Module 2 : Les variables

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Module 2 : Les variables"

Transcription

1 Module 2 : Les variables 2. Les cadres sociaux de l expérience Nos attitudes se forment au gré de nos rencontres dans différents cercles sociaux qui peuvent aller des plus larges ou lointains, au plus resserrés autour de nous. Chacun de ces cercles est structuré à partir de règles ou normes de comportement qui contribuent à modeler notre sensibilité et notre intelligence. Trois types de facteurs contribuent ainsi à notre formation : 1 ) Les facteurs culturels ; 2 ) Les facteurs sociaux issus des groupes d appartenance ; 3 ) Les facteurs personnels. Les facteurs culturels : L anthropologue américaine, R. Benedict 1 a mis en évidence le rôle que jouent certains modèles sociaux (patterns of culture) dans la manière dont nous élaborons notre manière de sentir, penser et nous comporter. Le sociologue M. Mauss 2 dit par ailleurs quelque chose de tout à fait comparable dans un article dédié aux «techniques du corps» 3 : notre manière de nous comporter, y compris physiquement, prend forme à partir des modèles que nous 1 Ruth Benedict ( ). Elle a notamment écrit : Patterns of culture (Les modèles culturels) en Marcel Mauss, ( ), proche d Emile Durkheim. Sur l HABITUS, lire : «Techniques du corps», Sociologie et anthropologie, Paris, Presses Universitaires de France, ml 1

2 propose ou nous impose la société dans laquelle on grandit. Cette longue imprégnation dans un milieu social détermine alors ce que Mauss appelle un «habitus» : une tendance à nous comporter d une façon qui est typique de la société à laquelle on appartient. Cette explication par les modèles culturels permet de comprendre l intérêt qu on peut porter à la variable du sexe ou genre, par exemple. En général, ce type de modèle s impose très tôt sur les enfants dans leur manière de se vêtir, de jouer, de se comporter en société de telle sorte que se différencie en principe assez vite ce que c est que d être un garçon ou une fille Cette socialisation laisse des traces assez profondes pour produire des effets durables chez les individus, on peut encore le constater dans la répartition des rôles sociaux. Il se pourrait pourtant que, dans une société comme la nôtre, ces modèles culturels aient suffisamment évolué pour ne plus tout à fait s imposer avec la même force. En ce sens, il est peut- être moins facile, aujourd hui, d identifier en quoi consiste précisément le fait d être une fille ou un garçon, une femme ou un homme En tout cas dans certains secteurs de la vie sociale. Cette relative incertitude est sans doute le prix d une plus grande liberté. Les facteurs sociaux. De la même façon, chacun des groupes sociaux auxquels on appartient, plus ou moins longtemps, laissent une trace, plus ou moins durable, sur nos attitudes. Ces groupes intermédiaires donnent notamment une teinte particulière aux grands modèles culturels auxquels on vient de faire allusion. Si j appartiens à une religion, par exemple, il se pourrait bien que celle- ci me propose une version particulière de ce qu est être un homme ou une femme, un père ou une mère En tout cas, une version un peu différente de celle que proposerait une autre religion. 2

3 De même pour les classes sociales, c est en tout cas l hypothèse que soutient Pierre Bourdieu : chaque classe sociale se caractériserait par un habitus spécifique déterminant a priori ce vers quoi s orientent nos goûts et nos pratiques (Bourdieu, 1980). Mais on peut continuer en considérant tous les collectifs auxquels on appartient : les clubs où l on pratique un sport, les associations dans lesquelles on milite, les entreprises dans lesquelles on travaille, etc. Tous proposent des nuances, des variations ou des déclinaisons qui affinent et différencient les grands modèles culturels ou bien en proposent de nouveaux, plus spécifiques. Les facteurs personnels. Enfin, la manière si particulière que nous avons d articuler ou de combiner tous ces différents modèles et sous- modèles au cours de notre trajectoire de vie permet de saisir pourquoi aucun d entre eux ne s impose définitivement sur nos attitudes et comment ils font l objet d une transformation quasi permanente. 3

