Introduction. ISBN Presses universitaires de Rennes, 2012,

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1 Introduction Dominique Frère L illustration de couverture de cet ouvrage présente l ensemble conservé du mobilier de la tombe gallo-romaine de Saint-Médard-des-Prés (Vendée) qui a fait couler beaucoup d encre par sa richesse mais aussi par le fait qu elle fut attribuée d abord à une femme artiste puis à une femme oculiste 1 et enfin à une parfumeuse 2. C est le nombre et la variété des objets retrouvés dans la tombe qui inspirèrent ces différentes attributions, et parmi ceux-ci, une grande quantité de ces beaux vases effilés en verre que les archéologues appellent des balsamaires mais qui peuvent aussi être qualifiés d unguentaria ou d ampullae. Les flacons en verre soufflé apparaissent au I er s. av. J.-C. et connaissent un formidable succès dans le monde romain ; succès qui survivra même à l Empire, ces vases étant attestés jusqu au début du Moyen Âge. Toutefois, si ce sont les Romains qui ont permis la diffusion, à une très large échelle géographique, de ce type très particulier d objet lié à des pratiques culturelles d origine méditerranéenne, ils n en sont pas les inventeurs. Les balsamaires en verre soufflé sont les héritiers d une tradition qui remonte en fait au VIII e et VII e s. av. J.-C. en Méditerranée occidentale, reprenant le principe économique de la production en nombre de petits contenants auparavant fabriqués en céramique, en faïence et en verre moulé sur noyau d argile. Le terme de «contenant» est bien plus neutre que celui d unguentarium (qui fait référence à un onguent) ou de balsamaire (qui implique la présence d un baume) mais il a le défaut de nous laisser dans l inconnu, dans l ignorance du «contenu» qui était à l origine du succès de tous ces petits vases durant plus de ans. En l absence d étiquettes en matériaux périssables qui existaient peut-être, «placées de manière à sceller l ouverture 15 du conteneur» 3, il est impossible pour les archéologues de parler des contenus. Ils peuvent supposer, en fonction de la qualité du décor, de la valeur de la matière ou de l originalité de la forme, que tel type de flacon était destiné «à des produits (parfums, baumes ou onguents) d usage quotidien» 4 et tel autre à «un produit précieux : onguent, parfum ou produit pharmaceutique ou médicinal» 5. Nous disposons dans certains cas d inscriptions qui donnent le nom du produit contenu ou celui de son principal composant, mais celles-ci, éminemment rares, ne désignent que les parfums les plus précieux 6. Dans d autres cas, des marques imprimées dans le verre peuvent nous donner des informations sur les ateliers de production ou sur les taxes impériales imposées sur certains produits luxueux 7, mais ne fournissent que très peu d éléments de connaissance sur la nature des contenus 8. Pour la fin de la République romaine et l Empire, nous disposons de sources littéraires plus nombreuses et plus diversifiées que pour les époques précédentes, avec, par exemple, la somme des informations que fournit une œuvre comme l Histoire naturelle de Pline l Ancien. Mais faire le lien entre données littéraires, archéologiques et épigraphiques n est pas chose facile. Prenons l exemple du parfum à la rose et de sa production en Campanie antique. Pline nous en donne la recette : omphacium (huile d olive verte), fleur de rose, fleur de safran, cinabre, jonc odorant, miel, fleur de sel ou anchuse, vin (Pline, Histoire naturelle, XIII, 5), et, s il nous dit que les roses poussent partout, les plus parfumées (Pline, Histoire naturelle, XVIII, 29) et les plus abondantes (Pline, Histoire naturelle, XIII, 6) s avèrent être celles de Campanie. Naples et Capoue y ont en particulier développé de prospères productions de parfumerie

2 D o m i n i q u e F r è r e (Pline, Histoire naturelle, XIII, 2), tandis que, plus au sud, les célèbres roseraies de Paestum fleurissaient deux fois l an selon Virgile (Géorgiques, IV, 119). Les parfums campaniens étaient tellement réputés que le nom d une place de Capoue, Seplasia, riche d un grand nombre de boutiques d unguentarii, donna leur nom aux parfumeurs : seplasiarii (Varron, Satires Ménipées, 103, 6). Mais la Campanie si féconde et prospère souffre d une très mauvaise réputation, celle de luxe et de mollesse. Jacques Heurgon fait le lien entre l activité de parfumerie et le luxe campanien : «Au printemps, entre deux moissons, les guérets à peine reposés donnaient une variété de roses sauvages plus odorante