POLITIQUE DE PLACEMENT

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1 BANQUE PRIVÉE - FÉVRIER 2015 POLITIQUE DE PLACEMENT MENSUEL DES INVESTISSEMENTS EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. - COMITÉ D INVESTISSEMENT

2 EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 2/12

3 SOMMAIRE Synthèse... 4 Conjoncture internationale... 5 Obligations... 6 Actions... 7 Devises... 8 Grilles de placement... 9 EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 3/12

4 SYNTHÈSE! La croissance mondiale continue d être emmenée par la puissante locomotive américaine. Parallèlement, les prix du baril de pétrole se stabilisent. Ils semblent même vouloir tenter un rebond depuis quelques jours. Au niveau politique, la dette grecque est de nouveau en négociation, afin de déterminer le meilleur moyen de gérer son remboursement sans asphyxier l économie.! Les banques centrales concentrent l attention des investisseurs. La Réserve fédérale a confirmé qu elle augmenterait ses taux directeurs dès le milieu de l année et Mario Draghi a opté pour un Quantitative Easing complet. Dès le mois de mars, la Banque Centrale Européenne achètera des obligations souveraines de la Zone Euro. Cette annonce a accentué la chute des rendements obligataires. Désormais, les taux allemands à 10 ans sont inférieurs à leurs homologues japonais. Ils ne rémunèrent plus que 0.35 %.! Les bourses mondiales sont globalement stables. En y regardant de plus près, leurs performances sont principalement liées aux fluctuations des devises. Le S&P500 et le SMI sont en territoire négatif, tandis que le Stoxx profite de la dépréciation de l euro pour afficher une belle performance.! Le franc suisse, qui était parti dans une ascension fulgurante, suite à l abandon du cours plancher, se stabilise entre 1.00 et 1.10 euro. Il reste encore à déterminer dans quelle mesure la BNS intervient pour faciliter ce mouvement.! Dans cet environnement, le Comité a opté pour réduire la partie «cash» des portefeuilles. Elle avait été constituée temporairement au mois de décembre, pour être réallouée le temps venu. En tant qu actif réel, l immobilier profite des taux bas! La part «immobilier» profite de ce mouvement pour passer de 3 % à 5 % dans les grilles EUR et USD. En tant qu actif réel, l immobilier se comporte bien lorsque les taux sont bas. En Europe, il représente une alternative aux obligations, dont les rendements sont très faibles. Il pourrait également finir par profiter de la relance du crédit, souhaitée par la BCE. Aux États-Unis, le marché de la pierre profitera de la dynamique économique très porteuse. Ce sera d autant plus vrai que les ménages verront leur pouvoir d achat augmenter, à mesure que les salaires progresseront.! Dans les portefeuilles en CHF, la situation est quelque peu différente. Nous avions déjà une position importante dans l immobilier. Nous n en rajoutons pas, mais optons pour des actions suisses et de l or. Les premières, qui ont été particulièrement maltraitées ces dernières semaines, passent de 12 % à 14 %. Le stock-picking permettra d acheter des fondamentaux solides à un prix raisonnable. Parallèlement, l or passe de 5 % à 7 %. En tant qu actif refuge, il permet de stabiliser le risque du portefeuille. En tant qu actif réel, il bénéficie de la vague de création monétaire et de la faiblesse des taux obligataires. Coté en dollars, il pourrait également profiter d une correction passagère du billet vert.! La part de dollars est réduite de manière tactique, car les investisseurs sont «dangereusement» unanimes vis-àvis de son appréciation en Un repli technique pourrait le faire chuter fortement. À plus long terme, nous restons acheteurs de greenbacks. Nous en conservons 10 %.! Enfin, au cœur de notre allocation commence à figurer le pétrole et les sociétés de tailles moyennes aux États- Unis. Le prix du baril d or noir a reculé de 60 % en 7 mois. Un rebond est désormais envisageable. Quant aux sociétés américaines, celles d entre elles qui sont tournées vers l économie domestique sont moins impactées par la force du dollar. De surcroît, elles bénéficient pleinement de la croissance économique et de la baisse du prix des matières premières. EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 4/12

