Interrogations scientifiques L astronomie Pline l Ancien Histoire Naturelle, II, 1-6
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- Brigitte Fortin
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1 Interrogations scientifiques L astronomie Pline l Ancien Histoire Naturelle, II, 1-6 Mundum et hoc quodcumque nomine alio caelum appellare libuit, cujus circumflexu degunt cuncta, numen esse credi par est, aeternum, inmensum, neque genitum neque interiturum umquam. Hujus extera indagare nec interest hominum nec capit humanae conjectura mentis. [ ] Sacer est, aeternus, immensus, totus in toto, immo vero ipse totum, infinitus ac finito similis, omnium rerum certus et similis incerto, extra intra cuncta conplexus in se, idemque rerum naturae opus et rerum ipsa natura. Furor est mensuram ejus animo quosdam agitasse atque prodere ausos, alios [ ]innumerabiles tradidisse mundos, ut totidem rerum naturas credi oporteret aut, si una omnes incubaret, totidem tamen soles totidemque lunas et cetera etiam in uno et inmensa et innumerabilia sidera, [ ] Furor est profecto, furor egredi ex eo et, tamquam interna ejus cuncta plane jam nota sint, ita scrutari extera [ ] [5] Formam ejus in speciem orbis absoluti globatam esse nomen in primis et consensus in eo mortalium orbem appellantium, sed et argumenta rerum docent, [ ] quod convexu mediusque quacum-que cernatur, cum id accidere in alia non possit figura. [6] Hanc ergo formam ejus aeterno et inrequieto ambitu, inenarrabili celeritate, viginti quattuor horarum spatio circumagi solis exortus et occasus haut dubium reliquere.
2 Mundum et hoc quodcumque nomine alio caelum appellare libuit, cujus circumflexu degunt cuncta, numen esse credi par est, aeternum, inmensum, neque genitum neque interiturum umquam. Hujus extera indagare nec interest hominum nec capit humanae conjectura mentis. Huius extera indagare nec interest hominum nec capit humane coniectura mentis. Sacer est, aeternus, immensus, totus in toto, immo vero ipse totum, infinitus ac finito similis, omnium rerum certus et similis incerto, extra intra cuncta conplexus in se, idemque rerum naturae opus et rerum ipsa natura. Furor est mensuram ejus animo quosdam agitasse atque prodere ausos, alios rursus occasione hinc consumpta aut hic data innumerabiles tradidisse mundos, ut totidem rerum naturas credi oporteret aut, si una omnes incubaret, totidem tamen soles totidemque lunas et cetera etiam in uno et inmensa et innumerabilia sidera, quasi non eaedem quaestiones semper in termino cogitationi sint occursurae desiderio finis alicuius aut, si haec infinitas naturae omnium artifici possit adsignari, non idem illud in uno facilius sit intellegi, tanto praesertim opere. Furor est profecto, furor egredi ex eo et, tamquam interna ejus cuncta plane jam nota sint, ita scrutari extera ita scrutari extera, quasi vero mensuram ullius rei possit agere qui sui nesciat, aut mens hominis videre quae mundus ipse non capiat [5] Formam ejus in speciem orbis absoluti globatam esse nomen in primis et consensus in eo mortalium orbem appellantium, sed et argumenta rerum docent, non solum quia talis figura omnibus sui partibus vergit in sese ac sibi ipsa toleranda est seque includit et continet nullarum egens compagium nec finem aut initium ullis sui partibus sentiens, nec quia ad motum, quo subinde verti mox adparebit, talis aptissima est, sed oculorum quoque probatione, quod convexu mediusque quacum-que cernatur, cum id accidere in alia non possit figura. [6] Hanc ergo formam ejus aeterno et inrequieto ambitu, inenarrabili celeritate, viginti quattuor horarum spatio circumagi solis exortus et occasus haut dubium reliquere. Texte intégral avec traduction d auteur Le monde, ou, ce que l'on est convenu d'appeler d'un autre nom, le ciel, qui embrasse tout dans ses replis, doit être considéré comme une divinité éternelle, immense, sans commencement et sans fin. Rechercher ce qui est en dehors est sans intérêt les hommes, et au-dessus des conjectures de leur esprit. Rechercher ce qui est en dehors est sans intérêt les hommes, et au-dessus des conjectures de leur esprit. Le monde est sacré, éternel, immense, tout dans tout, et, à bien dire, il est lui-même le tout; infini, il semble être fini; possédant la certitude de toutes choses, il semble livré à l'incertitude; au dehors, au dedans, il renferme tout en soi; il est à la fois l'œuvre de la nature et la nature elle-même. Ce fut une folie à quelques-uns de s'être occupés à en chercher l'étendue, et