F o n d a t i o n p o u r l e s a i r e s p r o t é g é e s e t l a b i o d i v e r s i t é d e M a d a g a s c a r

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1 F o n d a t i o n p o u r l e s a i r e s p r o t é g é e s e t l a b i o d i v e r s i t é d e M a d a g a s c a r Rapport ANNUEL 2012

2 en chiffres *[ ] personnes bénéficiaires directes des AP *[ 15 ] AP bénéficient de l appui de la Fondation *[ ] hectares d AP financées par la Fondation Tsimanampetsotsa 51,4 millions USD en portefeuille 15,7 millions USD encaissés en Capital 1 million USD de financement accordé 5 % en performance des placements Le message de la Présidente du Conseil d Administration 7 années déjà depuis la création de la Fondation en 2005! 2012 confirme l avancée sans cesse grandissante de nos réalisations. En 2003, lors de la convention de Durban, Madagascar s est engagé à donner une forte priorité à la biodiversité, à travers une croissance marquée un triplement - de la surface totale des aires protégées du pays. L objectif ainsi visé était de propulser la surface totale des aires protégées à 6 millions d hectares, portant le niveau de protection jusqu à 10% de la surface totale du pays. Pari tenu, grâce en partie à nos financements! Notre contribution à cette croissance de la superficie des aires protégées est aujourd hui estimée à hectares, soit un tiers du Système des Aires Protégées de Madagascar. Aujourd hui, nous pouvons être fiers du chemin parcouru. Durant ces quatre années de crise politique à Madagascar, nos actions continuent et tendent vers la réduction de la pauvreté des populations cibles couplée à la conservation de nos ressources naturelles. En effet, l approche que nous avons mise en place depuis la création de la Fondation pour la conservation des aires protégées à Madagascar est novatrice. Nous privilégions les relations avec les communautés locales personnes peuvent maintenant profiter des efforts entrepris au niveau des Aires Protégées. Conformément à notre mission, nous contribuons au développement humain durable et nos actions enrichissent les capacités de préservation des collectivités. Nous travaillons pour ce faire avec nos partenaires clés, les gestionnaires des aires protégées que nous finançons, les communautés locales, les autres acteurs du secteur environnemental et bien sûr l Etat. A ce titre, la Fondation est membre actif du comité de pilotage pour l assainissement du trafic de bois précieux, présidé par le Premier Ministre et créé par arrêté 2243/2012 du 16 août 2012, dont l objectif est de «contribuer d une manière transparente et irrévocable à l éradication définitive du trafic de bois précieux à Madagascar». Au plan financier, nous avons fin 2012 reçu la totalité des contributions promises à notre capital et notre portefeuille est évalué à 51,4 millions USD. Cette progression de nos financements conforte encore plus notre position de leader en fonds fiduciaire pour l environnement en Afrique. Nous sommes en phase de développement de notre mission et le défi continue, ensemble nous pouvons renforcer ce qui a été édifié. Nous aspirons à maintenir la Fondation en sa position actuelle en Afrique et renforcer les mécanismes de pérennisation des financements pour Madagascar. Pour finir, j adresse mes plus sincères remerciements à toute l équipe et tous nos partenaires. C est grâce à la synergie entre les membres du Conseil d administration et l équipe exécutive animée de son dynamisme, ainsi que la collaboration avec tous nos partenaires, que nous avons pu accomplir ces réalisations. Sahondra RABENARIVO Présidente du Conseil d Administration 2 3

3 Sommaire 02 INTRODUCTION en chiffres - Le mot de la Présidente 06 Chapitre 1 : Des impacts réels et mesurables - Tour d horizon des différents habitats concernés par nos financements - Missions de suivi-évaluation - Présentation des Aires Protégées additionnelles - Proposition de financement au titre de l année Chapitre 2 : Financer la conservation de la biodiversité à Madagascar - Appui institutionnel de la Banque Mondiale - Application des procédures et système comptable - Suivi des financements octroyés - Capital et investissements - Diversification des sources de financement 21 Chapitre 3 : Visibilité et crédibilité - Renforcer la visibilité nationale auprès des acteurs environnementaux - Renforcer la visibilité internationale auprès des acteurs environnementaux - La communication au service de la Fondation 28 Structure organisationnelle - Conseil d Administration - Equipe exécutive 32 RAPPORT D AUDIT 30 PERSPECTIVES 2013 DU DIRECTEUR EXÉCUTIF 4 5

4 CHAPITRE 01 Les sites financés par la FAPBM et les gestionnaires correspondants : DES IMPACTS RÉELS ET MESURABLES 1/ Tour d horizon des différents habitats concernés par nos financements De par ses financements, la Fondation contribue à préserver plus de 24 types d écosystèmes : forêts denses humides (d une superficie d environ hectares), forêts sèches ( ha), forêts littorales ( ha), lacs ( ha), parcs marins ( ha) comprenant des récifs coralliens, des herbiers phanérogames, et des mangroves ( ha). Nosy Hara Mantella aurantiaca 6 7

