Arrondissement de Dinant- Philippeville

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Arrondissement de Dinant- Philippeville"

Transcription

1 1 Arrondissement de Dinant- Philippeville Eléments de bilan pour élaborer un diagnostic partagé Nathalie HENRIET et Raphaël GÖBBELS, Inspecteurs Avec l aide de Philippe PEPIN, Inspecteur et les précieuses collaborations de Isabelle SCHWEISTHAL et Freddy RENIER

2 2 TABLE DES MATIÈRES 1. Introduction générale 1.1. Précautions méthodologiques générales 1.2. Eléments de présentation du territoire 2. Les sources publiques de financement 2.1. Ensemble des flux financiers de la Fédération Wallonie Bruxelles Subventions de la Fédération Wallonie Bruxelles par secteurs, enseignement artistique compris Subventions de la Fédération Wallonie Bruxelles par secteurs, hors enseignement artistique Répartition des subventions de la Fédération Wallonie Bruxelles aux opérateurs situés sur le territoire de chaque commune, enseignement artistique compris Répartition des subventions de la Fédération Wallonie Bruxelles aux opérateurs situés sur le territoire de chaque commune, hors enseignement artistique 2.2. Financement de la Culture par la Province Mise en perspective au niveau du territoire provincial Dépenses culturelles provinciales dans l Arrondissement de Dinant-Philippeville Dépenses culturelles provinciales par communes 2.3. Dépenses culturelles des communes Dépenses culturelles des communes, y compris l enseignement artistique et la part de celui-ci dans les budgets culturels communaux Dépenses culturelles des communes, hors enseignement artistique Répartition des dépenses culturelles communales selon les codes budgétaires communaux 2.4. Financement de la Région wallonne Aide à l emploi (points APE) 2.5. Lecture simultanée des 4 sources d apport financier à la Culture : Fédération Wallonie-Bruxelles, Province de Namur, Communes, Région wallonne (APE)

3 3 3. Cartographie des opérateurs Précisions méthodologiques 3.1. Secteur des Arts de la scène 3.2. Secteur du Patrimoine culturel et des Arts plastiques 3.3. Secteur de l audiovisuel et des multimédias 3.4. Secteur des Lettres et du Livre 3.5. Ecoles et actions culturelles (hors livre) 3.6. Pratiques artistiques en amateur 3.7. Secteur de la Jeunesse 3.8. Participation citoyenne 4. Constats et hypothèses de travail pistes de réflexion

4 4 1. Introduction générale Les Assises du Développement culturel territorial ont pour objectif de rencontrer la préoccupation du Gouvernement de la Communauté française / Fédération Wallonie-Bruxelles de veiller à : - désenclaver la culture et mutualiser les ressources des pouvoirs publics, tout en préservant l autonomie des acteurs culturels ; - organiser une plus forte coopération des acteurs culturels autour d objectifs partagés. La démarche consiste à prendre pour point de départ un relevé pertinent d informations économiques, sociales et culturelles en vue de contribuer à fonder ensuite une logique d aménagement culturel du territoire. L enjeu des Assises du développement culturel territorial est d inciter une démarche participative pour penser, avec les opérateurs culturels, les autorités locales, régionales et communautaires, une politique de développement culturel local et régional qui soit complémentaire à celles qui sont menées par secteurs ou par des réseaux internationaux Précautions méthodologiques générales Il serait illusoire de prétendre à une parfaite exhaustivité des chiffres présentés dans le présent travail. Dans le secteur culturel, plus que dans les autres, il est impossible de proposer des statistiques scientifiquement inattaquables. Les opérateurs culturels, les subsides publics, le nombre d emploi (entre autres) : tout amène à devoir fréquemment adapter les chiffres en fonction de l évolution des situations spécifiques. Le lecteur comprendra que si le plus grand soin a été porté à la rédaction de la présente brochure, il doit toutefois accepter qu il s agisse d une photographie du territoire, arrêtée à un moment donné. En outre, cette photographie est imparfaite. Elle devra être complétée et évoluera au fil du temps. Ce qui nous semblait importer ici, avant tout, était de dégager des tendances. Si l objectif poursuivi était de s approcher le plus près possible de la réalité observée, acceptons qu elle ne peut être considérée comme exemplaire. Trois sources d imperfections en sont la cause :

5 5 1. L hétérogénéité des sources : en puisant les données auprès des différentes administrations publiques, il était évident que les statistiques ne pouvaient pas être identiques dans leur présentation. Si l année 2011 a pu permettre de stabiliser le regard sur une unique année, il faut préciser que pour les dépenses de la Fédération Wallonie-Bruxelles, on a retenu les dotations organiques et les programmes alors que pour les communes, ce sont les codes fonctionnels qui ont prévalu : même si l on retrouve sous ces codes des dépenses que la FWB ne considère pas comme «culturelles» selon sa définition, il s agit de l information la plus comparable. 2. Les sources connues et peu exploitées : il s agit pour l essentiel de deux catégories de données. L état des discussions entre la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Région wallonne ne permet pas encore de synthèses utiles. Ainsi, le Patrimoine culturel immobilier wallon n a pas été chiffré ici. Quant à l autre catégorie de données, plus significative, il s agit des emplois subventionnés par la Région wallonne (principalement les APE) qui bénéficient à des organismes culturels. On sait que dans certains secteurs culturels, l intervention budgétaire de la Région a une importance plus que certaine. Il a été toutefois été nécessaire de se limiter à des données globales. 3. Afin de garantir la comparabilité des informations, certaines dépenses ont été exclues du champ d analyse. Ainsi, pour la Fédération Wallonie-Bruxelles elle-même, il n a pas été tenu compte des subventions en infrastructures, ni d autres budgets extraordinaires parfois importants en volume, mais dédicacés à d autres dépenses que des bâtiments. Les dépenses non récurrentes n y figurent pas non plus, sauf exception. Ces choix de méthode expliquent certaines différences entre l examen des flux financiers et la confection de la cartographie. Enfin, pour les communes et la Province également, les dépenses extraordinaires ou affectées à des domaines trop éloignés de la culture n ont pas été retenues dans les comparaisons Eléments de présentation du territoire Les limites choisies pour déterminer les territoires analysés dans le cadre des Assises sont celles des arrondissements électoraux, principalement pour des raisons de commodité dans la recherche de statistiques pertinentes. Ce choix, qui peut paraître arbitraire au regard des réalités de terrain, est destiné à être questionné au cours de la démarche participative qui sera initiée après la séance inaugurale. Nous avons cependant déjà relevé quelques éléments qu il nous semble intéressant d épingler ici. Autres critères, autres territoires Le territoire de l Arrondissement électoral de Dinant-Philippeville est également celui d un Arrondissement judiciaire et de deux Arrondissements administratifs dont les petites villes de Dinant et Philippeville sont les chefs-lieux. Comme le montre l analyse du Segefa, d autres

6 6 critères dessinent d autres territoires tantôt à l intérieur de l Arrondissement électoral, tantôt avec des communes situées à l extérieur de celui-ci : - les Maisons du Tourisme déterminent cinq zones qu on peut considérer comme caractérisées soit par leur paysage (MT Ardenne namuroise : Bièvre, Gedinne, Vresse ; MT Condroz-Famenne : Ciney, Hamois, Havelange, Somme-Leuze ; MT Haute-Meuse Dinantaise : Anhée, Dinant, Hastière, Onhaye, Yvoir ; MT Val de Lesse Beauraing-Houyet- Rochefort), soit par la cohérence de leur étendue géographique (MT Vallées des Eaux Vives : Cerfontaine, Couvin, Doische, Florennes, Philippeville, Viroinval, Walcourt) ; on notera cependant que ces cinq zones s étendent au-delà des limites fixées par les Maisons : les touristes passent indifféremment de la partie hainuyère de la Botte à la partie namuroise et le Condroz déborde largement sur la Province du Luxembourg, par exemple ; - des groupements thématiques unissent des zones au-delà des frontières administratives : les GAL en sont un exemple significatif ; le projet Entre-Sambre-et- Meuse réunit des communes de l Arrondissement de Dinant-Philippeville et de l Arrondissement de Charleroi ; le GAL RoMaNa, porté par l asbl Pays de Famenne, soutient d intenses collaborations entre Rochefort, Marche et Nassogne ; - en matière d attractivité commerciale, des pôles internes (Dinant, Philippeville, notamment) et externes (Charleroi et Namur, mais aussi Marche) dessinent différents bassins d influence, marquant une nette séparation entre les habitants des Arrondissements administratifs de Dinant et de Philippeville au niveau de leur pôle urbain de référence ; dans ce domaine, il serait sans doute intéressant d analyser l attractivité et/ou l action des opérateurs importants des champs de l emploi (Forem), du développement économique (Bep et Igretec) ou des soins de santé (Centres hospitaliers universitaires) ; - des collaborations transcommunales dans différents domaines délimitent des zones d action temporaires ou pérennes ; on pense aux GAL (nous en avons évoqué deux ; il en existe deux autres : le GAL de la Haute Meuse Anhée, Dinant, Hastière, Onhaye et Yvoir- et le GAL Saveurs et patrimoine en vrai Condroz Ciney, Hamois, Havelange) mais aussi à des collaborations plus ponctuelles comme la mutualisation de moyens pour créer ou maintenir des équipements collectifs ; - un critère comme le niveau de revenus par habitant détermine des zones différenciées selon un axe nord-sud et suivant les grands axes de communication : les communes du nord de l Arrondissement de Dinant-Philippeville, comme Walcourt, Florennes ou encore Yvoir et Hamois, apparaissent plus «nanties» que celles du sud (cf. carte Segefa Revenu médian de l exercice 2007). Caractéristiques communes Les multiples territoires évoqués ci-dessus ne peuvent cependant occulter des caractéristiques que partagent les 22 communes de l Arrondissement électoral analysé : la ruralité et ses corollaires (mobilité problématique, isolement, éloignement des pôles urbains mais aussi paysages remarquables, patrimoine architectural et naturel, qualité de vie), l importance du tourisme comme facteur de développement économique (même s il subsiste des industries du secteur primaire), l omniprésence de la frontière française, ouvrant sur des zones

7 7 essentiellement forestières et peu à peu désertées, entraînant la sensation d avoir atteint «les confins» du territoire national. Les chiffres et cartes présentés ci-dessous permettront, nous l espérons, de se pencher sur ces questions : la Culture dessine-t-elle des territoires? Les territoires créent-ils des types d actions et d opérateurs culturels particuliers?