que les roses cultivées. Celles de Capoue étaient avec les roses de Préneste les plus réputées d Italie, en particulier pour le nombre de leurs pétales : c était l espèce dite centifolia. Très estimé, en outre, était le mélilot de Campanie, dont l odeur ressemblait à celle du safran. On l appelait communément sertula Campana, ce qui prouve qu on en faisait des couronnes : serta Campanica. Et ce sont là déjà quelques déjà quelques éléments du fameux luxe campanien, et particulièrement de cette industrie des parfums, qui devait rendre l un des quartiers de Capoue, la Seplasia, célèbre dans tout le monde antique 9.» Deux grandes figures historiques, liées à l histoire de la Campanie, illustrent la mauvaise réputation des parfums et de Capoue. Scipion l Africain s était installé à Literne, au nord de Cumes, et y menait une vie frugale dont l austérité était représentée par la simplicité de ses bains, une étuve étroite et mal éclairée dans laquelle il «venait laver sa sueur et non ses parfums» (Sénèque, Lettres à Lucilius, Livre XI, 86, 11). Scipion sut résister aux voluptés offertes par la Campanie, à la différence de son ennemi, Hannibal, qui, en 215, laissa ses troupes succomber aux «délices de Capoue» (Tite-Live, Histoire romaine, Livre XXIII, 23, 4). Le parfum fait évidemment partie de ces délices qui, selon les moralistes romains, amollissent les mœurs et corrompent les corps masculins qui n ont pas besoin d odeurs artificielles mais doivent sentir «la guerre, le travail, l homme enfin!» (Sénèque, Lettres à Lucilius, Livre XI, 86, 12). Les très nombreuses petites fioles en verre découvertes dans les cités et les villas enfouies du Vésuve sembleraient attester que, dans le dernier tiers du I er s. apr. J.-C., le modèle de Scipion n avait pas été suivi et que l usage du parfum s était répandu dans différentes classes de la société romaine de Campanie. Cette situation contraste avec celle de régions récemment intégrées à l Empire où le parfum ne serait l apanage que d une élite féminine romanisée, comme l indiquerait la tombe gallo-romaine de 16 Saint-Médard en Vendée. Mais sommes-nous vraiment assurés que ces flacons ne pouvaient contenir que du parfum, qu il soit luxueux ou non, et que leur usage était uniquement lié à l otium et à la voluptas? Les sources littéraires ne nous parlent pas seulement des unguentarii et des seplasiarii, mais aussi des medici et des pharmacopola et Pline l Ancien accorde une place plus importante encore aux medicamenta qu aux aromata, sachant de plus que «les parfums peuvent avoir une valeur cosmétique aussi bien que thérapeutique car leurs principes actifs exercent une double fonction, embellir le corps tout en le soignant» 10. Le suc extrait des pétales de roses est par exemple reconnu pour ses propriétés astringentes et rafraichissantes (Pline, Histoire naturelle, XXI, 73). Une huile parfumée à la rose pouvait donc avoir une dimension pharmaceutique aussi bien que cosmétique, la frontière entre remède et parfum étant si ténue que le terme unguentarii, réservé à l origine aux parfumeurs, s est élargi aux fabricants de médicaments. Les produits pharmaceutiques les plus réputés étaient conditionnés dans de petits contenants en céramique et en métal 11 avec une inscription mentionnant le nom générique du médicament, et/ou celui de son fabricant, tel, exemple parmi tant d autres, ce pot à lykion avec le nom de Demeas 12. Mais seuls les produits des médecins les plus renommés pouvaient faire l objet d une telle publicité tandis que la très grande majorité des remèdes était fabriquée dans l échoppe d un de ces obscurs pharmacopoles que l on qualifiait avec dédain de «rassembleurs de foules», sachant que nombre d entre eux étaient en fait des marchands ambulants se déplaçant de ville en ville et haranguant le chaland pour lui vendre des produits soi-disant miraculeux qui pouvaient de plus être frelatés 13. Notons enfin le lien entre magie et médecine qui est si étroit que «Pline dans son histoire naturelle mêle constamment les vertus médicales et les vertus magiques des plantes» 14. Parfum, philtre magique, onguent apotropaïque, baume thérapeutique, pommade curative, poudre cosmétique sont autant de produits fabriqués par des artisans qui étaient à la fois herboristes, droguistes, fabricants d onguents, débitants de poudres, apothicaires et parfumeurs. Ces modestes «coupeurs de racines», «marchands de drogues», «bouilleurs d onguents» pouvaient être commanditaires de petits contenants en verre pour conditionner leurs produits, tout comme les professionnels plus spécialisés comme les unguentarii, les seplasiarii, les medici et les pharmacopola. Il est donc bien difficile dans ce contexte de régler le problème des contenus des unguentaria en

