Macroéconomie. Olivier Blanchard & Daniel Cohen. Chapitre 8 L équilibre macroéconomique : synthèse. 5 e édition
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- Flore Vinet
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1 Macroéconomie 5 e édition Olivier Blanchard & Daniel Cohen Chapitre 8 L équilibre macroéconomique : synthèse Préparé par : Fernando Quijano et Yvonn Quijano Adaptation : C. Nouveau
2 8.1. L offre globale L équation d offre globale décrit les effets de la production sur le niveau des prix. Elle découle de l équilibre sur le marché du travail.
3 L offre globale Reprenons la détermination des salaires et des prix abordée au chapitre 7 : W P e = P F( u, z) = ( 1 + µ ) W En combinant ces deux équations, on obtenait : e P = P ( 1 + µ ) F( u, z) Le niveau des prix est une fonction du niveau anticipé des prix et du taux de chômage.
4 L offre globale On peut pour la suite exprimer le taux de chômage en fonction du produit, en supposant Y = N : U L u = = L N L N = 1 = 1 L Y L En remplaçant u dans l équation donnée plus haut, on obtient alors la relation d offre globale entre le niveau des prix, le niveau anticipé des prix et la production (ainsi que µ, z et L, que nous supposons ici constants) : e Y P = P + F L z ( 1 µ ) 1,
5 L offre globale e Y P = P + F L z ( 1 µ ) 1, La relation d offre globale a deux propriétés importantes : 1. Une hausse de la production entraîne une hausse du niveau des prix. C est le résultat de quatre phénomènes sous-jacents : Y N u W N u W P
6 L offre globale e Y P = P + F L z ( 1 µ ) 1, La relation d offre globale a deux propriétés importantes : 2. Une hausse du niveau anticipé des prix entraîne une hausse équivalente du niveau des prix. Cet effet passe par le canal des salaires : P e W W P
7 L offre globale Figure 8.1 (a) La courbe d offre globale Étant donné le niveau anticipé des prix, une hausse de la production entraîne une hausse des prix. Si le produit est égal à son niveau naturel, le niveau des prix est égal au niveau anticipé des prix.
8 L offre globale La courbe d offre globale présente trois caractéristiques importantes : Elle est croissante. Pour une valeur donnée du niveau anticipé des prix P e, une hausse du produit entraîne une hausse du niveau des prix. Elle passe par le point A, où Y = Y n et P = P e. Ces deux premières propriétés ont deux implications : Quand Y > Y n, P > P e. Quand Y < Y n, P < P e. Une augmentation de P e déplace la courbe d offre globale vers le haut, et une baisse de P e déplace la courbe d offre globale vers le bas.
9 L offre globale Figure 8.1 (b) L effet d une augmentation du niveau anticipé des prix sur la courbe d offre globale Une hausse du niveau anticipé des prix déplace la courbe d offre globale vers le haut.
10 L offre globale Pour résumer : À partir de la détermination des prix et des salaires sur le marché du travail, nous avons établi la relation d offre globale. Cette relation dit que, pour un niveau donné des prix anticipés, le niveau des prix est une fonction croissante du produit. Elle est représentée par une courbe croissante, appelée courbe d offre globale. Une hausse du niveau anticipé des prix déplace la courbe d offre globale vers le haut ; une baisse du niveau anticipé des prix déplace la courbe d offre globale vers le bas.
11 8.2. La demande globale La relation de demande globale est une relation décroissante entre la production et le niveau des prix. Elle découle des conditions d équilibre sur le marché des biens et les marchés financiers, telles qu elles sont décrites par le modèle IS/LM. La relation de demande globale résulte des enchaînements suivants : P => M/P => i => demande => Y
12 La demande globale Figure 8.2 La construction de la courbe de demande globale Une hausse du niveau des prix entraîne une baisse du produit global.
