LE FONDS DE GARANTIE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LE FONDS DE GARANTIE"

Transcription

1 CENTRE DE RECHERCHES, D ETUDES ET D APPUI A L ANALYSE ECONOMIQUE À MADAGASCAR LE FONDS DE GARANTIE Auteur Version date Maholy RAKOTOARISOA - Assistant chercheur finale Octobre 2003 Critère de diffusion : Publique The African Capacity Building Foundation

2 LE FONDS DE GARANTIE Initialement, l idée d un fonds de garantie appuyé par l Agence Française pour le Développement (AFD) été avancée par le CAPE (Comité d Appui au Pilotage de la Relance de l Entreprise) auprès du Gouvernement et des Banques dans le cadre de l appui à un programme de sortie de crise de 2002 et de relance de l économie. Jouant un rôle moteur dans ce programme dans la coordination des actions du pouvoir public et du secteur privé, le CAPE a institué en Août 2002 un groupe de travail comprenant l Etat représenté par le Secrétariat Général du MDSPIA, le secteur privé représenté par le GEM et les Banques représentées par le BTM-BOA. Au niveau de l évolution des crédits bancaires, les données fournies par le CSBF sur le secteur bancaire évoquent une détérioration de la qualité du portefeuille de crédits depuis En milliers de dollar 2000 % 2001 % 2002 % (USD) Crédits sains Créances douteuses ,5% 8,41% ,6% 10,4% ,5% 19,5% Provisions Crédits nets Crédits bruts Source : CSBF, nos propres calculs EVOLUTION DES CREDITS BANCAIRES en milliers de USD Crédits sains Provisions Crédits bruts (sans prov.) Créances douteuses Crédits nets - Suite à la crise socio-politique, 19% des crédits bruts sont classés en créances compromises ou douteuses en 2002 contre 10% en 2001 et 8% en une baisse du volume des crédits sains en 2002, alors que l octroi de créances douteuses ou compromises se sont accrus; - ce qui engendre une baisse importante des crédits nets accordés en 2002 Ainsi, avec l appui de l AFD et la contribution de l Etat, les banques se sont associés au Fonds de garantie pour couvrir les pertes éventuelles suite à cette crise. Des missions ont eu lieu depuis septembre 2002 afin de mettre en place ce projet. La présente étude retrace les informations sur le Fonds de garantie à son stade actuel, ensuite analyse les effets attendus de ce Fonds, enfin émet des recommandations pour améliorer son efficacité. 1

3 I. INFORMATIONS SUR LE FONDS DE GARANTIE Depuis janvier 2003, Le «Fonds de Garantie Malgache» est constitué sous forme de S.A du au capital de 2 milliards de FMG par le Gouvernement et les principales banques avec l appui de l AFD. Depuis le 23 janvier 2003, date de l Assemblée constitutive du Fonds de Garantie Malgache, cet établissement est maintenant «opérationnel». Le Fonds de garantie malgache o établissement financier sous l autorité de CSBF (Commission de Supervision Bancaire et Financière) o doté d un Conseil d administration et d un comité de garantie o son siège est situé à Antsahavola, Immeuble Marbour (Secrétariat Général) o garantit les crédits bancaires s appliquant aux prêts en FMG d une durée de 2 à 5 ans Cet Etablissement financier dont les actions sont conduites en étroite relation avec les banques partagera le risque des opérations de financement à moyen terme visant 3 objectifs : o développement et amélioration des capacités de production des entreprises existantes, o création d entreprises nouvelles, o et renforcement de la structure financière des entreprises en difficulté conjoncturelle par la reconstitution du fonds de roulement En ce qui concerne l actionnariat : l Etat est représenté à 49%, et les Banques sont majoritaires à 51% (BNI, BMOI, BFV, BOA, UCB, SBM, et plus récemment CMB) Les entreprises éligibles aux garanties du Fonds sont les entreprises de droit malgache du secteur privé dans les secteurs suivants : industrie manufacturière, industrie agro-alimentaire, Agriculture, Pêche, mines, tourisme et hôtellerie, bâtiment et travaux publics, transport, service liés au secteur productif, commerce éligible jusqu au 31 décembre Le risque maximal garanti au titre d un crédit éligible est de 1,75 milliards de FMG avec une quotité minimale de 40% et maximale de 70% de l encours du prêt. Le traitement de dossiers auprès du Fonds dure en moyenne trois semaines. Pour les entreprises intéressées, trois étapes s ensuivent: o Soumission des demandes de financement auprès des banques ; o Etude du dossier de demande de prêts par la Banque elle-même ; o Présentation par la banque du dossier au FONDS : le traitement pour la décision d octroi de garantie. II. EFFETS ATTENDUS DU FONDS DE GARANTIE L effet attendu lors de la création du Fonds est la relance de l économie basée sur la dynamisation du secteur privé inscrit dans le cadre du DSRP. Ce Fonds est un fruit d un partenariat Public-privé matérialisé par l appui de l Etat aux systèmes de financement du secteur privé (incitation à l investissement privé ). Ainsi, il est attendu : - une facilitation de l accès au crédit bancaire de trésorerie ou d investissement cautionné par l Etat ; 2

