J. LEBRUN - OECCBB 30 novembre 2015 LE ROLE DE L EXPERT- COMPTABLE DANS LE CADRE DES POUVOIRS INDIVIDUELS D INVESTIGATION ET DE CONTROLE DES ASSOCIES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "J. LEBRUN - OECCBB 30 novembre 2015 LE ROLE DE L EXPERT- COMPTABLE DANS LE CADRE DES POUVOIRS INDIVIDUELS D INVESTIGATION ET DE CONTROLE DES ASSOCIES"

Transcription

1 J. LEBRUN - OECCBB 30 novembre 2015 LE ROLE DE L EXPERT- COMPTABLE DANS LE CADRE DES POUVOIRS INDIVIDUELS D INVESTIGATION ET DE CONTROLE DES ASSOCIES

2 Article 166 CS Fondement légal 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 2

3 ART 166 cs Au cas où aucun commissaire n est nommé, chaque associé a, nonobstant toute stipulation contraire des statuts, individuellement les pouvoirs d investigation et de contrôle des commissaires. Il peut se faire représenter ou se faire assister par un expert-comptable. 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 3

4 Autres textes (contexte légal) Article 165 C. soc. nomination d un commissaire Au cas où, en application de l article 141, aucun commissaire ne doit être nommé, l organe de gestion est néanmoins tenu de soumettre à l organe compétent la demande d un ou de plusieurs associés visant à la nomination d un commissaire, chargé des fonctions visées à l article 142. Article 167 C. soc. rémunération de l expert-comptable par la société La rémunération de l expert-comptable visée à l article 166 incombe à la société s il a été désigné avec son accord ou si cette rémunération a été mise à sa charge par décision judiciaire. En ces cas, les observations de l expert-comptable sont communiquées à la société. 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 4

5 Autres textes (contexte légal) Article 385 C. soc. Par dérogation à l article 166, les statuts peuvent prévoir que les pouvoirs d investigation et de contrôle des associés individuels sont délégués à un ou plusieurs associés chargés de ce contrôle. Ces associés chargés du contrôle sont nommés par l assemblée générale des associés. Ils ne peuvent exercer aucune autre fonction, ni accepter aucun autre mandat dans la société. Ils peuvent se faire représenter par un expert-comptable externe. La rémunération de l expert-comptable externe incombe à la société s il a été désigné avec son accord ou si cette rémunération a été mise à sa charge par décision judiciaire. Dans ces cas, les observations de l expert-comptable externe sont communiquées à la société. 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 5

6 Autre disposition CHAPITRE VI. - Experts-vérificateurs. Art S'il existe des indices d'atteinte grave ou de risque d'atteinte grave aux intérêts de la société, le tribunal de commerce peut, à la requête d'un ou de plusieurs associés possédant au moins 1 % des voix attachées à l'ensemble des titres existants, ou possédant des titres représentant une fraction du capital égale à [ EUR] au moins, nommer un ou plusieurs experts ayant pour mission de vérifier les livres et les comptes de la société ainsi que les opérations accomplies par ses organes. Art La demande visée à l'article 168 est introduite par citation. Le tribunal entend les parties en chambre du conseil et statue en audience publique. Le jugement précise les questions ou les catégories de questions sur lesquelles porteront les investigations. Il fixe la consignation préalable à fournir le cas échéant par les demandeurs pour le paiement des frais. Ces frais pourront être compris dans ceux de l'instance à laquelle donneraient lieu les faits constatés. Le tribunal détermine si le rapport doit faire l'objet d'une publicité. Il peut notamment en imposer la publication, aux frais de la société, selon les modalités qu'il fixe. Mission judiciaire, rapport au Tribunal, non réservée EC 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 6

7 Aspects Juridiques 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 7

8 Champ d application Toutes les sociétés sauf la société agricole Cas particulier de la SC 385 CS Sociétés (sauf à responsabilité illimitée et dont les associés sont des PP) «petites» (et non cotées) ET n ayant pas (sur base volontaire) nommé de commissaire GIE 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 8

9 Désignation d un commissaire La désignation d un commissaire, conformément à l article 165 CS met fin au pouvoir individuel de contrôle des associés Une telle demande de nomination d un commissaire ne peut aucunement être dictée par le seul but d entraver l exercice du pouvoir individuel d investigation et de contrôle des associés 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 9

10 Doctrine, jurisprudence Les associés ne peuvent pas abuser de leur droit d exercer ce pouvoir Les statuts ne peuvent pas limiter ou annihiler la possibilité d exercer le pouvoir individuel d investigation et de contrôle. En revanche, ils peuvent prévoir l obligation de nommer un commissaire au sein de la société 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 10

11 Cas particuliers Actions en usufruit (237 al 2 CS ; statuts) Dissolution et liquidation Faillite Actions appartenant à un communauté matrimoniale et enregistrées au nom d un des époux Renvoi au vade mecum 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 11

12 Les coopératives Dérogation à l article 166 CS Doit être prévu dans les statuts Le pouvoir individuel est confié à des associés désignés par l AG Pas d autre fonction ni de mandat dans la société Assistance ou représentation EC possible Pouvoir individuel (sauf statuts Collège) ; à prévoir Délégation, et non obligation Durée indéterminée 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 12

13 Représentation ou assistance Auparavant, réprésentation uniquement (position doctrine assister ou représenter) Loi corrective (2002) a prévu assister ou représenter Plusieurs associés peuvent se faire représenter ou assister par le même EC 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 13

14 Le pouvoir d investigation et de contrôle 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 14

15 Etendue Se référer aux pouvoirs du commissaire, par analogie (Art 166 CS) Art 142 CS : Le contrôle dans les sociétés de la situation financière, des comptes annuels et de la régularité au regard du présent code et des statuts, des opérations à constater dans les comptes annuels doit être confié à un ou plusieurs commissaires Exercices : à priori pour les comptes non encore approuvés, mais le contrôle de l exercice requiert (soldes d ouverture, données comparatives) le contrôle de l exercice précédent 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 15

16 Fin du pouvoir de contrôle ; entraves Nomination commissaire (sauf si dans le but d entraver ce pouvoir) Si il existe des entraves au contrôle : action au TC (responsabilité OG ; sanctions pénales CS) 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 16