5 La plupart de ces AP jouent un rôle fondamental en tant que réservoir d eau, de réserve génétique et de ressources naturelles. Ainsi, de par leur existence, ces AP permettent à environ personnes de subsister. L action de la Fondation sur ces Aires Protégées contribue à : préserver les espèces cibles et les différents écosystèmes ; diminuer les niveaux de menace ; augmenter le nombre de ménages impliqués dans la gestion ou dans l existence de l AP ; augmenter l autonomie financière des AP. Les parcs financés en 2012 NAP ORONJIA Le financement d Oronjia a permis de renforcer l implication des parties prenantes, influant ainsi sur sa valorisation et sa protection. Les comités de pilotage et les communautés locales ont été redynamisés et les différents documents nécessaires à la demande de protection de statuts définitifs ont été élaborés. Les limites de la NAP, soit plus de 50 km et une douzaine de plaques de délimitation, ont été posées. Sur le volet développement et écotourisme, des formations sur les techniques d élevage ont été dispensées. Le plan d aménagement et de gestion écotouristique de la NAP a été validé. Sur le plan médiatique, un article de presse a été diffusé dans la Revue de l Océan Indien. Parc National ANKARANA Les principales réalisations portent sur le développement des infrastructures touristiques, notamment la réhabilitation de 13km de la piste d accès au PN Ankarana. Grâce au soutien de la Fondation, la conservation du Parc National a été renforcée. Des missions de patrouilles avec des officiers de la police judiciaire Phalaenopsis Sp et de la brigade mixte ont été réalisées. Des sessions de formation de CLP dans 14 fokontany ont été dispensées. Des panneaux d information et d interdiction en dur ont été installés. Réserve Naturelle Intégrale TSARATANANA C est au cours de cette année 2012 que, pour la première fois, la Réserve Naturelle Intégrale Tsaràtanana bénéficie du soutien de la Fondation. Les principales réalisations portent sur la conservation de ce site unique à Madagascar, en termes de diversités des milieux naturels. 10 postes de gardes et 40 km de limites externes ont donc été installés. Une demi-douzaine de barrières de contrôle, et l entretien de 25 km de limites du noyau ont été réalisés. Parc Naturel MAKIRA Suivant le décret du 19 juin 2012, le Parc Naturel Makira a obtenu le statut de protection définitif. Les réalisations de cette année 2012, ont permis de sécuriser le parc. Dans le cadre de la conservation, 16 pépinières villageoises productives ont été mises en place, soit plus de plants de girofliers et d arbres d espèces diverses produits. Des camps d exploitation illicite de pierres précieuses ont été démantelés, et les paysans installés dans le parc ont pu être déplacés. Des poursuites judiciaires ont été engagées contre les délinquants, après les missions conjointes effectuées par les gestionnaires du parc et les autorités locales. Complexe MAHAVAVY KINKONY L année 2012 a été marquée par l élaboration, la validation et la mise en application des termes de références de chaque entité constituant la structure de gestion du Complexe Mahavavy Kinkony. Le soutien financier octroyé par la Fondation porte sur la réalisation des suivis écologiques T0 des poissons, mais aussi sur l appui au développement des communautés par la mise en œuvre et l extension des filières porteuses. Des ateliers et formations ont été dispensés en faveur des communautés locales pour renforcer leurs capacités de conduite des projets, de production et de transformation des produits. Parc National MASOALA De par ses financements, la Fondation a contribué à la conservation et au développement de la recherche, notamment par la réalisation d une douzaine de suivis écologiques dans 18 stations. Une dizaine de transects (1) sectoriels d observations de lémuriens ont été effectués en collaboration avec les agents du parc. Dans le domaine du suivi écologique marin, il a été relevé la perception de l omniprésence du poisson Napoléon (Cheilinus undulatus), espèce menacée par une forte demande des restaurants asiatiques. En matière d éducation environnementale, la célébration de la Journée Mondiale de l Environnement (JME) a été marquée par des actions de sensibilisation au niveau de 14 villages. Les membres du COSAP ont été renouvelés, ainsi que la certification BIO de la campagne 2012/2013 de vanille et de girofle. Parc National MANANARA NORD Masoala Avril 2012 Le soutien de la Fondation, a permis de mettre en place un plan de suivi écologique participatif. 41 surveillants villageois ont reçu des formations, ce qui a facilité la réalisation des suivis écologiques mensuels dans chaque terroir (2) et des transects d observation des lémuriens. Les foyers hautement menacés ont été priorisés, et 8 9

6 des descentes mixtes ont été effectuées. Ces actions ont permis d identifier plusieurs plaintes pour cause de défrichement de forêts primaires et de parcelles de savoka, des occupations illicites, des exploitations de bois de rose et de quartz, et des actes de braconnage. NAP ANALALAVA L Association Velonala a bénéficié d un important regain de dynamisme grâce à la création de deux nouveaux groupements. Sur le volet conservation et recherche, la mise en place des règles DINA a été effectuée pour assurer une gestion durable des ressources naturelles (pisciculture et pépinière, avec une production supérieure à plantules). Les patrouilles de contrôle et de surveillance ont été renforcées. La création d activités génératrices de revenus et la consolidation des structures de gestion existantes ont été accomplies. Enfin, la promotion du volet écotourisme a été relancée. NAP TSIMEMBO MANAMBOLOMATY L apport et le soutien financier de la Fondation ont permis de réaliser des actions concrètes au profit de la conservation et de la recherche ; à savoir, le suivi journalier de la production de pêche (supérieure à 100 tonnes). Mais aussi de renforcer le contrôle et la surveillance des feux et des coupes. Plus de pieds d arbres ont également été plantés dans le cadre des activités de reforestation. Le volet développement et écotourisme a été marqué par l achat d un demi millier de nouveaux filets et de plus d une dizaine de pirogues en fibre de verre. Enfin, deux écoles ont été réhabilitées et dotées en matériels et équipements (table-bancs, tableaux ). Coracopsis niagra (LC) Perroquet noir Complexe MANGOKY-IHOTRY Le soutien financier de la Fondation s est orienté notamment vers le développement des communautés. Ainsi, un Responsable de développement a été recruté et a pu mener des consultations locales sur les filières porteuses. Dans le cadre de la conservation, 6 missions de suivi périodique portant sur la taille des poissons ont été réalisées, ainsi que 3 missions de suivi et de contrôle menées par l association Mangoky Ihotry Arovana - MIARO (Communauté de base COBA) dans le Lac Ihotry et ses environs. Huit nouvelles associations non formelles, constituant le Vondron Olona Ifotony Soatanamahafaly (communauté locale) ont été créés. Le Dina a été également uniformisé. Sites MNP financés sur Sinking Fund KfW L appui de la Fondation couvre différentes actions menées au bénéfice des parcs. En outre, notre soutien a permis la sécurisation des charges salariales et frais de fonctionnement pour 5 unités de gestion de MNP : Parc National de Marojejy (en co-gestion avec Anjanaharibe Sud) hectares, USD octroyés Parc National d Ankarafantsika hectares, USD octroyés Parc National de Kirindy Mite (en co-gestion avec la Reserve Spéciale d Andranomena) hectares, USD octroyés Parc National d Andringitra (en co-gestion avec le Pic d Ivohibe) hectares, USD octroyés Parc National de Tsimanampetsotsa hectares, USD octroyés Masoala (1) Transect : ligne virtuelle ou physique que l on met en place pour étudier un phénomène où l on comptera les occurrences. (2) Terroir : désigne une région naturelle considérée comme homogène à travers les ressources et productions qu il est susceptible d apporter