13 La demande globale Un changement dans la politique monétaire ou budgétaire ou plus généralement un changement de n importe quel facteur autre que P déplaçant les courbes IS ou LM déplace la courbe de demande globale. Y = Y M P G T,, ( +, +, )
14 La demande globale Figure 8.3 Déplacements de la courbe de demande globale Une augmentation des dépenses publiques augmente la production pour un niveau de prix donné, déplaçant la demande globale vers la droite. Une baisse de la masse monétaire nominale réduit la production pour un niveau de prix donné, déplaçant la demande globale vers la gauche. Y = Y M P G T,, ( +, +, )
15 La demande globale Pour résumer : Nous avons établi la relation de demande globale, déduite de l équilibre sur le marché des biens et les marchés financiers. Cette relation dit que le niveau de la production est une fonction décroissante du niveau des prix et est représentée par une courbe décroissante appelée courbe de demande globale. Un changement dans la politique monétaire ou budgétaire ou plus généralement un changement de n importe quel facteur autre que P déplaçant les courbes IS ou LM déplace la courbe de demande globale.
16 8.3. La production d équilibre à court et à moyen terme Considérons les relations AS et AD ensemble : e Y P = P + F L z AS : ( 1 µ ) 1, AD : Y = Y M P G T,, L équilibre de court terme est donné par l intersection de la courbe d offre globale et de la courbe de demande globale.
17 L équilibre de court terme Figure 8.4 Production et niveau des prix à l équilibre de court terme L équilibre est donné par l intersection de l offre globale et de la demande globale. Au point A, les marchés des biens, du travail et les marchés financiers sont à l équilibre.
18 L équilibre de court terme La courbe d offre globale AS est dessinée pour un niveau donné de P e. La courbe de demande globale AD est dessinée pour des niveaux donnés de M, G et T. À court terme, il n y a pas de raison pour que le niveau d équilibre de la production Y soit toujours égal à son niveau naturel Y n.
19 La dynamique de la production globale et des prix Figure 8.5 (a) La dynamique d ajustement au niveau de production d équilibre (a) Au point A, Y > Y P > P n e
20 La dynamique de la production globale et des prix Figure 8.5 (b) La dynamique d ajustement au niveau de production d équilibre (b) Les négociateurs révisent leurs anticipations de prix à la hausse, ce qui déplace la courbe d offre globale vers le haut (on suppose ici P e t = P t-1 ). La hausse du prix anticipé va entraîner une hausse des salaires nominaux, ce qui va accroître le niveau des prix fixés. La production globale baisse, le niveau des prix augmente.
21 La dynamique de la production globale et des prix Figure 8.5 (c) La dynamique d ajustement au niveau de production d équilibre (c) La courbe d offre globale continue à monter jusqu à ce que la production, à moyen terme, soit égale à son niveau structurel. Cela se produit lorsque le niveau des prix est égal au niveau qui avait été anticipé.
22 La dynamique de la production globale et des prix Pour résumer : À court terme, la production agrégée peut être audessus ou en dessous de son niveau d équilibre. Un changement dans l une des variables, qui affecte soit l offre globale, soit la demande globale, entraîne une modification du niveau de production et des prix. À moyen terme, la production revient à son niveau d équilibre. L ajustement s effectue par l évolution du niveau des prix.
23 8.4. Les effets d une politique monétaire Une hausse de la masse monétaire nominale M accroît le stock de monnaie réelle M/P. La courbe de demande globale se déplace vers la droite. À court terme, l équilibre se déplace de A vers A : le niveau des prix et la production globale sont plus élevés. Y > Y n et P > P e Figure 8.6 Les effets dynamiques d une expansion monétaire Une expansion monétaire entraîne une hausse de la production à court terme, mais n a pas d effet à moyen terme.
24 Les effets d une politique monétaire Les agents révisent alors leurs anticipations de prix : les salariés exigent des salaires nominaux plus élevés, ce qui fait à nouveau monter les prix. La courbe AS se déplace vers le haut, jusqu à ce que Y = Y n. À moyen terme, la courbe d offre est AS et l économie est au point A. La production est au même niveau qu avant, mais les prix ont augmenté proportionnellement à la hausse de M. Figure 8.6 Les effets dynamiques d une expansion monétaire Une expansion monétaire entraîne une hausse de la production à court terme, mais n a pas d effet à moyen terme.
