Table des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1

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1 Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015

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3 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation Valeur ajoutée réelle par principales branches de la comptabilité nationale Contribution des principales branches de la comptabilité nationale à la croissance du PIB réel Equilibre ressources-emplois (aux prix courants) Contribution des éléments de la demande finale à la croissance économique Formation brute du capital fixe par nature Revenu national brut disponible Décomposition de l épargne nationale brute Compte capital de la nation Echanges extérieurs Importations par principaux produits Exportations par principaux produits Importations par principaux partenaires Exportations par principales destinations Transactions réalisés dans le cadre du régime des admissions temporaires Principaux indicateurs du commerce extérieur Balance des paiements Position extérieure globale Indicateurs de compétitivité 16 Comparaison des parts de marché absolues du Maroc avec un échantillon de pays concurrents Evolution de la demande étrangère adressée au Maroc en volume Monnaie et bourse Principaux indicateurs de la monnaie et crédits Evolution des agrégats de la monnaie et des placements liquides Contreparties de l agrégat monétaire M3 Crédits bancaires à l'économie Evolution du nombre de sociétés cotées en Bourse de Casablanca Indicateurs relatifs à la bourse des valeurs

4 Prix Indice du coût de la vie Indice des prix à la production par secteur Evolution des taux d intérêt Evolution du TCEN, TCER et des taux de change en dirhams des principales monnaies étrangères

5 Note de présentation Le Maroc offre l image d un vaste chantier de réformes entraînant des mutations structurelles et un dynamisme remarquable de l activité économique du pays qui n a cessé de se consolider depuis la fin des années 90. La poursuite de ces réformes a permis à l économie nationale, en dépit de l évolution erratique de l environnement international et des conditions climatiques, de consolider les acquis, même si certaines faiblesses sont apparues ses dernières années, notamment, celles liées aux équilibres budgétaire et extérieur ainsi qu au financement de l économie nationale. En effet, le Maroc a réussi à incorporer les fruits des réformes et les acquis du passé récent à son modèle de développement économique. Ce modèle a été fondé sur la consolidation de la croissance endogène par le renforcement de l investissement public, l amélioration du pouvoir d achat des citoyens et par la poursuite du processus de diversification et d amélioration de la compétitivité du tissu productif. Cet appui aux fondamentaux de la croissance a été couplé à des efforts visant l amélioration du profil des finances publiques et l accompagnement des stratégies sectorielles pour une meilleure implication du monde de l entreprise. Néanmoins, la dernière crise économique et financière mondiale a mis en exergue les fragilités structurelles de notre économie qui risquent de constituer une entrave à l avènement d une croissance pérenne et inclusive à moyen et long termes. Ces fragilités concernent, notamment, la contribution négative du commerce extérieur à la croissance économique, en raison des limites et de la lenteur du processus de diversification de l offre exportable conjuguée au poids important des importations, à la forte dépendance énergétique, à la faiblesse du rendement du système éducatif national, à la faible adéquation entre la formation et l emploi et au manque de coordination, de convergence et d'intégration des stratégies sectorielles qui limite leur efficacité et leur impact effectif sur le citoyen. Conscient de l importance de ces défis, les pouvoirs publics se sont attelés à concevoir et opérationnaliser de nouvelles mesures pour faire face à cette situation. Pour mieux cerner ces évolutions et ces mutations structurelles de l économie marocaine, cette nouvelle édition du tableau de bord a pour objectif de faire ressortir les principales tendances de l économie marocaine depuis 1990, à la lumière des différents travaux réalisés par la DEPF. 1 Direction des Etudes et des Prévisions Financières

6 1. Agrégats nationaux 1.1. Evolution des structures économiques Grâce à l éventail de réformes structurelles engagé par le Maroc, l économie marocaine s est inscrite dans une phase de croissance conforme à son potentiel d environ 5% et a su capitaliser sur ses acquis pour consolider davantage ses fondamentaux macroéconomiques, abordant ainsi dans des conditions relativement confortables la crise financière internationale. L évolution de l économie marocaine a donc enregistré un rythme de croissance parmi les plus élevés de la zone MENA, région ayant, relativement, bien surmonté la crise mondiale en réalisant une croissance moyenne supérieure à la zone euro, les PECO et l Amérique Latine. Ainsi, le Maroc a réalisé une croissance annuelle moyenne de 4,3% durant la période contre 4% pour la zone MENA, -0,3% dans la zone euro, 2,3% dans les PECO et 3,2% dans l Amérique latine et caraïbes. Cette performance est le résultat de la hausse de 9,2% par an de la valeur ajoutée du secteur primaire et de la bonne tenue du secteur non agricole, grâce, notamment, aux performances du secteur tertiaire. En effet, le secteur secondaire a enregistré un taux de croissance annuel moyen de 1,8%, entre 2008 et 2013, suite à une croissance moyenne de 3,8% de la valeur ajoutée de la branche du bâtiment et travaux publics et de 4,9% de celle de la branche électricité et eau. Le secteur tertiaire a, également, connu une croissance significative de 4,2% en moyenne durant la même période, en raison d une amélioration de la valeur ajoutée des postes et télécommunications (10,2%), de l éducation, santé et action sociale (5,6%) et de l administration publique générale et sécurité sociale (5,3%). L analyse sectorielle de la structure du PIB fait apparaître une tertiarisation croissante du tissu productif national sur la période : 54,9% contre 29,6% pour le secteur secondaire et 15,5% pour le secteur primaire. Recueillant ainsi le fruit d un développement équilibré, l économie marocaine a pu résister à la crise financière et économique systémique, déclenchée en 2008, malgré certaines faiblesses, notamment l insuffisance de diversification des exportations en termes de produits et de débouchés, la nature du régime de change contraignant la compétitivité du pays et la dépendance aux conditions climatiques. En termes de contribution à la croissance économique, le secteur primaire a progressé de 1,7 point entre les périodes et pour se situer à une contribution moyenne de 2 points. De même, le secteur tertiaire a connu une amélioration de sa participation à la croissance économique de 0,7 point pour s établir à 3,3 points durant la dernière période. Tandis que la contribution du secteur secondaire a enregistrée une diminution de 0,4 point pour s établir à 0,7 point durant la dernière période et ce, suite au ralentissement des industries manufacturières et au repli de l activité minière Contribution des éléments de la demande finale à la croissance économique Les différentes composantes de la demande intérieure ont marqué un dynamisme continu entre 2000 et Ainsi, les dépenses de la consommation finale continuent à jouer le principal moteur de la croissance économique durant les dernières années. Leur contribution à 2

7 la croissance économique est passée de 1,3 point durant la période à 2,1 points entre 2000 et 2007 puis à 3,7 points durant la dernière période Constituant la principale composante de la demande intérieure, avec une part moyenne dans le PIB de 58,6% sur la période , la consommation finale des ménages s'est bien comportée en réalisant un taux de croissance annuel moyen de 4,6%. Cette dynamique a été favorisée par la consolidation du pouvoir d achat, suite au dynamisme du marché du travail, aux revalorisations salariales, à la baisse de l impôt sur le revenu, à la maîtrise de l inflation et à l impact de plus en plus réduit des sécheresses sur le revenu des ménages ruraux. Par conséquent, la croissance économique moyenne durant la période a été principalement tirée par la consommation finale avec une contribution de 3,7 points, dont notamment la consommation des ménages évaluée à 2,7 points, suivie de la FBCF avec 0,9 point. Au niveau du commerce extérieur, le solde commercial des biens et services a eu un impact négatif de -0,3 point sur la croissance économique. Ceci est expliqué par une contribution positive des exportations de 0,8 point contre une contribution négative des importations de 1,1 point, en raison du dynamisme des importations des produits des biens de consommation et des biens d équipement. S agissant de la consommation finale des administrations publiques, elle a enregistré une croissance annuelle moyenne de 5,3% entre 2008 et 2013 contre 3% entre 2000 et 2007 et 2,2% durant la période Elle a contribué ainsi de 1 point à la croissance économique entre 2008 et 2013 contre 0,4 point pour les deux périodes précédentes. Sa part moyenne dans le PIB a, quant à elle, quasiment stagné autour de 18,4% entre 2000 et Quant au déficit commercial des biens et services en pourcentage du PIB, il s est amplifié de 7,6 points, passant de -5% durant la période à -12,5% durant la période Cette situation résulte d une progression des exportations des biens et services nettement inférieure à la croissance des importations. En effet, la part des importations dans le PIB a progressé de 10,3 points entre les deux périodes, passant de 36,3% à 46,6%, tandis que la part des exportations n a augmenté que de 2,8 points, passant de 31,3% à 34,1% entre les deux périodes. Tiré essentiellement par l évolution de l investissement public en infrastructures (notamment les grands projets d autoroutes, constructions des barrages, d installations portuaires...), le taux d investissement brut 1 a progressé de 7,2 points, passant de 28,4% durant la période à 35,6% durant la période De ce fait, la structure de l investissement s est caractérisée par une consolidation de la part de la FBCF en produits du BTP et en produits de l industrie respectivement autour de 51,5% et 40,2% en moyenne durant la période contre 6,5% en produits des services et 1,8% en produits de l'agriculture, chasse et services annexes. 1 Le taux d investissement brut représente la somme de la FBCF et de la variation des stocks rapportés au PIB. 3

8 1.3. Evolution du revenu national brut disponible et son affectation Le revenu national brut disponible a enregistré une baisse durant la période réalisant un taux de croissance de 5,4% contre 6,7% entre 2000 et Entre ces deux périodes, la part moyenne des transferts courants nets en provenance de l'extérieur dans le revenu national brut disponible s est raffermie autour de 8%. De même, le taux d épargne nationale 2 moyen s est dégradé de 1,3 point, passant de 28,5% à 27,2% d une période à l autre. Cette régression résulte de la légère hausse de la part moyenne du revenu national brut disponible destinée à la consommation des ménages évaluée à 1,3 point, pour atteindre 55,5% en seconde période. Par ailleurs, la bonne tenue des finances de l Etat a permis d améliorer la part moyenne de l épargne de l Etat 3 dans l épargne nationale de 1,4 point, passant de 9,5% durant la période à 10,9% durant la période De sa part, l apport moyen de l épargne extérieure au niveau de l épargne nationale s est dégradé de 3,4 points par rapport à la période pour s établir à 19,7% entre 2008 et 2013, suite à l affectation de cette part durant les cinq dernières années par la crise économique qui a perturbé le cycle de croissance des investissements directs étrangers. En conséquence de cette dégradation notable, le niveau de l épargne nationale reste insuffisant par rapport à la demande d investissement. Le besoin de financement s est situé ainsi à -6,9% du PIB durant la période contre une capacité de financement de +2,1% durant la période Echanges extérieurs Le modèle économique de notre pays se caractérise par une ouverture de plus en plus accrue vers le marché international. Cette ouverture a été accompagnée par des mutations structurelles des échanges extérieures tant au niveau des produits échangés qu au niveau de la répartition géographique. Par ailleurs, un certain dynamisme des exportations marocaines est perceptible au cours des dernières années, mais cette amélioration s est faite à un rythme plus faible que celui des importations. Cette évolution a été amplifiée par l avènement de la crise, notamment, dans la zone euro, et l envolée des prix des matières premières qui ont vite révélé les grandes fragilités de nos comptes extérieurs. Ainsi, le déficit de la balance commerciale s est aggravé durant la période pour atteindre 22,1% du PIB contre 14,4% durant la période Cette situation provient, essentiellement du renchérissement de la facture énergétique qui s est établie à 50,3% des exportations globales, soit 10,5% du PIB, et de la décélération du rythme de croissance des exportations en produits alimentaires, en produits bruts et en demi produits durant la période L épargne nationale brute en pourcentage du revenu national brut disponible. 3 L épargne de l Etat est le solde ordinaire. 4

9 Les importations globales ont, quant à elles, augmenté en moyenne de 5,7% durant la période , soit un rythme de croissance inférieur de 1,1 point du taux de croissance des exportations (6,8%). Ainsi, le taux de couverture des importations par les exportations a baissé de 56,8% durant la période à 48,4% durant la période Par groupement d utilisation, le taux moyen de couverture de la balance alimentaire s est dégradé, passant de 117,2% à 84,4% entre les deux périodes. De même, le taux de couverture de la balance des produits finis de consommation est passé de 91,5% à 68,3% en moyenne entre les deux périodes, en raison du démantèlement tarifaire. Quant à la balance des produits finis d équipement, son taux de couverture s est amélioré de 22,3% à 34,7% au cours des deux périodes. En termes de structure géographique, l Union européenne demeure le premier partenaire commercial du Maroc en absorbant 60% de ses exportations et son premier fournisseur avec une part moyenne de 50% de ses importations totales entre 2008 et Cette zone a été à l origine de 79% des recettes de voyages, de 78% des recettes des marocains résidents à l étranger et de 64% des investissements directs destinés au Royaume. La France et l Espagne constituent les principaux partenaires du Maroc avec des parts respectives de 21,4% et 18,9% en 2013, contre 30% et 20% respectivement en La demande étrangère adressée au Maroc dépend donc étroitement de la conjoncture économique dans ces deux pays et de leur demande en importations Importations 4 S agissant de la structure des importations, la part des produits alimentaires a augmenté de 2,6 points, passant en moyenne de 9,8% à 10,1% durant la période La facture énergétique, quant à elle, s est renchérie de 3,1% du PIB durant la période à 6,3% durant la période et à 10,5% durant la période Cette hausse est attribuable à l accroissement du prix à l importation du pétrole qui est passé de 28 dollars le baril en 2000 à 109 en 2013 et à 99 dollars le baril en 2014, occasionnant ainsi, une évolution de la part des importations en énergie et lubrifiants dans les importations totales de 17,7% en 2000 à 23,9% en En outre, la part moyenne des produits bruts dans les importations globales est passée de 6,5% durant la période à 5,8% pour la période , soit une baisse de 0,7 point provenant essentiellement des produits bruts d'origine animale et végétale dont la part a baissé de 4,6% à 3,4% entre les deux périodes considérées. De même, la part des demi-produits dans les importations globales a baissé de 1,6 point, passant en moyenne de 22,4% à 20,8%. Quant à la part des produits finis d équipement dans les importations globales, elle s est stabilisée autour de 21,1% en moyenne durant les deux périodes. Par ailleurs, la part des produits finis de consommation dans les importations s est établie à 17,7% durant la période en baisse de 3,9 points par rapport à la période ou elle représentait 21,6%. 4 Y compris les admissions temporaires sans paiement (AT). 5