17 Rémunération de l EC En principe par associé(s) ayant requis l assistance ou la représentation A charge de la société si elle marque son accord Peut être mis à charge de la société par décision judiciaire 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 17

18 Obligations déontologiques 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 18

19 Secret professionnel Pas envers l associé qu il représente, et qui a les mêmes pouvoirs d investigation que l EC Attention au cadre limitation destinataire du rapport, insister AG : assistance? Contestable et non souhaitable - indépendance Mission à exercer au siège ; la possibilité d obtenir des copies est contestée par une partie de la doctrine 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 19

20 Indépendance Indépendance de fait : Pas de mission permanente au profit de la société (2 ans) Pas de mission au profit de maison-mère, groupe d associés majoritaires Liens familiaux ou économiques avec organe de gestion Indépendance d apparence Liens avec organe gestion Familiarité Objectivité : ne pas prendre partie pour l actionnaire, l EC n est pas son conseil / défenseur 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 20

21 Acceptation de la mission Conditions déontologiques Indépendance Compétences Disponibilité Obligations anti-blanchiment Formalisée par LM Scepticisme professionnel Qualité 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 21

22 Confraternité Contact avec le professionnel en place, dans le respect du secret professionnel 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 22

23 Lettre de mission Introduction référence au code des sociétés Identité du (des) associé(s) ayant mandaté l EC Coordonnées de la société faisant l objet du contrôle, référentiel comptable Mention de l accord (ou non) de la société Déontologie Mention qu aucun confrère n a été chargé de cette mission par les mêmes personnes au cours des 12 derniers mois Obligations LAB 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 23

24 Lettre de mission Définition de la mission ; cadre général, Type de contrôle (normes applicables) - objectif (contrôle général / contrôle limité procédures convenues Responsabilité de l Expert-comptable (pas audit pleinier pas d assurance) assistance ou représentation Relations Mode de fixation des honoraires, personnes en charge de la mission Conditions générales cabinet Mode de communication 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 24

25 Lettre de mission Travaux Disponibilité de l information Détermination de l associé responsable et de l équipe, compétences Planning travaux, date de remise du rapport Rapport : forme, communication, limites à l utilisation et publicité Autres points d intérêt confirmation 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 25

26 Exercice de la mission

27 Cadre référentiel IEC : norme générale de révision Adoptions normes intern. Par CSPE pour Réviseurs Tentative de se raccrocher à référentiel ISRS 2400 (pas obligation) Limites : si pas accord direction (requiert lettre affirmation, ), sytème qualité Mission conventionnelle, mais utiliser référentiel par analogie Un rapport sous forme longue peut être souhaitable, mais même type de conclusion Objectif : éviter expectation gap et limiter responsabilité 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 27

28 Cadre d intervention Source : VESSIE, Bénédicte Séminaire IRE ISAE 3000 ISRS oct décembre 2015 Audit d'acquisition 28

29 IFAC (Source : DELOITTE Natacha Melchior séminaire IRE 2011 : ISRE novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 29

30 Cadre Procédures convenues Référentiel ISRS 4400 Mission contractuelle (définir les procédures à mettre en œuvre dans LM) Exemple : s assurer caractère légal compta 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 30

31 Cadre Si ensemble des comptes ISRE 2400 (Assurance limitée) ISRE 2410 pour info financière intermédiaire attestation (Assurance raisonnable) semble peu approprié à la mission ISA?? 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 31

32 Travaux de contrôle 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 32

33 Préambule Entretiens avec le(s) donneur(s) d ordre Obligations déontologique 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 33

34 Organisation des travaux de contrôle Plan de travail Dossier de travail normes professionnelles documenter travaux Archiver Irréversibilité dossier après rapport(délai mise en état) 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 34

35 Programme de la mission Connaissance de l entité Entretien donneur ordre Informations générales Entretien direction, management, service comptable Analyse de risque Risques inhérents Risques relevant entité Procédures analytiques Selon analyse Procédures convenues Jugement professionne l Demande infos Information s direction Anomalies Evaluation anomalies non corrigées 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 35

36 Connaissance entité Secteur activité Risques Référentiel comptable Contrôle interne Environnement 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 36

37 Programme Contrôle interne Going concern Postes importants Revenus Provisions Actifs / Passifs sensibles Sujets spécifiques Evènements post exercice 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 37

38 Programme Procédures analytiques Limitations au contrôle Confirmations externes Pas d observations physiques (prise inventaire) Procédures Demandes informations Procédures analytiques Réconciliations 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 38

39 Going concern Continuité discontinuité Effet sur règles d évaluation Période 12 mois 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 39

40 Réconciliations Banques, emprunts Secrétariat social CA-TVA Comptes interco Fiscales 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 40

41 Procédures analytiques Comparaison exercices précédents Comparaison avec budgets, prévisionnels Examen vis à vis de rations, benchmarking Examen évolution saisonnières 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 41

42 Informations Lire PV CA, AG, Cdo Dir Lire contrats (banques, baux,..) exercice Contacter autres professionnels Courriers avocats, assureurs 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 42

43 Informations Entretiens management Difficultés rencontrées, fraudes avérées Opérations inhabituelles, évènements post clôture Evolution affaires Anomalies connues et non corrigées Relation parties liées Hors bilans, engagements 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 43

44 S assurer que : la terminologie utilisée dans les états financiers est adéquate les états financiers fournissent des informations adéquates sur les méthodes comptables retenues et suivies les méthodes comptables sont appropriées selon le référentiel retenu les estimations faites par la direction semblent raisonnables les informations présentées sont pertinentes, fiables, comparables les états financiers donnent des informations adéquates au lecteur pour comprendre l incidence des opérations et évènements significatifs les états financiers correspondent aux documents comptables sous-jacents 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 44

45 Anomalies Non corrigées Découverts Individuellement ou en cumul Ont un caractère significatif sur l information 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 45