d'avoir eu la prétention de l'indiquer; ce fut une folie à d'autres, qui s'appuyèrent de ces essais ou qui y donnèrent lieu, d'assurer qu'il y avait une infinité de mondes; de sorte qu'il faudrait croire ou à une infinité de natures, ou, si une seule nature présidait à tout, à une infinité de soleils, à une infinité de lunes, et autres astres, qui seraient, comme ils le sont déjà dans notre seul monde, immenses et innombrables. Est-ce que la pensée arrivée au terme ne se fera pas toujours la même question, par le désir de toucher à une limite? ou, si l'on peut accorder l'infini à la nature artisan de tout, n'est-il pas plus facile de concevoir cet Infini dans une seule œuvre, surtout si l'on se représente combien elle est grande? Folie, pure folie, de vouloir sortir du monde et d'en scruter l'extérieur, comme si l'intérieur en était déjà tellement connu! Et d'ailleurs, comment un être qui ne connaît pas sa propre mesure pourrait-il mesurer quoique ce soit? ou l'esprit de l'homme voir des choses que le monde lui-même ne renferme pas? Le monde a la forme d'un globe parfait, ce qu'indique d'abord ce nom de globe que les hommes lui ont donné unanimement; puis les faits le démontrent. En effet, non seulement une telle figure a toutes ses parties convergentes l'une vers l'autre, elle se supporte ellemême, elle se renferme et se contient, n'ayant besoin d'aucun lien, et ne présentant nulle part ni commencement ni fin : non seulement elle est la plus appropriée au mode de révolution qui, comme nous le verrons bientôt, lui appartient, mais encore les yeux en rendent témoignage ; car, de quelque point qu'on le regarde, il offre une voûte dont le spectateur occupe le centre, ce qui ne peut être que dans la figure sphérique. Cette figure, animée d'un mouvement éternel et sans repos, exécute sa révolution avec une vitesse ineffable dans l'espace de vingt-quatre heures : c'est un fait sur lequel le lever et le coucher du soleil n'ont laissé aucun doute. Note : les extraits en italiques ne font pas l objet d une traduction littérale juxtalinéaire mais sont donnés dans le but d une meilleure compréhension du texte.
3 Proposition de traduction juxtalinéaire Mundum credi par est et hoc quodcumque appellare libuit nomine alio caelum, cuius circumflexu degunt cuncta, numen esse, aeternum, inmensum, neque genitum neque interiturum umquam. Sacer est, aeternus, immensus, totus in toto, immo vero ipse totum, infinitus ac finito similis, omnium rerum certus et similis incerto, extra intra cuncta conplexus in se, idemque rerum naturae opus et rerum ipsa natura. Furor est quosdam mensuram ejus animo agitasse atque prodere ausos, alios [..] innumerabiles tradidisse mundos, ut credi oporteret totidem rerum naturas aut, si una omnes incubaret, totidem tamen soles totidemque lunas et cetera etiam sidera et inmensa et innumerabilia in uno, [ ] furor est profecto, furor egredi ex eo et ita scrutari extera, tamquam interna ejus cuncta plane iam nota sint, [...] Formam ejus globatam esse in speciem orbis absoluti nomen in primis docent et consensus mortalium in eo orbem appellantium, sed et argumenta rerum, [ ] quod quacumque cernatur, convexu mediusque cum id accidere non possit in alia figura. [6] Hanc ergo formam ejus aeterno et inrequieto ambitu, inenarrabili celeritate circumagi viginti quattuor horarum spatio solis exortus et occasus haud dubium reliquere = reliquerunt * Il convient que le monde soit cru = de croire que le monde et, cette chose, quelle qu elle soit, que l'on a trouvé bon = on est convenu d'appeler d'un autre nom, le ciel, dans la circonférence duquel toutes les choses vivent, est une divinité éternelle, immense, ni engendrée ni appelée à disparaître un jour. [ ] Le monde est sacré, éternel, immense, tout entier dans le tout, et, plus exactement, il est lui-même le Tout; infini et semblable au fini; certain de toutes choses, et semblable à l incertain; au dehors, au dedans, il renferme tout en soi; il est à la fois l'œuvre de la nature et la nature (des choses) elle-même. C est folie que certains en aient examiné l'étendue, et qu ils aient osé la révéler que d'autres aient rapporté qu'il y avait d innombrables mondes; de sorte qu'il faudrait croire à tout autant de natures, ou, si une seule nature veillait jalousement sur tout, à tout autant de soleils, à tout autant de lunes, et même à d autres astres, et immenses et innombrables dans un monde unique C est folie, assurément, folie de sortir du monde et d'en scruter ainsi l'extérieur, comme