Ecobank Mali Rapport Annuel ans de services bancaires panafricains

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1 Ecobank Mali Rapport Annuel ans de services bancaires panafricains

2 Liste des agences Liste des agences Agence Principale (DAB) Place de La Nation, Quartier du Fleuve - BP E Bamako - Mali Ecobankml@Ecobank.com Agenced ABK II (DAB) Hamdallaye Av. Cheick Zayed Immeuble ABKII Fax : Agence des Aéroports du Mali (DAB) Aéroport de Bamako Senou Fax : Agence de BacoDjicoroni (DAB) Route de Kalaban Coro Fax : Agence de Bozola (DAB) Centre Commercial - Immeuble Nimagala Agence de Diboli Immeuble Sylla près du Marché Av. RN 01 Agence de Dio (DAB) Route de Kita, site DiamondCement Mali Agence de Djelibougou (DAB) Immeuble Saidou Sylla Djelibougou - Bamako Fax : Agence de Djigue (DAB) Immeuble Djigue face Gare Ferroviaire Fax : Agence de Faladie (DAB) Immeuble Lassana Kouma Faladiè Bamako Fax : Agence de Gangonteri (DAB) Route Bafoulabe, site DiamondCement Mali Agence des Halles de Bamako (DAB) Sogoniko - Halles de Bamako Agence de Kalaban (DAB) Bamako, Quartier Kalaban, Route de l aéroport à côté de la Route 30 M Fax : Agence de Kati (DAB) Marché de Kati Fax : Agence de Kayes (DAB) Kayes Khasso Av. Capitaine Sissoko Mamadou / Fax : Agence de Koro Immeuble Ousmane - Aya Grand Marché Agence de Korofina (DAB) Bamako, Quartier Korofina sis à côté de l agence EDM. Fax : Agence de Koutiala (DAB) Centre Commercial Immeuble Seydou Ndiaye Agence de Loulo (DAB) Site Minier de Somilo Fax : Agence de Magnambougou (DAB) MagnambougouWereda face Station Shell Fax : Agence de Markala (DAB) Quartier Djimberboubou Immeuble Bingaly et Frère Agence de Médine (DAB) Derrière Stade Omnisport Medina Coura Agence de Mirage Station Star Oil Route de Koulikoro Fax : Agence de Missira (DAB) Route de Koulikoro Agence de Mopti (DAB) Immeuble Ousmane Guitteye Centre Commercial Mopti Fax : Agence de Niamakoro (DAB) Cité Unicef - Niamakoro - Bamako Agence de Niarela (DAB) Immeuble Koita Fax : Agence de Niono (DAB) Quartier Administratif Immeuble Ibrahim Yattassaye - Rue 22 Agence de Ségou (DAB) Immeuble Ousmane Dembele dit Fafa Hamdallaye Ségou Agence de Sema Gexco (DAB) Immeuble Nouhoum Kouma Badalabougou Agence de Sévaré (DAB) Immeuble Jean Bignat face à la Gendarmerie Mixte - Sévaré - Région de Mopti Fax : Agence de Sikasso (DAB) Immeuble Panier de la Ménagère Sikasso Agence de la Station SNF Badala (DAB) Av. OUA Station SNF Badala bougou Agence de la Station SNF Badialan Av. Kasse Keita Station SNF Badialan I Tél. : / Agence de la Station SNF Missira Station SNF Missira Tél. : / Fax : Agence de la Station Star OilKalaban Route de L aéroport Station Star Oil Tél. : Agence de Titi Niaré (DAB) Rue Titi Niaré Agence de Yara Marché (DAB) Grand Marché de Bamako Agence de Zegoua (DAB) Immeuble Diaby près de la Douane * (DAB) : Distributeur Automatique de Billets

3 Liste des Distributeurs Automatiques de Billets (DAB) Liste des Distributeurs Automatiques de Billets (DAB) 1 A Bamako Commune I : DAB de Banconi Banconi Marché Rue 74, près de la Pharmacie Espoir DAB de Boulkassoumbougou Boulkassoumbougou, contigu à Monoprix Immeuble Abdoulaye Keita, route de Koulikoro DAB 1 de Djélibougou Contigu à l agence de Djélibougou, Immeuble Saidou Sylla, au tournant de Djélibougou Doumanzana DAB 2 de Djélibougou A l intérieur de l agence de Djélibougou, Immeuble Saidou Sylla, au tournant de Djélibougou Doumanzana DAB Gallérie (2) de Sotuba Sotuba, route de Koulikoro DAB de L École nationale d ingénieurs (ENI) Contigu à Azalai Grand Hôtel DAB de l Hippodrome Face discothèque Star night, Hippodrome DAB de Korofina Rue 144, Près du 6è arrondissement de Police, Korofina Commune II : DAB 1 de Bozola Contigu à l agence de Bozola, Immeuble Nimagala, Grand Marché, Bozola DAB 2 de Bozola A l intérieur de l agence de Bozola, Immeuble Nimagala, Grand Marché, Bozola DAB de Casino de l Amitié Près de l hôtel Sofitel Amitié, Bozola DAB de Djigué Contigu à l agence de Djigué, Immeuble Djigué en face de la gare ferroviaire, Bozola DAB de Médine Contigu à l agence de Médine, Immeuble Diaby, derrière Stade Omnisport, Medina Coura DAB de Missira Contigu à l agence de Missira, Immeuble Niaré Froid, Avenue Al Qoods DAB de Niaréla Contigu à l agence de Niaréla, Immeuble Koita, face Ambassade de Russie DAB de Titi Niaré Contigu à l agence de Titi Niaré Rue Titi Niaré, Niaréla DAB de Yara (Bozola II) Contigu à l agence de Yara Immeuble Yara Grand Marché de Bamako Commune III : DAB de l Azalaï Grand Hôtel Darsalam DAB de l Azalaï Hôtel Salam Hall de l hôtel non loin de la réception DAB de l Hôtel Laïco El Farouk Salle juste à droite en franchissant le Hall principal de l Hôtel DAB 1 de l Hôtel Laïco Hôtel de l Amitié Contigu au Restaurant du Casino Juste à droite à l entrée du restaurant DAB 2 de l Hôtel Laïco Hôtel de l Amitié Situé dans le Hall de l hôtel DAB 1 du Quartier du Fleuve Contigu à l Agence Principale Immeuble Investim, Place de la Nation, DAB 2 du Quartier du Fleuve Contigu à l Agence Principale Immeuble Amadou Sow, Place de la Nation DAB 3 Hall de l Agence Principale Place de la Nation Commune IV : DAB de l Azalai Hôtel Nord-Sud Hamdallaye Bamako DAB d ABK II Contigu à l agence d ABK II Hamdallaye Av. Cheick Zayed Immeuble ABKII DAB de Hamdallaye Avenue Cheick Zayed contigu à KafoJiginew DAB de Sébénicoro En face de l agence BOA Commune V : DAB de Baco-Djicoroni Contigu à l agence de Bacodjicoroni Route de Kalaban Coro DAB Gallérie (2) debaco-djicoroni Bacodjicoroni, sis à l immeuble «Mi Casa». DAB de Kalaban Contigu à l agence de Kalaban, route de l aéroport à côté de la route 30 m, Kalaban DAB de Sema-Gexco Contigu à l agence de Sema-Gexco Immeuble Nouhoum Kouma, Badalabougou DAB de SNF-Badala Contigu à l agence de la Station SNF Badala Av. Oua Station SNF Badalabougou DAB de la Faculté des Sciences et Techniques (FAST) Université de Bamako - Colline de Badalabougou DAB de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP) Université de Bamako - Colline de Badalabougou DAB de la Faculté des Sciences Economiques et Gestions (FSEG) Université de Bamako - Colline de Badalabougou DAB de la Faculté des Langues Arts et Sciences Humaines (Flash) Université de Bamako - Colline de Badalabougou DAB de l Institut Universitaire de Gestion (IUG) Université de Bamako - Colline de Badalabougou Commune VI : DAB de l Aéroport de Bamako Sénou Contigu à l agence de l Aéroport de Bamako -Sénou, en face de la zone de départ DAB de Niamakoro Contigu à l agence de Niamakoro Immeuble HORONYA. DAB Gallérie (2) de Niamakoro Niamakoro axe 30 mètres DAB de Faladiè Contigu à l agence de Faladiè Immeuble Lassana Kouma, Faladiè Bko DAB de ATTBougou ATT Bougou 1008 logements DAB Gallérie (2) Magnambougou Contigu à l agence de Magnambougou Wereda face Station Shell DAB 1 des Halles de Bamako Contigu à l agence de Halles de Bamako, Sogoniko DAB 2 des Halles de Bamako A l intérieur de l agence de Halles de Bamako, Sogoniko En Régions Première région : Kayes DAB de Kayes Contigu à l agence de Kayes Quartier Liberté, rue Mac Debourg DAB de Loulo Contigu à l agence de Loulo sur la mine d or de SOMILO DAB de la mine de Somilo Entrée de la mine d or de SOMILO DAB de Diboli Contigu à l agence de Diboli DAB de l hôtel Kamankole de Kayes Situé dans le Hall de l Hôtel DAB de Gangonteri Contigu à l agence de Gangonteri Route Bafoulabe, site DiamondCement Mali - DAB de Dio Contigu à l agence de Dio Route de Kita, site DiamondCement Mali - Deuxième région : Koulikoro DAB de Kati contigu à l agence de Kati Immeuble Pharmacie Kati Place, Kati Coura DAB IPR de Katibougou Près de l Administration de l IPR de Katibougou DAB de Point G A l entrée Hôpital du point G Troisième région : SIKASSO DAB de Koutiala Contigu à l agence de Koutiala, Quartier 1, Immeuble. Seydou Ndiaye au Centre Cial DAB de Sikasso Contigu à l agence de Sikasso, Immeuble Panier de la Ménagère, Sikasso DAB de Zegoua Contigu à l agence de Zegoua Quatrième région : Ségou DAB de Markala Contigu à l agence de Markala Immeuble BENKADY DAB de Niono Contigu à l agence de Niono, Quartier administratif, Immeuble Ibrahima Yattassaye DAB de Ségou Contigu à l agence de Ségou, Immeuble Ousmane Dembélé dit FAFA, Hamdallaye Cinquième région : Mopti DAB de l hôtel Kanaga de Mopti Situé dans le Hall de l Hôtel DAB de Mopti Contigu à l agence de Mopti Immeuble Ousmane Guitteye, Centre Cial DAB de Sévaré Contigu à l agence de Sévaré, Imm. Jean Bignat face à la Gendarmerie mixte

