Note d analyse 16 septembre 2013
|
|
- Robin Fournier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Note d analyse 16 septembre 2013 Dernier rapport du Groupe d experts des Nations unies créé en application de la résolution 1874 : le point sur la crise de prolifération nordcoréenne. Par Timothée Germain, Chargé de Recherche, CESIM Contexte Le 7 mars 2013, le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté la résolution à l unanimité. Proposée en réponse au troisième essai nucléaire de la Corée du Nord, survenu le 12 février de la même année, cette résolution renforce le dispositif de sanctions, en vigueur depuis , qui vise à l arrêt des programmes nucléaire et balistique de la Corée du Nord. La résolution 2094 a également reconduit le mandat du Groupe d experts des Nations unies créé en application de la résolution 1874 (2009) jusqu au 7 avril Pour rappel, ce groupe a été créé pour suivre la mise en œuvre des sanctions prévues par les résolutions 1718 (2006) et 1874 (2009). Le groupe, dont le mandat est jusqu ici reconduit chaque année 3 depuis sa création, remet un rapport annuel au Comité chargé de la mise en œuvre des résolutions 1718 (2006) et 1874 (2009), communément appelé Comité Le quatrième rapport du Groupe d experts a été remis au Comité 1718 le 12 mai , alors que la tension redescendait dans la péninsule après avoir 1 Voir le texte complet de la résolution à l adresse : 2 La première résolution de cette série est la résolution 1718, adoptée à l unanimité le 14 octobre Elle fait suite au premier essai nucléaire nord-coréen, le 9 octobre de la même année. Voir : 3 Par les résolutions 1928 (2010), 1985 (2011) et 2050 (2012). 4 Le rapport a été rendu public le 9 juin 2013 et disponible fin juin. Il est disponible (en français) à l adresse : // 1
2 atteint des niveaux alarmants fin 2012 et début L essai nucléaire du 12 février s est en effet inscrit dans un cadre général de provocations constitué d actions, comme le tir d essai d une fusée Unha-3 le 12 décembre 2012, et de propos, notamment sur la réactivation du complexe de Yongbyon, ou encore la déclaration de l ambassadeur nord-coréen auprès de la Chine, Ji Jae-ryong, qualifiant les Etats-Unis d ennemi face auquel les forces coréennes se tenaient prêtes, à l occasion du 101 ème anniversaire de la naissance de Kim Il-sung 5, le 15 avril Ce quatrième rapport du Groupe d experts donne un éclairage particulièrement informé et détaillé sur la crise de prolifération en cours en Corée du Nord, et son étude permet de dégager un certain nombre de conclusions. Les activités nucléaires et balistiques de la Corée du Nord continuent et se consolident Le premier point que ce rapport met en évidence est que la République populaire démocratique de Corée (RPDC) continue de poursuivre ses efforts dans les domaines nucléaire et balistique. Le tir balistique du 12 décembre 2012 et l essai nucléaire du 12 février 2013 en ont été les démonstrations flagrantes. Mais la Corée du Nord a également pris des mesures d ordre législatif indiquant qu il n y a aucune volonté à Pyongyang de mettre un terme à ces programmes. La constitution du pays a été amendée en 2012 pour inclure le qualificatif de «puissance nucléaire» 6. De même, une loi 7 a été promulguée le 1 er avril 2013 visant à «consolider la position de la Corée du Nord comme puissance nucléaire». Ce texte comporte dix points qui constituent un semblant de politique déclaratoire en matière d armes nucléaires. Un certain nombre de principes y sont affirmés : par exemple, le fait que l arsenal nucléaire nord-coréen a une fonction strictement défensive. Ou encore, «la RPDC ne fera jamais usage ni n en menacera une puissance non-nucléaire, sauf dans le cas où celle-ci participerait à une invasion de la Corée du Nord aux côtés d un Etat doté». La référence à la Corée du Sud est transparente. Cette loi énonce également des principes généraux en matière de non-prolifération, que le Nord s engage à respecter, de même en ce qui concerne la sécurité nucléaire, voire le risque terroriste 8. Enfin, ce texte annonce que «la RPDC prendra des mesures concrètes pour renforcer la dissuasion nucléaire et la capacité de frappes de représailles tant qualitativement que quantitativement». Le régime ne pouvait pas annoncer plus clairement sa volonté de continuer, sinon de renforcer ses efforts dans les domaines nucléaire et balistique. 5 Voir notamment US-an-enemy-of-the-state-as-South-Koreans-burn-effigies-of-Kim-Jong-un Voir le document complet sur le site d information japonais sur la Corée KCNA : 8 «weapon-grade nuclear substances may not leak out illegally» 2
3 Suivant ce mouvement de renforcement du secteur nucléaire, la Corée du Nord a annoncé en avril 2013 la création d un Ministère de l industrie de l énergie nucléaire 9, dont les fonctions affichées sont d une part de moderniser l industrie nucléaire nord-coréenne et d autre part d accroître la production de matières nucléaires. Cette mesure institutionnelle s accompagne de progrès concrets sur le terrain. Le site de Yongbyon connaît une activité intense depuis mi-2012, qui semble se poursuivre en Plusieurs bâtiments nouveaux ont été construits, dont certains pourraient abriter des installations d enrichissement d uranium, alors que d importants travaux sont en cours autour du réacteur plutonigène de 5 mégawatts, ce qui constitue une indication de la volonté des Nord-coréens de le réactiver 10. A l heure où nous écrivons, des images satellites du site montrant des panaches de fumée blanche s échappant d un bâtiment jouxtant le réacteur confirment qu il a bien été redémarré 11. Ce développement corrobore l intuition du Groupe d experts à ce sujet. Par ailleurs, son dernier rapport fait également état de l avancement de la construction d un réacteur à eau légère. Le Groupe postule que les principaux éléments du réacteur ont été assemblés, sur la base de ce qui peut être observé par imagerie satellite. Cependant, la Corée du Nord aura besoin de nombreuses barres de combustible pour démarrer ce réacteur, dont elle ne dispose probablement pas en l état, selon le postulat du Groupe. Indépendamment de ce dernier point, le constat principal est que la RPDC continue de poursuivre autant qu elle le peut ses efforts dans le domaine nucléaire, et, outre les conséquences industrielles et matérielles évidentes, les