4 Faire une expérimentation visant à faire émerger puis expliquer une attitude à l égard de quelque chose en utilisant différentes variables, revient alors à essayer de décrire les cadres sociaux qui peuvent/ont pu avoir une influence sur la manière dont les individus se sont formés au contact de la société et de ses institutions mais aussi au contact de celles et ceux dont le chemin a croisé le leur à un moment donné. C est là le cœur de l interprétation sociologique qu il faut produire sur les relations statistiques. Par exemple, si on observe une relation statistique fiable entre le genre et quelque attitude ou comportement, cela a probablement à voir à la manière dont se construisent les genres dans notre société depuis fort longtemps. Dans une enquête réalisée en 2015 pour l Observatoire de la Vie Etudiante de l Université de Grenoble, auprès d un échantillon représentatif de 336 étudiants, on a ainsi observé que l ivresse alcoolique (tableau 1) et la prise de drogue (tableau 2) sont globalement plus fréquentes chez les hommes que les femmes. 4

5 Ce tableau fait apparaître que 35,4% des étudiants n ont jamais été ivres au cours des 12 derniers mois précédent l enquête. Les jeunes femmes l ont en moyenne été moins souvent puisque 42,5% d entre elles n ont que rarement ou jamais été ivres alors que leurs collègues masculins ne sont que 29% à s être montré aussi raisonnables, si l on peut dire. Le test du KHI² indiqué sous le tableau souligne que l hypothèse d une indépendance entre ces deux variables peut être écartée avec moins de 3% de chance de se tromper : en d autres termes, si ces deux variables ne sont pas indépendantes, le genre a bien quelque chose à voir avec l ivresse. De même, 84,4% des étudiantes n ont pas davantage pris de drogue au cours des 12 mois précédents l enquête, comme 67% des hommes. Le test du KHI² sous le tableau précise 5

6 qu on a moins de 1% de chance de se tromper en écartant l hypothèse d une indépendance entre ces variables : le genre a donc aussi un rapport avec la prise de drogue. Dans cette enquête, il y a encore plusieurs autres variables qui dénotent une différence de comportement entre les hommes et les femmes du point de vue de ce qu on a désormais coutume d appeler, pour faire simple, des «conduites à risques». D autres enquêtes (CREDOC, ) ou travaux sociologiques (Le Breton, 1991, 2002) réalisés sur des thèmes comparables confirment assez largement ces observations selon lesquelles les jeunes femmes manifestent un plus grand «souci de soi» que les jeunes hommes. Or ce rapport au corps différencié peut en effet être envisagé comme une des conséquences de ces modèles culturels selon lesquels la majorité d entre nous forment la perception de leur propre corps Et celui des autres. Une lecture attentive du tableau 1 montre toutefois assez bien les limites de ce modèle culturel puisque, après tout, 23,1% des jeunes femmes interrogées disent avoir été ivres aussi souvent que 25% de leurs collègues masculins : cet écart est assez mince. Tableau

7 En outre, si un trait caractéristique de notre société prévient les jeunes femmes de prendre de la drogue, il est évident que 3,8% d entre elles ne pensent pas vouloir/pouvoir s y soumettre puisqu elles disent en prendre aussi souvent que 11,9% des hommes. Tableau 2 S il existe donc quelque chose comme une norme sociale empêchant les jeunes femmes d avoir le même comportement que leurs homologues masculins, d autres variables peuvent montrer que d autres facteurs sociaux peuvent en freiner les effets. En l occurrence, la variable du milieu social (approchée à partir de la profession des parents) montre que les jeunes femmes issues des milieux populaires (dont les parents sont employés ou ouvriers) ont un comportement beaucoup plus proche de celui de leurs collègues masculins que celles qui appartiennent aux milieux plus aisés. Il n existe donc pas de déterminisme qui ferait qu un facteur culturel ou social aurait nécessairement la même conséquence sur tous les individus. Ce qu on appelle une explication statistique suppose la mise en évidence d une pluralité de facteurs qui peuvent, selon les cas, favoriser ou freiner l expression d une tendance ou d une attitude. Une compréhension sociologique se doit de saisir toutes les logiques sous- tendues par une grande diversité de comportements. 7

Interview avec Pascale Garnier, docteur en sociologie et professeur en sciences de l'éducation à l'université Paris 13