3 I n t r o d u c t i o n verre qui ne peuvent pas être considérés de manière trop générale comme de simples vases à parfum. Ces contenus sont faits de produits très variés, le plus souvent anonymes (en l absence de marques) et s il est possible d élaborer des scénarios interprétatifs de production, de marché et d usage les mettant en scène, ceux-ci restent à l état d hypothèses. La problématique du contenant et de son contenu est amplement connue en archéologie mais se heurte toujours à l écueil de la disparition du second, qu il s agisse de grands conteneurs comme les amphores ou des petits conteneurs qui nous intéressent plus spécifiquement dans le cadre de cet ouvrage. Michel Gras, dans une synthèse récente 15, fait le lien entre un commerce de l huile vierge corinthienne conditionnée dans les amphores et un commerce de l huile parfumée corinthienne conservée dans ces petits conteneurs que sont les aryballes et alabastres, ancêtres des unguentaria en verre romains et il ajoute que ces «deux exportations ne sauraient être étudiées l une sans l autre, et la problématique actuelle sur les parfums antiques gagnerait à ne pas oublier cette première grande phase du VII e s. av. J.-C. qui est peut-être à la source des expériences successives» 16. Comme nous l avons vu, c est le début de l époque archaïque (VIII e -VII e s. av. J.-C.), qui marque l émergence de nouvelles pratiques économiques et culturelles avec la production massive et la diffusion à large échelle, non seulement des amphores de transport mais aussi des petits conteneurs à substances grasses médicinales et parfumées qui existeront, sous différentes formes et dans différentes matières, jusqu après la fin de l Empire romain. En Méditerranée occidentale, la Campanie semble jouer un rôle déterminant dans la diffusion et la production des petits conteneurs à huile parfumée dans le sillage de l installation des Grecs à Pithécusses puis à Cumes 17. Dans un contexte cosmopolite où est attestée la présence de Phéniciens, les ateliers eubéens produisent des aryballes sur le modèle corinthien dès la fin du VIII e s. av. J.-C. 18. Durant toute l époque archaïque, les sites campaniens, qu ils soient grecs, étrusques et indigènes se révèlent particulièrement riches en aryballes et alabastres tandis qu une production locale étrusque est sans aucun doute attestée dans différents sites de l intérieur du pays, à Capoue et peut-être à Calatia et Suessula 19. La Campanie joue donc un rôle moteur dans l émergence de nouvelles expériences économiques et culturelles à l échelle de la mer tyrrhénienne, avec la production d amphores de transport mais aussi de petits conteneurs à huile parfumée. Il existe ainsi dans cette région un fil conducteur qui nous mène des 17 premiers aryballes eubéens du VIII e s. av. aux unguentaria pompéiens du I er s. apr. J.-C. Presque un millénaire, dans la même région, d histoire de la parfumerie/pharmacopée. Nous ne disposons pas, pour les périodes hautes, de textes semblables à celui de Pline l Ancien, et il est donc difficile de construire des scénarios à partir des mystérieux contenus des aryballes et alabastres archaïques qui apparaissent comme les ancêtres des balsamaires romains. Difficile mais pas impossible si l on recourt à une méthode d investigation relativement récente et en constante évolution : les analyses chimiques des contenus organiques. Si l idée de faire appel à la chimie analytique pour l étude des restes archéologiques organiques remonte au XIX e s., c est surtout dans les années 1990 que plusieurs équipes se sont spécialisées dans l identification de marqueurs chimiques des matériaux biologiques dégradés 20. Nicolas Garnier, dans son article «Une histoire de l analyse chimique des parfums archéologiques : 160 ans de développement scientifique», présente un historique très utile des applications de la chimie organique à l archéologie depuis le milieu du XIX e s. jusqu à nos jours, et de l évolution des techniques de caractérisation structurale de la matière. Les progrès notables de ces vingt dernières années des technologies relatives à la séparation et à l identification moléculaire offrent aux archéologues de nouvelles perspectives, non pas pour résoudre définitivement les problématiques de contenant/contenu, mais pour