3.1. Indicateur 5 : Répartition des tranches d'âge de publics régulièrement touchés.
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- Liliane Renaud
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1 3.1. Indicateur 5 : Répartition des tranches d'âge de publics régulièrement touchés. Pour l'ensemble des associations, un tableau de fréquence par public touché (enfants de maternel, primaire, jeune secondaire, enfants/loisirs ) a été dressé et représenté graphiquement. Puis, pour constituer l'indicateur, ces catégories ont été reclassées par tranches d'âges indépendamment de l origine scolaire ou non du public, afin de les comparer à la pyramide des âges en Région wallonne. NB: Il n'a été tenu compte uniquement que des publics réguliers. En effet, si l indicateur additionne publics occasionnels et publics réguliers, quasi toutes les associations (auront touché) toucheraient à tous les publics. Cela nous donnerait une vision erronément optimiste. Objectif : mettre en évidence la manière dont sont ventilés les différents publics touchés Représentation graphique du nombre d'associations touchant chaque public A. Analyse par indicateurs (GREFE) Ventilation des publics Pourcentages d'associations Enfants primaire (scolaire) Adultes Tout public (famille) Jeunes secondaire (scolaire) Enfants maternel (scolaire) Enfants jeunes loisirs Enseignants/educateurs (scolaire) Autres Seniors Normaliens (scolaire) Publics socialement defavorisés Handicapes Universitaires (scolaire) Superieur non pedagogique (scolaire) Agriculteurs Entreprises Types de publics NB : nombre minimum de type de publics touchés (si répondu) 1 moyenne du nombre type de publics différents 4,6 nombre maximum de type de publics touchés 16 écart-type du nombre de type de publics touchés 3,7 Graphique 1 : Ventilation des publics réguliers. 25
2 Analyses : Les "enfants du primaire" (78 % des associations) constitue le public le plus touché par les associations, vient ensuite le public "adulte" (59 %). Ce n'est qu'ensuite qu'apparaît 4 publics proches les uns des autres : "public familial", "adolescents en scolaire", "enfants en maternel" et "enfants et jeunes en loisir" (49 % à 47 %). Ces derniers résultats montrent qu une association sur 2 s'occupe des adolescents en secondaire, au même titre que les enfants du maternel. C'est un résultat d'autant plus significatif qu'il s'agit des publics "réguliers" des associations et non pas des publics "occasionnels". B. Commentaires exprimés par les associations lors des présentations Cette évaluation générale de la situation des publics prioritairement touchés n étonne pas les associations. Certaines expriment ainsi l intérêt d élargir leurs activités vers des publics moins touchés et en particulier celui des entreprises. Un autre public qui n apparaît pas (encore) dans les catégories est celui des «élus» et «mandataires communaux». Bien qu on observe une évolution des relations, le défi de développer de nouvelles activités au regard de ces deux publics a été lancé. Par ex. favoriser l intérêt et les compétences des chauffagistes pour les capteurs solaires et autres formes d énergies alternatives ; pédagogie sur habitat de demain ; le développement de nouveaux métiers et services qui seraient également générateurs d emplois ; etc. Il pourrait être envisagé le développement de projets expérimentaux, par ex. au sein de filières E.F.T (Entreprises de formation par le travail). Des stratégies spécifiques liées aux «décideurs» devraient également être développées, comme cela commence à se faire en France, par ex. C. Propositions pour compléter le travail Prospecter sur des stratégies spécifiques (pédagogiques, institutionnelles, partenariales, financières, etc.) aux publics «entreprises», «élus», «publics défavorisés», etc. 26
3 Comparaison avec la pyramide des âges de la population wallonne A. Analyse par indicateurs (GREFE) Pour construire la pyramide des âges issue des données du Réseau IDée, et dans la mesure où les âges ne sont pas précisés, il n'a pas été tenu compte des publics suivants : ""Tout public (famille)"", "enfants jeunes loisirs", "publics socialement défavorises", "publics handicapés" et "autres". Pour fournir la pyramide des âges de la population wallonne (ainsi que les cartes sur la densité des populations spécifiques adolescentes et adultes qui viendront après), nous avons utilisé les données issues de l'iweps (cfr. introduction). Malheureusement, l'iweps fournit ces données selon les tranches d'âge de 5 ans en 5 ans suivantes : 0-4 ans, 5-9 ans, ans, 15-19, ans, ans etc. Or, les données récoltées par le Réseau IDée se basent sur la répartition suivante, proche du monde scolaire : "enfants en âge de maternel", "en âge du primaire (6-12 ans)", "adolescents (13-18 ans)", "études supérieures", "adultes". Cette façon de catégoriser correspond plus à des questions d'animations et est donc beaucoup plus pertinente pour ce cadastre. De