2. La Terre se réchauffe
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- Marie-Claire Charlotte Marceau
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1 2. La Terre se réchauffe
2 Plan C sur les 50 dernières années 2.2. Une aridité subtropicale accrue 2.3. L impact sur la température en France 2.4. L impact sur la pluviométrie en France
3 2. Le réchauffement planétaire observé C sur 50 ans C sur les 50 dernières années Le réchauffement global est une réalité. La température globale de l'air en surface est de 0,75 C plus chaude qu'au début du 20ème siècle. Neuf des dix dernières années ( ) sont parmi les 1900 années les plus chaudes que le globe ait connu au cours des 145 années d'enregistrements instrumentaux et, que l'hémisphère Nord ait connu au cours des dernières années année la plus chaude 1998 la 2 ème, 2002 la 3 ème, 2003 la 4 ème, 2004 la 5 ème, 2001 la 6 ème Température sur le dernier millénaire Les changements de température sur les 100 dernières années ont été les plus forts et les plus rapides sur le dernier millénaire
4 2. Le réchauffement planétaire observé C sur 50 ans Caractéristiques spatiales du réchauffement des 50 dernières années Accélération ~ +0.5 o C Réchauffement des continents Plus marqué que celui des océans Réchauffement de l hémisphère Nord plus marqué (zones polaires continentales) Raccourcissement des Saisons intermédiaires
5 2. Le réchauffement planétaire observé C sur 50 ans Caractéristiques spatiales du réchauffement des 100 dernières années
6 2 Le réchauffement planétaire observé 2. Une aridité subtropicale accrue 2.2. Une aridité subtropicale accrue + sec + humide + humide Sécheresse
7 2. Le réchauffement planétaire observé 2.3. Les impacts sur la température en France Emissions de CO2 en Europe et en France en 2001 L Europe représente 15% des émissions totales de CO2 en La France est le 2 producteur européen de CO2. Elle représente 15% du total européen et 3% du total mondial. Evolution et contribution des différents secteurs
8 2. Le réchauffement planétaire observé 3. Une hausse thermique récente 1, ,625 Anomalie ( C) -0,250-1,125-2, Tendances des températures en France Evolution des températures entre 1901 et 2004 moyennes. Le réchauffement sur la France est un peu supérieur à celui observé à l'échelle de la planète (de l'ordre de 1 C). Cette différence s'explique par le fait que les océans qui couvrent 70% de la surface de la Terre se réchauffent moins vite que les continents.
9 2. Le réchauffement planétaire observé 3. Une hausse thermique récente Toulouse en hiver Toulouse en été Persistance d hivers et d étés plus chauds sur la dernière décennie Écart de la température par rapport à la «normale»
10 2. Le réchauffement planétaire observé 4. Une forte variabilité des précipitations 2.4. Tendances des totaux pluviométriques depuis le début du 20 siècle Exemple de Paris Montsouris ( ) Tendance (%/siècle) baisse significative baisse non signif. hausse significative hausse non signif(confiance = 95%) La plupart des séries présentent des cumuls annuels en augmentation. Aucune baisse n'est significative. Les baisses non significatives se situent préférentiellement au sud. Les hausses significatives se situent autour d'une ligne allant de la région parisienne aux Pyrénées. Cet exemple illustre la hausse des cumuls annuels dans la partie nord de la France, et bien entendu la forte variabilité d'une année sur l'autre. Sur la période , la moyenne est de mm/an, le minimum est de mm en 1921 et le maximum de mm en La tendance est de mm/siècle, soit 15% du cumul annuel.
11 2. Le réchauffement planétaire observé 4. Une forte variabilité des précipitations Hiver Hausse quasi généralisée. Sécheresse s'accentuant sur le sud du territoire. Printemps Forte variabilité interannuelle Evolution saisonnière des précipitations Automne Eté Les baisses des cumuls de précipitations se concentrent sur les Bouches du Rhône, la partie ouest des Pyrénées la Lozère et la Gironde. Sécheresse marquée.