46 Limitation des travaux Si la non coopération de la direction limite les travaux de manière à rendre ces derniers inopérants Si sur rubrique circonscrite réserve Si sur totalité («diffus») Si, après avoir accepté la mission, la direction impose une limitation de l'étendue de l'examen limité, l'auditeur demande à ce que cette limitation soit levée. Si la direction s'y refuse, l'auditeur se trouve dans l'impossibilité de mener la mission à son terme et d'exprimer une conclusion. Dans de telles situations, l'auditeur rend compte par écrit à un niveau approprié de la direction et aux personnes constituant le gouvernement d'entreprise son donneur d ordre, des raisons pour lesquelles l'examen limité ne peut être mené à son terme, 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 46

47 Le rapport 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 47

48 Rapport Procédure convenue : Rapport forme longue Description postes examinés, procédures réalisées, constatations Pas d opinion Cfr Vademedum IEC P59 Contrôle pleinier : attestation ISA 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 48

49 Rapport examen limité Introduction Référence au cadre normatif (ISRE 2400 ) si toutes la norme est respectée ; à défaut, noter «examen limité» sans référence norme ISQC 1 compliance (4) Déclarations directions (61) Etendue de l examen limité travaux Un examen limité d états financiers selon la norme ISRE 2400 consiste en des demandes d informations auprès de la direction, la mise en place de procédures analytiques, et l évaluation du caractère suffisant et approprié des éléments obtenus. 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 49

50 Rapport examen limité Conclusion : pas d éléments matériels qui portent à croire que : Inadéquation au référentiel comptable L image fidèle n est pas respectée 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 50

51 Type d attestation contrôle limité 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 51

52 Rapport examen limité Conclusion sans réserve : «Sur base de notre examen, nous n avons rien relevé qui nous porte à croire que ces états financiers ne donnent pas une image fidèle, dans tous leurs aspects significatifs de la situation financière» Ou «En conclusion, nous déclarons avoir procédé à l examen limité de la situation financière intermédiaire de la société XXX nous n avons pas relevé d éléments qui impliqueraient des corrections significatives de l état financier» 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 52

53 Rapport modifié examen limité Réserve Fondement de la conclusion avec réserve Conclusion avec réserve Sur base de notre examen limité, et sous réserve de la question décrite au paragraphe précédent, nos n avons pas relevé d autres fait qui nous laissent à penser que les états financiers intermédiaires ci-joints ne donnent pas une image fidèle de (ou «ne présentent pas sincèrement, dans tous leurs aspects significatifs») la situation financière de l entité au XX/XX/20XX. 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 53

54 Bibliographie 30 novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 54

55 Bibliographie FRONVILLE, Hughes, Contrôle et assistance en cas de conflits entre actionnaires, Bruxelles, Editions comptabilité et productivité ASBL, 2008 VAN BOVEN, Rutger, Vade-mecum de l'expert-comptable et du conseil fiscal - Partie 2 (Les missions légales les plus courantes du Code des sociétés), chapitre 2, p21 et suivantes; Bruxelles, IEC, 2008 VAN BOVEN, Rutger, Le rôle de l'expert-comptable dans le pouvoir individuel d'investigation et de contrôle des associés (Art. 166 C. Soc.), Bruxelles, in Accountancy & Tax 2/ novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 55

56 Bibliographie MELCHIOR, Natacha - DELOITTE : Examen d états financiers par un réviseur indépendant, - Séminaire IRE : ISRE 2400 Bruxelles, 2011, VESSIE, Bénédicte Séminaire IRE ISAE 3000 ISRS oct novembre 2015 Art 166 CS - J. Lebrun - OECCBB 56

LE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE

LE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE LE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE Septembre 2011 Page 1 Au sommaire Préambule Le nouveau référentiel sur la forme Le nouveau référentiel sur le

Plus en détail

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés)

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) INTRODUCTION Historique 1. Le 6 octobre 1989, le Conseil de l IRE a approuvé une recommandation de révision

Plus en détail

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture Le présent document a été élaboré et approuvé par le Conseil des normes internationales

Plus en détail

PRESENTATION DU CADRE DE REFERENCE 2010 A LA COMMISSION DE DROIT COMPTABLE 12 Juillet 2010

PRESENTATION DU CADRE DE REFERENCE 2010 A LA COMMISSION DE DROIT COMPTABLE 12 Juillet 2010 COMMISSION DES MISSIONS COMPTABLES PRESENTATION DU CADRE DE REFERENCE 2010 A LA COMMISSION DE DROIT COMPTABLE 12 Juillet 2010 Joëlle LASRY/Guy ZERAH CREATIVE WORK Page 1 PRESENTATION GENERALE Le Conseil

Plus en détail

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES 3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES Considérant que la révision des comptes consolidés doit s exercer conformément aux normes générales de révision; que ses caractéristiques

Plus en détail

Le commissaire aux comptes et le premier exercice d un nouveau mandat

Le commissaire aux comptes et le premier exercice d un nouveau mandat Le commissaire aux comptes et le premier exercice d un nouveau mandat Objectifs de la conférence n Préciser les modalités pratiques de mise en œuvre de la NEP 510 - Contrôle du bilan d ouverture du premier

Plus en détail

DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL.

DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL. DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL Introduction Module 1 Contrôle de la qualité et documentation Module 2 Acceptation de

Plus en détail

La dissolution et la liquidation en un seul acte

La dissolution et la liquidation en un seul acte La dissolution et la liquidation en un seul acte La loi du 25 avril 2014 portant des dispositions diverses en matière de Justice a apporté de nouvelles modifications à l'article 184, 5 du Code des sociétés

Plus en détail

www.ifec.fr Septembre 2008 OUTIL PRATIQUE DE L INSTITUT FRANÇAIS DES EXPERTS-COMPTABLES ET DES COMMISSAIRES AUX COMPTES Copyright IFEC

www.ifec.fr Septembre 2008 OUTIL PRATIQUE DE L INSTITUT FRANÇAIS DES EXPERTS-COMPTABLES ET DES COMMISSAIRES AUX COMPTES Copyright IFEC www.ifec.fr Septembre 2008 OUTIL PRATIQUE DE L INSTITUT FRANÇAIS DES EXPERTS-COMPTABLES ET DES COMMISSAIRES AUX COMPTES Copyright IFEC IFEC - La démarche générale d audit et les nouvelles normes - septembre

Plus en détail

RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES ANNUELS

RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES ANNUELS RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES ANNUELS Société Générale Exercice clos le 31 décembre 2014 Aux Actionnaires, En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale,

