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1 ! COMMUNIQUE DE PRESSE Avril 2017 CANCERS DE LA PEAU LE SYNDICAT NATIONAL DES DERMATOS-VENEREOLOGUES ORGANISE UNE SEMAINE DE PREVENTION ET DE DEPISTAGE ACTIF AU CABINET DU DERMATOLOGUE DU 15 AU 19 MAI 2017 Depuis 18 ans, le Syndicat National des Dermatos-Vénéréologues organise, chaque année au mois de mai, une action de Prévention et de Dépistage des cancers de la peau, notamment du mélanome (Mélanome Day), le dermatologue étant le spécialiste de toutes les maladies de la peau et plus particulièrement des cancers de la peau. Pour la 19 e édition, le Syndicat National des Dermatos-Vénéréologues propose une information concernant la prévention solaire et un dépistage des cancers de la peau au cabinet du dermatologue. Les dermatologues participant sont bénévoles, ils auront choisi d offrir gracieusement au public du temps de consultation durant la semaine du 15 au 19 mai, en participant à l une des plus grandes actions de santé publique nationale d initiative privée. Pour compléter ce dispositif, quelques structures de centres médico-sociaux et quelques centres MSA seront ouverts permettant ainsi de cibler des populations à risques ou précaires. Ce changement profond de format va permettre de donner plus de possibilités pour sensibiliser une plus large population à la prévention, l information et l éducation à la santé sur les cancers de la peau. Pour l occasion, le Syndicat National des Dermatos-Vénéréologues met à disposition du grand public une plateforme internet nationale de prise de rendez-vous créée spécifiquement pour l évènement. Cette plateforme, accessible sur ordinateur et smartphone, géolocalisera les demandeurs en leur permettant de prendre un rendez-vous personnalisé et anonymisé sur le site dermatos.fr, selon le choix proposé, en leur attribuant un numéro individuel nécessaire à la consultation de dépistage des cancers de la peau. Une plateforme téléphonique, en composant le numéro vert (gratuit à partir d un poste fixe) sera également à disposition. La prise de rendez-vous pourra avoir lieu à partir du 25 avril. Attention : les médecins dermatologues participant, procèderont à un examen de dépistage gratuit à la recherche des cancers de la peau et non à une consultation gratuite de dermatologie. Il n y aura aucun acte, traitement ou ordonnance, les patients en sont informés.

2 ACTIONS COMPLEMENTAIRES MISES EN PLACE Pour compléter le maillage territorial national une opération de télédermatologie concernant le dépistage des cancers de la peau est prévue la journée du jeudi 18 mai, ciblant les populations à risques dans le cadre du parcours de soin des patients, en associant des professionnels non dermatologues. Par ailleurs dans un territoire sous dense en médecins, le département de Seine et Marne, un camion de prévention équipé de 2 postes de consultations, sera mis à disposition gracieusement par le Conseil régional d Ile de France et le CRIPS durant la semaine et s arrêtera dans 10 villes pour accueillir le public afin d y assurer une information concernant la prévention des UV et un dépistage réalisé des dermatologues itinérants. Contacts presse : Brigitte Jaillard Fabienne Pâris

3 Fiche 2017 Le dermatologue Les dermatologues restent les spécialistes à privilégier dans le cadre du diagnostic des cancers de la peau. Les dermatologues, experts qualifiés pour la prévention, la détection, le traitement et le suivi des cancers de la peau, ont suivi quatre années de spécialisation après le tronc commun des études de médecine. La participation à des programmes permanents de formation continue et à des congrès de spécialités leur permet d actualiser leurs connaissances pour s adapter aux progrès thérapeutiques considérables accomplis dans leur domaine. Il est conseillé de consulter principalement dans les cas suivants (même si un suivi annuel est très fortement recommandé) : Lorsque l'on constate qu'une lésion cutanée ne guérit pas au bout d'un mois, il est conseillé de prendre rendez-vous chez son médecin. Celui-ci, s'il le juge nécessaire, vous orientera vers un dermatologue. Par ailleurs, les personnes qui ont déjà été victimes d'un cancer de la peau et a fortiori d'un mélanome doivent être régulièrement suivies. Le dermatologue peut alors être le médecin référent qui procédera à l'examen clinique pour s'assurer qu'il n'existe aucune récidive. L'examen du dermatologue : Il réalise un examen poussé des nævi (grains de beauté) à l'aide d'un dermatoscope. Cette loupe permet en effet d'observer de près les tumeurs cutanées suspectes. Il sera également le plus qualifié pour distinguer les différentes affections de la peau, ces anomalies pouvant adopter des formes très variées. Enfin, le dermatologue peut être amené à réaliser quelques photos afin de pouvoir évaluer l'éventuelle progression des lésions d'une consultation à l'autre. Le rôle du dermatologue en présence d une lésion suspecte Après un examen minutieux de la peau, le dermatologue, s'il suspecte fortement un mélanome, procède à un prélèvement de la lésion qui sera soumis à un examen anatomopathologique qui seul peut affirmer qu'il s'agit ou non d'un mélanome. Trois critères essentiels contribuent à évaluer l extension et le pronostic du mélanome : les caractéristiques de la tumeur primitive (épaisseur et ulcération), l atteinte éventuelle des ganglions lymphatiques et la présence ou non de métastases dans d autres parties du corps.

