Troisième Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale. Libreville, du 21au 22 Octobre 2013
|
|
- Jacqueline Carignan
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CEEAC : Communauté Economique des Etats de l Afrique centrale CEEAC : Communidad Economica de los Estados del Africa Central CEEAC : Communidade Economica dos estados da Africa Central ECCAS : Economic Community for Central African States Troisième Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale. Libreville, du 21au 22 Octobre 2013 Compte rendu des travaux Résumé du 1 er jour Cérémonie d ouverture Mot de bienvenue et allocution du Coordonnateur Résident, Allocution d OCHA, Allocution du représentant de SG/ CEEAC, Allocution d ouverture Secrétaire Général, Min. de l Intérieur, de la Sécurité Publique, de l Immigration et de la Décentralisation La séance de travail a commencé par une introduction présentative des : Grande articulation de la journée, Objectifs et résultats de la rencontre et la méthodologie Session 1 Point de situation sur le suivi du Plan d Action de Yaoundé La présentation des différents participants a été suivie par le briefing sur la table ronde de Genève du 20 mai 2013, présidé par le Dr Nana, Monsieur Marcel MINKALA porteur du projet et Monsieur Dominique KUITSOUC pour le compte de la CEEAC a apporté sa contribution. Cette table ronde s est tenue en marge de la 4 ème Session de la Plate-Forme Mondiale pour la Réduction des Risques de Catastrophe tenu à Genève du 19 au 23 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 1
2 Mai Y étaient conviés : les bailleurs de fonds et donateurs potentiels, les Ambassadeurs des Etats membres de la CEEAC. A l issue des travaux étaient présidés par le représentant du Gabon, il a été suggéré: - à la CEEAC de procéder à une grande diffusion du plaidoyer lié à la mobilisation des ressources - que le plan d action de Yaoundé entre progressivement dans sa phase concrète. L opérationnalité participant à la crédibilité et à la visibilité. L organisation météorologique mondiale s est engagée à mener une étude de faisabilité de projet de centre climatique sous-régional afin de proposer avant décembre 2013 un document directeur régional devant être soumis aux différents ministres en charge de la question. La Banque Mondiale / Global Facility for Disaster Reduction and Recovery a promis faire le plaidoyer auprès de l UE afin que le 10 ème FED tienne compte de l Afrique Centrale. La Proposition soumise à Bruxelles a d ailleurs été inspirée par le plan d action de Yaoundé. 5 millions d Euros devraient être alloué à l Afrique centrale. D autres partenaires ont également fait des promesses et des protocoles de partenariat doivent être envisagés et signés. La séance d échanges qui a suivi a soulevé des interrogations quant aux avancées ou difficultés rencontrées depuis cette table ronde. Sur la question des partenariats, outre les promesses faites il n y pas eu de véritable avancée. Le représentant de la CEEAC a informé que la prochaine rencontre ACP/ UE prévue le 22 novembre 2013 sera consacré exclusivement au 10 ème FED et, donnera l occasion de relancer le plaidoyer. Il a déploré la gestion centralisée à New York et à Dakar de certains instruments de renforcement de capacité par le PNUD, qui rend complexe la mise en application de certains projets. Recommandations : En conclusion du briefing sur la table ronde tenue à Genève le 20 mai 2013 les propositions suivantes ont été faites : saisir de façon formelle les partenaires stratégiques, précédemment identifiés ; 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 2
3 désigner une équipe chargée du plaidoyer auprès des partenaires identifiés. Elle devra porter et assurer le suivi des courriers officiels ; mettre en place un programme identifiant les projets pouvant être réalisés à court terme ; s entendre sur un chronogramme de mise en œuvre devant permettre d évaluer le travail accompli ; recenser des ressources plurielles de la sous-région : financement, ressources humaines, capacité opérationnelle, etc. ; créer un répertoire des experts issus des Etats membres de la CEEAC. Une équipe conduite par Mme TOGO Hortense, composé d un représentant CEEAC, du Directeur de la protection civile du Tchad, a été constituée à cet effet. Elle devra adresser une 1 ère mouture de son travail à l OCHA, à la CEEAC et au Président du Comité de suivi dans un mois ; elle pourra se faire appuyer par Dr TONFACK BELVAL pour l identification des experts ; commencer à travailler sur le plaidoyer pour s assurer un appui du 11 ème FED de l UE. Session 2 - Observation sismique et volcanologique - Cas du Lac Nyos et Monoun présenté par le directeur de l Institut de Recherche Géologique et Minier le Dr HELL - Cas de des volcans de Goma présenté par OVG Goma, Dr Mavonga Les observatoires mis en place dans ces régions permettent d assurer en amont la veille. Les systèmes installés permettent d assurer la prévision des événements volcaniques et sismiques. Les données recueillies servent aussi bien à produire des cartes d aléas qu à faire faire de la prévention des catastrophes. Au Cameroun, suite aux conséquences de l émanation des gaz dans les 2 lacs à cratère (Monoun et Nyos), les autorités, avec l aide des partenaires nationaux et internationaux ont investi dans la sécurisation des sites incriminés. Au niveau du lac Nyos trois (03) colonnes de dégazage ont été installées ainsi qu un système d alerte émettant un signal sonore devant prévenir la population en cas de sortie incontrôlée 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 3
