Chapitre 9. La théorie du choix du consommateur
|
|
- Auguste Gignac
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 9 La théorie du choix du consommateur
2 Le consommateur Comment sont prises les décisions de consommation? La théorie économique propose un modèle Le consommateur a un comportement maximisateur Le consommateur maximise son bien être en choisissant ce qu il veut acheter mais il doit tenir compte de son budget
3 Les goûts et préférences du consommateur Ils peuvent être représentés par Des courbes d indifférence Une fonction d utilité Les deux représentations sont liées
4 Les courbes d indifférence Elles permettent de représenter les préférences d un consommateur qui doit comparer différents lots (ou paniers ou combinaisons) de biens. Un panier de biens est caractérisé par la nature des biens qu il contient et leur quantité. Un consommateur est toujours capable de donner sa préférence entre deux paniers de biens. Mais il peut être indifférent entre deux paniers.
5 Les courbes d indifférence Pour deux biens donnés, on peut représenter les préférences d un consommateurs sur le cadran positif. Deux points du cadran représentent deux paniers qui contiennent des deux biens mais qui diffèrent par la quantité de chacun des deux biens Le consommateur préfère un panier à l autre ou est indifférent entre les deux. On peut tracer une courbe qui relie entre eux tous les paniers équivalents pour le consommateur: c est une courbe d indifférence
6 Courbes d indifférence entre jus d orange et sandwich Jus d orange 4 2 Sandwichs 1 2
7 Le taux marginal de substitution TMS C est le taux auquel le consommateur est prêt à échanger un bien contre un autre. Il n y a pas de prix pour les biens, le consommateur troque un bien contre un autre Le taux marginal de substitution de jus d orange au sandwich c est combien de litres de jus d orange faut-il me donner pour que je cède un sandwich C est la pente de la courbe d indifférence
8 TMS entre jus d orange et sandwich Jus d orange TMS A Sandwichs 1 2
9 Quatre propriétés des courbes d indifférence Les courbes d indifférence les plus élevées sont préférées aux moins élevées On dit aussi qu elles correspondent à des niveaux d utilité plus élevés Pourquoi? Parce que l on suppose que le consommateur préfère toujours avoir plus que moins
10 Quatre propriétés des courbes d indifférence Les courbes d indifférences ont une pente négative La pente correspond au TMS Si le consommateur aime les deux biens quand on enlève une unité d un bien dans son panier il faut le compenser en ajoutant de l autre bien
11 Quatre propriétés des courbes d indifférence Les courbes d indifférence ne se croisent pas Si deux courbes se croisent, alors le consommateur est indifférent entre les points situés sur chacune des 2 courbes. Ce qui contredit le principe selon lequel le consommateur préfère toujours plus que moins.
12 Quatre propriétés des courbes d indifférence Les courbes d indifférence sont convexes Le consommateur échange plus facilement les biens qu il a en abondance que les biens qu il a en petite quantité Le taux marginal de substitution diminue donc quand la quantité du bien dont on va céder une unité augmente.
13 Deux exemples extrêmes Biens parfaitement substituables Quelles sont mes préférences entre la lessive Le Chien et la lessive Le Chien concentré? Les deux lessives ont les mêmes propriétés La seule différence est que l on met 2 fois moins de lessive concentrée. Le baril dure donc 2 fois plus longtemps. TMS de lessive concentrée à la lessive ordinaire est de ½. Toujours. TMS constant Les courbes d indifférence sont des droites
14 Biens parfaitement substituables Le Chien concentré 2 1 Le Chien ordinaire 2 4
15 Deux exemples extrêmes Biens parfaitement complémentaires Chaussures droites et chaussures gauches Les courbes d indifférence présentent un angle droit
16 Biens parfaitement substituables Chaussures gauches Chaussures droites
17 La contrainte budgétaire Le consommateur doit aussi tenir compte de son budget Cette fois-ci la notion de prix intervient Le consommateur compare son revenu et ses dépenses. Ses dépenses ne peuvent pas excéder son revenu. Si j ai 20 euros et que le prix du jus d orange est de 5 euros et le prix du sandwich de 10 euros je peux: Soit acheter 2 sandwichs Ou 4 jus d orange Ou 1 sandwich et 2 jus d orange
18 La contrainte budgétaire Dans le graphique précédent, c est donc une droite qui dépend du revenu du consommateur et des prix des biens Elle indique l ensemble des combinaisons possibles des deux biens que le consommateur peut s offrir.
