E. Mathias. To cite this version: HAL Id: jpa

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1 SYDNEY YOUNG. The vapour pressures, specific volumes and critical constants of normal pentane, with a note on the critical point (Tensions de vapeur, volumes spécifiques et constantes critiques du pentane normal, et remarque sur le point critique). Trans. of the Chem. Soc., 1897 E. Mathias To cite this version: E. Mathias. SYDNEY YOUNG. The vapour pressures, specific volumes and critical constants of normal pentane, with a note on the critical point (Tensions de vapeur, volumes spécifiques et constantes critiques du pentane normal, et remarque sur le point critique). Trans. of the Chem. Soc., J. Phys. Theor. Appl., 1897, 6 (1), pp < /jphystap: >. <jpa > HAL Id: jpa Submitted on 1 Jan 1897 HAL is a multidisciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are published or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers. L archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

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3 Trans. Trans. 441 G.L. THOMAS and SYDNEY YOUNG. The vapour pressures, specific volumes, and critical constants of normal hexane (Tensions de vapeur, volumes spécifiques et constantes critiques de l hexane normal). of the Chem. Soc., L hexane normal a été obtenu par l action du sodium sur l iodure et distillé onze fois. Toutes les fractions de propyle, puis purifié étudiées avaient des propriétés physiques identiques. Le point d ébullition à 760 millimètres est 690,0; le ~ à cette température est de 22 millimètres de mercure par degré. La densité à 00 est 0, La température critique est 234,8. La loi du diamètre rectiligne se vérifie remarquablement entre 60 et 234~1,8, l équation du diamètre étant : La densité critique, 0,2344, est identique à celle de l isopentane ; la pression critique est 29atm,62. La comparaison, sous des pressions correspondantes, des températures réduites d ébullition, ainsi que des densités (liquide et vapeur saturée) rapportées à leurs valeurs critiques a fourni, pour l hexane normal, l isopentane et la benzine, une très belle vérification du théorème des états correspondants. Les densités de l hexane normal et de la benzine sont remarquablement comparables ; il en est de même pour l isopentane à un degré un peu moindre. Par contre, les températures d ébullition réduites sont identiques pour l isopentane et la benzine, tandis qu il y a pour l hexane une légère divergence qui crbît régulièrement à mesure qu on s éloigne de la température critique. E. MATHIAS. SYDNEY YOUNG The vapour pressures, specific volumes and critical constants of normal pentane, with a note on the critical point (Tensions de vapeur, volumes spécifiques et constantes critiques du pentane normal, et remarque sur le point critique). of the Chem. Soc., L hydrocarbure normal a été retiré par distillation fractionnée par MM. Young et Thomas d un produit qualifié «pentane» provenant de la distillation du pétrole d Amérique. Le point d ébullition ramené à 760 millimètres est 36,3 : la valeur de 2013 à cette tempéradt ture est de,8 par degré. La densité à 0 est 0,6454; Iaa tempéra J. cle phys., 3e série, t. VI. (Août 1897.) 32. Article published online by EDP Sciences and available at

4 442 ture critique est 191,2, la pression critique 33atIn,03, et la densité critique 0,2324. L équation du diamètre rectiligne est D O,323f 0,00046t. La vérification de cette loi présente ici un intérêt exceptionnel. M. S. Young s est proposé de résoudre dans le cas du pentane normal les questions suivantes, sur lesquelles il y a encore des divergences d opinion : 1 La loi du diamètre rectiligne de MM. Cailletet et Mathias estelle valable jusqu au point critiqué? 2 Les densités du liquide saturé et de la vapeur saturée deviennentelles réellement égales? 3 S il en est ainsi, la température à laquelle les densités deviennent égales (température critique réelle) estelle identique à celle à laquelle le ménisque disparaît et où les stries deviennent visibles (tempér ature critique apparente)? 4 La température critique appaieîîte varietelle lorsqu on élève ou qu on abaisse la température, etc.? Pour résoudre les deux premières questions, il fallait prendre les deux sortes de densités au voisinage immédiat de la température critique. Expérimentalement, cela est très difficile et ne peut être réalisé que sur des corps rigoureusement purs et privés d air. M. Young, dans ses mesures, s est approché progressivement de la température critique. Déjà, dans l étude de l isopentane, les deux sortes de densités furent déterminées à 187,4, c estàdire à 0~4 seulement du point critique, et vérifièrent la loi du diamètre rectiligne ; malheureusement la différence des densités 0,2761 et 0,1951 était encore considérable. Les deux sortes de densités du pentane normal furent déterminées à 19 7,1~, c estàdire à 0,0~ seulement de la température critique apparente ; les deux densités furent prises également de dixième en dixième de degré entre ~.J 7,1 et ~.96,8 et vérifièrent la loi du diamètre rectiligne comme le montre le tableau suivant :

5 La 443 De ces nombres et du raccordement (fiu. 1 ) des courbes du liquide et de la vapeur saturée à 197,20, M. S. Young conclut : La loi du diamètre rectiligne est rigoureuse jusqu au point critique; FIG. 1. à cette température, les densités du liquide et de la vapeur saturée deviennent égales. température critique réelle étant 197, 20~ comme on vient de le voir, M. Young trouve, pour la température critique apparente, par la disparition cu la réapparition du ménisque en tube scellé, des nombres compris entre 197,1 et 197,3, et il conclut à l identité de la température critique réelle et de la température critique apparente, que l on opère à volume constant (tube scellé) ou à

6 0, , Communications 444 volume variable (avec l appareil de des tensions de vapeur), par abaissement ou par élévation de la températttre. E. MATHIAS. Dr DE VRIES Measurements on the influence of temperature on the capillary elevation of ether between the critical state and the boilingpoint of ethylene (Influence de la température sur l ascension capillaire de l éther entre l état critique et le point d ébullition de l éthylène). from the laboratory of the university of Leyden, n 6. Un gros tube de verre, dont l axe est occupé par un tube capillaire, était rempli d une quantité d éther telle qu à la température critique la disparition du ménisque pût être observée vers le milieu du tube. Une série de nettoyages à l aide de liquides bien débarrassés de leurs poussières et d ébullitions successives, enfin la fermeture dans le vide du tube rempli d éther pur assuraient l invariabilité de la constante capillaire à une température donnée. De grandes précautions étaient prises pour assurer la constance de la température pendant les mesures qui ont été faites entre point d ébullition de l éthylène, et 18~,9~. La température critique de l éther employé était 193,6. Les ascensions capillaires observées devaient être augmentées de l ascension que donnait luimême le tube contenant l éther ; cette correction, quoique petite, était incertaine. La constante capillaire était déduite de l ascension par la formule classique, en tenant saturé et de la compte de la différence entre les densités du liquide vapeur saturée. Entre 100" et+ 160, l ascension h est représentée par la formule : h = 1 t, l ascension à 0 étant prise pour unité. Entre 160 et la température critique de l éther la courbe h r (t) s incurve = et tourne sa convexité vers l axe des températures. Les parois du tube capillaire étaient mouillées par l éther à toutes les températures. E. MATHIAS. Dr J. VERSCHAFFELT Measurements concerning the capillary ascension of liquefied gases (Mesures relatives à l ascension capillaire des gaz liquéfiés) Communications from the laboratory of the university of Leyden, n 18. L appareil de M. de Vries, convenablement modifié, a permis la mesure de l ascension capillaire de l acide carbonique et du pro