4 et massive de gaz. Ce système de dégazage a permis à ce jour de réduire de 70% la quantité de gaz dissouts contenu(e)s dans ce lac. Par ailleurs, des exercices de simulation ont été menés afin de préparer la population à une éventuelle explosion de ces lacs. De même le renforcement du barrage naturel de lac Nyos par la méthode de jet grouting vient d être effectué afin d annihiler le risque majeur de rupture de ce dernier ; Il ne reste aujourd hui que le risque d érosion superficielle de ce barrage qui va être résolu dans les tous prochains mois. S agissant de l observatoire sismique de GOMA. En 2002 les 2 seuls sismographes encore en service avaient permis d annoncer l irruption volcanique. Mais le contexte socio-politique, le manque de financement n avaient pas permis de réagir. Par la suite la communauté internationale dota l observatoire de capacité de surveillance. Cependant pour maximiser les données, il faudrait entourer le volcan de stations de mesure. Les difficultés / faiblesses dénoncés par les exposants sont relativement les mêmes : - financement - ressources humaines (vieilles équipes, difficultés de renouvellement et de recrutement) - équipement - incivisme des populations (acte de vandalisme sur les matériels) La séance de questions/réponses a permis à la représentante de FICR de proposer une implication en amont de la Croix Rouge comme relai auprès des communautés. Il a été également question de la gestion transfrontalière entre la RDC et le Rwanda qui est tout proche des volcans. Recommandations : Il existe déjà une collaboration entre les chercheurs des instituts des 2 pays (notamment pour appliquer certaines actions en cours au Lac Nyos à appliquer au Lac Vert au Nord Kivu) mais la mise en place d un partenariat formel a été souhaitée ; encourager les Gouvernements et partenaires à continuer d appuyer ces institutions et favoriser une relève technique et scientifique ; 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 4
5 renforcer les mécanismes de liaison transfrontaliers et de préparation commune (Cameroun-Nigéria, RDC-Burundi-Rwanda) Session 3 - Déplacements en temps de catastrophes naturelles, assistance et protection aux personnes déplacées L objectif de l exposant de OCHA a été de présenter une idée commune de la protection, de rappeler la responsabilité des Etats et de la revue des actions de préparation à mettre en place. A cet effet la définition proposée par le Comité Permanent Inter Agence (IASC-CPIA) a été exposée. Des éclaircissements sur les termes de réfugiés et de déplacés ont été apportés afin de lever la confusion. L exposant a présenté des différentes stratégies d assistance et de protection des personnes affectées ainsi que des précautions nécessaires devant être mises en place dans les différentes phases de la crise. Il a été également question de la responsabilité en matière de protection qui incombe aux Etats en temps de catastrophes. Le point sur la sécurisation des données et des archives a longuement retenu l attention des participants Session 4 - Risques sanitaires et mécanismes de réponse aux urgences sanitaires en Afrique Centrale, présenté par le Dr Manzila du bureau Afrique de l OMS Un inventaire des risques sanitaires spécifiques à la région Afrique Centrale a été répertorié où, en plus des catastrophes naturelles, les conflits socio-politiques occupent une place importante dans la région. Quant au mécanisme de gestion des risques de catastrophe, une étude menée en 2011 a révélé que la majorité des pays de la région africaine n était pas dotés de capacité institutionnelle dans la gestion des risques de catastrophe (GRC) dans le domaine de la santé. Dans le souci de palier à ces insuffisances, l OMS a développé 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 5