8 8 2. LES SOURCES PUBLIQUES DE FINANCEMENT En pré-requis à la lecture de cartes thématiques sur lesquelles les opérateurs, sujets des flux financiers culturels, seront repérables (cf. 3.), nous proposons une lecture desdits flux financiers et de leurs sources Ensemble des flux financiers de la Fédération Wallonie-Bruxelles Rappelons d emblée que la Fédération Wallonie Bruxelles intervient dans les territoires selon le principe de subsidiarité : elle répond à des demandes d opérateurs locaux plutôt qu à une logique descendante de distribution géographique. Il arrive cependant parfois que son soutien et son accompagnement sur le terrain favorise l épanouissement de dynamiques. Ce fut le cas dans cet Arrondissement, notamment sur base des constats tirés du processus des Auditions de Subventions de la Fédération Wallonie-Bruxelles par secteurs, enseignement artistique compris Patrimoine culturel et Arts plastiques ,50 4% Arts de la scène ,00 5% Audiovisuel et multimédias ,72 7% Education Lettres et Livre ,62 4% permanente ,81 4% CEC ,25 1% Enseignement artistique - académies ,67 31% Jeunesse ,76 17% Centres culturels/affaires générales ,55 27% Ce premier diagramme illustre la répartition des subventions aux opérateurs provenant de la Fédération Wallonie-Bruxelles dans l Arrondissement de Dinant Philippeville en incluant les flux financiers destinés à financer l enseignement artistique. Même s il dépend de l Enseignement et ne relève pas institutionnellement des matières culturelles, il nous paraissait toutefois

9 9 important de mettre ce secteur en lumière vu son importance dans le développement des pratiques artistiques en amateur et le public massif qu il touche. On constate ainsi que 31% du financement communautaire dans l Arrondissement sont consacrés aux académies (essentiellement en personnel mais aussi en fonctionnement). On verra plus loin que l enseignement artistique peut également représenter un poste important dans les dépenses culturelles des communes. Le financement des centres culturels apparaît comme deuxième secteur le plus financé. Nous observerons mieux la répartition des flux aux opérateurs culturels grâce au tableau suivant qui n inclut plus l enseignement artistique Subventions de la Fédération Wallonie-Bruxelles par secteurs, hors enseignement artistique Divisions budgétaires Subventions FWB Pourcentages CC / Affaires générales culture ,55 38,71 % Jeunesse ,76 24,35 % Audiovisuel ,72 9,87 % Arts de la Scène ,00 7,21 % Patrimoine culturel et arts plastiques ,50 6,47 % Education Permanente ,81 6,34 % Lettres et Livre ,62 5,74 % CEC ,25 1,30 % TOTAL ,00 % NB : Les chiffres sont présentés par divisions budgétaires et, donc, par secteurs du Ministère. Pour faciliter la lecture des tableaux et graphiques, nous avons directement séparé les données jeunesse éducation permanente CEC alors que ces secteurs relèvent de la même Division organique. Notons qu il n y a aucun flux vers des organisations de jeunesse. En effet, aucune d entre elles n a de siège social dans l Arrondissement. Les sections locales, par contre, apparaîtront plus loin, dans la cartographie des opérateurs. On voit ici que les subventions globales de la Fédération atteignent presque d euros dont près de 40% sont consacrés au secteur des centres culturels. Cette répartition apparaît clairement sur le diagramme suivant :

10 10 Patrimoine culturel/arts plastiques ,50 6% Arts de la Scène ,00 7% Education Permanente ,81 6% Lettres et Livre ,62 6% CEC ,25 1% CC / Affaires générales culture ,55 40% Audiovisuel ,72 10% Jeunesse ,76 24% L Arrondissement de Dinant-Philippeville, composé de 22 communes, compte 10 centres culturels locaux et deux centres culturels régionaux. On peut considérer que le maillage des centres est particulièrement bien construit ; nous y reviendrons dans l analyse cartographique (3.8.). Nous pouvons toutefois déjà souligner le poids de ce secteur également financé par les autres pouvoirs subsidiants. Ce n est pas le cas du deuxième secteur en volume de financement, celui de la jeunesse, qui représente 24% de la mise de la Fédération : on compte 14 centres de jeunes reconnus sur le territoire (MJ, CIJ et CRH). La part du secteur audiovisuel s explique essentiellement par le financement des télévisions locales. Quatre secteurs sont à égalité, ou presque, en captant 6 ou 7 % des dépenses : - L Arrondissement compte relativement peu d opérateurs en Arts de la scène, on le verra, mais 30% du budget de ce secteur sont consacrés aux aides à la diffusion. - L Arrondissement compte 6 musées reconnus. - Seules 5 associations reconnues selon le décret d éducation permanente de 2003 ont leur siège social dans l Arrondissement. C est peu, si l on prend comme référence les arrondissements urbains ; c est beaucoup, si l on compare avec les arrondissements ruraux. Notons que le «niveau» des ces reconnaissances est relativement peu élevé. Le financement des associations d EP, locales de mouvement, tout comme les locales des organisations de jeunesse, n est pas pris en compte. Est pris en compte, par contre, le financement des quelques associations encore reconnues selon les cadres légaux de 1921 et 1971 mais les montants alloués à ces structures, essentiellement portées par des bénévoles, sont faibles. - Enfin, on notera que la subvention «Lettres et Livres», destinée en majeure partie au financement des bibliothèques, est relativement basse. Elle correspond à un maillage non négligeable mais loin d être optimal (3.4.), nous y reviendrons plus loin. Il faut également signaler que, depuis 2012 et la reconnaissance des premières bibliothèques de l Arrondissement selon le nouveau décret, ce secteur a connu un refinancement important.

11 11 Ainsi, deux nouvelles reconnaissances sont venues étoffer le réseau public de la lecture, à Anhée et Doische. Et ce n est pas fini Répartition des subventions de la Fédération Wallonie-Bruxelles aux opérateurs situés sur le territoire de chaque commune, enseignement artistique compris DINANT ,72 PHILIPPEVILLE ,98 ROCHEFORT ,23 WALCOURT ,89 CINEY ,47 VRESSE-SUR-SEMOIS ,35 VIROINVAL ,32 HASTIERE ,95 COUVIN ,55 BIEVRE ,56 FLORENNES ,74 HAMOIS ,32 YVOIR ,99 ANHEE ,23 HAVELANGE ,35 HOUYET ,00 BEAURAING ,12 CERFONTAINE 9.367,56 DOISCHE ,75 ONHAYE 5.000,00 GEDINNE ,81 SOMME-LEUZE 0,00 TOTAL : ,89 Nous n analyserons pas en détail ce premier tableau incluant le financement de l enseignement artistique. Il nous permet de souligner que seule la commune de Somme-Leuze ne bénéficie d aucun flux financier communautaire direct. Il faut cependant noter que nous avons ventilé les subventions aux académies dans toutes les communes accueillant une décentralisation de celles-ci sur base d une clef de répartition que nous avons élaborée. Elle transpose, pour le financement de la FWB, la répartition proportionnelle des financements communaux globalisés par Académies. Ainsi, considérant que l Académie de Dinant regroupe des implantations à Dinant, Yvoir, Beauraing, Florennes et Couvin, nous avons totalisé les financements communaux ( ,74 ) puis calculé la proportion de chaque commune (Dinant : 38%, Couvin: 19%, Florennes : 21%, Beauraing : 4%, Yvoir : 19%) pour appliquer celle-ci au financement de l Académie de Dinant par la FWB (total : ,87 ventilés selon le pourcentage décrit dans la parenthèse précédente). Cette clef de répartition est critiquable et pourrait être affinée grâce à un calcul très précis de ce que «coûte» chaque décentralisation à la FWB. Cette dernière donnée n est malheureusement pas disponible.