Plus en détail

Mise à jour juin 2013. Référentiel. normatif. des professionnels de l expertise comptable

Mise à jour juin 2013. Référentiel. normatif. des professionnels de l expertise comptable 2012 Référentiel normatif des professionnels de l expertise comptable Mise à jour juin 2013 Avant-propos Avant-propos LE REFERENTIEL NORMATIF 2012 MIS A JOUR LE REFERENTIEL NORMATIF 2012 MIS A JOUR Le

Plus en détail

CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE

CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE I. Organisation de la profession comptable Profession comptable Comptable s salariés Comptable s libéraux Comptable s publics A. Comptables salariés 1. La profession

Plus en détail

CONCLUSIONS DE L'AUDIT ET RAPPORT

CONCLUSIONS DE L'AUDIT ET RAPPORT Manuel des Normes 281 MANUEL DES NORMES TITRE 5 CONCLUSIONS DE L'AUDIT ET RAPPORT Version janvier 2009 Titre 5- Conclusions de l audit et rapport Manuel des Normes 282 CONCLUSIONS DE L'AUDIT ET RAPPORT

Plus en détail

Code civil local art. 21 à 79

Code civil local art. 21 à 79 Code civil local art. 21 à 79 Toute association qui fixe son siège, ou qui transfère son siège en Alsace-Moselle doit rédiger des statuts conformes aux présents articles du Code civil local. 1. Dispositions

Plus en détail

Règlement intérieur. de la Commission de surveillance

Règlement intérieur. de la Commission de surveillance Règlement intérieur de la Commission de surveillance L a loi du 28 avril 1816 dote la Caisse des Dépôts et Consignations d un statut particulier destiné à assurer à sa gestion une indépendance complète

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES Introduction (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe

Plus en détail

PROFESSIONNEL AUPRES DE L ENTITE

PROFESSIONNEL AUPRES DE L ENTITE AVANT-PROPOS MISSION D EXAMEN LIMITE : UNE MISSION QUI CONSOLIDE LE ROLE DU PROFESSIONNEL AUPRES DE L ENTITE La mission d examen limité des comptes est une mission d assurance de niveau modéré, sur la

Plus en détail

Principales dispositions du projet de règlement

Principales dispositions du projet de règlement Principales dispositions du projet de règlement (TEXTE VOTÉ PAR LA COMMISSION JURI LE 21 JANVIER 2014) Février 2014 1 Honoraires d audit (article 9) (1/3) Limitation des services non audit Si un contrôleur

Plus en détail

Charte d audit du groupe Dexia

Charte d audit du groupe Dexia Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans

Plus en détail

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance Le présent document a été élaboré et approuvé par le

Plus en détail

3.1. Eléments probants externes (7 juillet 1995)

3.1. Eléments probants externes (7 juillet 1995) 3. ASPECTS TECHNIQUES 79 80 3.1. Eléments probants externes (7 juillet 1995) Introduction Selon le paragraphe 2.5. des normes générales de révision de l I.R.E., «Le réviseur d entreprises doit récolter

Plus en détail

Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs

Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs (Loi sur la surveillance de la révision, LSR) 221.302 du 16 décembre 2005 (Etat le 1 er septembre 2007) L Assemblée fédérale de la Confédération

Plus en détail

PROTOCOLE. Entre le Barreau de Paris, le Tribunal de Commerce et le Greffe. Le Barreau de Paris, représenté par son Bâtonnier en exercice,

PROTOCOLE. Entre le Barreau de Paris, le Tribunal de Commerce et le Greffe. Le Barreau de Paris, représenté par son Bâtonnier en exercice, PROTOCOLE Entre le Barreau de Paris, le Tribunal de Commerce et le Greffe Le Barreau de Paris, représenté par son Bâtonnier en exercice, Le Tribunal de commerce de Paris, représenté par son Président en

Plus en détail

LES FONDAMENTAUX DE L AUDIT DES COMPTES CONSOLIDES

LES FONDAMENTAUX DE L AUDIT DES COMPTES CONSOLIDES LES FONDAMENTAUX DE L AUDIT DES COMPTES CONSOLIDES 1 SOMMAIRE 1. Les sources d information 2. Les conditions d acceptation de mission 3. La planification de l audit de la consolidation 4. Les travaux d

Plus en détail

Diligences professionnelles du réviseur d entreprises qui agit comme domiciliataire de sociétés INDEX

Diligences professionnelles du réviseur d entreprises qui agit comme domiciliataire de sociétés INDEX Diligences professionnelles du réviseur d entreprises qui agit comme domiciliataire de sociétés Cette recommandation professionnelle a été adoptée lors de l'assemblée générale de l'institut des Réviseurs

Plus en détail

Norme ISA 330, Réponses de l auditeur à l évaluation des risques

Norme ISA 330, Réponses de l auditeur à l évaluation des risques IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 330, Réponses de l auditeur à l évaluation des risques Le présent document a été élaboré et approuvé par le Conseil

Plus en détail

Le rôle du syndic. Introduction

Le rôle du syndic. Introduction Le rôle du syndic Introduction Le syndic constitue un concept nouveau dans la société marocaine. Il est apparu avec l apparition de la copropriété. Celle ci a été régie pendant longtemps par le Dahir de

Plus en détail

CONVENTIONS D HONORAIRES EN MATIERE DE DIVORCE MODÈLES

CONVENTIONS D HONORAIRES EN MATIERE DE DIVORCE MODÈLES COMMISSION DES TEXTES CONVENTIONS D HONORAIRES EN MATIERE DE DIVORCE MODÈLES Depuis le 1er janvier 2013, la conclusion de conventions d honoraires est devenue obligatoire en matière de divorce, par application

Plus en détail

aux Comptes et Attestation

aux Comptes et Attestation Rapports des Commissaires aux Comptes et Attestation page.1. Rapport des Commissaires aux Comptes sur les comptes annuels* 186.2. Rapport des Commissaires aux Comptes sur les comptes consolidés* 188.3.