12 2. Le réchauffement planétaire observé 4. Une forte variabilité des précipitations Le laboratoire du Col de Porte, situé en Chartreuse (Isère) à m d altitude, permet de disposer de relevés précis sur les 40 dernières années. Ils montrent que la tendance générale est à une diminution de l enneigement sur la dernière décennie, tant pour la durée que pour la hauteur de neige au sol mais que les fluctuations annuelles sont très prononcées. Des observations identiques sont réalisées au Mont Aigoual (Cévennes) à 1567 m. Les années 70 correspondent à une hausse de la hauteur de neige cumulée. La baisse est très importante depuis le milieu des années 80. Nombre de jours avec au moins 20 cm de neige au sol au col de Porte, Chartreuse, 1320 m Hauteur cumulée de neige au Mont Aigoual (Cévennes, Gard, 1567 m)
13 2. Le réchauffement planétaire observé 4. Une forte variabilité des précipitations Que nous apprennent les observations? Que la France s est réchauffée en moyenne de ~+1 C depuis 1 siècle, Que ce réchauffement est plus important sur les températures nocturnes (diminution très importante du nombre de jours de gels) Que les hivers sont en général particulièrement plus chauds depuis le début des années 90 ( est une exception) Que les étés sont plus chauds depuis les années 80 avec un événement de très grande ampleur (2003) qu il faut considérer comme un extrême, mais qu il faut replacer dans le cadre d un réchauffement intense et qui peut donc être «utilisé» pour imaginer un avenir plus ou moins proche et/ou plus ou moins probable (identification des impacts et préparer les stratégies d adaptation) Que les variations de précipitations sont très incertaines en raison de la variabilité inter-annuelle mais que globalement : - les sécheresses sont plus marquées en été et au printemps sur la France - toute l année dans la partie sud Que la diminution de l enneigement est récente, probablement plus marquée à basse et moyenne altitude Que les tendances dans les événements extrêmes sont très difficilement détectables...
14 3. Les impacts constatés
15 Plan 1. Le recul des glaces 2. La hausse du niveau marin 3. Les impacts sur la végétation : extinction, adaptation, migrations. 4. Les impacts sur l homme : des impacts très difficile à mettre en évidence
16 3. Les impacts constatés 1. Impacts : Le recul des glaces 1. Le recul des glaces Quelques chiffres sur les glaciers continentaux... Expansion de certains glaciers côtiers norvégiens ou néo-zélandais en relation avec : une augmentation des précipitations hivernales (glaciers côtiers) > augmentation constatée des températures estivales => ablation accrue Perte d un tiers de la surface et de la moitié de la masse des glaciers alpins ( ) liée à la baisse des précipitations neigeuses (accumulation) et à la hausse des températures estivales. Accélération depuis la fin des années 80 faisant suite à un gain de masse entre 1960 et 1980 Glacier des Bossons : +550 m , -623 m Perte d une épaisseur moyenne de 57 mm par an par les glaciers d Alaska depuis 1995 Les recherches récentes sur les tourbes des marges glaciaires et les troncs fossiles montrent : un état similaire lors de la période romaine, des glaciers plus courts à 1200 BP
17 3. Les impacts constatés 1. Impacts : Le recul des glaces 1. Le recul des glaces 1850 Glacier d Argentière (France) Glacier Pasterze (Autriche) 2001
18 3. Les impacts constatés 1. Impacts : Le recul des glaces Evolution de l épaisseur de la banquise arctique Diminution de 40% de l épaisseur de la banquise arctique au cours des dernières décennies Diminution de 15 à 20% de la superficie totale entre 1974 et 2003
19 3. Les impacts constatés 1. Impacts : Le recul des glaces Dégradation du pérgélisol dans une tourbière hudsonienne Source : Payette et al. Dégradation progressive du pergélisol et remplacement par de nombreux petits lacs Mares turbides au sein d un dépôt dans lequel le pergélisol a fondu Source : Payette et al.