10 Par fournisseurs, l Union Européenne 5 a vu sa part de marché marocain baisser entre 1990 et 2013, passant de 62% durant la période à 55,4% durant la période et à 49,6% durant la période En effet, la part de la France a baissé de 4,9 points pour se situer à 14,2% durant la période S agissant des importations nationales en provenance de l Espagne, leur part s est légèrement accrue, passant de 11,3% à 12% l an. Par nature de produit, les importations en provenance de l UE sont prédominées par des produits d équipement industriel et des demi-produits. En 2013, la part de l union européenne s est située autour de 50,1% tirée essentiellement par la chute des importations en provenance de la France. Cette tendance à la baisse des importations en provenance de l UE a profité aux nouveaux partenaires, notamment les Etats-Unis et la Chine dont les parts ont atteint respectivement 7,5% et 6,9% en 2013 contre 5,1% et 5,7% en Quant à la part des pays arabes dans les importations du Maroc, celle-ci demeure faible malgré un taux de croissance annuel moyen de l ordre de 14,6% entre 2000 et Exportations 6 Malgré tous les efforts déployés en faveur de la libéralisation de l économie nationale, du développement du système productif et de la promotion du commerce extérieur à travers, notamment, la mise en œuvre de stratégies sectorielles ambitieuses et l amélioration de l environnement des affaires, la dynamique de nos exportations reste en deçà de l accroissement des besoins en importations de l économie nationale, mais aussi de celui des importations mondiales, ne permettant pas une amélioration significative de notre part de marché. Ainsi, le rythme de croissance des exportations s est établi à 6,8% entre 2008 et 2014 enregistrant une baisse de de 0,1 point par rapport à la période Ce ralentissement a concerné, notamment, les produits alimentaires (5,2% contre 6,3% respectivement durant les mêmes périodes), les produits bruts (4,5% contre 6,4%) et les demi produits (4,5% contre 12,7%). Toutefois, il faudrait signaler la bonne performance ces dernières années des nouveaux secteurs à l exportation, notamment l automobile, l aéronautique et l électronique ayant insufflé une nouvelle dynamique dans l offre exportable du Maroc et contribué fortement au changement de sa structure. Ainsi, le secteur de la mécanique au Maroc a vu sa part de marché passer de 0,01% à 0,03% tirée essentiellement par la filière aéronautique, dont la part est passée de 0,03% à 0,14% entre 2000 et De même, l automobile et l électronique ont amélioré leur part de marché, passant respectivement de 0,004% et 0,08% en 2000 à 0,07% et 0,28% en Le secteur de la chimie a, également, gagné des parts de marché (passant de 0,19% à 0,26%), étant donné que le Maroc dispose de la plus importante réserve mondiale en phosphates. Ces divergences dans les tendances ont eu pour résultat le renforcement de la part des dérivées des phosphates et des produits finis d équipement dans les exportations au détriment des produits alimentaires et des produits destinés à la consommation entre les deux périodes sous revues. En effet, la part des phosphates et dérivés dans les exportations a augmenté de 7,9 points pour atteindre 23,9% durant la période L augmentation a concerné les phosphates bruts, les engrais naturels et chimiques et l acide phosphorique dont 5 Union Européenne à 27 pays. 6 Y compris les admissions temporaires sans paiement (AT). 6

11 les parts dans les exportations ont atteint respectivement 6,4%, 7,4% et 7,6% entre 2008 et 2014 contre 4,7%, 4,5% et 6,8% entre 2000 et Concernant les produits finis d équipement, leur part dans les exportations a été consolidée à 13,1% durant la période contre 8,3% durant la période , soit une amélioration de 4,8 points. Entre les deux périodes précitées, la part des produits alimentaires a baissé de 2,2 points pour se situer à 17,6%. Ceci étant suite à la baisse respective des parts des agrumes et des produits de la mer de 2,6% et 10,2% à 1,9% et 7,5% entre les deux périodes sous revues. Cette tendance baissière de la part des exportations des produits de la pêche provient, essentiellement, du prolongement des périodes de repos biologique et de l épuisement des réserves halieutiques. Quant à la part des produits finis de consommation dans les exportations globales, elle a baissé de 9,7 points entre les deux périodes précitées, passant de 34,6% (19,6% pour les vêtements confectionnés et 8,4% pour les articles de bonneterie) à 24,9% (11,3% pour les vêtements confectionnés et 4,3% pour les articles de bonneterie). Cette baisse s explique essentiellement par les difficultés de la liquidation des produits du textile sur le marché international. Par destination, la part de l Union Européenne 7 dans les exportations globales a diminué de 14,2 points, passant en moyenne annuelle de 74% à 59,8%. Cette tendance résulte de la régression durant les dernières années des poids des principaux pays de l Union Européenne, et ce, en raison des effets de la crise économique mondiale. Concernant la part des réexportations suite à des admissions temporaires sans paiement dans les exportations manufacturées, elle s est inscrite dans un trend baissier pour se situer à 31,2% contre 33,6% en , en raison de l orientation progressive vers la cotraitance et de l amélioration du taux d intégration au niveau national, notamment pour le secteur automobile et le secteur électronique Balance des paiements Le solde du compte courant en pourcentage du PIB s est détérioré d une période à l autre, passant de +1,9% à -6,7%. Cette situation est due, essentiellement, à la progression des exportations des biens à un rythme moins élevé que celui des importations. L accélération de ces dernières est en lien avec le dynamisme de l investissement, de la consommation finale intérieure et du renchérissement de la facture énergétique, suite à l'augmentation de 11,3% du prix moyen du pétrole durant les années Contrairement au solde des biens, les soldes des services et des transferts courants ont contribué à l atténuation du déficit courant. Le solde des services a progressé de 8,1% en moyenne annuelle entre 2001 et 2014, pour s établir à 59,5 milliards de dirhams en 2014 enregistrant, ainsi, un excédent de 5,9% du PIB en moyenne sur la période Quant à l excédent de la balance des transferts, il s est consolidé de 1,6% l an durant la période pour s établir à 8,4% du PIB. Cette appréciation provient essentiellement 7 Union Européenne à 27 pays. 7

12 des recettes nettes des transferts privés, constituées en grande partie des transferts des marocains résidents à l étranger qui se sont établis à 57,9 en 2013 et à 59,1 milliards de dirhams en Les transferts en provenance de la France ont représenté une part prenante dans le total des transferts des MRE. En effet, ils ont atteint 39,2% des transferts réalisés durant la période Toutefois, cette part a régressé pour atteindre 37,1% en 2013 contre 45,2% en 2000 au profit des nouvelles destinations, notamment les Pays Arabe (16,4% contre 5,5%), l Espagne (8,7% contre 4%) et l Amérique du nord (7,1% contre 4,3%). Quant à la part des dépenses du revenu de l investissement dans le PIB, elle a baissé de 1,7 point, passant de 4,3% durant la période à 3,5% durant la période , à 2,3% durant la période et à 2,6% durant la période en relation avec la gestion active de la dette extérieure. Les investissements directs étrangers (IDE) ont évolué de 4,2% du PIB durant la période à 3,9% durant la période La répartition géographique des IDE montre que la France, premier pays investisseurs au Maroc, a vu sa part baisser de 43,1% entre 2000 et 2007 à 39,2% entre 2008 et Entre ces deux périodes, d autres pays ont consolidé leurs parts des investissements au Maroc, tels que les Emirats Arabes Unis (5,3% en contre 2,5% en ), l Arabie saoudite (3,7% contre 1,9%) et le Koweït (0,9% contre 0,2%). Par secteur, l immobilier arrive au premier rang avec une part de 24,2% durant la période contre 12,6% durant la période , suivi du secteur industriel avec une part de 20,1% contre 24%. En revanche, les IDE attirés par les secteurs du tourisme et de télécommunication ont baissé de 15,5% et de 28,6% entre 2000 et 2007 à 10,4% et 8,9% entre 2008 et Position extérieure globale 8 La position financière extérieure globale s est amplifiée de 15,6% en moyenne annuelle depuis En effet, le Maroc a dégagé en 2014, à l instar des années précédentes, une position débitrice de -619,1 milliards de dirhams soit -67,5% du PIB contre un débit de -268 milliards de dirhams en 2005, soit -38,9% du PIB. Par ailleurs, la valeur globale des avoirs recensés dans la position financière extérieure globale s est appréciée de 1,6% en moyenne annuelle durant la période pour s établir à 281,2 milliards de dirhams en Les avoirs de réserves, les investissements directs ainsi que les investissements de portefeuille ont été estimés à 184,5, 37,9 et 10,4 milliards de dirhams respectivement en Les engagements inscrits à la position financière extérieure globale ont enregistré un accroissement moyen de 9,5% durant la période En effet, cette période a été marquée par l amélioration des engagements au titre des investissements de portefeuille, des IDE et ceux afférents aux prêts respectivement de 21%, 6,6% et 8,5%. 8 La position extérieure globale retrace les stocks des avoirs et des engagements financiers à l égard du reste du monde. 8

13 En termes de structure, les avoirs de réserve représentent la part la plus importante dans le total des avoirs, soit 73,6% entre 2008 et 2014 et ce, malgré une légère baisse de 5,1 points par rapport à la période Les parts des investissements directs et celles de portefeuille, quant à elles, ont gagné 4,6 points et 1,9 point respectivement, passant de 3,6% à 8,2% pour les IDE et de 1,2% à 3,1% pour les investissements de portefeuille entre les deux périodes et Au niveau des engagements, la part des investissements directs a augmenté de 1,6 points pour se situer à 56,1% entre 2008 et 2014 contre 54,5% entre 2002 et De même, la part des investissements de portefeuille s est raffermie de 2,1 points (6,2% contre 4,2%). En revanche, la rubrique «Autres investissements» a perdu 3,7 points (37,6% contre 41,4%). En Somme, les engagements extérieurs du Maroc sont caractérisés par une prédominance des éléments à caractère stable à hauteur de 93,7% durant la période , notamment les investissements directs (56,1%) et l endettement à moyen et long termes (31,4%). 3. Compétitivité Malgré les efforts de diversification consacrés aux exportations marocaines, celles-ci souffrent de différentes faiblesses dont essentiellement une diversification insuffisante en termes de produits sur des marchés fortement concurrentiels et un manque de diversification géographique qui rend les exportations très sensibles à la conjoncture des partenaires commerciaux. Cette faiblesse provient du fait que la majeure partie des échanges marocains (plus de 50%) s effectue avec le marché européen. Ainsi, la part du marché mondial détenue par le Maroc a quasiment stagné entre 2000 et Cette part s est située autour de 0,11% durant la période et de 0,12% durant la période À l opposé de la tendance marocaine, les principaux concurrents du Maroc ont consolidé leurs parts de marché entre 2000 et En effet, les pays tels que la Chine, l Inde, la Pologne, le Brésil, la République Tchèque, la Turquie la Corée du Sud, le Chili, la Singapour et la Hongrie affichent une part importante dans le marché mondial et améliorent continuellement leurs positions exportatrices. Il convient, toutefois, de relever que sur la période , la part du Maroc dans le marché mondiale s est inscrite dans une tendance haussière, après quatre années de baisse successives, pour se situer à 0.117% en Ce ratio a atteint son niveau le plus élevé (0,122%) en 2008, en lien, notamment, avec la croissance importante des exportations de phosphates et dérivés au cours de cette année. La part de marché la plus faible (0,10%) a été enregistrée en 2006, en raison d une croissance moins dynamique des exportations marocaines comparée avec les importations mondiales. Par ailleurs, la demande étrangère en volume adressée au Maroc a connu une progression continue au cours de la décennie Elle a été de moins en moins rapide durant la période (1%) en comparaison avec la période (5,5%), et ce, en rapport avec la récession au niveau de l économie mondiale à partir de La croissance de la demande mondiale atteindrait 3,1% pour l année 2014 et 4,1% pour l année

14 Le rythme de croissance de la demande adressée au Maroc émanant de l Union Européenne a baissé de 4,9 points, passant de 5,1% durant la période à 0,17% durant la période Cette baisse de la demande de l Union Européenne adressée au Maroc est corroborée par la dépréciation de 4,8 points qu a connue le taux de change effectif réel durant la période , pour se situer à 97,4 en Secteur financier La contribution du secteur financier à la croissance économique est de plus en plus confirmée de par son rôle dans la facilitation des transactions, la collecte de l épargne et l allocation du capital vers les secteurs productifs Monnaie et crédits 9 Depuis 2008, la liquidité de l'économie s'est inscrite dans une tendance baissière. Entre 2008 et 2013, le rythme de progression de la liquidité globale de l'économie s est situé à 7,4% contre 18,4% entre 2001 et 2007, soit une décélération de 11 points. En 2014, ce rythme de progression s est resserré à 9,1% attribuable, essentiellement, à l évolution de la masse monétaire dont le rythme d'accroissement a augmenté de 3,2 points, pour s établir à 6,6% en Dans ces conditions, la position structurelle de liquidité des banques (PSLB) n'a cessé de se détériorer pour atteindre presque -52,2 milliards de dirhams, à fin 2013, au lieu de +21 milliards de dirhams en 2010 et +50 milliards à fin Cette baisse, déclenchée depuis 2007, traduit l'effet restrictif des facteurs autonomes de liquidité, en relation, notamment, avec la baisse des réserves internationales nettes (188,7 milliards de dirhams en 2008 contre 150,3 milliards en 2013) et l augmentation de la circulation fiduciaire. En 2014, la PSLB s est améliorée de 20,3 milliards de dirhams pour atteindre -31,9 milliards de dirhams, suite à l amélioration des réserves internationales nettes qui ont atteint 180,8 milliards de dirhams. Par ailleurs, les réserves en devises, ayant atteint 9,8 mois d importation de biens et services durant la période grâces essentiellement aux flux importants des IDE, aux transferts des MRE et aux recettes touristiques, ont diminué pour se situer à 6 mois d importation durant la période Elles ont même atteint un niveau alarmant de 4,4 mois d importation en 2012 et 2013 et ce, suite au tarissement des ressources d approvisionnement en devises et au creusement du déficit commercial. Concernant les créances sur l'économie, leur poids dans le PIB nominal s est amélioré de 45,3% durant la période à 57,4% durant la période , pour atteindre 94,8% durant la période Cette amélioration est due à l amplification du rythme haussier des crédits accordés aux entreprises et aux particuliers (crédit immobilier, crédits à la consommation et les créances divers sur la clientèle), et des concours aux sociétés de financement. 9 Les statistiques monétaires produites par BAM sont analysées, sur la nouvelle nomenclature conformément aux prescriptions du manuel des statistiques monétaires et financières du FMI