7 2/ Missions de suivi-évaluation 3/ 4/ En 2012, huit descentes sur site ont été effectuées par la Fondation. Elles ont permis une vérification physique des réalisations et un constat des états d avancement des activités. Des consultations locales ont aussi été réalisées auprès des différents acteurs, afin de marquer l implication de la Fondation, partager les attentes et sensibiliser ces acteurs. Les missions conjointes sont importantes car elles fluidifient les échanges et renforcent les liens entre les partenaires. Ainsi, la dernière mission sur site a été effectuée avec une équipe de la Banque Mondiale dans le cadre de la supervision des financements de la Fondation. Cette mission conjointe à Tsimembo-Manambolomaty a permis à la Banque Mondiale de visualiser les réalisations des différentes activités financées, de mieux comprendre les champs d intervention de la Fondation, ainsi que de constater les impacts des appuis et l implication des communautés riveraines dans les activités de protection et de gestion durable des ressources naturelles de ce site. Présentation des Aires Protégées additionnelles Conformément à un plan triennal négocié avec la Banque Mondiale, la Fondation étend ses financements au PN de Ranomafana et au PN d Andohahela, tous deux sites des Forêts Humides de l Atsinanana, Patrimoine Mondial de l UNESCO. Proposition de financement au titre de l année 2013 Ankarana Octobre 2012 (3) Les «Objectifs d Aichi» (au nombre de 20), constituent le nouveau «Plan stratégique pour la biodiversité » pour la Planète, adopté lors de la Convention sur la Diversité Biologique (CDB) en octobre La FAPBM financera donc 17 Aires Protégées en 2013, pour USD, dont 12 sur revenus du Capital et 5 sur sinking fund. Par ailleurs, 78% des fonds seront alloués à 11 parcs gérés par MNP, et les 22% restant à 6 Nouvelles Aires Protégées gérées par WCS, Asity Madagascar, The Peregrine Fund et Missouri Botanical Garden. Ranomafana et Andohahela, des AP historiquement appuyées par le GEF-IDA et gérées par MNP, bénéficient également du financement octroyé par la FAPBM en Des réflexions sont en cours afin d intégrer des parcs marins dans le portefeuille de la Fondation. L objectif est de capter des financements dédiés à ces parcs, mais aussi, et surtout, de porter l accent sur les écosystèmes côtiers et marins, en s intégrant ainsi dans la stratégie nationale découlant des objectifs d Aïchi (3). Représentation graphique des financements 2013 : Le financement aux AP a été réparti en 3 catégories : Le financement aux AP de la Banque Mondiale correspondant au plan triennal ; Le financement reconduit pour les AP qui ne font pas à ce stade l objet de commentaires particuliers quant à leur capacité de gestion ou d absorption ; Le financement révisé à la baisse de 50% pour les AP qui ont des difficultés de gestion de fonds. Sur la base de cette hypothèse de catégorisation, on estime à USD les besoins de financement à partir des revenus du capital. Ainsi, conformément aux décisions du Comité de Financement du 4 octobre 2012, une proposition de financement a été énoncée pour 17 aires protégées ayant soumis un PTA (Plan de Travail Annuel) Mananara Nord (MNP) ; 4% Masoala (MNP) ; 8% Makira (WCS) ; 5% Complexe Mangoky - Ihotry (Asity) ; 2% Tsaratanana (MNP) ; 5% AP SINKING FUNG KFW (MNP : Marojejy, Ankarafantsika, Andringitra, Kirindy Mitéa, Tsimanampetsotsa) ; 42% Ranomafana (MNP) ; 7% Ankarana (MNP) ; 6% Andohahela (MNP) ; 6% Oronjia (MBG) ; 2% Analalava (MBG) ; 2% Tsimembo Manambolomaty (TPF) ; 7% Complexe Mahavavy-Kinkony ; 4% 12 13

8 CHAPITRE 02 FINANCER LA CONSERVATION DE LA BIODIVERSITE A MADAGASCAR 1/ Appui institutionnel de la Banque Mondiale Suite à l approbation d un manuel de procédures administratives et financières incluant un manuel de sauvegarde environnementale et sociale, la Fondation a signé le 29 février 2012 un Accord Subsidiaire avec le MEF (en tant que tutelle technique), le MFB (en tant que tutelle financière) et la Banque Mondiale, dont les objets ont été : L accord de Don FEM TF MAG pour USD en Capital de la Fondation ; L accord de Financement IDA 4965-MAG pour USD en appui institutionnel pour la Fondation. En outre, la mise en œuvre d un Plan de Passation de Marchés est effective depuis le 20 Juin Pour assurer la transparence et la bonne exécution de ce plan, une formation a été organisée, et sanctionnée d un certificat de bonne exécution, au profit de l ensemble des bénéficiaires du Financement Additionnel. L appui du PEIII aura notamment permis à la Fondation en 2012 : D acquérir des matériels informatiques et bureautiques ; La participation à des ateliers internationaux tels que la mission UICN à Jeju en Corée ou encore l Assemblée du CAFE en Ouganda ; La réalisation d une mission de suivi des investissements auprès de JP Morgan ; La réalisation d une mission de formation en Gestion des risques sur les investissements ; La réalisation de missions sur terrain dans le cadre de suivi des financements accordés. 2/ 3/ Application des procédures et système comptable A la fin de l année 2011, un manuel de procédures administratives et financières a été élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du Financement Additionnel PEIII, approuvé par le Conseil d Administration le 30 janvier 2012 et validé par la Banque Mondiale le 29 février Les principaux changements apportés par le nouveau manuel sont : La mise en œuvre d un Système de Contrôle Interne beaucoup plus exigeant dans le processus d engagement des dépenses et de la gestion de trésorerie : documents préimprimés et en plusieurs exemplaires, Suivi des financements octroyés Au titre de l année 2012, la Fondation a octroyé une enveloppe de plus d un million de dollars en faveur de 15 aires protégées, dont 4 nouveaux sites. Ces AP représentent une superficie totale d environ hectares, sur les hectares couverts par le SAPM. A travers ses appuis au développement, à la conservation, à l éducation et à l écotourisme, la Fondation contribue ainsi à la conservation et à la protection de 33% de la superficie totale des AP à Madagascar. Une harmonisation et une consolidation des rapports financiers ont circulation de documents bien définie ; L adoption du logiciel TOMPRO dans le processus de comptabilité générale, d imputation analytique, de suivi budgétaire et d élaboration des rapports de suivi financier exigés par la Banque Mondiale ; D importantes améliorations dans le suivi financier des subventions accordées (suivi des engagements, suivi de la trésorerie, contrôle des grands-livres et de la gestion comptable des opérations, cohérence globale). été mises en place et, dorénavant, les gestionnaires se doivent de respecter strictement les canevas établis dans les conventions. Ils établissent maintenant leur rapport financier conformément au plan de suivi comptable de la Fondation, ce qui permet un gain de temps et une fluidité d analyse des rapports. Certaines AP rencontrent encore cependant des difficultés majeures dans la tenue de comptes, et des séances de travail rapprochées en comptabilité ont été effectuées avec leurs responsables. Chelonia Mydas (EN) Tortue verte 14 15