4 - Un accroissement des entreprises qui ont recours au crédit bancaire et également accroissement du volume de crédits ; - Une relance des activités des Entreprises privés malgaches fragilisées par la crise de Une augmentation de la production et de la productivité des entreprises bénéficiant des crédits et intégration de cette augmentation dans le PIB et donc dans la croissance ; Par effet d entraînement, de la relance devront s ensuivre à moyen terme : - Une baisse relative des prix des produits finis locaux car la production a profité d une amélioration de la productivité et/ou d une augmentation de la capacité de production ; - une relance de la Consommation Globale ; - L investissement privé est attendu être le moteur de la croissance économique, le financement des investissements doit permettre un accroissement du taux de croissance ; Les perspectives affichées pour les 3 ans à venir et cadrées dans le DSRP énoncent à moyen et long terme une dynamisation du secteur privé pour qu il apporte progressivement à hauteur de 12 à 14 % du PIB par les investissements privés. III. ANALYSES DU FONDS DE GARANTIE ET RECOMMANDATIONS 1. Le mécanisme La mise en place du Fonds de Garantie depuis janvier 2003 a permis de tenir cinq réunions du Conseil d administration jusqu en septembre 2003 et dix réunions du Comité de garantie (CG) jusqu en Août Le CG présidé par le Secrétaire général du MEFB décide de l attribution des garanties et des indemnisations. Les décisions sont prises à l unanimité de ses membres. Le Secrétariat du Fonds se charge de la préparation technique des réunions du CA et du CG, de la gestion administrative et comptable du FONDS. Cependant, l octroi de crédits bancaires relèvent de la Banque prêteuse car elle effectue l instruction des dossiers de demande de prêt des entreprises. Le FONDS n instruit pas de dossiers de financement. Seules les entreprises déjà bancarisées bénéficient des crédits bancaires «classiques», comme celui d avant la crise. Le mécanisme n est donc pas ouvert aux entreprises hors du portefeuille actuel d engagement bancaires. Ainsi, Le Fonds de Garantie Malgache ne facilite pas l accès au financement bancaire des entreprises locales fragilisées par la récente crise et qui présente un risque trop important pour les banques commerciales sans garantie additionnelle. Les entreprises éligibles sont des entreprises déjà bancarisées et souvent des grandes entreprises. L accès au crédit est encore conditionné par la banque et beaucoup de dossiers ne sont pas encore bancables. Le Fonds de garantie cautionne les prêts libellés en FMG d une certaine catégories d entreprises définies «viables» selon les banques, son système de fonctionnement réduisent énormément l accès des petites et moyennes entreprises (PME PMI) susceptibles de présenter des conditions de viabilité suffisante pour le développement de leur activité. Actuellement doté d une structure technique légère (secrétariat général), le Fonds ne dispose pas encore de structures humaines compétentes pour étudier les dossiers, plus particulièrement les risques à garantir. Cela laisse une trop grande latitude aux banques «commerciales» en ce qui concerne les critères d évaluation des dossiers (viabilité, rentabilité, ). 3

5 Recommandations : - Doter au Fonds de garantie des capacités humaines et techniques appropriées aux études des dossiers parallèlement aux instructions de dossiers par les Banques. Pour permettre l accès au crédits bancaire couvertes par le FONDS à un plus grand nombre d entreprises et viser ainsi les entreprises hors du portefeuille des banques: - Il est proposé que les Petites et moyennes entreprises soient couvertes par le Fonds. Comme le Fonds est appelé à réduire les risques pour les banques, un crédit couvert par le fonds devrait pouvoir bénéficier de taux d intérêt plus faible proposé par les banques et accessibles pour les PME déjà bancarisées. - Le FONDS doit être couplé avec des lignes de crédits et de financement de moyen terme à effet structurant auprès des PME non-bancarisées tels que ENTREPRENDRE A MADAGASCAR, SIPEM, ADEFI 2. Insuffisance d informations La création du Fonds de garantie Malgache et son objet est souvent ignorée par les entreprises. Bons nombres d entrepreneurs viennent consulter le Fonds de Garantie Malgache pour demander des garanties pour les prêts bancaires ou même des financements de leurs projet 1. Recommandations - Des campagnes d informations doivent être entreprises afin de clarifier son existence, et d évaluer son efficacité auprès des entreprises. (confection de brochures et d émissions télévisées). - Les informations sur les activités du Fonds parvenues au Comité de garantie doivent être publiées à large diffusion comme celle sur le BTA (Bons de Trésor par Adjudication) 3. Actionnariat et bailleurs Le capital est de 2 milliards de FMG dont 980 millions à l Etat. Les Banques détiennent 51% et sont ainsi majoritaires. Répartition du capital ( source : Fonds de Garantie Malgache) ACTIONNAIRES (%) 10,09% 11,42% 4,02% 2,66% 2,66% 7,64% 12,45% 49,05% Etat BNI BMOI BFV BOA UCB SBM CMB Le Secteur privé n est pas actionnaire. 1 Interview avec Madame Jeannine ANDRIANAIVO, Secrétaire Général du Fonds 4