19 Contrainte budgétaire Jus d orange 4 20 = 5*Qj + 10*Qs 2 Sandwichs 1 2
20 La décision du consommateur Le consommateur optimise Il tient compte de ses préférences Et respecte sa contrainte budgétaire Il veut donc une combinaison située sur une courbe d indifférence aussi élevée que possible Mais cette combinaison doit être dans son budget
21 L optimum du consommateur Le choix optimal du consommateur correspond au point de tangence entre une courbe d indifférence et la droite de budget. C est le point de la contrainte budgétaire qui appartient à la courbe d indifférence la plus élevée On appelle ce point l optimum du consommateur En ce point la pente de la droite de budget est la même que la pente de la courbe d indifférence Donc, le TMS est égal au rapport des prix.
22 L optimum du consommateur Jus d orange 4 2 Sandwichs 1 2
23 L optimum du consommateur Jus d orange 4 2 Sandwichs 1 2
24 L optimum du consommateur Jus d orange 4 Optimum 2 Sandwichs 1 2
25 Choix du consommateur et variations de la contrainte budgétaire Nous avons vu quel est le choix du consommateur pour un revenu et des prix donnés. Que se passe-t-il si le revenu ou les prix changent? Comment varie l optimum du consommateur?
26 Choix du consommateur et variation du revenu Si mon budget double et passe à 40 euros La droite de budget est modifiée Elle se déplace parallèlement, vers le haut. Le nouvel optimum va se situer sur une courbe d indifférence plus élevée Si, en ce nouvel optimum, je consomme davantage des deux biens on dira que ces deux biens sont normaux. La plupart des biens sont normaux
27 Jus d orange Augmentation du revenu et biens normaux 40 = 5*Qj + 10*Qs 4 Nouvel optimum 2 20 = 5*Qj + 10*Qs Sandwichs 1 2
28 Augmentation du revenu et biens inférieurs Il arrive que la consommation d un bien diminue quand le revenu du consommateur augmente On dit dans ce cas que le bien est inférieur Par exemple, le transport en autobus est un bien (service) inférieur. Si j avais plus d argent je cesserais de prendre le bus et j achèterais une voiture
29 Augmentation du revenu et biens inférieurs Restaurant Nouvel optimum 40 = 5*Qj + 10*Qs 20 = 5*Qj + 10*Qs Transport en bus
30 Choix du consommateur et variations de prix Equation de la droite de budget: Qj = R/Pj Ps/Pj * Qs Quel est l effet d une variation du prix du jus d orange? La variation de prix modifie la droite de budget. Elle modifie la pente de la droite de budget qui est égale au rapport des prix Elle modifie l ordonnée à l origine qui représente le pouvoir d achat
31 Variation de prix On décompose l impact sur le nouvel optimum en deux effets: L effet de substitution: Si le prix du jus d orange a diminué, il se peut que je préfère acheter plus de jus d orange et moins de sandwichs, qui sont relativement plus chers (augmentation du prix relatif du sandwich). L effet de revenu: Si le prix du jus d orange a diminué, mon pouvoir d achat a augmenté. Je peux donc en acheter plus
32 Variation de prix Jus d orange Nouvel optimum 20 = 4*Qj + 10*Qs 20 = 5*Qj + 10*Qs Sandwichs
33 Variation de prix Jus d orange 20 = 5*Qj + 10*Qs Sandwichs
34 Variation de prix Jus d orange 20 = 5*Qj + 10*Qs Sandwichs
35 Variation de prix Jus d orange Nouvel optimum 20 = 4*Qj + 10*Qs 20 = 5*Qj + 10*Qs Sandwichs
36 Du choix du consommateur à la courbe de demande La première interprétation de la courbe de demande reposait sur les consentements à payer de consommateurs différents. On peut ainsi construire une courbe de demande même s il n y a qu un seul consommateur et donc une seule famille de courbes d indifférence. Le consommateur représentatif. Les courbes d indifférence donnent un fondement théorique de la courbe de demande.