4 Fiche 2017 Les cancers de la peau LES DIFFERENTS TYPES DE CANCERS DE LA PEAU Parmi les cancers de la peau, il faut principalement distinguer les cancers d origine épithéliale (carcinome basocellulaire et carcinome spinocellulaire) et les mélanomes. Les carcinomes sont les plus fréquents, y compris parmi tous les cancers humains de l adulte ; les mélanomes sont les plus dangereux. L incidence de tous ces cancers est croissante dans le monde. Le mélanome cutané, tumeur maligne, représente 10% des cancers de la peau. Il peut apparaître sur peau saine (70 à 80 % des cas) ou résulter de la transformation maligne d'un nævus. Avec * nouveaux cas estimés en 2015, le mélanome cutané se situe au 9ème rang des cancers, tous sexes confondus, et représente 3,7% de l ensemble des nouveaux cas de cancers et 1,2% des décès. Près des trois quarts des cas sont diagnostiqués au-delà de 49 ans. On estime en France le nombre de décès imputables à ce cancer à 1 672*. Cancer agressif, le mélanome doit être détecté dès le début de son évolution pour permettre une prise en charge précoce, seul élément qui laisse au patient le maximum de chances de guérison. Le seul traitement efficace consistant en l ablation d une tumeur débutante (*source INCa) Le développement d un mélanome Lorsque des cellules cancéreuses apparaissent, elles sont d abord peu nombreuses et limitées à la surface de la peau. La plupart des mélanomes se développent d abord horizontalement dans l épiderme. Tant que la tumeur se situe au sein de l épiderme, on parle de mélanome in situ. Avec le temps et si aucun traitement n est effectué, la tumeur progresse en profondeur à travers le derme et l hypoderme. Dès lors que la tumeur franchit la couche basale et atteint le derme, on dit que le cancer est invasif. Des cellules cancéreuses peuvent ensuite se détacher de la tumeur et emprunter les vaisseaux sanguins ou les vaisseaux lymphatiques pour aller envahir d autres parties du corps : les ganglions lymphatiques proches de la tumeur les poumons, le foie, la peau ou le cerveau. Les nouvelles tumeurs qui se forment alors s appellent des métastases. Les mélanomes dérivent des cellules qui fabriquent le pigment de la peau (mélanine), les mélanocytes. Les mélanomes sont les cancers de la peau les plus dangereux, ils sont susceptibles d essaimer dans les autres organes et d avoir des conséquences mortelles. Les mélanomes cutanés diagnostiqués à