12 Répartition des subventions de la Fédération Wallonie-Bruxelles aux opérateurs situés sur le territoire de chaque commune, hors enseignement artistique ROCHEFORT ,49 HASTIERE ,95 VIROINVAL ,32 BIEVRE ,56 DINANT ,27 GEDINNE ,89 COUVIN ,94 HAMOIS ,32 CINEY ,12 ANHEE ,23 FLORENNES ,76 HOUYET ,00 HAVELANGE ,90 YVOIR ,75 BEAURAING ,53 CERFONTAINE 9.367,56 DOISCHE ,75 ONHAYE 5.000,00 PHILIPPEVILLE ,98 SOMME-LEUZE 0,00 WALCOURT ,89 VRESSE-SUR-SEMOIS 0,00 TOTAL : ,21 NB : on gardera à l esprit le principe de subsidiarité selon lequel la FWB intervient sur le territoire pour lire ces chiffres. L analyse cartographique permettra de mieux percevoir la dynamique de chaque entité mais nous pouvons d emblée souligner quelques tendances à partir de ce tableau où les communes sont classées par ordre décroissant de subventionnement des opérateurs qui y sont situés. Prenons d abord les trois premières lignes du tableau : les opérateurs de ces communes bénéficient de 57% des subventions globales de l Arrondissement. Les opérateurs de deux de ces communes bénéficient de + de Il s agit de Rochefort et Viroinval ; Dinant n en est pas loin, totalisant près de euros. Pour Dinant, ces montants s expliquent essentiellement par la présence d un opérateur majeur, le Centre culturel régional, également porteur d une dynamique de développement des pratiques artistiques en amateur (la Maison de la Pataphonie et l Association internationale Adolphe Sax) ainsi que d une dynamique forte de réflexion citoyenne sur le territoire, dépassant les seuls enjeux culturels d ailleurs, portée par Prospect 15. Viroinval accueille également un Centre culturel régional mais aussi plusieurs musées, des opérateurs jeunesse et d éducation permanente. Rochefort, on le verra dans la cartographie, dispose d une offre culturelle particulièrement étendue. Rappelons que ces montants impressionnants financent des initiatives du secteur privé non marchand, le plus souvent elles-aussi soutenues par les communes. Les quatre communes suivantes (Couvin, Ciney, Florennes et Havelange) disposent elles aussi d une offre élargie : centre culturel, opérateur jeunesse et bibliothèque, au minimum. De Beauraing à Bièvre, on retrouve des communes qui ont soit un centre culturel en deuxième catégorie, soit un centre culturel en catégorie 3 (donc moins financé) complété par la présence d un autre opérateur : on connaît le Centre culturel de Doische qui a porté une dynamique lecture publique emblématique et Bièvre où une bibliothèque et un centre culturel sont à la disposition des citoyens.

13 13 Les communes de Gedinne, Hamois, Anhée, Houyet et Yvoir comptent un ou deux opérateur(s) reconnu(s) hors centre culturel. Les quatre dernières communes du tableau ne comptent aucun opérateur reconnu en vertu d un cadre législatif ; on retrouve cependant à Cerfontaine et Onhaye, des flux plus ponctuels pour des actions particulières. Le tableau suivant, qui chiffre l intervention de la Fédération par habitant, reflète évidemment ce qui précède. On remarquera cependant qu il ne semble pas y avoir de corrélation entre l apport financier de la Fédération, d une part, et le caractère rural ou la faible densité de population des communes, d autre part. Ainsi, Doische et Bièvre, qui comptent environ habitants sont bien classées. Notons encore que le cas de Viroinval s explique, comme nous l avons signalé, par la présence sur son territoire d opérateurs privés nombreux dont le rayonnement dépasse le seul périmètre communal. Le classement de la commune de Walcourt, nettement mieux placée dans le tableau précédent, s explique par son nombre d habitants, le plus élevé de l Arrondissement (18.000). SUBVENTIONS NOMBRE SUBVENTIONS NOMBRE COMMUNES COMMUNES PAR HABITANT D'HABITANTS PAR HABITANT D'HABITANTS VIROINVAL 181, CINEY 18, ROCHEFORT 99, PHILIPPEVILLE 16, DINANT 68, HOUYET 10, DOISCHE 53, HAMOIS 8, HAVELANGE 51, WALCOURT 7, BIEVRE 32, ANHEE 7, COUVIN 30, YVOIR 4, FLORENNES 25, CERFONTAINE 1, GEDINNE 21, ONHAYE 1, BEAURAING 19, SOMME-LEUZE 0, HASTIERE 19, VRESSE-SUR- SEMOIS 0,

14 Financement de la Culture par la Province Les données financières fournies par la Province concernent, d une part, le financement de son action culturelle propre et, d autre part, les subventions accordées aux opérateurs culturels du territoire. Ces subventions incluent les aides directes et la valorisation de certaines aides indirectes comme les prestations d animateurs vacataires. Il est important de souligner que la Province n a pas pu estimer financièrement toutes les interventions de ses Services au bénéfice des opérateurs (prêt de matériel, aide technique, animations par le personnel provincial). Par ailleurs, il n a pas été possible de chiffrer des actions qui touchent les opérateurs de l Arrondissement de Dinant-Philippeville sans se dérouler dans ce territoire. On pense ici aux nombreuses formations organisées à Namur par la Province. Dernière précision : les récentes aides en numérisation de salles, au bénéfice de centres culturels et de cinémas de l Arrondissement, n ont pas été prises en compte car relevant d un investissement en infrastructure. Elles sont également postérieures à notre année de référence (2011) Mise en perspective au niveau du territoire provincial (Namur) Arrondissements de Dinant et Philippeville ,95 9% Arrondissement de Namur ,00 91% Cette mise en perspective du financement de la culture par la Province sur l entièreté du territoire provincial, soit l Arrondissement de Namur et l Arrondissement de Dinant- Philippeville, nous permet de constater que lorsqu on tient compte du financement par la Province de son action culturelle propre, l Arrondissement de Dinant-Philippeville bénéficie d une faible part des dépenses provinciales (9%). Ce constat doit être nuancé : - on a déjà évoqué l action des Services provinciaux au bénéfice du territoire : leur intervention dans l Arrondissement de Dinant-Philippeville n a pu être totalement chiffrée et, surtout, la localisation des Services à Namur, hormis celui du Théâtre-action (Houyet), implique la prise en compte de leur coût de fonctionnement pour l Arrondissement de Namur ; - d autre part, l intervention de la Province comme opérateur culturel propre (on pense aux institutions ayant un rayonnement large comme les musées ou la Maison de la Culture logiquement installées en milieu urbain) est un mode d intervention commun à toutes les provinces wallonnes où la dimension d opérateur propre est, presque partout, largement

15 15 supérieure à celle de pouvoir subsidiant. On verra cependant que pour le seul Arrondissement de Dinant-Philippeville, le rapport est différent. Si nous considérons les dépenses de la Province dédicacées au subventionnement d opérateurs tiers sur l entièreté du territoire provincial, nous constatons que les opérateurs de l Arrondissement de Dinant-Philippeville bénéficient de 34% du montant global. Arrondissements DINANT- PHILIPPEVILLE 34% Arrondissement de NAMUR 66% Or la répartition de la population de la Province est la suivante : 64% dans l Arrondissement de Namur, 32% dans l Arrondissement de Dinant-Philippeville. Population Arrondissements DINANT- PHILIPPEVILLE 36% Arrondissement NAMUR 64% Les dépenses de la Province en tant que pouvoir subsidiant se répartissent donc de façon plus équilibrée et proche de la répartition de la population de la province (34% des subventions aux opérateurs, 36% de la population de la Province).

16 Dépenses culturelles provinciales dans l Arrondissement de Dinant-Philippeville Subventions aux autres opérateurs culturels ,00 75% Action culturelle propre ,95 25% Intéressons nous maintenant plus spécifiquement aux dépenses provinciales sur le territoire de l Arrondissement. On constate que les dépenses en matière d action culturelle propre de la Province représentent 25% du total : il s agit essentiellement du financement d un Service provincial décentralisé, le Service du Théâtre-action, situé à Houyet. Notons que les interventions de ce Service couvrent largement toute la Province. Nous pouvons ensuite examiner la répartition sectorielle des subventions provinciales aux opérateurs : Jeunesse % Education permanente % Lettres et Livre % CEC % Patrimoine culturel et Arts plastiques % Arts de la Scène % Centres culturels % 69% des dépenses provinciales sont consacrés aux centres culturels. C est une particularité de la Province de Namur qui soutient significativement tous ces opérateurs (en 2011, euros minimum en aide directe et presque 2000 euros en aide indirecte aux CCL). Elle soutient également les deux Centres culturels régionaux à hauteur de euros pour Action Sud et euros pour le CCR de Dinant. On constate ensuite que 22% des subventions provinciales soutiennent des opérateurs des Arts de la scène, souvent parallèlement aux aides de la Fédération. Il s agit notamment de

17 17 l Association internationale Adolphe Sax, de Dinant Jazz Nights et de différents festivals se déroulant sur le territoire comme le Festival de Lavaux-Saint-Anne, le Music Métal Méan, le Rising Rock à Walcourt ou le Festival de l Eté mosan. De nombreuses troupes de Théâtre amateur bénéficient également de subventions provinciales, tout comme les spectacles soutenus par les Tournées Art et Vie et le Théâtre à l école. Les subventions Jeunesse sont essentiellement destinées aux deux centres d information jeunesse reconnus : Infor Jeunes Couvin et le CID Inter J (Rochefort). Pour les pratiques artistiques en amateur, on notera, entre autres, des subventions à la Rock s cool de Ciney et à l office de développement et de promotion de Houyet. Les subventions en Lettres et Livres sont des aides indirectes à l animation en bibliothèque. En 2011, aucun musée ne fait l objet d une subvention provinciale Dépenses provinciales par communes Les commentaires précédents éclairent déjà le tableau suivant, reprenant les dépenses provinciales par communes : DINANT DOISCHE VIROINVAL HASTIERE ROCHEFORT HOUYET COUVIN ANHEE WALCOURT CERFONTAINE 756 CINEY GEDINNE 340 PHILIPPEVILLE YVOIR 160 HAVELANGE HAMOIS 76 FLORENNES ONHAYE 0 BIEVRE SOMME-LEUZE 0 BEAURAING VRESSE-SUR-SEMOIS 0 TOTAL: ( «non ventilables»/localisables) Les opérateurs de Dinant et Viroinval, lieux d implantations des deux centres culturels régionaux, bénéficient de subventions logiquement plus élevées que dans les autres communes. Viennent ensuite les deux communes où sont implantés des centres d information jeunesse. Notons que ces 4 opérateurs (deux CCR et 2 CIJ) ont un rayonnement qui dépasse leur commune d implantation et touchent une grande partie de l Arrondissement (et même audelà, cf. 3. et 4.). Entre et d investissement provincial, on retrouve les communes qui disposent d un centre culturel. Ensuite, l aspect dégressif des chiffres s explique essentiellement par la présence ou non d une bibliothèque ou d un festival. Nous pouvons également faire le calcul du financement provincial par habitant :