6 Cette représentation majoritaire influe sur les décisions du Conseil d Administration en ce qui concerne les activités du Fonds : vote à majorité absolue. Le Fonds de Garantie pourrait alors privilégier l intérêt des banques au détriment des potentiels entreprises bénéficiaires de crédits. Dans ce cas, le Fonds de Garantie fonctionnera plus comme un établissement sous l égide des banques. Recommandations Il faudrait faire représenter le secteur privé au sein de l actionnariat même à un pourcentage marginale.il est préférable qu il soit représenté au capital pour équilibrer la majorité et donner l image du Fonds qui est appelé à participer à la relance des activités économiques du secteur privé à Madagascar en facilitant l accès au financement bancaire des entreprises locales. Le Fonds de garantie avancé par la Banque Européenne pour l Investissement (BEI) d une enveloppe totale 8 millions d euros et dont la Période d affectation de la ligne de crédit clôturera le 10 décembre 2003 devrait également être associé au Fonds de Garantie Malgache. Complémentaire au Fonds de Garantie fourni par l AFD, il s agit de fonds mis à la disposition dans les banques commerciales privées (BFV, UCB, BNI-CL, BMOI). De plus, ce Fonds fourni par la BEI offre une facilité destinée à soutenir les PME malgaches via des crédits à moyens et long terme à taux d intérêt fixe libellés en euro ou en fmg. Activer l intégration de cette nouvelle ligne dans le système du Fonds et tenir compte les prêts pour des projets d investissement ou de développement libellés en devises. 4. Politique des risques Le Comité de garantie décide de l octroi ou non de garantie à la suite de l instruction de la demande de crédit par les banques. Ainsi, le Fonds n effectue pas d études des risques des crédits bancaires à accorder car la décision d octroi se fait cas par cas. Pour un crédit bancaire classique, l analyse des risques (rentabilité, viabilité, pérennité, ) se base sur des projections pessimistes. En effet, les banques commerciales privées exigent toujours une garantie additionnelle souvent trop inaccessible aux entrepreneurs locales et il est souvent difficile pour une entreprise moyenne de bénéficier des crédits, surtout pour la création. Ainsi, beaucoup de dossiers sont déjà éliminés auprès des banques et les dossiers qui arrivent au stade de l étude par le Comité de garantie sont des dossiers classées «éligibles» par la Banque. Recommandations Les risques couverts ne sont pas précises. Il faudrait préciser les évènements générateurs de la mise en jeu de la garantie. L étude des risques de crédits n existe pas encore à Madagascar. Une formation sur l analyse des risques de financement afin d éviter les risques de dérives d un mécanisme de fonds de garantie (expériences des années 70). Il faudrait soit : - organiser une formation à l étranger ; - soit embaucher un expert international qui dispensera des formations aux banques, institutions financières et au personnel du Fonds. Le Fonds devrait alors concevoir une politique des risques bien définie pour instruire les dossiers parallèlement avec les banques. 5

7 5. Evolutions des crédits bancaires Le tableau qui suit montre l évolution des engagements bancaires en général depuis décembre 2002 avec les caractéristiques des crédits bancaires octroyés (à court terme, à moyen terme ou à long terme). (en millions de Fmg) Crédits Déc 02 Janv Fév Mars Avril Mai Juin Juil Août Bancaires C.T , , , , , , , , ,1 M.T , , , , , , , , ,5 L.T , , , , , , , ,2 Total , , , , , , , , ,8 Source : Banque Centrale EVOLUTION DES ENGAGEMENTS BANCAIRES En millions de FMG déc-02 Janv Fév Mars Avril Mai Juin Juil Août Crédits à C.T. Crédits à M.T. Crédits à L.T. Total Crédits bancaires Le recours aux crédits pour remédier aux problèmes de trésoreries à l issue de la crise explique l augmentation des crédits bancaires à court depuis décembre Cette période marque également la création du Fonds. L octroi de crédits à moyen et long terme demeure relativement inchangé. Il semble que les grandes entreprises bancarisées seules peuvent se permettre d effectuer ces prêts car ces catégories de crédits caractérisent les gros investissements et sont le plus souvent octroyés aux grandes entreprises du portefeuille bancaire car les risques pour les banques sont minimisés. L octroi de crédits bancaires a baissé depuis février 2003, et seulement en Août, les banques ont affiché une légère accroissement des crédits bancaires. En conséquence, l existence du Fonds de garantie n a pas produit une incidence importante sur le recours des entreprises aux crédits bancaires car les crédits octroyés ont généralement diminué. 6. Effets auprès des entreprises A la veille de la crise de 2002, le Plan de Sauvetage d Urgence de l Economie (PSUE 2002) a avancé quelques chiffres relatifs aux besoins des entreprises jusqu en 2004: - Besoin global de trésorerie des Entreprises affectées par la crise : 771 milliards de Fmg (115 millions de dollars) - Besoins d investissement jusqu en 2004 non-couvert : 1425 milliards de Fmg (213 millions de dollars) : Ces besoins ont été répartis entre besoins d investissement pour la réhabilitation de 6