6 la stratégie africaine de gestion des risques de catastrophe dans le secteur de la santé qui a été adoptée par les pays membres. La stratégie couvre une période de 10 ans ( ) et prend en compte tout le cycle de catastrophe. Les différents outils développés dans le cadre de sa mise en œuvre ont été également présentés. La spécificité du secteur de la santé est d être au bout de la chaîne des conséquences des catastrophes d où la nécessité d une prise en compte systématique du volet santé dans toutes les planifications de la gestion des catastrophes. Recommandations : Faire le plaidoyer auprès des Etats afin que ceux-ci apportent leur contribution à la mise en place du «fonds africain d urgence de santé publique» (African Public Health Emergency Fund, APHEF). A ce jour seul 2 millions de dollars US ont été apportés, loin des 50 millions visés pour le fonds ; Prendre en compte la stratégie africaine de GRC dans le Plan d action de Yaoundé pour le secteur de la santé. o Encourager les Etats membres à mettre en œuvre la stratégie africaine de GRC par la mise en œuvre des activités programmées telles que : la mise en place des mécanismes de gestion des catastrophes et de santé à intégrer la gestion des risques de catastrophes (GRC) et des indicateurs de GRC dans les systèmes d informations sanitaires ; o l établissement des procédures opérationnelles pour l intégration des risques de catastrophes dans les systèmes sanitaires ; o l évaluation des capacités nationales (Country Capacity Assessment) en GRC selon la méthodologie préparée par l OMS 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 6
7 Session 5 - Présentation du Cadre opérationnel de l Organisation internationale pour les migrations (OIM) en cas de crise migratoire Le cadre opérationnel en cas de crise migratoire a été signé par les Etats membres de l OIM en novembre Tous les Etats de la CEEAC sont membres de l OIM à l exception de Sao Tome et Principe qui est Observateur et de la Guinée Equatoriale. Ce cadre est entré en application en 2013 et peut désormais s appliquer à la gestion des crises ayant des dimensions migratoires en Afrique centrale. Les débats se sont appesantis sur les conditions d intervention de l OIM qui appuie les Gouvernements qui sont les premiers responsables de la protection de toutes les personnes présentes sur leur sol. Il ressort du débat que l intervention humanitaire de l OIM se fait en accord avec l Etat concerné et exceptionnellement sur la base d une résolution voté par le Conseil de sécurité de l ONU autorisant l intervention des humanitaires dans certaines circonstances. S agissant de la situation actuelle en RCA, l OIM n y est pas présente mais une équipe est en cours de déploiement pour appuyer la réponse humanitaire internationale, sans opposition du gouvernement centrafricain. Recommandation : Encourager les Etats Membres à utiliser le Cadre opérationnel en cas de crise migratoire pour renforcer leur propre capacité de préparation et de réponse aux crises migratoires, avec l appui de l OIM si nécessaire. 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 7
8 Résumé du 2 ème jour 22 octobre 2013 Session 6 - Compte rendu des prévisions saisonnières PRESAC Les prévisions saisonnières présentées par PRESAC avaient comme de donner un aperçu sur l évolution de temps, du climat et des précipitations compris entre la période octobre décembre 2013 en utilisant plusieurs techniques, notamment l observation de la température de la mer, techniques de zone Niño qui ont permis de de déterminer les tendances probables des précipitations et la cartographie des risques mettant en exergue trois zones selon que les tendances supérieures, égales et inférieures à la normale : dans la zone de risques supérieurs à la normale l on retrouve la Guinée Equatoriale, Sao Tomé, Cameroun, Gabon, Congo, RDC ; le reste de pays de la région se classent dans la zone de risques à tendance normale suivant les seuils des statistiques fournies par OMM en collaboration avec ACMAD ; des climatologues ont également contribué avec des données hydrologiques sauf pour le Cameroun qui n avait pas des informations disponibles au moment de lancement du logiciel. En guise de mesures de préparation, dans les zones à risques de tendances supérieures, il a été recommandé que des surveillances modérées soient effectuées surtout dans la partie ouest de Gabon, du Cameroun, de la République du Congo, et de la République Démocratique du Congo. Par contre, de surveillance à faible portée devra se réaliser dans la partie sud est de la République Démocratique du Congo. 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 8
9 Session 7 - Outils d évaluation du niveau de préparation aux urgences Cette présentation faite par OCHA ROWCA a proposé un paquet minimum d actions aux Etats pour leur permettre de mesurer le niveau de préparation dans leurs pays respectifs. Ce paquet d activités couvre 5 composantes essentielles pour un renforcement de l état de préparation aux urgences: 1. Evaluation des capacités nationales en matière de préparation aux urgences et de réduction des risques de catastrophes : Ces évaluations sont inspirée des 5 priorités du cadre d action de Hyogo et sont un effort inter organisation au niveau régional et national en appui aux Gouvernements.. De telles évaluations ont été réalisées en 2010 au Ghana, en 2011 au Mali, en 2012 au Nigeria et en 2013 au Burundi. Signalons par ailleurs que dans le cadre du Nigeria, les évaluations ont bénéficié de l apport d une mission de l équipe de protection civile de l Union Européenne et des experts UNDAC. En tout 40 institutions ont été visitées dans la région. 