développements d ordre institutionnel illustrent une véritable volonté de consolidation de l ensemble des activités nucléaires. Le régime de Pyongyang semble donc plus engagé que jamais sur la voie de la prolifération nucléaire. Il en va de même dans le domaine balistique. Tout d abord, l analyse d imagerie satellite des sites d essais de moteurs-fusées 12 montre que deux essais au moins ont été conduits entre avril et septembre 2012, portant sur de gros moteurs. Le Groupe d experts postule que trois possibilités existent quant à leur finalité : Ces essais concernaient le premier étage de la fusée Unha-3 tirée le 12 décembre Ces essais portaient sur les moteurs du missile KN-08, qui n a encore jamais fait l objet d essais en vol. Ces essais sont en rapport avec la conception d une fusée d un modèle encore inconnu. Parallèlement, le site d essais de la côte Est a fait l objet d importants travaux de modernisation, entamés en Ces efforts se poursuivent, avec la Les autorités nord-coréennes en avaient fait l annonce, toujours en avril La Corée du Nord compte trois de ces sites 3
4 construction notamment d un nouveau pas de tir et de bâtiment annexes, dont la finalité pourrait être d accueillir des fusées d une taille et d une puissance plus importantes que celles qui ont été tirées jusqu ici. En tout état de cause, ces développements attestent du dynamisme des différents programmes balistiques nord-coréens. Par ailleurs, l analyse des débris de la fusée Unha-3 qu a pu conduire le Groupe d experts, qui s est rendu en Corée du Sud en avril 2013, a mis en lumière des éléments intéressants qui eux-mêmes permettent de dégager quelques conclusions sur l industrie balistique nord-coréenne. Il semblerait que les solutions retenues pour les deux premiers étages soient pour le moins rustiques, mais fiables. Cela est peut-être dû à l absence de maîtrise industrielle d un certain nombre de technologies. Cette analyse est confortée par celle que livrait Stéphane Delory dans l Observatoire de la nonprolifération de janvier , au sujet des propergols employés : «Il a longtemps été envisagé que les moteurs No Dong puissent avoir été adaptés à l utilisation d UDMH, en substitution du TM-185 traditionnellement utilisé ( ), l UDMH étant stockable et plus énergétique que le TM-185. L analyse des débris démontre que la Corée du Nord n a pas encore réussi cette adaptation, si tant est qu elle l ait recherché. Plus significatif peut-être, les LRE-4, normalement alimentés par de l UDMH (ergol du moteur 4D10), ont été adaptés au TM-185, afin de permettre leur alimentation dans le premier étage. Si cette solution est cohérente dans ce cas de figure, elle incite à s interroger sur la maîtrise de la production d UDMH par la Corée du Nord et, plus généralement, sur sa capacité à produire des moteurs alimentés par ce type d ergol.» L industrie nord-coréenne aurait donc contourné des difficultés technique qu elle n est pas capable de surmonter en l état en ayant recours à des solutions moins efficaces mais plus simples à mettre en œuvre. Le rapport indique également que, selon les constatations du Groupe, l essentiel du premier étage a été fabriqué en Corée du Nord, mais qu un certain nombre de composants provenaient de l étranger. Cela nous apprend deux choses : d une part, l industrie balistique nord-coréenne est capable de produire un premier étage de fusée de manière largement autonome. D autre part, le reste de son industrie (mécanique, électronique, etc.) n est pas en mesure de fournir les composants les plus élémentaires. Sont par exemple cités «les capteurs, les interrupteurs de pression, les câbles et divers instruments électroniques. La plupart semblaient être des articles courants dans le commerce» 14. S il existe donc un réel savoir-faire dans le domaine balistique, la Corée du Nord demeure totalement dépendante du marché international pour se fournir en composants. Cette conclusion souligne l importance des conséquences que des sanctions réellement hermétiques touchant l ensemble de ces produits, même le plus anodins, seraient susceptibles d avoir. 13 Stéphane Derlory, «Corée du Nord : première analyse du lanceur Unha-3», Observatoire de la non-prolifération, nº 75, janvier Quatrième rapport du Groupe d experts créé en application de la résolution 1874 (2009) du Conseil de sécurité, 7 juin 2013, page 16. 4
5 La Corée du Nord demeure un acteur important des trafics proliférants La Corée du Nord continue ses activités de prolifération vers d autres Etats. Cela pourrait être une conséquence indirecte des sanctions économiques et financières qui touchent le pays. En tout état de cause, le commerce illicite de biens et technologies contrôlés au départ de la Corée du Nord demeure vivace, constituant une des rares sources de revenus que le régime peut dédier entièrement à ses programmes nucléaire et balistique. Un certain nombre de cas sont recensés par le dernier rapport du Groupe d experts. Par exemple, une cargaison de dix tonnes de cylindres de graphite à destination de la Syrie a été interceptée par la Corée du Sud alors que la navire qui la transportait, le Xin Yan Tai faisait escale dans le port de Busan. Le graphite est un matériau stratégique qui a de multiples applications, dont certaines dans le domaine des missiles balistiques, et, à ce titre tombe sous le coup des sanctions imposées à la Corée du Nord par la résolution 1718 (2006). La cargaison avait pour destination le port syrien de Lattaquié, et était enregistrée comme des tuyaux de plomb. L entreprise responsable de l expédition serait une filiale de la Tangun Trading Corporation. Cette entreprise est bien connue du Groupe d experts, qui l a fait ajouter à la liste des personnes et entités faisant l objet de sanctions en juillet 2009, comme un acteur central des trafics proliférants émanant de Corée du Nord, en particulier dans le domaine balistique 15. Le précédent rapport du Groupe d experts 16 faisait référence à un incident similaire survenu en 2007 : une cargaison comprenant des alliages spéciaux, différents composants utiles au domaine balistique, et surtout 130 pains de propergol solide à double base, à destination de la Syrie, avait été interceptée. Là encore, l expéditeur avait été identifié comme étant la Tangun Trading Corporation 17. De manière similaire, l entité destinataire des