le Réseau. L invitation du Brésil à la 28 e réunion annuelle s inscrivait dans ce cadre.

10 Action / Décision (à discuter) : - L accueil de nouveaux membres, tels les parlements communautaires (CEDEAO et UEMOA) et les organisations professionnelles de médias, devrait être envisagé dans le cadre d un RPCA nouveau qui se veut plus visible et contribuant efficacement à la prise de décision. - De même, il serait pertinent d ouvrir des chantiers de partenariats renforcés avec le Comité sur la sécurité alimentaire mondiale (CFS 5 ), ainsi que la Corne de l Afrique et les pays émergents comme le Brésil. 5. Conclusion La refondation du Réseau s est imposée comme une nécessité car devant permettre son meilleur enracinement dans le nouvel environnement institutionnel, socio-économique et politique, à travers le renforcement de sa gouvernance et son efficacité dans la prise de décision. La perspective d une refondation réussie du Réseau impose par ailleurs la nécessité d une revue /rationalisation des mécanismes régionaux de consultation/dialogue existants afin d éviter les duplications mais surtout de gagner en efficacité. 5 Le 18 octobre 2011, le Secrétariat Exécutif du CILSS et le Secrétariat du Club, avaient au nom du Réseau, présenté le processus de dialogue et de négociation de la Charte pour la prévention des crises alimentaires lors de la 37 e session du Comité sur la sécurité alimentaire mondiale (CFS), qui avait fort apprécié cette initiative pionnière et originale d Afrique de l Ouest

11 Annexe 1 Proposition de nouveau format pour la Réunion restreinte du mois d avril du Réseau But Réunion d avril La réunion RPCA d avril s inscrit en harmonie avec l ensemble du cycle des réunions du dispositif de veille régional (prévention et de gestion des crises alimentaires - PREGEC) 6. Elle est l occasion d un dialogue de haut niveau au sein de l OCDE entre la communauté internationale (donateurs et acteurs de la sécurité alimentaire) et les décideurs de la région. Ainsi, la réunion d avril présente les caractéristiques suivantes : 1. C est la première réunion de haut niveau de l année autour des résultats définitifs de la campagne agro-pastorale et de la situation alimentaire et nutritionnelle. 2. C est une réunion de prise de décision effective. 3. C est une réunion de confirmation et/ou réajustement des mesures/actions préconisées en décembre de l année n-1 pour faciliter l accès des populations les plus vulnérables à l alimentation. Résultats attendus Organisation / format Les principaux résultats sont les suivants : 1. Consensus sur les mesures/actions préconisées et engagement des acteurs autour des principes de la Charte sur la prévention et la gestion des crises alimentaires en vue de leur mise en œuvre 2. Consensus sur les modalités de mise en œuvre des actions/mesures prises à travers l examen des questions de coordination/synergie des interventions pour une meilleure cohérence et efficacité, de renforcement des outils de veille régionale et des instruments. La réunion d avril dure 1½ jour. Son format comprend deux principales séquences : 1. Séquence 1 : Discussions sur le diagnostic de la situation et des mesures préconisées. Une seule et unique intervention est faite par le CILSS/CEDEAO/UEMOA sur le diagnostic quasi définitif de la situation agropastorale et alimentaire et les actions/mesures proposées par la réunion PREGEC de mars. Cette présentation est suivie d une discussion approfondie dont le résultat final est un consensus sur le diagnostic et les mesures préconisées. 2. Séquence 2 : Echange sur les modalités de mise en œuvre de mesures, des rôles et responsabilités et la coordination des interventions. Le résultat de cette séquence est un engagement des différents acteurs sur la mise en œuvre. Cela donne lieu à la définition claire «qui va faire quoi? comment?» Le tableau sur le consensus des mesures préconisées issu de la séquence 1 est complété avec les engagements de chacun pour la mise en œuvre (rôles et responsabilités), de même que les échéances. Ce document sert de cadre consensuel d action, dont l évaluation sera faite à deux périodes (le suivi de la mise en œuvre sera assuré par le CILSS et le CSAO/OCDE, co-animateurs du RPCA) : Lors de la réunion PREGEC de juin. Cette évaluation à mi-parcours est en même temps l occasion de faire des réajustements au regard de l évolution de la situation alimentaire, de la physionomie générale de la campagne agro-pastorale et des 6 En Mars : le dispositif régional dresse le bilan actualisé de la situation agricole et alimentaire. Les chiffres définitifs de la campagne agricole écoulée permettent d affiner le bilan alimentaire prévisionnel, de procéder à une mise à jour des zones à risques et de décider des principales mesures et actions à prendre pour favoriser l accès des populations les plus vulnérables aux aliments ; En Juin : Cette concertation à l entrée de la soudure, permet de faire un bilan partiel et de suivre les recommandations faites lors de la réunion PREGEC de Mars et confirmées pendant la réunion d Avril du RPCA Des ajustements sont faits en fonction de l évolution de la campagne agricole, de la situation alimentaire et des perspectives de la période de soudure. Elle sert également de cadre pour la préparation de la campagne agro-pastorale et d examen des dispositifs de suivi ; En Septembre : Cette concertation fait le bilan à mi-parcours de la campagne agro-pastorale à travers une évaluation qualitative prévisionnelle des récoltes, l identification préliminaire des zones à risque et des perspectives alimentaires. Elle prépare également le calendrier et la composition des missions conjointes d évaluation des récoltes qui ont lieu en Octobre. Cette concertation est également le cadre pour une évaluation définitive de la mise en œuvre des mesures/actions préconisées pour l accès des populations les plus vulnérables aux aliments ; En Octobre/Novembre : Cette rencontre purement technique fait suite aux missions d évaluation de la campagne agro-pastorale et permet d établir les bilans céréaliers/alimentaires au niveau national et régional et de dégager les perspectives alimentaires pour la prochaine année de consommation. Elle prépare la réunion annuelle du RPCA de décembre au cours de laquelle un bilan global est fait pour fournir des éléments de prise de décision.