2. Evaluation des besoins : Les priorités sectorielles stratégiques sont possibles grâce à la disponibilité et la fiabilité des informations sur les besoins identifiés à temps suite à une crise soudaine. Ainsi, une approche commune des évaluations rapides initiales durant la première phase qui suit une urgence (nommée MIRA) est vulgarisée auprès des partenaires humanitaires et des Etats afin de permettre aux autorités de prendre des décisions et options nécessaires pour la mise en œuvre des plans d interventions aux urgences liées aux catastrophes. Avec l approche MIRA l on vise à standardiser les outils d évaluation et harmoniser les approches entre gouvernements et partenaires afin de minimiser les écarts qui biaisent le consensus sur les données ou informations à utiliser afin de répondre aux urgences. Des efforts d adaptation ont connu des résultats encourageants notamment dans les pays d Asie du sud-est et au Burkina-Faso. 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 9
10 L exercice MIRA débouche sur des simulations pour affiner la compréhension des acteurs (exemple de la RDC). Le seul défi demeure son appropriation au niveau des autorités locales sur l ensemble du pays. 3. Préparer et Tester : C est principalement la planification des mesures d urgences basée sur un plan de contingence dont le processus s étale sur 4 phases : évaluation des risques - actions minimales de préparation - processus de contingence - plans de réponses. Les risques ainsi identifiés et analysés doivent régulièrement être surveillés et les dispositifs de contingence et de coordination doivent être testés grâce à des exercices de simulation. 4. Gérer l information : OCHA avec l apport de certains acteurs offre un certain nombre de services dont, l appui aux développement de base de données Qui fait Quoi, Où (inventaires des acteurs) centralisation des données opérationnelles communes pour être accessibles à tous, outils de récoltes de données ou check-lists, appui à l analyse et l évaluation par les informations géospatiales ou systèmes d information géographique (exemple de la mis à disposition de clichés satellite pour suivre les crues des rivières au Nigeria en 2012). Session 8 Discussion avec le Représentant Spécial des Nations Unies pour l Afrique Centrale (UNOCA) L Ambassadeur Moussa a eu l occasion d échanger avec les participants sur les causes de migrations internes et externes en zone CEEAC. L UNOCA œuvre en coopération avec les autorités des pays pour renforcer les dynamiques de prévention et de gestion des conflits ainsi qu à la consolidation de la paix et de la sécurité dans la sous-région aussi, à travers le cadre de coopération avec des partenaires dont la CEEAC en tête. L Amb. Moussa a pu rappeler que le fait de migrer est ancien, qu il découle le plus souvent du mal être dans son pays et la rechercher de perspectives meilleures. 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 10
11 Un mieux vivre est donc une condition préalable indispensable pour stabiliser les populations. Session 9 - Présentations des pays sur l état de préparation et de gestion des urgences : République Démocratique du Congo, République Du Congo, Tchad, Angola, Sao Tomé, Burundi, Gabon, Cameroun. En référence au cadre Hyogo et le plan d actions de Yaoundé, les pays ci-dessus suivant le canevas envoyé par la CEEAC ont présenté les situations de leurs pays respectifs suivies des actions réalisées, les contraintes inhérentes, et les perspectives envisagées. Il en ressort que ces pays n ont pas eu le même niveau d exécution pour des raisons internes et stratégiques globales. En dehors des contraintes quasi générales concernant les insuffisances techniques, les financements et le faible accompagnement des autorités politiques, les pays comme Sao Tomé, la RDC, le Burundi sont confrontés à des écueils spécifiques comme des conflit de leadership sur la gestion des catastrophes et le manque d appui à des projets à plus long terme tels que le projet de gestion de l érosion côtière à Sao Tomé et Principé. Recommandations : Renforcer la coordination de la préparation et la réponse aux catastrophes en donnant plus de poids aux structures en charge, en encourageant les services dépendant de Ministères à devenir des agences plus autonomes (à l image de ce qui s est fait au Bénin par exemple) Clarifier l ancrage institutionnel des plateformes de gestion des risques de catastrophes : ce ne sont pas des organes décisionnels ni de réponse qui remplacent d autres structures mais plutôt des forums d échange, d harmonisation des approches et de partage d informations. Ne pas clarifier cela risque de faire perdurer le biais qui entrave la mise en place des platesformes dans les pays. Ces plateformes doivent être situées à un niveau suffisant pour ne pas être perçues comme partisanes ou liées à un Ministère exclusivement. 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 11