cylindres de graphite comme de la cargaison de est une société-écran régulièrement utilisée par le Centre d études et de recherche scientifique (CERS), qui chapeaute la plupart des activités liées aux programmes d armes de destruction massive de la Syrie. Le rapport indique également que la coopération entre la Syrie et la Corée du Nord, dont on sait qu elle a concerné l installation nucléaire de Deir el-zor 18, détruite en septembre 2007, continue d exister. «Le Groupe d experts insiste sur le fait que [la Syrie] est mêlé[e] à un tiers de tous les cas d incidents de non- respect des dispositions concernant les armes de destruction massive et les armements sur lesquels il conduit des investigations 19». Des coopérations 15 Voir notamment : Timothée Germain, «Corée du Nord : cartographie de la prolifération», Observatoire de la non-prolifération, nº 73, décembre Troisième rapport du Groupe d experts créé en application de la résolution 1874 (2009) du Conseil de sécurité, 11 juin 2012, page 24. Disponible en français à cette adresse : E=&referer=/french/&Lang=F 17 Parfois désigné comme Tangun Trading Company. Ce genre d entité change régulièrement de nom afin de compliquer la tâche des autorités de contrôle. 18 Egalement connue sous le nom de site d al-kibar. 19 Quatrième rapport du Groupe d experts créé en application de la résolution 1874 (2009) du Conseil de sécurité, 7 juin 2013, page 32 5
6 similaires sont suspectées avec l Iran. L Iran et la RPDC ont en effet signé un accord de coopération scientifique et technique en septembre Cet accord prévoit le développement de laboratoires conjoints, des programmes d échanges entre équipes scientifiques et des transferts de technologie dans les domaines de l ingénierie et des communications, entre autres. Plus largement, ce programme permet à deux Etats proliférants de partager leur expérience respective. Il est à noter que cette coopération fonctionne dans les deux sens, la RPDC profitant également des avancées de l Iran dans les domaines concernés 21. Les trafics à destination de la Corée du Nord sont également largement identifiés dans le rapport du Groupe d experts, qui met notamment en évidence le rôle des agents nord-coréens présents à l étranger sous couverture diplomatique pour essayer d obtenir des biens et technologies sensibles. Le dernier cas en date concerne deux membres de la représentation commerciale de la RPDC au Belarus, qui ont cherché à partir de 2011 à obtenir des documents techniques sensibles auprès d un employé de Yuzhnoye Design Office. Cette entreprise d Etat a collaboré à l époque soviétique à la mise au point de différents missiles balistiques intercontinentaux, dont le SS-18 Satan, et se consacre désormais au secteur spatial civil. Les deux agents nord-coréens ont été arrêtés en mai 2012, mais il est notable qu ils n ont pu être repérés que grâce à la dénonciation de leur contact dans l entreprise, qui a rapidement alerté les autorités. Cela illustre la difficulté qui peut exister dans la détection de ces individus, et le potentiel d espionnage industriel qui existe pour la Corée du Nord par ce biais. De l ensemble des cas de trafics proliférants signalés dans ce rapport, on peut retenir plusieurs éléments concernant les méthodes employées par la Corée du Nord : Le port de Dalian, situé en Chine, sur la Mer Jaune, à 300 kilomètres de la frontière nord-coréenne, sert de hub principal aux trafics en provenance de la Corée du Nord par voie maritime. C est dans ce port que les cargaisons intègrent les flux du commerce international. C est là également que les manifestes de douane sont maquillés par des intermédiaires. Les cargaisons illicites sont dans la plupart des cas placées dans des conteneurs. Cette méthode permet de tromper les transporteurs par une simple falsification des documents de douane, le conteneur n ayant a priori pas vocation à être inspecté lors de ses différents transbordements et jusqu à son arrivée. Le recours à des intermédiaires étrangers 22 pour la conclusion de ventes d armement conventionnel est fréquent. La Corée du Nord 20 John S. Park, «The leap in North Korea s ballistic missile program : the Iran factor», NBR Analysis Brief, 19 décembre 2012, 21 ibid. 22 Les pays d origine de ces intermédiaires identifiés dans le rapport comprennent le Kazakhstan, le Royaume-Uni, et l Ukraine. 6
7 utilise des réseaux de trafic d armes existants pour conduire ses activités dans ce domaine. Dans la plupart des cas, l expéditeur nord-coréen de marchandises de contrebande est identifié comme une entité déjà signalée par le Groupe d experts et figurant donc sur les listes publiées en annexe des résolutions du Conseil de sécurité pertinentes. Deux explications principales existent pour déterminer pourquoi ces entités continuent à exercer leur activité avec succès. La première est le travail considérable de camouflage auxquelles elles se livrent, multipliant les sociétés-écran, changeant de nom et d adresse régulièrement, ou encore disparaissant rapidement après la conclusion d un transfert, pour réapparaître par la suite 23. La seconde réside dans l application incomplète des sanctions, volontaire ou non, qui peut être due à une information insuffisante des acteurs concernés. La Corée du Nord continue donc, en plus de conduire les activités nécessaires au développement de ses programmes nucléaire et balistique, de se livrer à de nombreuses activités de prolifération, qui concernent aussi bien les armes de destruction massive que l armement conventionnel et les armes légères. La finalité de cette dernière catégorie d activités est le financement de l ensemble des programmes, lourdement grevé par les sanctions existantes. Les recommandations du Groupe d experts en perspective : une mise en œuvre des sanctions complexe et incomplète Les rapports annuels du Groupe d experts sont systématiquement conclus par une série de recommandations, au Comité 1718 d une part, et aux Etats membres d autre part. Le présent rapport commence par suggérer l ajout sur les listes des entités et individus faisant l objet de sanctions spécifiques d un certain nombre d entités et d individus impliqués dans les programmes nucléaire et balistique de la RPDC, mais aussi dans les activités illicites conduites par ce pays. Il est à noter que pour la première fois, des individus qui ne sont pas