4 2 Le Groupe Ecobank Le Groupe Ecobank Implantations Bureaux de représentation Cap-Vert Mali Niger Sénégal Gambie Guinée-Bissau Guinée Sierra Leone Libéria Côte d Ivoire Burkina Faso Bénin Ghana Togo Nigéria Cameroun Tchad République Centrafricaine São Tomé e Príncipe Congo Gabon (République Congo Démocratique) (Brazzaville) Ouganda Rwanda Burundi Kenya Luanda Tanzanie Londres Angola Paris Dubaï Zambie Zimbabwé Malawi Johannesburg

5 Sommaire Sommaire 3 Message du Président 4 Organes d Ecobank Mali 6 Chiffres clés de la banque/ Actionnariat 8 Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale 9 Rapport Général des Commissaires aux Comptes 16 Rapport Spécial des Commissaires aux Comptes 18 Comptes annuels au 31 Décembre 2013 Bilan/Compte de Résultat 20 Ratios Prudentiels 21 Principes, règles et méthodes comptables 22 Notes aux États Financiers 23 Etat de la Valeur Ajoutée 35 Information Résumé de l activité des six dernières années 36

6 4 Message du Président du Conseil d Administration Message du Président du Conseil d Administration Sans rentrer dans les détails, nous ferons ressortir à votre attention dans l exposé qui va suivre, les faits marquants de l évolution de la situation de votre banque en S agissant de l environnement opérationnel des activités de notre banque : Au plan international, la croissance demeure faible mais ce facteur n a guère empêché les grandes puissances économiques et celles émergentes de progresser. Chers Actionnaires Mesdames et Messieurs, Je voudrais tout d abord vous remercier d avoir répondu à notre invitation et vous souhaiter la bienvenue à la présente Assemblée Générale Ordinaire de notre banque. C est avec enthousiasme et optimisme que je m adresse à vous à cette occasion, pour souligner l importance des progrès réalisés par notre pays, avec successivement au cours de la même année 2013, la libération des trois régions du Nord et l avènement de nouvelles autorités démocratiquement élues. En effet, notre pays revient de loin. Ainsi, après avoir surmonté la crise socio-politique et sécuritaire de 2012 qui a failli l emporter, il se remet progressivement en état de marche avec l appui multiforme de la communauté internationale. Parallèlement, il convient de noter que notre banque a su résister par elle-même aux aléas de la période, non sans avoir enregistré quelques difficultés au niveau de la gestion globale de son activité. Face à ce constat, il nous est permis d affirmer, comme en témoigne du reste nos résultats, que notre banque a fait preuve d une réelle capacité de résilience. Dans la zone UEMOA, la croissance a été tirée par trois facteurs essentiels, à savoir : la reprise de la croissance en Côte d Ivoire après les fâcheuses répercussions de la crise sociopolitique qu elle a connue en , la réussite de la production agricole dans certains pays de la zone, le démarrage de la production pétrolière au Niger. Toutefois, l on note que l ampleur de cette tendance a été quelque peu entravée par l impact des crises en Guinée Bissau et au Mali. Au plan national, après avoir vécu une crise sociopolitique et sécuritaire sans précédent, nous tenons aujourd hui cette session de notre Assemblée Générale dans un environnement apaisé, marqué par le retour progressif de la paix, l élection du Président de la République et la mise en place de l Assemblée Nationale. Dans ce contexte, certains événements majeurs qui déterminent le retour de la confiance et marquent l amélioration du climat des affaires, méritent d être signalés. Il s agit : --du lancement de l appel d offres pour l acquisition de la licence pour un 3ème opérateur de téléphonie mobile ; --du rachat de la BRS par ORABANK --de l amorce de la mise en place des financements en lien avec l important élan de solidarité de la communauté internationale, enregistré à l issue de la réunion des bailleurs de fonds au chevet du Mali à Bruxelles en juin 2013, en termes de soutiens technique et financier à la relance de notre économie. Cet engagement vient d être réitéré du reste par les mêmes instances lors de la visite du Premier Ministre Malien à l Union Européenne en février 2014.