37 Variation de prix et courbe de Jus d orange 20 = 4*Qj + 10*Qs demande Prix du jus d orange 3,5 B 5 A 2,5 A 4 B 20 = 5*Qj + 10*Qs Sandwichs 2,5 3,5 Qj
38 Application 1: l offre de travail Comment un individu répartit-il son temps entre temps de loisir et temps de travail? Au temps de travail on associe une rémunération à laquelle l individu associe une consommation. On peut donc construire des courbes d indifférence pour cet individus entre consommation et heure de loisir. La contrainte budgétaire dépend alors du salaire horaire s et du temps de loisir TL : R = s*(200 TL)
39 Décision travail-loisir Consommation en euro R = 10*(200 TL) Temps de loisir en h
40 Augmentation du salaire Quand l effet de revenu l emporte Consommation en euro R = 10*(200 TL) R = 15*(200 TL) Temps de loisir en h
41 Offre de travail I (inversée) Quand l effet de revenu l emporte Salaire horaire Heures travaillées
42 Augmentation du salaire Quand l effet de substitution l emporte Consommation en euro R = 15*(200 TL) R = 10*(200 TL) Temps de loisir en h
43 Offre de travail II Quand l effet de substitution l emporte Salaire horaire Heures travaillées
44 Application 2 : La décision d épargne Quelle est la part du revenu qui va être consommée immédiatement? Quelle est la part qui va être épargnée pour une consommation future? Simplifions la décision: l individu doit décider de ce qu il consomme pendant sa période active. Il ne gagne de l argent que pendant sa vie active: soit euros A sa retraite il pourra consommer ce qu il aura épargné plus les intérêts.
45 Consommation de jeunesse (Cj) Consommation de vieillesse (Cv) Le taux d intérêt (10%) représente le prix relatif de ces deux biens La contrainte budgétaire s écrit: = Cj + 1/(1 + 10%)Cv
46 Décision consommation-épargne Consommation De vieillesse Consommation de jeunesse
47 Quand l effet de revenu l emporte l augmentation du taux d intérêt réduit l épargne Consommation De vieillesse % 20% Consommation de jeunesse
48 Quand l effet de substitution l emporte l augmentation du taux d intérêt entraîne une augmentation de l épargne Consommation De vieillesse % 10% Consommation de jeunesse
La demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal
La demande Du consommateur Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal Plan du cours Préambule : Rationalité du consommateur I II III IV V La contrainte budgétaire Les préférences Le choix optimal
Plus en détailCONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER. Epargne et emprunt Calcul actuariel
CONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER Epargne et emprunt Calcul actuariel Plan du cours Préambule : la contrainte budgétaire intertemporelle et le calcul actuariel I II III Demandes d épargne
Plus en détailCHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal
III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand
Plus en détailFONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX
FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailMéthode : On raisonnera tjs graphiquement avec 2 biens.
Chapiittrre 1 : L uttiilliitté ((lles ménages)) Définitions > Utilité : Mesure le plaisir / la satisfaction d un individu compte tenu de ses goûts. (On s intéresse uniquement à un consommateur rationnel
Plus en détailEXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE
EXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE OLIVIER COLLIER Exercice 1 (2012) Une entreprise veut faire un prêt de S euros auprès d une banque au taux annuel composé r. Le remboursement sera effectué en n années par
Plus en détailJOHANNA ETNER, MEGLENA JELEVA
OPENBOOK LICENCE / BACHELOR Micro économie JOHANNA ETNER, MEGLENA JELEVA Sommaire Remerciements... Introduction... V VII Chapitre 1 Demande et offre sur le marché... 1 Chapitre 2 Technologie de production...