25 Que se passe-t-il en coulisses? L effet d une expansion monétaire peut être illustré avec le modèle IS/LM. À court terme, la hausse de M déplace LM vers le bas. Le taux d intérêt diminue, le niveau du produit augmente. Si les prix étaient fixes, l économie se stabiliserait en B. Figure 8.7 Les effets dynamiques d une expansion monétaire sur la production et le taux d intérêt
26 Que se passe-t-il en coulisses? Les prix augmentent avec la production. Cette hausse des prix réduit le stock de monnaie réel, et la courbe LM se déplace vers le haut. Le choc initial déplace l économie de A en A. Figure 8.7 Les effets dynamiques d une expansion monétaire sur la production et le taux d intérêt
27 Que se passe-t-il en coulisses? À moyen terme, les prix continuent à augmenter au fur et à mesure que la courbe AS se déplace vers le haut. La courbe LM continue de se déplacer vers le haut et rejoint son niveau initial. L économie se stabilise au point A. La hausse des prix compense la hausse de M (M/P inchangé). Y revient à Y n, et i revient à son niveau initial. Figure 8.7 Les effets dynamiques d une expansion monétaire sur la production et le taux d intérêt
28 La neutralité de la monnaie À court terme, une politique monétaire expansionniste entraîne une hausse de la production, une baisse du taux d intérêt, et une hausse du niveau des prix. À moyen terme, la hausse de la masse monétaire se répercute totalement dans une hausse proportionnelle du niveau des prix. On appelle neutralité de la monnaie le fait qu une variation du stock de monnaie n a pas d effet sur le produit ou le taux d intérêt à moyen terme. Cela ne signifie pas que la politique monétaire ne doive pas être utilisée : une politique monétaire peut par exemple aider l économie à sortir d une récession et à rejoindre son niveau d équilibre.
29 Gros plan Les effets d une expansion monétaire dans le modèle de Taylor Combien de temps les effets réels de la monnaie durent-ils? Les modèles macroéconométriques sont des versions à grande échelle du modèle AS/AD. Ils sont utilisés pour répondre à des questions telles que celle de la durée des effets réels d une expansion monétaire.
30 8.5. Une réduction du déficit budgétaire Une expansion monétaire est un choc sur LM. Nous étudions maintenant les effets d un choc sur IS. Figure 8.8 Les effets dynamiques d une réduction du déficit budgétaire Une réduction du déficit budgétaire conduit d abord à une baisse de la production. Puis, au cours du temps, la production revient à son niveau naturel.
31 Le déficit budgétaire, la production et le taux d intérêt Quand le gouvernement réduit le déficit budgétaire, la courbe IS se déplace vers la gauche, en IS. La baisse de la production entraîne une baisse des prix, le stock réel de monnaie augmente, et LM se déplace vers la droite, en LM. L économie passe donc dans un premier temps de A à A : la production et le taux d intérêt ont diminué. L effet sur l investissement est ambigu. [ ] Figure 8.9 Les effets dynamiques d une réduction du déficit sur la production et le taux d intérêt
32 Le déficit budgétaire, la production et le taux d intérêt [ ] Au cours du temps, la production revient à son niveau naturel : la courbe AS se déplace vers le bas. Du fait de la baisse du niveau des prix, la courbe LM continue de se déplacer vers le bas. L économie atteint finalement l équilibre A : la production est revenue à son niveau naturel, mais le taux d intérêt est inférieur au niveau initial. Figure 8.9 Les effets dynamiques d une réduction du déficit sur la production et le taux d intérêt
33 Le déficit budgétaire, la production et le taux d intérêt La production a rejoint son niveau initial, mais la composition du produit est différente de ce qu elle était avant la contraction budgétaire. Considérons la relation IS : Y n = C (Y n - T) + I (Y n, i) + G Puisque le revenu et les impôts n ont pas changé (on suppose que la baisse du déficit se fait par une baisse de G), la consommation est restée la même. Par hypothèse, les dépenses publiques G ont baissé. Y étant le même qu avant, l investissement a nécessairement augmenté d un montant égal à la réduction du déficit budgétaire.