7 Message du Président du Conseil d Administration 5 Concernant les activités et les performances de la Banque : Mesdames et Messieurs les Actionnaires, Notre banque a fêté ses 15 ans le 26 novembre dernier et tient le 2ème rang en termes de total bilan sur la place. C est le signe d un parfait ancrage dans l environnement socio-économique du pays et le fruit d un management qui a su conforter à la fois le travail d équipe, la satisfaction de la clientèle et des investisseurs au mieux des intérêts de la banque et de ses actionnaires. Après la crise de 2012 qui a entrainé la destruction partielle, voire totale de certaines de nos infrastructures dans les zones occupées, nous avons poursuivi l approfondissement de notre approche clientèle en 2013 : ainsi, l agence de Gao a été rouverte, une nouvelle agence a été créée à Dio et l agence de l ACI- Hamdalaye est en cours de finition. Le parc de guichets automatiques est passé de 55 au 31 Décembre 2012 à 69 au 31 Décembre 2013 et cette tendance se poursuivra afin d aboutir à une couverture totale du territoire. Les travaux de construction de notre nouveau siège aux abords du monument de l Indépendance, un véritable chef d œuvre architectural, avancent avec satisfaction. Sur le plan de la Gouvernance, nous avons enregistré le départ des Administrateurs, Madame Ndoye Binta Touré et Monsieur Mamady Diakité, tous appelés à d autres fonctions au sein du Groupe. Nous leur renouvelons ici aux noms de tous nos félicitations et nos remerciements pour la qualité des contributions qu ils ont données pour le développement de notre banque, avec nos vœux de plein succès dans leurs nouvelles fonctions. Je saisis cette occasion solennelle pour informer votre auguste assemblée que le Conseil d Administration a nommé le 16 mai 2013, Madame Touré Coumba Sidibé en qualité de Directeur Général de Ecobank- Mali, en remplacement de Madame Ndoye Binta Touré. A ce titre, elle a été cooptée Administrateur de la Banque. Nous félicitons Madame Touré Coumba Sidibé, pour sa nomination en qualité de Directeur Général et lui réitérons notre confiance. Par ailleurs, concernant le projet de fusion des filiales de l UEMOA, le Conseil d Administration du Groupe Ecobank tenu à Kigali (au Rwanda) en septembre 2013, a décidé d observer une pause dans la mise en œuvre de ce projet d agrément unique, en vue d obtenir ultérieurement une meilleure adhésion des autorités publiques et monétaires, ainsi que celle des actionnaires. Mesdames et Messieurs les Actionnaires, Les fondamentaux de la banque demeurent solides. En effet, malgré la rémanence des effets de la crise de 2012, notre Banque a réalisé à fin Décembre 2013, un résultat avant impôt de FCFA millions, soit un résultat net de FCFA millions, en progression de 26% par rapport à l exercice Le total bilan de la Banque reste solide et ressort à FCFA millions au 31 Décembre 2013, en progression de 16 % par rapport à l exercice A cet égard, une résolution relative à la répartition de ce résultat bénéficiaire de FCFA (le report à nouveau bénéficiaire inclus) vous sera proposée dans le cadre de vos délibérations suivant le schéma ci-après: --FCFA à titre de réserve légale ; --FCFA , à titre de dividendes aux actionnaires à hauteur de 85% du résultat net de l exercice, soit un revenu brut de FCFA par action, --FCFA à titre de report à nouveau Au-delà de l évocation de ces faits marquants, le privilège revient au Directeur Général, Madame Touré Coumba Sidibé, de vous présenter dans les détails lors de son intervention qui va suivre, les performances financières de votre banque au titre de l exercice Au titre des perspectives en 2014 : Mesdames et Messieurs les Actionnaires, Nos efforts en 2014 seront consacrés à la réalisation de nos actions suivant la vision du Groupe Ecobank (ETI), incarnée par le programme intitulé «Notre avenir est dans le Panafricanisme», qui se décline en trois points : --être l employeur de choix ; --offrir à notre clientèle une excellente qualité de service ; --assurer un meilleur retour sur investissement à nos actionnaires. Nous travaillerons sans relâche sur ce programme les deux prochaines années afin : --d élargir continuellement notre base clientèle, --de mettre nos employés dans les meilleures conditions de travail et d épanouissement, -- de satisfaire davantage nos clients et nos actionnaires. Remerciements : Mesdames et Messieurs les Actionnaires, C est avec un grand plaisir que je tiens à vous témoigner ma gratitude pour votre soutien et votre confiance. Je voudrais associer ici à ce témoignage de satisfaction, les Commissaires aux Comptes dont l accompagnement nous permet d améliorer constamment nos méthodes de travail et d imprimer un rythme soutenu dans le suivi et la bonne tenue de nos opérations. Qu ils en soient remerciés. Mes remerciements s adressent également au Directeur Général, à son équipe et à l ensemble du personnel de la banque, pour les résultats obtenus dans la cohésion et ce, malgré un contexte assez difficile. Nous exprimons également un témoignage de reconnaissance à l endroit de nos autorités de tutelle, qui ne ménagent aucun effort pour nous permettre d exercer notre activité dans un environnement assaini et sécurisé. Pour terminer, nous souhaitons ardemment que la paix retrouvée, encore fragile, puisse se consolider chaque jour davantage, pour le développement harmonieux d un Mali unifié. Je vous remercie. Bamako, le 20 Mars 2014 Le Président du Conseil d Administration M Samba Diallo Chevalier de l Ordre National

8 6 Organes d Ecobank Mali Organes d Ecobank Mali Conseil d Administration Samba Diallo Président du Conseil d Administration Charles Aimé Daboiko Administrateur- Représentant Permanent d ETI Coumba Sidibé Touré Administrateur- Directeur Général André B. Bayala Administrateur Amadou Bayidi Tall Administrateur Sory Ibrahima Makanguilé Administrateur Aissata Koné Sidibé Administrateur- Directeur Banque Domestique Abdou Ly Secrétaire du Conseil d Administration Comités du Conseil d Administration Comité de Gouvernance Comité de Gestion des Risques Samba Diallo Samba Diallo Coumba Sidibé Touré Coumba Sidibé Touré André Bayala Amadou Bayidi Tall Amadou Bayidi Tall Ibrahima Makanguilé Ibrahima Makanguilé Aissata Koné Sidibé Aissata Koné Sidibé Comité d Audit et de Conformité Amadou Bayidi Tall Samba Diallo André Bayala Ibrahima Makanguilé

9 Organes d Ecobank Mali 7 Equipe de Direction Coumba Sidibé Touré Directeur Général Aissata Koné Sidibé Banque Domestique Salimata Diarra Opérations et Technologie Camille Ernest Traoré Banque des Grandes Entreprises Samba Doumbia Gestion des Risques Ghislaine Tankeu Samaké Trésorerie Fatoumata Touré Théra Finance Abdourahmane Diallo Audit Cheick Oumar Sissoko Ressources Humaines Yakare Konfrou Contrôle Interne Abdou Ly Juridique et Secrétariat du Conseil Aissata Salifou Maiga Conformité

10 8 Chiffres clés de la banque Chiffres clés de la banque En milliers de francs CFA (sauf pour les ratios, l effectif et le nombre d agences) Année 2013 Année 2012 % Variation En fin d'exercice Total bilan % Total prêts et avances % Total dépôts % Capital social % Fonds propres % Total engagements donnés % Total engagements reçus % Pour l'exercice Produit net bancaire % Charges d exploitation générales % Résultat avant impôt % Résultat net % Revenu par action ordinaire (FCFA) % Dividende par action ordinaire (FCFA) % Ratios Rentabilité des fonds propres 27,90% 24,12% 16% Rendement des actifs 1,77% 1,62% 10% Ratio de couverture des risques 9,14% 9,74% -6% Éffectif et réseau Éffectif Nombre d'agences Nombre de points de vente Western Union Actionnariat A/ Groupe Ecobank * Eti 92,75% B/ Autres actionnaires 7,25% Entreprises privées 1,30% Personnes physiques 5,95% dont personnel Ecobank 0,24% Total général (a+b) 100,00% Ratios prudentiels Normes BCEAO Ratios Ecobank Mali Ratio de structure du portefeuille Min 60% 16,7%