Interview avec Pascale Garnier, docteur en sociologie et professeur en sciences de l'éducation à l'université Paris 13 Interview avec Pascale Garnier, docteur en sociologie et professeur en sciences de l'éducation à l'université Paris 13 Pascale GARNIER est docteur en sociologie, professeur en sciences de l'éducation à

Plus en détail

le sociologue anglais Paul Willis ouvrait

le sociologue anglais Paul Willis ouvrait Les classes supérieures face aux incertitudes de leur reproduction le sociologue anglais Paul Willis ouvrait L école des ouvriers, son célèbre ouvrage de 1977 sur la reproduction des classes populaires,

Plus en détail

Dossier Le ménage. Le bonheur chez soi et le partage des tâches font bon ménage!

Dossier Le ménage. Le bonheur chez soi et le partage des tâches font bon ménage! Observatoire de la vie à la maison DOSSIER DE PRESSE MARS 2014 EVY RAES. Image du reportage photos ILIV 2013 - Se sentir à la maison en images Dossier Le ménage Le bonheur chez soi et le partage des tâches

Plus en détail

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris UNE PHOTOGRAPHIE DE L APPRENTISSAGE EN FRANCE EN 2013 À l occasion de la rentrée des jeunes en apprentissage Résultats et analyse du BAROMÈTRE DE LA VIE DE

Plus en détail

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % 4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif

Plus en détail

Qui fait quoi sur internet?

Qui fait quoi sur internet? Ans Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2015 8, avril 2015 www.ftu.be/ep Qui fait quoi sur internet? Analyse des inégalités sociales dans l utilisation d internet

Plus en détail

B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi?

B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi? B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi? a) Le diplôme facilite l'accès à l'emploi typique 1. Les sortants du système éducatif sont de plus en plus diplômés. En 1979, sur 742 000 sortants du

Plus en détail

Consolidation de fondamentaux

Consolidation de fondamentaux Consolidation de fondamentaux Point de vue communicationnel sur le réel Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Question 31 31. Que signifie «avoir un point de vue communicationnel sur le réel»?

Plus en détail

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie et éducation Faculté des lettres et sciences humaines Espace Louis-Agassiz 1 CH-2000 Neuchâtel La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie

Plus en détail

Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise

Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Communiqué de presse Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Paris, le 27 mai 2013 L Institut Randstad et l Observatoire du Fait Religieux en Entreprise

Plus en détail

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mobilisation contre le décrochage scolaire Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mercredi 8 janvier 2014 SOMMAIRE Introduction : la Nation mobilisée contre le

Plus en détail

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure

Plus en détail

ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL

ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL LA SYNTHESE L Observatoire de la branche des acteurs du lien social et familial - centres

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

Programme Bourses Diversité et Réussite

Programme Bourses Diversité et Réussite Donner à chacun les meilleures chances de réussir Programme Bourses Diversité et Réussite La Fondation INSA de Lyon Ensemble développons notre vocation L INSA de Lyon tire sa force de l intégration de

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

Stratégie Régionale. envers les Jeunes. l Artisanat

Stratégie Régionale. envers les Jeunes. l Artisanat Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes La Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes (S.R.A.J.) constitue une offre globale

Plus en détail

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents

Plus en détail

environics research group

environics research group environics research group Sommaire Sondage en ligne sur les perceptions du public concernant le développement de carrière et le milieu de travail Janvier 2011 Préparé pour : Parrainé en partie par : 33,

Plus en détail

Octobre 2013. Contact Inergie. Luc Vidal Directeur général lvidal@inergie.com 01 41 09 05 45

Octobre 2013. Contact Inergie. Luc Vidal Directeur général lvidal@inergie.com 01 41 09 05 45 Baromètre Afci ANDRH Inergie 2013 sur la Communication Managériale 4 ème édition «L implication des managers dans une communication de proximité avec leurs équipes» Octobre 2013 Contact Inergie Toute publication

Plus en détail

Jouer, c'est vivre! Repères sur le jeu en Action Catholique des Enfants

Jouer, c'est vivre! Repères sur le jeu en Action Catholique des Enfants Présentation du livre Jouer, c'est vivre! Repères sur le jeu en Action Catholique des Enfants 17 X 23 cm, 100 pages, 2014, 12 Pourquoi un livre sur le jeu? Parce que jouer est un droit fondamental de l'enfant,

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI)

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) Note méthodologique relative à l outil de suivi en continu du projet de formation et du projet professionnel La direction

Plus en détail

«La famille, c est la première des sociétés humaines.»