34 Déficits budgétaires, production et investissement Pour résumer : À court terme, une réduction du déficit budgétaire, si elle est réalisée seule (sans modification parallèle de la politique budgétaire), entraîne une baisse de la production et peut éventuellement entraîner une baisse de l investissement. À moyen terme, la production revient à son niveau naturel, et le taux d intérêt est plus faible qu auparavant. La réduction des déficits engendre une hausse de l investissement. À long terme, un déficit budgétaire plus faible entraîne un investissement plus fort, ce qui induit un stock de capital plus élevé et entraîne ainsi une hausse de la production.
35 8.6. Les effets de la modification des prix du pétrole Figure 8.10 Evolution du cours du pétrole brut Brent ($/baril), Il y eut deux hausses brutales dans les années 1970, suivies d une baisse dans les années 1980 et 1990 et d une remontée au cours des années Source: Lagadec (2010)
36 Les effets sur le taux de chômage structurel Figure 8.11 Les effets d une hausse du prix du pétrole sur le taux de chômage structurel La hausse du prix du pétrole entraîne une baisse des salaires réels et une hausse du taux de chômage structurel.
37 La dynamique d ajustement Considérons la relation d offre globale : e Y P = P + F L z ( 1 µ ) 1, Une hausse de µ, causée par une augmentation des prix du pétrole, entraîne une hausse du niveau des prix P pour un niveau donné de production Y. À court terme, la courbe d offre globale se déplace vers le haut.
38 La dynamique d ajustement Après la hausse du prix du pétrole, la courbe AS se déplace vers le haut. La nouvelle courbe d offre globale AS passe par le point B, où la production est égale au nouveau produit naturel Y n, et le niveau des prix est égal au niveau anticipé P e =P t-1. L économie est alors au point A. [ ] Figure 8.12 Les effets dynamiques d une hausse du prix du pétrole
39 La dynamique d ajustement [ ] En A, la production a baissé, mais son niveau structurel a luimême encore plus baissé : Y > Y n. Au cours du temps, la hausse des prix se poursuit donc : la courbe AS se déplace vers le haut jusqu à ce que l économie atteigne le point A, où la production est égale à son nouveau niveau structurel. Figure 8.12 Les effets dynamiques d une hausse du prix du pétrole
40 La dynamique d ajustement Tableau 8.1 Les effets de la hausse du pétrole en France, (%) Prix du pétrole (taux de croissance) 15,9 162,3 1,0 Déflateur du PIB (taux de croissance) 5,6 11,8 12,9 Taux de croissance du PIB 5,4 3,1 0,3 Taux de chômage 2,7 2,8 4,0 Les effets de la hausse du pétrole aux États-Unis, Prix du pétrole (taux de croissance) 10,4 51,8 15,1 Déflateur du PIB (taux de croissance) 5,6 9,0 9,4 Taux de croissance du PIB 5,8 0,6 0,4 Taux de chômage 4,9 5,6 8,5 La combinaison d une croissance négative et d une forte inflation est appelée stagflation.
41 Gros plan Hausse du prix du pétrole : pourquoi les années 2000 ont-elles été différentes des années 1970? Pourquoi la hausse du prix du pétrole, qui s est accompagnée d une stagflation dans les année 1970, a-t-elle eu apparemment si peu d effets sur l économie dans les années 2000? D autres chocs que la seule hausse du cours du pétrole étaient à l œuvre dans les années 1970 (hausse du prix d autres matières premières)? Le pouvoir de négociation des travailleurs des pays riches a diminué depuis les années 1970 : les travailleurs sont dès lors plus disposés à accepter des baisses de salaires, ce qui limite le déplacement de la courbe d offre globale? La politique monétaire a évolué : contrairement aux années 1970, les agents n anticipent pas que la hausse des prix du pétrole entraînera une forte inflation. La moindre hausse des prix anticipée limite également le déplacement de la courbe d offre globale?