Plus en détail

Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales d audit

Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales d audit IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales

Plus en détail

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures

Plus en détail

Rapport annuel commun. Système belge de supervision publique des réviseurs d entreprises

Rapport annuel commun. Système belge de supervision publique des réviseurs d entreprises Rapport annuel commun Système belge de supervision publique des réviseurs d entreprises Le Conseil supérieur des Professions économiques tient à remercier le SPF Economie, P.M.E., Classes moyennes et Energie

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-4 Personnes

Plus en détail

Evaluation des risques et procédures d audit en découlant

Evaluation des risques et procédures d audit en découlant Evaluation des risques et procédures d audit en découlant 1 Présentation des NEP 315, 320, 330, 500 et 501 2 Présentation NEP 315, 320, 330, 500 et 501 Les NEP 315, 320, 330, 500 et 501 ont fait l objet

Plus en détail

Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs

Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs (Loi sur la surveillance de la révision, LSR) 221.302 du 16 décembre 2005 (Etat le 1 er janvier 2013) L Assemblée fédérale de la Confédération

Plus en détail

Caisse du Régime de retraite des cadres de la Ville de Québec. États financiers 31 décembre 2007

Caisse du Régime de retraite des cadres de la Ville de Québec. États financiers 31 décembre 2007 Caisse du Régime de retraite des cadres de la Ville de Québec États financiers Le 26 mai 2008 PricewaterhouseCoopers LLP/s.r.l./s.e.n.c.r.l. Comptables agréés Place de la Cité, Tour Cominar 2640, boulevard

Plus en détail

Comparaison de l expertise judiciaire au pénal et au civil

Comparaison de l expertise judiciaire au pénal et au civil Questions Réponse Références des Art. 156 à 169 du c.p.p. Avant l expertise Désignation de l expert Nombre d experts Nombre d experts dans le cadre d une contre expertise Possibilité de nommer une personne

Plus en détail

Article 6. Absence de convention apparente de mini-trial

Article 6. Absence de convention apparente de mini-trial GE ERALITES Article 1. Champ d application 1. La section III s applique aux différends survenant entre les parties qui ont conclu une convention écrite afin de régler leur différend par la voie du mini-trial.

Plus en détail

Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration

Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration joint au rapport de gestion rendant compte des conditions de préparation et d organisation des travaux du Conseil ainsi que des procédures de

Plus en détail

Le quasi-apport Une tâche spécifique, confiée par la loi à votre réviseur d entreprises

Le quasi-apport Une tâche spécifique, confiée par la loi à votre réviseur d entreprises 2. Bas i s reg el s voor een g ezon d f i n an ci eel b el ei d Le quasi-apport Une tâche spécifique, confiée par la loi à votre réviseur d entreprises MISSIONS SPÉCIFIQUES DU RÉVISEUR D ENTREPRISES DANS

Plus en détail

Rapport financier semestriel relatif à l exercice 2014/2015

Rapport financier semestriel relatif à l exercice 2014/2015 , Leuven, relatif à l exercice 2014/2015 Lors des six premiers mois de l'exercice 2014/2015, KBC Ancora a affiché un résultat négatif de 10,7 millions d euros. Ce résultat a été déterminé en grande partie

Plus en détail

La procédure de sauvegarde

La procédure de sauvegarde La procédure de sauvegarde La procédure de sauvegarde est une procédure préventive, dont l objet principal est la prévention et l anticipation de la cessation des paiements d une entreprise. Elle est ouverte

Plus en détail

Guide pour l utilisation des Normes Internationales d Audit dans l Audit des Petites et Moyennes Entreprises

Guide pour l utilisation des Normes Internationales d Audit dans l Audit des Petites et Moyennes Entreprises Guide pour l utilisation des Normes Internationales d Audit dans l Audit des Petites et Moyennes Entreprises Publié par le Comité des Cabinets d Expertise Comptable de Petite et Moyenne Taille Small and

Plus en détail

Rapport d audit interne

Rapport d audit interne Exercice social clos au 31/12/2004 Rapport d audit interne du Président du Conseil d administration de la Compagnie Financière de Deauville en application de l article 117 de la loi n 2003-706 du 1 er

Plus en détail

TITRE V : ORGANISMES DE PLACEMENT COLLECTIF

TITRE V : ORGANISMES DE PLACEMENT COLLECTIF TITRE V : ORGANISMES DE PLACEMENT COLLECTIF Chapitre I : Les Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières Section I : Dispositions générales Article 264 : Les dispositions du présent chapitre

Plus en détail

CNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification

CNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Appel à commentaires Missions d examen préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Date limite de réception des commentaires : le 11 avril 2011 CNAC APPEL À COMMENTAIRES MISSIONS D EXAMEN

Plus en détail

Mutuelle Retraite Européenne N SIREN 477 908 305 STATUTS RÈGLEMENTS. M E RMutuelle Retraite Européenne

Mutuelle Retraite Européenne N SIREN 477 908 305 STATUTS RÈGLEMENTS. M E RMutuelle Retraite Européenne Mutuelle Retraite Européenne N SIREN 477 908 305 2015 STATUTS RÈGLEMENTS M E RMutuelle Retraite Européenne Statuts MRE applicables à compter du 01/01/2015 Titre I ER - Formation, Objet et composition

Plus en détail

REGLEMENT DE LA DIRECTION NATIONALE D AIDE ET DE CONTROLE DE GESTION DE LA FFVB Edition Juillet 2013 - Application à partir de la Saison 2013/2014 -

REGLEMENT DE LA DIRECTION NATIONALE D AIDE ET DE CONTROLE DE GESTION DE LA FFVB Edition Juillet 2013 - Application à partir de la Saison 2013/2014 - 1 1.1. Définition 1 DNACG DE LA FFVB En application de l'article L 132-2 du code du sport, il est institué une Direction Nationale d Aide et de Contrôle de Gestion (DNACG), chargée d'assurer le contrôle

Plus en détail

Le Président Correspondant sg@ibr-ire.be

Le Président Correspondant sg@ibr-ire.be AVIS (1) 2015/02 DU CONSEIL DE L INSTITUT DES REVISEURS D ENTREPRISES Le Président Correspondant sg@ibr-ire.be Notre référence EV/VY/vy Votre référence Date 02 mars 2015 Chère Consœur, Cher Confrère, Concerne

Plus en détail

Plan d action de l Institut des Réviseurs d Entreprises concernant l application de la norme ISQC-1 11.08.2014

Plan d action de l Institut des Réviseurs d Entreprises concernant l application de la norme ISQC-1 11.08.2014 Plan d action de l Institut des Réviseurs d Entreprises concernant l application de la norme ISQC-1 11.08.2014 Considérations générales 1. Le Conseil de l IRE est soucieux des difficultés rencontrées par

Plus en détail

ARTICLE 5 : SIEGE SOCIAL Le siège social est à Nantes. Il peut être transféré sur simple décision du conseil d administration.