ce fait, nous avons transformé les données IWEPS pour les rendre équivalentes à ces tranches d'âges (utilisées généralement par les associations, aussi). Nos calculs ont été faits sur base de l'hypothèse de travail qu'au sein de chaque tranche d'âge de 5 ans de l'iweps, il y avait autant de personnes pour chaque tranche d'un an. On a donc attribué à chaque tranche d'un an, le 1/5 du total de la population de sa tranche de 5 ans. Cette approximation ne se vérifie certainement pas toujours, mais elle est la plus logique et la plus raisonnable à faire. Bien entendu nous n'avons pas tenu compte des enfants de 0 à 2 ans (compris) qui ne sont pas visés par les associations d'ere. Pour permettre la comparaison, les 2 sources ont été ramenées en pourcentage. Analyses (du graphique de comparaison ci-après) : Si l'on regarde la comparaison des pyramides d'âges, on voit que 1 : Les enfants en âge de l'école primaire ne représentent que 7 % de la population alors que 26% de l offre des associations est dirigée vers ce public! Il en va de même pour les enfants de 0 à 6 ans qui représentent 5% de la population alors que 16 % de l offre des associations y est consacrée. Idem pour les adolescents. Par contre pour les adultes et seniors, on peut observer une demande plus importante que l offre disponible. Néanmoins, cette analyse doit être pondérée par deux facteurs importants. D une part, la demande peut être quantitativement plus importante pour une tranche d âge qu une autre, mais il faut tenir compte de la disponibilité du public. En effet, le public adulte, bien que nombreux est aussi globalement moins disponible et donc moins demandeur, que le public des seniors qui lui dispose de plus de temps libre. D autre part, dans ces calculs nous avons tenu compte de l offre globale, c-à-d un pourcentage d activité pour chaque tranche d âge. Or un deuxième facteur intervient, celui du nombre de personnes concernée par activité. En effet, ce point n ayant pas été pris en compte (toute les activités sont considérées comme s adressant à un même nombre de personnes), il est important d en tenir compte lors de l interprétation. 1 Rappel : certaines catégories recensées par la Réseau IDée n'en font pas partie, ce qui modifie les pourcentages. 27
4 A titre indicatif, il faut aussi signaler qu'en moyenne les associations touchent 4 à 5 publics différents Comparaison point vue âges Enfants (0-6) Enfants (7-12) Adolescents (13-18) Etudes supérieures (19-24) Adultes (25-59) Seniors (60 et plus) % d'associations % de populations Graphique 2 : Comparaison publics réguliers et population wallonne. B. Commentaires exprimés par les associations lors des présentations Il serait dangereux de dire qu il faudrait réduire le public des jeunes. L éducation du public jeune reste un objectif majeur. Premièrement, le public scolaire issu du primaire est un public régulier, de jour ou de semaine, programmable sur une année, apportant donc des rentrées financières fiables et régulières qui, couplées à celles du «décret boqueteaux» (*), assurent à elles seules la viabilité de plusieurs associations d ErE. Rappelons, notamment, la plus grande difficulté de déplacement des publics du secondaire et de leurs tranches horaires réduites. (*) Plusieurs associations, et donc les emplois qui y sont liés, sont ainsi extrêmement dépendantes de la mise en application du décret «boqueteaux». Ce point appelle à une concertation approfondie entre le Ministre et les associations concernées. Deuxièmement : est-ce à dire que le public scolaire primaire est suffisamment touché? Et correctement touché? Rien n est moins sûr, il s agirait dès lors de trouver des indicateurs quantitatifs et qualitatifs assez fins pour répondre à cette question. Par exemple, combien de fois un enfant dans sa scolarité primaire a-t-il bénéficié d une animation/d un séjour d ErE? 28
5 S agissait-il d une activité ponctuelle ou intégrée dans un projet? Quel est, ou quel serait, idéalement, le continuum en matière d ErE au cours de cette scolarité? Etc. Troisièmement : des aspects quantitatifs relatifs aux volumes des publics touchés ainsi que le nombre d emplois et budgets gérés par le monde associatif pourrait notamment alimenter de nouvelles perspectives relatives à l emploi dans le cadre du Plan Marshal. Ces données pourraient être mises en perspective par des calculs du nombre d animateurs existants au regard du volume de population et le nombre d animateurs qu il faudrait pour toucher toute la population Il est souhaité de voir l enquête réalisé précédemment par le Réseau IDée relative aux emplois remise à jour et intégrée à ce travail de cadastre (voir chapitre 5). Au regard d évaluations quantitatives du nombre de personnes accueillies/touchées par an pour une organisation, plusieurs associations sont cependant conscientes des biais que peuvent prendre les interprétations. Par ex. : Est-ce le nombre qui caractérise la qualité du boulot fourni? C. Propositions pour compléter le travail Analyses quantitatives de publics, voire qualitative. Il pourrait être utile de comparer la situation wallonne à d autres situations telles que la Flandre, par ex Indicateur 6 : Répartition géographique de certaines catégories particulières du public régulièrement ou occasionnellement touché. Il existe 2 publics généralement moins touchés particulièrement intéressants à suivre : - le public des handicapés (enfants ou non) - le public défavorisé Une carte pour chacun de ces publics présente les associations qui travaillent régulièrement ou occasionnellement avec eux. Objectif : repérer les éventuelles "régions" (province, arrondissement, ) où ces publics seraient moins touchés et évaluer le potentiel de développement. A. Analyse par indicateurs (GREFE) Carte pour le public défavorisé NB méthodologique : A titre de comparaison, la carte indique le niveau de santé socioéconomique de chaque commune (source : IWEPS - Annexe). Plus la couleur est foncée, plus le niveau socio-économique est défavorable. Nous avons choisi cet indice parce qu'il tient compte de plusieurs éléments de la vie quotidienne contrairement à l'indice de PIB (produit intérieur brut) souvent employé pour comparer la vie économique des régions différentes. Les différents éléments qui composent cet indice socio-économique sont présentés en annexe. Nous remercions les auteurs de cette étude de nous avoir communiqué leurs données. 29
6 Enfin, il n a pas été tenu compte des densités de population, dès lors il n est pas possible de quantifier la demande. Analyse de la carte : D'une manière globale, on peut observer que les associations travaillant avec ce public sont situées dans les communes des 2 catégories socio-économique les plus défavorisées (couleurs foncées), ou juste en bordure, surtout, lorsqu'il s'agit d'un public régulier. Si l'on analyse arrondissement par arrondissement, on constate que : Tout d'abord, il n'existe pas d'arrondissement où aucune association ne travaille pas avec ce public. Une série d'arrondissements n'ont qu'une seule association pour ce public, et, qui plus est, en travaillant de manière occasionnelle : Tournai, Mons, Waremme et Marche en Famenne. Pour Waremme, l'indice de santé socio-économique est plutôt favorable et explique le peu d'associations qui travaillent avec ce public. D une manière moins importante, on constate qu il y a aussi une série d'arrondissements où une seule association a ce public parmi ses publics réguliers : Virton d'un côté et Mouscron, Ath, Dinant & Huy de l'autre. Ces derniers ayant une ou plusieurs associations travaillant avec ce public de manière occasionnelle. Le positionnement géographique des associations et la situation de santé socio-économique d Ath et Dinant le justifieraient en particulier. B. Commentaires exprimés par les associations lors des présentations La notion de public défavorisé est très large et par conséquent il est peut être utopique de vouloir regrouper sous une même appellation la diversité qui existe au sein de cette catégorie de public. Etant donné l absence de croisement avec la densité de population commune par commune, il est impossible d avoir une idée du potentiel de la demande pour ce type de public. Cet indicateur informe de l existence potentielle d une demande ou non. Concernant le Brabant Wallon, les associations de terrains font remarquer deux choses : d une part, même si les indices sont globalement bons, il existe une petite frange de la population qui éprouve des difficultés pour l accès au logement. Enfin, il existe en Brabant Wallon des associations qui accueillent un public défavorisé en provenance de la Région Bruxelles-Capitale. Les associations soulignent également la difficulté de toucher ces publics défavorisés quand la demande n est pas nécessairement présente même si les indicateurs montrent que l on se trouve dans une zone avec un mauvais indice de santé socio-économique. Enfin, la difficulté financière de ces publics représente certainement un frein pour l accès à des activités d ErE. Il doit être soutenu financièrement pour participer aux activités d ErE : soit directement (voir l accès à des Tickets Modérateurs), soit indirectement par un rabaissement des coûts. Ce rabaissement des coûts peut se faire en augmentant les participations de publics plus aisés, soit par des soutiens spécifiques. 30