de nationalité nord-coréenne ont été ajoutés à cette liste 24. En sus, le Groupe d experts a identifié un certain nombre d entités qui changent régulièrement d appellation afin de rendre plus difficile leur identification. De même, il appelle les Etats membres susceptibles de pouvoir partager des informations sur d éventuels subordonnés aux personnes faisant l objet de sanctions de les lui transmettre afin de réduire le risque de contournement. Ces deux points constituent sa deuxième recommandation. On voit ici que le Groupe d experts affine à mesure de l exercice de ses responsabilités la compréhension qu il a des filières de prolifération nord-coréenne et des moyens mis en œuvre pour contourner les sanctions. Cela étant, on peut poser la question de la pertinence de réserver la mise à jour des listes concernées sur une base annuelle, ou à l occasion d une nouvelle résolution du Conseil de 23 Pour plus de détails sur les méthodes de la Corée du Nord, voir «Corée du Nord : cartographie de la prolifération», op. cit., et Timothée Germain, «Trafics proliférants : un aperçu des méthodes employées», Observatoire de la non-prolifération, nº 83, août Voir en page 6 de la présente note. 7
8 sécurité uniquement. Une formule plus souple permettrait de coller au plus près aux efforts des entités nord-coréennes et permettrait de les contrer avec plus d efficacité. La troisième recommandation découle des constatations faites par le Groupe au sujet du programme nucléaire nord-coréen, et étend la liste des biens et matériaux faisant l objet de restrictions du fait de leur possible utilisation dans un programme proliférant. On y retrouve, entre autres, des biens industriels courants come les convertisseurs de fréquences ou les aimants circulaires, et des matériaux spécialisés tels l acier maraging. A nouveau, c est la traduction opérationnelle des constatations du Groupe : l acier maraging peut servir à fabriquer des centrifugeuses performantes, les aimants circulaires ont également une utilité dans la fabrication de centrifugeuses, et les convertisseurs de fréquences peuvent être utilisés pour alimenter des cascades de centrifugeuses. Il s agit donc ici de lutter contre une dimension du programme nucléaire nord-coréen non encore traitée par le corpus de sanctions du Conseil de sécurité. D autres recommandations du Groupe d experts concernent la mise en œuvre des mesures d interdiction édictées par les différentes résolutions pertinentes du Conseil de sécurité. Comme identifié dans le rapport, une mise en œuvre complète de ces mesures est rendue très difficile par les méthodes de camouflage employées par la Corée du Nord. Aucune mesure prise par le Conseil de sécurité n est susceptible d assurer une étanchéité complète du régime de sanctions. Le port de Dalian, par lequel transite pratiquement l intégralité de la contrebande nord-coréenne, est le deuxième hub de transbordement de conteneurs de Chine continentale, derrière Shanghai. Un contrôle renforcé ciblant ce port serait par exemple inenvisageable. Dès lors, des efforts particuliers doivent être entrepris par chaque Etat pour que les secteurs concernés (transport maritime essentiellement, mais aussi transport aérien) prennent les mesures nécessaires à un meilleur dépistage des cargaisons illicites en provenance de Corée du Nord. C est le sens de la recommandation du Groupe d experts. Les recommandations finales concernent également les restrictions aux entités et individus inscrits sur la liste des entités et individus participant aux programmes nucléaire et balistique de la Corée du Nord ainsi qu à toutes les activités illicites visées par les différentes résolutions du Conseil de sécurité pertinentes. Ces restrictions consistent en un gel des avoirs et en des interdictions de voyage. Si les deux dernières recommandations du Groupe d experts concernent spécifiquement ce sujet, c est que la mise en œuvre de ces restrictions est largement perfectible. En effet, peut-on lire dans le rapport 25, «le Groupe d experts est certain que les grandes banques appliquent en général correctement les dispositions financières des résolutions, mais il s inquiète de la capacité de celles qui sont situées dans des pays où les institutions de contrôle sont moins efficaces ou qui n ont pas les moyens de bien appliquer les sanctions à détecter et prévenir les transferts illicites impliquant la RPDC». De même que l identification des cargaisons 25 Quatrième rapport du Groupe d experts créé en application de la résolution 1874 (2009) du Conseil de sécurité, 7 juin 2013, page 56 8
9 suspectes, la détection des flux financiers relatifs à la prolifération est aussi importante que complexe. C est pourquoi le Groupe appelle les Etats à exercer une vigilance particulière en la matière, en leur demandant de lui détailler les mesures prises dans ces deux domaines. Le contenu des recommandations de ce rapport illustre la difficulté de faire appliquer pleinement les sanctions du Conseil de sécurité. La situation n est pas figée, et la Corée du Nord, animée par la volonté de poursuivre ses programmes nucléaire et balistique, déploie avec succès des contremesures qui lui permettent de contourner les dispositions prises à son encontre par la communauté internationale. On constate également que le champ des biens, matériaux et technologies faisant l objet de restrictions, de même que la liste des principaux acteurs de cette crise de prolifération, doivent constamment être mis à jour pour correspondre au plus près à la réalité. C est donc un contexte éminemment dynamique, qui rend d autant plus nécessaire le travail d enquête et de suivi que fournit chaque année le Groupe d experts sous la forme de ses rapports. 9
Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/C.1/L.320
Nations Unies A/AC.105/C.1/L.320 Assemblée générale Distr. limitée 30 octobre 2012 Français Original: anglais et russe Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Sous-Comité scientifique
Plus en détailSécurité nucléaire. Résolution adoptée le 26 septembre 2014, à la neuvième séance plénière
L atome pour la paix Conférence générale GC(58)/RES/11 Septembre 2014 Distribution limitée Français Original : anglais Cinquante-huitième session ordinaire Point 14 de l ordre du jour (GC(58)/22) Sécurité
Plus en détailL Europe en marche vers la défense antimissiles?