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailLes coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7
Les coûts de la production Microéconomie, chapitre 7 1 Sujets à aborder Quels coûts faut-il considérer? Coûts à court terme Coûts à long terme Courbes de coûts de court et de long terme Rendements d échelle
Plus en détailTHÈME 1. Ménages et consommation
THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail
Plus en détailCours Marché du travail et politiques d emploi
Cours Marché du travail et politiques d emploi L offre de travail Pierre Cahuc/Sébastien Roux ENSAE-Cours MTPE Pierre Cahuc/Sébastien Roux (ENSAE) L offre de travail 1 / 48 Introduction Introduction Examen
Plus en détailOmar veut décider comment utiliser l octroi de 5000 $ qu il vient de recevoir. But ultime
La prise de décision Il existe de nombreuses techniques efficaces de prise de décision. Sans le savoir, vous utilisez ces techniques tous les jours. La technique que vous utilisez dépendra probablement
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailLe dilemme de la rémunération : Toucher un salaire ou des dividendes?
décembre 2013 Le dilemme de la rémunération : Toucher un salaire ou des dividendes? Jamie Golombek Avec l arrivée prochaine de la fin d exercice de plusieurs entreprises, les propriétairesdirigeants devront
Plus en détailVotre guide 2015 Régime enregistré d épargne-retraite (REER)
Votre guide 2015 Régime enregistré d épargne-retraite (REER) en termes simples Présenté par ept notions simples pour mieux comprendre le REER : 1 2 3 4 5 6 7 Qu est-ce qu un REER? Combien pouvez-vous verser
Plus en détailComment le CET est-il mis en place dans l entreprise? Quel est le contenu de l accord d entreprise instituant un CET?
À noter! Ce dispositif a été réformé par la loi du 20 août portant réforme du temps de travail (loi n 2008-789 du 20 août 2008, JO 21/08/2008). Toutefois, les accords antérieurs à la loi continuent à s
Plus en détailCHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ
CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets
Plus en détailChapitre 1 : La consommation et l épargne
Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailRAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT
RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailL'ELASTICITE-PRIX I- QUAND LES PRIX VARIENT...
L'ELASTICITE-PRIX La consommation dépend, entre autre, du prix des biens et des services que l'on désire acheter. L'objectif de ce TD est de vous montrer les liens existants entre le niveau et l'évolution
Plus en détailLIVRET D ÉPARGNE SALARIALE
LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale 2 - Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale Sommaire Les dispositifs de participation
Plus en détailSéminaire Association des médecins-dentiste de Genève Système suisse de prévoyance Fisca finance SA
Fisca Finance SA Séminaire Association des médecins-dentiste de Genève Système suisse de prévoyance Fisca finance SA Patrick Féral et Benoit Steiner 8 novembre 2011 page 1 LA PREVOYANCE EN SUISSE page
Plus en détailUn changement important s appliquera à votre rente à vos 65 ans
À quel moment la coordination au RRQ prend-elle effet? À votre retraite, la coordination au RRQ prendra effet le mois suivant l atteinte de vos 65 ans, âge auquel la rente du RRQ devient payable sans réduction.
Plus en détailChapitre 4 - La valeur de l argent dans le temps et l'actualisation des cash-flows
Chapitre 4 - La valeur de l argent dans le temps et l'actualisation des cash-flows Plan Actualisation et capitalisation Calculs sur le taux d intérêt et la période Modalités de calcul des taux d intérêts
Plus en détailApllication au calcul financier
Apllication au calcul financier Hervé Hocquard Université de Bordeaux, France 1 er novembre 2011 Intérêts Généralités L intérêt est la rémunération du placement d argent. Il dépend : du taux d intérêts
Plus en détailAffiliation Cash Livre PDF Gratuit Cliquez Ici Pour Télécharger Merci!