15 Entre les mêmes périodes et suite à la maîtrise du déficit budgétaire, la part des créances nettes sur l Administration Centrale dans l agrégat monétaire M3 a connu une réduction remarquable. Elle est passée de 40,1% durant la période à 19% durant la période , et à 11,9% durant la période Secteur bancaire 10 Accompagnant la performance de l activité économique, les banques ont accordé un total de crédits d environ 763 milliards de dirhams en 2014 contre 719 milliards de dirhams en 2011 et 526 milliards en 2008 marquant un taux de progression annuel moyen de 8,7% durant la période Rapportés au PIB, les crédits à l économie ont représenté 83,2% en 2014 contre 85,6% en 2013 et 76,4% en La structure des crédits fait ressortir une baisse de la part des comptes débiteurs et crédits de trésorerie dans le total des crédits bancaires de 5,7 points entre 2008 et 2014 pour se situer à 24,3%. Par contre, les crédits immobiliers ont enregistré une forte progression avec un taux de croissance moyen annuel de l ordre de 10,2% durant la période Cette expansion a amélioré le poids de ces crédits dans le total des créances sur l économie de 21% durant la période à 30,4% durant la période , en raison des mesures d encouragement à l acquisition de logements et la baisse des taux d intérêt. De même, la part des crédits à l équipement dans le total des crédits accordés à l économie a augmenté, passant de 18,7% durant la période à 19,4% durant la période Quant à la part des crédits destinés à la consommation, elle a augmenté de 4,2% à 5,3% entre les mêmes périodes. S agissant de la part des créances en souffrance dans les créances sur l économie, elle a connu une baisse remarquable puisqu elle a atteint 5,5% durant la période contre 14,3% durant la période Cette diminution s explique par une meilleure gestion, à la fois, du risque du crédit et du risque de taux constituant les principaux risques de l activité bancaire Bourse des valeurs La radiation de certaines entreprises n obéissant pas aux critères d admission à la cote exigés par la réforme de la Bourse des valeurs de Casablanca, a affaibli le nombre de sociétés cotées pour se situer à 48 entreprises en Ce nombre a augmenté à nouveau pour atteindre 74 sociétés en 2014, mais reste faible en comparaison avec certains pays comme l Egypte (207) ou la Jordanie (243). A cet effet, la capitalisation boursière a reculé durant la période enregistrant un taux de croissance annuel moyen de -2,4% comparativement à la période où elle a connu un taux de 26,2%. Le poids de la capitalisation boursière dans le PIB s est amélioré pour atteindre 62,7% durant la période contre 47,5% durant la période L analyse va porter, dans cette partie, sur la nouvelle nomenclature conformément aux prescriptions du manuel des statistiques monétaires et financières du FMI

16 En substance, la capitalisation de la bourse marocaine se caractérise par une forte concentration par secteur et par taille des sociétés côtées. En 2014, la part des 10 plus grandes sociétés cotées dans la capitalisation boursière totale est de l ordre de 74,6% alors qu en termes de répartition par secteur, la bourse de Casablanca est dominée par le secteur bancaire (35,2%), l industrie (19,6%), les télécommunications (20,7%), les services (10,6%) et le secteur de l énergie et mines (7,3%). Par ailleurs, les indices boursiers MASI et MADEX ont régressé durant la période , enregistrant ainsi des taux de croissance annuels moyens respectifs de -3,4% et de - 3,5% contre 22,2% et 23,4% pour la période Prix et taux d intérêts 5.1. Les prix Le rythme de croissance du déflateur du PIB a augmenté de 1,3% durant la période à 2,2% durant la période Cet accroissement témoigne d une croissance économique de plus en plus inflationniste depuis la deuxième moitié de la décennie Quant à l inflation 11 au Maroc, elle est maitrisée autour de 1,9% durant la période En 2014 elle a connu une baisse remarquable pour atteindre 0,4% seulement, en lien, notamment, avec le repli des cours des produits pétroliers, de la baisse notable de l indice des produits alimentaires et de la baisse des prix de la majorité des produits de base au niveau des marchés mondiaux. Par types de produits, la variation de l IPC alimentaire s est accélérée de 2% durant les deux périodes précitées (-1,1% en 2014). En revanche, l inflation des produits non alimentaires a ralenti de 0,7 point, passant de 1,7% durant la période à 1% l an durant la période Cette baisse observée concerne essentiellement les produits d habitation (0,7 point) et les transports (1,3 point). Concernant les prix à la production, l indice des prix à la production énergétique a affiché un taux de croissance de 1,7% en 2014, suite à la hausse des prix de l électricité et de l eau. Parallèlement, le rythme de croissance des prix à la production du secteur minier est en baisse de 2,6 points, passant de 3,7% en moyenne durant la période à 1,1% durant la période De même, le rythme de croissance des prix à la production (IPP) du secteur industriel a affiché une baisse de 0,7 point pour enregistrer 2,9% durant la période contre 3,6% durant la période Cette baisse est à l origine de la baisse des IPP de l industrie mécanique, métallurgique et électrique (baisse de 1,8% à 0,3%) et de raffinage de pétrole et autres produits d'énergie (baisse de 14,7% à 4,5%) durant les mêmes périodes. 11 Mesurée par la variation de l indice du coût de la vie remplacé à partir de 2009 par l indice des prix à la consommation. 12

17 5.2. Taux d intérêts Le taux d intérêt des comptes sur carnet a légèrement augmenté de 0,1 point entre les périodes (3,1%) et (3,2%). Cependant, le taux des comptes sur livret de la Caisse d Epargne Nationale a baissé de 0,4 point, passant de 2,4% à 2% durant les mêmes périodes. Toutefois, les taux de refinancement de Bank Al Maghrib, qui étaient stagnants entre 2003 et 2011 à l exception du taux des reprises de liquidité, ont baissé de 0,25 point en 2012 et d environ 0,06 point en En effet, ils sont actuellement de 2,94% pour le taux d appel d offre, 3,94% pour les avances à 24 heures, 1,93% pour les dépôts à 24 heures et 2,43% pour les taux des reprises de liquidité. Quant au taux d intérêt créditeur, correspondant aux dépôts 6-12 mois, il est passé de 3,9% durant la période à 3,8% durant la période Le taux interbancaire a légèrement augmenté, passant de 3,2% à 3,3% durant les mêmes périodes. 13

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19 Principaux indicateurs macroéconomiques

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21 Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Principaux indicateurs macroéconomiques Synthèse des principaux indicateurs macroéconomiques Comptabilité nationale Taux de croissance économique nationale (En %) 1,6 7,6 3,3 6,3 4,8 3,0 7,8 2,7 5,6 4,8 3,6 5,0 2,7 4,4 Croissance du PIB du secteur primaire -12,2 19,1 4,3 20,3 4,5-11,1 21,1-20,0 16,6 28,9-2,3 5,1-7,2 18,7 Croissance du PIB hors primaire 4,2 5,7 2,6 3,6 4,7 5,6 5,4 6,5 4,2 1,2 4,5 4,9 4,4 2,3 Taux d'investissement brut (FBCF+VS)(En %) 25,5 26,1 25,9 27,4 29,1 28,8 29,4 32,5 38,1 35,6 35,0 36,0 35,3 34,2 Epargne nationale brute en % du PIB 24,3 30,4 29,7 30,7 31,0 31,0 32,2 32,4 32,9 30,2 30,5 27,9 25,5 26,6 Capacité (+) ou besoin de financement (-) en % du PIB -1,3 4,3 3,7 3,3 1,9 2,2 2,7-0,1-5,2-5,4-4,5-8,1-9,7-7,6 Taux d'ouverture de l'économie (biens et services)(x+m/pib) 61,3 61,4 62,4 60,2 63,7 70,2 73,9 80,6 88,3 68,4 76,3 84,3 86,2 80,5 Consommation finale intérieure en % du PIB 79,8 76,4 76,2 75,5 75,8 76,8 76,0 76,6 75,3 75,3 74,8 77,2 79,1 79,1 Consommation finale des ménages en % du PIB 61,4 57,8 57,9 57,3 57,1 57,5 57,5 58,4 58,1 57,1 57,3 58,9 59,9 60,1 Echanges extérieurs Taux de croissance des exportations (En %) 7,1 2,3 7,1-2,9 4,8 12,9 12,8 12,1 24,1-27,4 32,4 17,0 5,7 0,3 7,9 Part du Groupe OCP dans les exportations (En %) 16,4 16,4 14,8 14,2 15,8 16,3 15,8 17,8 33,0 16,0 24,0 27,7 26,2 20,1 19,1 Taux de croissance des importations (En %) 15,7 1,8 4,6 4,3 16,1 16,8 14,2 24,1 24,8-19,0 12,9 20,1 8,2-0,8 0,6 Part de l'énergie et lubrifiants dans les importations (En %) 17,7 17,6 15,5 15,6 16,6 21,4 21,3 20,7 22,3 20,5 23,0 25,3 27,6 26,7 24,0 Part du blé dans les importations (En %) 4,5 5,0 4,5 2,7 3,1 2,3 1,5 3,6 3,8 2,1 2,5 3,3 3,1 2,1 3,3 Facture énergétique en % du PIB 5,5 5,2 4,5 4,4 5,2 7,5 7,8 8,8 10,6 7,4 9,0 11,3 12,9 11,7 10,1 Facture énergétique en % des exportations 27,5 27,2 23,4 25,2 29,8 39,8 40,1 43,0 46,7 47,9 45,8 51,6 57,7 55,2 46,3 Taux de couverture de biens et services (En %) 83,4 91,0 91,6 89,2 83,8 82,7 83,1 78,9 72,3 70,7 75,4 71,8 70,0 69,9 Taux de couverture de marchandises (En %) 64,3 64,7 66,2 61,7 55,7 53,8 53,2 48,0 47,8 42,8 50,2 48,9 47,8 48,3 51,8 Solde commercial de biens et services en % du PIB -5,6-2,9-2,8-3,4-5,7-6,6-6,7-9,7-14,4-12,0-10,9-14,1-15,4-14,7-12,3 Solde des biens en % du PIB -11,1-10,3-9,9-10,9-13,9-16,1-17,1-22,0-24,7-20,6-19,4-22,8-24,4-22,7-20,3 Recettes des transferts privés en % du PIB 6,6 9,6 8,2 8,2 8,5 8,8 9,4 10,0 8,7 7,9 7,9 8,0 7,9 7,9 Recettes voyages en % du PIB 5,5 6,8 6,5 6,5 6,9 7,8 9,1 9,5 8,1 7,2 7,4 7,3 7,0 6,6 6,5 Solde du compte courant en % du PIB -1,3 4,3 3,7 3,2 1,7 1,8 2,2-0,1-5,2-5,4-4,5-8,0-9,7-7,9-5,8 Monnaie, bourse et prix Taux de croissance de M3 (En %) 8,6 16,6 10,3 7,9 8,4 14,1 18,1 17,5 13,3 7,0 4,2 6,4 4,5 3,1 6,6 Avoirs extérieurs nets en mois d'importations de marchandises 5,4 8,8 9,3 11,1 10,9 10,8 10,9 9,6 7,3 8,8 7,8 5,7 4,4 4,4 5,4 Taux de croissance de l'indice de la bourse (1) (En %) -15,3-7,4-16,5 24,0 14,7 22,5 71,1 33,9-13,5-4,9 21,2-12,9-15,1-2,6 5,6 Taux d'inflation (En %) 1,9 0,6 2,8 1,2 1,5 1,0 3,3 2,5 3,7 1,0 0,9 0,9 1,3 1,9 0,4 Taux de change Euro/DH 9,85 10,16 10,42 10,84 11,05 11,05 11,08 11,25 11,39 11,28 11,18 11,28 11,12 11,19 11,19 Taux de change dollar US/DH 10,62 11,40 11,05 9,61 8,89 8,90 8,82 8,22 7,76 8,11 8,45 8,11 8,65 8,43 8,43 (1) Indice générale en 2000 et 2001 et MASI à partir de 2002 Finances publiques Solde budgétaire en % du PIB -5,2-2,6-4,1-3,1-3,1-4,0-1,7 0,6 0,4-2,2-4,7-6,0-7,0-5,2-4,7 Solde budgétaire hors compensation -4,3-0,8-3,2-2,1-1,6-1,9 0,5 3,2 5,0-0,4-1,1 0,1-0,3-0,5-1,2 Masse salariale en % du PIB 10,7 11,3 10,9 11,2 11,2 11,7 10,9 10,7 10,2 10,3 10,3 11,1 11,7 11,3 11,1 Taux d'endettement public (Trésor + garantie) (En %) 81,4 79,4 74,9 70,7 67,1 70,9 66,1 62,6 56,8 57,2 61,0 64,8 71,2 75,5 Taux d'endettement direct du Trésor (en %) 68,1 67,1 63,7 60,8 58,2 62,1 57,3 53,5 47,3 47,1 50,3 53,7 59,7 63,5 Indicateurs sociaux Taux de chômage global (En %) 13,4 12,3 11,3 11,4 10,8 11,1 9,7 9,8 9,6 9,1 9,1 8,9 9,0 9,2 9,9 Taux de chômage urbain 21,4 19,5 18,3 19,3 18,4 18,4 15,5 15,4 14,7 13,8 13,7 14,7 13,4 14,0 14,8 Taux de chômage urbain des jeunes (15-24) 37,6 35,5 34,2 34,5 33,3 32,9 31,7 31,6 31,8 31,8 31,3 32,2 33,5 36,0 38,1 Taux de chômage urbain des diplômés 29,7 26,8 25,6 26,5 25,6 25,7 20,8 20,8 20,0 18,6 18,1 18,3 18,2 18,2 19,5 Taux d'analphabétisme (En %) 29,5 27, ,8 28,4 27,0 Taux de pauvreté de la population (En %) 15,3 14,2 8,9 8,8 6,2 Direction des Etudes et des Prévisions Financières 1