9 Financements à partir des revenus du capital Financements sur Sinking Fund KfW 4/ Gestionnaire Nom de l aire protégée Financements octroyés en 2012 (USD) MNP MANANARA NORD MNP MASOALA MNP ANKARANA MNP TSARATANANA ASITY Madagascar MAHAVAVY-KIKONY ASITY Madagascar MANGOKY IHOTRY WCS MAKIRA The Peregrine Fund TSIMEMBO MANAMBOLOMATY MBG ANALALAVA MBG ORONJIA MAROJEJY / ANJANAHARIBE-SUD ANDRINGITRA / PIC D IVOHIBE MNP ANKARAFANTSIKA KIRINDY-MITE / ANDRANOMENA TSIMANAMPETSOTSA TOTAL Capital et investissements i) Situation du Capital A la fin de l année 2012, les sommes inscrites dans l objectif de capitalisation initial ont été intégralement encaissées. Les déblocages effectués au cours de l année portent sur : la contribution du Gouvernement français à travers le contrat C2D, signé en 2008 (montant total : 13,3 millions d euros) 1 ère tranche : 1,33 million d euros reçus en juin 2012 ; 2 ème tranche, pour le même montant, reçue en novembre millions USD reçus en Juin, contribution du GEF-IDA, euros signés et reçus en décembre 2012, contribution additionnelle du KFW. Dans ce tableau, les fonds reçus en EUR ont été évalués en USD au taux de change de l EUR/USD à leurs dates de déblocages. Ainsi, USD sont investis chez JP Morgan Genève et le reste placé à la BNI Madagascar. Convention de dons Contrevaleur Date de en USD à signature la date de Dates de déblocage Donateurs déblocage Etat malgache (Conversion de dettes Allemandes) EUR avr Fév. / Déc.2006 Conservation International USD juil Mar.2007 WWF USD janv Avr. / Nov.2006 Agence Française de Développement (AFD) EUR juin Déc.2006 Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) EUR juin Déc.2006 Banque Mondiale USD nov Fév.2007 / Nov.2009 Gouvernement Français (à travers le C2D) EUR juin à 2012 Gouvernement Allemand (à travers la KfW) EUR oct Déc.2011 / Déc Global Environment Facility (GEF) USD oct Juin 2012 Donations privées individuelles & 2011 TOTAL - en USD Gouvernement Français (à travers le C2D) 37% Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) 3% Représentation graphique des contributions des bailleurs : Agence Française de Développement (AFD) 5% WWF 2% Banque Mondiale 15% Conservation International 2% ii) Investissements JP Morgan Performance globale des placements (Bilan général) Global Environment Facility (GEF) 21% Gouvernement Allemand (à travers KFW) 13% Donations privées individuelles 0% Etat malgache (Conversion de dettes Allemandes) 2% En termes de résultat de la gestion par JP Morgan, la Fondation a disposé d un portefeuille d une valeur de USD à fin décembre Non investie, la contrevaleur totale en USD à fin décembre 2012 du Capital aurait été de USD, d où un taux de rentabilité des investissements de 5,54 %, net des frais de gestion de USD. A ce titre, les frais de gestion représentent un ratio de 0,39 % par rapport au portefeuille

10 en USD Déc-08 Déc-09 Déc-10 Déc-11 Dec-12 Contrevaleur en USD actualisé du Capital Encaissé Valeur du Portefeuille (avant prélèvements) Rentabilité Brute de l'investissement (avant prélèvements) Taux de rentabilité cumulé (avant prélèvement) Sur les 5 dernières années, cette performance cumulée globale a évolué de la manière suivante : -7,31% 0,01% 4,57% 2,67% 5,54% Prélèvements iii) Gestion des fonds locaux en Ariary Les fonds locaux en Ariary qui proviennent de la remise de dette allemande sont placés localement en Bon de Trésor par Adjudication (BTA) pour la partie non utilisée dans l immédiat et en Dépôt à Termes (DAT) auprès de la banque BNI Madagascar pour la partie utilisée à moins d 1 an. La situation des placements se présente comme suit : en MGA Capital local Gains en BTA & DAT Taux de rentabilité locale 15,87% 22,20% 5,70% 4,82% 7,46% ,24 3,72 15,13 7,39 21,60 3,39 26,42 7,73 35,97 15, Cumul des encaissements Encaissements annuels Montant Moyen Investi annuel Performance annuelle (Résultat annuel) Sur une année, sachant que les fonds sont encaissés à des dates différentes, le montant moyen effectivement investi sur 12 mois sera donc en fonction de la date de déblocage au prorata temporis. Pour 2012, ce montant est estimé à USD avec une rentabilité de USD, ce qui donne une performance annuelle de 5,01 %. Le tableau suivant illustre les performances annuelles des placements sur les 5 dernières années : en USD Montant Moyen Investi JPM Plus-ou-moins-value en 1 an Performance annuelle -12,16% 7,20% 5,23% 3,67% 5,01% Sinking Fund 2010 Sinking Fund 2011 Sinking Fund 2012 iv) Situation du sinking fund KFW Le reliquat de sinking fund disponible en fin 2012 est de 880 millions MGA pour un besoin estimé à environ 1 milliard MGA par an. Les arriérés auprès de l Etat s élèvent à 2,7 milliards MGA. En 2012, le task force composé de quelques membres du Conseil d Administration et du Directeur Exécutif a poursuivi les efforts entrepris depuis l année passée afin d accélérer les déblocages de fonds relatifs au contrat de remise de dettes signé avec la KFW. Les actions du task force qui consistaient en des rencontres et des envois de lettres de relance au Ministre des Finances et du Budget ont pu aboutir au déblocage partiel des fonds correspondant à la tranche A fin 2012, il restait toutefois un arriéré d environ EUR qui n était pas débloqué comme le montre le tableau ci-après : Montant / convention Montant décaissé par l Etat Date de Taux de Somme à recevoir réception change EUR EUR MGA EUR MGA (e) , , , TOTAL