«La famille, c est la première des sociétés humaines.» «La famille, c est la première des sociétés humaines.» La famille sera toujours la base des sociétés. Honoré de Balzac La famille est-elle la première des sociétés humaines? C est l hypothèse la plus souvent

Plus en détail

Observatoire du fait religieux en entreprise Synthèse des résultats de l étude 2014

Observatoire du fait religieux en entreprise Synthèse des résultats de l étude 2014 Observatoire du fait religieux en entreprise Synthèse des résultats de l étude 2014 Préambule Le groupe Randstad France a ouvert il y a six ans, une réflexion sur le fait religieux en entreprise. Une démarche

Plus en détail

Consolider le développement du Jardin

Consolider le développement du Jardin Association «Solidarité & Initiative» pour le développement du Jardin de Cocagne de la Haute Borne pour la création de la Table de Cocagne de la Haute Borne Projet 2014 Adresse : 10 rue Héloïse Europarc

Plus en détail

Niveau de scolarité et emploi : le Canada dans un contexte international

Niveau de scolarité et emploi : le Canada dans un contexte international N o 81-599-X au catalogue Issue n o 008 ISSN : 1709-8661 ISBN : 978-1-100-98615-9 Feuillet d information Indicateurs de l éducation au Niveau de scolarité et emploi : le dans un contexte international

Plus en détail

La cour de récréation

La cour de récréation Apprentissage du genre : Fiche n 16 La cour de récréation Objectifs : - Développer le respect sur la cour de récréation et favoriser la mixité dans les jeux collectifs qui s y développent. - Ces jeux sont

Plus en détail

La Participation, un cadre de référence(s) Support de formation Pays et Quartiers d Aquitaine Mars 2011

La Participation, un cadre de référence(s) Support de formation Pays et Quartiers d Aquitaine Mars 2011 + La Participation, un cadre de référence(s) Support de formation Pays et Quartiers d Aquitaine Mars 2011 Présentation Cheikh Sow (Anthropologue au CLAP Sud-Ouest) et Mehdi Hazgui (Sociologue- Consultant)

Plus en détail

LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans

LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans FAIREBOUGERLES9-13.org 1 LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans TABLE DES MATIÈRES 3 4 5 DONNÉES SOCIO- DÉMOGRAPHIQUES HABITUDES MÉDIATIQUES ET DE CONSOMMATION EN MATIÈRE DE MODE DE VIE PHYSIQUEMENT

Plus en détail

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Fonction émettrice Département des Ressources humaines Auteur/département émetteur

Plus en détail

FIT-4-FUTURE UNE INITIATIVE DE LA FONDATION CLEVEN-BECKER JEUX DE SAUTS AVEC MARQUAGE AU SOL DANS LA COUR DE RÉCRÉATION

FIT-4-FUTURE UNE INITIATIVE DE LA FONDATION CLEVEN-BECKER JEUX DE SAUTS AVEC MARQUAGE AU SOL DANS LA COUR DE RÉCRÉATION FIT-4-FUTURE UNE INITIATIVE DE LA FONDATION CLEVEN-BECKER JEUX DE SAUTS AVEC MARQUAGE AU SOL DANS LA COUR DE RÉCRÉATION Projet développé grâce au soutien de: CONTENU JEUX DE SAUTS AVEC MARQUAGE AU SOL

Plus en détail

Le guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque:

Le guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque: GUIDE D ENTREVUE TROUSSE DE SOUTIEN À L ÉVALUATION DU RISQUE D ALIÉNATION PARENTALE Véronique Lachance Marie-Hélène Gagné Ce guide d entrevue a été conçu pour vous aider à documenter les situations familiales