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23 Comptes et agrégats de la nation

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25 Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Comptes et agrégats de la nation Croissance des valeurs ajoutées par branche d'activité en volume (prix de l'année précédente) s s (Evolution annuelle en %) Secteur primaire 2,3-3,1-12,2 19,1 4,3 20,3 4,5-11,1 21,1-20,0 16,6 28,9-2,3 5,1-7,2 18,7 2,1 9,2 Agriculture, chasse et services annexes -14,0 21,7 8,1 24,1 5,2-13,5 25,3-20,8 16,3 30,4-1,9 5,6-8,9 19,0 3,0 9,3 Pêche, aquaculture 10,6-2,3-27,6-15,2-5,4 21,2-19,3-10,1 19,0 12,2-9,5-1,5 13,7 15,7-7,2 7,8 Secteur secondaire 2,6 3,6 4,0 4,7 2,7 4,4 3,8 4,9 4,8 6,6 3,6-4,7 6,4 4,0 1,4 0,3 4,5 1,8 Industrie d'extraction 2,3 8,8 1,7 3,8-0,6 1,6 15,8 7,4 1,6 9,1-5,9-23,8 38,6 5,9-2,4-2,9 4,9 0,0 Industrie (hors raffinage de pétrole) 3,0 2,7 2,9 5,3 4,6 4,3-0,2 3,5 3,8 3,8 2,1 0,9 3,1 2,3 1,5 0,8 3,5 1,8 Raffinage de pétrole et autres produits d'énergie 5,7 5,7 5,1-44,8-23,2-81,0 164,1 19,0-32,7 41,9-5,8-70,7-21,5 28,5-1,8 4,0-15,7-18,9 Electricité et eau 6,4 4,4 6,2 9,4 2,1 10,2 5,3 7,7 6,9 5,8 5,9 3,5 7,1 6,0 6,9 0,4 6,7 4,9 Bâtiment et travaux publics -1,4 3,7 8,4 8,7 1,0 8,0 8,0 6,1 8,7 11,7 9,4 3,4 2,6 4,2 2,1 1,4 7,5 3,8 Services 3,1 3,2 5,2 5,8 2,8 4,5 5,6 6,3 5,2 6,1 4,1 3,6 3,3 6,0 5,8 2,7 5,2 4,2 Commerce 2,4 1,6 1,7 3,5 3,5 2,5 5,0 4,0 4,6 2,5 4,5 3,5-0,4 4,7 2,3 1,1 3,4 2,6 Hôtels et restaurants 2,0 2,8 4,2-0,3 0,2-0,4 9,0 7,8 8,7 4,1 0,8-1,2 8,0-2,0 2,5 4,6 4,1 2,1 Transports 4,8 5,1 7,5 1,1 0,6 0,5 12,8 9,5 5,2 8,4 2,6 2,8 7,2 5,9 2,7 2,2 5,6 3,9 Postes et télécommunications 6,6 5,8 46,0 40,8 5,3 11,4 10,7 5,4 10,4 10,4 8,7 2,8 4,4 19,0 25,6 2,8 16,7 10,2 Activités financières et assurances 4,9 3,0 3,7 3,7-0,8 5,3 4,1 13,0 8,9 18,7 3,9 1,1 0,5 7,6 4,9-0,2 6,9 2,9 Immobilier, location et services rendus aux entreprises 3,4 4,1 4,5 3,6 7,1 7,5 5,8 7,9 7,5 8,3 0,5 1,9 2,6 4,4 5,3 1,7 6,5 2,7 Autres services non financiers 3,2 2,0 1,4 2,2 3,4 4,7 8,4-3,0 3,0 3,9 1,7 2,3 1,1 1,0 0,8 2,1 3,0 1,5 Administration publique générale et sécurité sociale 2,9 2,6 0,3 3,9 1,3 2,9 4,7 4,8 3,2 2,4 3,9 9,3 2,9 5,8 6,7 3,4 2,9 5,3 Education, santé et action sociale 3,3 3,6 4,9 10,7-0,6 5,5 1,5 6,6 2,6 8,0 8,7 3,2 4,8 8,4 4,9 3,8 4,8 0,0 5,6 0,0 PIB non agricole 3,8 3,7 4,2 5,7 2,6 3,6 4,7 5,6 5,4 6,5 4,2 1,2 4,5 4,9 4,4 2,3 4,8 0,0 3,6 0,0 Produit intérieur brut 3,4 2,5 1,6 7,6 3,3 6,3 4,8 3,0 7,8 2,7 5,6 4,8 3,6 5,0 2,7 4,4 4,6 4,3 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. Contribution annuelle moyenne des principales branches d'activité à la croissance du PIB en volume (prix de l'année précédente) s s (En nombre de points de la croissance) Secteur primaire 0,4-0,5-1,9 2,5 0,6 3,0 0,7-1,6 2,8-3,0 2,0 3,8-0,3 0,7-1,0 2,8 0,3 2,0 Agriculture, chasse et services annexes -2,0 2,6 1,1 3,2 0,7-1,8 3,0-2,9 1,8 3,7-0,3 0,7-1,2 2,7 0,4 1,9 Pêche, aquaculture 0,1 0,0-0,4-0,2-0,1 0,2-0,2-0,1 0,2 0,1-0,1 0,0 0,1 0,2-0,1 0,1 Secteur secondaire 0,6 0,9 1,0 1,2 0,7 1,1 1,0 1,3 1,2 1,6 0,9-1,3 1,6 1,1 0,4 0,1 1,1 0,7 Industrie d'extraction 0,0 0,2 0,0 0,1 0,0 0,0 0,3 0,1 0,0 0,2-0,1-1,6 0,9 0,2-0,1-0,1 0,1 0,0 Industrie (hors raffinage de pétrole) 0,5 0,4 0,5 0,8 0,7 0,6 0,0 0,5 0,6 0,5 0,3 0,1 0,4 0,3 0,2 0,1 0,5 0,4 Raffinage de pétrole et autres produits d'énergie 0,0 0,0 0,0-0,3-0,1-0,2 0,2 0,0-0,1 0,1 0,0-0,1 0,0 0,1 0,0 0,0 0,0-0,1 Electricité et eau 0,1 0,1 0,2 0,3 0,1 0,3 0,1 0,2 0,2 0,1 0,2 0,1 0,2 0,2 0,2 0,0 0,2 0,2 Bâtiment et travaux publics -0,1 0,1 0,3 0,4 0,0 0,4 0,4 0,3 0,5 0,7 0,6 0,2 0,2 0,3 0,1 0,1 0,4 0,4 Services 1,5 1,5 2,5 2,9 1,4 2,2 2,7 3,1 2,7 3,1 2,1 1,8 1,6 3,0 2,9 1,4 2,6 3,3 Commerce 0,3 0,2 0,2 0,4 0,4 0,3 0,6 0,4 0,5 0,3 0,5 0,4 0,0 0,4 0,2 0,1 0,4 0,4 Hôtels et restaurants 0,0 0,1 0,1 0,0 0,0 0,0 0,2 0,2 0,2 0,1 0,0 0,0 0,2-0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 Transports 0,2 0,2 0,3 0,0 0,0 0,0 0,5 0,3 0,2 0,3 0,1 0,1 0,3 0,2 0,1 0,1 0,2 0,2 Postes et télécommunications 0,1 0,1 1,0 0,8 0,1 0,3 0,3 0,2 0,3 0,3 0,3 0,1 0,1 0,6 0,7 0,1 0,5 0,4 Activités financières et assurances 0,2 0,2 0,2 0,2 0,0 0,3 0,2 0,6 0,5 1,0 0,2 0,1 0,0 0,4 0,3 0,0 0,4 0,3 Immobilier, location et services rendus aux entreprises 0,3 0,4 0,4 0,4 0,7 0,7 0,6 0,8 0,8 0,9 0,1 0,2 0,3 0,5 0,6 0,2 0,7 0,5 Autres services non financiers 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,1 0,1 0,0 0,0 0,1 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Administration publique générale et sécurité sociale 0,3 0,2 0,0 0,3 0,1 0,2 0,4 0,4 0,3 0,2 0,3 0,7 0,2 0,5 0,6 0,3 0,3 0,7 Education, santé et action sociale 0,2 0,3 0,4 0,9-0,1 0,5 0,1 0,6 0,2 0,7 0,8 0,3 0,4 0,7 0,5 0,4 0,4 0,8 PIB non agricole 3,6 4,9 2,2 3,1 4,0 4,8 4,7 5,5 3,7 1,0 3,8 4,2 3,8 2,0 4,1 4,8 Produit intérieur brut 3,4 2,5 1,6 7,6 3,3 6,3 4,8 3,0 7,8 2,7 5,6 4,8 3,6 5,0 2,7 4,4 4,6 4,3 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. Direction des Etudes et des Prévisions Financières 2

26 Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Comptes et agrégats de la nation Structure des valeurs ajoutées par branche d'activité aux prix courants s s (En% du total des valeurs ajoutées) Secteur primaire 19,8 19,4 14,9 16,6 16,5 17,3 16,3 14,7 16,9 13,7 14,6 16,4 15,3 15,5 14,4 16,6 15,8 15,5 Agriculture, chasse et services annexes 13,3 14,8 14,9 16,1 15,2 13,3 15,7 12,6 13,4 15,4 14,4 14,3 13,4 15,5 14,5 14,4 Pêche, aquaculture 1,6 1,8 1,6 1,2 1,1 1,4 1,2 1,1 1,2 1,0 1,0 1,1 1,0 1,0 1,4 1,1 Secteur secondaire 28,8 28,4 29,1 27,6 27,3 27,9 28,5 28,2 27,2 27,3 30,3 28,6 29,7 30,2 30,3 28,5 27,8 29,6 Industrie d'extraction 2,5 2,3 2,4 2,4 2,1 1,8 1,8 1,9 2,0 2,4 7,3 2,6 4,3 5,6 5,3 3,9 2,1 4,8 Industrie (hors raffinage de pétrole) 18,3 18,0 17,5 16,3 16,4 17,2 17,3 16,3 15,7 15,0 14,0 15,9 15,3 15,4 15,7 15,4 16,4 15,3 Industrie alimentaire et tabac 4,9 4,1 4,0 4,1 4,5 4,3 4,4 3,4 3,4 4,6 4,2 4,2 4,7 5,3 4,2 4,4 Industrie du textile et du cuir 4,3 4,0 4,0 4,0 4,0 3,1 3,2 3,1 2,7 2,7 2,6 2,3 2,3 2,1 3,7 2,4 Industrie chimique et parachimique 1,8 1,6 1,5 1,8 1,9 2,1 1,9 1,9 1,9 2,3 2,3 3,2 3,2 2,7 1,8 2,7 Industrie mécanique, métallurgique et électrique 3,5 3,4 3,7 4,1 3,8 3,7 3,4 3,6 3,3 3,2 3,4 3,1 3,1 2,9 3,6 3,1 Autres industries manufacturières 3,0 3,2 3,2 3,3 3,1 3,0 2,8 3,0 2,7 3,0 2,9 2,6 2,5 2,4 3,1 2,7 Energie 3,3 3,8 4,1 3,4 3,3 3,2 3,1 3,4 3,1 3,0 2,8 3,1 3,2 2,8 2,8 2,7 3,3 2,9 Raffinage de pétrole et autres produits d'énergie 0,6 0,5 0,9 0,4 0,3 0,1 0,2 0,3 0,3 0,2 0,2 0,2 0,4 0,3 0,2 0,0 0,3 0,2 Electricité et eau 2,7 3,3 3,3 3,0 3,0 3,1 2,9 3,1 2,8 2,9 2,6 2,9 2,8 2,6 2,6 2,6 3,0 2,7 Bâtiment et travaux publics 4,7 4,2 5,1 5,5 5,5 5,7 6,3 6,7 6,4 6,8 6,2 7,0 6,8 6,5 6,5 6,6 6,1 6,6 Services 51,3 52,2 56,0 55,9 56,1 54,8 55,2 57,1 56,0 59,0 55,0 55,0 55,0 54,3 55,3 54,9 56,3 54,9 Commerce 14,1 13,5 14,0 13,4 13,5 12,3 11,9 11,9 11,8 11,9 11,4 11,0 10,6 10,4 10,4 10,2 12,5 10,6 Hôtels et restaurants 2,7 2,3 2,6 2,5 2,4 2,3 2,4 2,7 2,6 3,0 2,6 2,6 2,8 2,5 2,6 2,7 2,6 2,6 Transports 4,0 4,9 4,6 4,4 4,4 4,0 4,1 3,8 3,5 4,3 3,9 3,9 4,0 3,8 3,8 3,9 4,1 3,9 Postes et télécommunications 1,4 1,9 2,3 2,9 3,1 3,2 3,4 3,5 3,5 3,6 3,4 3,4 3,4 3,0 2,8 2,3 3,3 3,0 Activités financières et assurances 6,5 5,8 5,8 5,6 5,5 5,3 5,2 5,7 5,8 6,7 6,3 6,1 5,9 5,9 6,1 5,9 5,7 6,0 Immobilier, location et services rendus aux entreprises 8,1 9,6 11,0 10,7 11,2 11,4 11,7 12,5 12,7 14,1 13,0 13,0 12,9 12,6 13,1 12,9 12,1 12,9 Autres services non financiers 1,6 1,6 1,7 1,6 1,6 1,6 1,7 1,6 1,6 1,6 1,5 1,5 1,5 1,4 1,4 1,4 1,6 1,5 Administration publique générale et sécurité sociale 9,6 9,4 9,8 9,9 9,7 9,4 9,7 10,1 9,8 9,5 8,7 9,2 9,1 9,4 9,7 9,7 9,7 9,3 Education, santé et action sociale 8,6 8,2 9,2 9,8 9,5 9,8 9,6 10,2 9,7 9,9 9,6 9,5 9,7 10,2 10,4 10,5 9,7 10,0 VA non agricole en % du total des VA 80,2 80,6 85,1 83,4 83,5 82,7 83,7 85,3 83,1 86,3 85,4 83,6 84,7 84,5 85,6 83,4 84,2 84,5 PIB non agricole en % du PIB total 86,7 85,3 85,3 84,5 85,3 86,8 84,8 87,8 86,8 85,4 86,2 85,7 86,6 84,8 85,9 85,9 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. 30 Croissance du PIB en volume (prix de l'année précédente) 5 Contribution des principaux secteurs à la croissance du PIB 9 100% Structure des valeurs ajoutées par branche d'activité aux prix courants VA agricole 4 3 Taux de croissance du PIB (Echelle de droite) Services % 80% Administration publique+éducation+ santé (En %) PIB hors agricole PIB global Contribution à la croissance en nombre de points Secondaire Secteur primaire Croissance du PIB en % 70% 60% Services marchands 50% 40% 30% Secteur secondaire 20% 10% Secteur primaire 0% Direction des Etudes et des Prévisions Financières 3