ARTICLE 5 : SIEGE SOCIAL Le siège social est à Nantes. Il peut être transféré sur simple décision du conseil d administration. Association loi 1901 ARTICLE 1 : CONSTITUTION Création Il est fondé, entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par la loi du 1er juillet 1901, et le décret du 16 août 1901 ayant pour

Plus en détail

Missions des comités en détail

Missions des comités en détail Missions des comités en détail Missions et attributions des Comités du Conseil Le Conseil d administration a défini dans son règlement intérieur les missions et attributions de ses différents Comités permanents

Plus en détail

Kit Procédures collectives

Kit Procédures collectives Kit Procédures collectives Déposer une demande d ouverture de procédure de sauvegarde Contient : Notice pour remplir les intercalaires du formulaire (p.2) Liste des documents à produire (p.3) Formulaire

Plus en détail

REGLEMENT DE LA DIRECTION NATIONALE D AIDE ET DE CONTROLE DE GESTION (DNACG) DE LA FFVB. Edition Juillet 2015

REGLEMENT DE LA DIRECTION NATIONALE D AIDE ET DE CONTROLE DE GESTION (DNACG) DE LA FFVB. Edition Juillet 2015 TABLE DES MATIERES Pour accéder directement aux chapitres, cliquez sur le chapitre puis Ctrl + clic DNACG DE LA FFVBDNACG DE LA FFVB Article 1 Définition Article 2 Rôle Article 3 - Organisation Article

Plus en détail

Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B.

Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. du 26/02/2005 modifié les 15/03/2008, 21/04/2012 et 22/02/2014 I.REGLEMENT FINANCIER PREAMBULE La Fédération Française du Sport Boules, bénéficiant d une

Plus en détail

GROUPE BANQUE INTERNATIONALE ARABE DE TUNISIE BIAT

GROUPE BANQUE INTERNATIONALE ARABE DE TUNISIE BIAT GROUPE BANQUE INTERNATIONALE ARABE DE TUNISIE BIAT ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31/12/2012 Groupe BIAT Etats financiers consolidés arrêtés au 31 décembre 2012 Page ~ 2~ BILAN CONSOLIDE ARRETE AU 31 DECEMBRE

Plus en détail

Protocole d accord entre les assureurs de protection juridique affiliés à Assuralia, l O.V.B. et l O.B.F.G.

Protocole d accord entre les assureurs de protection juridique affiliés à Assuralia, l O.V.B. et l O.B.F.G. Protocole d accord entre les assureurs de protection juridique affiliés à Assuralia, l O.V.B. et l O.B.F.G. INTRODUCTION 1. Les assureurs de protection juridique, affiliés à Assuralia, cherchent, en tenant

Plus en détail

5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels. 5.5.5. Autres rémunérations

5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels. 5.5.5. Autres rémunérations 5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels Sous la direction de son Président, le Conseil d administration évalue régulièrement sa taille, sa composition

Plus en détail

Introduction 5. larcier 347

Introduction 5. larcier 347 TABLE DES MATIÈRES Introduction 5 Chapitre I L accès à la profession : l autorisation d établissement 7 Section 1. Le champ d application de la loi d établissement 8 A. Les personnes nécessitant une autorisation

Plus en détail

Chapitre IV. La certification des comptes

Chapitre IV. La certification des comptes Chapitre IV La certification des comptes Aux termes de la Constitution, «les comptes des administrations publiques sont réguliers, sincères et donnent une image fidèle de leur gestion, de leur patrimoine

Plus en détail

La délégation de pouvoirs

La délégation de pouvoirs La délégation de pouvoirs DELEGATIONS DE POUVOIR Secteur Pharmaceutique Paris, 27 septembre 2006 Introduction: définition, contexte et rappel des principes généraux Délégation de pouvoirs et notions voisines

Plus en détail

Document d information

Document d information Document d information Direction des finances municipales Janvier 2008 ISBN 978-2-550-51851-8 (PDF seulement) (3 e édition) ISBN 978-2-550-49637-3 (PDF seulement) (1 re édition) La consolidation des états

Plus en détail

Créer une ASBL : Comment s y prendre?

Créer une ASBL : Comment s y prendre? Créer une ASBL : Comment s y prendre? Bruxelles, 11 décembre 2013 Programme du jour: 1) Introduction 2) La personnalité juridique, différences société-asbl 2) Constitution d une ASBL 3) Mesures de publicité

Plus en détail

RAPPORT DU PRESIDENT SUR LE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE ET LES PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE

RAPPORT DU PRESIDENT SUR LE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE ET LES PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT DU PRESIDENT SUR LE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE ET LES PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE Mesdames, Messieurs, En application des dispositions de l article L.225-37 du Code de commerce, j ai l honneur

Plus en détail

Règlement du Commissariat aux Assurances N 13/01 du 23 décembre 2013 relatif à la lutte contre le blanchiment et contre le financement du terrorisme

Règlement du Commissariat aux Assurances N 13/01 du 23 décembre 2013 relatif à la lutte contre le blanchiment et contre le financement du terrorisme Règlement du Commissariat aux Assurances N 13/01 du 23 décembre 2013 relatif à la lutte contre le blanchiment et contre le financement du terrorisme (Mémorial A N 224 du 24 décembre 2013) La Direction

Plus en détail

Créer son ASBL. VERSION 1 01 février 2013

Créer son ASBL. VERSION 1 01 février 2013 Créer son ASBL La démarche à suivre! Ce dossier a été rédigé par l AWBB pour faciliter la démarche des clubs qui doivent acquérir la forme juridique ASBL avant le 30 juin 2013. VERSION 1 01 février 2013

Plus en détail

L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES. TRANSVERS CONSULTING L'audit des compagnies d'assurances 2005 1