8 l appareil productif et le redémarrage de l activité (2002 / 2003) et des besoins pour des investissement d extension et/ou de diversification (2004) Les statistiques fournies par le Fonds au 31 août 2003 évoquent que sur 25 dossiers présentés, 21 ont eu des crédits bancaires accordés d un montant total de ,90 millions de Fmg et ont été couvert d un montant garantie de ,85 millions de Fmg. A l origine, environs 250 entreprises éligibles d une moyenne de 800 millions par dossier ont été recensées par les banques. 22 Entreprises ont actuellement bénéficié de cette couverture du Fonds s élevant à ,85 millions de fmg. Par rapport aux besoins des entreprises avancés par le PSUE, la part du financement bancaire couvert par le Fonds d un montant de ,90 millions représente : - 3,32% (25 626,90 millions sur 771 milliards) des besoins de trésorerie des entreprises fragilisées d un montant de 771 milliards de Fmg, - 1,79% des besoins d investissements jusqu en 2004 évalués à 1425 milliards Ce qui est assez faible si on considère qu il reste 3 mois avant la fin de l année. Il reste encore beaucoup à faire sur les 1425,5 milliards de besoins d investissements. - 1,16% des besoins globales jusqu en 2004 évalués à 2 196,5 milliards. Les prêts couverts par le Fonds ont été effectués par les entreprises suivant quatre finalités : - Création d entreprise (19,4%) - Modernisation et développement des capacités de production ( 62,3%) - Restructuration financière (17%) - Restructuration financière et modernisation (1,3%) Si on totalise les crédits bancaires à CT et à MT accordés depuis janvier 2003, les crédits touchés par les garanties sont infimes par rapport au crédits totaux accordés par les banques car ils représentent 0,13% des crédits totaux accordés. En millions de FMG Crédits totaux accordés Crédits avec garanties % Janvier à Août , ,90 0,13% Ainsi, une grande partie de crédits accordés ne sont pas couverts par le Fonds. 7. Effets macro- économiques (à moyen et à long terme) a- Augmentation de la production nationale et du PIB Ainsi, le développement et l amélioration des capacités de production des entreprises a fait obtenir le plus de crédits. Il est attendu de ces entreprises bénéficiaires un accroissement tangible de la productivité et de la production, ce qui augmentera également la production nationale. Selon différents scénarios de mise en œuvre de ces investissements sur 2003 et/ou 2004, l étude PSUE mentionne le résultat de variantes effectuées avec un modèle d équilibre général calculable montrant que le financement de ces investissements permettrait de gagner à priori entre 1 à 6 points 2 de croissance supplémentaire car la rentabilité des investissements face à la concurrence portera sur le long et le moyen terme. Le PIB est alors attendu croître progressivement. 2 DMD n

9 b- Relance de la Consommation Cet accroissement de la production influera sur les prix internes qui vont baisser. Etant donné que la demande globale est relativement stable à long terme, cette baisse de prix encouragera la Consommation Globale de produits finis de bonne qualité. CONCLUSION Un véritable partenariat devrait s installer entre l Etat et le secteur privé par le biais de ce Fonds. Le Fonds de garantie est attendu accroître le financement bancaire des entreprises. Son efficacité apportera une nouvelle dynamique du secteur privé dans son ensemble qui répercutera sur le PIB et donc sur la croissance économique. Le Fonds ne sera réellement efficace que s il dynamise le Secteur privé afin que l investissement privé apporte dans le moyen terme une part importante dans la croissance du PIB. Ainsi, il faudrait faire une couverture du Fonds d un plus grand nombre d entreprises nécessiteuses, notamment les PME non bancarisées ; et cela par l intégration des institutions financières dans le mécanisme. Le Secteur Privé peut participer à la définition des entreprises éligibles par une éventuelle représentation à l actionnariat mais doit mettre tout en œuvre pour utiliser au mieux les crédits pour le développement de sa production. Les Banques doivent d une part jouer la transparence dans l octroi des crédits et informer le Fonds de la situation des demandeurs de crédits; d autre part étudier la fixation d un taux d intérêt faible pour encourager les crédits bancaires compte tenu du partage des risques avec le Fonds. Le fond de garantie est un rééchelonnement de crédit à court terme sur du moyen terme. Le fonds de garantie peut être utilisé comme un fonds de portage de créances douteuses. Des contrôles strictes et rigoureux des dossiers de garantie doivent être effectuées par le Comité de garantie, ce qui relève encore de la fiabilité des analyses des risques des dossiers et du suivi-évaluation des activités des entreprises bénéficiaires de crédits (état des recouvrements). 8

EFFET D EVICTION ET STRATEGIE DE CHOIX DE PORTEFEUILLE

EFFET D EVICTION ET STRATEGIE DE CHOIX DE PORTEFEUILLE CENTRE DE RECHERCHES, D ETUDES ET D APPUI A L ANALYSE ECONOMIQUE À MADAGASCAR EFFET D EVICTION ET STRATEGIE DE CHOIX DE PORTEFEUILLE Cahier de recherches en Analyse Economique N 10/2007 Auteur Version

Plus en détail

Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE

Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE Rapport sur la qualité des actifs au 31 mars 2014 (Instruction

Plus en détail

LA CRH EST LA CENTRALE FRANCAISE DE REFINANCEMENT DU LOGEMENT. son unique activité est le refinancement des prêts acquéreurs au Logement des banques

LA CRH EST LA CENTRALE FRANCAISE DE REFINANCEMENT DU LOGEMENT. son unique activité est le refinancement des prêts acquéreurs au Logement des banques LA CRH EST LA CENTRALE FRANCAISE DE REFINANCEMENT DU LOGEMENT son unique activité est le refinancement des prêts acquéreurs au Logement des banques 1 PRÉSENTATION DE LA CRH La CRH est un établissement

Plus en détail

La cotation Banque de France

La cotation Banque de France ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION

Plus en détail

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des

Plus en détail

La cotation Banque de France

La cotation Banque de France ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2007 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE NOTE DE

Plus en détail

Fonds de garantie. Objet : faciliter aux petites entreprises l accès au crédit d exploitation octroyés par les banques.