11 CHAPITRE 03 VISIBILITE ET CREDIBILITE 5/ Diversification des sources de financement i) Financement Helmsley Suite à l étude du concept note de notre Fondation, Des négociations sont en cours afin d identifier les axes d intervention éligibles à ce financement. ii) UNESCO Global Meeting CFA Jeju Septembre 2012 La Fondation a participé à la 36 ème Session du Comité du Patrimoine Mondial qui s est tenue à Saint-Pétersbourg du 24 juin au 06 juillet Cette participation a été appuyée en partie par WWF. Le Directeur Exécutif de la Fondation a été sollicité personnellement, en l absence du représentant permanent auprès de l UNESCO et de l Ambassadeur de Madagascar auprès de la Fédération de Russie, pour conduire la délégation malgache. Lors de cette session, il a été décidé le déblocage des USD restant des USD alloués à l Etat (Partie Madagascar) en tant qu assistance internationale d urgence. La FAPBM aura la responsabilité d utiliser ce fond pour mettre en œuvre le plan d action d urgence de sauvegarde des forêts humides de l Atsinànana, classées sur la liste du patrimoine mondial en péril depuis Celui-ci a pour objectif d endiguer au plus vite l exploitation illicite de bois de rose et d ébène ainsi que le braconnage d espèces de lémuriens en danger dans les PN de Marojejy et de Masoala. Tout au long de cette mission, différents bailleurs potentiels ont été approchés dans l objectif de mieux faire connaître les activités de la Fondation et sa place dans un pays en crise. La contribution de la Fondation lui a permis d élargir sa notoriété à l international. Enfin, l idée d une possibilité d extension du bien pour inclure les aires protégées et les corridors forestiers adjacents dès que ces derniers rempliront les conditions d intégrité a été évoquée pour une meilleure protection du bien. 1/ Renforcer la visibilité nationale auprès des acteurs environnementaux Toujours dans un souci d amélioration de sa visibilité, la Fondation participe autant que possible à des événements du secteur environnemental, voire touchant de plus larges secteurs. i) Foire Internationale de Madagascar (FIM) La Foire Internationale de Madagascar (FIM) s est tenue à Andranomena, Antananarivo, du 31 mai au 03 juin, et était principalement destinée au secteur privé local et international (Chine, Indonésie, Maurice, France ). Le thème de cette édition était orienté vers l alliance du secteur privé et du secteur de l environnement. ii) Journée Mondiale pour l Environnement La Fondation a été représentée dans la région Analanjorofo, à Fénérive Est, à l occasion de la célébration nationale de la Journée Mondiale de l Environnement (JME), événement auquel la Fondation a contribué financièrement. iii) Le Cercle de Concertation des Partenaires Techniques et Financiers du Secteur Environnemental (CCPTF-E) Le Directeur Exécutif de la Fondation et la Représentante de l Inter-coopération Suisse HELVETAS ont assuré la coprésidence du CCPTF-E de janvier à juin Le CCPTF-E s est beaucoup impliqué dans les lobbies pour l abrogation de l arrêté ministériel autorisant l exploitation et la vente de toutes les catégories de bois. iv) Comité de pilotage relatif au bois de rose Le Directeur Exécutif a été nommé par décret pour être membre du comité de pilotage relatif au bois de rose. Ce comité créé le 21 août dernier est présidé par le Premier Ministre en vue de la gestion des bois précieux saisis dans le cadre de l assainissement de la filière

12 Dicrurus Fortificatus (LC) Drongo Malgache 2/ RedLAC Capacity Building Workshop Ouganda Septembre 2012 v) Participation à la dynamique de la société civile La Fondation poursuit sa contribution dans divers cercles de réflexions avec l Alliance Voahary Gasy où elle est membre de la commission «Forêts/AP» (créée en juillet), la réunion hebdomadaire du SAPM ou encore les réunions préparatoires du COP 11. Renforcer la visibilité internationale auprès des acteurs environnementaux i) Le Conservation Finance Alliance (CFA) La Fondation continue de participer activement aux conférence-calls mensuels organisés par le CFA, en particulier aux réunions avec les membres du réseau CAFE. Par ailleurs, la Fondation a apporté sa contribution aux questionnaires sur les investissements lancés par le CFA. Le 11 sept à Jeju (Corée du Sud), la Fondation a assisté au Global Meeting du Conservation Finance Alliance (CFA) dont elle est membre depuis Plusieurs thèmes ont été abordés lors de ce meeting dont la définition des lignes stratégiques pour les prochaines années, la nomination du Secrétariat et des membres de la Commission Exécutive La Fondation a également participé au side event (4) organisé par le CFA et le FFEM pour le thème «Conservation finance for protected areas, gaps, comparative analysis and alternatives in a dynamic debate». ii) Le RedLAC favoriser la naissance de nouveaux FE grâce à la systématisation et à la capitalisation des bonnes pratiques de fonctionnement quotidien des FE. soutenir le développement des fondations africaines en organisant chaque année des ateliers de renforcement de capacité (plan stratégique, REDD, fundraising, nouveaux mécanismes de financement). En 2012, le premier atelier annuel a eu pour thème «Communication et Marketing à l usage des fonds environnementaux» et s est déroulé en Ouganda les 25 et 26 septembre avec la participation du Directeur Exécutif et de la Chargée de Communication et Marketing. La Fondation a participé au vote des membres du comité exécutif du CAFE, vote à l issue duquel Madagascar préside ce réseau africain par le biais du Directeur Exécutif de Tany Meva. La Grande Ile sera l hôte de la prochaine AG en iii) Le consortium africain des fonds environnementaux (CAFE) La Fondation est membre fondateur du CAFE, s intéressant aux avancées mondiales en matière de gestion des fonds environnementaux. A ce jour, elle se positionne comme la fondation environnementale la plus importante du continent, en termes de mobilisations de fonds. Calqué sur le modèle du RedLAC, l idée du CAFE a émergé en 2010 afin de créer un réseau de fonds environnementaux africains. La première assemblée générale de ses membres s est tenue en septembre 2011 en Tanzanie. Les membres du réseau CAFE sont invités à l Assemblée Générale du RedLAC en tant qu observateur dans un objectif de renforcement de capacités et de partage de savoir-faire. La dernière assemblée s est tenue au Pérou, du 9 au 11 novembre Le RedLAC ou réseau des fonds sud-américains, caraïbes et pacifiques, organise annuellement des ateliers de renforcement de capacité à l endroit des fonds environnementaux (FE). Les objectifs sont : permettre la mise en place des mécanismes financiers innovants pour la protection de la biodiversité afin de réduire leur dépendance envers les dons et les subventions. Journée Mondiale de l Environnement Juin 2012 Comité du Patrimoine Mondial UNESCO Saint-Pétersbourg Juillet