si tout ce qui se trouve à l'intérieur en était déjà complètement connu! Que sa forme s arrondisse en un aspect de globe parfait, c est ce que nous enseignent d'abord son nom et l unanimité des mortels l appelant = à l appeler globe mais aussi les faits [ ] parce que, de quelque côté qu'on regarde, on se trouve au centre d une forme circulaire alors que cela ne peut pas arriver dans une autre figure (que la sphère). Que cette forme (de celui-ci = du monde), donc, avec = animée d'un mouvement éternel et sans repos, exécute sa révolution avec une vitesse ineffable dans l'espace de vingt-quatre heures, les levers et les couchers du soleil n'en ont laissé aucun doute. * construction : solis exortus reliquerunt haud dubium (esse) hanc formam circumagi = les levers de soleil ont permis qu ils ne soit pas douteux que cette forme exécute sa révolution...
4 Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Voici le plan de l ouvrage : l'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là, il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux. La partie botanique qui suit, de grande ampleur, une fois terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales : cet ouvrage de Pline peut donc être considéré comme une sorte d'encyclopédie. L extrait qui nous intéresse se situe au tout début de l ouvrage, plus exactement au début du livre II (le livre I étant consacré à la table des matières et à la bibliographie compulsée par Pline) : l auteur y plante, en quelque sorte le décor dans lequel il situera tous les éléments de sa gigantesque Histoire Naturelle à savoir le monde dont il essaie de donner une définition à la fois métaphysique et scientifique. Plan du texte : 1. définition métaphysique du monde : Mundum [ ] natura 2. invective contre les hommes qui font preuve de furor à l égard de ce monde : furor [ ] extera 3. démonstration scientifique sur la rotondité du monde : formam [ ] reliquere 1. Définition métaphysique du monde Métaphysique : recherche rationnelle ayant pour objet la connaissance de l être absolu, des causes de l univers et des principes premiers de la connaissance. Il s agit bien ici de métaphysique puisque Pline associe étroitement la Nature ( ς en grec) qui inaugure son immense Histoire naturelle avec les termes mundum et caelum d une part et d autre part l être absolu qu il appelle numen. Il est important de remarquer que Pline n utilise pas le mot deus pour faire référence à la divinité mais bien numen qui en indique davantage la volonté et la puissance. Les premières lignes de l ouvrage se composent comme une sorte de credo ( cf. credi par est) où se lit l enthousiasme de Pline face à un monde qu il essaie de circonscrire sans jamais vraiment y parvenir au point d entraîner son lecteur dans une espèce de vertige de type pascalien : la nature divine (sacer) du Monde n a, en effet, de limite ni dans le temps (aeternum, aeternus), ni dans l espace parce qu on ne peut pas en définir la mesure (in-mensum, immensus) et comme la notion d éternité pourrait sembler trop abstraite, Pline précise sa pensée en utilisant un vocabulaire peutêtre plus parlant aux mortels que nous sommes (neque genitum neque interiturum umquam). La deuxième phrase de l extrait achève de nous déstabiliser malgré la simplicité de sa construction syntaxique fondée sur une juxtaposition d attributs du sujet : chaque élément qui pourrait participer à la définition engagée est, en effet, immédiatement contredit par un terme antithétique que Pline relie pourtant au premier non par un connecteur d opposition de type sed mais par un connecteur d addition : infinitus ac finito similis // omnium rerum certus et similis incerto voire pas de connecteur du tout extra intra. Outre le double chiasme (finito similis // similis incerto et infinitus finito // certus - incerto) et l oxymore (extra intra), il achève de nous embrouiller l esprit par un système de répétitions qui dépassent notre entendement (totus in toto immo vero ipse totum // idem rerum naturae opus et rerum ipsa natura). Le lecteur, ainsi pris de vertige, est prêt à entendre la conclusion à laquelle Pline souhaite le conduire : c est une folie que d oser essayer de mesurer (mensuram) le monde, qui, comme il vient d être dit, est par essence non mesurable dans le temps ou dans l espace. 2. Invective contre la folie des hommes Dès le début du passage, Pline taxe l homme de furor : le furor est cette folie frénétique (proche de l ubris des Grecs) qui s empare de l être humain incapable de se contenter de la part - du lot :