12 Promouvoir des réunions régulières des décideurs politiques et Ministres en charge de la gestion des catastrophes afin d assurer un poids politique plus important à ces questions. Session 10 - Opérationnaliser le Plan d Action de Yaoundé Décisions : Dans l optique d une meilleure opérationnalisation du Plan d Action de Yaoundé, il a été proposé que le Comité de suivi se transforme en Comité de pilotage chargé de la coordination et de l exécution du Plan d Action de Yaoundé. Ce Comité sera doté d un coordonnateur technique assisté d un secrétaire chargé de la gestion opérationnelle du Plan d Action de Yaoundé. Le Comité de pilotage est composé comme suit : - Président : Dr Jean Pierre NANA (Cameroun) ; - 1 er Vice Président : Mme Hortense TOGO, épouse MOUSSOUNDA (Gabon) ; - 2è Vice Président : Général Edouard NIBIGIRA (Burundi) ; - Conseillers : M. Raymond BONGOLE EFOYA (RDC) ; M. Francisco BIMBA (Angola) ; - Facilitateurs : Mme Mabilo TESSE MBIA (Tchad) M. Edmond MAKIMOUHA (Congo Brazzaville) M. Quaresma Cécilio SACRAMENTO (São Tomé e Principe) - Personnes ressources : (République Centrafricaine) (Guinée Equatoriale) - Coordonnateur technique : M. Marcel MIKALA (ONU OCHA) Le Secrétaire sera désigné par la CEEAC. Une feuille de route a été assignée au Coordonnateur technique pour une période intérimaire de six mois, au terme de laquelle un bilan d étape sera effectué à 3 ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 12
13 Yaoundé. Le coordonnateur sera chargé de préparer l esquisse de la feuille de route susmentionnée assorti du chronogramme de mise en œuvre y relatif. Il devra également travailler en étroite collaboration avec les pays pour qu ils préparent chacun 1-2 projets entrant dans les priorités du plan d action de Yaoundé. La prochaine consultation aura lieu à Bujumbura en ème Consultation régionale pour la gestion des catastrophes en Afrique Centrale p. 13
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailREUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010
REPORT RBM/EXD/2010/REP. 15 JUL 2010 Official document General distribution Français REUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010 RAPPORT Le groupe de coordination du réseau Faire Reculer
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC Autorité hiérarchique : Secrétaire Exécutif du RAPAC (SE), Expert-Responsable
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE. Remise de 6 ambulances et de matériel pour la lutte contre l épidémie Ebola
AMBASSADE DU JAPON Conakry, le 9 mars 2015 COMMUNIQUE DE PRESSE Remise de 6 ambulances et de matériel pour la lutte contre l épidémie Ebola Le 9 mars 2015, Son Excellence Monsieur Naotsugu Nakano, Ambassadeur
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailLa montagne n aura pas accouché d une souris à Bruxelles, tant étaient
Le pari stratégique de la France en Afrique TRIBUNE n 541 Germain-Hervé Mbia Yebega Observatoire Politique et Stratégique de l Afrique (Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne). Chercheur associé à la
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détail8 e rencontre du comité Ad Hoc Genre de la COMIFAC
8 e rencontre du comité Ad Hoc Genre de la COMIFAC Compte rendu Par Julie GAGOE Date : Jeudi 05-04-12 Lieu : Bureau du SE COMIFAC Agenda 1. Evaluation de la feuille de route 2011 2. Défis et priorités
Plus en détailL Afrique Centrale et le FGI
Collège International de l'afnic http://www.afnic.fr/afnic/international/college L Afrique Centrale et le FGI Victor NDONNANG Membre du Collège International de l AFNIC Cameroun Sommaire Introduction Présentation
Plus en détailPour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme
Pour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme Séminaire régional à l intention des parlementaires et fonctionnaires de parlements des pays
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon
Plus en détailRapport de fin du Programme
Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Département des Affaires Economiques et Sociales du Secrétariat Général des Nations Unies Programme des Nations Unies pour le Développement
Plus en détail7 ème Edition des Assises de la Coopération Belge au Développement
7 ème Edition des Assises de la Coopération Belge au Développement Session 3 Thème : Mettre le contexte au centre de l action : opérationaliser une approche sensible à la fragilité Sous-thème : «Prise
Plus en détailDéfinition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats
Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays
Plus en détailRésumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues
Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.