5 CONJONCTURE INTERNATIONALE! Le dernier Produit Intérieur Brut (PIB) américain a démontré que la consommation des ménages est dynamique. La progression de l emploi, et bientôt des salaires (cf. graphique), renforce le climat de confiance des consommateurs. Ces derniers constituent aujourd hui le poumon de l économie mondiale. En Europe et au Japon, les chiffres de croissance pour le quatrième trimestre 2014 seront publiés prochainement. Ils devraient être très timides sur le Vieux Continent, tant l atonie de la demande domestique est palpable. Ils pourraient être bien meilleurs pour l Empire du Soleil Levant. Après deux trimestres de récession, largement imputable à la hausse historique de la TVA en avril, la croissance japonaise devrait de nouveau progresser.! Parallèlement, les prix du baril de pétrole se stabilisent et semblent même vouloir tenter un rebond depuis quelques jours. Toutefois, le mouvement est encore trop récent et trop timide pour que les chiffres d inflation puissent le refléter. Au contraire, les prix se contractent à grande vitesse, notamment dans la Zone Euro qui expérimente la déflation une fois encore. L indice des prix à la consommation se contracte désormais de -0.6 % par an. Même aux États-Unis, les chiffres d inflation restent atones pour le moment.! Au niveau politique, la dette grecque est de nouveau en négociation afin de déterminer le meilleur moyen de gérer son remboursement sans asphyxier l économie. À l heure où la Banque Centrale Européenne (BCE) vient d annoncer qu elle refuserait désormais les papiers grecs comme collatéral pour les prêts qu elle accorde aux banques, le bras de fer entre le nouveau gouvernement de la péninsule et les dirigeants européens ne fait que commencer.! Une fois encore, les banques centrales concentrent l attention toute particulière des économistes. La Réserve fédérale a confirmé qu elle augmenterait ses taux directeurs dès le milieu de l année, comme prévu. De ce côté de l Atlantique, la BCE a finalement opté pour un Quantitative Easing complet. Dès le mois de mars, elle achètera des obligations souveraines de la Zone Euro, en plus des covered bonds et des asset-backed securities. Au final, elle devrait accroître son bilan de plus de 1'000 milliards d euros au cours des 18 prochains mois. PROGRESSION DES SALAIRES AUX ÉTATS-UNIS & PERSPECTIVES (SOURCES : BLOOMBERG, EDMOND DE ROTHSCHILD) Wages & Salaries (Private Industry Workers, R.H.S.) Companies Planning to Raise Workers Compensation EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 5/12

6 OBLIGATIONS! Le mois de janvier a été excellent pour l obligataire. Les Treasuries à 10 ans enregistrent des gains de 4 % et les souverains européens de même maturité présentent une performance proche de 2 %.! Le programme de Quantitative Easing (QE), plus grand qu attendu et sans limite de durée, continue d aider les marchés européens. L annonce de la Banque Centrale Européenne, bien qu en partie escomptée par les investisseurs, a accentué la chute des rendements obligataires. Désormais, les taux allemands à 10 ans sont inférieurs à leurs homologues japonais. Ils ne rémunèrent plus que 0.35 %.! Les élections en Grèce, remportées par le parti anti-austérité Syriza, relancent les possibilités d un défaut sur la dette grecque et les craintes, exagérées et irréalistes, d une sortie de la Grèce de la Zone Euro. Cette situation pourrait créer de la volatilité pour les obligations périphériques, enlevant quelques bienfaits au QE.! Les derniers chiffres aux États-Unis montrent clairement que l inflation reste atone. Les investisseurs sont en train de repousser leurs attentes pour le début d un relèvement des taux.! De son côté, la Réserve fédérale continue d indiquer que le manque de pressions inflationnistes n exclut pas une remontée de taux dès le milieu de l année. La vitesse du cycle devrait, cependant, rester contenue.! La volatilité demeure importante sur les marchés de dettes émergentes. Leurs évolutions sont toujours contrastées. Si le segment investment grade a connu un mois positif, la partie à haut rendement est en territoire négatif. Le sentiment des investisseurs demeure fragile et les incertitudes sur l évolution des matières premières freinent le retour de la confiance.! D une manière générale, les perspectives d évolution demeurent constructives. La hausse attendue des taux d intérêt aux États-Unis restera contenue et la recherche de rendement devrait favoriser les obligations émergentes et les corporates de moindre qualité. RENDEMENTS DES OBLIGATIONS AMÉRICAINES & ALLEMANDES (SOURCES : BLOOMBERG, EDMOND DE ROTHSCHILD) Year US Treasuries (%) 10-Year German Bunds (%) EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 6/12