20 3. Les impacts constatés 2. Impacts : Hausse du niveau marin 2. La hausse du niveau marin Une augmentation du niveau marin en Europe Pays-Bas France Pologne IPCC, 2001 Entre 0,8 mm (Brest) et 3 mm par an (Narvik) en Europe (1896 à 1996)
21 3. Les impacts constatés 2. Impacts : Hausse du niveau marin Décoloration des coraux liée à la hausse du niveau marin Du corail (Cerveau de Neptune) blanchi suite au réchauffement climatique. L'eau dépassant 29.5 C, le polype a expulsé l'algue qui bâtissait son squelette externe en calcaire; le corail en est mort. Entre 1998 et 2001, 90% des coraux de l'océan Indien ont présenté des traces de blanchiment ou sont morts. Sachant qu'ils grandissent en moyenne de 15 cm par an, la recolonisation de leur territoire peut durer des décennies. Si le réchauffement climatique s'arrêtait tout de suite, il faudrait 500 ans pour retrouver des récifs intacts.
22 3. Les impacts constatés 2. Impacts : Hausse du niveau marin Migrations vers le nord d'espèces provenant de régions plus chaudes Poisson tropical fréquent au sud de 21 N, observé dans les eaux portugaises en 1966, signalé au nord-ouest de l'irlande en 1993!
23 Évolution de la date de floraison de la vigne Chasselas pour 3 sites. 3. Les impacts constatés 3. Modifications phénologiques 3. Les impacts sur la végétation Modifications phénologiques Climat Jours juliens Evolution de la date de floraison du Merlot (cépage noir) Date de floraison Le réchauffement récent ( ) pour six régions viticoles de France
24 3. Les impacts constatés 3. Impacts sur la végétation Evolution des dates de vendange à Chateauneuf du pape +0.08%. Vol/an Date des vendanges moyen Evolution des degrés moyens constatés à la récolte en Alsace. Evolution des dates de vendange dans le Médoc
25 3. Les impacts constatés 3. Impacts sur la végétation Évolution des dates de floraison de la poire Williams depuis 1962 Début 1960 : floraison 20 avril Début 1990 : floraison 8 avril Début 2000 : floraison fin mars Évolution des dates de floraison du pommier à Angers et à Nîmes sur la période Évolution des dates de floraison du poirier du prunier et du cerisier sur la période
26 5. Les impacts constatés 3. Impacts sur la végétation L Évolution de la productivité forestière Évolution de l indice de croissance de différents arbres dans le nord-est de la France
27 5. Les impacts constatés 3. Impacts sur la végétation Le déplacement des écosystèmes et des espèces Migration des espèces vers le haut des sommets Des palmiers en l i b e r t é d a n s l e Tessin! Répartition du houx dans les Ardennes Greening de l Arctique
28 3. Les impacts constatés 4. Impacts sur l homme 4. Les impacts sur l homme : des impacts très difficile à mettre en évidence Hausse de la mortalité
29 3. Les impacts constatés 4. Impacts sur l homme Migration de maladies ou vecteurs La dengue est une maladie virale qui ressemble à la grippe et qui crée parfois des hémorragies internes fatales. La maladie touche 100 à 150 millions de personnes dans les régions tropicales et sud-tropicales. Dengue, fièvre jaune Elle a élargi sa zone d endémie aux deux Amériques au cours des dix dernières années et touche Buenos Aires au sud depuis Elle s étend aussi dans le nord de l Australie.
30 3. Les impacts constatés 4. Impacts sur l homme Augmentation de la durée d allergie à certains pollens (ex: pollens de boulot à Montluçon, plus de 50 pollens par m3 d air) Le nombre de jours à risque montre une forte variabilité inter-annuelle. Sa moyenne est passée de moins de 10 en 1989 à plus de 20 aujourd hui.
31 3. Les impacts constatés 4. Impacts sur l homme Impacts directs Impacts indirects Impacts économiques : le cas des stations de sports d hiver
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