L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES. TRANSVERS CONSULTING L'audit des compagnies d'assurances 2005 1 L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES 2005 1 Séminaire - Atelier L audit interne dans l assurance 1 ère communication : Généralités sur l audit interne 2 ème communication : L audit interne des compagnies

Plus en détail

a) approuve les orientations stratégiques du Groupe, veille à leur mise en oeuvre et les revoit au moins une fois par an ;

a) approuve les orientations stratégiques du Groupe, veille à leur mise en oeuvre et les revoit au moins une fois par an ; REGLEMENT INTERIEUR DU CONSEIL D ADMINISTRATION 1 (Mis à jour à effet du 20 mai 2015) Préambule : Le Conseil d administration représente collectivement l ensemble des actionnaires et agit dans l intérêt

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-3 Réponses globales... 4-6 Procédures d'audit

Plus en détail

maison pour associations

maison pour associations maison pour associations Eléments de compréhension de la comptabilité des petites A.S.B.L. mpa, Association Sans But Lucratif Route de Mons, 80 à 6030 Marchienne-au-Pont Tél 071 53 91 53 - Fax 071 53 91

Plus en détail

Framasoft c/o Locaux Motiv 10 bis rue Jangot 69007 Lyon

Framasoft c/o Locaux Motiv 10 bis rue Jangot 69007 Lyon Article 1er Dénomination Statuts de l association Framasoft TITRE 1 CONSTITUTION Il est fondé entre les adhérent-e-s aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret

Plus en détail

CE : comment obtenir vos budgets

CE : comment obtenir vos budgets Droit en du pratique CE Pour fonctionner ou proposer des ASC aux salariés, le CE a forcément besoin de moyens financiers! Or sa principale ressource en la matière, c est l employeur, puisque c est lui

Plus en détail

INSTRUCTION N 017-12-2010 RELATIVE A L'ORGANISATION DU CONTRÔLE INTERNE AU SEIN DES SYSTEMES FINANCIERS DECENTRALISES

INSTRUCTION N 017-12-2010 RELATIVE A L'ORGANISATION DU CONTRÔLE INTERNE AU SEIN DES SYSTEMES FINANCIERS DECENTRALISES INSTRUCTION N 017-12-2010 RELATIVE A L'ORGANISATION DU CONTRÔLE INTERNE AU SEIN DES SYSTEMES FINANCIERS DECENTRALISES Le Gouverneur de la Banque Centrale des Etats de l'afrique de l'ouest, Vu le Traité

Plus en détail

LA MISSION D AUDIT LEGAL

LA MISSION D AUDIT LEGAL MANUEL DES NORMES LA MISSION D AUDIT LEGAL ET CONTRACTUEL La mission d'audit légal et contractuel Les normes relatives au comportement professionnel Les normes de travail Les normes de rapports Les normes

Plus en détail

Le statut social du dirigeant : salarié ou indépendant. Allen & Overy 2012 1

Le statut social du dirigeant : salarié ou indépendant. Allen & Overy 2012 1 Le statut social du dirigeant : salarié ou indépendant Allen & Overy 2012 1 Agenda Contrat de travail et / ou mandat social 1. Aspects de droit du travail 2. Aspects de droit des sociétés 3. Aspects de

Plus en détail

LES LE DDL : DES DE MISSIONS ACCE A SSIBLE CCE S SSIBLE A TOUS U! Dates

LES LE DDL : DES DE MISSIONS ACCE A SSIBLE CCE S SSIBLE A TOUS U! Dates LES DDL : DES MISSIONS ACCESSIBLES A TOUS! Dates SOMMAIRE Référentiels normatifs des 2 professions NEP DDL : généralités Pé Présentation des 8 DDL EC et CAC : beaucoup de ressemblances de normes Utilité

Plus en détail

Société Anonyme 166-180 boulevard Gabriel Péri 92240 Malakoff

Société Anonyme 166-180 boulevard Gabriel Péri 92240 Malakoff EDENRED Société Anonyme 166-180 boulevard Gabriel Péri 92240 Malakoff Rapport des Commissaires aux Comptes sur l émission d actions et/ou de diverses valeurs mobilières avec maintien et/ou suppression

Plus en détail

La protection des associés en droit congolais et en droit OHADA

La protection des associés en droit congolais et en droit OHADA Le statut des associés des sociétés commerciales La protection des associés des sociétés commerciales constitue une avancée du droit OHADA sur le droit congolais La République démocratique du Congo (RDC)

Plus en détail

Lors de sa réunion du 12 novembre 2009, le Conseil a modifié son Règlement Intérieur.

Lors de sa réunion du 12 novembre 2009, le Conseil a modifié son Règlement Intérieur. RAPPORT DU PRESIDENT AU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PREPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL ET SUR LES PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE Les informations qui suivent sont établies

Plus en détail

Vu le Code monétaire et financier, notamment ses articles L. 612-23-1, R. 612-29-3 et R. 612-29-4 ;

Vu le Code monétaire et financier, notamment ses articles L. 612-23-1, R. 612-29-3 et R. 612-29-4 ; AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ET DE RÉSOLUTION ----- Instruction n 2015-I-02 relative au formulaire de nomination ou de renouvellement de dirigeant des organismes du secteur assurance L Autorité de contrôle

Plus en détail

PLAN DE WARRANTS 2014 EMISSION ET CONDITIONS D EXERCICE

PLAN DE WARRANTS 2014 EMISSION ET CONDITIONS D EXERCICE PLAN DE WARRANTS 2014 EMISSION ET CONDITIONS D EXERCICE Offre de maximum 100.000 de droits de souscription ("Warrants") réservés aux Bénéficiaires du Plan de Warrants de la Société Les acceptations dans

Plus en détail

Arrêtons. Chapitre I er. - Les assemblées générales de copropriétaires

Arrêtons. Chapitre I er. - Les assemblées générales de copropriétaires Règlement grand-ducal du 13 juin 1975 prescrivant les mesures d'exécution de la loi du 16 mai 1975 portant statut de la copropriété des immeubles. - base juridique: L du 16 mai 1975 (Mém. A - 28 du 23

Plus en détail

Lettre circulaire 10/5 du Commissariat aux Assurances relative au compte rendu des courtiers d assurances, personnes morales et personnes physiques

Lettre circulaire 10/5 du Commissariat aux Assurances relative au compte rendu des courtiers d assurances, personnes morales et personnes physiques Luxembourg, le 18 mars 2010 Lettre circulaire 10/5 du Commissariat aux Assurances relative au compte rendu des courtiers d assurances, personnes morales et personnes physiques Madame, Monsieur, L article

Plus en détail

Responsabilité pénale de l association

Responsabilité pénale de l association Responsabilité pénale de l association Infractions limitativement définies : Le code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales à raison des infractions réalisées pour leur compte et

Plus en détail

Conférence de l Arson club du 16 avril 2008 sur la répétibilité des honoraires de l avocat (loi du 21/4/2007).