Enfin, Voici l'information que VOUS attendiez depuis longtemps. Vous allez découvrir une méthode inédite et des secrets que la plupart des affiliés ne connaitront jamais... Par: Mustapha GASSEM Le Dans
Plus en détailCHAPITRE 5. Stratégies Mixtes
CHAPITRE 5 Stratégies Mixtes Un des problèmes inhérents au concept d équilibre de Nash en stratégies pures est que pour certains jeux, de tels équilibres n existent pas. P.ex.le jeu de Pierre, Papier,
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailLa fiscalité de l épargne salariale Entreprise
Epargne Entreprise DOSSIER SPÉCIAL Juridique et Fiscalité La fiscalité de l épargne salariale Entreprise Le cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l entreprise Les versements de l entreprise
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailDossier retraite. Profil 1B. Année de naissance. Profil 1A
Dossier retraite Mise à jour : 10/03/2014 Vos ressources De quelles ressources disposerez-vous lors de votre départ en retraite? Elles sont de 5 natures : - La retraite sécurité sociale dite retraite de
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailAvis légal. I 2 FISCALLIANCE 2011 L Incorporation des Courtiers Immobiliers du Québec
Avis légal L incorporation des courtiers est un sujet très complexe, lequel ne saurait évidemment être traité en profondeur dans le présent document. Ce fascicule vise à sensibiliser les courtiers quant
Plus en détailLe compte épargne temps
Le compte épargne temps La loi n 2008 789 du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail procède à une profonde clarification des modalités de mise en place
Plus en détailTenir un budget Acétates
Troisième leçon Tenir un budget Acétates Le processus budgétaire Première étape : Évaluer sa situation personnelle et financière (besoins, valeurs, situation de vie). Deuxième étape : Se fixer des objectifs
Plus en détailL essentiel sur. Tenir ses comptes et faire son budget
L essentiel sur Tenir ses comptes et faire son budget Les enjeux Suivre ses comptes Tenir ses comptes et faire son budget, c est avoir une meilleure vision de ses ressources et de ses dépenses. Vous savez
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailun environnement économique et politique
Vision d un économiste sur le risque agricole et sa gestion un sol un climat un environnement économique et politique Jean Cordier Professeur Agrocampus Ouest Séminaire GIS GC HP2E Prise en compte du risque
Plus en détailESSEC Cours Wealth management
ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique
Plus en détailMinimiser vos impôts sur votre rémunération d entrepreneur : pouvez vous faire mieux?
1 Minimiser vos impôts sur votre rémunération d entrepreneur : pouvez vous faire mieux? Présenté par France Gagnon, CPA, CA, M.FISC. Le 26 novembre 2014 Agenda Introduction Qu en est il du REÉR? Taux d
Plus en détailPersonnalisons la comparaison des avantages des honoraires fixes et du tarif horaire II
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Personnalisons la comparaison des avantages des honoraires fixes et du tarif horaire II Michel Desrosiers Le D r Michel Desrosiers, omnipraticien et avocat,
Plus en détailSection 1. Modalités d ouverture et d alimentation du compte épargnetemps
section temps de travail LES CONGES ET TITRE I : LES TITULAIRES DEUXIEME PARTIE : LES CONGES ET CHAPITRE 2 : LE COMPTE EPARGNE-TEMPS (CET) Dernière mise à jour : Avril 2012 TEXTES APPLICABLES - Décret
Plus en détailASSURANCES MÉDICAMENTS COMPARAISON DES OPTIONS À PARTIR DE 65 ANS MISE À JOUR ANNÉE 2011
ASSURANCES MÉDICAMENTS COMPARAISON DES OPTIONS À PARTIR DE 65 ANS MISE À JOUR ANNÉE 2011 APRHQ Comité Croix Bleue Mise à jour 2011/07/15 But du sous-comité Croix Bleue 2 Donner des outils aux membres retraités
Plus en détailNotion de fonction. Résolution graphique. Fonction affine.