5 la moïra des Grecs - attribuée à chacun par la divinité : son audace le conduit donc au crime, le scelus nefas. Ces termes employés habituellement pour définir le héros tragique s applique parfaitement ici à ceux qui ont commis la folie (furor) d oser (ausos) mesurer (ou se mesurer à?) le monde. Ces furiosi, Pline les classe en deux catégories : ceux, comme Eratosthène, (quosdam) qui tentent de mesurer le monde et de révéler leur calcul et ceux (alios), les pires, qui prétendent qu il existe d autres mondes que le nôtre en nombre incalculable (innumerabiles tradidisse mundos). Cette hypothèse soutenue, entre autres, par Démocrite, Pline essaie de la récuser en développant une démonstration par l absurde : au credi par est du début du texte qui était une affirmation, il oppose un credi oporteret (au subjonctif imparfait) à l irréel du présent ; à partir de ce moment les connecteurs logiques se multiplient enchaînant conséquence (ut), alternative (aut), supposition (si), opposition (tamen) gradation (etiam) addition (et x 3). La solidité apparente de ce raisonnement est mise cependant en cause par l usage concomitant de deux entités contraires, à savoir le multiple (totidem x 3, omnes ; cetera) et l unique (una ; in uno qui désigne en fait le Tout totus que Pline a essayé de définir dans la première partie de son exposé). Pline multiplie aussi les effets de style pour appuyer sa démonstration : répétition de totidem, rapprochement oxymorique una omnes, opposition entre le simple singulier in uno et l accumulation des pluriels (et cetera etiam et inmensa et innumerabilia sidera) qui l englobent et le noient.. Suite à cette démonstration par l absurde, l invective reprend avec la répétition anaphorique de furor renforcée par profecto. Le but de Pline est de ramener l homme à sa juste mesure qu il calcule à l aune de ses capacités visuelles : l argument est le suivant : pourquoi essayer l aller voir (scrutari) à l extérieur de notre monde (egredi ex eo extera) alors que nous ne sommes pas capables de connaître l ensemble de ce qui compose son intérieur (interna cuncta plane nota sint) : c est d ailleurs cette tâche que s est assignée Pline dans son encyclopédie. 3. Démonstration scientifique qui ne doit nous laisser aucun doute Première étape : prouver la rotondité du monde. Les arguments avancés sont, en fait, loin d être scientifiques : la preuve que c est un globe parfait (formam orbis absoluti globatam) c est son nom (nomen) sur lequel la majorité des hommes s accorde (consensus mortalium). La deuxième preuve (argumenta) est visuelle (speciem // oculorum probatione // cernatur) : puisque le regard de l homme, où qu il se trouve (quacumque), découvre qu il est au milieu (medius) d une forme circulaire (convexu) c est que le monde est un globe, aucune autre figure géométrique ne pouvant le permettre (id accidere non possit in alia figura), ainsi, si la conclusion est scientifique, le postulat de départ n en reste pas moins sensitif. Deuxième étape, prouver que le monde tourne autour de la terre (circumagi) dans un continuel mouvement (aeterno et inrequieto ambitu) : la réponse découle de la démonstration précédente comme l indique le connecteur ergo. Une nouvelle fois, la démonstration reste empirique puisqu elle repose sur l expérience que chacun d entre nous fait de la succession des jours et des nuits dans un espace de vingt-quatre heures (viginti quattuor horarum spatio solis exortus et occasus) ; nous ne sommes pas loin de la représentation mythologique du char du soleil qui naît en se levant à l orient (ex-orior) et qui meurt, en disparaissant à l occident (occido). L extrait s achève sur l expression haud dubium reliquere qui clôt la démonstration sur une note pleine d assurance alors que Pline ne nous a apporté aucune preuve réellement scientifique! En guise de conclusion voici un florilège de citations à propos de Pline l Ancien : Le but de Pline n'est effectivement en aucune manière ni scientifique, ni intellectuel, ni philosophique. Blainville Le style scientifique demande la propriété de l'expression, et s'abstient scrupuleusement de toute figure. Manilius en a très bien spécifié les conditions quand il a dit : Ornari res ipsa negat contenta doceri= la matière que je traite n'est pas susceptible d'agréments, elle ne permet que l'instruction. Or, c'est à ce précepte que Pline manque complètement; il est toujours beaucoup plus occupé d'orner la chose que de l'enseigner.