27 Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Comptes et agrégats de la nation Contribution annuelle moyenne des éléments de la demande à la croissance du PIB en volume (prix de l'année précédente) (En points de croissance) Ressources Produit intérieur brut 3,4 2,5 1,6 7,6 3,3 6,3 4,8 3,0 7,8 2,7 5,6 4,8 3,6 5,0 2,7 4,4 4,6 4,3 Importations 1,0 1,9 2,3 0,5 2,0 2,3 3,1 3,3 3,1 6,0 5,5-3,1 1,4 2,2 0,8-0,8 2,9 1,1 Emplois Dépenses de consommation finale 3,1 1,3 1,1 2,3 2,2 4,6 3,6 2,0 4,5 3,0 4,4 4,7 1,1 5,0 3,6 2,9 2,9 3,7 Ménages 2,8 0,9 0,8 1,4 2,1 4,2 2,8 1,3 4,0 2,2 3,5 2,7 1,3 4,2 2,2 2,2 2,3 2,7 Administrations publiques 0,4 0,4 0,2 0,9 0,1 0,4 0,8 0,7 0,6 0,8 0,9 2,1-0,2 0,8 1,4 0,7 0,5 1,0 Formation brute de capital fixe 0,0 1,8 0,7 0,2 1,8 1,9 2,1 1,9 2,7 4,0 3,6 0,9-0,2 0,8 0,5 0,1 2,0 0,9 Exportations de biens et services 1,5 1,5 2,3 3,7 1,7 0,2 1,8 3,9 3,7 1,8 2,6-5,5 4,8 0,7 0,9 0,9 2,5 0,8 Solde commercial des biens et services 0,5-0,3 0,0 3,2-0,4-2,1-1,3 0,6 0,6-4,2-2,9-2,5 3,3-1,5 0,1 1,6-0,4-0,3 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. Eléments de la demande de biens et services en % du PIB aux prix courants (En %) Importations de biens et services 28,8 28,4 33,4 31,9 32,3 31,5 34,3 37,9 39,7 44,9 50,9 39,7 43,1 48,7 50,3 46,9 36,3 46,6 Propension moyenne à consommer 79,8 79,6 79,8 76,4 76,2 75,5 75,8 76,8 76,0 76,6 75,3 75,3 74,8 77,2 79,1 79,1 76,6 76,9 Ménages 62,5 61,9 61,4 57,8 57,9 57,3 57,1 57,5 57,5 58,4 58,1 57,1 57,3 58,9 59,9 60,1 58,0 58,6 Administrations publiques 17,3 17,7 18,4 18,6 18,3 18,1 18,7 19,4 18,5 18,2 17,1 18,2 17,5 18,2 19,2 19,0 18,5 18,3 Taux d'investissement (1) 23,9 22,9 26,0 24,8 25,2 25,1 26,3 27,5 28,1 31,2 33,0 30,9 30,7 30,7 31,3 30,2 27,0 31,1 Taux d'investissement brut (2) 25,7 24,2 25,5 26,1 25,9 27,4 29,1 28,8 29,4 32,5 38,1 35,6 35,0 36,0 35,3 34,2 28,4 35,6 Taux d'exportation 23,3 24,5 28,0 29,4 30,2 28,7 29,4 32,3 34,2 35,7 37,5 28,7 33,2 35,6 35,9 33,6 31,3 34,1 Déficit commercial de biens et services 5,5 3,8 5,4 2,5 2,1 2,8 5,0 5,6 5,5 9,1 13,4 11,0 9,8 13,1 14,4 13,2 5,0 12,5 Taux d'ouverture de biens et services (3) 52,1 52,9 61,3 61,4 62,4 60,2 63,7 70,2 73,9 80,6 88,3 68,4 76,3 84,3 86,2 80,5 67,6 80,7 Taux de pénétration de biens et services (4) 27,3 27,3 31,7 31,2 31,6 30,6 32,7 35,9 37,6 41,1 44,9 35,8 39,2 43,0 44,0 41,4 34,6 41,4 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. (1) FBCF rapportée au PIB (2) FBCF + variation des stocks rapportées au PIB (3) Total des exportations et des importations des B & S rapporté au PIB (4) Importations de biens et services rapportées à la demande intérieure de B&S.(c'est le degré d'ouverture du marché intérieur aux produits étrangers) Evolution de la consommation des, ménages Contribution des principaux éléments de la demande à la croissance et de l'investissement brut en % du PIB 40 Contribution à la croissance en nombre de points Croissance du PIB FBCF Consommation finale Solde commercial de B&S Taux de croissance du PIB en % Consommation des ménages en % du PIB Taux d'investissement brut (échelle gauche) Evolution du déficit commercial de biens et services en % du PIB Taux d'importation Taux d'exportation Déficit commercial Direction des Etudes et des Prévisions Financières 4

28 Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Comptes et agrégats de la nation Croissance de la FBCF en volume (prix de l'année précédente) (Evolution annuelle en %) FBCF Totale 0,0 7,8 2,8 0,8 7,3 7,7 8,4 7,4 9,7 14,3 11,5 2,6-0,7 2,5 1,6 0,2 7,2 2,9 Produits de l'agriculture, chasse et services annexes -18,5 1,9-28,2 13,2 7,0-15,6-3,6-10,1 15,1 4,4 0,3 9,1-12,5 3,1-7,7 2,9 Produits de l'industrie 4,4-8,8 14,7 13,9 13,5 11,8 8,5 15,1 14,7 1,1-5,3-1,3 3,5-3,0 8,9 1,4 Produits du bâtiment et travaux publics 4,0 10,2 4,1 3,9 5,0 5,2 9,1 15,6 9,2 3,5 2,7 4,1 2,2 1,5 7,1 3,8 Produits des services -4,1-6,5 12,1-1,8 4,2 6,3 31,3 7,2 6,5 5,0 3,0 10,4-10,0 9,3 5,5 3,8 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. Structure de la FBCF en valeur par produit (En %) Produits de l'agriculture, chasse et services annexes 3,3 3,7 2,6 2,5 2,6 2,3 2,2 1,7 1,8 1,9 1,8 2,0 1,8 1,6 2,5 1,8 Produits de l'industrie 42,3 37,6 39,3 40,0 40,7 41,5 41,3 41,6 43,1 41,4 40,1 38,7 39,7 38,4 40,7 40,2 Produits du bâtiment et travaux publics 48,0 53,0 52,4 52,2 51,7 51,3 50,4 50,6 49,1 50,2 51,6 52,4 52,3 53,0 51,2 51,5 Produits des services 6,4 5,7 5,8 5,3 5,1 4,9 6,2 6,1 6,0 6,4 6,5 6,8 6,3 7,0 5,7 6,5 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. FBCF par produit en % du PIB (En %) FBCF Totale 26,0 24,8 25,2 25,1 26,3 27,5 28,1 31,2 33,0 30,9 30,7 30,7 31,3 30,2 27,0 31,1 Produits de l'agriculture, chasse et services annexes 0,9 0,9 0,6 0,6 0,7 0,6 0,6 0,5 0,6 0,6 0,6 0,6 0,5 0,5 0,7 0,6 Produits de l'industrie 11,0 9,4 9,9 10,1 10,7 11,4 11,6 13,0 14,2 12,8 12,3 11,9 12,4 11,6 11,0 12,5 Produits du bâtiment et travaux publics 12,5 13,2 13,2 13,1 13,6 14,1 14,2 15,8 16,2 15,5 15,8 16,1 16,4 16,0 13,8 16,0 Produits des services 1,7 1,4 1,5 1,3 1,3 1,4 1,7 1,9 2,0 2,0 2,0 2,1 2,0 2,1 1,5 2,0 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. 100% 90% Structure de la FBCF par secteur aux prix courants Agriculture, chasse et services annexes Services 38 Evolution du taux d'investissement et de l'épargne nationale brute en % du PIB Taux d'investissement brut 100% 90% FBCF par secteur en % du PIB Agriculture, chasse et services annexes Services 80% 36 80% 70% Industrie 34 70% Industrie 60% 60% 50% 32 Epargne nationale brute en % du PIB 50% 40% 30 40% 30% 20% Bâtiment et travaux publics 28 30% 20% Bâtiment et travaux publics 10% 26 10% 0% % Direction des Etudes et des Prévisions Financières 5

29 Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Comptes et agrégats de la nation Revenu national brut disponible aux prix courants (En millions DH) Revenu national brut disponible Ressources Revenu national brut Transferts courants nets externes Emplois Dépenses de consommation finale Epargne nationale brute Source : Haut Commissariat au Plan. Variation du revenu national brut disponible aux prix courants (Evolution annuelle en %) Revenu national brut disponible 8,1 4,4 2,1 11,2 3,5 7,4 6,5 5,4 9,8 7,5 10,9 3,7 4,1 4,8 2,7 6,5 6,7 5,4 Ressources Revenu national brut 8,0 4,6 0,9 8,4 4,7 7,4 6,3 5,0 9,3 6,9 11,4 5,3 4,2 4,6 2,8 6,1 6,1 5,7 Transferts courants nets externes 8,8 0,4 25,2 52,0-8,8 7,5 9,9 10,5 16,1 14,1 6,8-11,6 2,8 6,6 1,0 10,6 14,7 2,4 Emplois Dépenses de consommation finale 8,6 3,7 2,7 3,7 4,2 6,1 6,4 5,8 8,3 7,6 9,8 6,4 3,6 8,4 5,7 5,4 5,6 6,5 Epargne nationale brute 6,2 6,7 0,4 35,9 1,8 10,9 7,0 4,4 13,5 7,4 13,7-2,4 5,5-4,0-5,7 9,8 9,7 2,6 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. Structure du revenu national brut disponible aux prix courants (En % du revenu national brut disponible) Ressources Revenu national brut 92,8 94,3 93,5 91,2 92,2 92,2 92,0 91,6 91,1 90,6 90,9 92,3 92,4 92,2 92,3 92,1 91,7 92,0 Transferts courants nets externes 7,2 5,7 6,5 8,8 7,8 7,8 8,0 8,4 8,9 9,4 9,1 7,7 7,6 7,8 7,7 7,9 8,3 8,0 Emplois Dépenses de consommation finale 76,5 77,2 76,7 71,5 72,0 71,1 71,0 71,3 70,3 70,3 69,6 71,4 71,0 73,4 75,6 74,8 71,5 72,8 Ménages 59,9 60,0 59,0 54,1 54,7 54,0 53,5 53,3 53,1 53,6 53,7 54,1 54,4 56,1 57,2 56,9 54,2 55,5 Administrations publiques 16,6 17,2 17,7 17,4 17,3 17,1 17,5 18,0 17,1 16,7 15,9 17,3 16,6 17,4 18,4 18,0 17,3 17,3 Epargne nationale brute 23,5 22,8 23,3 28,5 28,0 28,9 29,0 28,7 29,7 29,7 30,4 28,6 29,0 26,6 24,4 25,2 28,5 27,2 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. Structure de l'épargne nationale brute (En %) Epargne intérieure brute 82,6 86,8 83,1 77,6 80,3 79,9 77,9 74,9 74,5 72,2 75,2 81,6 82,5 81,9 81,8 78,8 76,9 80,3 Epargne de l'etat (1) 15,0 13,1 6,6 19,3 4,3 6,7 6,7 1,5 10,9 17,6 20,0 15,1 12,3 7,4 2,6 6,9 9,5 10,8 Autres épargnes intérieures 67,6 73,7 76,5 58,3 76,1 73,2 71,2 73,4 63,6 54,6 55,1 66,6 70,2 74,5 79,1 71,9 67,4 69,5 Epargne extérieure 17,4 13,2 16,9 22,4 19,7 20,1 22,1 25,1 25,5 27,8 24,8 18,4 17,5 18,1 18,2 21,2 23,1 19,7 Epargne nationale brute 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Taux d'épargne nationale brute (2) 23,5 22,8 23,3 28,5 28,0 28,9 29,0 28,7 29,7 29,7 30,4 28,6 29,0 26,6 24,4 25,2 28,5 27,2 Taux d'épargne intérieure brute (3) 20,2 20,4 20,2 23,6 23,8 24,5 24,2 23,2 24,0 23,4 24,7 24,7 25,2 22,8 20,9 20,9 23,4 23,1 Epargne nationale brute en % du PIB 24,5 23,5 24,3 30,4 29,7 30,7 31,0 31,0 32,2 32,4 32,9 30,2 30,5 27,9 25,5 26,6 30,5 28,8 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. (1) c'est le solde ordinaire du budget de l'etat (2) L'épargne nationale brute rapportée au revenu national brut disponible (3) L'épargne intérieure brute rapportée au PIB Direction des Etudes et des Prévisions Financières 6

