Volet 8 : Alimentation Sécurité alimentaire

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1 1 Volet 8 : Alimentation Sécurité alimentaire Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires Facteurs d influence de la sécurité alimentaire L'insécurité alimentaire et la pauvreté L'insécurité alimentaire et la santé Consommation d'aliments sains Commerces en alimentation dans le quartier L'accès physique aux commerces Le transport vers les commerces en alimentation L'offre des commerces en produits frais L agriculture urbaine... 8 Pistes d action... 9 Notes et références À retenir La majorité de la population du Sud Ouest et de Verdun ne mange pas assez d aliments santé (légumineuses, grains entiers, et produits laitiers) selon les seuils minimums recommandés. Le problème est encore plus criant pour les fruits et les légumes : seulement 28 % de la population consomme un minimum de 5 fruits et légumes par jour. Le coût du panier nutritif a connu une augmentation de près de 30 % en 4 ans. Cette augmentation fulgurante touche particulièrement les citoyen ne s de Pointe Saint Charles à faible revenu, qui n ont que peu d argent à consacrer à la nourriture. Le sud est de Pointe Saint Charles est qualifié de désert alimentaire par la DSP, c est à dire que l offre commerciale en fruits et en légumes y est déficiente. Avec un seul supermarché dans le quartier, il existe un sérieux problème d accès aux magasins pour les citoyen ne s qui ne possèdent pas de voiture. De plus, la desserte inefficace du transport en commun dans le quartier accentue ce problème d accessibilité. Les groupes d achats, les cuisines collectives, l agriculture urbaine, les marchés publics communautaires constituent des alternatives de sécurité alimentaire à développer et à soutenir dans le quartier.

2 2 Ce qu en disent les acteurs communautaires L insécurité alimentaire dans Pointe Saint Charles est surtout causée par le manque d argent Les familles ont peu d argent pour payer l épicerie, une fois faites les dépenses essentielles comme le loyer et l électricité; Beaucoup de familles et de personnes seules vivent une très grande précarité, n ayant pratiquement aucun budget disponible après avoir payé le loyer, et dépendent entièrement de l aide alimentaire pour leur survie Les aliments mauvais pour la santé étant moins chers que les aliments sains, ces derniers sont mis de côté par les familles. Exemple expliqué par une intervenante du quartier : «il n était pas rare que certains enfants n avaient dans leur lunch qu une saucisse à hot dog et une tranche de pain blanc, ce qui est très peu nutritif». Un aller retour en autobus coûtant 5,50 $ pour un adulte, imaginez le coût du déplacement pour une mère avec plusieurs enfants qui veut aller faire son épicerie... Les citoyen ne s ayant peu de moyens ont plus recours aux magasins près de chez eux : les dépanneurs. En plus d offrir des aliments de moins bonne qualité et à un prix assez élevé, certains dépanneurs font parfois crédit, et vont même jusqu à changer directement les chèques des allocations gouvernementales. Dans les jardins collectifs, un sondage réalisé en 2007 a démontré que 33 % de nos membres ont des revenus de moins de $, et 25 %, que ces revenus entre $ et $. Lorsqu on leur demande quels facteurs pourraient les aider à améliorer leur alimentation, 50 % des participants répondent «de meilleurs revenus». Et 76 % des répondants affirment qu ils participent aux jardins pour se «procurer des fruits et légumes de qualité». 1. Facteurs d influence de la sécurité alimentaire Selon la Direction de santé publique de Montréal Centre 1, il y a sécurité alimentaire lorsque : toute une population a accès, en tout temps et en toute dignité, à un approvisionnement alimentaire suffisant et nutritif, à coût raisonnable, et acceptable au point de vue social et culturel ; les individus ont un pouvoir d achat adéquat; les individus ont accès à une information simple et fiable qui confère des habiletés et qui permet des choix alimentaires éclairés. 1.1 L insécurité alimentaire et la pauvreté Ressources Humaines et développement des compétences Canada 2 appuie les réflexions des intervenant e s de Pointe Saint Charles : l'une des principales causes de l'insécurité alimentaire au Canada est la pauvreté ou tout ce qui contribue à la pauvreté, comme le chômage, les coûts élevés du logement et d'autres besoins essentiels, et la réduction des