18 18 COMMUNES SUBVENTIONS NOMBRE COMMUNES SUBVENTIONS NOMBRE HABITANT D'HABITANTS HABITANT D'HABITANTS VIROINVAL 18, HOUYET 1, DINANT 14, CINEY 1, BIEVRE 5, WALCOURT 1, ROCHEFORT 5, ANHEE 0, DOISCHE 5, CERFONTAINE 0, HAVELANGE 4, GEDINNE 0, PHILIPPEVILLE 2, YVOIR 0, HASTIERE 2, HAMOIS 0, BEAURAING 1, SOMME-LEUZE 0, COUVIN 1, ONHAYE 0, FLORENNES 1, VRESSE-SUR-SEMOIS 0, Notons que si le rayonnement et l action de certains opérateurs, comme les centres culturels régionaux, dépassent les frontières communales, leur coût est néanmoins répercuté ici selon le nombre d habitants de leur commune d implantation. Remarquons également la place des communes dont la population ne dépasse pas habitants mais disposant d un centre culturel (Bièvre, Doische, Hastière, Havelange). Le soutien d une action culturelle structurée dans des communes relativement peu peuplée et rurales apparaît tout à fait nettement Dépenses culturelles des communes Deux petits rappels avant d observer ces chiffres : - nous nous basons bien sur les chiffres des budgets communaux 2011 communiqués par le SPW Finances; nous avons également tenu compte des détails fournis aimablement par les Directeurs financiers et les Echevins et qui nous ont amenés à reclasser certaines dépenses (cf ); - nous avons vu quels codes fonctionnels sont pris en compte : il ne faut pas oublier que les critères qui permettent d y imputer des dépenses ne sont pas les mêmes que ceux de la Fédération Wallonie-Bruxelles; ce qui y est ventilé peut différer d une commune à l autre, nous y reviendrons.

19 Dépenses culturelles des communes y compris l enseignement artistique et la part de celui-ci dans les budgets culturels communaux CINEY ,00 15% BEAURAING ,65 9,7% DINANT ,19 20% DOISCHE ,44 ROCHEFORT ,49 0,78% BIEVRE ,06 COUVIN ,91 16% CERFONTAINE ,36 FLORENNES ,13 21% HASTIERE ,49 YVOIR ,31 33% VIROINVAL ,52 WALCOURT ,60 ANHEE ,03 HAVELANGE ,01 1,6% GEDINNE ,00 15% SOMME-LEUZE ,59 HAMOIS ,00 PHILIPPEVILLE ,34 ONHAYE ,54 VRESSE-SUR-SEMOIS ,10 16% HOUYET ,65 TOTAL: ,41 Ce tableau, dans lequel les communes sont classées par ordre décroissant de financement, nous permet de mettre en lumière l investissement communal, parfois conséquent, dans l organisation de l enseignement artistique (le poids de celui-ci dans le budget culturel global des communes est traduit en pourcentage). Parmi les 10 communes concernées, 8 entités consacrent de 15 à 33 % de leur budget «culture» à ce poste Dépenses culturelles des communes, hors enseignement artistique CINEY ,00 BEAURAING ,65 ROCHEFORT ,49 YVOIR ,64 DINANT ,68 VRESSE-SUR-SEMOIS ,10 COUVIN ,05 CERFONTAINE ,36 FLORENNES ,43 HASTIERE ,49 WALCOURT ,60 VIROINVAL ,52 HAVELANGE ,01 ANHEE ,03 SOMME-LEUZE ,59 GEDINNE ,00 PHILIPPEVILLE ,34 HAMOIS ,00 DOISCHE ,44 ONHAYE ,54 BIEVRE ,06 HOUYET ,65 TOTAL: ,67

20 20 Ce tableau livre des données brutes quant aux dépenses que les communes classent comme dépenses culturelles. Retenons le montant global, , 67 euros, que nous comparerons avec les montants globaux des autres pouvoirs subsidiants en 2.5. Des observations nous semblent possibles à ce stade : - les dépenses culturelles de trois petites villes de la partie Dinant de l Arrondissement (Ciney, Rochefort et Dinant) représentent plus de 40% des dépenses communales totales. La ville de Ciney, plus peuplée et économiquement bien positionnée, dépasse largement les deux autres. - les dépenses culturelles des communes de la partie Philippeville représentent 28% du total alors que leur population représente 38% de la population totale de l arrondissement. On peut donc considérer que ces communes investissent moins dans la culture que celles du côté Dinant. A noter que les interventions provinciale et communautaire dans les deux parties de l Arrondissement sont proportionnelles au nombre d habitants (la FWB consacre 39, 43% de son budget au côté Philippeville, pour la Province, cf ). Penchons-nous ensuite sur ce tableau qui fait apparaître les dépenses culturelles communales par habitants : SUBVENTIONS NOMBRE COMMUNES PAR HABITANT D'HABITANTS COMMUNES SUBVENTIONS NOMBRE PAR HABITANT D'HABITANTS CINEY 65, HASTIERE 27, DOISCHE 65, VIROINVAL 26, VRESSE-SUR- 59, SEMOIS PHILIPPEVILLE 23,65 ROCHEFORT 56, BEAURAING 19, BIEVRE 55, YVOIR 19, DINANT 48, ANHEE 19, SOMME-LEUZE 44, ONHAYE 16, HAVELANGE 43, GEDINNE 16, CERFONTAINE 33, WALCOURT 13, COUVIN 32, HAMOIS 9, FLORENNES 31, HOUYET 8, Nous reviendrons sur ces données pour les comparer aux dépenses de la Fédération et de la Province. Malgré l hétérogénéité des dépenses d une commune à l autre, nous pouvons déjà constater que l apport financier varie de 8,63 à 65,43 et ne semble pas lié à la densité de population : on remarque l apport important de certaines communes faiblement peuplées comme Doische, Vresse, Bièvre ou Somme-Leuze qui marquent ainsi leur volonté propre de soutenir la culture sur leur territoire.

21 21 Il est important de souligner que la faiblesse de certains montants ne signifie pas nécessairement l absence d actions culturelles dans ces entités : certaines associations actives dans le domaine culturel ne perçoivent aucune aide communale et l hétérogénéité des dépenses classées comme culturelles, que nous avons déjà évoquée plusieurs fois, risque de fausser la vision Répartition des dépenses culturelles communales selon les codes budgétaires communaux Dépenses communales Litt., biblio spéc Histoire et archéo Arts graphiques Musées Manif et expo art Théâtres, concerts, Délassement plein air Edifices hist. et art Radio, télé, presse Jeunesse, éducation pop Jeunesse Biblio, ludo, médiathèques Fêtes et manif Culture et loisirs 0,00 396, , , , , , , , , ,03 TOTAL: , , , ,52 Cette ventilation par codes fonctionnels éclaire quelque peu les priorités des entités. Il faut toutefois nuancer les constats possibles : comme nous le rappelions plus haut, les communes ne classent pas comme dépenses culturelles les mêmes dépenses que la Fédération Wallonie- Bruxelles ou la Province. On retrouve par exemple régulièrement, sous les codes 760 et 761, les dépenses consacrées à l Accueil temps libre (les garderies extrascolaires ou les plaines d été). Cependant, on peut relever ici : - le poids important du financement des bibliothèques (reconnues ou non) ; - l importance du code 762 (culture et loisirs) dans lequel on retrouve souvent le financement du centre culturel ;

22 22 - un financement jeunesse (réparti en deux codes) non négligeable même s il renferme souvent le financement de l accueil extra-scolaire ; on y trouve également un soutien aux éventuelles maisons de Jeunes, aux mouvements foulard locaux et aux Jeunesses, présentes dans de très nombreux villages ; - les dépenses liées aux télévisions locales, directement financées par les communes en fonction de leur nombre d habitants (Une particularité que l on ne rencontre qu en Province de Namur et en Wallonie picarde) Financement de la Région wallonne Aide à l emploi (points APE) Comme signalé en introduction, l intervention régionale considérée ici prend la forme des Aides à l emploi pour lesquelles nous ne disposons que de données globales, limitées au secteur privé non marchand et classées par «métiers». Nous avons toutefois sectorialisé ces métiers et converti les points APE en euros pour permettre une certaine comparabilité des données : Education permanente ,00 8% Audiovisuel ,20 5% Arts de la scène ,81 2% Patrimoine et arts plastiques ,26 37% Jeunesse ,73 24% Centres culturels/ Affaires générales ,65 24% Ce diagramme indique d abord et avant tout que le montant global des aides régionales est d un peu plus de d euros ( ,66 ). Ensuite, on constate que : - 37% de ces aides sont consacrés au secteur du Patrimoine et des arts plastiques, qui regroupe, entre autres, les musées. Attention, ce pourcentage est à considérer avec circonspection car il reprend les métiers de «défense et préservation du patrimoine», généralement exercés dans des institutions ou associations relevant des compétences patrimoniales de la RW ; - les secteurs de la jeunesse et des centres culturels consomment ensemble presque 50% des aides à l emploi ;

23 23 - l éducation permanente se voit octroyer 8% des points APE ; cela n étonne guère : les associations reconnues en vertu du décret 2003 peuvent être de grande envergure (comme les Cercles des Naturalistes de Belgique, par exemple) et ces emplois sont également partagés avec le secteur de l alphabétisation dans lequel des opérateurs importants du champ social sont actifs. Répartition des APE sur les deux arrondissements 46 % soit ,54 54 % soit ,12 Arrondissement DINANT Arrondissement PHILIPPEVILLE Total: ,66 Cette répartition des aides à l emploi dans les deux parties de l arrondissement est légèrement favorable au côté Philippeville si on se base sur la distribution de la population (38%). Elle est sans doute quelque peu faussée par la surreprésentation des emplois liés à la «défense et préservation du patrimoine» dont nous parlions plus haut et qui représente 57% du montant global en APE pour la partie Philippeville.

24 Lecture simultanée des 4 sources d apport financier à la Culture : Fédération Wallonie- Bruxelles, Province de Namur, Communes, Région wallonne (APE) REGION WALLONNE (APE) 30% FWB 33% PROVINCE 3% COMMUNES 34% L observation la plus remarquable de cette mise en perspective est que, si l on exclut l intervention provinciale, le financement public de la culture dans le territoire se répartit de façon presque égale en trois tiers : les communes pour 34%, la Fédération Wallonie-Bruxelles pour 33% et les aides en emplois subventionnés (Région wallonne) pour 30%. La représentation statistique forte des aides à l emploi dans le territoire met en lumière l importance de cette forme de soutien financier dans le secteur culturel. Il permet à de nombreux opérateurs d atteindre un volume d emploi (presque) suffisant pour mener à bien leurs actions. La part relative de la Province de Namur est proche de celle des autres Provinces dans les arrondissements de même «nature». On a vu, par ailleurs, que la mise provinciale est proportionnelle aux volumes de population de ses deux Arrondissements électoraux. La part de la Fédération Wallonie-Bruxelles, plus importante que dans d autres arrondissements ayant les mêmes caractéristiques au niveau de la ruralité, s explique par les cas «particuliers» que nous avons relevés. Elle ne nous semble pas mettre à mal la relation constante observée dans de nombreux territoires entre la part relative de l intervention de la FWB et la densité de population d une commune donnée. Comme dans les autres arrondissements de Wallonie qui ne sont pas fortement dominés par une grande agglomération urbaine, on constate une relative égalité entre les interventions des communes et celles de la FWB. On l a vu ailleurs, cette égalité relative des interventions recouvre des situations communales individuelles diversifiées. Prise dans son ensemble, cette égalité relative exprime assez bien la politique de subsidiarité de la FWB. C est une observation remarquable dans la mesure où il n existe pas sur le territoire d opérateurs de rayonnement (de type «Opéra royal», par exemple) qui ferait anormalement augmenter la mise de la FWB.

25 25 ANHEE 26,93 HASTIERE 48,50 BEAURAING 41,04 HAVELANGE 99,32 BIEVRE 93,89 HOUYET 20,32 CERFONTAINE 35,98 ONHAYE 17,81 CINEY 85,35 PHILIPPEVILLE 42,13 COUVIN 64,96 ROCHEFORT 160,57 DINANT 130,35 SOMME-LEUZE 44,75 226,35 DOISCHE 123,99 VIROINVAL FLORENNES 58,51 VRESSE-SUR- SEMOIS 59,84 GEDINNE 38,11 WALCOURT 22,33 HAMOIS 18,88 YVOIR 23, ,00 40,00 80,00 120,00 160,00 200,00 240,00 L observation des interventions conjointes de trois pouvoirs subsidiants, commune par commune, ne permet pas de tirer de conclusions générales. En effet, il n y a pas vraiment de «loi des séries», ou de corrélations particulières qui ressortent. Tout au plus peut-on observer quelques phénomènes particuliers : Globalement, le taux d intervention en euro/habitant est relativement faible par rapport à d autres arrondissements. Mais cette observation est conforme à ce qui est observé ailleurs en Wallonie pour des communes peu peuplées. Ce qui fait ici la différence entre un montant global d intervention publique plus ou moins élevé, c est l existence ou non d un opérateur à vocation territoriale tel que les centres culturels où la mise communale (parfois jointe à celle de la Province) doit être égale à l intervention de la FWB. On se serait attendu à ce que des «petites villes historiques isolées» comme Dinant et Couvin, voire Philippeville, compensent leur désavantage compétitif en surinvestissant en culture, comme on le voit dans d autres petites villes aux caractéristiques analogues (Ciney, Andenne ou encore Huy, par exemple). Ce n est pas du tout le cas. Faut-il en chercher l explication dans les effets délétères d une crise économique déjà ancienne? Il ne faut pas non plus oublier l imperfection de la présente analyse, qui n intègre pas les efforts réalisés par ces communes en matière de tourisme et de patrimoine historique immobilier, matières relevant de la Région Wallonne et/ou dont le caractère culturel ne fait pas encore partie des manières de penser communément admises en FWB. On relèvera les situations particulières des communes de Rochefort et de Viroinval. Ces communes devraient, statistiquement, constater des dépenses culturelles publiques beaucoup plus faibles qu elles ne le sont. Ne bénéficiant pas des mêmes moyens d action en ingénierie culturelle que l on trouve dans les grandes agglomérations, du fait de la faible densité de leurs noyaux urbains, voire de la dispersion de l habitat, elles montrent contre toute attente que le dynamisme associatif, associé à des opportunités contextuelles (exemple à Viroinval : la

26 présence de l Université libre de Bruxelles) et au réseautage local qui peut en découler, leur permet de tirer leur épingle du jeu et d atteindre, comme dans le cas particulier de Viroinval, un taux d intervention en euro/habitant similaire à une grande agglomération. Il n y a donc pas ici de modèle(s) à observer, nous parlerons plutôt de volontés et d opportunités. 26

27 27 3. CARTOGRAPHIE DES OPERATEURS Précisions méthodologiques Nous avons choisi de présenter deux types de cartes. D une part, des cartes sectorielles qui permettent de présenter les opérateurs culturels selon les prismes définis par la Fédération Wallonie-Bruxelles (les Services généraux, les divisions organiques du budget). On y trouvera les Arts de la scène, le Patrimoine culturel et les Arts plastiques, l Audiovisuel et les Multimédias et le secteur des Lettres et du Livre. D autre part, des cartes thématiques qui ont pour objectif de mieux évaluer l action réelle ainsi que la dispersion concrète des opérateurs culturels qui relèvent de ce qui a été appelé le «paradigme de la citoyenneté» : les cartes «Ecoles et actions culturelles», «Pratiques artistiques en amateur», «Secteur de la Jeunesse» et «Participation citoyenne». Toutes les cartes localisent prioritairement les opérateurs reconnus et subventionnés par la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Province de Namur. Pour certains secteurs, cependant, nous avons étendu notre recensement à d autres associations tant leur présence sur le territoire nous semblait dénoter des tendances signifiantes. L inventaire de ces opérateurs n est cependant pas exhaustif ; il sera complété, au besoin, dans le cadre du processus ultérieur des Assises. Notons encore que seules les cartes réalisées par l Etnic (3.4. et 3.5.), permettent une localisation des opérateurs conforme à la réalité géographique.

28 Secteur des Arts de la scène Arts de lascène Cirque, arts forains et arts de la rue Théâtre-action Pluridisciplinaire Petit lieu de diffusion Musique - festival subventionné (FWB et/ou Province) Musique/théâtre - festival àl initiative d un Centre culturel Musique - festival indépendant On constate qu il existe peu d opérateurs bénéficiant d une reconnaissance Arts de la scène dans l Arrondissement de Dinant-Philippeville : - deux compagnies actives dans le domaine du Cirque, des Arts forains et des Arts de la rue (le Théâtre d un Jour, à Houyet, La Compagnie des six Faux Nez, à Beauraing) ; - une compagnie de Théâtre action à Houyet, la Compagnie Buissonnière, active sur l ensemble du territoire provincial ; - deux opérateurs «pluridisciplinaires» : le Festival du Rire de Rochefort et l Association internationale Adolphe Sax, à Dinant ; - le Petit Théâtre de la Grande Vie, à Rochefort, qui bénéficie de la reconnaissance «petit lieu de diffusion» ; - plusieurs festivals de musique subventionnés par la Fédération Wallonie-Bruxelles (à Havelange, Dinant et Beauraing) et/ou la Province (à Havelange, Dinant, Walcourt, Beauraing et Ciney). Cette situation, qui peut s expliquer par l absence de pôles urbains importants, l éloignement des grandes villes (Charleroi et Namur) et le caractère essentiellement rural du territoire, est cependant compensée, au moins en partie, par le rôle crucial des centres culturels en matière de diffusion : outre les festivals qu ils initient et portent (étoiles mauves sur la carte), leurs programmations, éclectiques et volontairement ouvertes à la modernité et aux cultures émergentes, laissent également une place importante aux créations non professionnelles en

29 29 Théâtre-action ou Théâtre amateur. En offrant un espace d expression aux artistes débutants, certains centres jouent, en outre, un réel rôle de tremplin. Dans une moindre mesure, d autres actions compensent, elles-aussi, la faible représentation des opérateurs reconnus en Arts de la scène : - les festivals «indépendants» (points verts), sans doute plus nombreux que tels que cartographiés, qui, comme les autres manifestations de ce type, animent la vie culturelle du territoire et drainent des publics extérieurs à celui-ci ; - des espaces de diffusion, privés et non reconnus en tant que tels, qui fleurissent sur tout le territoire à Hamois, Hastière, Havelange ou Florennes, par exemple. Ils ne sont pas identifiés sur la carte proposée. A noter : les compagnies de Théâtre semi-professionnel et amateur, dont certaines bénéficient d un soutien en Arts de la scène, sont répertoriées en Secteur du Patrimoine culturel et des Arts plastiques Patrimoine culturel et arts plastiques Musée et institution muséale Cercle et société d histoire et d archéologie Chefs d œuvre du patrimoine oral et immatériel L Arrondissement compte six musées ou institutions muséales reconnus dont quatre dans la partie Philippeville. Ces institutions drainent de nombreux visiteurs extérieurs au territoire et mènent des actions avec la population locale. Il existe une trentaine d autres musées, non reconnus, fonctionnant grâce au bénévolat et qui bénéficient parfois de soutiens communaux. Les centres d interprétation, relevant de financements régionaux et communaux, ne figurent pas sur cette carte.

30 30 L histoire locale rencontre un réel succès citoyen dans l ensemble de l Arrondissement, au point de constituer un des axes d action de certaines bibliothèques ou de centres culturels. Cette dynamique n apparaît pas clairement ici : la carte présentée reprend les seuls cercles et sociétés d histoire et d archéologie financés dans le cadre du Patrimoine. D autres associations ayant les mêmes objectifs bénéficient d un petit soutien en vertu de la loi de 21 (cf. 3.8.). Les carrés rouges figurent les Chefs d œuvre du patrimoine oral et immatériel de la Communauté française ; il s agit du Carnaval de la Vallée du Viroin et de certaines Marches de l Entre-Sambre-et-Meuse. Ces marches sont bien plus nombreuses : nous en avons compté 25 dans les seules communes de Cerfontaine, Walcourt et Florennes. Par ailleurs, la tradition des Marches dépasse largement les limites de l Arrondissement de Dinant-Philippeville: on en retrouve au nord, dans l Arrondissement de Charleroi, au nord-ouest, dans les communes de Thuin et Ham-sur-Heure, ainsi que dans le sud de l Arrondissement de Namur. Ce patrimoine oral et immatériel, dont certaines manifestations sont reconnues par l Unesco au même titre que le Carnaval de Binche ou la Ducasse de Mons, contribue à construire l identité de ce que l on pourrait appeler le «nord Entre-Sambre-et-Meuse», transcendant les frontières provinciales, par opposition au «sud Entre-Sambre-et-Meuse» qui concerne les communes de Couvin, Viroinval, Doische et leurs homologues de la Botte du Hainaut. Cette identité a réuni les communes de Cerfontaine, Walcourt, Florennes et Gerpinnes dans le GAL de l Entre-Sambre-et- Meuse dont la première programmation portait spécifiquement sur une réflexion autour des Marches, autour de l appropriation de ce patrimoine par tous les habitants dont les nouveaux venus, nombreux dans ces communes.

31 Secteur de l Audiovisuel et des Multimédias Audiovisuel et multimédias Télévision locale: TL «Ma Télé» Communes couvertes TL «Canal C» Communes couvertes Cinéma Cinéma festival Centres culturels programmation cinéma Ce secteur finance les télévisions locales, les radios, les ateliers de production, les cinémas et les festivals de cinéma. La couverture par deux télévisions locales différentes sépare l Arrondissement de Dinant- Philippeville en deux parties : Canal C, basée à Namur, couvre la partie Philippeville, et Ma Télé, dont le siège social se situe à Rochefort, couvre la partie Dinant. Nous avons repéré deux cinémas soutenus par la Fédération Wallonie-Bruxelles ou la Province (carrés verts). Outre des financements structurels, ils ont bénéficié d une aide récente et conséquente de la Province pour leur numérisation. C est également le cas de la majorité des centres culturels proposant une programmation cinéma régulière, que nous avons repris ici. Tous ces opérateurs peuvent également compter sur une aide financière du Réseau d action culturelle-cinéma (RACC) mis en place par la Fédération Wallonie-Bruxelles: il s agit d interventions dans les frais de location de films sélectionnés. Il nous reste à souligner la présence du Festival du film A travers champs à Rochefort. Atypique, mettant en valeur le cinéma rural, il n est pas (encore) soutenu par le secteur de l Audiovisuel de la Fédération. Il a été initié et est porté par le Centre Culturel des Roches de Rochefort, en

32 32 partenariat historique avec l asbl Pays de Famenne (GAL RoMaNa) ainsi que les Centres culturels régionaux de Marche et de Dinant. Il s agit d une manifestation importante, inscrite dans une dynamique citoyenne d éducation permanente remarquable qui met la ruralité en débat : le projet Terre Ferme. Nous y reviendrons en Secteur des Lettres et du Livre Lettres et Livre Librairie de qualité Atelier d écriture Bibliothèque locale Bibliothèque locale encyclopédique Bibliobus (arrêts) BDbus (arrêts) Bibliothèque non reconnue On repère une seule librairie bénéficiant du label «Librairie de qualité», à Dinant (DLivre), et un atelier d écriture, actif prioritairement à Walcourt et dans la région de Philippeville mais également en Fédération Wallonie-Bruxelles, dont le siège social se situe à Cerfontaine (les Ateliers de l escargot). Le nombre de bibliothèques publiques reconnues est nettement plus important mais loin d être optimal : sur 22 communes, on en compte 10 dont 7 ont déjà acquis leur reconnaissance selon le décret de 2009 (arrêtés en 2011). Si le maillage est plus dense dans le nord de la partie Dinant, on constate que la répartition est plus homogène côté Philippeville ; elle est en plus renforcée par l étroite collaboration de quatre opérateurs reconnus, les Bibliothèques de Mettet (Arrondissement de Namur), Couvin, Doische et Florennes. Coordonné par la Bibliothèque de Florennes, seule bibliothèque de la Province ayant obtenu une reconnaissance en catégorie 3 assortie de la fonction «encyclopédique», ce réseau est animé par des bibliothécaires dynamiques. Travaillant également avec les bibliothèques non reconnues de

33 33 Walcourt et Philippeville, il permet aux actions de développement de la lecture de gagner en cohérence territoriale à l échelle de l Arrondissement administratif de Philippeville. La plupart des bibliothèques du territoire ne disposent que d une implantation, le plus souvent au centre de leur commune. Elles développent donc des stratégies propres pour toucher les publics éloignés de la lecture : on connaît Doische et ses relais lecture bénévoles dans tous les villages de l entité. De nombreux autres opérateurs se déplacent : dans les classes, évidemment, mais aussi dans les Maisons de Repos ou les Centres d accueil pour réfugiés. Notons également que tous les opérateurs du Réseau public de la lecture ont développé d importantes collaborations avec les autres opérateurs culturels de leur territoire. Nous avons également repéré quelques bibliothèques non reconnues (carrés gris). Certaines font l objet de projets concrets de reconnaissance. Comme indiqué dans la partie flux financiers (2.3.), toutes les bibliothèques, reconnues ou pas, sont financées, au moins en partie, par les Communes. Pour terminer, on voit que les haltes des Biblio- et BDbus provinciaux sont nombreuses. Elles résultent d une demande des communes. Les services de l Itinérante de la Province de Namur sont gratuits sauf pour les communes qui ne disposent pas d un opérateur local reconnu. Les arrêts du Bibliobus sont régulièrement proches d un établissement scolaire, on le voit dans la carte ci-dessous où les opérateurs sont géolocalisés très précisément.

34 Ecoles et actions culturelles (hors livre) Cette carte, réalisée par l Etnic, permet de visualiser très précisément les implantations scolaires du primaire et du secondaire. Elle pointe également les actions culturelles liées à l enseignement (Théâtre à l école et opérations soutenues en vertu de la Circulaire Cultureenseignement). Nous utiliserons cependant la deuxième carte, géographiquement moins précise mais dont la lisibilité est facilitée par son aspect schématique.

Du marketing dans ma PME!

Du marketing dans ma PME! Du marketing dans ma PME! Manque d expérience marketing des managers de sociétés technologiques, difficulté de recruter des profils marketing formés ou expérimentés : pourquoi la mission marketing est-elle

Plus en détail

Cahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieux culturels)

Cahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieux culturels) Cahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieu culturels) Page 1 sur 19 TABLE DES MATIERES Cahier de charge application cartographie... 1 (base de données des acteurs

Plus en détail

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011 Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

DE MAI À OCTOBRE 2015 EN PICARDIE. Appel à partenaires. DIRCOM RÉGION PICARDIE - Photo : Ludovic Leleu / Région Picardie

DE MAI À OCTOBRE 2015 EN PICARDIE. Appel à partenaires. DIRCOM RÉGION PICARDIE - Photo : Ludovic Leleu / Région Picardie DE MAI À OCTOBRE 2015 EN PICARDIE Appel à partenaires Fiche de présentation 2/8 Présentation du projet : contexte et enjeux En 2013, le festival «Jardins en scène» est devenu «Jardins en scène, une saison

Plus en détail

Qu est-ce que l Inventaire?

Qu est-ce que l Inventaire? Qu est-ce que l Inventaire? L I.P.I.C. (ou Inventaire du Patrimoine Immobilier Culturel) est la dénomination désignant l Inventaire du patrimoine architectural de Wallonie. Depuis 2011, il fait suite à

Plus en détail

Compte-rendu InterGAL du 14/12/04

Compte-rendu InterGAL du 14/12/04 Compte-rendu InterGAL du 14/12/04 1. Communication interne Remarque préliminaire : la communication interne ne doit pas être confondue avec différents aspects administratifs relatives à la mise en œuvre

Plus en détail

Projet pour la création de nouveaux ateliers d artistes à Marseille, Association ART 13. I Etat des lieux

Projet pour la création de nouveaux ateliers d artistes à Marseille, Association ART 13. I Etat des lieux 1 Projet pour la création de nouveaux ateliers d artistes à Marseille, Association ART 13 I Etat des lieux Le parc d ateliers «publics» loués aux artistes contemporains à Marseille est de : - 10 ateliers

Plus en détail

ATLAS SOCIO-ECONOMIQUE de la région de Charleroi et du Sud Hainaut. www.hainaut-developpement.be www.igretec.com www.notreregion.