TABLE DES MATIÈRES 1 Notion de fonction. Résolution graphique. Fonction affine. Paul Milan LMA Seconde le 12 décembre 2011 Table des matières 1 Fonction numérique 2 1.1 Introduction.................................
Plus en détailGuide du Compte d épargne libre d impôt
PLACEMENTS Compte d épargne libre d impôt Guide du Compte d épargne libre d impôt L épargne est un élément important de tout plan financier. L atteinte de vos objectifs en dépend, qu il s agisse d objectifs
Plus en détailAssurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques
Assurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques Carine Franc CREGAS INSERM - U 537 Une définition de «l opting out» «to opt out» : choisir de ne pas participer ; [hopital, school] choisir
Plus en détailSUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION
DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs
Plus en détailProgrammation linéaire
Programmation linéaire DIDIER MAQUIN Ecole Nationale Supérieure d Electricité et de Mécanique Institut National Polytechnique de Lorraine Mathématiques discrètes cours de 2ème année Programmation linéaire
Plus en détailCOURS 2 : LA DEMANDE DU CONSOMMATEUR
Université Pierre et Marie Curie Licence Informatique 2014-2015 Cours LI 352 - Industrie Informatique et son Environnement Économique Responsable : Jean-Daniel Kant (Jean-Daniel.Kant@lip6.fr) COURS 2 :
Plus en détailModalités de versement des allocations de mobilité de formation (STT) dans le cadre du programme européen LLP-ERASMUS 2013-2014
Modalités de versement des allocations de mobilité de formation (STT) dans le cadre du programme européen LLP-ERASMUS 2013-2014 I. Règles générales d utilisation des fonds Erasmus (Extraits de l annexe
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailConcurrence imparfaite
Concurrence imparfaite 1. Le monopole 2. Concurrence monopolistique 3. Hotelling et Salop 4. Concurrence à la Cournot 5. Concurrence à la Bertrand 6. Concurrence à la Stackelberg Monopole Un monopole,
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailCOORDINATION NON COOPÉRATIVE: MÉTHODES D ENCHÈRES
COORDINATION NON COOPÉRATIVE: MÉTHODES D ENCHÈRES Cours 6c Principe Protocole centralisé, un commissaire-priseur/vendeur (auctioneer) et plusieurs enchérisseurs/acheteurs (bidders) Le commissaire-priseur
Plus en détailFKF34005 (10-13) Investir en harmonie avec votre style de vie. 69061_Broch_FED_FKF34005.indd 2
FKF34005 (10-13) Investir en harmonie avec votre style de vie 69061_Broch_FED_FKF34005.indd 2 13-09-27 17:26 LES PORTEFEUILLES DIAPASON Plus qu une solution pour vos placements Vous avez des obligations
Plus en détailLES DIFFERENTS TYPES DE MESURE
LES DIFFERENTS TYPES DE MESURE Licence - Statistiques 2004/2005 REALITE ET DONNEES CHIFFREES Recherche = - mesure. - traduction d une réalité en chiffre - abouti à des tableaux, des calculs 1) Qu est-ce
Plus en détailELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications
Plus en détailParce que la retraite ça se prépare!