30 Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Comptes et agrégats de la nation Evolution des éléments du compte capital de la nation aux prix courants (En millions DH) Ressources Epargne nationale brute Transferts nets en capital Total des ressources Emplois FBCF Variation des stocks Capacité (+) ou besoin (-) de financement Total des emplois Source :Haut Commissariat au Plan. Structure du compte capital de la nation aux prix courants (En %) Ressources Epargne nationale brute 99,8 99,9 100,1 100,1 100,1 100,1 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Transferts nets en capital 0,2 0,1-0,1-0,1-0,1-0,1 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Total des ressources 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Emplois FBCF 97,2 97,3 107,1 81,7 85,1 81,9 84,8 88,9 87,6 96,6 100,4 102,3 100,5 110,0 122,6 113,5 88,8 108,0 Variation des stocks 7,5 5,7-1,8 4,3 2,4 7,3 9,2 4,1 4,0 3,8 15,5 15,8 14,3 18,8 15,6 15,0 4,5 15,8 Capacité (+) ou besoin (-) de financement -4,7-3,1-5,3 14,0 12,5 10,9 6,1 7,0 8,4-0,4-15,9-18,0-14,7-28,8-38,2-28,5 6,7-23,9 Total des emplois 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Capacité (+) ou besoin (-) de financement en % du PIB -1,2-0,7-1,3 4,3 3,7 3,3 1,9 2,2 2,7-0,1-5,2-5,4-4,5-8,1-9,7-7,6 2,1-6,9 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données du Haut Commissariat au Plan. (En milliards DH) Evolution de l'épargne nationale brute Revenu national brut disponible Dépenses de consommation finale 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% Répartition de l'épargne nationale brute Epargne extérieure Epargne de l'etat Autre épargne intérieure Evolution de la capacité de financement en % du PIB et du taux d'épargne intérieure brute Taux d'épargne intérieure brute Capacité de financement en % du PIB (échelle à droite) % 10% % Direction des Etudes et des Prévisions Financières 7

31 Echanges extérieurs

32

33 Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Echanges extérieurs Variation annuelle des importations (1) selon les principaux produits (en valeur) (En %) Alimentations, boissons et tabacs 8,5 8,9 23,1 8,4-1,7-24,5 19,0 14,8-1,3 73,3 19,2-24,0 20,2 33,4 7,7-14,1 16,3 11,1 6,6 Dont : Produits laitiers 6,1-8,0 34,4 44,9 0,0-9,1 7,0 23,4 0,3 45,1 28,8-29,9 31,4 12,8 0,5 10,6 23,1 16,5 9,0 Thé 1,9 0,8 4,1-9,3-4,6-4,8 6,1 16,0 4,2 1,6-1,7 11,2 8,0 50,1 2,4 10,6-0,3 1,4 10,4 Blé -3,9 20,7 43,7 12,9-6,0-36,9 34,5-15,9-25,6 204,5 32,1-55,9 34,9 57,3 3,7-31,9 54,4 11,9 4,4 Sucre 11,6 2,6 10,3 5,2 3,7-31,2-0,2 21,7 72,6-14,3 13,0 53,2-3,2 46,0 5,8-27,2-22,4 5,1 5,6 Energie et lubrifiants 7,4 4,9 66,6 1,5-8,2 5,0 23,8 50,7 13,7 20,2 34,7-25,5 26,5 31,9 18,0-4,1-9,5 19,5 8,0 Dont : pétrole brute 2,5 5,3 64,5-1,5-11,2-28,3 57,6 64,7 5,1 4,3 16,9-44,1 46,2 25,2 19,7-3,1-22,9 14,4 1,0 Huile de pétrole et lubrifiants 5,0-2,5 6,6 12,8-24,0-0,7 23,2 28,4 13,7-9,9-9,0 7,6 4,8-21,7 175,2 4,6 12,4 Produits bruts 7,1-0,2 7,9-2,4 13,7 13,9 6,0 11,3 5,6 24,9 68,4-48,4 15,5 41,6 2,0-22,4 12,3 9,9 3,4 D'origine animale et végétale 9,4 0,5 3,9 0,1 14,4 10,2 4,1 7,3 8,7 23,4 15,2-17,5 3,0 21,9-3,0-11,4 5,2 8,8 1,1 D'origine minérale 2,4-2,2 19,7-8,9 11,8 24,4 11,1 20,9-0,9 28,2 188,4-76,2 54,8 82,7 8,9-35,9 24,3 12,6 7,7 Demi-produits 7,7 3,5 11,5 9,0 7,6 8,1 19,0 11,4 20,8 21,0 14,7-22,0 17,3 21,8 0,8 4,5 1,4 13,4 4,6 Biens finis d'équipement 8,3 8,5-8,5-9,2 13,6 14,4 16,5 10,3 21,9 18,9 30,0-9,9 0,8 3,3 7,4 12,1-3,6 9,1 5,1 Agricole 12,5-2,1-3,3 22,2 12,8 0,6 22,4 8,7 58,2 30,9 32,7-12,1-37,2-9,9-4,0 26,5-7,5 17,7-4,2 Industriel 8,1 9,0-8,6-10,1 13,6 14,9 16,2 10,4 20,6 18,4 29,9-9,8 2,8 3,8 7,7 11,8-3,5 8,8 5,5 Biens finis de consommation 14,9 11,6 18,5 3,4 4,7 3,2 9,9 6,1 9,2 19,2 9,4-1,2 5,4 10,2 6,2-0,3 8,8 9,1 5,4 Importations totales 8,9 6,8 15,7 1,8 4,6 4,3 16,1 16,8 14,2 24,1 24,8-19,0 12,9 20,1 8,2-0,8 0,6 11,9 5,7 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes (1) Importations globales y compris les admissions temporaires Structure des importations selon les principaux produits (en valeur) (En %) Alimentations, boissons et tabacs 10,0 12,1 11,6 12,3 11,6 8,4 8,6 8,5 7,3 10,2 9,8 9,2 9,8 10,8 10,8 9,4 10,8 9,8 10,1 Dont : Produits laitiers 1,0 0,7 0,6 0,8 0,7 0,7 0,6 0,6 0,6 0,7 0,7 0,6 0,7 0,6 0,6 0,7 0,8 0,6 0,7 Thé 0,9 0,7 0,6 0,5 0,5 0,4 0,4 0,4 0,4 0,3 0,2 0,3 0,3 0,4 0,4 0,4 0,4 0,4 0,4 Blé 3,0 4,1 4,5 5,0 4,5 2,7 3,1 2,3 1,5 3,6 3,8 2,1 2,5 3,3 3,1 2,1 3,3 3,4 2,9 Sucre 1,2 1,5 1,2 1,2 1,2 0,8 0,7 0,7 1,1 0,8 0,7 1,3 1,1 1,3 1,3 1,0 0,7 1,0 1,1 Energie et lubrifiants 13,7 11,9 17,7 17,6 15,5 15,6 16,6 21,4 21,3 20,7 22,3 20,5 23,0 25,3 27,6 26,7 24,0 18,4 24,4 Dont : pétrole brute 10,6 7,9 12,0 11,6 9,9 6,8 9,2 13,0 12,0 10,0 9,4 6,5 8,4 8,8 9,7 9,5 7,3 10,3 8,6 Huile de pétrole et lubrifiants 0,1 0,1 0,1 0,1 0,4 0,7 0,5 0,4 0,4 0,5 0,4 0,5 0,4 0,3 0,3 0,3 0,7 0,4 8,6 Produits bruts 10,1 8,7 6,6 6,3 6,9 7,5 6,8 6,5 6,0 6,1 8,2 5,2 5,3 6,3 5,9 4,7 5,2 6,5 5,8 D'origine animale et végétale 6,2 6,2 4,7 4,7 5,1 5,4 4,8 4,4 4,2 4,2 3,9 4,0 3,6 3,7 3,3 2,9 3,1 4,6 3,4 D'origine minérale 3,9 2,4 1,8 1,6 1,8 2,1 2,0 2,1 1,8 1,9 4,3 1,3 1,7 2,6 2,7 1,7 2,1 1,9 2,4 Demi-produits 23,4 22,6 19,8 21,2 21,9 22,6 23,2 22,2 23,5 22,9 21,0 20,3 21,1 21,4 19,9 21,0 21,2 22,4 20,8 Biens finis d'équipement 25,0 22,9 20,7 18,5 20,1 22,0 22,1 20,9 22,3 21,4 22,3 24,8 22,1 19,0 18,9 21,4 20,5 21,2 21,1 Agricole 0,9 0,8 0,6 0,7 0,8 0,7 0,8 0,7 1,0 1,1 1,1 1,2 0,7 0,5 0,5 0,6 0,5 0,9 0,7 Industriel 24,2 22,1 20,2 17,8 19,3 21,3 21,3 20,2 21,3 20,3 21,1 23,5 21,5 18,5 18,5 20,8 20,0 20,3 20,4 Biens finis de consommation 17,7 21,8 23,5 23,9 23,9 23,7 22,4 20,4 19,5 18,7 16,4 20,0 18,7 17,2 16,9 17,0 18,3 21,6 17,7 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes Direction des Etudes et des Prévisions Financières 8

34 Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Echanges extérieurs Variation des importations du Maroc selon les principaux partenaires (en valeur) (En %) France 8,9 7,0 7,9-4,8-4,5 4,6 4,2 14,9 10,9 12,0 17,6-15,8 12,6 9,9-5,8 2,9 3,8 5,4 3,0 Espagne 9,5 11,1 2,7-1,4 27,2 11,3 14,1 11,4 12,5 20,5 25,3-11,8-1,7 24,2 29,8 1,3 0,1 12,0 8,6 Italie 10,1 2,6 3,1 11,1 17,2 28,1 6,4 7,7 19,8 25,5 30,2-20,5 2,5 4,7 2,2 7,9-5,8 14,5 2,1 Allemagne 12,1 2,3-6,6 7,4 7,7 2,3 31,8-5,0 10,5 31,7 17,8-5,3-4,8 16,8 15,5-1,1 9,7 9,2 6,5 Union Européenne (27 pays) 9,8 8,2 10,1-4,7 9,5 8,4 9,0 9,8 14,1 23,5 22,4-18,3 6,1 16,1 7,7 4,2 3,1 9,7 5,2 U.S.A 12,7 3,5-1,3-32,6 21,8-1,8 17,9-6,1 55,5 62,7 7,7 14,2 10,5 38,1-14,8 16,0-6,0 10,5 8,3 Chine 17,6 10,5 19,3 24,1 41,8 42,4 17,8 36,8 22,4 11,2 21,3-6,7 9,8 3,5 11,4 25,8 10,0 Arabie Saoudite 62,9-0,6 77,3-3,2 29,7-10,2 23,4 43,9 14,2 2,6 52,7-47,1 53,7 38,9-0,6-4,0-11,1 19,5 5,6 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes Structure des importations du Maroc selon les principaux partenaires (en valeur) (En %) France 25,5 25,3 24,0 22,5 20,5 20,6 18,5 18,2 17,6 15,9 15,0 15,6 15,6 14,3 12,4 12,9 13,3 19,1 14,0 Espagne 9,1 9,8 9,9 9,6 11,6 12,4 12,2 11,6 11,5 11,1 11,2 12,2 10,6 11,0 13,2 13,5 13,4 11,3 12,2 Italie 6,4 5,9 4,7 5,2 5,8 7,1 6,5 6,0 6,3 6,4 6,7 6,5 6,0 5,2 4,9 5,3 5,0 6,1 5,6 Allemagne 6,7 6,5 4,9 5,1 5,3 5,2 5,9 4,8 4,7 4,9 4,7 5,5 4,6 4,5 4,8 4,8 5,2 5,1 4,8 Union Européenne (27 pays) 58,6 59,4 59,1 55,3 58,0 60,2 56,5 53,2 53,1 52,9 51,9 52,4 49,2 47,6 47,4 49,8 51,0 55,4 49,8 U.S.A 6,8 6,2 5,6 3,7 4,3 4,1 4,1 3,3 4,5 5,9 5,1 7,2 7,0 8,1 6,4 7,5 7,0 4,5 6,9 Chine 2,3 2,5 2,9 3,4 4,2 5,1 5,3 5,8 5,7 7,8 8,4 6,5 6,6 6,9 7,6 4,3 7,0 Arabie Saoudite 4,4 4,3 5,0 4,7 5,9 5,0 5,4 6,6 6,6 5,5 6,7 4,4 6,0 6,9 6,3 6,1 5,4 5,7 6,0 Union du Maghreb Arabe 2,5 2,8 2,5 2,2 1,7 1,4 2,7 2,9 3,5 3,1 3,0 3,2 3,1 3,1 3,3 2,7 3,2 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes Evolution de la structure des importations selon les principaux produits (en valeur) Evolution de la structure des importations par principaux partenaires (en valeur) 100 Autres 100% 90 Biens finis de consommation 90% 80 80% 70 70% Autres pays Biens finis d'équipement (En %) Demi-produits 60% 50% 40% Allemagne Union du Maghreb Arabe Chine Arabie Saoudite U.S.A 30 30% Italie 20 Energie 20% Espagne 10 Alimentation % France 0% Direction des Etudes et des Prévisions Financières 9