3 3 services sociaux. Le lien entre la pauvreté et l'insécurité alimentaire est simple : moins d'argent signifie moins de nourriture et une nourriture de moindre qualité. Quand l'argent se fait rare, les fonds disponibles servent souvent à payer les frais de logement et de subsistance. Ce fait se confirme à Montréal : en 2001, un Montréalais sur six (16,2 %) aurait éprouvé de l insécurité alimentaire, et ce chiffre monte à près d une personne sur deux (48,6 %) pour les gens à faible revenu 3. Le dépannage alimentaire et les repas communautaires L insécurité alimentaire est un problème criant dans Pointe Saint Charles, comme peuvent en témoigner les nombreux organismes qui offrent du dépannage alimentaire et des repas communautaires. II existe quatre organismes qui distribuent des paniers alimentaires dans le quartier : la Maison du Partage d Youville, la Fondation Partageons l Espoir, l Église Saint Charles et l Église Saint Gabriel. Chacun de ces organismes rejoint de 60 à 400 familles par mois. Les repas communautaires constituent également un service populaire dans le quartier : cinq organismes servent de 60 à 125 personnes à chaque repas (Mission Grand Berger, Grace Church, Welfare Right Committee/Comité des sans emplois et le YMCA). Le nombre de repas servis varie énormément d un endroit à l autre : entre une fois par mois et cinq fois par semaine. Il faut aussi ajouter que les écoles servent également des repas chauds à prix modiques à leurs élèves, grâce à un service du Garde Manger pour Tous. 1.2 L insécurité alimentaire et la santé Comme on l a vu plus tôt, la sécurité alimentaire ne touche pas seulement la quantité des aliments disponibles, mais également leur qualité. En effet, selon le Ministère de la Santé et des Services sociaux, une mauvaise alimentation serait responsable de 80 % des décès liés aux maladies cardiovasculaires, 90 % des décès reliés au diabète et le tiers des décès reliés au cancer 4. Dans la section Santé, on a pu voir que l incidence du diabète est très élevée à Pointe Saint Charles. Cela pourrait être dû à une mauvaise alimentation. 1.3 Consommation d aliments sains D un autre côté, plusieurs aliments ont des bienfaits prouvés sur la santé de ceux qui les consomment. En gros, le fer, les folates, le calcium, la vitamine D, le soya, les grains entiers, les fruits et légumes, les légumineuses et les produits laitiers auraient des effets bénéfiques sur la santé 5. Dans une étude publiée par la DSP en , la moitié, sinon la majorité, de la population du Sud Ouest et de Verdun ne mange pas les aliments santé aux seuils minimums recommandés. En effet, 51 % de la population de ce territoire mangent des légumineuses au moins une fois par semaine, 50 % des gens consomment du pain de grain entier au moins une fois par jour et seulement 39 % de la population consomment du lait et du fromage au moins 2 fois par jour. Le problème est encore plus criant en ce qui concerne les fruits et les légumes : seulement 28 % de la population de ce territoire consomme un minimum de 5 fruits et légumes par jour.