42 8.7. Conclusion Le court terme et le moyen terme
43 Conclusion Le court terme et le moyen terme La différence entre les effets de court et de moyen terme est une des raisons majeures de désaccords entre les recommandations des économistes : Certains économistes pensent que l économie s ajuste rapidement à son équilibre de moyen terme et négligent les effets de court terme des politiques. D autres pensent que les mécanismes d ajustement au moyen terme sont longs et préconisent une politique monétaire expansionniste ou une hausse du déficit budgétaire pour sortir d une récession, bien que la monnaie soit neutre à moyen terme et que le déficit ait des effets pervers à long terme.
44 Conclusion Chocs et mécanismes de propagation L économie est constamment affectée par des chocs sur la demande globale, sur l offre globale, ou sur les deux. Chaque choc a des effets dynamiques sur la production et ses composantes. Ces effets sont appelés mécanismes de propagation. Les fluctuations de la production (appelées aussi cycles) sont dues à l apparition constante de nouveaux chocs, dont chacun a son propre mécanisme de propagation.
45 Conclusion Quels effets à long terme? L analyse de la croissance de long terme, dans les chapitres 3 et 4, a mis en avant deux facteurs : l accumulation du capital, le progrès technique. Ces deux éléments dépendent de l investissement (investissement en R&D pour le progrès technique). Les effets des politiques monétaire ou budgétaire, ou d une variation des prix du pétrole, sur la croissance de long terme dépendent donc de leurs effets sur l investissement.
46 Conclusion Quels effets à long terme? Une politique monétaire expansionniste accroît l investissement à court terme. À moyen terme, le taux d intérêt et le niveau de production reviennent à leurs niveaux structurels, ainsi que l investissement. La politique monétaire n a donc qu un effet transitoire sur l investissement, et n affecte pas la croissance et le niveau de production de long terme. Une baisse permanente du déficit budgétaire entraîne au contraire une hausse permanente de l investissement, ce qui accroît la production de long terme. Un effet négatif peut cependant exister si l on diminue l investissement public dans les infrastructures favorables à la croissance.
47 Conclusion Quels effets à long terme? Une hausse des prix du pétrole réduit la production à moyen terme, et réduit la masse monétaire réelle (du fait de la hausse des prix). Ces deux effets conduisent à une réduction de l investissement, qui a un effet négatif sur le niveau de production de long terme.
48 Gros plan Pourquoi le Japon a-t-il eu une faible croissance dans les années 1990? Deux causes sont évoquées pour expliquer la faible croissance du Japon au cours des années 1990 (taux moyen de 1 % environ) : l effondrement du marché des titres japonais au début des années 1990 ; l effet de cet effondrement sur les banques japonaises, dont les créances se sont révélées douteuses et qui ont réduit drastiquement le crédit aux entreprises. L interprétation des effets de ces deux facteurs est controversée : 1) Ces deux effets ont entraîné une baisse de la demande globale : la baisse du prix des actifs entraîne une baisse de la richesse des ménages, qui réduisent leur consommation ; la baisse des crédits aux entreprises réduit l investissement. => La solution : une relance monétaire et budgétaire.
49 Gros plan Pourquoi le Japon a-t-il eu une faible croissance dans les années 1990? 2) Pour certains économistes, la baisse de la demande globale n est qu une partie de l histoire : malgré un faible taux d intérêt et un fort déficit budgétaire, la production japonaise est restée longtemps atone. Selon ces économistes, les problèmes rencontrés par le système bancaire japonais doivent être interprétés comme un choc négatif sur l offre globale : un mauvais système bancaire augmente le coût de l activité et le coût de production et réduit le niveau de production d équilibre. Selon cette interprétation, le système bancaire doit être rénové pour que la croissance reparte.
Table des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
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