L Europe en marche vers la défense antimissiles? Bruno Gruselle Chargé de recherche (24 novembre 2005) L existence d une menace balistique fait l objet d un consensus entre les pays européens. Les deux
Plus en détailDivision Espace et Programmes Interarméeses. État tat-major des armées
Division Espace et Programmes Interarméeses LE MINDEF en quelques mots 295 000 personnes, militaires et civils. 7000 personnes engagées en opérations extérieures, 80% au sein d une coalition internationale
Plus en détailDéfinition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats
Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays
Plus en détailDIRECTION GENERALE DES ETRANGERS EN FRANCE DOSSIER DE PRESSE. Le projet de loi relatif au droit des étrangers
DIRECTION GENERALE DES ETRANGERS EN FRANCE DOSSIER DE PRESSE Le projet de loi relatif au droit des étrangers Juillet 2014 Les chiffres de l immigration 200.000 étrangers hors UE sont accueillis chaque
Plus en détailPOLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC.
POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC. CONTEXTE : Alcoa Inc. («Alcoa») et sa direction se sont engagés à mener toutes leurs activités dans le monde entier, avec éthique et en conformité
Plus en détailLES EMBARGOS SUR LES ARMES : MISE EN ŒUVRE, DÉFIS ET PERSPECTIVES
C O M P T E - R E N D U RAPPORT DE SYNTHÈSE DU SÉMINAIRE LES EMBARGOS SUR LES ARMES : MISE EN ŒUVRE, DÉFIS ET PERSPECTIVES JANVIER 2014 COMPTE-RENDU DU SÉMINAIRE ORGANISÉ PAR L IRIS AVEC LE SOUTIEN DE
Plus en détailCONDITIONS GENERALES Auto / Habitation assurance franchise
CONDITIONS GENERALES Auto / Habitation assurance franchise Table des matières Table des matières 2 Introduction 3 DSA Europe 3 Assureur 3 En quoi consiste cette police? 3 Limites monétaires 3 Période de
Plus en détailRapport du Directeur général
Mis en distribution générale le 7 mars 2007 (Ce document a été mis en distribution générale à la réunion du Conseil du 7 mars 2007.) Conseil des gouverneurs GOV/2007/8 22 février 2007 Français Original:
Plus en détail- 45 - RESPONSABILITÉ DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE PREMIÈRE PARTIE LE FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE DE L ÉTAT CHAPITRE PREMIER
- 45 - RESPONSABILITÉ DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE PREMIÈRE PARTIE LE FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE DE L ÉTAT CHAPITRE PREMIER Principes généraux Article premier Responsabilité de
Plus en détailPROJET D ARTICLES SUR LA RESPONSABILITE DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE
PROJET D ARTICLES SUR LA RESPONSABILITE DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE 2001 Texte adopté par la Commission à sa cinquante-troisième session, en 2001, et soumis à l Assemblée générale dans
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailNote à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle
Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général
Plus en détailPROJET D ARTICLES SUR LA RESPONSABILITE DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE
PROJET D ARTICLES SUR LA RESPONSABILITE DE L ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE 2001 Texte adopté par la Commission à sa cinquante-troisième session, en 2001, et soumis à l Assemblée générale dans
Plus en détailPrésentation de la consolidation
Chapitre I Présentation de la consolidation Établir les comptes consolidés d un groupe consiste à présenter son patrimoine, sa situation financière et les résultats de l ensemble des entités qui le constituent
Plus en détailNucléaire : l électricité ou la bombe? Les liens entre nucléaire civil et nucléaire militaire
Nucléaire : l électricité ou la bombe? Les liens entre nucléaire civil et nucléaire militaire La prolifération mondiale s aggrave, la paix dans le monde se fragilise En 2007, constat alarmant de l association
Plus en détailRéglementation. Import/Export CHAPITRE 6
CHAPITRE 6 Réglementation Import/Export Dans ce chapitre: Rubriques / pages Prescriptions du Traité/ 187 Mesures Législatives et Administratives / 191 Conformité / 194 Diffusion / 196 Programme d Assistance
Plus en détailLignes directrices relatives à la réduction des débris spatiaux du Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique
Lignes directrices relatives à la réduction des débris spatiaux du Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique A. Historique 1. Depuis que le Comité des utilisations pacifiques de
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. Accompagnant le document
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 19.12.2011 SEC(2011) 1611 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT Accompagnant le document Proposition de règlement du Parlement
Plus en détailASSISTANCE ET RENFORCEMENT DES CAPACITÉS OFFERTS DANS D AUTRES INSTANCES INTERNATIONALES. Document soumis par l Unité d appui à l application *
RÉUNION DES ÉTATS PARTIES À LA CONVENTION SUR L INTERDICTION DE LA MISE AU POINT, DE LA FABRICATION ET DU STOCKAGE DES ARMES BACTÉRIOLOGIQUES (BIOLOGIQUES) OU À TOXINES ET SUR LEUR DESTRUCTION BWC/MSP/2009/MX/INF.4
Plus en détailANNUAIRE POUR MARCHANDISES DANGEREUSES HONGRIE. Edité par: L Association Internationale des Conseillers à la Sécurité 2012.