Plus en détail

outil les niveaux logiques 32 n GO juin 2014

outil les niveaux logiques 32 n GO juin 2014 outil les niveaux logiques 32 Comment expliquer l isolement de quelqu un? Pourquoi un tel arrive souvent en retard? Et comment comprendre les motivations de celui-ci? Le chercheur américain Robert Dilts

Plus en détail

L analyse de la gestion de la clientèle

L analyse de la gestion de la clientèle chapitre 1 - La connaissance du client * Techniques utilisées : observation, recherche documentaire, études de cas, études qualitatives (entretiens de groupes ou individuels, tests projectifs, analyses

Plus en détail

Les notions d agent et d acteur en sociologie

Les notions d agent et d acteur en sociologie Les notions d agent et d acteur en sociologie Il nous était demandé d apporter quelques éléments sur la façon dont les sociologues utilisent les notions d agent et d acteur, et plus particulièrement sur

Plus en détail

Se libérer de la drogue

Se libérer de la drogue Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

Quantifier pour transformer

Quantifier pour transformer Quantifier pour transformer Bilel BENBOUZID Un ouvrage posthume d Alain Desrosières, sociologue des statistiques, atteste que la statistique ne se réduit pas à une simple opération de mesure de la réalité

Plus en détail

Compte-rendu de lecture

Compte-rendu de lecture ISSN 1929-7734 Compte-rendu de lecture Palheta, Ugo (2012). La domination scolaire. Sociologie de l enseignement professionnel et de son public. Paris, France : PUF, 354 p. Najate Zouggari Candidate au

Plus en détail

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation

Plus en détail

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants

Plus en détail

Hommes et femmes au travail Ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait des autres. Etude Ipsos pour ELLE

Hommes et femmes au travail Ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait des autres. Etude Ipsos pour ELLE Hommes et femmes au travail Ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait des autres Etude Ipsos pour ELLE Pourquoi cette étude? Croiser le regard des hommes et des femmes sur le travail aujourd hui Le travail

Plus en détail

La diversification des publics à l Opéra national de Paris

La diversification des publics à l Opéra national de Paris La diversification des publics à l Opéra national de Paris Françoise ROUSSEL * Au moment de son projet, l Opéra Bastille correspondait à une volonté de démocratisation de l Opéra. Dix ans après son ouverture,

Plus en détail

Commentaires. Michael Narayan. Les taux de change à terme

Commentaires. Michael Narayan. Les taux de change à terme Commentaires Michael Narayan L étude de Levin, Mc Manus et Watt est un intéressant exercice théorique qui vise à extraire l information contenue dans les prix des options sur contrats à terme sur le dollar

Plus en détail

LES RELATIONS PUBLIQUES

LES RELATIONS PUBLIQUES Andrea Catellani, Caroline Sauvajol-Rialland LES RELATIONS PUBLIQUES Préfaces Jean-Luc Letouzé Thierry Libaert DES MÊMES AUTEURS Caroline Sauvajol-Rialland, Infobésité, Vuibert, 2013. Caroline Sauvajol-Rialland,

Plus en détail

Nous avons besoin de passeurs

Nous avons besoin de passeurs 1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire

Plus en détail

Éducation pour la Santé et Activité Physique et Sportive Département STAPS-ULCO (27-28 mars 2003)

Éducation pour la Santé et Activité Physique et Sportive Département STAPS-ULCO (27-28 mars 2003) Colloque international de l A.F.R.A.P.S. Éducation pour la Santé et Activité Physique et Sportive Département STAPS-ULCO (27-28 mars 2003) Temps libéré, cultures sportives et éducation pour la santé des

Plus en détail

Que pouvez-vous faire pour que quelqu un ait une meilleure image de lui ou d elle-même? Qu est-ce qu un bon ami?