les affiner et les renouveler. Prenons l exemple de la recette du parfum à la rose que nous donne Pline (voir supra), en partant du principe que les circonstances de conservation de cette huile parfumée soient optimales et que les pollutions d origine anthropique ou environnementale soient inexistantes. En ce qui concerne l huile d olive verte, pourra être identifiée une huile végétale, voire même plus précisément, si elle n est pas trop dégradée, l huile d olive 21 ; pour la fleur de rose, devront être recherchés des composés spécifiques à la rose tels la damascénone (mais qui n est présente dans la rose qu à très faible proportion et provient aussi de la dégradation des caroténoïdes) ; la fleur de safran pourra être repérée grâce à certains pigments caroténoïdes spécifiques du safran comme la crocétine ou la crocine (mais ce sont des composés sensibles aux dégradations) ; le jonc odorant ou acore est identifiable par certains constituants de son huile essentielle (mono et sesquiterpènes tels le b-gurjunène, le a-sélinène, le a-cadinol et l acarénone en association) et des dérivés phénoliques comme la b-asarone (mais ce composé peut aussi provenir de la dégradation des tannins) ; le cinabre, en tant que

4 D o m i n i q u e F r è r e minéral insoluble, donc conservé en intégralité, peutêtre identifié par analyse Raman ; le miel, s il est mal épuré, laisse des traces de cire animale mais, s il est bien épuré, est plus difficilement identifiable, si ce n est par la présence possible de sucres ; la fleur de sel, totalement soluble est perdue ; le vin enfin, peutêtre reconnu par les tannins et par l acide tartrique 22. Pour résumer, les analyses chimiques pourraient donner comme résultats les plus généraux la présence d huile végétale (et peut-être plus précisément d huile d olive), celle de cire d abeille et celle de vin (ou de vinaigre) tandis que la spectroscopie Raman permettrait d identifier le cinabre. Il serait impossible aux archéologues de conclure définitivement à la présence du parfum à la rose tel qu il nous est cité par Pline, mais ils seraient sur la piste d un mélange complexe à dimension médicinale ou cosmétique. Si d autres marqueurs spécifiques étaient révélés, comme par exemple la damascénone et des sesquiterpènes, le travail d interprétation deviendrait hors de portée de l archéologue qui devrait alors s adresser non seulement à des chimistes mais aussi à des botanistes, et plus précisément à des archéobotanistes. Plusieurs hypothèses seraient formulées, plusieurs pistes défrichées, et parmi elles, celles de la rose et de l acore, mais sans qu il puisse y avoir de véritable certitude. Comme nous le voyons, les données tirées des analyses ne permettent pas d apporter des réponses définitives aux problématiques archéologiques, et surtout, elles ne pourront jamais être aussi précises que les textes. Bref, la chimie organique ne peut, à l heure actuelle, retrouver des recettes de médicaments, de parfums ou de philtres magiques. Mais, dans nombre de cas, elle retrouve quelques composants de ces recettes et apporte quelques renseignements sur les techniques de fabrication. Ces données archéométriques sont porteuses d informations qui s avèrent souvent complémentaires des données historiques, épigraphiques et archéologiques mais qui peuvent aussi être novatrices ou contradictoires. Il est donc indispensable, d une part de recourir à un grand nombre d analyses (afin de repérer les erreurs, les pollutions et les échantillons marginaux), d autre part d interpréter les résultats de ces analyses dans un contexte pluridisciplinaire impliquant un débat entre archéologues, chimistes et archéobotanistes, et enfin d intégrer l ensemble des éléments d information et des hypothèses apportés dans une problématique archéologique qui doit être renouvelée en collaboration étroite avec les historiens, les archéologues et les épigraphistes. Cette approche méthodologique implique un financement important et une recherche s étalant sur plusieurs années. C est 18 l Agence Nationale de la Recherche qui a permis de nous donner les moyens techniques, financiers et humains de mener à bien, de décembre 2007 à juin 2011, le programme de recherche Perhamo (Produits et résidus huileux antiques de la Méditerranée occidentale), dont l objectif était la connaissance des techniques, des usages et des échanges des huiles et des matières grasses parfumées en Méditerranée occidentale du VIII e s. av. J.