ANNUAIRE POUR MARCHANDISES 2011 HONGRIE Edité par: L Association Internationale des Conseillers à la Sécurité 2012. CONTENU DES SUJETS INTRODUCTION I. FOND DE MESURE 1. Transport routier 2. Transport ferroviaire
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772
Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailCONDITIONS GENERALE Auto. FRa1009
CONDITIONS GENERALE Auto FRa1009 Table des matières 2 Introduction 3 DSA Europe 3 Assureur 3 En quoi consiste cette police? 3 Limites monétaires 3 Période de réflexion 3 Juridiction et législation 3 Exclusion
Plus en détailPOLITIQUE DE DANAHER CORPORATION EN MATIERE DE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION
POLITIQUE DE DANAHER CORPORATION EN MATIERE DE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION I. OBJET La corruption est interdite par le droit de presque tous les pays et territoires de la planète. Danaher Corporation («Danaher»)
Plus en détail«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère»
«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère» * Précision apportée par l auteur, publiée le 26 novembre. Voir en fin d'article Gabriel Zucman vient de publier un livre, «La Richesse cachée
Plus en détailENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET
1 ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET Introduction L Internet a révolutionné notre façon d échanger des idées, des informations et des marchandises. Tout naturellement, cette technique
Plus en détailMÉMOIRE RENOUVELLEMENT DU PERMIS D EXPLOITATION DU POUR LA COMMISSION CANADIENNE DE LA SÛRETÉ NUCLÉAIRE (CCSN) À L ÉGARD DU
MÉMOIRE POUR LA COMMISSION CANADIENNE DE LA SÛRETÉ NUCLÉAIRE (CCSN) À L ÉGARD DU RENOUVELLEMENT DU PERMIS D EXPLOITATION DU RÉACTEUR NUCLÉAIRE DE PUISSANCE DE LA CENTRALE DE GENTILLY - 2 MARS 2011 Avant
Plus en détailLes défis du reporting macro-prudentiel
Les défis du reporting macro-prudentiel EIFR 25 mars 2014 Bruno LONGET Banque de France Direction de la Balance des paiements Réf : D14-014 Introduction : pourquoi renforcer le dispositif de surveillance
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailLes Recommandations du GAFI
NORMES INTERNATIONALES SUR LA LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET LE FINANCEMENT DU TERRORISME ET DE LA PROLIFÉRATION Les Recommandations du GAFI février 2012 GROUPE D ACTION FINANCIÈRE Le Groupe
Plus en détailConseil économique et social
NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/MP.PP/2005/2/Add.4 8 juin 2005 Original: ANGLAIS, FRANÇAIS, RUSSE COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE Réunion des Parties à la Convention
Plus en détailI-Checkit est l outil dont les services chargés de l application de la loi ont besoin au 21 ème siècle pour mettre au jour et neutraliser les réseaux
INTERPOL I-Checkit Pour votre sécurité I-Checkit est l outil dont les services chargés de l application de la loi ont besoin au 21 ème siècle pour mettre au jour et neutraliser les réseaux criminels et
Plus en détailLa fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun. Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris
La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris La volonté affichée au printemps 2013 par le Président de la République d intensifier la
Plus en détailRéf. : Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire, notamment son article 40
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LYON Lyon, le 30 décembre 2011 N/Réf. : CODEP-LYO-2011-072087 Monsieur le Directeur du centre nucléaire de production d'électricité du Tricastin CNPE du Tricastin BP 40009
Plus en détailPROJET DE LOI. NOR : MAEJ1123829L/Bleue-1 ------ ÉTUDE D IMPACT
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère des affaires étrangères et européennes PROJET DE LOI autorisant l approbation de l avenant à la convention entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement
Plus en détailBureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration
Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation
Plus en détailPolitique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères
Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères Crawford & Compagnie et toutes ses filiales à travers le monde sont soumises à certaines
Plus en détailPoint d actualités du site AREVA Tricastin
Point d actualités du site AREVA Tricastin Frédéric De Agostini Directeur d AREVA Tricastin CLIGEET du 21 juin 2012 Direction Tricastin Journée sécurité des chantiers du Tricastin Plus de 1200 participants
Plus en détailTable des matières. PARTIE 1 Contexte des activités spatiales
Table des matières Biographie des auteurs... 5 PARTIE 1 Contexte des activités spatiales Le droit international de l espace... 13 SECTION 1 Règles relatives au statut de l espace extra-atmosphérique...
Plus en détailCOMPRENDRE CE QU EST L OTAN
COMPRENDRE CE QU EST L OTAN LES ORIGINES DE L ALLIANCE Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l Europe de l Est et l Europe de l Ouest se sont trouvées séparées par les divisions idéologiques et politiques
Plus en détailLes fusées Ariane. Par Jennifer MOULLET, 3 3
Les fusées Ariane Par Jennifer MOULLET, 3 3 Sommaire: I) le contexte A: recommencer après un échec B: de nombreux enjeux internationaux et un grand succès II) présentation des fusées A: Généralités B:
Plus en détailCode à l intention des partenaires commerciaux
Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect
Plus en détailN 1470 ASSEMBLÉE NATIONALE
N 1470 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 17 février 2009. RAPPORT FAIT AU NOM DE LA COMMISSION DES AFFAIRES
Plus en détailLes autorités judiciaires françaises n ont pas mis en œuvre de politique nationale de prévention dans ce domaine.
COMITE D EXPERTS SUR LE TERRORISME (CODEXTER) CYBERTERRORISME L UTILISATION DE L INTERNET A DES FINS TERRORISTES FRANCE Avril 2008 Kapitel 1 www.coe.int/gmt A. Politique Nationale 1. Existe-t-il une politique
Plus en détailPROFIL NICOMATIC KIT PRESSE - JOURNALISTES
PROFIL NICOMATIC KIT PRESSE - JOURNALISTES V3. 2014 Le groupe Nicomatic est un groupe familial français créé en 1976. Son activité d origine vient du micro-décolletage, rien d étonnant en la Haute-Savoie.
Plus en détailDocument de travail Régime de responsabilité et d indemnisation pour le transport ferroviaire
1 Document de travail Régime de responsabilité et d indemnisation pour le transport ferroviaire À la suite de la tragédie survenue à Lac-Mégantic, le gouvernement s est engagé à prendre des mesures ciblées
Plus en détailEntraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions?
Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Il est clair que la finalité principale d une démarche d investigation est de faire acquérir des connaissances aux élèves.