RREGOP RREGOP Parce que la retraite ça se prépare! Parce que la retraite, ça se prépare! Octobre 2012 Session de formation RREGOP Sécurité sociale, CSQ-Québec Janvier 2013 Mise en garde Lorsque l on pense
Plus en détailInégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité
Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé
Plus en détailSatisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013
Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013 Cahier méthodologique, tableau récapitulatif 2009-2013 et Matrices importance/performance Mars 2014 Service Études et Statistiques Table
Plus en détailRÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LE CELI TABLE DES MATIÈRES. Ouvrir un CELI
mai 2015 TABLE DES MATIÈRES Ouvrir un CELI Cotiser à un CELI Investir dans un CELI et le gérer Règles régissant le décès, la séparation et l émigration Considérations en matière d emprunts Résumé RÉPONSES
Plus en détailLe compte épargne-temps (CET)
Le compte épargne-temps (CET) Comment mettre en place le compte épargne-temps? Le compte épargne temps est mis en place par convention ou accord collectif de branche, de groupe, d'entreprise ou d'établissement
Plus en détailProgramme «financement» - Partie I Données de cadrage
Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurances sociales des administrations de sécurité sociale
Plus en détailLE COMPTE EPARGNE TEMPS GUIDE DU CET
GUIDE DU CET 1 Un principe - Une condition C est une démarche volontaire du salarié Pour ouvrir son CET, celui-ci doit verser du temps ou de l argent Tous les salariés (CDI, CDD, Apprentis, Contrats de
Plus en détailBilan Protection Sociale & Rémunération. Etude réalisée pour Monsieur DUPONT. Le 25/04/2008
Bilan Protection Sociale & Rémunération Etude réalisée pour Monsieur DUPONT Le 25/04/2008 Contact : Madame MARTIN Casagande & Associés, Membre de PRAGMA 1 LES OBJECTIFS DE L ETUDE Votre système de rémunération
Plus en détailANALYSE GÉNÉRALE - PROPOSITION DE CORRIGÉ. Exercice 1
ANALYSE GÉNÉRALE - PROPOSITION DE CORRIGÉ OLIVIER COLLIER Exercice 1 Le calcul de la banque. 1 Au bout de deux ans, la banque aurait pu, en prêtant la somme S 1 au taux d intérêt r pendant un an, obtenir
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailMarchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène
Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène Partons de quelques observations : 1. La plupart des industries produisent un grand nombre de produits similaires mais non identiques; 2. Parmi
Plus en détail4795-00F-MAR15. Brochure de produit
4795-00F-MAR15 Brochure de produit ParPlus et ParPlus Junior Assomption Vie, une des rares compagnies mutuelles d assurance vie au Canada, est fière d offrir ses plus récents produits d assurance vie entière
Plus en détailRÈGLEMENT DU COMPTE EPARGNE-TEMPS
VILLE DE ROYAN RÈGLEMENT DU COMPTE EPARGNE-TEMPS Article 1 er : Présentation Il est institué à la Ville de ROYAN (Ville, Centre Communal d Action Sociale) un Compte Epargne-Temps conformément aux décrets
Plus en détailSolutions d assurance-vie pour les. propriétaires d entreprise
Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Quel type d assurance-vie convient le mieux aux propriétaires d entreprise? Tout
Plus en détailvos objectifs Investir pour atteindre
Investir pour atteindre vos objectifs Que ce soit pour prendre une retraite confortable, effectuer un achat important, financer les études de votre enfant ou épargner en vue de laisser un legs, investir
Plus en détailDérivés Financiers Contrats à terme
Dérivés Financiers Contrats à terme Mécanique des marchés à terme 1) Supposons que vous prenez une position courte sur un contrat à terme, pour vendre de l argent en juillet à 10,20 par once, sur le New
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailGuide d utilisation des fichiers bonus accompagnant le guide «L Argent est une science exacte»
Guide d utilisation des fichiers bonus accompagnant le guide «L Argent est une science exacte» - Fichier «Gestion main de fer» Cet outil, à utiliser chaque semaine, permet de réaliser une synthèse de l
Plus en détail6.01 Prestations des APG et de l allocation de maternité Allocations pour perte de gain
6.01 Prestations des APG et de l allocation de maternité s pour perte de gain Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref Toute personne qui sert dans l armée suisse, la protection civile, la Croix- Rouge, le