Que pouvez-vous faire pour que quelqu un ait une meilleure image de lui ou d elle-même? Qu est-ce qu un bon ami? Que pouvez-vous faire pour que quelqu un ait une meilleure image de lui ou d elle-même? Passer du temps avec cette personne Présenter la personne à vos amis Lui dire que vous l aimez bien Qu est-ce qu

Plus en détail

Protection individuelle

Protection individuelle Protection individuelle Franchise annuelle Ce plan n'est plus offert 200 $ 900 $ depuis le 1er mars 2015 1 006 $ / / 18-24 87,88 $ 71,71 $ - 39,35 $ 37,08 $ 63,91 $ 25-29 91,38 $ 74,47 $ - 41,04 $ 38,86

Plus en détail

Le ski à l'école. Réalisé par les CPC E.P.S. de Moselle. Février 2008

Le ski à l'école. Réalisé par les CPC E.P.S. de Moselle. Février 2008 Le ski à l'école Réalisé par les CPC E.P.S. de Moselle 1 «Les Activités Physiques de Pleine Nature, par leur possibilité de réinvestissement, constituent un terrain privilégié pour la mise en œuvre de

Plus en détail

Ecole erber. Dossier de Presse. Le 20 octobre 2011 Inauguration l Ecole Kerber. Une école indépendante, laïque et gratuite

Ecole erber. Dossier de Presse. Le 20 octobre 2011 Inauguration l Ecole Kerber. Une école indépendante, laïque et gratuite Dossier de Presse,,,, Une école indépendante, laïque et gratuite Le 20 octobre 2011 Inauguration l Ecole K Une nouvelle chance pour des enfants de pouvoir apprendre dans les meilleures conditions. Ecole

Plus en détail

Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire

Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire CHAPITRE 3 Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire Parmi les analyses statistiques descriptives, l une d entre elles est particulièrement utilisée pour mettre en évidence

Plus en détail

Pourquoi consomme-t-on de l alcool? Raisons et motifs

Pourquoi consomme-t-on de l alcool? Raisons et motifs Les jeunes et l alcool Cahier 6 Un outil pédagogique destiné aux enseignant-e-s du degré secondaire avec suggestions d animation Pourquoi consomme-t-on de l alcool? Raisons et motifs «Pourquoi une personne

Plus en détail

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice. Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale

Plus en détail

Pronom de reprise : confusion entre nous et se

Pronom de reprise : confusion entre nous et se CONFUSION COHÉRENCE ENTRE NOUS TEXTUELLE ET SE 1 Reprise de l information Pronom de reprise : confusion entre nous et se Théorie Lorsqu un pronom reprend entièrement l antécédent, les deux éléments doivent

Plus en détail

UNIVERSITE DE GENEVE CONFERENCE UNIVERSITAIRE DES ASSOCIATIONS ETUDIANT-E-S ETRE «PARENTS-ETUDIANTS» A L UNIVERSITE DE GENEVE

UNIVERSITE DE GENEVE CONFERENCE UNIVERSITAIRE DES ASSOCIATIONS ETUDIANT-E-S ETRE «PARENTS-ETUDIANTS» A L UNIVERSITE DE GENEVE UNIVERSITE DE GENEVE CONFERENCE UNIVERSITAIRE DES ASSOCIATIONS ETUDIANT-E-S ETRE «PARENTS-ETUDIANTS» A L UNIVERSITE DE GENEVE COMMENT LES AIDER A CONCILIER VIE DE FAMILLE ET ETUDES UNIVERSITAIRES? Sommaire

Plus en détail

COMMENT GAGNER DE L ARGENT AUX PARIS FOOT

COMMENT GAGNER DE L ARGENT AUX PARIS FOOT COMMENT GAGNER DE L ARGENT AUX PARIS FOOT Cet ebook a pour vocation de vous présenter diverses méthodes pour gagner de l argent grâce aux paris sportifs sur le foot. Lisez attentivement cet ebook pour

Plus en détail

Analyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes

Analyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes Analyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes Territoire de Thourotte (60) 2014 Depuis 2013, la Mutuelle Familiale en partenariat avec l IRBMS sensibilise ses adhérents à la consommation

Plus en détail

Code de franc-jeu. du joueur LE FRANC-JEU, C EST L AFFAIRE DE TOUS

Code de franc-jeu. du joueur LE FRANC-JEU, C EST L AFFAIRE DE TOUS du joueur 1) Je jouerai au hockey de mon plein gré et non pour obéir à mon entourage ou à mes entraîneurs. 2) Je respecterai les règles et l esprit du jeu. 3) Je maîtriserai mon tempérament les bagarres

Plus en détail

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient

Plus en détail

La considération et la reconnaissance de la profession par les pouvoirs publics apparaissent déficitaires :