Plus en détailNOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM)
NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) Politiques, pratiques et données statistiques sur les mineurs isolés étrangers (MIE) dans les États membres de l UE et en Norvège 1. INTRODUCTION Cette note de synthèse
Plus en détailRèglement d INTERPOL sur le traitement des données
BUREAU DES AFFAIRES JURIDIQUES Règlement d INTERPOL sur le traitement des données [III/IRPD/GA/2011(2014)] REFERENCES 51 ème session de l Assemblée générale, résolution AGN/51/RES/1, portant adoption du
Plus en détailLOI N 2006-01 portant Code des Postes
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,
Plus en détailN 621 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013. Enregistré à la Présidence du Sénat le 4 juin 2013 RAPPORT FAIT. Par M. Robert del PICCHIA, Sénateur
N 621 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 Enregistré à la Présidence du Sénat le 4 juin 2013 RAPPORT FAIT au nom de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées (1) sur le
Plus en détailRÉÉVALUATION DE LA RÉPONSE À LA RECOMMANDATION EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ AÉRONAUTIQUE A09-02. Formation en gestion des ressources de l équipage
RÉÉVALUATION DE LA RÉPONSE À LA RECOMMANDATION EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ AÉRONAUTIQUE A09-02 Contexte Formation en gestion des ressources de l équipage Le 7 janvier 2007, le Beech A100 King Air (immatriculation
Plus en détailACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ
INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre
Plus en détailProposition de DÉCISION DU CONSEIL
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.5.2015 COM(2015) 194 final 2015/0101 (NLE) Proposition de DÉCISION DU CONSEIL relative à la conclusion, au nom de l'union européenne, du protocole pour éliminer le
Plus en détailPrinted at United Nations, Geneva GE.05-00859 September 2009 4,550 UNIDIR/2009/10 ISSN 1020-7287
Déni de responsabilité Les articles publiés dans le Forum du désarmement n engagent que leurs auteurs. Ils ne reflètent pas nécessairement les vues ou les opinions de l Organisation des Nations Unies,
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE
22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30
Plus en détailIl y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.
L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:
Plus en détailRÈGLEMENT SPÉCIFIQUE ET DIRECTIVES POUR L ÉVALUATION EN ASTROPHILATÉLIE AUX EXPOSITIONS PATRONNÉES PAR LA FFAP
FÉDÉRATION FRANÇAISE DES ASSOCIATIONS PHILATÉLIQUES RÈGLEMENT SPÉCIFIQUE ET DIRECTIVES POUR L ÉVALUATION EN ASTROPHILATÉLIE AUX EXPOSITIONS PATRONNÉES PAR LA FFAP Préambule Le présent texte est issu de
Plus en détailAgile Learning Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse
Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse Introduction Le monde du travail est plus que familier avec la notion de changement. Synonyme d innovation
Plus en détailLa position d HSBC (traduction Virginie Bordeaux, Le Monde)
La position d HSBC (traduction Virginie Bordeaux, Le Monde) Présentation générale HSBC Global Private Banking (GPB) et en particulier sa banque privée suisse, HSBC Private Bank Suisse, ont subi une transformation
Plus en détailFavoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation
Un leadership fort Favoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation Le gouvernement Harper tient sa promesse de rétablir l équilibre budgétaire en 2015. Le Plan d action
Plus en détail09-10 GEN LA COMMISSION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DES THONIDES DE L'ATLANTIQUE (ICCAT) RECOMMANDE:
09-10 GEN RECOMMANDATION DE L ICCAT AMENDANT DE NOUVEAU LA RECOMMANDATION DE L ICCAT VISANT L ETABLISSEMENT D UNE LISTE DE NAVIRES PRESUMES AVOIR EXERCE DES ACTIVITES DE PECHE ILLICITES, NON DECLAREES
Plus en détailDécision n 14-DCC-63 du 9 mai 2014 relative à la création de Pipeline Inspection Company par le groupe Onet et l Institut de Soudure Industrie
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 14-DCC-63 du 9 mai 2014 relative à la création de Pipeline Inspection Company par le groupe Onet et l Institut de Soudure Industrie L Autorité de la concurrence, Vu le dossier
Plus en détailCommission des finances
Autorité internationale des fonds marins ISBA/21/FC/5 Commission des finances Distr. limitée 4 juin 2015 Français Original : anglais Vingt et unième session Kingston (Jamaïque) 13-24 juillet 2015 État
Plus en détailALGERIE Loi de finances complémentaire pour 2009 Mesures fiscales
Août 2009 ALGERIE Loi de finances complémentaire pour 2009 Mesures fiscales Comme tous les ans le gouvernement algérien a adopté fin juillet une loi de finances complémentaires (LFC) pour 2009 (Ordonnance
Plus en détailPrésentation du Programme : Phase II
PROGRAMME D APPUI A LA MISE EN ŒUVRE DE L ACCORD D ASSOCIATION Présentation du Programme : Phase II L Accord d Association constitue le cadre juridique L Accord d Association constitue le cadre juridique
Plus en détailCes efforts ont déjà contribué significativement à l atteinte des objectifs de l OTAN depuis 2014.
Dès le début de la crise ukrainienne et compte tenu de la menace potentielle perçue par ses alliés d Europe centrale et du Nord à leurs frontières, l OTAN a pris un ensemble de mesures politiques et militaires
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailTransport, logistique, Supply Chain * sdv.com. *Chaîne logistique
Transport, logistique, Supply Chain * sdv.com *Chaîne logistique AMÉRIQUES 45 agences 8 pays 950 collaborateurs Europe 157 agences 22 pays 5 710 collaborateurs ASIE-PACIFIQUE 136 agences 24 pays 3 950
Plus en détailDirectives pour l évaluation des participations d astrophilatélie
FEDERATION INTERNATIONALE DE PHILATELIE SECTION FOR ASTROPHILATELY Directives pour l évaluation des participations d astrophilatélie Article 1 : Exposition en compétition Principe fondamental (réf. GREV
Plus en détailPoint sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger.
Olivier HOEBANX Associé BMH Avocats Point sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger. Introduction Depuis quelques années, de nombreux pays se sont engagés dans des démarches
Plus en détailComité de Bâle sur le contrôle bancaire. Saine gestion des risques de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Saine gestion des risques de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme janvier 2014 Également disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque
Plus en détail«Cofely Endel apporte la force d un groupe, leader sur le marché de la maintenance. Ses
CHIMIE Maintenance d un centre de stockage NUCLÉAIRE DÉFENSE NUCLÉAIRE PO Augmenter la disponibilité de ses équipements de stockage Avoir un interlocuteur unique sur les prestations de maintenance et capable
Plus en détailLe terrorisme et les groups de criminalité organisée présentent tous deux des menaces sérieuses pour la sécurité nationale et globale.