13 3/ iv) L UICN Le Congrès mondial pour la nature de l UICN s est tenu à Jeju, Corée du Sud, du 06 au 15 septembre. C est l une des plus grandes et des plus importantes rencontres pour la préservation de l environnement. Tenu tous les 4 ans, le but du congrès est d améliorer la gestion des ressources naturelles pour un développement humain, social et économique. Plusieurs dirigeants gouvernementaux mais aussi des organisations non gouvernementales & sociales, des agences des Nations Unies et finalement du secteur public et privé ont pu discuter, débattre et décider des solutions à prendre face aux problèmes majeurs liés à l environnement et au développement. La communication au service de la Fondation La conception d une nouvelle stratégie de communication s est imposée afin que la Fondation puisse atteindre ses nouveaux objectifs stratégiques. Conformément au plan stratégique, l Etat et les partenaires directement concernés par les activités de la Fondation, sont les cibles prioritaires de cette stratégie. Ainsi, une agence de communication a été mandatée en avril 2012 pour concevoir et rédiger la nouvelle stratégie de communication i) Des outils au service d une stratégie de communication plus forte a) Un film institutionnel Dans le cadre de la campagne de levée de fonds dans laquelle la Fondation s est inscrite, un film institutionnel décliné en plusieurs versions a été produit pour une large diffusion à travers différents types de supports. Cette réalisation est certainement l outil le plus marquant de la période et quatre versions de film sont disponibles en anglais et en français : Une version de 6mn pour les appels à contribution aux bailleurs potentiels et diffusion lors des road-shows ; Une version de 15mn pour présenter les activités de la Fondation pendant les évènements (salon, exposition, foire ) ; Une version Internet de 1mn (Site Web, Youtube, Facebook, ) Une version de 1mn pour large diffusion (aéroport, hôtels, supports des autres partenaires, ) b) Le nouveau visage du rapport annuel Suite à une volonté d évolution des supports de communication de la Fondation, le format du rapport annuel 2012 reflète le dynamisme, l ouverture et la capacité de la Fondation à s adapter et à se renouveler. L accent a été mis sur les réalisations de la Fondation et les bienfaits auxquels elle contribue. Des Tournage à Masoala illustrations concrètes et des termes plus simples ont été utilisés afin d être plus accessibles aux potentiels donateurs. Par ailleurs, des photos ont été mises en exergue pour montrer la richesse et la beauté de la biodiversité malgache. c) Un nouveau style de brochure Afin d être en cohérence avec cette volonté d évolution, la Fondation a créé une nouvelle brochure, dont la forme et le fond ont été entièrement revus. Elle adopte un format carré, plus petit et plus léger que l ancienne version, permettant ainsi un transport plus pratique lors des missions. Les images et couleurs utilisées renvoient au rapport annuel d) Des visuels affichables La Fondation a souhaité renforcer son impact visuel, notamment lors de divers événements ; ont ainsi été produits : Un kakémono illustrant le mécanisme de financement de la Fondation ; Un poster de format A0 récapitulant la répartition géographique des bénéficiaires actuels ; Des autocollants du logo aux formats A4 et A5. e) Des clés USB en bambou L idée des clés USB était de combiner à la fois l aspect utilitaire (capacité de stockage de 7Go) et l aspect écologique (elles sont faites en bambou et contribuent à limiter les impressions) dans un outil promotionnel (les clés contiennent le dernier rapport annuel en VF et VA ainsi que le film institutionnel). f) Autres outils En matière d outils de communication, des calendriers, des bloc-notes informatifs ainsi que des stylos ont été offerts aux partenaires en début d année. Comme il est d usage, d autres calendriers seront produits d ici la fin d année. Ont été confectionnés : Des t-shirts mixtes, à l usage des missions et pour distributions auprès des bénéficiaires ; Des polos hommes et des polos femmes, destinés aux bailleurs, potentiels donateurs et du Conseil d Administration. Un prestataire de casquettes est en phase de prospection. Ces goodies seront, tout comme les T-shirts et polos, destinés aux différentes parties prenantes de la Fondation