35 Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Echanges extérieurs Variation annuelle des exportations (1) selon les principaux produits (en valeur) (En %) Alimentations, boissons et tabacs 7,7 7,0 12,8-0,4 8,8-3,8-10,8 24,7 9,0 14,1 8,4-3,8 6,4 6,9 5,1 11,3 2,7 6,3 5,2 Dont : Produits de la mer (2) 10,4 4,3 39,7-10,0 10,0-10,0-21,6 28,9 13,4 5,9 9,8-7,1 1,1 0,2 16,2 2,7 2,0 5,3 3,3 Agrumes 3,5 13,6-21,6 1,6 2,7 8,7-4,0 35,6-5,4 5,3 6,9-22,1 27,8 23,7-30,3 23,5-10,2 1,8 0,2 Énergie et lubrifiants 1,0 20,9 44,8 18,2-28,8-63,4 98,2 33,9-10,7 33,0 19,6-21,6-39,6 186,9 63,0 24,8-24,4 4,4 14,0 Dont : Huile de pétrole et lubrifiants 3,6-13,8-15,2 91,2-4,1-15,3 38,7 45,8 22,3 6,8 56,0-45,6 43,0 178,3 59,5 6,5-20,3 16,9 24,2 Produits bruts -3,6 7,3-3,2-5,8 5,0-6,7 23,6 21,7 14,6 6,6 85,3-58,9 85,4 25,9-3,0-20,0-1,4 6,4 4,5 D'origine animale et végétale 1,9 4,7-1,9-22,7 22,9 16,2 29,6 31,0-5,5-18,9-7,9-0,1 58,1-10,5-3,5-14,3 23,4 4,4 4,1 D'origine minérale -5,3 8,3-3,6-0,5 0,6-13,5 21,2 17,7 24,1 15,8 108,9-65,5 94,2 35,4-2,9-21,0-6,0 7,0 4,6 Dont : Phosphates -9,5 12,2-7,5 2,1-5,0-13,4 7,5 23,2 10,6 19,8 190,6-74,8 101,7 40,4 1,7-29,1-9,8 4,0 4,4 Demi-produits 10,8 4,7 24,4 1,6 14,0-0,8 18,3 16,1 9,7 20,4 43,3-48,3 65,0 24,3-2,2-14,8 7,2 12,7 4,5 Dont : Engrais naturels et chimiques -1,3 4,5 10,4 15,1-7,5-2,6 7,6 3,1 19,2 53,0 52,4-48,7 134,0 42,5 11,6-22,6 11,0 12,3 Acide phosphorique 22,0 8,0-7,1-5,4 1,0-5,3 30,1 20,9 3,3 14,9 151,7-64,7 70,8 24,4-14,3-17,8 5,8 4,1 Produits finis d'équipement 13,6 19,2-29,2-6,3 24,7 15,3 2,7 27,0 41,7 17,4 26,8-10,2 44,3 14,9 3,0 16,7 4,3 9,5 13,1 Industriel 13,6 19,2-29,2-6,3 24,6 15,3 2,6 26,9 41,9 17,3 26,8-10,3 44,5 14,9 2,9 16,6 4,4 9,5 13,1 Produits finis de consommation 15,2 6,9 4,6 5,9 3,7-1,2-1,0-1,5 11,2 2,9-6,8-2,3 7,1 8,4 18,0 5,1 21,6 3,0 6,9 Articles de bonneterie 19,3 9,6 10,7-0,4-10,8 2,2-5,8-10,4 5,0 9,6-15,5-3,0 7,9 11,0 5,0-10,8-0,2-0,3-1,2 Vêtements confectionnés 18,8 6,6 0,1 6,2 7,3 0,5 0,7-4,2 15,6-1,1-7,6-6,0 0,1 3,5 5,9-2,6 5,5 3,0-0,3 Exportations totales 9,3 7,6 7,1 2,3 7,1-2,9 4,8 12,9 12,8 12,1 24,1-27,4 32,4 17,0 5,7-0,1 8,3 6,9 6,9 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes (1) Exportations globales y compris les admissions temporaires (2) Les produits de la mer comprennent: poissons en conserve, poissons frais, crustacés, mollusques et coquillages. Structure des exportations selon les principaux produits (en valeur) (En %) Alimentations, boissons et tabacs 21,2 20,7 21,3 20,7 21,0 20,8 17,7 19,6 18,9 19,2 16,8 22,3 17,9 16,4 16,3 18,1 17,2 19,8 17,6 Dont : Produits de la mer 11,3 10,5 13,0 11,4 11,7 10,9 8,1 9,3 9,3 8,8 7,8 10,0 7,6 6,5 7,2 7,4 7,0 10,2 7,5 Agrumes 3,3 3,7 2,6 2,6 2,5 2,8 2,5 3,1 2,6 2,4 2,1 2,2 2,1 2,3 1,5 1,9 1,5 2,6 1,9 Énergie et lubrifiants 2,2 1,6 3,7 4,2 2,8 1,1 2,0 2,4 1,9 2,2 2,2 2,3 1,1 2,6 4,0 5,0 3,5 2,5 3,1 Dont : Huile de pétrole et lubrifiants 2,0 0,8 0,4 0,7 0,6 0,5 0,7 0,9 1,0 0,9 1,2 0,9 0,9 2,3 3,4 3,6 2,7 0,7 2,3 Produits bruts 11,7 10,7 9,6 8,8 8,7 8,3 9,8 10,6 10,7 10,2 15,3 8,6 12,1 13,0 11,9 9,6 8,7 9,7 11,3 D'origine animale et végétale 2,8 2,6 2,3 1,7 2,0 2,4 2,9 3,4 2,9 2,1 1,5 2,1 2,5 1,9 1,8 1,5 1,7 2,5 1,8 D'origine minérale 8,9 8,1 7,3 7,1 6,7 6,0 6,9 7,2 7,9 8,2 13,7 6,5 9,6 11,1 10,2 8,1 7,0 7,2 9,5 Dont : Phosphates 6,3 5,6 5,2 5,2 4,6 4,1 4,2 4,6 4,5 4,8 11,4 3,9 6,0 7,2 6,9 4,9 4,1 4,7 6,3 Demi-produits 22,0 20,7 21,6 21,4 22,8 23,3 26,3 27,1 26,3 28,3 32,7 23,3 29,0 30,8 28,5 24,4 24,1 25,0 27,6 Dont : Engrais naturels et chimiques 6,5 4,9 4,4 4,9 4,2 4,2 4,3 4,0 4,2 5,7 7,0 5,0 8,8 10,7 11,3 8,8 8,6 4,5 8,8 Acide phosphorique 7,6 7,7 6,8 6,3 5,9 5,8 7,2 7,7 7,0 7,2 14,7 7,1 9,2 9,8 7,9 6,5 6,4 6,8 8,7 Produits finis d'équipement 4,8 7,4 6,1 5,6 6,5 7,7 7,6 8,5 10,7 11,2 11,4 14,2 15,4 15,2 14,8 17,3 16,6 8,3 15,1 Industriel 4,8 7,4 6,1 5,6 6,5 7,7 7,5 8,5 10,7 11,2 11,4 14,1 15,4 15,1 14,7 17,2 16,6 6,7 15,1 Produits finis de consommation 38,1 38,7 37,7 39,1 37,8 38,5 36,4 31,7 31,3 28,7 21,6 29,0 23,5 21,8 24,3 25,6 28,7 34,6 24,9 Articles de bonneterie 9,0 10,3 11,3 11,0 9,2 9,7 8,7 6,9 6,4 6,3 4,3 5,7 4,7 4,4 4,4 3,9 3,6 8,4 4,3 Vêtements confectionnés 21,2 22,5 20,5 21,3 21,4 22,1 21,2 18,0 18,5 16,3 12,2 15,7 11,9 10,5 10,6 10,3 10,0 19,6 11,3 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes Direction des Etudes et des Prévisions Financières 10

36 Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Echanges extérieurs Variation des exportations du Maroc par destination (en valeur) (Evolution annuelle en %) France 12,2 7,4 0,3-0,8 11,1-1,4 2,9-3,2 9,0 7,8-10,5-10,4 19,3 9,8 7,6 0,6 3,1 3,1 2,3 Espagne 11,5 10,7 29,9 15,6 14,4 10,7 2,6 10,5 14,0 13,0 9,0-15,4 7,3 26,3-4,9 15,5 25,2 13,6 8,0 Italie 7,0 5,9 50,4-17,8 1,2-7,6-5,1 19,5 12,6 16,0 12,0-27,2 27,2 9,2-7,6 3,6 22,2 7,0 4,1 Allemagne 10,5 4,5-6,5-3,1-5,0-8,4-9,0-5,5 7,7 8,3 8,9-5,2 22,4 6,7 13,1-10,0 11,3-2,9 6,2 Grande Bretagne 16,8 8,5 15,7-12,1 2,8-10,6 9,8-12,7 9,2-7,0-16,3-29,6 15,3 12,6 10,1-5,4 15,4-1,2-1,2 Union Européenne (27 pays) 7,2 6,6 9,3-1,0 8,3 0,4 2,2 12,1 11,9 9,9 2,1-19,1 19,8 15,0 2,1 7,3 12,4 6,5 4,9 U.S.A 16,9 11,5 7,3 16,1-15,0-11,7 45,7-27,1-11,1 32,9 103,2-41,5 51,0 47,9-0,8-8,6-0,1 2,0 13,3 Japon 13,6 1,7 12,3-20,4 28,5-46,4-60,9 53,8-11,7 46,9 35,6-25,5-15,9 11,5 43,5 30,1-21,2-8,7 4,9 Structure des exportations du Maroc par destination (en valeur) France 35,3 34,4 33,5 32,4 33,7 34,2 33,6 30,0 29,0 27,9 20,2 24,9 22,4 21,1 21,4 21,5 20,5 31,4 21,5 Espagne 9,1 10,1 13,0 14,6 15,7 17,8 17,5 20,0 20,2 20,4 17,9 20,9 16,9 18,3 16,4 18,9 22,0 17,7 18,7 Italie 5,7 5,5 7,1 5,7 5,4 5,2 4,7 5,0 5,0 5,2 4,7 4,7 4,5 4,2 3,7 3,8 4,3 5,4 4,2 Allemagne 6,4 6,3 5,0 4,7 4,2 3,9 3,4 3,2 3,1 3,0 2,6 3,4 3,1 2,9 3,1 2,7 2,8 3,7 2,9 Grande Bretagne 7,0 9,3 9,6 8,2 7,9 7,3 7,6 6,3 6,1 5,1 3,4 3,3 2,9 2,8 2,9 2,7 2,9 7,1 3,0 Union Européenne (27 pays) 74,8 75,8 75,7 73,2 74,0 76,5 74,6 74,0 73,4 72,0 59,2 66,0 59,7 58,7 56,7 60,7 63,2 74,0 60,4 U.S.A 2,6 2,9 3,4 3,9 3,1 2,8 3,9 2,6 2,0 2,4 3,9 3,1 3,6 4,5 4,3 3,9 3,6 2,9 3,9 Japon 4,2 4,2 3,8 3,0 3,6 2,0 0,7 1,0 0,8 1,0 1,1 1,2 0,7 0,7 1,0 1,3 0,9 1,9 1,0 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes Evolution de la structure des exportations par produits (en valeur) Evolution de la structure des exportations par destination (en valeur) % 90 90% Autres 80 80% Autres pays 70 70% Japon U.S.A 60 Produits textiles 60% Grande Bretagne (En %) 50 50% Allemagne Italie 40 Produits finis d'équipement 40% Espagne 30 Groupes OCP 30% 20% 20 France 10% 10 Produits alimentaires % Direction des Etudes et des Prévisions Financières 11

37 (En %) (En %) (En %) Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Echanges extérieurs Principaux indicateurs du commerce extérieur En % Taux de couverture Balance commerciale globale 65,8 70,5 64,3 64,7 66,2 61,7 55,7 53,8 53,2 48,0 47,8 42,8 50,2 48,9 47,8 48,3 51,8 56,8 48,4 Balance commerciale hors énergie 74,6 78,8 75,3 75,2 76,2 72,2 65,4 66,9 66,3 59,2 60,2 52,6 64,5 63,7 63,3 62,6 66,0 68,2 62,2 Balance commerciale alimentaire 139,6 121,1 117,9 108,4 119,9 152,9 114,5 124,4 137,4 90,4 82,2 104,0 92,1 73,8 72,1 93,8 84,9 117,2 84,7 Balance des biens finis d'équipement 12,6 22,9 18,9 19,5 21,4 21,6 19,0 21,9 25,5 25,2 24,5 24,5 35,0 38,9 37,3 38,4 42,4 22,3 34,7 Balance des produits finis de consommation 141,5 125,4 103,2 105,7 104,7 100,3 90,4 83,8 85,4 73,7 62,8 62,0 63,0 62,0 68,9 73,2 81,7 91,5 68,3 Solde commercial/pib -8,5-7,6-11,1-10,3-9,9-10,9-13,9-16,1-17,1-22,0-24,7-20,6-19,4-22,8-24,4-22,7-20,3-14,4-22,1 Facture énergétique/pib 3,4 3,1 5,5 5,2 4,5 4,4 5,2 7,5 7,8 8,8 10,6 7,4 9,0 11,3 12,9 11,7 10,1 6,3 10,5 Facture énergétique en % des exportations 20,9 16,9 27,5 27,2 23,4 25,2 29,8 39,8 40,1 43,0 46,7 47,9 45,8 51,6 57,7 55,2 46,3 33,1 50,5 Importations des biens d'équipement/pib 6,2 5,9 6,5 5,4 5,9 6,3 6,9 7,3 8,1 9,1 10,5 8,9 8,6 8,5 8,8 9,4 8,6 7,1 9,0 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes Balance des paiements (1) en % du PIB Solde du compte courant -1,6-0,8-1,3 4,3 3,7 3,2 1,7 1,8 2,2-0,1-5,2-5,4-4,5-8,0-9,7-7,9-5,8 1,9-6,7 Solde voyages 3,2 3,2 4,4 5,8 5,4 5,4 5,9 6,7 8,0 8,4 6,8 6,0 6,1 6,0 5,7 5,3 5,2 6,4 5,8 Solde des revenus des investissements -3,7-3,0-2,4-2,2-1,8-1,6-1,2-0,6-0,7-0,5-0,6-1,6-1,6-2,1-2,3-1,7-2,4-1,3-1,8 Solde des transferts privés 6,9 5,8 6,4 9,4 8,0 8,1 8,3 8,6 9,2 9,8 8,5 7,7 7,8 7,7 7,8 7,6 8,6 7,8 Variation des recettes des voyages 2,9 11,0 13,4 34,8-0,1 5,9 12,7 17,7 28,1 11,8-5,3-4,9 6,8 4,4-1,8-0,5 3,0 15,1 0,2 Recettes des voyages/pib 3,9 4,2 5,5 6,8 6,5 6,5 6,9 7,8 9,1 9,5 8,1 7,2 7,4 7,3 7,0 6,6 6,5 7,5 7,1 Dépenses des revenus des inv./pib 4,3 3,5 3,1 3,1 2,8 2,3 2,1 1,8 1,9 1,8 1,8 2,6 2,6 2,9 3,0 2,1 2,8 2,3 2,6 Var. des recettes des transferts privés 9,2 2,0 20,9 56,2-11,0 8,1 9,1 9,1 16,1 13,7-3,2-3,2 5,2 6,0 2,1 5,3 14,0 1,7 Recettes des transferts privés/pib 7,0 5,9 6,6 9,6 8,2 8,2 8,5 8,8 9,4 10,0 8,7 7,9 7,9 8,0 7,9 7,9 8,8 8,1 Inv. Directs Étrangers au Maroc/PIB 1,3 7,6 1,3 4,9 1,9 5,1 4,5 6,2 4,1 3,4 4,6 3,2 3,9 4,5 4,0 4,2 4,0 Inv. et Prêts Privés Étrangers au Maroc/PIB 1,5 2,5 3,2 7,8 1,5 5,0 3,1 5,5 5,2 6,7 5,1 4,3 5,1 3,8 4,0 5,4 4,9 4,6 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes (1) Balance des paiements ventilé selon la nomenclature du 5ème edition du manuel du FMI de 2001 à 2013, et selon la nomenclature du 6ème edition du manuel du FMI à partir de Principaux éléments de la balance des paiements en % du PIB Recettes des transferts privés / PIB Recettes voyages / PIB Evolution de la facture énergétique en % des exportations globales Evolution en indice des exportations, des recettes des transferts privés et des recettes des voyages (Base 100 en 2000) Recettes des voyages Exportations 4 Investissements étrangers au Maroc / PIB Transferts privés Dépenses des revenus d'investissement / PIB Direction des Etudes et des Prévisions Financières 12