Conférence de l Arson club du 16 avril 2008 sur la répétibilité des honoraires de l avocat (loi du 21/4/2007). Conférence de l Arson club du 16 avril 2008 sur la répétibilité des honoraires de l avocat (loi du 21/4/2007). 1. Le contexte historique Notre Cour de Cassation a longuement considéré que les frais et

Plus en détail

Quelles nouveautés pour les rapports à présenter à l assemblée générale ordinaire annuelle?

Quelles nouveautés pour les rapports à présenter à l assemblée générale ordinaire annuelle? Pratique d experts 9 Assemblées générales 2014 (sociétés cotées et sociétés non cotées) Toutes les nouveautés pour la préparation de vos assemblées générales : rapports à présenter, décisions à prendre,

Plus en détail

Opérations entre apparentés

Opérations entre apparentés exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Opérations entre apparentés Septembre 2012 DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES COMMENTAIRES : LE 21 NOVEMBRE 2012

Plus en détail

Comité des Fêtes d Oulins

Comité des Fêtes d Oulins Comité des Fêtes d Oulins Association loi 1901- Statuts du COMITE DES FETES D OULINS ARTICLE 1 : CONSTITUTION Création Il est fondé, entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par

Plus en détail

(la Société ) ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE

(la Société ) ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE Wereldhave Belgium SCA Société en commandite par actions Société publique d investissement à capital fixe en immobilier (Sicafi) de droit belge Medialaan 30, boîte 6 1800 Vilvoorde Numéro d entreprise

Plus en détail

DCG 10 Comptabilité approfondie

DCG 10 Comptabilité approfondie DCG 10 Comptabilité approfondie en 32 fiches Robert MAÉSO Agrégé d économie et gestion Diplômé d expertise comptable 3 e édition Collection «Express Expertise comptable» DCG J.-F. Bocquillon, M. Mariage,

Plus en détail

Le non-paiement répété par la société de la dette d impôt en matière de TVA, est, sauf preuve du contraire, présumé résulter d une faute.

Le non-paiement répété par la société de la dette d impôt en matière de TVA, est, sauf preuve du contraire, présumé résulter d une faute. 23. Je suis dirigeant d une société. Existe-t-il des cas dans lesquels je peux être tenu des dettes de ma société vis-à-vis de la TVA ou du précompte professionnel? Cette situation peut effectivement se

Plus en détail

NOTE TECHNIQUE ANNEXE VI AU CONTRAT DE SUBVENTION : MODELE DE RAPPORT FINANCIER

NOTE TECHNIQUE ANNEXE VI AU CONTRAT DE SUBVENTION : MODELE DE RAPPORT FINANCIER NOTE TECHNIQUE ANNEXE VI AU CONTRAT DE SUBVENTION : MODELE DE RAPPORT FINANCIER Avertissement: les éléments ci-dessous ne préjugent pas de l'appréciation finale lors de l'examen des rapports financiers

Plus en détail

(la Société ) I. ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE

(la Société ) I. ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE Wereldhave Belgium SCA Société en commandite par action Société publique d investissement à capital fixe en immobilier (Sicafi) de droit belge Medialaan 30, boîte 6 1800 Vilvoorde Numéro d entreprises

Plus en détail

Examen d'aptitude professionnelle des candidats réviseur d'entreprises. Session ordinaire septembre 2003. Épreuve écrite

Examen d'aptitude professionnelle des candidats réviseur d'entreprises. Session ordinaire septembre 2003. Épreuve écrite 6 octobre 2003 Examen d'aptitude professionnelle des candidats réviseur d'entreprises Session ordinaire septembre 2003 Épreuve écrite Vous travaillez dans un cabinet de réviseurs d'entreprises. Vous devez

Plus en détail

Règlement J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (SaraFlip)

Règlement J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (SaraFlip) Règlement J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (SaraFlip) Mars 2014 Règlementt Le présent règlement se fonde sur l art. 2 des statuts de J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (désignée ci-après

Plus en détail

STATUTS VERSION 2014. Elle est constituée en date du 29 septembre 2009. La liste des membres fondateurs est annexée aux présents statuts.

STATUTS VERSION 2014. Elle est constituée en date du 29 septembre 2009. La liste des membres fondateurs est annexée aux présents statuts. STATUTS VERSION 2014 I. DISPOSITIONS GENERALES Article 1 L Association des Commerçants de Collonge-Bellerive et Vésenaz (ci-après l'association) est une association de droit suisse au sens des articles

Plus en détail

Association SYNADEC. Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC

Association SYNADEC. Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC Association SYNADEC Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC Il est fondé, entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par la loi du 1er juillet 1901, le décret du 16

Plus en détail

I. Raison sociale But Durée Siège

I. Raison sociale But Durée Siège VAUDOISE ASSURANCES HOLDING SA Statuts I. Raison sociale But Durée Siège Art. 1 Art. 2 Art. 3 VAUDOISE ASSURANCES HOLDING SA VAUDOISE VERSICHERUNGEN HOLDING AG VAUDOISE ASSICURAZIONI HOLDING SA VAUDOISE

Plus en détail

Le Conseil des Ministres

Le Conseil des Ministres UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE -------------- Le Conseil des Ministres UEMOA DIRECTIVE N 0 2 / 07 /CM/UEMOA PORTANT CREATION D'UN ORDRE NATIONA DES EXPERTS-COMPTABLE ET DES COMPTABLES AGREES

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail