LES NEISSERIACEAE. La taxonomie des Neisseriaceae est complexe et changeante. Seuls les genres qui ont une importance médicale seront étudiés.
|
|
- Henriette Robillard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 - Neisseriaceae,A. Decoster, FLM, p. 1 - LES NEISSERIACEAE La taxonomie des Neisseriaceae est complexe et changeante. Seuls les genres qui ont une importance médicale seront étudiés. Le genre Neisseria comprend : 2 espèces qui ne sont pathogènes que chez l'homme : Neisseria gonorrhoeae et Neisseria meningitidis, et des espèces commensales qu'il faut savoir distinguer des précédentes. Le genre Kingella comprend 2 espèces rarement isolées en bactériologie clinique : Kingella kingae et Kingella denitrificans. Le genre Moraxella comprend Moraxella lacunata, responsable de conjonctivites, et Moraxella catarrhalis, isolée chez l'homme et certains animaux et parfois responsables de conjonctivites. LES NEISSERIA Les Neisseria ont une morphologie caractéristique. Ce sont des diplocoques à Gram négatif, accolés par une face aplatie donnant aux éléments bactériens l'aspect de "grains de café". Ils sont immobiles, non sporulés, oxydase + et catalase + et sont des aérobies stricts. NEISSERIA GONORRHOEAE Communément appelé gonocoque, Neisseria gonorrhoeae est l'agent de la blennorragie qui est une affection vénérienne. CARACTÈRES BACTÉRIOLOGIQUES Morphologie Les gonocoques sont des diplocoques à Gram négatif dont chaque élément mesure de 0,6 à 0,8 µm. La disposition en grain de café est caractéristique. Dans les produits pathologiques, et en particulier dans le pus uréthral, on les trouve souvent en situation intracellulaire dans le cytoplasme des polynucléaires.
2 - Neisseriaceae,A. Decoster, FLM, p. 2 - Culture La culture est délicate : les gonocoques ne cultivent pas sur les milieux ordinaires mais exigent des milieux enrichis de substances organiques (sang, sérum, ascite) sur lesquels ils forment, en 18 à 24 heures, des colonies grisâtres à bords réguliers. Une atmosphère aérobie stricte et enrichie de 8 à 10 % de CO 2 est nécessaire. Le ph optimal est 7,5, la température optimale est C. Les gonocoques sont très sensibles au froid et ne se multiplient pas en dessous de 30 C. Il existe un milieu spécial, rendu sélectif par l'adjonction d'antibiotiques, sur lequel ne se développent que les Neisseria pathogènes (gonocoque et méningocoque). Caractères biochimiques Neisseria gonorrhoeae possède une oxydase et une catalase comme toutes les Neisseria. Il acidifie les milieux contenant du glucose mais est sans action sur les milieux contenant les autres sucres étudiés (maltose, saccharose et fructose). Il ne possède pas de bétagalactosidase ni gammaglutamyltransférase et ne réduit pas les nitrates en nitrites. Antigènes Les gonocoques possèdent dans leur paroi des lipopolysaccharides antigéniques et toxiques (endotoxine). Les protéines de la membrane externe (P I, P II et P III) sont antigéniques. La protéine P I permet de distinguer de nombreux sérovars. Facteurs de virulence Le gonocoque ne produit pas d'exotoxine mais excrète une une protéase qui dégrade les IgA. Les formes virulentes possèdent des pili d'adhésion qui, avec la protéine P II, assurent la fixation des bactéries sur la muqueuse uro-génitale et qui augmentent la résistance des bactéries à la phagocytose. Le LPS produit des effets toxiques sur les cellules de la muqueuse. PATHOLOGIE Chez l'homme : uréthrite aiguë l'uréthrite aiguë est la forme la plus fréquente : l'incubation est de 3 à 5 jours, l'infection se manifestant ensuite sous la forme d'une uréthrite purulente avec rougeur du méat, suintement, brûlures lors des mictions il existe des formes frustres, des formes suraiguës et des complications (prostatite, épididymite, rétrécissement uréthral) Chez la femme : foyers multiples, discrétion des signes la maladie est beaucoup moins caractéristique ; l'infection est souvent méconnue car asymptomatique et peut être à l'origine de flambées évolutives très contagieuses,
3 - Neisseriaceae, A. Decoster, FLM p. 3 - sans traitement, les foyers infectieux se multiplient : uréthrite, salpingite, pelvipéritonite... avec risque de stérilité Dans les deux sexes : formes anorectales et extragénitales il est important de ne pas méconnaître les formes anorectales et pharyngées les formes généralisées, plus fréquentes chez la femme, se manifestent sous forme de septicémies, d'endocardites, d'arthrites, d'atteintes oculaires et cutanées. On observe même des méningites à gonocoque. Cas particuliers : la vulvo-vaginite de la petite fille l'ophtalmie purulente est devenue rare chez le nouveau-né mais s'observe encore parfois chez l'adulte. ÉPIDÉMIOLOGIE ET IMMUNITÉ La bactérie, très fragile, ne résiste que très peu dans le milieu extérieur et n'est pathogène que pour l'espèce humaine. Sa transmission est donc strictement interhumaine et presque toujours vénérienne. La transmission par le linge est probablement à l'origine de cas de vulvo-vaginite des petites filles. Une transmission manuportée peut être la cause d'une ophtalmie. La maladie atteint surtout les sujets jeunes. Les infections presque latentes (chez la femme notamment) et les formes frustres (dans les deux sexes) augmentent le risque de dissémination. Après une recrudescence due à la "libération" sexuelle, le nombre de cas diminue depuis 1987, la crainte du SIDA n'y étant sans doute pas étrangère. La prostitution ne constitue pas une cause importante de contagion, ce qui s'explique vraisemblablement par le professionnalisme ou la prudence des adeptes. La reconnaissance d'une infection gonococcique impose une enquête épidémiologique à la recherche des partenaires contaminants ou contaminés pour les traiter efficacement et éviter le risque de dissémination. L'infection suscite l'apparition d'anticorps (IgA sécrétoires et sériques et IgG) mais cliniquement l'immunité a peu d'effets protecteurs et les réinfections sont possibles. DIAGNOSTIC BIOLOGIQUE Le diagnostic biologique de la gonococcie repose sur l'examen bactériologique qui doit être complet et comporter : un examen direct après coloration de Gram, une culture sur milieux spéciaux avec isolement et identification du germe, une étude de la sensibilité aux antibiotiques.
4 - Neisseriaceae,A. Decoster, FLM, p. 4 - Les prélèvements Ils constituent un temps essentiel et doivent être pratiqués au laboratoire ou très près de celui-ci. Chez l'homme, on prélève une goutte du pus uréthral (la "goutte matinale"), éventuellement après massage prostatique ou "réactivation" à la bière. Chez la femme, les prélèvements doivent être multiples et guidés par l'examen clinique mais comporter obligatoirement un prélèvement dans l'endocol et un dans l'urèthre. Chez l'homosexuel, il faut faire des prélèvements anorectaux. Chez tous, il faut penser aux prélèvements amygdaliens ou pharyngés. Dans les formes cliniques généralisées : il faut avoir recours aux hémocultures, aux ponctions de liquide articulaire ou de liquide de vésicules cutanées ou aux prélèvements de pus oculaire. L'examen direct Chez l'homme, l'examen direct du pus uréthral et la culture sur milieu enrichi permettent un diagnostic généralement facile, Chez la femme, l'examen direct est souvent décevant, la culture est indispensable. La culture Les milieux enrichis doivent très rapidement être ensemencés et incubés à l'étuve dans une atmosphère enrichie en CO 2. Si un délai est inévitable, il faut utiliser un "milieu de transport" (milieu "TGV" aérobie, pour Transport de Germes Vivants). L'identification Elle repose sur la morphologie et les caractères enzymatiques et biochimiques : diplocoques à Gram négatif "en grains de café", catalase +, oxydase +, glucose +, maltose, saccharose, fructose. L'isolement sur mileu sélectif facilite l'identification. On peut également révéler les antigènes gonococciques par co-agglutination ou technique immunoenzymatique. Le diagnostic sérologique par fixation du complément (gonoréaction) est abandonné mais il convient d'effectuer un prélèvement sanguin pour sérologie syphilitique et HIV, voire hépatites B et C, car le malade a pu contracter plusieurs maladies en même temps. SENSIBILITÉ AUX ANTIBIOTIQUES Le gonocoque est généralement sensible aux antibiotiques mais apparaissent des souches productrices de bétalactamase et des souches résistantes aux cyclines ou aux fluoroquinolones. Le Céfixime est l antibiotique le plus utilisé en France, suivi des fluoroquinolones (Ofloxacine, Ciprofloxacine) et de la Spectinomycine. Le traitement peut être administré sous forme de "traitement minute" (uréthrites et cervicovaginites non compliquées) ou sous forme d'un traitement long classique : en cas de formes pharyngées ou rectales
5 - Neisseriaceae, A. Decoster, FLM p. 5 - associées, le traitement fait appel aux mêmes molécules, dispensées pendant 5 jours ; les gonococcémies seront traitées par la ceftriaxone pendant 15 jours ; les gonococcies de la femme enceinte seront traitées par la ceftriaxone ou un macrolide pendant 10 à 15 jours (PILLY 2010, 22 e éd.). PROPHYLAXIE Déclaration et surveillance sanitaire sont assez illusoires. Les mesures d'hygiène et éducatives sont plus réalistes. La prophylaxie "locale" est efficace (préservatifs, gelées gonocides). Le diagnostic et le traitement actif des cas cliniques est une mesure indispensable, il faut également tenter d'identifier, examiner et traiter le, la ou les partenaires sexuels réguliers ou occasionnels. On ne dispose pas encore d'un vaccin efficace. NEISSERIA MENINGITIDIS Isolé du LCR par Weichselbaum en 1897, Neisseria meningitidis est l'agent responsable de la méningite cérébrospinale ; on l'appelle aussi méningocoque. CARACTÈRES BACTÉRIOLOGIQUES Morphologie Les méningocoques sont des diplocoques à Gram négatif de 0,6 à 0,8 µm disposés en "grain de café" apparaissant parfois capsulés et en situation intraleucocytaire dans le liquide céphalo-rachidien purulent. Culture La culture est plus facile que celle du gonocoque. Les méningocoques se développent sur une gélose ordinaire mais il est préférable, en primo-culture au sortir de l'organisme, d'utiliser des milieux riches (la gélose au sang ou la gélose au sang cuit conviennent très bien) que l'on peut rendre sélectifs par adjonction d'antibiotiques. Ce sont des aérobies stricts qui se développent dans une atmosphère normale mais l'habitude prévaut des les mettre en culture sous atmosphère enrichie en CO 2. Vitalité, résistance Le méningocoque est une bactérie fragile, craignant le froid, les variations de ph, la dessication. Il ne survit que très peu de temps dans le milieu extérieur.
6 - Neisseriaceae,A. Decoster, FLM, p. 6 - Caractères biochimiques et enzymatiques Le méningocoque possède les caractères généraux des Neisseria (oxydase + et catalase +). Il utilise le glucose en acidifiant le milieu ainsi que le maltose (contrairement au gonocoque) mais pas le saccharose ni le lactose (ce dernier caractère le différencie de Neisseria lactamica, commensal souvent confondu avec Neisseria méningitidis) Caractères antigéniques Les polyosides capsulaires déterminent 12 sérogroupes : A, B, C, X, Y, Z, 29E, W135, H, I, K et L. 90% des infections sont dues aux 3 premiers groupes A, B et C. En Europe et en France, en particulier, le groupe B est le plus fréquemment rencontré mais le groupe C est en constante augmentation. A l'intérieur des groupes, il existe des sérotypes et des sous-types déterminés par des protéines de membrane externe (PME). Facteurs de virulence Le méningocoque ne produit pas d'exotoxines mais possède une endotoxine à structure lipopolysaccharidique. Les souches pathogènes possèdent des pili facilitant leur adhésion et produisnt des IgA protéases. PATHOLOGIE La méningite cérébrospinale donne lieu à un syndrome méningé typique avec hyperthermie et souvent purpura. Il existe des formes graves, encéphalitiques, des formes avec septicémie et des états septicémiques apparemment isolés. Chez le nourrisson, la symptomatologie est parfois trompeuse et le risque de complications et de séquelles est important. Une forme suraiguë, gravissime, appelée "purpura fulminans" de Henoch ou syndrome de Waterhouse- Frederichson, est caractérisée par une infection méningée et septicémique accompagnée de purpura hémorragique et de collapsus. La ponction lombaire ramène un liquide trouble ou purulent, riche en polynucléaires avec une protéinorachie élevée. Au tout début de l'infection, le liquide peut être encore clair. Le pronostic est généralement bon car les traitements antibiotiques sont efficaces. D'autres localisations sont possibles telles qu'arthrite ou atteinte pleuropulmonaire. ÉPIDÉMIOLOGIE Le méningocoque résiste très peu dans le milieu extérieur. C'est une bactérie strictement humaine dont la transmission est interhumaine directe par voie aérienne. En Europe et en France, le méningocoque est responsable de 20% des méningites bactériennes et représente l'étiologie principale des méningites de l'enfant et du nourrisson.. Le groupe B est le plus souvent en cause, suivi des groupes C et A. La méningite cérébrospinale s'observe surtout de façon sporadique ou sous forme de petites épidémies survenant dans certaines collectivités (écoles, internats,
7 - Neisseriaceae, A. Decoster, FLM p. 7 - unités militaires). Elle est plus fréquente en hiver et au printemps. En Afrique, la maladie a une évolution nettement épidémique et c'est le groupe A qui prédomine. IMMUNITÉ Le portage pharyngé sans maladie est très fréquent, les porteurs sains seraient immunisés. C'est dans les tranches d'âge où les taux d'anticorps circulants sont les plus faibles que la maladie est la plus fréquente (6 à 24 mois). L'immunisation naturelle se produirait par la colonisation du rhino-pharynx par des méningocoques ou par des commensales proches telle que Neisseria lactamica. PATHOGENIE Les méningocoques pénètrent par voie aérienne et se fixent sur la paroi du pharynx où ils adhérent grâce à leurs pili. Cette fixation est facilitée par l'iga protéase. Ils pénètrent ensuite dans les cellules épithéliales et de là disséminent dans l'organisme par voie sanguine. Les infections virales jouraient un rôle aggravant. DIAGNOSTIC BIOLOGIQUE Il est fondé sur la présence de la bactérie dans le LCR et dans le sang. L'examen direct Dans le LCR purulent, on peut voir, en situation intra ou extracellulaire, des diplocoques à Gram négatif; ils sont parfois très rares et l'examen direct peut être négatif. La culture et la PCR La culture est indispensable (même si le liquide est clair). On ensemence abondamment sur milieux riches (gélose au sang) et on incube à 37 C. Les co lonies apparaissent en 24 heures. Le génome du méningocoque peut être recherché dans le LCR ou le sérum par PCR. L'identification Elle est fondée sur les caractères biologiques (oxydase +, catalase +, glucose +, maltose +, sacccharose -, lactose, nitrates ) et sur les caractères antigéniques : agglutination sur lame d'une suspension de la souche par des antisérums anti méningocoques. On dispose de sérums anti A, anti B, anti C, et polyvalent. Certaines souches sont toutefois ingroupables ou polyagglutinables. La recherche d'antigènes solubles On peut mettre en évidence dans le LCR, le sérum ou les urines l'antigène du méningocoque à l'aide de réactifs au latex sensibilisés par un antisérum ou par contre-immuno-électrophorèse. La culture du méningocoque à partir d'autres prélèvements, pharyngés, broncho-pulmonaires, articulaires ou autres, nécessite des milieux sélectifs. L'identification doit être complète car la présence dans la gorge de Neisseria commensales est fréquente.
8 SENSIBILITÉ AUX ANTIBIOTIQUES - Neisseriaceae,A. Decoster, FLM, p. 8 - Le méningocoque est sensible aux antibiotiques mais de rares souches produisent une pénicillinase. On commence à isoler des souches de sensibilité diminuée aux bêtalactamines. Les C3G (cefotaxime, ceftriaxone) sont recommandées pour le traitement de première intention des méningites cérébrospinales (l amoxicilline ne peut être utilisée qu en cas de souche non productrice de pénicillinase). PROPHYLAXIE L infection doit être rapidement déclarée aux autorités sanitaires car les mesures prophylactiques autour d'1 cas doivent être très rapidement instituées. Elles concernent l'entourage (sujets "contacts") selon des modalités très précises (voir tableau) et comportent : une chimioprophylaxie par rifampicine ou, en cas de contre-indications (grossesse, affection hépatique, alcoolisme, porphyrie ou allergie à la rifampicine), par spiramycine une vaccination s'il s'agit de méningocoques de groupe A, C, Y ou W135. La désinfection des locaux est inutile de même que la recherche du germe parmi les sujets contacts. Le calendrier vaccinal intègre depuis 2010 l'instauration d'une vaccination systématique des nourrissons contre la méningite type C, liée au méningocoque C. Conformément aux recommandations émises par Haut Conseil de la santé publique (HCSP) en juin 2009, tous les nourrissons âgés de 12 à 24 mois devraient donc recevoir une dose de vaccin contre le méningocoque C. Le HCSP demande également que les enfants et jeunes adultes jusqu'à 24 ans soient vaccinés en rattrapage. Le vaccin est remboursé depuis janvier 2010.
9 - Neisseriaceae, A. Decoster, FLM p. 9 - PERSONNES CONCERNEES PAR LES MESURES DE PROPHYLAXIE Circulaire DGS du 23 octobre 2006 A noter : le sujet malade (le «cas index») doit avoir une prophylaxie dès la sortie de l hôpital. LES AUTRES NEISSERIA Outre le méningocoque et le gonocoque, il existe de nombreuses autres espèces dans le genre Neisseria ; ces espèces saprophytes font partie de la flore commensale et ne présentent qu'occasionnellement un pouvoir pathogène : Neisseria sicca, flava, flavescens, mucosa, lactamica (cette dernière est parfois confondue avec N. méningitidis). LES AUTRES NEISSERIACEAE LES MORAXELLA L'espèce type est Moraxella lacunata, réputée responsable de conjonctivites purulentes. Moraxella catarrhalis (ex Branhamella catarrhalis) est un commensal des voies aériennes parfois responsable d'infections respiratoires aiguës et d'otites chez l'enfant. Il possède presque constamment une bétalactamase. Ce sont des diplobacilles à Gram négatif, aérobies stricts.
Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre
Plus en détailMinistère du travail, de l emploi et de la santé
Secrétariat d Etat à la santé Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction générale de la Santé Sous -direction Prévention des risques infectieux Bureau Risques infectieux et politique vaccinale
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLes vaccinations en milieu professionnel
Les vaccinations en milieu professionnel Mise à jour Août 2008 Dans le cadre de la prévention du risque biologique, le code du travail précise, aux articles R.4421-1 et suivants, la démarche d'analyse
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailSyndromes méningés de l'adulte
Syndromes méningés de l'adulte Conférence d actualisation de la SFAR 1996 Ce document, établi d après la conférence d actualisation de la Sfar en 1996 a été élaboré à partir de la présentation de : AM
Plus en détailLes maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)
Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détailHépatite. ses causes ses conséquences sa prévention
Hépatite ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite : l essentiel en bref Qu est-ce que l hépatite et quelles sont les conséquences de cette maladie? L hépatite est une inflammation du foie, dont
Plus en détailQu est-ce que la peste?
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détailComplément québécois. C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s
S y p h i l i s V I H C h l a m y d i a H e r p è s g é n i t a l C o n d y l o m e s G o n o r r h é e L G V S y p h i l i s V I H C h l a m y d i a Herpès génital Condylomes Gonorrhée LGV Syphilis VIH
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailExposé sur la Transfusion Sanguine
Sommaire : I Histoire de la transfusion sanguine A/ Découverte des groupes sanguins B/ Premières transfusions sanguines C/ Les journées du sang II Les groupes sanguins A/ Les différents groupes B/ Déterminer
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailMaladies transmises sexuellement (MTS)
Maladies transmises sexuellement (MTS) La sexualité est une dimension normale et saine de la vie De nos jours, de nombreuses infections se transmettent par les relations sexuelles. On les appelle infections
Plus en détailRAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705
356-3961 356-3963 356-4705 DOMAINE D APPLICATION La gélose RAPID Salmonella est un milieu chromogénique utilisé pour la recherche des Salmonella spp. lors de l'analyse des produits d alimentation humaine
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 décembre 2010 MENVEO, poudre et solution pour injection Vaccin méningococcique des groupes A, C, W-135 et Y conjugué B/1 flacon + 1 seringue préremplie (CIP: 360 379-1)
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailObserver : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS
4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailRISQUE DE MALADIE INVASIVE À MÉNINGOCOQUE CHEZ LES TRAVAILLEURS
AVIS SCIENTIFIQUE RISQUE DE MALADIE INVASIVE À MÉNINGOCOQUE CHEZ LES TRAVAILLEURS DU RÉSEAU DE L ÉDUCATION ET PLUS SPÉCIFIQUEMENT CHEZ LES TRAVAILLEUSES ENCEINTES SEPTEMBRE 2002 AUTEURS Pierre Deshaies
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction de la prévention des risques infectieux Bureau des maladies infectieuses, des risques
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailSommaire de la séquence 8
Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailDirection des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec
AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailPrévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce
RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce Recommandations SEPTEMBRE 2001 Service recommandations et références professionnelles SOMMAIRE
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailVIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV)
VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) En 1999, dans le monde, plus de 33 millions de sujets dont 43% de femmes étaient infectés par le virus de l'immunodéficience humaine ou HIV. L'épidémie progresse
Plus en détailQuel sirop choisir pour le nourrissement d hiver.
Syndicat des apiculteurs de Thann et environs Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Auteurs : R.Hummel & M.Feltin Octobre 2014 Les sirops de nourrissement : La qualité des sirops utilisés pour
Plus en détailFaq 1 - Mener l interrogatoire et l examen clinique d un enfant fébrile
Fièvre aiguë de l enfant (et de l adulte : non traité) Critères de gravité d un syndrome infectieux Auteurs : J. Gaudelus, M.Voisin Objectifs : Objectifs terminaux Diagnostiquer une fièvre aiguë chez l
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailNathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailEpidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA
Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailDu 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination
Du 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination Vaccination : êtes-vous à jour? DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse national complété des informations en Vaucluse où la semaine se prolonge
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailOtite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus
Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques
Plus en détailQUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA
QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailEtes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch
Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch 0844 448 448 La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Eliminer la rougeole un objectif international
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détail