7 ACTIONS! Les valorisations boursières ne sont plus un motif d enthousiasme, ni dans l absolu, ni en comparaisons historiques.! Les marchés boursiers présentent pourtant un indéniable intérêt. Sous l angle de l abondance des liquidités en Europe. Sous l angle de la compétitivité et du levier opérationnel des entreprises ayant une forte implantation domestique aux États-Unis.! En Europe, le temps de l action a (enfin) sonné. L exemple des QEs américains est très encourageant quant aux retombées boursières positives, particulièrement pour les activités sensibles à la conjoncture. Mais gardons la tête froide. Il a fallu trois QEs successifs pour relancer la machine économique américaine, alors même que la liberté d action de la Fed et la profondeur des marchés ciblés permettaient une action plus résolue que ce qui sera permis à la BCE. A ce stade, nous privilégions une approche balançant le risque et le potentiel : o o Les multinationales capables de capter la croissance là où elle se trouve et là où la faiblesse de l euro sera un atout. Premier exportateur mondial, l Allemagne a nos faveurs. Il sera intéressant de mutualiser les risques en recourant à des instruments synthétiques exploitant un thème ou une géographie.! Aux États-Unis, mettons en lumière la dynamique et l assainissement de l économie, ainsi que son regain de compétitivité (hors effets dollar) : o o o Une forte implantation domestique, tant du côté des débouchés commerciaux (effets de la reprise axée sur la consommation) que de la production (facture énergétique et flexibilité du travail), offre un potentiel d expansion des marges. Ce sont, pour beaucoup, des sociétés de tailles moyennes! Compte tenu de leurs capitalisations, les multinationales sont pénalisées par la force du dollar. De facto, le potentiel d appréciation des grands indices américains est sans doute limité. We are in a market of stocks rather than in a stock market! Nous serons également prudents à l égard des sociétés dépendantes de l investissement, alors que les capacités globales sont encore abondantes et que les sociétés de matières premières, pétrolières en tête, «sabrent» leurs budgets d investissement.! Dans un environnement de croissance globale molle, bien qu en légère réaccélération, il convient de se différencier. Le (re) centrage sur des segments à forte valeur ajoutée et/ou adossés à des tendances structurelles porteuses est capital.! Nous ne favorisons donc pas les matières premières industrielles à l exception du pétrole, qui connait une forte exagération baissière relevant de considérations géopolitiques. Passé un premier rebond, nous anticipons un mouvement de stabilisation, puis une reprise graduelle adossée aux fondamentaux.! Suite à l abandon du taux plancher, la réaction sur bon nombre de valeurs suisses a été exagérée ou peu différenciée. Des opportunités se sont sélectivement fait jours. P/E 2015 e exprimés en % de la moyenne des dix dernières années (Données Bloomberg / Compilation Edmond de Rothschild) Performances sectorielles du S&P500 trois mois après le QE initial aux États-Unis (Données Bloomberg / Compilation Edmond de Rothschild) Composition sectorielle des grands indices de la zone Euro Source : JP Morgan EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 7/12

8 DEVISES! À long terme, le dollar continuera de profiter de la dichotomie de politiques monétaires qui existe entre les États- Unis, qui durciront progressivement les conditions d octroi du crédit, et le reste du monde, qui continuera de les assouplir. Ce sera notamment le cas en Europe, au Japon et en Chine. En revanche, les marchés n évoluent jamais en ligne droite. Or, depuis le mois de mai 2014, le dollar n a fait que s apprécier, contre ses principales contreparties. Aujourd hui, les investisseurs sont «dangereusement» unanimes vis-à-vis de l appréciation du billet vert en À court terme, un repli technique peut le faire chuter.! De manière symétrique, l euro pourrait reconquérir une partie du terrain perdu. Cela ne modifierait pas la tendance de fond. Cela offrirait simplement un répit à la monnaie unique avant de poursuivre sa dépréciation fondamentale, qui durera plusieurs années.! Le yen japonais est habituellement une monnaie refuge. Il s apprécie lorsque les investisseurs perdent confiance vis-à-vis des actifs risqués. Ce début d année ne fait pas exception à la règle. Le yen est en hausse de 2.1 % par rapport au billet vert et de 8.7 % face à l euro. Toutefois, cette fonction protectrice pourrait s atténuer au cours des prochaines années. Rappelons que le seul moyen dont dispose le Japon pour éviter que la hausse des taux ne rende sa dette insoutenable est d acheter lui-même ses propres obligations. Pour se faire, la Bank of Japan créera autant de monnaie que nécessaire (monétisation). Si cette situation pérennise la situation de l endettement public japonais, elle aura pour corollaire une dépréciation massive du yen.! La seule devise qui parvient à s apprécier davantage que le yen est le franc suisse. Et pour cause, la Banque Nationale Suisse (BNS) a choisi de prendre le marché par surprise en abolissant le cours plancher, le 15 janvier dernier. Depuis ce changement de politique monétaire, le franc a heureusement rendu un peu de terrain. Cette situation renforce notre scénario visant à expliquer que Thomas Jordan empêchera l euro de passer sous le seuil de la parité contre le franc suisse. Une appréciation du franc au-delà de 15 %, qui correspond à l envolée du dollar face à l euro ces six derniers mois, rendrait le mandat de la BNS inatteignable. La stabilité des prix à moyen terme ne pourrait être respectée. Selon toutes vraisemblances, le franc suisse oscillera entre 1.00 et 1.10 contre l euro, au cours des prochains mois. 40% POSITIONS SPÉCULATIVES SUR LE DOLLAR (SOURCES : BLOOMBERG, EDMOND DE ROTHSCHILD) 30% USD Net Speculative Positions (% Open Interest) 20% 10% 0% -10% -20% -30% -40% EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 8/12