-C. jusqu à la période romaine. Près de 250 prélèvements ont été faits en France, en Italie continentale, en Sardaigne et en Libye afin de déterminer chimiquement les contenus organiques de céramiques, faïences et verres de différentes périodes et de différentes cultures (phénicienne, grecque, étrusque et romaine). Ce programme pluridisciplinaire accordait autant d importance au contenant qu au contenu afin d apporter des réponses aux questions essentielles concernant les dimensions technique, culturelle et économique des huiles parfumées. L identification des composants de ces matières grasses parfumées était évidemment au cœur de notre problématique, mais, au-delà, nous désirions comprendre les modalités et la chronologie des transferts technologiques au sein de la Méditerranée occidentale et connaître les raisons qui procèdent aux choix techniques ou symboliques de tels ou tels ingrédients d origine minérale, végétale ou animale. De même, l objectif était d observer le rôle d acculturation que peut jouer l huile parfumée dans l espace méditerranéen occidental sur plusieurs siècles, dans une période historique fondamentale qui voit s affirmer les cultures phénicienne, grecque et étrusque pour finalement aboutir à la domination du monde romain. Les articles proposés dans cet ouvrage sont le fruit de la collaboration étroite entre chercheurs français, italiens, grecs et espagnols qui ont accepté de participer directement ou indirectement au programme Perhamo. Chimistes (Gianna Giachi, Erika Ribechini, Maria P. Colombini, Nicolas Garnier, Alessandra Pecci), spécialiste de toponymie antique, (Valérie Salle), archéoagronomes (Pierre Poupet, Romana Harfouche), archéobotaniste (Elisabeth Dodinet), archéologues spécialistes des mondes égyptien (Giuseppina Caprioti pour les importations égyptiennes en Occident), phénicien (Massimo Botto, Ida Oggiano), étrusque (Paola Santoro, Jean Gran-Aymerich, Mario Iozzo, Vincenzo Bellelli), grec (Claudia Lambrugo, Fabienne Coudin, Isabelle Algrain), romain (Jacques et Marie-Hélène Santrot, Laudine Robin, Tony Silvino), épigraphistes (Gilles van Heems, Patrice Faure), historiens des textes (Eurydice Leka, Giuseppe Squillace, Lydie Bodiou,

5 I n t r o d u c t i o n Julie Bonnéric) se sont retrouvés à Rome du 16 au 18 novembre 2009, dans le cadre du colloque organisé par l université de Bretagne Sud et l université de La Rochelle, en partenariat avec l École française de Rome qui nous accueillait dans ses beaux locaux de la place Navonne 23, pour échanger et débattre autour des dimensions techniques et culturelles de l huile parfumée, du VIII e s. av. J.-C. jusqu à l avènement du monde musulman, en partie héritier des traditions antiques. Si trois problématiques principales avaient été retenues, celle de la production (identification des sites et aires de production, exploitation des ressources naturelles, matières premières employées, techniques de fabrication), celle du commerce (caractéristiques des modes de conditionnement, de transport et d échange, définition des aires de marchés, valeur des produits) et enfin celle du statut et de l usage de l huile parfumée (rapport entre le contenant et son contenu, contingences de la consommation, dimension sociale et culturelle), nous avons fait le choix, pour une meilleure lisibilité d une thématique si vaste, d organiser les articles en quatre parties, la première portant sur les méthodes et techniques, la deuxième proposant des synthèses à l échelle d une période et/ou d une région, la troisième s intéressant aux caractéristiques des contenants archéologiques et à leurs contextes, et la quatrième enfin abordant le sujet du statut et de l usage des matières grasses parfumées. Ce programme de recherche qui vient de s achever et dont les résultats seront présentés sur le site internet de l UMR 8546 ( n est qu une étape d une vaste étude qui se poursuit et s étend désormais à la Protohistoire. Notes 1. Pardon-Labonnelie Rémy et Mathieu 2009, p Taborelli 2006, p Nenna et Arveiller-Dulong 2005, p Idem, p Algrain et Frère s.p. 7. Taborelli Mège et Robin Heurgon 1970, p Ciarallo Voir en dernier lieu Taborelli Calvet Guardasole Le Glay Gras Idem, p Pour la typologie des vases à huiles parfumées d Ischia, voir en dernier lieu Nizzo Greco et Mermati Frère Voir l article de N. Garnier dans cet ouvrage. 21. Garnier et alii s.p. b. 22. Garnier et alii Nous remercions M. Michel Gras, directeur de l École française de Rome, et M. Yann Rivière, directeur des Antiquités pour leur accueil.

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