4 4 2. Commerces en alimentation dans le quartier 2.1 L accès physique aux commerces L accès physique à des aliments frais et de qualité est difficile pour les gens du quartier qui ne possèdent pas d automobile. En effet, selon une étude de la Direction de la santé publique, 42,5 % des gens habitant le Sud Ouest et Verdun n ont pas un accès adéquat à des fruits et légumes à distance de marche (500 m) 7. À Pointe Saint Charles, comme on peut le voir sur la carte ci contre, tout le secteur est du quartier (à l est de la rue Hibernia) présente une disponibilité faible en fruits et en légumes alors que le secteur sud est (sud de Wellington) est même considéré comme un désert alimentaire. Une étude effectuée par Action Gardien au printemps 2009 pour faire le portrait de la situation de l offre des commerces en alimentation confirme ce fait : l extrême sud du quartier n est pas desservi à distance de marche par des commerces majeurs en alimentation. Surface de vente de fruits et de légumes à moins de 500 mètres de marche CSSS Sud Ouest Verdun 8 La carte suivante présente les principaux commerces en alimentation desservant le quartier, avec leur aire d accessibilité correspondant à 500 mètres. On peut y voir que le sud est, mais également le nord est du quartier, sont défavorisés à ce point de vue.

5 5 Sources : voir en note de fin Le transport vers les commerces en alimentation Plusieurs endroits à Pointe Saint Charles sont éloignés des commerces en alimentation. Pour les gens ne possédant pas de voiture, cela peut s avérer difficile de s y rendre. Une étude effectuée par Action Gardien en 2009 établie que le temps moyen pour se rendre aux commerces en alimentation en transport en commun est de 8 minutes pour le IGA, 11 minutes pour le Maxi, mais de 40 minutes pour le Super C. Ce commerce est situé à plus de 500 mètres de la station de métro la plus près. De plus, si les autobus ne passent pas aux heures prévues, cela peut quadrupler le temps requis pour se rendre aux supermarchés! 2.3 L offre des commerces en produits frais Comme on peut le voir sur la carte suivante, l offre commerciale en produits frais est déficiente dans Pointe Saint Charles. En effet, on n y retrouve qu un seul supermarché ayant une offre suffisante en fruits et en légumes, soit le IGA. Deux supermarchés situés à la périphérie du quartier, soit le Maxi à Verdun et le Super C dans la Petite Bourgogne, ont également une offre intéressante en fruits et en légumes, mais ils ne sont accessibles que pour une petite partie du quartier. Il y a également trois petits marchés ethniques sur la rue Centre, qui présentent une offre moyenne en produits frais, mais qui ne sont pas accessibles pour les gens vivant au sud du quartier. Il existe deux dépanneurs situés dans le sud du quartier qui

6 6 offrent une certaine quantité de fruits et de légumes, mais la fraîcheur n est pas toujours au rendez vous. Finalement, depuis l automne 2009, un marché de fruits et de légumes tenu une fois par mois par le Club populaire des consommateurs contribue à augmenter l offre de fruits et de légumes dans le quartier. 2.4 Le coût des aliments Selon Statistique Canada 10, les prix à la consommation auraient augmenté de 0,1 % entre mai 2008 et mai Toutefois, pendant la même période, le coût des aliments aurait augmenté de 6,4 %! Le prix des aliments est d ailleurs le facteur qui exerce la plus forte pression à la hausse sur l indice des prix à la consommation depuis novembre Ce sont surtout les fruits et légumes frais, les produits céréaliers et la viande qui contribuent à la hausse des prix. Le Dispensaire diététique de Montréal a établi la liste des aliments requis pour satisfaire les besoins nutritionnels des individus : c est le panier à provisions nutritif 11. Chaque année depuis 1992, à raison de 3 fois par année, le Dispensaire effectue des relevés sur les prix des aliments, ce qui permet de suivre l évolution des prix des denrées alimentaires. Ainsi, en janvier 2005, le coût du panier nutritif pour une personne s établissait à 5,50 $ par jour, en janvier 2007, il était de 6,11 $, en janvier 2009, il était de 6,91 $, pour finalement atteindre 7,09 $ en mai Cela représente une augmentation de près de 30 % en 4 ans.