9 GRILLES DE PLACEMENT En résumé, nous avons apporté les changements TACTIQUES suivants à la grille de placement équilibrée :! EUR et USD : réduction du Cash -3 %, augmentation de l Immobilier +3 %.! CHF : réduction du Cash -4 %, augmentation des Actions Suisses +2 % et de l Or +2 %.! EUR et CHF : réduction de l exposition au Dollar américain -5 %. Portfolio with hedge funds EUR USD CHF % % CASH Sovereign BONDS Corporate Investment Grade High Yield Emerging Convertibles Euro Zone EQUITIES HEDGE FUNDS Swiss Germany US Japan Emerging Long / Short Non-directional REAL ESTATE GOLD TOTAL EUR USD CHF EUR CURRENCIES USD CHF EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 9/12

10 INFORMATION JURIDIQUE IMPORTANTE Ce document a été préparé par EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A., 18 rue de Hesse, 1204 Genève, Suisse, une banque suisse agréée et réglementée par l Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers FINMA. Il vous est remis à titre d information uniquement et ne constitue ni ne contient aucune incitation ou offre d achat ou de cession de quelque valeur mobilière ou instrument financier que ce soit et ne saurait vous délier de la nécessité de former votre propre jugement en fonction de vos objectifs spécifiques d investissement. EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. ne fournit aucune garantie quant à l exactitude et à l exhaustivité du présent document. Les données chiffrées, commentaires, analyses et les travaux de recherche en investissement figurant dans ce document reflètent le sentiment de EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. quant à l évolution des marchés compte tenu de son expertise, des analyses économiques et des informations en sa possession. Le contenu de ce document peut s avérer ne plus être actuel ou pertinent au moment où vous en prenez connaissance, notamment eu égard à la date de publication de ce document ou en raison de l évolution des marchés. Tout placement comporte des risques, en particulier des risques de fluctuation des cours et des rendements. Les performances et les volatilités passées ne préjugent pas des performances et des volatilités futures et ne sont pas constantes dans le temps. Nous vous recommandons d examiner le contenu de ce document avec votre conseiller financier, afin de vous assurer de sa possible adéquation avec votre situation, compte tenu de vos objectifs d investissement, de votre profil de risque, de votre situation personnelle, financière, réglementaire et fiscale, et afin de vous permettre de vous forger une opinion autorisée. Ce document ne s adresse pas aux personnes soumises à une législation leur interdisant l accès à de telles informations du fait de leur nationalité ou de leur domicile. Chaque analyste mentionné dans le présent document certifie que les points de vue qui y sont exprimés à l endroit des entreprises et des titres qu il est amené à évaluer reflètent précisément son opinion personnelle. Sa rémunération n est pas liée directement ou indirectement à des recommandations et opinions particulières émises dans ce document. Des détails sur la méthodologie de notation de EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. sont disponibles gratuitement sur simple demande. En aucun cas, la responsabilité de EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. ne saurait être engagée pour une décision d investissement, de désinvestissement ou de conservation prise sur la base des commentaires et analyses contenus dans le présent document, ou en cas de réclamations ou de poursuite judiciaire de la part d un tiers fondé sur l utilisation ou la distribution de ce document. La reproduction intégrale ou partielle de ce document ou sa distribution à tout tiers sans l accord écrit préalable de EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. est interdite. Copyright EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. Tous droits réservés. EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 10/12

11 EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 11/12

12 EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) S.A. Rue de Hesse 18 Avenue Agassiz 2 Rue de Morat GENÈVE 1003 LAUSANNE 1700 FRIBOURG T T T EDMOND DE ROTHSCHILD (SUISSE) SA - COMITÉ D INVESTISSEMENT 12/12

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