Fonds de garantie. Objet : faciliter aux petites entreprises l accès au crédit d exploitation octroyés par les banques. Fonds de garantie Fond Oxygen : Objet : faciliter aux petites entreprises l accès au crédit d exploitation octroyés par les banques. - PME existantes ayant au moins 6 mois d activité et des relations avec

Plus en détail

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE 1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment

Plus en détail

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une

Plus en détail

M_CONTRAN Contrats nouveaux

M_CONTRAN Contrats nouveaux M_CONTRAN Contrats nouveaux Présentation Le document M_CONTRAN recense, de manière exhaustive, les nouveaux contrats de crédit libellés en euros, conclus avec les particuliers, les sociétés non financières,

Plus en détail

Manuel des Politiques du Programme de Garanties Partielles du Risque de Crédit (post-séisme)

Manuel des Politiques du Programme de Garanties Partielles du Risque de Crédit (post-séisme) 1 Manuel des Politiques du Programme de Garanties Partielles du Risque de Crédit (post-séisme) Novembre 2010 2 Table des matières Introduction... 3 Politique générale de garantie de crédit... 5 Les grandes

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT

GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT BOAD - Guide pratique GUIDE PRATIQUE DESTINE AUX OPERATEURS ECONOMIQUES PRIVES 1. PRESENTATION La Banque Ouest

Plus en détail

Les Garanties Publiques au service du développement international des Entreprises

Les Garanties Publiques au service du développement international des Entreprises COFACE Les Garanties Publiques au service du développement international des Entreprises Corinne MARTINEZ GUADELOUPE EXPORT 19 et 20 novembre 2009 L offre de produits gérés par Coface pour le compte de

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Cela a notamment conduit à l accroissement de la rentabilité du capital au détriment du travail dans toutes les économies occidentales.

Cela a notamment conduit à l accroissement de la rentabilité du capital au détriment du travail dans toutes les économies occidentales. 1 Contribution de Jean Pierre BRARD, député apparenté communiste de Seine Saint Denis, et de Bernard VERA, sénateur communiste de l Essonne, membres du groupe de travail Assemblée nationale Sénat sur la

Plus en détail

Présentation du FGAR et ses Modalités de Fonctionnement

Présentation du FGAR et ses Modalités de Fonctionnement République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Industrie, de la Petite et Moyenne Entreprise et de la promotion de l Investissement -Fonds de Garantie des Crédits aux PME - Présentation

Plus en détail

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014 Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est

Plus en détail

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE Le plan CO.RAIL (Contrat de reprise d activité et d initiative locale) a été initié fin mars 2009 par Yves Jégo, secrétaire d Etat chargé de l Outre-mer

Plus en détail

Kit produits «Garanties Publiques» Direction des Garanties Publiques

Kit produits «Garanties Publiques» Direction des Garanties Publiques Kit produits «Garanties Publiques» 03 02 2011 Direction des Garanties Publiques Les soutiens publics à l exportation + nouveaux visuels 2 Vos besoins / Notre offre Développer votre chiffre d affaires à

Plus en détail

PRESENTATION AFD- juin 2004

PRESENTATION AFD- juin 2004 PRESENTATION AFD- juin 2004 Présentation de FINADEV Bénin- Groupe FINANCIAL AFD Paris - juin 2004 1 1. PRESENTATION GENERALE Si vous le permettez, avant de vous exposer la situation de FINADEV BENIN, première

Plus en détail

Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1

Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1 Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1 Champ d application 1 La présente norme doit être appliquée à la comptabilisation

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE

TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE 1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION Depuis la campagne 2012-2013, l Etat de Côte d Ivoire a engagé une réforme de la filière café-cacao

Plus en détail

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE Le plan CO.RAIL (Contrat de Reprise d Activité et d Initiative Locale) a été initié fin mars 2009 par le Secrétariat d Etat chargé de l Outre-mer (SEOM),

Plus en détail

Le financement de l entreprise

Le financement de l entreprise Le financement de l entreprise Lors de sa création, puis au cours de son développement, l entreprise au moment opportun, doit détenir les ressources financières nécessaires pour faire face à ses échéances,

Plus en détail

Kit produits garanties publiques. Direction des garanties publiques

Kit produits garanties publiques. Direction des garanties publiques Kit produits garanties publiques Direction des garanties publiques 09 04 2013 Les soutiens publics à l exportation Vos besoins / Notre offre Développer votre chiffre d affaires à l international sans craindre

Plus en détail

APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE

APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE Prêt PRCTA Prêt à 0% du Programme Régional à la Création et à la Transmission en Agriculture Date de remise des manifestations

Plus en détail

2 Md dédiés au financement de l immatériel

2 Md dédiés au financement de l immatériel Conférence de Presse 20 MARS 2014 2 Md dédiés au financement de l immatériel Bpifrance révolutionne le crédit aux PME 01. Qui sommes-nous? 2 200 collaborateurs 6 métiers Garantie Crédit Fonds de fonds

Plus en détail

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014)

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014) REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO (avril 2014) PREAMBULE REGLEMENT FINANCIER DE L AGIRC L Association générale des institutions de retraite des cadres (Agirc) a pour objet la mise en œuvre

Plus en détail

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION

Plus en détail

La Garantie Financière CGCIPME. Rôle de la CGCI dans la facilitation du financement de la création et du développement de la PME

La Garantie Financière CGCIPME. Rôle de la CGCI dans la facilitation du financement de la création et du développement de la PME La Garantie Financière CGCIPME Rôle de la CGCI dans la facilitation du financement de la création et du développement de la PME Mostaganem le 17 et 18 novembre 2014 Présentation sommaire de la CGCI-Pme

Plus en détail

Papier de réflexion interne. sur la stabilité financière macro-prudentielle

Papier de réflexion interne. sur la stabilité financière macro-prudentielle Papier de réflexion interne sur la stabilité financière macro-prudentielle Proposition pour la mise en place d un Fonds de stabilité financière au Luxembourg, englobant le Système de garantie des dépôts