7 7 De plus, une enquête du magazine Protégez Vous 12 a révélé que le Marché Atwater est l endroit où un kilo de 9 variétés de fruits et légumes frais coute le plus cher à Montréal. Le coût des aliments à Pointe Saint Charles L enquête menée par la Table Action Gardien en 2009 sur les prix des fruits et des légumes à Pointe Saint Charles a démontré plusieurs choses : À quantité égale, les prix varient énormément d un magasin à l autre, surtout pour la laitue Iceberg (152 %), les pommes (142 %), et les cantaloups (134 %) (voir graphique). Dans les 3 commerces offrant les meilleurs prix pour chaque analyse, on retrouve toujours un dépanneur (Dépanneur Sammy), un marché ethnique (Marché Al Raji) et un supermarché (Maxi). Toutefois, le dépanneur offrant les meilleurs prix du quartier (dépanneur Sammy) constitue également le commerce offrant la moins grande variété de fruits et de légumes frais. Dans la partie sud est du quartier, l offre en fruits et légumes est assurée par deux dépanneurs : dépanneur Gong et le marché Quenneville. Malheureusement, ces deux dépanneurs figurent dans toutes les analyses parmi les trois commerces les plus chers. La moitié des produits sélectionnés se vendent moins cher à Pointe Saint Charles qu ailleurs à Montréal. Le marché saisonnier du Club populaire des consommateurs offre des produits à des prix considérablement plus bas que les commerces du quartier : on parle d une différence de 52 % en moyenne!

8 8 3. L agriculture urbaine L agriculture urbaine est un moyen de fournir des fruits et légumes aux citoyen ne s qui les cultivent. Toutefois, selon Duchemin et coll. (2009) 13, elle intervient également dans un grand nombre d autres domaines : elle joue un rôle dans l éducation des personnes, que ce soit par la sensibilisation aux techniques de jardinage ou à une saine alimentation, par exemple. elle favorise l empowerment des personnes, c est à dire la prise en charge de l individu par lui même. à une certaine échelle, la production de légumes contribue au développement économique et la lutte contre la pauvreté. le jardinage constitue un loisir qui permet la détente et le contact avec la nature, tout en favorisant la santé par l activité physique en plein air et la consommation d aliments de qualité. l agriculture urbaine contribue à améliorer l environnement en protégeant la biodiversité urbaine. les jardins communautaires, mais surtout collectifs, constituent des espaces qui permettent les interactions sociales, brisant l isolement des personnes. l agriculture urbaine joue un rôle dans l aménagement urbain en permettant l appropriation citoyenne des espaces vacants. Il existe plusieurs formes d agriculture urbaine, dont on peut noter la présence dans Pointe Saint Charles. Les jardins communautaires : Le jardin communautaire est une surface de terrain divisée en parcelles individuelles, qui sont mises à la disposition des citoyen ne s dans le but de les cultiver. Ce programme est géré par la Ville de Montréal. Dans Pointe Saint Charles, il n y a qu un seul jardin communautaire : La Pointe Verte sur la rue Knox. Ce jardin comporte 44 jardinets et a une superficie d environ 2300 mètres carrés. En 2008, le jardin a été fermé en raison de son taux de contamination très élevé en HAP et en plomb. Les jardins collectifs : Les jardins collectifs sont des jardins qui sont cultivés collectivement par un groupe de citoyen ne s, qui se partagent les tâches reliées au jardinage, mais également les légumes qui seront récoltés. Ces jardins sont gérés habituellement par des organismes communautaires ou à but non lucratif. Il y a trois jardins collectifs à Pointe Saint Charles : le concombre masqué et la Dent Verte, gérés par le Club Populaire des consommateurs, et le jardin Oasis, situé sur le toit de la Maison Saint Columba. Ces jardins desservent environ une cinquantaine de personnes dans le quartier. Il y a également de nombreux jardins cultivés par les citoyen ne s dans leur cour, sur leur balcon, etc., qu il n a pas été possible de comptabiliser ici.