Plus en détailBUREAU DE L ENVOYÉ SPÉCIAL DU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL POUR LA RÉGION DES GRANDS LACS
UNITED NATIONS NATIONS UNIES BUREAU DE L ENVOYÉ SPÉCIAL DU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL POUR LA RÉGION DES GRANDS LACS Plate-forme des femmes pour l Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération Objet
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------
STATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------ (version amendée à Kampala, en Ouganda, le 19 août 2003) 2 Les signataires des présents Statuts, Reconnaissant
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailConnaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailLe Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage (INSARAG)
Le Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage (INSARAG) Qu est INSARAG? Le Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage (connu sous son sigle en anglais, INSARAG)
Plus en détailProgramme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015
Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée
Plus en détailLe Partenariat ECES-EFEAC dans le renforcement innovant des capacités électorales en Afrique. Plan de présentation
Le Partenariat ECES-EFEAC dans le renforcement innovant des capacités électorales en Afrique Programme de mise en place des dynamiques de renforcement institutionnel et de formation pour l ensemble des
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailMINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION
MINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION Central African Backbone Communication Infrastructure and Technology CAB CIT Congo Projet N IDA 49740 CG
Plus en détailCommission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine
Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine La politique nationale et le soutien de la Communauté internationale au développement de la Réforme du Secteur de
Plus en détailRENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL
RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing
Plus en détailListe des participants
Liste des participants Atelier de l Union Africaine sur la transposition en droit national et l application de la Convention de Kampala sur les Personnes Déplacées Internes N Djamena, 2-3 Mai 2013 No.
Plus en détailSéminaire régional. L achat de services de santé, le financement basé sur les résultats, le financement basé sur la performance ;
Séminaire régional L achat de services de santé, le financement basé sur les résultats, le financement basé sur la performance ; Partage des expériences de République Démocratique du Congo, du Burundi,
Plus en détailDU ROLE D UN BUREAU MILITAIRE AU SEIN D UNE MISSION PERMANENTE
DU ROLE D UN BUREAU MILITAIRE AU SEIN D UNE MISSION PERMANENTE Capitaine de vaisseau Ndome Faye, Conseiller Militaire à la Mission Permanente du Sénégal auprès des Nations unies à New York Dans certains
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailPROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET
PROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET ID Projet : P106982 IDA H589 ZR TF010744 Pour le recrutement d un Consultant International
Plus en détailBurundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga
Burundi Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Organisation : Ministère de l'intérieur et de la Sécurite Publique
Plus en détailRapport de la 1 ère visite du pays
Page 1 sur 11 Protection a l enfance en urgence Suivi de situation et de l intervention Rapport de la 1 ère visite du pays 25 Août 06 Septembre, 2014, Bangui, République Centrafricaine (RCA) Page 2 sur
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailProgramme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO
COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS DE L=AFRIQUE DE L=OUEST ECONOMIC COMMUNITY OF WEST AFRICAN STATES Réunion de lancement du programme de comparaison Internationale pour l Afrique Addis Abéba, 2-4 décembre
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailNATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau Sous-Régional pour l Afrique Centrale
Réunion Ad hoc NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau Sous-Régional pour l Afrique Centrale F Distr. : GENERAL ECA/SRO-CA/AHEGM.HLTIC/13/Inf.1 Février : 2013 Original : Français Ad Hoc
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailPromouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre
inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détail1 Informations générales
PAMEC-CEEAC Programme d Appui aux Mécanismes de Coordination et au renforcement des capacités de la CEEAC pour la mise en œuvre et le suivi du PIR Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale
Plus en détailForum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements
Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement La République de Madagascar Forum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements Thème : Les Nouvelles Approches
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772
Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier
Plus en détailSécurité des moyens d existence. Changements climatiques, migrations et. Programme des Nations Unies pour l environnement