Plus en détail

Une solution de gestion financière de la crise

Une solution de gestion financière de la crise 64EME CONGRES DE L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES /// NANTES 2009 FICHE PRATIQUE : FACTOR Une solution de gestion financière de la crise Les fiches pratiques de l'ordre des experts-comptables vous donnent

Plus en détail

Le Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada

Le Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada Le Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada Rôle clé dans la structuration de l industrie du CR Modèle de création d emplois de qualité et

Plus en détail

UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce

UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce Année Universitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Année Etudes Supérieures Commerciales & Sciences Comptables DECISIONS FINANCIERES Note de cours N 2

Plus en détail

LE FONDS NATIONAL DE GARANTIE

LE FONDS NATIONAL DE GARANTIE LE FONDS NATIONAL DE GARANTIE Le fonds National de Garantie a été institué par la loi n 100 du 31 décembre 1981 portant loi de Finances pour la gestion 1982, article 73 tel que modifié par l article 66

Plus en détail

La référence pour maîtriser votre risque. Guide de référence. de la cotation

La référence pour maîtriser votre risque. Guide de référence. de la cotation La référence pour maîtriser votre risque Guide de référence de la cotation MARS 2015 Sommaire 1. LA COTATION : UN PROCESSUS D APPRÉCIATION DE LA SITUATION FINANCIÈRE DES ENTREPRISES 1 1.1. POURQUOI LA

Plus en détail

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses

Plus en détail

AFD Danielle Segui. Financer les petites et très petites entreprises des pays du Sud

AFD Danielle Segui. Financer les petites et très petites entreprises des pays du Sud L AFD et la mésofinance AFD Danielle Segui Financer les petites et très petites entreprises des pays du Sud Besoins de financements 100 000 Grandes PME Banque traditionnelle TPE/PE {Chaînon manquant Les

Plus en détail

LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE

LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE J O U R N É E S A J B E F N I A M E Y M A I 2 0 1 2 P R É S E N T É P A R M R D A O B A B A ( F G H M. S A / M A L I ) Préambule L objectif de la présente communication

Plus en détail

Présentation de la GUINEE au séminaire régional de l'afritac OUEST sur le thème "Gestion des Crises Bancaires et Politiques de Restructuration"

Présentation de la GUINEE au séminaire régional de l'afritac OUEST sur le thème Gestion des Crises Bancaires et Politiques de Restructuration 1 SOMMAIRE 1. Crise bancaire : contexte sociopolitique 2. Résolution des crises 3. Situation du système bancaire 4. Vulnérabilités 2 I. CRISES BANCAIRES : CONTEXTE SOCIOPOLITIQUES A l accession de la Guinée

Plus en détail

Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse

Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse (Ordonnance de la Banque nationale, OBN) Modification du 7 mai 2014 La Banque nationale suisse arrête: I L ordonnance du 18 mars 2004

Plus en détail

Préambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :

Préambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique : Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir

Plus en détail

AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010

AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010 AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010 Relatif aux modalités de première application du règlement du CRC n 99-02 par les sociétés dont les instruments

Plus en détail

création oseo.fr Pour financer et accompagner les PME

création oseo.fr Pour financer et accompagner les PME création oseo.fr OSEO Document non contractuel Réf. : 6522-02 Janvier 2007 Pour financer et accompagner les PME création oser pour gagner! Que la création porte sur une activité traditionnelle avec un

Plus en détail

credit crunch ou non?

credit crunch ou non? ANALYSE FEB Financement des investissements : credit crunch ou non? Octobre 2013 8,1% II recul des investissements en comparaison avec leur niveau le plus élevé avant la crise 13,9% II l augmentation de

Plus en détail

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Pierre-Yves GOMEZ Professeur EMLYON Directeur de l Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE)

Plus en détail

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale

Plus en détail

La destination finale de l épargne des ménages

La destination finale de l épargne des ménages Annabelle RINCON Direction des Études et Statistiques monétaires Service d Études et Statistiques des opérations fi nancières Cet article vise à décrire l allocation fi nale du patrimoine fi nancier des

Plus en détail

NOVEMBRE 2010. L accompagnement du secteur privé : Présentation des dispositifs et d OSEO

NOVEMBRE 2010. L accompagnement du secteur privé : Présentation des dispositifs et d OSEO NOVEMBRE 2010 L accompagnement du secteur privé : Présentation des dispositifs de l AFD l et d OSEO Les outils de soutien au financement des entreprises Les produits AFD et OSEO Les fonds de garantie AFD

Plus en détail

Aides régionales aux entreprises GUIDE PRATIQUE

Aides régionales aux entreprises GUIDE PRATIQUE Aides régionales aux entreprises GUIDE PRATIQUE SOMMAIRE P.3 Aides régionales : ce qu il faut savoir P.4 A chaque étape-clef, une aide régionale 1- Être bien conseillé 2- Créer et développer une activité

Plus en détail

Le décret comptable. Quelques repères... ...pour mieux comprendre. Guide d information pour les copropriétaires

Le décret comptable. Quelques repères... ...pour mieux comprendre. Guide d information pour les copropriétaires direction générale de l Urbanisme de l Habitat et de la Construction Guide d information pour les copropriétaires Le décret comptable Quelques repères......pour mieux comprendre Juin 2007 Plan du guide