5 un stade métastatique sont de mauvais pronostic, les taux de survie à 5 ans ne dépassant pas 20 % pour ces patients. C est pourquoi la prévention et le diagnostic précoce du mélanome cutané sont essentiels. Les carcinomes cutanés sont les cancers de la peau les plus fréquents et les moins graves Les carcinomes basocellulaires représentent 70 % des carcinomes cutanés. Ce sont les moins graves dans la mesure où ils menacent rarement le pronostic vital. En effet, leur développement, à partir de la couche basale de l épiderme, reste local. Ils ne métastasent jamais et leur ablation complète assure donc leur guérison. Leur traitement doit néanmoins être précoce car ces tumeurs peuvent s étendre en surface. Ils dérivent des cellules constitutives de l épiderme appelées kératinocytes. Leur incidence en France est estimée à 150/an pour habitants. Ils surviennent avec une plus grande fréquence après 50 ans, mais peuvent toucher des individus plus jeunes. Ils sont habituellement localisés sur les zones découvertes : visage, cou, dos des mains. Ces cancers augmentent progressivement de taille. Leur danger est lié à leur potentiel invasif local qui va entraîner des destructions tissulaires. Le traitement de première intention est l ablation chirurgicale. Une prise en charge tardive impose parfois une chirurgie pouvant être mutilante. Un dépistage précoce permet un traitement chirurgical simple, réalisable sous anesthésie locale dans la majorité des cas. Les carcinomes spinocellulaires (ou épidermoïdes) sont plus rares (20 % des cancers cutanés) mais plus agressifs que les carcinomes basocellulaires. Leur incidence est d environ 20/an pour habitants. Ils apparaissent surtout après 60 ans. Ils surviennent comme les précédents préférentiellement sur des zones découvertes. Contrairement aux carcinomes basocellulaires, ils se développent parfois sur des lésions dites pré-cancéreuses : kératoses actiniques (ce sont des modifications de la peau ayant l aspect de croûtes qui reposent sur une base rouge, ces lésions ne sont pas cancéreuses mais peuvent se transformer en carcinome épidermoïde). Ces cancers peuvent aussi apparaître sur des radiodermites (modifications de la peau produites par les radiations ionisantes) sur des cicatrices de brûlure, des plaies chroniques. Des virus de type HPV sont suspectés de jouer un rôle dans la genèse de certains de ces cancers localisés aux muqueuses (col de l utérus, anus). Plus agressifs que les carcinomes basocellulaires, ils sont susceptibles d envahir les ganglions lymphatiques et se disséminer dans d autres organes (poumon, foie, cerveau). Les plus agressifs sont ceux localisés aux zones périorificielles et aux muqueuses (nez, bouche, organes génitaux). Un dépistage précoce permet, là aussi, un traitement chirurgical, en général aisé à mettre en œuvre, alors qu une reconnaissance tardive impose souvent une chirurgie lourde.

6 Fiche 2017 Les traitements du mélanome LES TRAITEMENTS DU MELANOME DE LA PEAU Plusieurs traitements peuvent être utilisés, seuls ou en combinaison pour traiter le mélanome de la peau : la chirurgie, des traitements médicamenteux et la radiothérapie. Les objectifs sont selon les cas de - supprimer la tumeur ou les métastases; - réduire le risque de récidive; - ralentir le développement de la tumeur ou des métastases; - traiter les symptômes engendrés par la maladie Le choix des traitements Il est adapté au cas personnel et dépend des caractéristiques dont le patient est atteint : son type histologique (types de cellules impliquées), sa localisation et son stade et son grade (degré d agressivité) Le choix des traitements fait l objet d une concertation pluridisciplinaire. La situation est discutée au cours d une réunion de concertation pluridisciplinaire qui rassemble au moins trois médecins de spécialités différentes. Les médecins établissent une proposition de traitements. Le choix du traitement est ensuite discuté avec le patient. Le choix et l ordre des traitements dépendent du stade du mélanome, c est-à-dire de son étendue, au moment du diagnostic. Le stade du mélanome est évalué à partir de plusieurs critères : - les caractéristiques de la tumeur primitive (épaisseur, ulcération, mitose - l atteinte ou non des ganglions lymphatiques - la présence ou non de métastases dans d autres parties du corps. Les possibilités de traitement en fonction de l étendue de la maladie au moment du diagnostic Mélanome localisé stade I et II : La chirurgie qui consiste à retirer la lésion dans sa totalité. Pour les mélanomes en stade II une immunothérapie par médicament (interféron alpha) peut être proposée en traitement adjuvant. Ce traitement est aujourd hui rarement utilisé. Mélanome avec métastases locorégionales cutanées ou ganglionnaires Stade III : La chirurgie qui consiste à retirer la lésion dans sa totalité. Un traitement

7 médicamenteux peut y être associé (interféron alpha / chimiothérapie classique/ thérapies ciblées / anticorps monoclonaux. Dans certains cas, une radiothérapie externe peut être utilisée. Ces possibilités sont décidées au cas par cas) Mélanome avec métastases à distance Stade IV ou III non opérable : une exérèse chirurgicale peut être proposée. Il existe également plusieurs traitements médicamenteux. Dans certains cas une radiothérapie externe peut être utilisée (en cas de métastases osseuses ou cutanées douloureuses ou hémorragiques). Quelques chiffres sur la chirurgie des cancers (source INCa 2016) : o hospitalisations pour chirurgie de cancer sont réalisées dans les établissements de santé en 2014 (+6 % par rapport à 2010), soit 7 % de l activité hospitalière totale en cancérologie (hors activité de radiothérapie dans le secteur privé libéral). o 23 % de cette activité est réalisée en ambulatoire (contre 16,7 % en 2010) majoritairement pour les tumeurs de la peau hors mélanome (62,4 %) suivies de loin par les cancers du sein (13 %) et du col de l utérus (7,7 %).