9 9 Le rendement d un jardin en agriculture urbaine peut varier entre 0,3 kg/m 2 et 5,2 kg/m 2. En moyenne, l agriculture urbaine permet de produire 16 kg de légumes par personne sur une période de 18 semaines, ce qui répond aux besoins d un adulte pour cette même période (un Canadien moyen consomme environ 40,5 kg de légumes frais par année). Les pommes de terre ne sont pas incluses dans ce calcul, puisqu elles ne peuvent être cultivées en agriculture urbaine. Pistes d action Le comité en sécurité alimentaire de la Table Action Gardien a réalisé un diagnostic sur l accès aux aliments dans le quartier et tiendra un forum à l automne Parmi les pistes d action, certaines sont déjà connues, telles que la consolidation des ressources existantes, tandis que d autres sont à explorer. Même si l on trouve des solutions alternatives pour augmenter l offre et baisser les prix des aliments, la question de l incapacité financière d une partie importante de la population à couvrir ses besoins essentiels, dont l alimentation, va demeurer. Il est essentiel, dans une politique visant à contrer l insécurité alimentaire, d augmenter le budget disponible pour l épicerie, c est à dire le revenu. 1. Augmenter l offre d aliments dans le quartier Consolider les sources alternatives d offre de fruits et légumes (ex. Marchés publics du Club populaire des consommateurs) et d aliments variés (groupes d achats) Explorer la possibilité de : Travailler avec les commerçants qui vendent déjà des fruits et légumes pour qu ils augmentent leur inventaire; Ajouter un autre commerce en alimentation, notamment au sud du quartier sur la rue Wellington 2. Diminuer le coût des aliments Consolider les activités offertes par les groupes communautaires qui permettent l acquisition de produits alimentaires à faible coût (groupes d achats collectifs, cuisines collectives, marchés publics, agriculture urbaine); Augmenter l espace consacré à l agriculture urbaine; Ajouter un supermarché dans la Pointe pourrait contribuer à augmenter la concurrence et ainsi diminuer les prix en alimentation. 3. Augmenter le revenu des citoyen ne s Augmenter les montants accordés aux prestataires des programmes gouvernementaux; Augmenter le salaire minimum; Favoriser l employabilité. 4. Améliorer l accessibilité aux commerces en alimentation

10 10 Améliorer la fréquence des passages des autobus à toute heure du jour, puisqu il n est pas pratique de faire l épicerie à l heure de pointe; Diminuer le coût du transport en commun, car ces frais contribuent à augmenter le budget consacré à l alimentation; Améliorer les trajets des autobus dans le but de mieux desservir les commerces en alimentation (particulièrement le Super C). NOTES ET RÉFÉRENCES 1 Direction de la santé publique de Montréal, site web : mtl.qc.ca/securite/ 2 Ressources humaines et Développement des compétences Canada, Aperçu de la faim chez les enfants au Canada Octobre 1998, en ligne : /page03.shtml 3 Direction de la santé publique de Montréal, site web DSP : 4 Ministère de la Santé et des Services sociaux. Rapport national sur l état de santé de la population du Québec : produire la santé Québec 5 Joint WHO/FAO expert consultation. Diet, nutrition ans the prevention of chronic diseases. World health organisation. Technical Report Series, no916, Direction de la santé publique de Montréal, La Santé est elle au menu des Montréalais? Portrait de la consommation des Montréalais pour la période Montréal. 7 Direction de la santé publique de Montréal, Les disparités dans l accès à des aliments santé à Montréal : le CSSS du Sud Ouest Verdun.1 4. Montréal 8 Source : DSP, Les disparités dans l accès à des aliments santé à Montréal : le CSSS du Sud Ouest Verdun Base nationale de données topographique, septembre Statistique Canada, L indice des prix à la consommation vol. 88 no5, mai Dispensaire diététique de Montréal, site internet, mdd.org 12 Dô, S Paniers à surprise. Protégez vous juin 2005; DUCHEMIN, E., WEGMULLER, F., AND LEGAULT, A. M, 2009: Urban agriculture: multidimensional tools for social development in poor neibourghoods, Field. Actions Sci. Rep., 2, 1 8.

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