6 Vocabulaire Par est : il est approprié, convenable + inf. Dego, is, ere : trans. = passer, employer, consumer intrans. = vivre / continuer, poursuivre Indago, as, are = suivre une piste ; dépister ; rechercher Incubo, as, are = être couché; couver; veiller jalousement sur Globor, aris, ari, atus sum = s arrondir Convexus, us, m = la forme circulaire Medius, a, um = au milieu, au centre de + abl. Se circumagere = circumagi = exécuter une révolution Les instruments de mesure Le gnomon (1500 avant J.-C) : du grec = qui sait Le gnomon est le premier instrument utilisé en astronomie. C'est une simple tige verticale (style) plantée sur un plan horizontal. Il est connu depuis la plus haute antiquité (égyptiens, chaldéens, grecs ) La longueur de l'ombre portée permet de mesurer la hauteur de l'astre, (soleil ou lune),l'angle alpha ; la direction de l'ombre donne l'azimut* de l'astre. Le gnomon est l'ancêtre du cadran solaire. Ératosthène savant grec (géomètre de l'école d'alexandrie) vers l'an 250 Av JC, mesura avec cet instrument rudimentaire le méridien terrestre avec une précision étonnante. *Azimut: angle que fait le plan vertical passant par l'astre avec le plan du méridien du lieu. Cet angle se mesure de 0 à 360 sur le cercle de l'horizon à partir du sud en allant vers l'ouest. *Méridien d'un lieu : plan déterminé par la verticale du lieu et l'axe du monde. Les débuts de la géométrie en Grèce de Michel Serres (*1) "Voici comment calcule Ératosthène ( av. J.-C.). Il pose un gnomon à Syène en Égypte non loin de la première cataracte du Nil, ville située sur le tropique du Cancer. En ce lieu, il ne fait pas d'ombre à midi le jour du solstice d'été. Le même jour à la même heure, Ératosthène mesure l'angle que fait le Soleil avec un second gnomon posé dans la ville d'alexandrie qu'il pensait située sur le même méridien. L'angle qu'il a mesuré vaut la cinquantième partie d'un cercle, il suffit donc de multiplier par cinquante la distance d'alexandrie à Syène pour obtenir la longueur entière du méridien terrestre. Résultat grandiose obtenu avec des moyens minimaux. Pour améliorer la mesure, Ératosthène estime l'ombre du gnomon non point projetée sur un plan, mais sur une sphère ou peutêtre le polos dont parle Hérodote dans le lieu déjà cité. Alilade (règle en arabe) avec système de visée à pinnules (= petites ailes en latin penna + ulus) Dioptre d Archimède pour calculer la distance angulaire d un astre à l horizon ou de deux astres Sphère armillaire (armilla= le bracelet ; l anneau)
7 Dans l Antiquité, La terre est-elle ronde? Quelques éléments mythologiques Les Anciens imaginaient le monde (orbis terrarum: le cercle des terres) comme une assiette plate, au centre de laquelle on aurait trouvé l'ensemble des terres émergées groupées autour de la mer Méditerranée (mare Nostrum ou Internum: "notre" mer ou la mer intérieure); le bord de l'assiette représenterait l'océan, dont ils pensaient qu'il bordait toutes les terres émergées et constituait la "fin" du monde (finis terrarum, cf. le Finistère: "la fin des terres", nom de plusieurs régions dans l'antiquité). L'Océan (Oceanus) était un monde terrible, peuplé de monstres et qu'il n'était pas question de fréquenter. La limite occidentale du monde romain était représentée par les Colonnes d'hercule (le détroit de Gibraltar) et le fameux Jardin des