11 Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale 9 Mesdames et Messieurs les Actionnaires, Le Conseil d Administration de notre Institution vous a conviés ce jour à l Assemblée Générale Ordinaire, pour les résolutions relatives à l approbation des états financiers 2013 de la Banque. Le rapport qui est soumis met essentiellement l accent sur : La stratégie et l activité de la Banque ; Les éléments majeurs du contexte économique, financier et monétaire de l année écoulée ; L aperçu et l analyse des performances financières de la banque au 31 Décembre I. Notre Stratégie Nous avons poursuivi notre stratégie, toujours en harmonie avec celle du Groupe Ecobank. Elle a été orientée principalement vers l amélioration de la qualité du service à la clientèle, la stratégie clé de notre institution mais aussi sur la mobilisation des ressources qui a poussé les dépôts de la clientèle vers une croissance de 15% et le développement de la chaîne de valeur. II. Activités de la banque Les activités de la banque se sont orientées principalement vers l amélioration de la qualité du service à la clientèle, la stratégie clé de notre institution. Dans cette dynamique, la banque a lancé un nouveau produit «Ecobank Advanced Account». Il s agit d une ligne d avance automatique sur salaire. En plus de cette ligne, le compte Ecobank Advance donne accès aux facilités suivantes : l avance sur loyer, les financements de frais de scolarité, les prêts Auto-Motos et les prêts équipements. La poursuite et le renforcement du partenariat avec l Etat pour la gestion des bourses et aides sociales se sont accrus pour atteindre un volume de paiement de 15 milliards pour un total de comptes de boursiers dont au titre de En outre, l accroissement de notre réseau de distribution s est poursuivi. Le nombre des guichets automatiques bancaires est passé de 55 au 31/12/2012 à 69 au 31/12/2013. Quant au nombre d agences, il est passé de 38 à 39 à fin 2013 avec l ouverture de deux nouvelles agences, celles de Gangonteri (Région de Kayes) et Dio (Cercle de Kati); l Agence du Fleuve a été fermée pour des raisons pratiques (accès rendu difficile à la clientèle du fait des mesures de sécurité à observer par une institution internationale installée dans le même bâtiment). Un forum de clients permettant de créer un espace de rencontres et d échanges afin de mieux répondre aux besoins de notre clientèle a été organisé. C est ainsi que la banque, à l écoute de ses clients, a doté 17 agences de Bamako du système de gestion de file d attente afin de fournir l excellence dans l accueil clientèle. Cette dynamique devrait se poursuivre avec les autres agences pour la prochaine année. En interne, la mise en œuvre du programme d assistance aux caissiers qui a consisté pour le Comité de Direction de la banque à effectuer une journée de service à la caisse, a permis de rapprocher davantage le Management des clients et des employés, mais aussi de contribuer à résoudre des problèmes constatés dans de brefs délais. La notoriété Les efforts de notre Institution ont été reconnus et primés à travers deux prix : --Le prix Ecobank pour la qualité des rapports et le respect des délais ; --Le prix Bankers Awards pour la qualité de nos prestations. L année 2013 a été consacrée à la célébration des 15 ans d expérience et de leadership d Ecobank au Mali qui a eu à récompenser les quinze premiers clients ainsi que le personnel pionnier. Les actions sociales Au plan externe, notre intervention sociale s est appesantie sur l éducation, la culture et le sport avec la rénovation d une école dans le cadre de la journée Ecobank Day, la sponsorisation de la Rentrée Littéraire de Bamako et celle de la Ligue Féminine de la Fédération Malienne de Football (FEMAFOOT). 2.1 Gouvernance Le Conseil d Administration de Ecobank Mali a enregistré la cooptation de Madame Touré Coumba Sidibé en qualité d Administrateur Directeur Général et la démission de Madame Ndoye Binta Touré et de Monsieur Mamady Diakité appelés à de nouvelles fonctions au sein du Groupe. 2.2 Ressources Humaines L effectif d Ecobank Mali est passé de 378 personnes au 31/12/2012 à 390 personnes au 31/12/2013 (incluant des employés en gestion déléguée). Tableau 1 (Photographie de l effectif selon le genre) Genre Nombre Pourcentage Femme % Homme % Total % Tableau 2 (Effectifs par tranche d âge) Ages Nombre Pourcentage Moins de 30 ans ,8% 31 à ,1% 41 à ,8% 51 à ,3% Total % a) Le recrutement Conformément à sa stratégie d être l employeur de 1er choix, Ecobank Mali a procédé au recrutement de 24 personnes en mettant en application sa politique de promotion interne. En outre, Ecobank Mali a déployé un nouveau système de gestion de performances permettant d identifier les personnes les plus méritantes, de les récompenser et d assurer à l ensemble des membres du personnel une bonne orientation des carrières