12 conditions réelles de la période de soudure qui s annonce. Pendant la réunion PREGEC de septembre sur les perspectives de récoltes. Cette évaluation finale a surtout pour but de tirer les enseignements de la mise en œuvre du cadre consensuel d action de capitaliser les leçons apprises pour nourrir le prochain cadre consensuel d action. Participants Ce dialogue de haut niveau mettra autour de la table deux groupes d acteurs tous membres du RPCA, les décideurs politiques de la région et leurs partenaires du nord (communauté internationale y compris les pays non membres de l OCDE). Quel que soit le groupe considéré, les participants à la réunion seront ceux ayant la capacité ou le mandat de décider et d engager leurs organisations/institutions : 1. Les décideurs politiques et les acteurs majeurs de la sécurité alimentaire de la région. Il s agit : (i) des représentants de haut niveau de la CEDEAO, de l UEMOA et du CILSS, et de leurs partenaires ; (ii) des représentants des parlements de la CEDEAO et de l UEMOA ; (iii) de quelques décideurs politiques (rang de ministre) de pays où la situation paraît la plus critique ; (iv) les organisations représentatives de producteurs agricoles et de la société civile. 2. Les représentants de la communauté des partenaires : (i) le SG de l OCDE et les ambassadeurs des pays au sein de l OCDE ; (ii) les agences de coopération bi et multilatérales (surtout la CE) ; (iii) les organisations du système des Nations unies actives sur la sécurité alimentaire (FAO, FIDA, PAM, UN-OCHA, etc.) ; (v) les représentants de haut niveau de l Union Inter-parlementaire (UIP) Préalables et autres conditions 1. La date de la réunion d avril sera désormais fixée une année à l avance. Le CSAO/OCDE a déjà pris également les dispositions pour intégrer cette date dans le cycle des réunions officielles au sein de l OCDE. Cela devrait permettre une participation aussi significative que possible des ambassadeurs des pays au sein de l OCDE. 2. Le CILSS, bras technique de la CEDEAO et de l UEMOA, préparera au nom de l ensemble des acteurs de la région le document de base qui servira de base pour lancer la discussion lors de la séquence Au moins une semaine à l avance, ce document de base sera envoyé aux participants pour leur permettre d en être informés et de se préparer. 4. La réunion d avril est l objet d une campagne intensive de communication internationale soigneusement organisée par le CILSS et le CSAO/OCDE, coanimateurs du RPCA : conférence de presse, interviews, production et dissémination de produits média, etc.

13 Annexe 2 Proposition de format de la Note d information sur la sécurité alimentaire (NISA)

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