Strasbourg, 2 mai 2014 CODEXTER (2014) 5 COMITE D EXPERTS SUR LE TERRORISME (CODEXTER) COMITE EUROPEEN POUR LES PROBLEMES CRIMINELS (CDPC) CONFERENCE INTERNATIONALE SUR LE TERRORISME ET LE CRIME ORGANISE
Plus en détailRECOMMANDATIONS COMMISSION
L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détailDocument de consultation sur le cadre pour les négociants fiables
Document de consultation sur le cadre pour les négociants fiables Réunion du Comité consultatif sur les activités commerciales à la frontière (CCACF) Le 1 février 2011 Ottawa 1 Introduction Les programmes
Plus en détailService de presse 15 20 novembre 2014
Service de presse 15 20 novembre 2014 40 ans après la ratification de la Convention européenne des droits de l homme (CEDH) Les droits fondamentaux remis en question Isabelle Bindschedler Un soutien pour
Plus en détailPremière partie IMMUNITÉ ET JUSTICE : LES CONTRADICTIONS... 31. Titre 1 Contradiction des fondements et divergence des sources...
TABLE DES MATIÈRES Remerciements......................................................................... 7 Préface.................................................................................... 9
Plus en détail0.982.2 Accord entre la Suisse et les Etats-Unis d Amérique concernant le déblocage des avoirs suisses en Amérique
Accord entre la Suisse et les Etats-Unis d Amérique concernant le déblocage des avoirs suisses en Amérique Conclue par échange de lettres du 22 novembre 1946 Le secrétaire du département du Trésor des
Plus en détailOrientations pour la gestion documentaire des courriels au gouvernement du Québec
Orientations pour la gestion documentaire des courriels au gouvernement du Québec Janvier 2009 Dépôt légal Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2010 ISBN : 978-2-550-59635-6 Table des matières
Plus en détailMONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE
MONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE 2015 Résumé Le niveau et la dynamique de développement du transport aérien suisse sont analysés et évalués dans le cadre d un vaste monitoring
Plus en détailImprimé par le service de production des documents de l OMS, Genève, Suisse.
Catalogage à la source: Bibliothèque de l OMS: Protocole pour éliminer le commerce illicite des produits du tabac. 1.Tabac. 2.Commerce - législation et jurisprudence. 3.Industrie du tabac législation et
Plus en détailLA CONTREFAÇON NOTIONS ESSENTIELLES
LA CONTREFAÇON NOTIONS ESSENTIELLES. Définition... 2. Qu'est-ce que la contrefaçon?... 2. Un fléau mondial... 2. Ses dangers... 3. Comment la déceler?... 4. Lutter contre la contrefaçon... 4. Qui est en
Plus en détailAccord sur les termes commerciaux des contrats relatifs au projet de centrale nucléaire Hinkley Point C
Accord sur les termes commerciaux des contrats relatifs au projet de centrale nucléaire Hinkley Point C - Le Groupe EDF et le Gouvernement Britannique sont parvenus à un accord sur les principaux termes
Plus en détailL'alarme Bac Pro SEN Page 1 / 9
1 Analyse du système technique: LE SYSTEME DE GESTIONS DES INTRUSIONS 1.1 Expression du besoin: L'augmentation du nombre de cambriolages dans les habitations et les entreprises est un aspect particulièrement
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006)
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006) Circulaires de la Direction des affaires criminelles Signalisation des circulaires du 1 er avril au 30 juin 2006 Circulaire
Plus en détailSystèmes d ouverture et de fermeture de cuves de réacteurs et composants primaires
Systèmes d ouverture et de fermeture de cuves de réacteurs et composants primaires Plus rapide et en toute sécurité sur le chemin critique avec Siempelkamp heures dans le monde entier >>> www.siempelkamp-tensioning.com
Plus en détailRenouvellement à 50000MW étalé sur 20 ans (2020-2040) rythme de construction nucléaire: 2500MW/an
L uranium dans le monde 1 Demande et production d Uranium en Occident U naturel extrait / année 40.000 tonnes Consommation mondiale : 65.000 tonnes La différence est prise sur les stocks constitués dans
Plus en détailAutomatisation de la découverte, de la surveillance et de l analyse des causes premières dans le datacenter virtualisé (VDC) EMC SERVER MANAGER
EMC SERVER MANAGER Automatisation de la découverte, de la surveillance et de l analyse des causes premières dans le datacenter virtualisé (VDC) Avantages clés Corrélation et analyse des machines virtuelles
Plus en détailConscient de ces enjeux vitaux pour l entreprise, Vae Solis Corporate met tout en œuvre pour agir en conformité avec les plus hautes normes éthiques.
Charte éthique et anti-corruption 1. Préface d Arnaud Dupui-Castérès, président et fondateur de Vae Solis Corporate «L'intégrité est une condition essentielle dans la conduite des affaires et soutient
Plus en détailSLOVÉNIE. Rapport de la 4e visite d évaluation Résumé. Lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme
COMITÉ D EXPERTS SUR L EVALUATION DES MESURES DE LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT DES CAPITAUX ET LE FINANCEMENT DU TERRORISME (MONEYVAL) MONEYVAL(2010)07 SUMM Rapport de la 4e visite d évaluation Résumé Lutte
Plus en détailExpérience pratique des États Membres dans le domaine de l application des mesures de sanction à l encontre d Al-Qaida et des Taliban
Expérience pratique des États Membres dans le domaine de l application des mesures de sanction à l encontre d Al-Qaida et des Taliban Au 28 juin 2007 À l alinéa g) de l annexe II de sa résolution 1735
Plus en détailREGLEMENT DE DEONTOLOGIE SPECIFIQUE AUX SOCIETES DE GESTION D OPCVM D EPARGNE SALARIALE (FCPE ET SICAVAS)
REGLEMENT DE DEONTOLOGIE SPECIFIQUE AUX SOCIETES DE GESTION D OPCVM D EPARGNE SALARIALE (FCPE ET SICAVAS) Page 1 PREAMBULE Le présent Règlement de Déontologie spécifique aux sociétés de gestion d OPCVM
Plus en détailIndicateurs de Performance Portuaire et Logistique Flux import conteneurs
Indicateurs de Performance Portuaire et Logistique Flux import conteneurs Maîtrise d ouvrage : Contact : Valérie RAI-PUNSOLA Valerie.rai-punsola@logistique-seine-normandie.com Maîtrise d œuvre : Avec la
Plus en détail