Plus en détail

2. La croissance de l entreprise

2. La croissance de l entreprise 2. La croissance de l entreprise HEC Lausanne Vincent Dousse 2007 1 2.1. Les succursales Définition: Etablissement commercial qui, sous la dépendance d une entreprise dont elle fait juridiquement partie(établissement

Plus en détail

Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme

Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Commission Consultative Spéciale Alimentation CCE 2005-822 JPT/NB 12 septembre 2005 Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Le présent document

Plus en détail

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC Le 2 décembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Introduction Mesures de relance économique Mesures visant l atteinte et le maintien de l équilibre budgétaire

Plus en détail

LE SYSTÈME BANCAIRE COM DU PACIFIQUE ET FINANCIER DANS LES

LE SYSTÈME BANCAIRE COM DU PACIFIQUE ET FINANCIER DANS LES IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 LE SYSTÈME BANCAIRE ET FINANCIER DANS LES COM DU PACIFIQUE Trois catégories d établissements de crédit 1 sont implantées dans les collectivités d outremer du Pacifique : les banques

Plus en détail

Résultats annuels 2005

Résultats annuels 2005 Résultats annuels 2005 SOMMAIRE Chiffres clés Activité 2005 - Crédit-Bail Immobilier/Location Longue Durée - Location simple Résultats 2005 Structure financière LOCINDUS en bourse Perspectives pour 2006

Plus en détail

Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP

Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP Rapports et études Les prises de position de la Chambre de commerce et d industrie de Paris Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP Rapport de Monsieur Philippe HOUZÉ avec la collaboration

Plus en détail

Au second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 :

Au second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 : 11.05 Valeo : résultat net de 365 millions d euros en 2010, soit 3,8 % du chiffre d affaires ; performance opérationnelle en avance sur le plan stratégique présenté en mars 2010 Au second semestre 2010

Plus en détail

Son Organisation, son Fonctionnement et ses Risques

Son Organisation, son Fonctionnement et ses Risques La Bourse Son Organisation, son Fonctionnement et ses Risques Le Marché Financier a un double rôle : apporter les capitaux nécessaires au financement des investissements des agents économiques et assurer

Plus en détail

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a

Plus en détail

CIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET A LEUR COUVERTURE PAR LES PROVISIONS

CIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET A LEUR COUVERTURE PAR LES PROVISIONS 1 sur 9 30/05/2007 09:42 BANK AL-MAGHRIB -------------------- LE GOUVERNEUR Circulaire n 19/G/2002 Rabat, le 18 Chaoual 1423 23 Décembre 2002 CIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET

Plus en détail

Vérification des contrats et processus propres au Service du parc automobile. Déposé devant le Comité de la vérification le 12 mars 2015

Vérification des contrats et processus propres au Service du parc automobile. Déposé devant le Comité de la vérification le 12 mars 2015 Bureau du vérificateur général Vérification des contrats et processus propres Résumé Déposé devant le Comité de la vérification le 12 mars 2015 Cette page a été intentionnellement laissée en blanc. Vérification

Plus en détail

Réforme du Code des assurances :

Réforme du Code des assurances : Réforme du Code des assurances : orienter l épargne des Français vers les entreprises Pierre Moscovici, ministre de l économie et des finances «Une des priorités de mon action est de réconcilier l épargne

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

Investissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»

Investissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives

Plus en détail

Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU)

Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) 1. Le MSU est l un des piliers de l Union bancaire européenne 2. La mise en œuvre opérationnelle

Plus en détail

Assemblée Générale. Vendredi 10 octobre 2014

Assemblée Générale. Vendredi 10 octobre 2014 Assemblée Générale Vendredi 10 octobre 2014 La réforme de l aide fiscale à l investissement Outre Mer I La «défiscalisation» industrielle conservée II Un nouveau crédit d impôt III Encore quelques zones

Plus en détail

COMMENT OPTIMISER SA GESTION DE DEVISES?

COMMENT OPTIMISER SA GESTION DE DEVISES? Dossier spécial Après une reprise observée en 2012 et 2013 (de l ordre de 2 et 2,5 %), l Organisation Mondiale du Commerce prévoit une croissance du commerce international de l ordre de 4 à 4,5 % en 2014.

Plus en détail

BANQUE CENTRALE DU CONGO

BANQUE CENTRALE DU CONGO BANQUE CENTRALE DU CONGO Allocution prononcée par Monsieur J-C. MASANGU MULONGO Gouverneur de la Banque Centrale du Congo à l occasion du lancement officiel de la Journée Internationale de l Epargne en

Plus en détail

Dossier de presse. SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011

Dossier de presse. SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011 19 octobre 2010 Dossier de presse SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011 «Les bilans des entreprises gardent les stigmates de la crise»

Plus en détail

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans

Plus en détail

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations

Plus en détail

CHAPITRE VI : INTERMEDIATION DU SECTEUR BANCAIRE

CHAPITRE VI : INTERMEDIATION DU SECTEUR BANCAIRE CHAPITRE VI : INTERMEDIATION DU SECTEUR BANCAIRE L ordonnance n 10-04 du 26 août 2010, modifiant et complétant l ordonnance n 03-11 relative à la monnaie et au crédit, stipule que la Banque d Algérie est

Plus en détail

MAE/BRH DI-002 DOCUMENT D INFORMATION. Les Banques dans l economie nationale Un apercu

MAE/BRH DI-002 DOCUMENT D INFORMATION. Les Banques dans l economie nationale Un apercu LLa Banque de la République d Haïti a le plaisir de vous présenter le second numéro de la série «Document d Information». Cette dernière a pour but d informer le public en général, et les opérateurs économiques

Plus en détail

Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires

Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Présentation : Banque Régionale de Marchés (BRM) Assemblée Générale Annuelle FANAF Février 2011, Dakar LA BRM EN QUELQUES MOTS Première banque

Plus en détail

Manuel de l agent de crédit Banco Solidario

Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Extraits sur la prévention du surendettement des clients texte original en espagnol La philosophie «Vivre la solidarité» peut s appliquer à toute notre vie.