12 10 Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale b) La formation En plus des formations virtuelles disponibles sur la plateforme du Groupe Ecobank (portant sur des thèmes relatifs à la gestion des plaintes, la sensibilisation aux médias sociaux, à la sécurité de l information), nous avons organisé soixante-cinq (65) sessions de formation afin de renforcer les capacités du personnel d Ecobank Mali. c) La motivation du personnel et la rétention des talents Soucieuse de motiver son personnel et d en obtenir le meilleur, Ecobank Mali a poursuivi la revue à la hausse des salaires. Un changement de grade conventionnel a également été effectué en fonction des performances individuelles. Ecobank a aussi souscrit au Fonds Autonome d Assurance Maladie (FAAM) qui permettra au personnel de bénéficier d une assurance maladie à la retraite. d) Les activités sociales A la faveur du retour à une situation politique et sécuritaire normale, Ecobank Mali a repris ses activités sociales (TGIF, matches de football, arbre de Noël et participation aux évènements sociaux du personnel) en vue de créer et de renforcer la fierté, l esprit de cohésion et les liens d appartenance à l Institution. 2.3 Les activités d Audit, du Respect des Normes et de Contrôle Interne Les directions de l Audit Interne, de la Conformité et du Contrôle Interne ont exercé leurs activités au cours de l année 2013 de façon indépendante sous la responsabilité hiérarchique de la Direction Générale et la responsabilité fonctionnelle des directions du Groupe. Au niveau de la conformité, l année 2013 a été marquée, entre autre, par l implémentation de la version 13 de SIRONAML/KYC (logiciel anti-blanchiment), qui a permis une accessibilité à ce logiciel via internet et sur n importe quel ordinateur de la banque. Conformément à notre stratégie d audit basée sur l appréciation du risque, des audits transversaux ont été programmés et réalisés à 100% au cours de l année écoulée ainsi que les contrôles des agences. 2.4 Le système d information Au cours de l année 2013, Ecobank Mali a réalisé l interfaçage de son système d information bancaire avec le système de règlement en temps réel de la BCEAO (STAR UEMOA). Cette solution a permis d améliorer considérablement la qualité de nos services à la clientèle par la réduction des délais de traitement des opérations et les risques opérationnels. Le déploiement des TPE (Terminaux de Paiement Electronique) est effectif dans les agences, avec pour but de réduire le temps d attente de nos clients aux guichets. L offre des produits électroniques (Internet Banking, SMS Banking, ealert, estatement, Ecobank Omni) s est considérablement accrue afin de permettre à nos clients d avoir les informations de base sur leurs comptes et d initier eux-mêmes leurs transactions à distance. 2.5 Banque des Grandes Entreprises Les dépôts mobilisés auprès des clients de la Banque des Grandes Entreprises s élèvent à FCFA millions au 31/12/2013 contre FCFA millions au 31/12/2012, soit une croissance de 14%. En effet, nous avons appréhendé le contexte de la crise comme une opportunité en nous appropriant les flux y relatifs, au travers des forces de stabilisation et des ONG internationales évoluant dans l humanitaire et l aide d urgence. Les crédits accordés aux clients de la Banque des Grandes Entreprises ont connu une augmentation substantielle de 53% passant de FCFA millions au 31/12/2012 à FCFA millions au 31/12/2013. Cette performance a été réalisée grâce aux diverses opportunités que nous avons saisies auprès de nos filiales sœurs de la zone UEMOA. Ceci nous a permis de concrétiser certains prêts, en partage de risques, en raison du caractère restreint du marché avant la relance graduelle de l économie. Ces prêts représentent 55% des engagements directs du segment des Grandes Entreprises. La qualité du portefeuille s est améliorée de 6% en ce sens que les créances en souffrance sont passées de FCFA millions au 31/12/2012 à FCFA millions au 31/12/2013. Ce progrès constaté est essentiellement dû aux efforts de recouvrement sur les principaux dossiers. 2.6 La Trésorerie Malgré la persistance de la crise sociopolitique, la Trésorerie a contribué à hauteur de 25% du Produit Net Bancaire (PNB) en Le portefeuille de titres d Etats a connu une forte croissance, passant d un volume de FCFA millions au 31/12/2012 à FCFA millions au 31/12/2013 soit +121% améliorant significativement les capacités de mobilisation d Ecobank Mali auprès de la BCEAO. Sur le volet change, les revenus réalisés s élèvent à FCFA millions au 31/12/2013 contre FCFA millions au 31/12/2012, soit une progression de 9%. Cette performance est à mettre au crédit du dynamisme commercial au courant de l année 2013 ce qui a eu pour effet immédiat la croissance des volumes. 2.7 La Banque Domestique En 2013, le pôle d activité de la Banque Domestique a travaillé à consolider ses acquis et à améliorer ses performances par le renforcement des relations d affaires avec les clients, une qualité de service irréprochable, l élargissement de la base clientèle et des dépôts, l extension du réseau d agences et le renforcement des liens avec le secteur public à travers la gestion des bourses et des aides sociales. Au 31 Décembre 2013, les crédits à la clientèle ont augmenté de 5% grâce à diverses actions entreprises. En effet, profitant d une reprise progressive de l économie, nous avons relancé les prêts à la consommation à travers divers crédits de campagnes (Hadj, Tabaski, rentrée scolaire et Noël) pour un volume d environ 675 millions. De même, nous avons amorcé la conquête du marché de l immobilier pour contribuer d une part, au développement du secteur du BTP, avec le financement de la construction de 600 logements sociaux à hauteur de 2, 7 milliards et d autre part pour permettre à la population malienne d accéder aisément aux logements. Les dépôts de la clientèle se sont accrus de 15% de 2012 à 2013 constitués à 55% de dépôts sur comptes courants, 23% de comptes sur livret et 23% de dépôts à terme. Cette augmentation s explique par la campagne de mobilisation des dépôts qui s est poursuivie tout au long de l année, afin de lutter contre l effritement de nos dépôts et consolider nos acquis.

13 Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale La Gestion des Risques Les engagements de la banque ont augmenté de 18%, passant de FCFA millions en 2012 à FCFA millions en Cette croissance est liée à la souscription à des bons et obligations des Etats de l UEMOA et à des crédits à la clientèle non bancaire. L évolution globale du portefeuille en fin Décembre 2013 s explique par l efficience des actions marketing associée à la gestion proactive des engagements. La banque continue avec sa stratégie de financement de ses clients conformément au marché cible. L accent doit être mis sur la mobilisation de ressources pour développer davantage le portefeuille de crédits. Le portefeuille de la clientèle non bancaire au 31/12/13 est essentiellement constitué par les crédits de moins d un an à hauteur de 76%. Ce qui s explique par notre intervention active dans le financement direct à l économie nationale à travers le financement de l exploitation des entreprises locales, régionales et multinationales. La classification des engagements suivant les normes internationales est présentée dans le tableau ci-dessous. Le taux de dégradation du portefeuille selon les normes du Groupe Ecobank (créances douteuses sur les engagements directs de la clientèle non bancaire) s est amélioré en passant de 3,93% en 2012 à 3,28% en 2013 contre une norme maximale de 3% recommandée par le Groupe Ecobank. Cette baisse est consécutive à la réduction drastique des encours sur certains débiteurs, au recouvrement enregistré sur la période et à une augmentation du niveau des crédits directs à la clientèle. Le taux de couverture des créances douteuses par des provisions est à 90%, l écart non provisionné étant couvert par des sûretés réelles. III Environnement économique et financier 1.1 Environnement économique international et régional L économie mondiale est entrée dans une nouvelle période de transition. L économie des pays avancés s affermit progressivement. La croissance mondiale reste faible, atteignant seulement 2,50% en moyenne au premier semestre de 2013, soit environ le même rythme qu au deuxième semestre de Contrairement à ce qui s est passé précédemment depuis la grande récession, la croissance s est accélérée légèrement dans les pays avancés, alors qu elle a ralenti dans les pays émergents. Les pays émergents continuent de représenter la majeure partie de la croissance mondiale. Les grandes économies émergentes ont bénéficié d une forte expansion tandis que certains pays de la zone Euro, notamment ceux qui étaient caractérisés par d amples déséquilibres avant la crise, ne parviennent pas à sortir de la récession. 31-déc déc-2012 variation Types d engagements (en millions de FCFA) Encours % Encours % % Placements interbancaires (OA, PLX) % % -43% Opérations sur titres (LGMO, INV) % % 121% Crédits à la clientèle* % % 25% Répartition du Portefeuille 12% Total % % 18% (*) Y compris les effets négociés et les engagements hors bilan. 19% (Montant en millions de FCFA) : 31-déc déc-2012 variation Engagements par terme (en millions de FCFA) Encours % Encours % % Engagements à court terme % % 27% Engagements à moyen terme % % 20% Total % % 25% 31-déc déc-2012 variation Classification (en millions de FCFA) Encours % Encours % % 69% Placement interbancaire (OA, PLX) Opération sur titres (LGMO, INV) Crédits à la clientéle OA: Banks - Our Accounts - Operating (Comptes d opérations) PLX : Banks - Our Accounts Placements (Placements interbancaires) LGMO : Government Bonds (Obligations des Etats) INV : Other Bonds (Obligations des entreprises) Crédits sains I % % 7% Crédits sous surveillance - IA % % 101% Crédits en souffrance II % % 39% Crédits douteux III 956 0% % -73% Crédits classés en perte IV % % 102% TOTAL % % 18%

14 12 Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale La demande des ménages américains et japonais s accroit mais elle demeure faible dans la zone Euro, sauf en Allemagne. En outre, la croissance vigoureuse du commerce en Asie, en Afrique et au Moyen- Orient n a pas compensé les échanges de marchandises entre les pays, en raison de la faiblesse du niveau de la demande globale et du manque de vigueur de la reprise de l économie mondiale. Le taux de chômage des pays de l Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE) s établissait, au printemps 2013, à 8%. Grâce aux politiques de soutien de grande ampleur adoptées notamment au second semestre 2012, les marchés ont connu une véritable embellie. Les initiatives sont venues principalement des Banques Centrales qui ont abaissé leur taux d intérêt ou, comme la Réserve Fédérale Américaine (FED), qui ont multiplié les innovations financières afin de poursuivre leurs politiques d assouplissement monétaire. La Banque Centrale Européenne (BCE) a, quant à elle, autorisé les opérations monétaires sur titres (OMT). Si ces politiques de soutien ont réduit le risque de dégradation de la situation économique et suscité un regain d optimisme, le niveau d endettement du secteur privé non financier reste toujours élevé. Dans certains pays, il se maintient même à des sommets historiques. Aux États-Unis, la demande privée est vigoureuse depuis plusieurs trimestres bien que la demande du secteur public soit allée en sens inverse. Ce frein diminuerait en 2014 pour ouvrir la voie à une croissance plus élevée. L économie japonaise rebondit vigoureusement mais elle perdrait de son élan en 2014 du fait d un durcissement de la politique budgétaire. Dans la zone Euro, l économie a fait un timide retour à la croissance grâce à une amélioration de l activité manufacturière qui fait espérer une sortie de récession. Mais, les capacités de production inemployées restent considérables et les tensions inflationnistes devraient rester modérées. Les indicateurs de confiance des chefs d entreprise permettent de penser que l activité est sur le point de se stabiliser dans les pays de la périphérie et se redresse déjà dans les pays du cœur de la zone. Au Japon, les données font état d un redressement impressionnant de la production en réaction à l assouplissement monétaire quantitatif et qualitatif de la Banque du Japon, ainsi qu à l impulsion budgétaire de 1,4 % du PIB visant à mettre fin à la déflation et à accélérer la croissance. Selon les estimations des services du FMI, les nouvelles politiques ont peut-être rehaussé le PIB d environ 1 %, bien que les augmentations salariales soient restées modérées. Dans les pays émergents et les pays en développement, les exportations, tirées par l accélération de la croissance dans les pays avancés, et une consommation vigoureuse encouragée par un chômage faible, devraient soutenir l activité. Les politiques budgétaires devraient être plus ou moins neutres et les taux d intérêt réels restent faibles dans de nombreux pays, ce qui devrait encourager l investissement. Cependant, les conditions de financement extérieur se sont durcies et il semble de plus en plus que des contraintes affectent l offre. Il est à noter que pour bon nombre de ces pays, la croissance risque d être révisée à la baisse. En Afrique subsaharienne, les projets dans le secteur des produits de base devraient conduire à une accélération de la croissance. Les taux de change se sont ajustés vivement, mais le financement extérieur a repris et aucune autre perturbation n est prévue. L économie devrait connaître une croissance de 4,8% en Elle devrait s accélérer à 5,3% en 2014, ce qui demeure toutefois en deçà de ses performances d avant la crise économique mondiale. Dans l Union Economique Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), les moteurs de la croissance ont été principalement la reprise de l économie après la crise en Côte d ivoire, en Guinée-Bissau et au Mali, le redressement de la production agricole dans un certain nombre de pays de la zone et le démarrage de la production pétrolière au Niger. Certains pays de la zone ont dû faire face à des tensions inflationnistes, principalement sur les prix des produits alimentaires et pétroliers. La croissance économique de la zone, suivant les tendances provisoires, devrait rester vigoureuse en 2013 et dans le moyen terme, soit environ 6 %. Elle sera tirée par une forte augmentation de l investissement public et ses effets d entraînement sur l investissement privé en Côte d Ivoire après-crise, la poursuite des investissements dans le secteur minier et celui des hydrocarbures au Burkina Faso et au Niger, les investissements dans l infrastructure au Sénégal et un redressement plus marqué de la production agricole. La croissance resterait élevée à moyen terme dans l hypothèse d une exécution intégrale de politiques génératrices de croissance, notamment celles qui visent à combler les déficits d infrastructures de la région. L inflation demeurerait au-dessous de 3 %. Le déficit des transactions courantes devrait rester élevé en 2013, mais baisserait peu à peu dans le moyen terme à mesure que diminueraient les besoins de reconstruction de la Côte d Ivoire. Mais, un certain nombre de risques baissiers pèsent sur la zone. Il s agit là de l impact des crises au Mali et en Guinée-Bissau sur l économie des autres pays en raison de l interdépendance des pays de la région. 3.2 Environnement politique et économique national Politique : le Coup d état du 22 mars 2012 et l occupation de la partie nord du pays par des groupes armés ont provoqué une crise politique, économique, humanitaire et sécuritaire dans le pays. La situation évolue vers la restauration de l intégrité territoriale, mais la région risque de faire face à des problèmes de stabilité et de sécurité de plus vaste ampleur si les activités terroristes venaient à se répandre et si l impression d insécurité s étendait aux pays voisins, avec un possible effet négatif sur les finances publiques et la perception du risque par les investisseurs. L année 2013 a marqué un tournant pour le Mali. Les jalons les plus remarquables ont été la libération du Nord, l organisation réussie d une Conférence des bailleurs de fonds, le déploiement d une force de sécurité des Nations Unies pour faciliter le processus de paix et de réconciliation, la tenue des élections présidentielle et législative. Ces évènements favorables sur le plan politique et sécuritaire ont des retombées positives sur le plan économique. Le PIB qui s était contracté de 0,4% en 2012, devrait afficher une croissance de 5,1% en Economie et Finance : l économie du Mali présente une architecture prédominée par le secteur primaire qui représente 36% du Produit Intérieur Brut (PIB) et tertiaire 35,6%. L ajustement tarifaire intervenu dans le secteur énergétique en février 2013, oscillant entre 3 et 7%, selon les consommateurs

15 Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale 13 a contribué à une réduction du déficit énergétique. Selon le FMI, l objectif de 2013 pourrait être atteint grâce aux bonnes prévisions de la campagne agricole. La croissance annoncée dans le secteur primaire et tertiaire atteindrait respectivement près de 6% et 7% en 2013 grâce à un redressement rigoureux. Le secteur secondaire connaitrait une stabilité. Par ailleurs, le gouvernement a enregistré de bons résultats dans le cadre de son programme appuyé par la facilité de crédit rapide (CFR) du FMI. Il a observé la plupart des indicateurs liés au budget rectifié de 2013 et continue à faire des progrès dans l amélioration de la gestion des finances publiques. Aussi, la conférence des bailleurs de fonds organisée à Bruxelles en mai 2013 fut une réussite avec l obtention de promesses d aides sur divers plans (l éducation, la santé, le développement communautaire ) de 3,2 milliards d Euros. 3.3 Environnement bancaire et concurrence Le secteur bancaire n a pas enregistré une nouvelle entrée au cours de Le secteur bancaire est toujours composé de 13 banques et de deux établissements financiers. Cependant, la Banque Régionale de Solidarité (BRS), une banque locale, est passée sous le contrôle du Groupe ORABANK grâce à l absorption du Groupe BRS par cette dernière. 3.4 Résultats Financiers de Ecobank Mali En dépit d un environnement économique toujours contrasté, les résultats obtenus par Ecobank Mali au cours de l année 2013 sont très appréciables et en nette progression par rapport à ceux de l exercice Compte de Résultat Le résultat brut avant impôt ressort à FCFA millions contre FCFA millions au 31/12/2012, soit une augmentation de 26%. Nous rappelons que l objectif fixé initialement était de millions Produit Net Bancaire Le produit net bancaire (PNB) s élève à FCFA millions, en progression de 5% par rapport à Cette croissance est soutenue par la performance observée sur tous les segments d activités: la Banque Domestique accroit ses revenus de 3%, la Banque des Grandes Entreprises de 2%, et la Trésorerie, pour sa part, affiche un bond de ses revenus de 12% en Cependant, la Banque Domestique et la Banque des Grandes Entreprises perdent chacune 1 point de part de contribution à la formation des revenus de la banque en faveur de la trésorerie, qui passe de 23% en 2012 à 25% en L analyse de la structure du produit net bancaire au 31/12/2013 se présente comme suit. Evolution du PNB par segment 2013/2012 Répartition par segment du PNB en % 49% 50% 50% 25% 26% 25% 23% 25% Banque Domestique Banque des Grandes Entreprises Trésorerie Banque Domestique Banque des Grandes Entreprises Trésorerie

16 14 Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale Revenus Nets d Intérêts Les revenus nets d intérêts (36% du PNB), s affichent à FCFA millions, en baisse de 8% par rapport à 2012 s expliquant par la progression des charges d intérêts de 14% et la baisse des revenus d intérêts du pôle d activés de la Banque Domestique. Ce segment a affiché une réduction de ses revenus d intérêts de 7% conduisant à une baisse de revenus d intérêts de la banque de 1% Les commissions nettes Les commissions nettes (incluant les commissions hors bilan) s établissent au 31/12/2013 à FCFA millions contre FCFA millions au 31/12/2012, soit une augmentation de 7%. Cette progression est soutenue, en grande partie, par des performances connues sur : les commissions sur prêts clientèles de +34%, les commissions sur transferts de +11% et les commissions sur les opérations sur les Guichets Automatiques de Banque (GAB) de +34%. Le pôle de la Banque Domestique contribue à hauteur de 72% contre 17% pour la Banque des Grandes Entreprises et 11% pour la Trésorerie Les revenus de change Les revenus sur les opérations de change progressent de 9%, à FCFA millions contre FCFA millions au 31/12/2012. Ce rebond sur la période est dû principalement à une augmentation sur le volume de transferts effectués en devises. Globalement la composition du PNB par ligne de revenu peut se résumer dans les graphes ci-dessous. Répartition par segment des revenus nets d intérêt en 2013 Répartition des commissions nettes en % 53% 41% Banque Domestique Banque Domestique Banque des Grandes Entreprises 6% Trésorerie 17% Banque des Grandes Entreprises 11% Trésorerie Evolution des composantes du PNB 2013/2012 Composition du PNB par ligne de revenu en % % 36% % Revenus nets d intérêts Commissions nettes Revenus de change Autres produits nets bancaires Revenus nets d intérêt Commissions nettes Revenus de change Autres produits nets bancaires

17 Rapport du Conseil d Administration à l Assemblée Générale Les provisions sur créances en souffrance Grâce à notre politique de gestion du portefeuille, les provisions nettes sur créances affichent une baisse de 48% par rapport à Elles s établissent ainsi à FCFA millions contre FCFA millions au 31/12/ Les frais généraux Les charges d exploitation ont progressé de 10% par rapport à Ce résultat inclut l impact d une provision exceptionnelle sur dotations d amortissement de quelques matériels acquis par réalisation de garantie. En excluant cette provision exceptionnelle, la progression des frais généraux est de 7% Bilan Malgré une situation économique peu porteuse, le total bilan d Ecobank Mali affiche une croissance de 16% en s établissant à FCFA millions contre FCFA millions au 31/12/ Les emplois de la clientèle Les encours de crédit à la clientèle s élèvent à FCFA millions contre FCFA millions au 31/12/2012, soit une nette croissance de 24% soutenue par la croissance des crédits à court terme (44% de hausse). Notre stratégie d amélioration de la qualité du portefeuille a porté ses fruits. Les crédits en souffrance sont en baisse de 9%, à FCFA millions contre FCFA millions par rapport à de l exercice Les dépôts de la clientèle Dans un contexte de forte concurrence, les dépôts de la clientèle augmentent à FCFA millions contre FCFA millions au 31/12/2012, soit une progression de 15% tirée par la banque Domestique, avec FCFA millions de dépôts supplémentaires en Les dépôts à terme progressent de 28% et les comptes ordinaires créditeurs de 16%. Quant aux comptes d épargne, ils affichent une hausse de 14% Les investissements Les investissements au cours de l exercice 2013 s élèvent à FCFA millions. Ils connaissent une baisse de FCFA 849 millions par rapport à l exercice En effet, nous avons acquis exceptionnellement des terrains en 2012 pour un montant de FCFA millions Fonds Propres Les fonds propres avant affectation du résultat net de l exercice s élèvent à FCFA millions au 31/12/2013 contre FCFA millions au 31/12/2012, soit une hausse de 10%. IV. Dispositif prudentiel a fin de décembre 2013 Au 31/12/2013, tous les ratios prudentiels sont respectés, à l exception du ratio de division des risques sur un client, situation qui a été régularisée. Bamako, le 20 mars Pour le Conseil d Administration Le Président du Conseil Samba Diallo Repartition des dépôts par segment au 31/12/ % 68% Banque des Grandes Entreprises Banque Domestique

18 16 Rapport Général des Commissaires Aux Comptes Rapport Général des Commissaires Aux Comptes Mesdames, Messieurs 1. En exécution du mandat de commissariat aux comptes qui nous a été confié par l Assemblée Générale Ordinaire respectivement le 11 mars 2009 et le 11 avril 2013 et en application des dispositions de la loi N 08/043 portant loi bancaire en République du Mali, des instructions de la BCEAO et des normes de contrôle légal des comptes généralement admises sur le plan international, nous avons l honneur de vous présenter notre rapport sur : --le contrôle légal des comptes d Ecobank- Mali S.A au titre de l exercice 2013 ; --les vérifications spécifiques et les informations prévues par la loi ; --le respect de la réglementation bancaire ; --le fonctionnement des organes sociaux et du contrôle interne au titre de l exercice En tant que Commissaires aux Comptes titulaires, nous avons été nommés par les Assemblées Générales des Actionnaires de Ecobank Mali S.A. En effet, le mandat de GMI-Audit a été renouvelé par l Assemblée Générale Ordinaire tenue en date du 11 mars 2009 pour une période de six ans se terminant après l examen des comptes de l exercice Ce renouvellement a été approuvé par la décision n 237/CB/S de la Commission Bancaire de l UMOA en date du 19 janvier Quant à la Société d Expertise Comptable Diarra, son mandat a été renouvelé par l Assemblée Générale Ordinaire tenue en date du 11 Avril 2013 pour une période de trois ans qui expirera à l issue de l Assemblée Générale qui statuera sur les comptes de l exercice La préparation des états financiers relève de la responsabilité de la Direction Générale de la Banque. Les comptes sont arrêtés sous la responsabilité des membres du Conseil d Administration. Notre responsabilité consiste à exprimer une opinion sur ces états financiers sur la base de notre contrôle légal des comptes. 2. Opinion sur les États Financiers Notre examen a été effectué conformément aux normes d audit généralement admises. Ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d obtenir l assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d anomalies significatives. Le contrôle légal des comptes consiste à examiner, sur la base de sondages, les éléments probants justifiant les données contenues dans les comptes annuels. Il consiste également, à évaluer les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l arrêté des comptes annuels et à apprécier leur présentation d ensemble. Nous estimons que le contrôle légal des comptes auquel nous avons procédé fournit une base raisonnable à l expression de notre opinion. Nous certifions que les états financiers annexés, ci-après, sont réguliers, sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de Ecobank Mali S.A. au 31 Décembre Ces états financiers font apparaître un total bilan de millions de FCFA et un bénéfice net de millions de FCFA. 3. Fonctionnement des organes sociaux et du controle interne Conformément aux instructions de la BCEAO, nous avons vérifié l exercice du gouvernement d entreprise au sein de la Banque, à savoir le fonctionnement normal des organes sociaux, notamment en ce qui concerne la conformité des statuts aux dispositions de droit commun, le respect des règles statutaires, la régularité de la nomination des dirigeants, la tenue des réunions des organes, et la définition d une stratégie et d un plan d affaires révisés périodiquement dans leur mise en œuvre Fonctionnement des organes sociaux et règlementation bancaire Nous n avons pas d observation particulière à formuler sur le fonctionnement des organes sociaux ainsi que le respect de la réglementation bancaire de l UMOA Controle interne Nous présenterons, dans un rapport séparé, nos recommandations destinées à améliorer les procédures de contrôle interne. 4. Respect de la reglementation prudentielle Nous avons procédé à la vérification du dispositif prudentiel imposé par la BCEAO à compter du 1er janvier 2000 en matière de ratios prudentiels. 4.1 A l issue de nos travaux, nous avons constaté que le montant des risques retenus individuellement sur le client GDCM (MFCFA ) au 31 Décembre 2013 est supérieur à la norme de 75% des fonds propres effectifs (MFCFA ) fixée par le dispositif prudentiel à cette date. La situation a, cependant, été régularisée sur la période subséquente. 5.Verifications et informations specifiques 5.1 En application des dispositions de l article 45 de la loi 08/043 du 1er Décembre 2008 portant réglementation bancaire au Mali, votre conseil d administration nous a donné avis de certains prêts et garanties consentis par votre établissement à ses dirigeants, à ses principaux actionnaires ou autres entreprises privées dans lesquelles les personnes visées, ci-dessus, exercent des fonctions de Direction, d administration ou de gérance ou détiennent plus du quart du capital social. Ces prêts sont détaillés dans le tableau, ci-dessous : Les crédits aux personnes participant à la direction, l administration, la gérance, au contrôle et au fonctionnement de la banque, représentent 12,37% des fonds propres effectifs En application des dispositions de la circulaire n /CB du 04 Janvier 2011, relative aux conditions d exercice du Commissariat aux Comptes auprès des établissements de crédit de l UMOA, nous avons procédé à l appréciation de la qualité du portefeuille d Ecobank Mali S.A. et produit un rapport spécifique séparé, portant sur l évaluation des cinquante (50) plus gros risques de la banque Nous avons, également, procédé conformément aux normes de la profession aux vérifications spécifiques prévues par les dispositions de l article 713 de l Acte Uniforme de l OHADA sur les Sociétés Commerciales et le Groupement d Intérêt Economique. Nous n avons aucune observation particulière à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du Conseil d Administration adressé à l Assemblée Générale des Actionnaires d Ecobank Mali S.A.

19 Rapport Général des Commissaires Aux Comptes 17 Bénéficiaires Crédits (en millions de F.CFA) Concours par caisse Engagements par signature Total Encours Encours Encours Actionnaires détenant plus de 10% des droits de vote - - Membres du C. A. ou de la gérance - - Commissaire aux Comptes* Personnel de Direction Cadres moyens et supérieurs Personnel d exécution Total * le concours octroyé au Commissaire aux Comptes, GMI-Audit est relatif à une avance en compte courant adossée à un dépôt à terme d un montant de 50 millions de FCFA. Fait à Bamako le 27 Février 2014 Les commissaires aux comptes GMI AUDIT Soumana Makadji Expert Comptable Gérant Associé SEC-Diarra Sékou Diarra Expert Comptable Diplômé Associé

20 18 Rapport Spécial des Commissaires Aux Comptes Rapport Spécial Commissaires Aux Comptes Mesdames, Messieurs En application des dispositions de l article 442 de l Acte Uniforme relatif au Droit des Sociétés Commerciales et du Groupement d Intérêt Economique de l OHADA, nous vous informons que votre conseil d Administration nous a informés de l existence de conventions, ci-après, visées par les articles 438 et 448 de l Acte Uniforme précité : 1. Convention de services partagés entre Ecobank-Mali S.A. et Ecobank Transnational Incorporated (ETI) dont les termes sont les suivants : --Contractant : ETI --Objet : Permettre aux sociétés du Groupe Ecobank de se rendre mutuellement des services, de partager et /ou de contribuer au coût de la fourniture de certains services afin de s assurer que les activités de toutes les Sociétés du Groupe sont exécutées conformément aux normes standards du Groupe. --Coût des services : Le coût total relatif à un Service fourni par le Fournisseur de Services. Il comprend les coûts directs et indirects afférents à ce service (notamment salaires, temps passé, coût de main d œuvre, etc ). Ces coûts sont calculés conformément aux principes généralement admis dans le secteur d activité concerné. Les dépenses remboursables telles que celles des voyages, séjours et autres menues dépenses liées à la fourniture des Services Partagés. Le montant total payé par Ecobank Mali S.A. au titre des services partagés de l exercice 2013 se chiffre à millions de FCFA. 2. Convention de prestation de services entre Ecobank-Mali S.A. et eprocess International S.A. dont les termes sont les suivants : --Le Prestataire : eprocess International S.A., société anonyme avec Conseil d Administration au capital autorisé de 7 milliards de F.CFA, inscrite au Registre du Commerce et du Crédit Mobilier de Lomé (Togo) sous le numéro 2002 B0302. Son siège social est sis à 20, Avenue Sylvanus Olympio, Lomé, République du Togo. --Le Client : Ecobank Mali S.A. --Objet : définir les termes et conditions d utilisation des services fournis par eprocess International S.A. ainsi que les droits et obligations des parties. --Les services ou prestations sans être limitatifs: Un réseau étendu couvrant toutes les filiales du Groupe interconnectées soit par VSAT, soit par boucle locale radio, soit par fibre optique ou un câble ou toute autre liaison de réseau ; Une connexion internet par satellite, protégée par des firewalls, antivirus et anti-spam ; Des centres d opérations avec des plateformes applicatives partagées (ouverture de comptes en ligne, , voix sur IP, intranet, banque par internet, guichets automatiques, terminaux de paiements, comptabilité, bureautique) ; Des passerelles partagées à des services externes (Western Union, SWIFT, Reuters) ; Une plate-forme d interface Flexcube ; La vidéoconférence ; L émission des cartes et des codes pins. --Durée : La convention est conclue pour une durée indéterminée. Elle entre en vigueur à compter du 02 janvier 2008 et annule et remplace toutes autres conventions antérieures portant sur le même objet. --Avance d engagement : Pour tous les services, eprocess International S.A. se chargera des investissements majeurs. Cependant, pour certains services, le Client s engage à verser une avance d engagement à convenir entre les parties. Ces avances serviront au règlement partiel des frais d initiation du projet et de gestion durant la phase initiale du projet et des frais des services techniques spécifiques. Les avances d engagement viendront en déduction des coûts des services rendus et à rendre par eprocess International S.A. --Frais et modalités de paiement : Les coûts de chaque prestation sont précisés dans le contrat. En règlement des services techniques spécifiques, le Client paiera à eprocess International S.A. : a. les frais de mise en services payables une fois ; b. les frais d accès ou d hébergement payables annuellement ou semestriellement d avance et au plus 30 jours après le début du semestre ou de l année ; c. des montants négociés pour des services spécifiques pour les services fournis en dehors des services habituels. Les frais pourraient être révisés d un commun accord par les parties. Le montant total payé par Ecobank Mali S.A. à eprocess au titre de l exercice 2013 se chiffre à 2106 millions de FCFA. GMI AUDIT Soumana Makadji Expert Comptable Gérant Associé Fait à Bamako le 27 Février 2014 Les commissaires aux comptes SEC-Diarra Sékou Diarra Expert Comptable Diplômé Associé

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