8 Fiche 2017 L Auto-examen L AUTO-DEPISTAGE ET L IMPORTANCE DE S EXAMINER REGULIEREMENT Il faut pratiquer une auto-surveillance très régulière. Plus on connaît sa peau, plus il est facile de repérer de nouvelles taches pigmentées ou des changements de ses grains de beauté. Les visites régulières chez le dermatologue sont le moyen le plus sûr et efficace de prévenir et donc de guérir les cancers de peau. Toutefois, ces visites peuvent être complétées par un auto-examen qu il est utile de pratiquer régulièrement (au moins trois fois par an). Chacun doit observer régulièrement ses grains de beauté sur toutes les parties de son corps, de la tête aux pieds, et en connaître les principales modifications constituant autant de symptômes d alerte. Il ne faut pas hésiter à utiliser un miroir pour s observer ou à demander l aide d un proche pour regarder des zones inaccessibles. REGLE DE L ABCDE Toute modification de forme, de couleur ou de taille d'un grain de beauté doit constituer un signe d'alerte. Asymétrie : seule une partie du grain de beauté change d'aspect et se distingue singulièrement du reste. Bordure : les bords du grain de beauté deviennent irréguliers, la pigmentation pouvant même parfois envahir la peau. Coloration : la couleur du grain de beauté perd son homogénéité, des zones dépigmentées apparaissent, voire des taches grises, rouges ou bleues. Diamètre : la taille du grain de beauté augmente (le mélanome a généralement une taille supérieure à 6 mm). Elévation ou évolution progressive : critère dynamique de l'évolution d'un grain de beauté, autre que les critères précités. L'aspect d'un mélanome peut varier de façon importante mais il présente souvent une ou plusieurs de ces caractéristiques. Un examen régulier au regard de cette règle doit permettre de dépister rapidement tout signe annonciateur de la présence possible d'un mélanome.

9 Fiche 2017 Les conseils face au soleil GARE AU SOLEIL Les gestes essentiels pour se protéger du soleil : Éviter le soleil aux heures les plus chaudes soit entre 12h et 16h. Ne jamais exposer au soleil les enfants de moins de 2 ans, même en dehors des heures les plus chaudes. Choisir un endroit ombragé (sous un parasol, sous un arbre). A noter que le parasol est efficace uniquement sur sol foncé (herbe) car sur un sol clair comme le sable, le parasol ne protège pas de l irradiation réfléchie par le sol. Adopter une bonne protection vestimentaire, essentielle pour les enfants. Protéger le corps avec un tee-shirt par exemple. Il existe des vêtements anti-uv. Protéger les yeux avec des lunettes de soleil. L exposition aux UV peut en effet accroître les risques de cataracte. Protéger le crâne à l aide d un chapeau permettant aussi de protéger le visage et les oreilles. Utiliser une crème solaire en complément de la protection vestimentaire aux endroits encore exposés (comme le visage) et ce, même en cas de légère couverture nuageuse. Les autorités de santé préconisent d appliquer la crème 20 minutes avant de s exposer, de la renouveler peu de temps après le début de l exposition et après s être baigné, après avoir transpiré ou s être essuyé puis toutes les 2h. En termes de quantité, on conseille d appliquer pour un adulte de corpulence moyenne l équivalent de 6 cuillères à café : l équivalent d une cuillère à café sur chaque bras et chaque jambe, et sur le dos et le torse ; la moitié de cet équivalent doit être appliquée sur le visage et sur le cou, sans oublier les oreilles, les tempes, le dos des mains et des pieds. Une quantité insuffisante diminue nettement le niveau de protection vis-à-vis de l exposition solaire. Pour le choix de l indice de protection solaire, les autorités de santé européennes ont défini 4 classes de produits en fonction de leur protection : faible, moyenne, haute et très haute (50 +). Ce choix s effectue en fonction du type de peau et de la puissance de l irradiation c est-àdire l intensité lumineuse multipliée par le temps d exposition. Cette protection solaire ne doit en aucun cas conduire à prolonger le temps d exposition, de la même manière qu il ne faut pas réduire la quantité et la fréquence d application du produit de protection solaire sous prétexte d utiliser un indice de protection élevé.

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