38 Millards de dirhams Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Echanges extérieurs Recettes des investissements étrangers au Maroc par nature Inv. et prêts privées étrangers (En millions de DH) Dont (En %) : Investissements directs 70,8 84,3 39,5 97,7 86,3 97,3 60,5 92,4 87,0 91,7 79,2 81,1 89,3 84,2 95,8 83,3 86,7 85,5 Investissements de portefeuille 16,5 8,3 2,6 0,8 3,0 0,4 35,0 4,4 11,3 7,5 13,5 9,7 7,6 11,6 2,6 1,5 13,4 7,3 Prêts & avances en comptes courants 12,3 7,5 57,9 1,6 10,7 2,3 4,5 3,2 1,7 0,7 7,2 9,2 3,1 4,2 1,6 14,1 6,0 3,5 Structure des IDE par principaux secteurs d'activité Industrie 18,2 7,0 20,0 80,8 18,9 10,2 34,4 8,7 6,4 10,8 9,5 23,5 25,5 39,2 24,0 20,2 Banque 13,9 0,5 1,1 0,2 16,1 0,2 5,6 4,8 17,7 25,5 11,9 5,2 5,5 3,8 3,5 10,9 Immobilier 11,5 2,5 31,1 7,2 21,5 9,1 15,8 20,0 32,7 22,0 21,1 31,2 22,8 19,2 12,6 24,3 Tourisme 3,7 1,0 7,0 0,8 15,1 11,5 30,0 32,7 20,3 11,4 9,4 9,8 5,2 8,5 15,5 10,5 Télécommunication 24,6 81,2 7,2 2,7 7,6 57,3 0,1 8,1 0,8 21,2 29,3 1,6 0,2 0,6 28,6 8,9 Assurances 0,0 0,3 0,0 0,7 1,7 4,3 5,6 0,1 0,7 1,8 0,9 0,6 6,5 0,3 1,8 1,8 Holding 3,3 0,2 0,2 0,0 0,3 0,8 0,6 2,2 7,9 0,7 2,2 4,5 2,6 4,5 0,9 3,7 Energie et mines 1,5 0,0 3,1 0,5 3,5 1,4 0,4 7,4 5,6 0,6 0,9 6,9 17,4 7,0 2,4 6,6 Commerce 13,2 3,4 4,3 2,1 6,5 1,7 4,0 0,9 0,6 0,7 1,1 6,7 4,6 5,1 3,0 3,2 Structure des IDE par principaux pays France 32,5 85,1 38,3 12,4 50,0 74,3 33,2 37,6 37,7 51,3 58,4 34,3 38,2 36,4 32,4 49,1 41,1 Grande Bretagne 9,8 0,9 6,1 1,1 4,8 1,7 3,6 6,8 4,3 3,9 2,9 3,8 2,4 6,4 5,3 3,5 4,2 Portugal 17,1 4,4 4,0 0,1 0,2 0,2 0,2 0,1 0,2 0,2 0,2 0,3 0,7 0,2 0,6 1,6 0,3 USA 5,9 2,2 6,5 2,0 4,7 0,8 3,3 4,1 3,0 2,9 1,8 4,1 5,8 5,1 7,3 3,0 4,4 Emirats Arabes Unies 1,3 0,0 2,0 1,0 3,5 2,7 3,0 10,0 16,9 4,6 7,4 17,8 24,3 7,8 12,3 3,6 12,8 Arabie-Saoudite 2,9 0,3 2,9 0,7 3,7 1,4 1,3 1,7 1,8 1,0 1,7 6,0 3,8 5,0 10,6 1,3 4,5 Espagne 11,3 2,9 6,6 77,8 5,0 5,4 27,6 16,1 9,4 6,1 5,4 6,6 4,9 3,3 4,0 21,1 5,5 Allemagne 3,9 0,8 8,4 0,6 5,0 3,2 3,6 4,3 4,7 2,8 1,9 2,6 1,7 3,4 1,8 3,0 2,7 U.E.B.L 3,4 0,3 4,4 0,8 3,6 1,6 10,0 3,5 3,7 3,4 3,1 5,0 2,3 6,4 3,5 3,2 4,0 Koweit 0,7 0,4 7,3 0,1 0,2 0,8 3,9 4,1 0,4 11,2 3,3 4,1 0,3 0,2 2,6 2,1 2,8 Suisse 2,4 1,0 4,1 1,1 7,1 2,8 3,5 3,5 5,9 4,1 4,4 4,6 3,9 7,1 5,2 2,8 0,0 5,1 0,0 Source : Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 11% 7% 12% 5% Part du Maroc dans les flux d IDE destinés à l Afrique 30% Afrique du Nord 11% 10% 4% Afrique 9% 3% 3% 16% 5% 5% 22% 6% IDE pour les principaux pays entre les périodes ( ) et ( ) % Source : «World Investment Report». CNUCED, mars Etats-Unis Koweït Emirats Arabes Unies Source : Calcul DEPF sur la base des données de l'office des Changes Suisse UEBL Arabie Saoudite Espagne France Direction des Etudes et des Prévisions Financières 13

39 (En %) En % Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Echanges extérieurs Recettes des MRE par principaux pays d'accueil (En millions de DH) Recettes des MRE (En millions de DH) Pays européen France Italie Espagne Belgique+Luxembourg Amérique du Nord Etats Unis Pays Arabes Emirats Arabes Unis Arabie Saoudite Recettes MRE en % du PIB 6,4 5,1 5,8 8,6 7,1 7,2 7,4 7,7 8,3 8,9 7,7 6,9 7,1 7,3 7,1 6,6 6,5 7,7 7,0 Source :Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes Structure des recettes MRE par principaux pays d'accueil (En %) Pays européen 9,3 7,8 89,3 89,1 88,5 89,6 88,0 86,9 87,6 88,1 85,3 84,7 82,3 81,8 72,0 72,9 88,3 67,6 France 63,8 57,1 45,2 40,6 45,6 44,5 43,1 41,6 43,2 42,5 39,7 40,3 41,0 40,4 36,8 37,1 43,1 33,2 Italie 4,1 8,8 13,0 15,9 11,7 12,7 13,3 12,4 12,2 12,4 12,4 12,0 10,7 10,7 9,5 9,7 12,9 9,1 Espagne 1,2 2,9 4,0 5,1 6,2 9,2 12,2 13,0 14,0 15,5 14,6 11,8 10,9 10,7 8,4 8,7 10,8 9,2 Belgique+Luxembourg 7,4 7,2 8,1 5,3 6,5 6,0 5,1 5,4 4,5 4,2 4,5 6,2 5,7 6,1 5,5 5,6 5,4 4,7 Amérique du Nord 0,6 2,0 4,3 6,5 6,3 6,3 7,1 6,4 6,4 5,8 7,0 5,9 5,8 6,2 6,7 7,1 6,2 5,5 Etats Unis 0,6 1,7 3,9 6,1 5,9 5,9 6,5 5,7 5,7 5,0 6,3 5,0 4,2 4,6 5,3 5,6 5,6 4,4 Pays Arabes 1,6 0,8 5,5 3,9 4,6 3,5 4,3 6,2 5,7 5,7 7,0 8,6 10,8 10,7 14,3 16,4 5,0 9,7 Emirats Arabes Unies 2,2 2,8 2,4 1,7 2,0 1,5 2,3 3,6 3,0 2,9 4,0 4,6 5,2 5,0 6,0 6,6 2,5 4,5 Arabie Saoudite 2,2 2,1 2,5 1,7 2,1 1,6 1,6 2,0 1,8 1,9 2,1 2,5 3,4 3,6 4,8 5,5 1,9 3,2 Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes Recettes MRE en % du PIB Etats Unis UEBL Structure des recettes MRE par pays d'accueil Italie Grande-Bretagne Autres pays Pays Arabs Espagne France Direction des Etudes et des Prévisions Financières 14

40 (En millons de DH) Tableau de bord annuel de l'économie marocaine : Echanges extérieurs Evolution des avoirs de la position extérieure globale (1) Position extérieure nette (En milliards de DH) 124,5 154,8 169,9 196,7 226,5 252,1 245,9 241,7 249,3 235,6 202,4 220,8 281,2 Investissements directs 4,6 4,9 5,6 6,2 8,9 10,3 13,8 14,6 16,0 17,0 18,2 20,7 37,9 Investissements de portefeuille 0,9 1,0 1,3 1,6 1,5 7,1 8,3 5,7 8,0 6,8 6,5 6,2 10,4 Autres investissements 13,7 25,2 26,3 36,7 40,0 44,0 39,6 36,0 27,9 34,8 29,7 36,9 47,6 Avoirs de réserve 105,3 123,7 136,8 152,3 176,0 190,6 184,3 185,3 197,3 177,1 147,9 156,9 184,5 Structure en (%) Investissements directs 3,7 3,2 3,3 3,1 3,9 4,1 5,6 6,1 6,4 7,2 9,0 9,4 13,5 Investissements de portefeuille 0,7 0,7 0,8 0,8 0,7 2,8 3,4 2,4 3,2 2,9 3,2 2,8 3,7 Autres investissements 11,0 16,2 15,5 18,7 17,7 17,5 16,1 14,9 11,2 14,8 14,7 16,7 16,9 Avoirs de réserve 84,6 79,9 80,5 77,4 77,7 75,6 75,0 76,7 79,2 75,1 73,1 71,1 65,6 Source : Office des Changes (1) la PEG selon la nomenclature du 5ème manuel du FMI de 2002 à 2012, et selon la nomenclature du 6ème manuel du FMI à partir de Evolution des engagements de la position extérieure globale Position extérieure nette (En milliards de DH) 293,1 305,0 319,2 355,7 415,3 476,2 513,9 562,4 638,6 674,8 696,1 796,1 900,4 Investissements directs 123,3 149,7 163,4 191,9 253,2 297,8 319,0 334,7 376,7 381,8 381,6 422,3 467,2 Investissements de portefeuille 6,5 7,4 14,1 18,8 17,8 25,3 26,0 28,8 29,9 27,8 25,3 63,3 96,7 Autres investissements 163,3 148,0 141,7 144,9 144,2 153,1 168,9 199,0 231,9 265,1 289,2 310,0 335,2 Avoirs de réserve Structure en (%) Investissements directs 42,1 49,1 51,2 54,0 61,0 62,5 62,1 59,5 59,0 56,6 54,8 53,0 51,9 Investissements de portefeuille 2,2 2,4 4,4 5,3 4,3 5,3 5,1 5,1 4,7 4,1 3,6 8,0 10,7 Autres investissements 55,7 48,5 44,4 40,7 34,7 32,1 32,9 35,4 36,3 39,3 41,6 38,9 37,2 Avoirs de réserve Source : Office des Changes Evolution de la position nette extérieure globale Position extérieure nette (En milliards de DH) -168,6-150,2-149,3-158,9-188,8-224,2-268,0-320,7-389,3-439,1-493,7-575,4-619,1 Investissements directs -118,7-144,8-157,8-185,8-244,3-287,5-305,2-320,1-360,7-364,8-363,4-401,7-429,2 Investissements de portefeuille -5,6-6,3-12,8-17,2-16,3-18,2-17,7-23,1-21,9-21,0-18,7-57,1-86,4 Autres investissements -149,5-122,8-115,4-108,2-104,2-109,1-129,4-162,9-204,0-230,3-259,5-273,1-287,7 Avoirs de réserve 105,3 123,7 136,8 152,3 176,0 190,6 184,3 185,3 197,3 177,1 147,9 156,9 184,5 Structure en (%) Investissements directs 70,4 96,4 105,7 116,9 129,4 128,3 113,9 99,8 92,7 83,1 73,6 69,8 69,3 Investissements de portefeuille 3,3 4,2 8,6 10,8 8,7 8,1 6,6 7,2 5,6 4,8 3,8 9,9 14,0 Autres investissements 88,7 81,8 77,3 68,1 55,2 48,7 48,3 50,8 52,4 52,5 52,6 47,5 46,5 Avoirs de réserve -62,4-82,4-91,6-95,8-93,2-85,0-68,8-57,8-50,7-40,3-30,0-27,3-29,8 Position extérieure nette/pib -37,8-31,5-29,6-30,1-32,7-36,4-38,9-43,8-51,0-54,7-59,6-65,9-67,5 Source :Calcul de la DEPF sur la base des données de l'office des Changes Avoirs Engagements Position nette Avoirs et engagements de la position extérieure globale Avoirs Engagements Position nette Position extérieure nette en % du PIB Direction des Etudes et des Prévisions Financières 15

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