Plus en détailService public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick
Droits et responsabilités Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick Le Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau- Brunswick (SPEIJ-NB) est un organisme
Plus en détailAide-mémoire Retraite et prestations de vieillesse. Pour votre sécurité sociale
Aide-mémoire Retraite et prestations de vieillesse Pour votre sécurité sociale Retraite ordinaire Dans son règlement, la SVE fixe, d une manière générale, l âge de la retraite à 65 ans. L obligation d
Plus en détailUn seul compte pour votre retraite. M a n u v i e u n
Un seul compte pour votre retraite M a n u v i e u n Avant de prendre leur retraite, la plupart des Canadiens prennent les mesures qui s imposent pour se garantir un revenu mensuel stable. Ils peuvent
Plus en détailComplément d information concernant la fiche de concordance
Sommaire SAMEDI 0 DÉCEMBRE 20 Vous trouverez dans ce dossier les documents correspondants à ce que nous allons travailler aujourd hui : La fiche de concordance pour le DAEU ; Page 2 Un rappel de cours
Plus en détailRetraite Objectif prévoyance. Édition 2015
Retraite Objectif prévoyance Édition 2015 2 Retraite Objectif prévoyance Les trois piliers du système de prévoyance suisse...3 1 er pilier: la prévoyance étatique...3 2 e pilier: la prévoyance professionnelle...4
Plus en détailReThink:Tax. Mobiliser l épargne pour l investissement productif. ReThink:Tax
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle Bruxelles, 18 juin 2014 2 Une cellule de réflexion composée d experts
Plus en détailGuide de planification du revenu de retraite
Guide de planification du revenu de retraite Guide de planification du revenu de retraite 3 Votre plan de revenu de retraite Comment assurer la stabilité du revenu à la retraite Chaque personne vit la
Plus en détailCollecter des informations statistiques
Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle
Plus en détailEconomie de l incertain et de l information Partie 1 : Décision en incertain probabilisé Chapitre 1 : Introduction à l incertitude et théorie de
Economie de l incertain et de l information Partie 1 : Décision en incertain probabilisé Chapitre 1 : Introduction à l incertitude et théorie de l espérance d utilité Olivier Bos olivier.bos@u-paris2.fr
Plus en détailGUIDES FINANCIERS PRATIQUES ABC DES CARTES DE CRÉDIT. Ce que vous devez savoir sur l utilisation de votre carte de crédit
GUIDES FINANCIERS PRATIQUES ABC DES CARTES DE CRÉDIT Ce que vous devez savoir sur l utilisation de votre carte de crédit SOYEZ RESPONSABLE Les cartes de crédit sont de puissants outils financiers pour
Plus en détailLa fiscalité de l épargne salariale Entreprise
Epargne Entreprise Dossier spécial Juridique et Fiscalité La fiscalité de l épargne salariale Entreprise Février 2014 Le cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l entreprise Les versements de
Plus en détailAGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.
Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire
Plus en détailREER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix?
REER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix? Jamie Golombek L épargne est une pratique importante. Elle nous permet de mettre de côté une partie de nos revenus actuels afin d en profiter
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détailAnalyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts
Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement
Plus en détailCHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS
CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,
Plus en détailAvant-propos. Chère lectrice, cher lecteur,
Avant-propos Chère lectrice, cher lecteur, En ces temps économiquement difficiles, il est important de savoir ce que je peux exiger comme salaire en tant qu entraîneur ou entraîneuse. En particulier, en
Plus en détailLa Mesure du Temps. et Temps Solaire Moyen H m.
La Mesure du Temps Unité de temps du Système International. C est la seconde, de symbole s. Sa définition actuelle a été établie en 1967 par la 13 ème Conférence des Poids et Mesures : la seconde est la
Plus en détailque dois-tu savoir sur le diabète?
INVENTIV HEALTH COMMUNICATIONS - TERRE NEUVE - FRHMG00277 - Avril 2013 - Lilly - Tous droits de reproduction réservés. que dois-tu savoir sur le diabète? Lilly France 24 boulevard Vital Bouhot CS 50004-92521
Plus en détail