Sécurité des moyens d existence Changements climatiques, migrations et Programme des Nations Unies pour l environnement Ce rapport a été réalisé grâce à un partenariat technique entre le Programme des
Plus en détailLa Réforme Humanitaire
La Réforme Humanitaire Edifier un système de réponse humanitaire plus efficace et prévisible é Lancée en 2005 par le Coordonnateur des Secours d Urgence ERC, USG Affaires Humanitaires. La réforme cherche
Plus en détailFormation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence
Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l
Plus en détailRéunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil
Commission de l Union africaine Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil République de Côte d Ivoire
Plus en détailECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social
Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailMONITORING THE ILLEGAL KILLING OF ELEPHANTS
MONITORING THE ILLEGAL KILLING OF ELEPHANTS Procès-verbal de la réunion régionale du programme MIKE de CITES, tenue à Nairobi (Kenya), les 10 et 11 septembre 2002 Résumé analytique 1. Rapport d avancement
Plus en détailPRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC
PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA
Plus en détailDU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO
COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailArgumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger
Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Dr HIM & AGK Niamey, avril 2014 P a g e 1 Introduction La Constitution nigérienne du 25 Novembre 2010 dispose, en son article
Plus en détailCLUB DE REFLEXION SUR LE MALI (CRM)
Club de Réflexion sur le Mali (CRM) En collaboration avec Enda Tiers Monde et Institut Panafricain de Stratégies (IPS) Organise le Forum sur la crise malienne et ses répercussions sur la stabilité, la
Plus en détailLe développement des capacités pour la promotion de l égalité entre les sexes, dans l optique de l efficacité de l aide
Le développement des capacités pour la promotion de l égalité entre les sexes, dans l optique de l efficacité de l aide Enseignements dégagés des consultations sous-régionales en Afrique Document de réflexion
Plus en détailDOCUMENT OFFICIEUX DES COPRÉSIDENTS. Chapitre Paragraphes Page. Comprendre les risques de catastrophe...14 8
Note explicative 1. Ce document est l avant-projet préliminaire du cadre de réduction des risques de catastrophe pour l après-2015. Il servira de base aux consultations informelles ouvertes à mener en
Plus en détailAtelier de formation à IMIS (système intégré de gestion de données) BAMAKO : 5 au 9 mai 2008
Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Atelier de formation à IMIS (système intégré de gestion de données) BAMAKO : 5 au 9 mai 2008 POINTS SAILLANTS DE L ATELIER Points saillants
Plus en détailCAPACITY BUILDING FOR
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Patrie MINISTERE DE L ENERGIE ET DE L EAU DIRECTION DE L ELECTRICITÉ CAPACITY BUILDING FOR INTERMINISTERIAL COOPERATION IN THE COLLECTION AND EXCHANGE OF ENERGY- RELATED
Plus en détailRapport de mission AFRIQUE 25 mars au 3 avril 2009 Gaston Achoundong Richard Chapel M.-A. Manceau
Rapport de mission AFRIQUE 25 mars au 3 avril 2009 Gaston Achoundong Richard Chapel M.-A. Manceau Contexte : Le secrétariat Sud Expert Plantes a reçu en janvier 2009 les premiers rapports financier et
Plus en détailWP Board No. 934/03. 7 mai 2003 Original : anglais. Comité exécutif 21 23 mai 2003 Londres, Angleterre
WP Board No. 934/03 International Coffee Organization Organización Internacional del Café Organização Internacional do Café Organisation Internationale du Café 7 mai 2003 Original : anglais Comité exécutif
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailPROGRAMME D APPUI AUX ORGANISATIONS PAYSANNES AFRICAINES (PAOPA) PHASE PRINCIPALE DOCUMENT DE PROGRAMME REGIONAL
PROGRAMME D APPUI AUX ORGANISATIONS PAYSANNES AFRICAINES (PAOPA) PHASE PRINCIPALE DOCUMENT DE PROGRAMME REGIONAL 2 SFOAP Main Phase Regional Programme Documents - PAFO Table des matières I. Et si nous
Plus en détailRéunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,
Plus en détailFORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO
ANNEE UNIVERSITAIRE 2005-2006 FORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO Informations générales, conditions d admission, frais de participation et dossier de candidature.
Plus en détailL organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport
L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport Présenté par M. Pascal Terrasse Député de la République française Secrétaire général parlementaire Berne (Suisse) ( 6 juillet 2015 I/ Le programme,
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailQUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011
QUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011 Bureau du Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral
Plus en détailCadre et Structures Organiques
1 République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Publique SECRETARIAT GENERAL A LA SANTE PUBLIQUE Cadre et Structures Organiques Août 2012 INTRODUCTION 2 Le présent document relatif au Cadre et
Plus en détailSaint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.
Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche
Plus en détailC ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats
C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.