7 C. Propositions pour compléter le travail Approfondir la question relative à ces publics en partenariat avec des acteurs sociaux compétents dans le domaine (AMO, etc.). Rechercher des formules permettant un accès financier plus conséquent pour les structures accueillant un public handicapé. A. Analyse par indicateurs (GREFE) Carte pour le public "handicapé" NB méthodologique : En filigrane de cette carte, nous avons représenté la densité de population wallonne, en nous basant sur l'hypothèse que les personnes handicapées se répartissaient selon la même logique que la répartition de la population en générale. Les seuls éléments qui peuvent contredire cette hypothèse de travail sont : l'existence de cas de pollution grave ayant entraîné des déformations prénatales pour les habitants proches d'une industrie "fautive" (cfr. Bopal, ) ou l'existence des centres internats où seraient regroupés ce public. La première possibilité n'étant pas d'actualité en Belgique, la seconde est la seule à pouvoir modifier cela. Il appartient aux associations se sachant proches de tels centres d'en tenir compte dans leur analyse de la situation wallonne. Évidemment, avec les moyens de recherche limités qui sont les nôtres, il ne nous est pas possible de vérifier l'existence de ces centres à proximité de chaque association. Analyse de la carte : D'une manière globale, on peut observer qu'il n'y a pas une tendance nette à trouver des associations travaillant avec ce public de manière régulière là où la population est plus nombreuse. Si l'on analyse arrondissement par arrondissement, on constate que : De nouveau, il n'existe pas d'arrondissement où les associations ne travaillent jamais avec ce public. 2 arrondissements n'ont qu'une seule association pour ce public, et, qui plus est, en travaillant avec lui de manière occasionnelle : Arlon, Huy. 3) Récapitulatif des 2 publics particuliers étudiés pour chaque arrondissement : Thèmes Défavorisés Handicapés un des principaux un des principaux Occasionnels Occasionnels Province du Hainaut : - Arrondissement de Mouscron : un seul oui oui oui - Arrondissement de Tournai : un seul un seul oui 1P2O - Arrondissement de Ath : un seul oui oui oui 2P20 - Arrondissement de Mons : un seul un seul 1P1O - Arrondissement de Soignies : oui oui 2P - Arrondissement de Charleroi : oui oui oui oui 31
8 - Arrondissement de Thuin: oui oui oui oui Province de Brabant : - Arrondissement de Nivelles : oui oui oui oui Province de Namur : - Arrondissement de Namur : oui oui oui 1P20 - Arrondissement de Dinant : un seul oui un seul oui 2P20 - Arrondissement de Philippeville oui oui oui oui 2P20 Province de Liège : - Arrondissement de Waremme : un seul un seul 1P1O - Arrondissement de Huy : un seul oui un seul 1P2O - Arrondissement de Liège : oui oui oui oui - Arrondissement de Verviers : oui oui oui oui Province du Luxembourg : - Arrondissement de Marche en Famenne un seul un seul oui 1P2O - Arrondissement de Bastogne : oui oui oui oui - Arrondissement de Neufchâteau oui oui oui 2P10 - Arrondissement de Virton : un seul un seul oui 2P10 - Arrondissement d'arlon : oui un seul 2O NB : Dans la colonne thématique principale, la mention "un seul" n'est indiquée que dans le cas où une seule association la traite en thématique principale, indépendamment du nombre de associations la traitant en thématique occasionnelle. Dans la colonne thématique occasionnelle, la mention "un seul" n'est indiquée qu'en cas d'absence absolue de associations la traitant en thématique principale. Tableau 3 : Récapitulatif des 2 publics particuliers étudiés. Arlon, Mons et Waremme sont donc les arrondissements les moins biens desservis concernant ces 2 publics, ainsi que dans une moindre mesure : Tournai, Namur, Huy et Marche en Famenne. B. Commentaires exprimés par les associations lors des présentations La notion de handicap est très large et par conséquent il est peut être utopique de vouloir regrouper sous une même appellation la diversité qui existe au sein de cette catégorie de public. C. Propositions pour compléter le travail Trouver des informations quantitatives sur les publics «handicapés» et autres indications utiles sur le plan géographique (implantation d infrastructures, etc.). (Association wallonne d'intégration des personnes handicapées) (Députation des Affaires sociales / Provinces) 32
9 3.3. En synthèse En moyenne, les associations touchent 4 à 5 publics différents. Ce sont les publics scolaires, de jeunes, adultes et familiaux qui sont les plus touchées, et particulièrement le public scolaire primaire. Les publics plus spécifiques, moins nombreux, sont dès lors proportionnellement moins touchés. Au regard des pyramides des âges, le public primaire pourrait sembler être surinvesti. Cependant de nombreux arguments ont été donnés par les organisations d ErE pour ne pas interpréter de manière abusive cette situation : c est un public fondamental pour l ErE et l éducation en général ; rien ne dit qu il soit touché suffisamment ; il est source de revenus et d'activités régulières pour plusieurs associations. Par ailleurs, il serait intéressant de prospecter des stratégies spécifiques pour des publics moins touchés tels que les «entreprises», les «publics dits défavorisés» et les «élus». Enfin, il est souhaité de développer des analyses quantitatives des publics (avec des précautions de méthodes et d interprétations). 33
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