14 ii) Utilisation des médias Pour une stratégie de communication efficiente et pour permettre à la Fondation de renforcer sa notoriété et améliorer sa visibilité, l équipe communication a souhaité optimiser tous les médias mobilisables. Cette démarche s inscrit aussi dans une volonté de transparence et d ouverture. a) Télévision, radio, presse : utilisation des médias conventionnels La Fondation a toujours privilégié la presse par rapport aux autres médias, pour son caractère plus durable. Néanmoins, les autres types de médias sont de plus en plus sollicités à collaborer avec la Fondation afin d élargir son public. 3 reportages télévisés et 8 articles de presse ont été produits à l occasion de la participation de la Fondation lors de la Foire Internationale de Madagascar. En tout, 22 articles auront été publiés dans la presse locale en b) Utilisation des réseaux sociaux La page Facebook officielle de la Fondation a été restructurée afin de correspondre aux nouveaux standards du réseau social : l affichage Timeline a été implanté et une galerie photos a été intégrée. Il s agit non seulement d un bon moyen d illustrer les activités de la Fondation, mais aussi de faire la promotion des AP financées auprès du grand public. Parallèlement, une chaîne Youtube de la Fondation a été lancée le 11 septembre. Cette chaîne a pour objectif de regrouper les vidéos produites par la Fondation et de rendre plus facile leur recherche et accès sur internet. c) Refonte du site web de la Fondation Une agence web a été recrutée début août pour réaliser la refonte du site web de la Fondation. Un nouveau design, en accord avec la volonté de renouveau et de dynamisme a été choisi. Une version beta a été mise en ligne début septembre 2012, en parallèle avec le congrès de l IUCN auquel la Fondation a pris part. Un accent a été mis sur toutes les productions multimédia de la Fondation : vidéos, photos, animations, presse Chaetodon xantocephalus Boophis tasymena Mantella aurantiaca Falco newtoni (LC) Faucon de Newton Boophis boehmei Propithecus diadema Propithèque à Diadème 26 27

15 Conseil d Administration Structure organisationnelle Mme Sahondra RABENARIVO est associée gérante du cabinet juridique Madagascar Law Offices SARL Présidente du Conseil d Administration de la Fondation CONSEIL D ADMINISTRATION Comité Exécutif M. Léon RAJAOBELINA est le Vice-Président Régional de Conservation International à Madagascar depuis 1996 Vice-Président du Conseil d Administration de la Fondation COMITÉS Investissement - Financement - Levée de fonds Directeur Exécutif M. Barijaona RAMAHOLIMIHASO est Secrétaire Général de la BNI MADAGASCAR depuis 2009 Trésorier Assistante de Direction Ralava BEBOARIMISA Chargée Communication et Marketing Mme Vololoniaina Harimanga JEANNODA est Professeur à la faculté des Sciences de l Université d Antananarivo Administrateur Aina ANDRIAMISEZA Mihary RANDRIANARIVELO Mme Sandra RANDRIANARISOA est Directrice de la Succursale à Madagascar d ECOCERT S.A. et Directrice Régionale de ce même organisme dans la Zone Afrique de l Est et Océan Indien Administrateur Contrôleur Financier Ary Fenitra RABESO Grant Making Officer Julie RANIVO RAKOTOSON Responsable administratif Tahina ANDRIAMANDROSO Monitoring Officer (en cours sur PE3) M. Gatien HORACE est Secrétaire Général du Ministère de l Education Nationale et Président de l Université de Toamasina depuis 2006 Administrateur Comptable Tahiry RAZAFIMAHAZO Chargé des Moyens Généraux Hajarivo ANDRIANANDRASANA M. Alain RASOLOFONDRAIBE est Associé-Directeur Général des Sociétés SILAC, SDPA à Madagascar qu il a fondé en 1993 Administrateur Personnel d Appui M. Jean-Paul PADDACK est Directeur de l International Business Development de WWF International Administrateur Plusieurs postes ont été pourvus en 2012, pour renforcer les ressources humaines impliquées dans le processus administratif (Comptable, Chargé de Moyens Généraux et Assistante de Direction). M. Abdoul Cheikh ABDALLAH est Directeur Général du Ministère du Tourisme Administrateur 28 29

16 Perspectives 2013 du Directeur Exécutif A l horizon 2013 : «Leader en Afrique» et «référence internationale reconnue en matière de gestion de fonds environnementaux». Tels sont les mots qui peuvent décrire les réalisations de notre Fondation en Durant ses 7 années d existence, nous avons multiplié nos efforts en nous dotant des moyens nécessaires pour pouvoir relever le challenge qui nous attend. Nous poursuivrons nos efforts, afin de mobiliser davantage des financements, notamment en impliquant le secteur privé national, Il est important pour la Fondation de devenir membre de l UICN et de rejoindre un réseau mondial influant, pour relever avec efficacité l un des défis majeurs mondiaux actuels que représente la protection de la nature et l utilisation durable des ressources naturelles. Etant membre fondateur du réseau CAFE (Consortium Africain des Fonds Environnementaux), nous aurons le privilège de co-organiser l Assemblée Générale qui se tiendra au mois de septembre 2013 à Madagascar. Par ailleurs, dans le cadre de la mise en œuvre d une politique de gestion financière conforme aux standards internationaux, et dans le souci d optimiser nos placements, la fondation va faire appel à l expertise d un conseiller financier international. L année 2013 sera également marquée par une revue stratégique de l ensemble de nos financements afin d en évaluer les impacts. La sauvegarde de la biodiversité de Madagascar est un enjeu mondial. Notre pays possède un niveau d endémisme exceptionnel et de nouvelles espèces continuent d être découvertes chaque année. Mais cette biodiversité unique au monde, subit des pressions énormes et l exploitation irrationnelle des ressources naturelles dégrade un peu plus notre patrimoine chaque année. La protection de notre richesse naturelle est une noble cause que nous ne pouvons pas réaliser sans votre aide. Ralava Beboarimisa Directeur Exécutif 30 31