ATLAS SOCIO-ECONOMIQUE de la région de Charleroi et du Sud Hainaut. www.hainaut-developpement.be www.igretec.com www.notreregion. ATLAS SOCIO-ECONOMIQUE de la région de Charleroi et du Sud Hainaut www.hainaut-developpement.be www.igretec.com www.notreregion.be Editeur responsable Pierre ROMBAUX Intercommunale pour la Gestion et la

Plus en détail

with the support of EFMET cooperation partners:

with the support of EFMET cooperation partners: Recommandations à la Commission Européenne sur le rôle de l enseignement musical et de la formation musicale professionnelle dans le nouveau programme européenne pour la culture with the support of EFMET

Plus en détail

Circulaire n 5051 du 04/11/2014

Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés

Plus en détail

EUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie

EUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie Les communes sur la scène européenne Après vous avoir présenté le programme citoyen "L Europe pour les citoyens" dans le Mouvement communal de mai 2007, nous vous présentons, ci-dessous, l ensemble des

Plus en détail

PARABOLE. Compagnie du Subterfuge - Laureline Gelas. Création 2014. Solo de danse jeune public et tout public

PARABOLE. Compagnie du Subterfuge - Laureline Gelas. Création 2014. Solo de danse jeune public et tout public Compagnie du Subterfuge - Laureline Gelas Création 2014 PARABOLE Solo de danse jeune public et tout public Accompagnement de la création : École de Cirque de Lyon Scène découvertes La compagnie est soutenue

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004

ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004 ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004 Préambule La Fédération des scènes de jazz et de musiques improvisées (FSJ) regroupe depuis 1996, des lieux

Plus en détail

Commentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel

Commentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la

Plus en détail

Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)

Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Février 2008 SOMMAIRE Communiqué de presse de synthèse... 3 1. Le Bureau d accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)........

Plus en détail

Ministère de la Culture et de la Communication

Ministère de la Culture et de la Communication Paris, le 11 juin 2014 Secrétariat général Service de la coordination des politiques culturelles et de l innovation Département de la Recherche, de l Enseignement supérieur et de la Technologie Appel à

Plus en détail

Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial

Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris

Plus en détail

Les aspects juridiques liés à la mise en place de «mutuelles communales»

Les aspects juridiques liés à la mise en place de «mutuelles communales» Juillet 2015 Les aspects juridiques liés à la mise en place de «mutuelles communales» La présente note a pour objet de faire le point sur le cadre juridique applicable à la création de «mutuelles communales»

Plus en détail

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils

Plus en détail

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires

Plus en détail

Qui fait quoi sur internet?

Qui fait quoi sur internet? Ans Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2015 8, avril 2015 www.ftu.be/ep Qui fait quoi sur internet? Analyse des inégalités sociales dans l utilisation d internet

Plus en détail

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Septembre 2012 Table des matières : 1. Facts and figures :...2 1.1. Lien entre retards de paiement et faillites :... 2 1.2. Délais de paiement...

Plus en détail

Campus Paris Saclay. Enquête sur les usages, transports, logements et services. L enquête en ligne. Les bonnes pratiques identifiées par le benchmark

Campus Paris Saclay. Enquête sur les usages, transports, logements et services. L enquête en ligne. Les bonnes pratiques identifiées par le benchmark Campus Paris Saclay L enquête en ligne Les déplacements : des spécificités par statut L équipement : un intérêt marqué pour les transports doux et les services pratiques Le logement : des attentes et des

Plus en détail

Les textes et règlements

Les textes et règlements Réglementation applicable aux chapiteaux, tentes et Note : cette fiche est extraite pour l essentiel de l ouvrage «Organiser un événement artistique dans l espace public : Guide des bons usages», édité

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

L emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort

L emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort Chiffres clés 1 207 emplois en moyenne sur l année 2011 dans le Territoire de Belfort*. Soit 850 emplois en équivalent temps plein (dont plus de 700 en zone urbaine). 2,4 % de l emploi total du département.

Plus en détail

Chapitre 2 : Détermination de l'ensemble consolidé

Chapitre 2 : Détermination de l'ensemble consolidé Chapitre 2 : Détermination de l'ensemble consolidé Introduction I - Degrés de dépendance : Critères d'appréciation du contrôle A Droits de vote B Eléments de fait TD1 - Pourcentage de droits de vote II

Plus en détail

Programme «financement» - Partie I Données de cadrage

Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurances sociales des administrations de sécurité sociale

Plus en détail

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation

Plus en détail

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du

Plus en détail

EN BELGIQUE, LES MUTUELLES NE REMBOURSENT PAS LES

EN BELGIQUE, LES MUTUELLES NE REMBOURSENT PAS LES EN BELGIQUE, LES MUTUELLES NE REMBOURSENT PAS LES SÉANCES DE LOGOPÉDIE POUR LES ENFANTS DONT LE QUOTIENT INTELLECTUEL EST INFÉRIEUR À 86 PAR THOMAS DABEUX ANAHM ASBL 29 OCTOBRE 2014 Des études récentes

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique

Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Ministère de la Culture et de la Communication Direction générale des médias et des industries culturelles Service du livre et de

Plus en détail

LA PROTECTION SOCIALE EN BELGIQUE DONNÉES SESPROS 2O11

LA PROTECTION SOCIALE EN BELGIQUE DONNÉES SESPROS 2O11 LA PROTECTION SOCIALE EN BELGIQUE DONNÉES 2O11 Au niveau international et européen en particulier, les soins de santé et la vieillesse occupent le premier rang en matière de protection sociale. Les Etats

Plus en détail

Les grands centres ressources nationaux du spectacle vivant

Les grands centres ressources nationaux du spectacle vivant Fiche Mémo Ressources juridiques dans Ressources le spectacle vivant Vous travaillez dans le spectacle vivant et vous avez besoin d une information juridique? Voici une liste de ressources disponibles

Plus en détail

Planification d urgence et gestion de crise en Belgique

Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Noodplanning en crisisbeheer_fr.indd 1 21/01/2013 10:29:57 Noodplanning en crisisbeheer_fr.indd 2 21/01/2013 10:29:57 Planification d urgence La sécurité

Plus en détail

Négociations APE sur les services entre l AC et l UE Revue des engagements de l UE dans l APE CARIFOROM 25-29 Avril 2011, Douala, Cameroun

Négociations APE sur les services entre l AC et l UE Revue des engagements de l UE dans l APE CARIFOROM 25-29 Avril 2011, Douala, Cameroun Négociations APE sur les services entre l AC et l UE Revue des engagements de l UE dans l APE CARIFOROM 25-29 Avril 2011, Douala, Cameroun Sékou F. Doumbouya Programme Officer, JEICP s.doumbouya@ileap-jeicp.org

Plus en détail

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période

Plus en détail

Assurances collectives

Assurances collectives ?Votre guide de référence Assurances collectives samsongroupeconseil.com Votre partenaire de parcours Introduction Au printemps 2006, neuf syndicats d enseignement débutaient un processus de désaffiliation

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

L Alsace en chiffres. Chant choral 50 000 Ecoles de musique 30 000 Harmonies et ensembles 12 000 Autres ensembles 4 000 Orchestres à l école 1 000

L Alsace en chiffres. Chant choral 50 000 Ecoles de musique 30 000 Harmonies et ensembles 12 000 Autres ensembles 4 000 Orchestres à l école 1 000 L Alsace en chiffres Chant choral 50 000 Ecoles de musique 30 000 Harmonies et ensembles 12 000 Autres ensembles 4 000 Orchestres à l école 1 000 La FSMA et sa convention Existe depuis 2002 Objectifs partagés

Plus en détail

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...

Plus en détail

Accord Cadre de coopération

Accord Cadre de coopération Accord Cadre de coopération entre L'UNIVERSITE MONTESQUIEU-BORDEAUX IV, MEMBRE DE L UNIVERSITE DE BORDEAUX (FRANCE) et L UNIVERSITE DE THESSALIE (GRECE) Entre : -= =-= =- Le Président de l Université Montesquieu-Bordeaux

Plus en détail

PASS CULTURE SPORT REGLEMENT D INTERVENTION

PASS CULTURE SPORT REGLEMENT D INTERVENTION PASS CULTURE SPORT REGLEMENT D INTERVENTION OBJET A travers ce dispositif, la Région souhaite : Démocratiser l accès à la culture Faire du dispositif un véritable outil d ouverture culturelle Valoriser

Plus en détail

VOTRE ASSUREUR AU QUOTIDIEN. est un acteur majeur dans le MONDE ASSOCIATIF.

VOTRE ASSUREUR AU QUOTIDIEN. est un acteur majeur dans le MONDE ASSOCIATIF. VOTRE ASSUREUR AU QUOTIDIEN est un acteur majeur dans le MONDE ASSOCIATIF. ETHIAS, DES PROFESSIONNELS PROCHES DE VOUS Depuis de très nombreuses années, est un acteur majeur dans le monde associatif. Nous

Plus en détail

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE 1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir

Plus en détail

COMPARAISONS INTERRÉGIONALE ET INTERCOMMUNAUTAIRE DES BUDGETS DE DÉPENSES 2006 DES ENTITÉS FÉDÉRÉES

COMPARAISONS INTERRÉGIONALE ET INTERCOMMUNAUTAIRE DES BUDGETS DE DÉPENSES 2006 DES ENTITÉS FÉDÉRÉES FUNDP The University of Namur Faculté des Sciences économiques, sociales et de gestion 8, Rempart de la Vierge 5000 Namur Belgium Tél. 081/ 72.48.53 Fax. 081/ 72.48.40 Working Papers Research Series No.