Hespérides (de Hespéra, "le soir" en grec), où poussaient d'étranges fruits: les pommes d'or, gardées par un dragon à cent têtes (on a pensé aux oranges, inconnues du monde romain et originaires d'asie). Ce monde était recouvert par la voûte céleste (caelum, i, n.) à la manière d'une cloche à fromages à laquelle étaient fixés les astres (sidus, sideris, n.). Sous la terre habitée, les Anciens se figuraient un monde parallèle, celui des habitants du "dessous", les Inferi ou "Enfers", séjour des hommes après leur mort. L'univers avait ainsi trois couches hiérarchisées: le ciel, où vivaient les dieux, êtres immortels avec pour roi Jupiter; la terre, où vivent les hommes (régie par Neptune-Poséidon qu'homère appelle "l'ébranleur des terres", Enosichthon, et qui est frère de Jupiter-Zeus) et enfin les Enfers, royaume de l'autre frère, Pluton. La terre est fixe et le soleil tourne autour d'elle. Le soleil apparaît grâce au dieu Apollon, installé sur un char traîné par des boeufs d'est en Ouest; parvenu à l'océan, il plonge sous la terre et, durant la nuit, refait le chemin inverse vers l'est. L'Est s'appelle (sol) oriens ou "(soleil) Levant" et l'ouest (sol) occidens ou "(soleil) Couchant". D'où les mots Orient et Occident. Pourtant dès l'antiquité, "on savait" que la Terre est ronde. Quand donc a-t-on cru qu'elle était plate et qui l'a cru? Cette thèse, nous la devons à un savant bien ancien, à savoir Thalès (VIIe-VIe siècle avant J.-C.). Elle fut aussi soutenue, si on en croit le Traité du Ciel d'aristote, par Anaximène, Anaxagore et Démocrite au Ve siècle avant J.-C. Et ce fut un progrès, car Thalès rompit avec les représentations mythiques, telles qu'on les trouve chez Hésiode (VIIIe-VIIe siècle avant J.-C.), d'une déesse Terre (Gaia) qui occupait le bas de l'univers et qui avait des racines. Il conçut un disque plat posé sur l'eau. Les mouvements de l'eau expliquaient selon lui les tremblements de terre. Cette conception relative à la forme de la Terre continua son chemin dans l'antiquité. On la trouve par exemple chez le poète latin Ovide (43 av. J.-C ap. J.- C.) dans Les Métamorphoses, I. Une objection était possible. Si la Terre repose sur l'eau, sur quoi l'eau repose-t-elle? Anaximandre, le disciple de Thalès, proposa alors une autre représentation de la Terre, celle d'un cylindre - la courbure apparaît - au milieu d'un univers infini de sorte qu'il n'y ait aucune raison pour que la Terre se dirige d'un côté plutôt que de l'autre. Pourtant, malgré sa connaissance de la courbure, Anaximandre ne conçut pas la sphéricité de la Terre. C'est vraisemblablement au Ve siècle que la Terre devint ronde, peut-être chez Parménide, certainement chez le pythagoricien Philolaos. Au IVe siècle Platon l'affirme pour des raisons de symétrie. Cette figure de la Terre lui paraît plus rationnelle que toute autre, d'autant plus qu'il la conçoit au centre de l'univers. C'est Aristote qui apporte les premières preuves qui nous sont connues. - La première est que l'élément terre se dirige vers le centre de l'univers qu'aristote conçoit fini. Donc, la sphère est la figure qui en résulte. Cet argument, reposant sur la physique d'aristote qui est dépassée, n'est plus valable. - La seconde preuve, toujours valable de nos jours, est que chaque fois qu'il y a une éclipse de Lune, la forme réfléchie est toujours courbe.