La considération et la reconnaissance de la profession par les pouvoirs publics apparaissent déficitaires : Note détaillée Le regard des masseurs-kinésithérapeutes sur leur profession Etude Harris Interactive pour L Ordre National des Masseurs-Kinésithérapeutes Les résultats sont issus d une enquête réalisée

Plus en détail

LA CONSOMMATION ENGAGÉE. Dominique Roux, Université Paris Sud Membre du RITM

LA CONSOMMATION ENGAGÉE. Dominique Roux, Université Paris Sud Membre du RITM LA CONSOMMATION ENGAGÉE Dominique Roux, Université Paris Sud Membre du RITM S exprimer par la consommation : boycott Raisons sociales Raisons environnementales Raisons économiques S exprimer par la consommation

Plus en détail

Commentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel

Commentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la

Plus en détail

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation 1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus

Plus en détail

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive. L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:

Plus en détail

CHARTE DES PROGRAMMES

CHARTE DES PROGRAMMES CHARTE DES PROGRAMMES Charte relative à l élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des programmes d enseignement ainsi qu aux modalités d évaluation des élèves dans l enseignement scolaire CONSEIL SUPÉRIEUR

Plus en détail

Dossier de Partenariat

Dossier de Partenariat Dossier de Partenariat Votre Coach Qui se cache derrière Cré Action? Cré Action est un cabinet de coaching spécialisé dans l accompagnement mental. Notre travail s appuie sur des compétences en psychologie,

Plus en détail

OLIVIER BOBINEAU : L APPROCHE SOCIOLOGIQUE DES RELIGIONS

OLIVIER BOBINEAU : L APPROCHE SOCIOLOGIQUE DES RELIGIONS OLIVIERBOBINEAU:L APPROCHESOCIOLOGIQUEDESRELIGIONS Nousestimerionsquenosrecherchesneméritentpasune heuredepeinesiellesnedevaientavoirqu unintérêt spéculatif Durkheim,LaDivisionduTravailSocial,Introduction(1895).

Plus en détail

Dans le rapport à leur scolarité, les

Dans le rapport à leur scolarité, les ISSN 1286-9392 www.education.fr 02.12 AVRIL Si, en fin de troisième, l orientation plus fréquente des filles vers le second cycle général ou technologique s explique par leur meilleure réussite scolaire,

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

INDICE CPQ-LÉGER MARKETING DE CONFIANCE DANS L ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE

INDICE CPQ-LÉGER MARKETING DE CONFIANCE DANS L ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE INDICE CPQ-LÉGER MARKETING DE CONFIANCE DANS L ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE Juin 2003 Constats L indice CPQ-Léger Marketing de confiance des consommateurs et des entreprises dans l économie québécoise enregistre

Plus en détail

Baromètre 2014 de la conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle. - Volet employeurs - Décembre 2014

Baromètre 2014 de la conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle. - Volet employeurs - Décembre 2014 Baromètre 2014 de la conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle - Volet employeurs - Décembre 2014 Sommaire Note technique Synthèse des enseignements Perception Importance accordée à la

Plus en détail

Tableau 1 : Structure du tableau des données individuelles. INDIV B i1 1 i2 2 i3 2 i4 1 i5 2 i6 2 i7 1 i8 1

Tableau 1 : Structure du tableau des données individuelles. INDIV B i1 1 i2 2 i3 2 i4 1 i5 2 i6 2 i7 1 i8 1 UN GROUPE D INDIVIDUS Un groupe d individus décrit par une variable qualitative binaire DÉCRIT PAR UNE VARIABLE QUALITATIVE BINAIRE ANALYSER UN SOUS-GROUPE COMPARER UN SOUS-GROUPE À UNE RÉFÉRENCE Mots-clés

Plus en détail

Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011

Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Résultats du premier Observatoire des femmes et l assurance Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Fiche méthodologique Cible : Hommes et femmes âgés

Plus en détail

Stratégie d assurance retraite

Stratégie d assurance retraite Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police

Plus en détail

Casse-têtes sur des jouets

Casse-têtes sur des jouets Une exposition dans la salle de classe - Explorez le site avec vos élèves Activités pour les niveaux 2 et 3 Les activités de Le Canada au jeu! appuient les objectifs en matière d initiation aux médias

Plus en détail

Présentation de la session 2015 du Master de deuxième niveau

Présentation de la session 2015 du Master de deuxième niveau Présentation de la session 2015 du Master de deuxième niveau MEDIATIONS INTERCULTURELLES LES SIGNES, LES MOTS, LES IMAGES POUR LA MISE EN ŒUVRE DE PROJETS PERSONNELS D UTILITE PUBLIQUE Directeur : prof.