Plus en détail

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte

Plus en détail

MUSEE ROYAL DE L ARMEE ET D HISTOIRE MILITAIRE Parc du Cinquantenaire, 3 1000 Bruxelles Centre de Documentation

MUSEE ROYAL DE L ARMEE ET D HISTOIRE MILITAIRE Parc du Cinquantenaire, 3 1000 Bruxelles Centre de Documentation MUSEE ROYAL DE L ARMEE ET D HISTOIRE MILITAIRE Parc du Cinquantenaire, 3 1000 Bruxelles Centre de Documentation REPRODUCTIONS PHOTOGRAPHIQUES : Demande et conditions 1.Prix et délais de livraison 1.1.

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CES/GE.20/2008/3 12 février 2008 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE CONFÉRENCE DES STATISTICIENS EUROPÉENS Réunion

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité

Plus en détail

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement

Plus en détail

R a p p o r t 2 0 0 5-2 0 0 6

R a p p o r t 2 0 0 5-2 0 0 6 R a p p o r t 2 0 0 5-2 0 0 6 O b s e r v a t o i r e des filières de qualification de l enseignement technique et professionnel en alternance Secteur de l Industrie Technologique Technopass Centre de

Plus en détail

La rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006

La rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006 La rémunération des concepteurs en théâtre au Québec de 2004 à 2006 Conseil québécois du théâtre - novembre 2007 Dans le cadre des travaux préparatoires des SECONDS ÉTATS GÉNÉRAUX DU THÉÂTRE PROFESSIONNEL

Plus en détail

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire L analyse de la MNT sur le projet de décret Patrick DOS Vice-Président de la MNT Participation des employeurs

Plus en détail

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans

Plus en détail

POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES

POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES Groupe Affaires corporatives et secrétariat général 19 avril 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. CADRE GÉNÉRAL...3 1.1 Politique NOTRE RÔLE SOCIAL...3 1.2 Imputabilité...3

Plus en détail

L externalisation des activités bancaires en France et en Europe

L externalisation des activités bancaires en France et en Europe ÉTUDES L externalisation des activités bancaires en France et en Europe Si l externalisation des activités (outsourcing) est un phénomène courant au sein des entreprises non financières en Europe, comme

Plus en détail

(1er DEGRE) DEPARTEMENT :... CIRCONSCRIPTION :... CODE POSTAL: COMMUNE : ECOLE :... PUBLIQUE PRIVEE ADRESSE :...

(1er DEGRE) DEPARTEMENT :... CIRCONSCRIPTION :... CODE POSTAL: COMMUNE : ECOLE :... PUBLIQUE PRIVEE ADRESSE :... Cadre réservé à l administration - Cadre réservé à l administration Année scolaire 04-05 N de dossier PACP Code identification expert Décision IEN ou IPR DEMANDE D OUVERTURE D UNE Classe à Projet Artistiqu

Plus en détail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

Planification d urgence et gestion de crise en Belgique

Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence La sécurité s'exprime par plusieurs aspects : maintien de la tranquillité et de l'ordre public, sauvegarde de la sécurité

Plus en détail

Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux

Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux masseurs kinésithérapeutes libéraux 1 sommaire p 3

Plus en détail

DOSSIER. Fund Research. Pour une sélection de fonds de qualité

DOSSIER. Fund Research. Pour une sélection de fonds de qualité DOSSIER Fund Research Pour une sélection de fonds de qualité Même si «le meilleur» fonds * de placement n existe pas, il est possible d identifier les fonds générant un bon rendement grâce à une analyse

Plus en détail

Commune de GEDINNE. CONSEIL COMMUNAL Du 3 juillet 2014. PROCES-VERBAL

Commune de GEDINNE. CONSEIL COMMUNAL Du 3 juillet 2014. PROCES-VERBAL Commune de GEDINNE CONSEIL COMMUNAL Du 3 juillet 2014. PROCES-VERBAL Présents : Vincent MASSINON, Bourgmestre, Pierre ROLIN, Daniel NORMAND, Etienne MARCHAL - Echevins ; Julien GRANDJEAN, Conseiller communal

Plus en détail

Plan d actions 2011/2014

Plan d actions 2011/2014 Plan d actions 2011/2014 Le présent plan d actions s organise en fiches actions, qui précisent les objectifs opérationnels des actions et explicite les modalités de mise en œuvre. Ces fiches répondent

Plus en détail

Étude publique sur Montréal, métropole culturelle

Étude publique sur Montréal, métropole culturelle Étude publique sur Montréal, métropole culturelle Présentation de Jean-Robert Choquet Directeur Direction du développement culturel Service du développement culturel, de la qualité du milieu de vie et

Plus en détail

1. Instruction des demandes de permis de construire et des demandes de dérogation aux règles constructives

1. Instruction des demandes de permis de construire et des demandes de dérogation aux règles constructives ORDONNANCE N 2013-889 du 3 octobre 2013 relative au développement de la construction de logement FICHE N 6 : Instruction et motivation des demandes de dérogation 1. Instruction des demandes de permis de

Plus en détail

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013 Débat d orientations budgétaires 2014 Conseil municipal du 4 novembre 2013 1 1. Un contexte économique toujours aussi tendu 2 Les éléments de contexte 2014 : année électorale Des inconnues avec les réformes

Plus en détail

pas de santé sans ressources humaines

pas de santé sans ressources humaines Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Mars 2013 RÉSUMÉ :... 2 NOTE INTÉGRALE :... 3 1. LIEN ENTRE RETARDS DE PAIEMENT ET FAILLITES :... 3 2. DÉLAIS DE PAIEMENT... 4 3. RETARDS

Plus en détail

PRESENTATION STRATEGIQUE

PRESENTATION STRATEGIQUE Programme «Accidents du travail Maladies professionnelles» 7 PRESENTATION STRATEGIQUE DU PROGRAMME DE QUALITE ET D EFFICIENCE «ACCIDENTS DU TRAVAIL MALADIES PROFESSIONNELLES» La branche «accidents du travail

Plus en détail

Marseille/Le Corbusier : Quand l architecture se livre 3ème édition

Marseille/Le Corbusier : Quand l architecture se livre 3ème édition Marseille/Le Corbusier : Quand l architecture se livre 3ème édition Jeudi 9 octobre en journée A l école primaire du square Michelet 13009 Marseille, ateliers et rencontre animés par l auteur de l ouvrage

Plus en détail

Etat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe

Etat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe Etat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe La conjoncture immobilière en Guadeloupe est au vert depuis les 6 dernières années. Ce boom immobilier concerne aussi l immobilier d entreprises

Plus en détail

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence

Plus en détail

La construction métropolitaine en Ile-de-France

La construction métropolitaine en Ile-de-France 1 La construction métropolitaine en Ile-de-France Eléments d actualité: La réforme territoriale Le devenir du Grand Paris 29 Novembre 2012 Intercommunalité et Métropolisation en Ile-de-France 2 Eléments

Plus en détail

LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL :

LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : UN PARTENARIAT POUR BÂTIR DES COLLECTIVITÉS PLUS FORTES, PLUS PROSPÈRES ET PLUS DYNAMIQUES Mémoire prébudgétaire présenté par Imagine

Plus en détail

LOI N 2006-01 portant Code des Postes

LOI N 2006-01 portant Code des Postes REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,

Plus en détail

Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage?

Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Etudes Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Table des matières Introduction...7 Objectif, méthodologie

Plus en détail

Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III

Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Depuis 2008, l Etablissement assure la mise en place du plateau collaboratif d échange Intranet/Internet

Plus en détail

COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC

COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS ATELIER N 1 «STRATÉGIE TERRITORIALE ET AMÉNAGEMENT» Animateur des ateliers thématiques

Plus en détail

LA BASE DE DONNÉES PATRIMOINE IMMOBILIER, MOBILIER ET

LA BASE DE DONNÉES PATRIMOINE IMMOBILIER, MOBILIER ET LA BASE DE DONNÉES PATRIMOINE IMMOBILIER, MOBILIER ET IMMATÉRIEL DU QUÉBEC ET LE RÉPERTOIRE DU PATRIMOINE CULTUREL DU QUÉBEC. ÉTAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES POUR L INVENTAIRE DU PATRIMOINE IMMATÉRIEL.

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc? Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie

Plus en détail

la voie bilatérale reste la meilleure option

la voie bilatérale reste la meilleure option WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire

Plus en détail

Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine

Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Contexte de la mission Connaissance, compréhension et anticipation des phénomènes d érosion et de submersion

Plus en détail

Statistiques de finances publiques consolidées

Statistiques de finances publiques consolidées Statistiques de finances publiques consolidées Introduction Le concept de la consolidation est couramment utilisé dans le domaine de la comptabilité, tant dans le secteur privé que public. Définie simplement,

Plus en détail

Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie?

Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie? 18 2 e semestre 2012/HesaMag #06 Dossier spécial 7/34 Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie? La protection du bien-être au travail est un droit des salariés.

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES

INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS

Plus en détail

Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales. kpmg.fr

Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales. kpmg.fr Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales kpmg.fr 1 Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales 2 La gestion de la trésorerie,

Plus en détail

Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques

Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques sur le projet de loi n o 15, Loi sur la gestion et le contrôle des effectifs des ministères, des

Plus en détail

Le diagnostic Partagé,

Le diagnostic Partagé, Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase

Plus en détail

Les Français ais et l assurance l

Les Français ais et l assurance l Mai 2013 Contacts: 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français ais et l assurance l santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon

Plus en détail

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble STRATÉGIE PATRIMONIALE DE MISE EN ACCESSIBILITÉ DES ERP Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble COTITA 30-01-15-1 Contexte La Ville de Grenoble : 300 équipements

Plus en détail