Plus en détailExpert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailOrganisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) 7 ème Salon Africain de l Invention et de l Innovation Technologique (SAIIT)
Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) 7 ème Salon Africain de l Invention et de l Innovation Technologique (SAIIT) Bamako Mali, 28 Octobre au 1 er Novembre 2015 TERMES DE REFERENCE
Plus en détailRôle des Associations et Organismes Internationaux en matière de Sécurité et Santé au Travail
19 ÈME Journée Africaine de la Prévention des Risques Professionnels (JAPRP) 13 ÈME Journée Mondiale de la Sécurité et de la Santé au Travail (JMSST) ABIDJAN, République de COTE D IVOIRE- Salle de CONFÉRENCE
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur
AFRISTAT PROGRAMME DE COMPARAISON INTERNATIONALE-AFRIQUE Termes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur Contexte Au cours de l année 2004, AFRISTAT
Plus en détailGénération des forces de police Standards et Procédures
Génération des forces de police Standards et Procédures Forum régional de Yaoundé 8-10 novembre 2009 Participation aux OMP: pratiques et paramètres par Mody BERETHE Divison Police des Nations Unies/DOMP
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailBOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution
Plus en détailMot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP
Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance
Plus en détailDEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL
DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL Durban, Afrique du Sud 6-7 Septembre 2012 Thème «Amélioration de l infrastructure institutionnelle et humaine
Plus en détailSecond communiqué 1 Conférence mondiale 2015 sur la réduction des risques de catastrophe (3 e édition)
Second communiqué 1 Conférence mondiale 2015 sur la réduction des risques de catastrophe (3 e édition) Introduction Le 20 décembre 2013, l'assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution en
Plus en détailINVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD
INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Programme des Nations Unies pour le développement LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Les élections
Plus en détailla gestion ATELIER DE FORMATION ATELIER DE ET DU DROIT ET DE LA RCA Jet
Projet GCP/RAF/441/GER «Renforcement de la sécurité alimentaire en Afrique centrale à travers la gestion durable des produits forestiers non ligneux» ATELIER DE FORMATION : ATELIER DE FORMATION SUR L'INTEGRATION
Plus en détailCadre d action de Hyogo pour 2005-2015: Pour des nations et des collectivités résilientes face aux catastrophes
Cadre d action de Hyogo pour 2005-2015: Pour des nations et des collectivités résilientes face aux catastrophes À sa 9 e séance plénière, le 22 janvier 2005, la Conférence mondiale sur la prévention des
Plus en détailRapport de l étude sur le projet e-gouvernement. Azalaï Hôtel de la Plage Xwlacodji
Rapport de l étude sur le projet e-gouvernement Azalaï Hôtel de la Plage Xwlacodji L an deux mil quatorze et les 29-30 juillet s est tenu à cotonou, Azalaï Hôtel de la Plage Xwlacodji, salle Gbehanzin,
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détailDESCRIPTION D AFFECTATION DE VOLONTAIRE DES NATIONS UNIES
Préambule: DESCRIPTION D AFFECTATION DE VOLONTAIRE DES NATIONS UNIES Le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) est au sein des Nations Unies l organisation qui, au niveau mondial, est chargée
Plus en détailMANUEL DES PROCEDURES DE GESTION DES PROGRAMMES
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles/ West and Central African Council for Agricultural Research and Development CORAF/WECARD MANUEL DES PROCEDURES DE GESTION
Plus en détailPartager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ :
Objet de la présentation Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Défis rencontrés Avantages acquis Contenu de la présentation Qu est ce que l ASECNA? Planification de
Plus en détailRAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE
RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES SUR L EFFICACITE DE L AIDE EXTERIEURE AUX SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE ELEMENTS DE CONTEXTE L audit réalisé par la Cour des Comptes européennes
Plus en détailCommunauté Economique des Etats de l Afrique Centrale (CEEAC) Programme Détaillé pour le Développement de l Agriculture Africaine (PDDAA)
Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale () Programme Détaillé pour le Développement de l Agriculture Africaine (PDDAA) Fonds Fiduciaire Multi Donateurs (FFMD) Plan stratégique et opérationnel
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailNations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011
Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits
Plus en détailRapport de la Table Ronde sur le Soutien Juridique en République du Congo
Avril 2013 Rapport de la Table Ronde sur le Soutien Juridique en République du Congo Brazzaville, 27 mars 2013 Table des matières I - INTRODUCTION... 3 II - TRAVAUX DE LA TABLE RONDE... 4 II.1. La session
Plus en détail1. Contexte et justification
Termes de Référence pour l assistance technique à la Cellule de Gestion des Projets et des Marchés Publics du Ministère de la Santé Publique en République Démocratique du Congo 1. Contexte et justification
Plus en détailSéminaires organisés en France Séminaires organisés au Canada Séminaires organisés au Maroc Séminaires organisés au Sénégal
éminaires organisés en France éminaires organisés au anada éthodes et outils d élaboration des DT (global et sectoriels) dans le cadre de la réforme des finances publiques Budgétisation axée sur les objectifs
Plus en détailFICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PROGRAMME TACC
République du Sénégal Un Peuple Un But Une Foi Ministère de la Décentralisation et des Collectivités locales Direction de la Coopération Décentralisée Programme des Nations Unies pour le Développement
Plus en détail