17 RAPPORT D AUDIT 32 33

18 Bilan passif (en Ariary) Bilan actif (en Ariary) ACTIF EXERCICE 2012 NET Brut Amort./Prov. Net EXERCICE 2011 ACTIFS NON COURANTS Immobilisations incorporelles , , , ,40 logiciels informatiques et assimilés , , , ,40 Immobilisations Corporelles , , , ,38 Installations , , , ,00 Matériels de communication , , , ,00 Matériels de mission , , , ,00 Matériels roulants , , , ,00 Matériels et mobiliers de bureau , , , ,00 Matériels informatiques , , , ,38 Immobilisations financières , , ,00 Dépôts et cautionnements versés , , ,00 Immobilisations en cours , ,58 - Total - Actifs immobilisés , , , ,78 Apport en Capital - Non encore décaissé TOTAL ACTIFS NON COURANTS , , , ,78 ACTIFS COURANTS Stocks et en-cours Créances et emplois assimilés , , ,21 Clients et autres débiteurs Personnel , ,40 0,40 Créances à recevoir - organismes Créances à recevoir de l Etat Autres créances et actifs assimilés , , ,81 Trésorerie et équivalents de trésorerie , , ,68 Banque BNI , , ,72 BNI MGA - Compte Courant , ,66 ( ,26) BNI MGA - Compte Capital , , ,04 BNI MGA - Sinking Fund KFW , , ,52 BNI EUR 5 991, , ,60 BNI USD , , ,82 Banque BNI-Compte Financement AP , ,08 - Banque BNI Compte Donations Locales , ,70 - Banque BMOI , , ,28 BMOI MGA , , ,19 BMOI EUR , , ,42 BMOI USD , , ,67 JP Morgan Chase Bank , , ,89 Placements locaux , ,97 - BTA , ,97 - DAT Caisse et autres , , ,05 Petite Caisse MGA , , ,87 Caisse en devises , , ,07 Chèques , ,55 - Intérêts courus sur BTA & DAT , , ,11 Compte d attente à régulariser , , ,72 Charges constatée d avance , , ,07 TOTAL ACTIFS COURANTS , , ,68 TOTAL GENERAL - ACTIF , , , ,46 CAPITAUX PROPRES ET PASSIFS CAPITAUX PROPRES Dotations en Capital (Endowment Funds) , ,66 Fonds reçu des bailleurs ,09 Dépenses cumulées de fonctionnement ( ,52) Report à nouveau (Résultats antérieurs) , ,52 Report à nouveau (Correction d erreur) ( ,50) ( ,50) Résultat net de l exercice ,58 ( ,25) Résultat cumulé , ,77 TOTAL - CAPITAUX PROPRES , ,43 PASSIFS NON-COURANTS Produits différés : subvention d investissement ,71 - Fonds avec Mandat de gestion , ,86 TOTAL - PASSIFS NON COURANTS , ,86 PASSIFS COURANTS Fournisseurs et comptes rattachés , ,50 Dettes envers le personnel et rattaché , ,63 Dettes envers les Organismes sociaux , ,20 Dettes envers l Etat , ,00 Autres dettes , ,84 Comptes d attente à régulariser - - Produits constatés d avance TOTAL - PASSIFS COURANTS , ,17 TOTAL GENERAL - PASSIFS , ,46 RUBRIQUE Capital social Fonds reçu des bailleurs de fonds Dépenses cumulés de fonctionnements Autres capitaux propres Résultat Solde au 31 décembre ,66 0,00 0, ,02 ( ,25) ,43 Changement de méthode comptable Total ,00 ( ,55) ( ,00) ( ,55) Correction d erreurs , ,56 Autres produits et charges ( ,97) ( ,11) ( ,08) Affectation résultat & report à nouveaux au 31/12/2011 ( ,25) ,25 0,00 Opérations en capital , , ,50 Résultat net de l exercice arrêté au 31 Décembre 2012 Etat de variation des capitaux propres (en Ariary) , ,58 Solde au 31 décembre , ,09 ( ,52) , , ,

19 Compte de résultat (par nature - en Ariary) POSTES Chiffre d affaires - - Production stockée - - Production immobilisée - - I- PRODUCTION DE L EXERCICE - - Achats consommés , ,58 Services extérieurs et autres consommations , ,97 II- CONSOMMATION DE L EXERCICE , ,55 Tableau des flux de trésorerie (méthode directe - en Ariary) RUBRIQUE MONTANT 2012 MONTANT 2011 Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles Encaissement reçus (clients et autres débiteurs) , ,00 Sommes versées (fournisseurs, personnel et autres créditeurs d exploitation) , ,84 Intérêts et autres frais financiers payés , ,97 Impôts sur les résultats payés - - Subvention reçue , ,05 Subvention accordée , ,87 Flux de trésorerie avant éléments extraordinaires ( ,68) ( ,63) III- VALEUR AJOUTEE D EXPLOITATION ( ,06) ( ,55) Impôts, taxes et versements assimilés ,00 - Charges de personnel , ,64 IV- EXCEDENT BRUT D EXPLOITATION ( ,41) ( ,19) Autres produits opérationnels , ,23 Autres charges opérationnelles , ,80 Dotations aux amortissements, aux provisions et pertes de valeurs , ,00 Reprise sur provisions et pertes de valeurs , ,12 V- RESULTAT OPERATIONNEL ( ,64) ( ,64) Produits financiers , ,36 Charges financières , ,97 VI- RESULTAT FINANCIER , ,39 Flux de trésorerie liés à des évènements extraordinaires - - Flux de trésorerie net provenant des activités opérationnelles (A) ( ,68) ( ,63) Flux de trésorerie liés aux activités d investissement Décaissements sur acquisition d immobilisations incorp. et corp , ,74 Encaissements sur cessions d immobilisations incorp. et corp. - - Décaissements sur acquisition d immobilisations financières - - Encaissements sur cessions d immobilisations financières - - Intérêts encaissés sur placements financiers , ,03 Dividendes et quote-part de résultats reçus - - Flux de trésorerie net provenant des activités d investissement (B) , ,29 Flux de trésorerie liés aux activités de déblocage du Capital Encaissements suite à l émission d actions - - Encaissements suite au déblocage des endowments funds , ,40 VII- RESULTAT AVANT IMPÔT ,58 ( ,25) TOTAL DES PRODUITS DES ACTIVITES ORDINAIRES , ,71 TOTAL DES CHARGES DES ACTIVITES ORDINAIRES , ,96 VIII- RESULTAT NET DES ACTIVITES ORDINAIRES ,58 ( ,25) Produits extraordinaires Charges extraordinaires - - IX- RESULTAT EXTRAORDINAIRE - - VII- RESULTAT AVANT IMPOTS ,58 ( ,25) Fonds reçu des bailleurs - Encaissement provenant d emprunts - Remboursement d emprunts ou d autres dettes assimilées - Flux de trésorerie net provenant des activités de financement (C) , ,40 Variation de trésorerie de la période (A+B+C) , ,06 Trésorerie et équivalents de trésorerie à l ouverture de l exercice , ,62 Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture de l exercice , ,68 Variation de trésorerie de la période , ,

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