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de

Plus en détail

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE 1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir

Plus en détail

«Garçons et métiers de la santé» Un atelier pour les garçons à l occasion de Futur en tous genres

«Garçons et métiers de la santé» Un atelier pour les garçons à l occasion de Futur en tous genres «Garçons et métiers de la santé» Un atelier pour les garçons à l occasion de Futur en tous genres Le 12 novembre 2015 (Photo: Philipp Zinniker) Regoignez-nous et assurez la relève! Les professions de la

Plus en détail

MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS

MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS Frédéric Crépin MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS, 2004. ISBN : 2-7081-3140-0 5 Chapitre 1 idées reçues sur les managers et le management au quotidien Idée reçue n 1 : managers et salariés doivent avoir les

Plus en détail

FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)

FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST

Plus en détail

QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES?

QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES? QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES? Colloque «Les écrans et les jeunes : quelle place, quelle offre, quelles évolutions?» 9 décembre 2014 Direction des études et de la prospective

Plus en détail

RAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07

RAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07 POR # 441-07 RAPPORT FINAL Étude sur la littératie financière chez les jeunes Préparé pour : L Agence de la consommation en matière financière du Canada Date du rapport : Août 2008 This report is also

Plus en détail

Vers la consécration de l éphémère? L usage de la fonction photographique des téléphones portables chez les 15-25 ans scolarisés.

Vers la consécration de l éphémère? L usage de la fonction photographique des téléphones portables chez les 15-25 ans scolarisés. Vers la consécration de l éphémère? L usage de la fonction photographique des téléphones portables chez les 15-25 ans scolarisés. Résumé : L objectif de cet article est de montrer que l usage social de

Plus en détail

Bien-être et information sur la santé

Bien-être et information sur la santé ( Bien-être et santé sont indissociablement liés. Des enquêtes qualitatives menées auprès des jeunes rapportent le stress et la fatigue parmi les principaux problèmes de santé. L ennui est aussi souvent

Plus en détail

Editorial : Le mémoire, un moyen pour penser sa pratique?

Editorial : Le mémoire, un moyen pour penser sa pratique? Formation et pratiques d enseignement en questions Editorial : Le mémoire, un moyen pour penser sa pratique? Abdel-Jalil AKKARI 1, (HEP-BEJUNE) et Sylvain RUDAZ (IFMES) Elément structurel des nouvelles

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

Programme de prévention du jeu excessif en Valais Plan d action : 2008-2009-2010

Programme de prévention du jeu excessif en Valais Plan d action : 2008-2009-2010 Conférence de presse du 6 mai 2008 Salle des Solives, 1er étage Maison Supersaxo à Sion Programme de prévention du jeu excessif en Valais Plan d action : 2008-2009-2010 Projet des Centres d Aide et de

Plus en détail

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke

Plus en détail

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Table des matières Contexte et objectifs... 6 Méthodologie... 8 Résultats détaillés 1. Perception

Plus en détail

Principe d un test statistique

Principe d un test statistique Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre

Plus en détail

La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire :

La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire : une expérience vécue dont la personne est parfaitement consciente : Exemple : «J ai besoin de me divertir»; La notion de besoin peut décrire : 2. «une exigence née de

Plus en détail

Les jouets ont-ils encore un sexe?

Les jouets ont-ils encore un sexe? Les jouets ont-ils encore un sexe? Une étude réalisée par ABC+ pour l Observatoire Fisher-Price sur les attitudes des parents face à la différence des jouets filles/garçons L étude de l Observatoire Fisher

Plus en détail

Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»

Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection

Plus en détail