Plus en détail

I. Les entreprises concernées et l opération

I. Les entreprises concernées et l opération RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 10-DCC-172 du 29 novembre 2010 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Crédit Foncier et Communal d Alsace et de Lorraine Banque par la société Crédit Mutuel

Plus en détail

SigEx_ Ventures. RÉDUCTION ISF 2012 Un placement patrimonial, performant et sécurisé Brochure et Dossier de Souscription

SigEx_ Ventures. RÉDUCTION ISF 2012 Un placement patrimonial, performant et sécurisé Brochure et Dossier de Souscription RÉDUCTION ISF 2012 Un placement patrimonial, performant et sécurisé Brochure et Dossier de Souscription SigEx_ SigEx Euro Fund, SAS - RCS Paris B 451 591 093 10 place Vendôme - 75001 Paris ISF DIRECT2012

Plus en détail

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur,

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur, Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial

Plus en détail

OSEO et la transmission / reprise d entreprise. Innovation Investissement International Trésorerie Création Transmission oseo.fr

OSEO et la transmission / reprise d entreprise. Innovation Investissement International Trésorerie Création Transmission oseo.fr OSEO et la transmission / reprise d entreprise Innovation Investissement International Trésorerie Création Transmission oseo.fr Notre mission Financer l innovation et la croissance des entreprises Par

Plus en détail

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)

Plus en détail

La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont

La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont résultats et autres renseignements caractéristiques de la société au cours des cinq derniers exercices) La société mère : Comptes

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015 MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture

Plus en détail

Les mécanismes d aides et de financement proposés par l Ifcic et Coface

Les mécanismes d aides et de financement proposés par l Ifcic et Coface Compte-rendu de la réunion organisée par le Bureau Export et le CNV 8 novembre 2006 Les mécanismes d aides et de financement proposés par l Ifcic et Coface Intervenants : Mathieu de Seauve, Directeur Crédit

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor

Plus en détail

COMMUNIQUE DE PRESSE 1. Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3 M (+ 64%)

COMMUNIQUE DE PRESSE 1. Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3 M (+ 64%) COMMUNIQUE DE PRESSE 1 RESULTATS 2014 : Le 20 février 2015, 16 h 30 INFORMATION REGLEMENTEE Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3

Plus en détail

Monnaie, banques, assurances

Monnaie, banques, assurances Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d

Plus en détail

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Le résumé des comptes annuels de la société Groupe Delhaize SA est présenté ci-dessous. Conformément au Code des Sociétés, les comptes annuels complets, le

Plus en détail

Présentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie

Présentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie Présentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie Mai 2009 Rencontre avec les Intermédiaires en Bourse Plan de la rencontre Composition du groupe Banque de Tunisie Faits marquants de l année 2008

Plus en détail

SOMMAIRE DES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES

SOMMAIRE DES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES SOMMAIRE DES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES Bilan Compte de résultat Tableau des flux de trésorerie Variation des capitaux propres Annexe aux comptes consolidés 1 Transition aux normes IFRS 2 Principes et

Plus en détail

Création de Fonds Communs de Placement à Risque

Création de Fonds Communs de Placement à Risque LA RÉGION SOUTIENT LES ENTREPRISES LOCALES Création de Fonds Communs de Placement à Risque Pour mieux accompagner la création d entreprise, pour soutenir sa croissance et faciliter sa reprise DOSSIER DE

Plus en détail

GROUPAMA Résultats annuels 2012. Présentation presse & analystes 21 février 2013

GROUPAMA Résultats annuels 2012. Présentation presse & analystes 21 février 2013 GROUPAMA Résultats annuels 2012 Présentation presse & analystes 21 février 2013 Introduction 2 «Je serai attentif à faire vivre un mutualisme moderne : qui s appuie sur un modèle d engagement et de responsabilité

Plus en détail

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites ÉPARGNE SALARIALE SOLIDAIRE Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS Avec un encours de 3,15 milliards

Plus en détail

À PROPOS DU PRIX ZAYED DE L ÉNERGIE DU FUTUR

À PROPOS DU PRIX ZAYED DE L ÉNERGIE DU FUTUR À PROPOS DU PRIX ZAYED DE L ÉNERGIE DU FUTUR Photo by: Ryan Carter, Philip Cheung / Crown Prince Court - Abu Dhabi Le Prix Zayed de l énergie du futur, lancé en 2008 et géré par Masdar, représente la vision

Plus en détail

Programme d appui aux investissements des PME

Programme d appui aux investissements des PME Programme d appui aux investissements des PME MIGA : apporter aux clients des atouts sans pareil L Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) a pour mission de promouvoir l investissement

Plus en détail

Maîtriser et optimiser le BFR

Maîtriser et optimiser le BFR www.pwc.fr/bfr Maîtriser et optimiser le Identifier risques et potentiels, générer du cash pour mettre en œuvre la stratégie Maîtrise et optimisation du Sommaire Édito 3 Identifier les potentiels de cash

Plus en détail