8 - Enfin, la troisième preuve, elle aussi valable aujourd'hui, repose sur l'observation selon laquelle l'ombre n'est pas la même lorsqu'on se déplace du nord au sud : la différence s'explique si la Terre est sphérique. Les Anciens ajouteront un autre argument, à savoir qu'un bateau arrivant à l'horizon, on commence à voir le mât avant la proue, ou à l'inverse, que lorsque les bateaux s'éloignent, le mât disparaît en dernier. Il revient à Eratosthène (~276-~195 av. J.-C.) d'avoir mesuré le méridien terrestre. Pour cela, il lui fallait bien concevoir la Terre comme sphérique et considérer qu'il s'agissait là d'une thèse définitive. Pour la mesurer, il se servit du fait qu'à Syène, l'actuelle Assouan, un rayon de soleil se dirigeait vers le fond d'un puits. Aussi, connaissant la distance de Syène à Alexandrie et l'angle que fait le Soleil à la même heure, il put en déduire la grandeur du méridien terrestre. On estime qu'il arriva à une mesure à peu près équivalente à la mesure actuelle, soit environ kilomètres. Avant lui, Aristarque de Samos (~310-~230 av. J.-C.) non seulement proposa une méthode correcte pour mesurer les distances entre la Lune et la Terre, et entre la Terre et le Soleil, mais il proposa le premier l'hypothèse héliocentrique, c'est-à-dire l'idée selon laquelle c'est la terre qui tourne autour du Soleil et non l'inverse. Si la question de la forme de la Terre ne posa aucun problème particulier, on peut faire remarquer que l'hypothèse d'aristarque fut condamnée par le stoïcien Cléanthe, qui proposa qu'on le poursuive pour impiété : ce que personne ne fit. Avant donc le christianisme, l'hypothèse héliocentrique posait un problème religieux mais nullement la question de la forme de la Terre. Avec le christianisme, les choses se compliquent quelque peu. D'un côté, nombre de religieux acceptèrent sans difficultés les données de l'astronomie antique. Mais l'opposition à la science se manifesta également et on assista à des lectures littérales de la Bible. C'est ainsi que Lactance (~260-~325), quelque huit siècles après Aristote, soutint que la Terre est plate, arguant notamment "qu'il est insensé de croire qu'il existe des lieux où les choses puissent être suspendues de bas en haut" (Institutions divines). La décadence de la science dans l'antiquité conduisit même à des résultats surprenants. C'est ainsi qu'un moine byzantin du VIe siècle, Cosmas Indicopleustès ou Cosmas d'alexandrie, dans sa Topographia Christiana, pensait que la Terre était terminée par des murailles derrière lesquelles le Soleil se couchait. Toutefois, la plupart des savants, c'est-à-dire des théologiens du Moyen-Age, admettait une Terre ronde. Dans ses Etymologies, Isidore de Séville (~530-~636) compare la Terre à une balle, et, dans don Image du monde, au XIIIe siècle, Gossuin de Metz la compare à une pelote. Une des façons de concilier les deux images, la Terre plate et la Terre ronde, consistait à considérer que la partie habitée, l'oekoumène, qui n'est qu'une faible partie, est plate. La redécouverte de la philosophie et de la science antique durant le Moyen-Age, notamment par l'intermédiaire des arabo-musulmans qui l'enrichirent (algèbre par exemple), confirma la représentation d'une Terre ronde au centre d'un univers lui-même sphérique. C'est cette représentation qui fut ébranlée par Copernic ( ), qui reprit l'hypothèse héliocentrique, et c'est en son nom que fut prononcée la condamnation de Galilée en Le vieil homme ne fut pas un martyr de la science puisqu'il jura sur la Bible que la Terre était au centre de l'univers et vécut en résidence surveillée jusqu'à sa mort en Curieusement, la physique finit par proposer une autre hypothèse avec Newton ( ), celle d'une Terre non sphérique mais boursouflée à l'équateur et aplatie aux pôles. Cette hypothèse fut confirmée dans la première moitié du XVIIIe siècle. Pourtant, on continue à croire que la Terre est ronde et non pas plate, alors qu'elle n'est ni l'une ni l'autre.
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