L ISLAM et le monde des affaires
|
|
- Yvonne Jolicoeur
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Lachemi SIAGH L ISLAM et le monde des affaires Argent, éthique et gouvernance Éditions d Organisation, 2003 ISBN :
2 Introduction La pensée économique islamique est foncièrement différente de la pensée économique occidentale laïque. C est la Chari a qui lui fournit son inspiration, ses principes de base et sa conception du monde des affaires. L effondrement du système socialiste et l incapacité du système capitaliste à répondre valablement aux aspirations matérielles et spirituelles du monde musulman a encouragé les penseurs musulmans à donner corps à cette pensée économique islamique reposant surtout sur l éthique et la satisfaction conjointe des besoins matériels et spirituels. Le système économique islamique est encore à l état embryonnaire et sa manifestation la plus avançée est mise en œuvre à travers l industrie bancaire islamique. C est pourquoi dans ce livre nous mettrons essentiellement l accent sur cette dernière qui nous servira d illustration. Les deux dernières décennies ont vu l émergence et le développement d une nouvelle industrie : l industrie bancaire islamique. Cette industrie se caractérise par la réalisation d opérations bancaires qui excluent l utilisation de l intérêt «interest free banking». Les banques islamiques sont considérées comme une aberration parce que, dans le cadre d une nouvelle logique, elles sont venues défier l ordre institutionnel établi et contrevenir de ce fait aux normes bancaires classiques et aux règles de contrôle imposées par les autorités monétaires. Pourtant, ces banques se développent par- Éditions d Organisation 5
3 L ISLAM et le monde des affaires tout à travers le monde et enregistrent des taux de croissance inhabituels dans ce secteur. Elles ne devraient pas exister et pourtant elles sont là. Qu est-ce qui leur a permis de défier l ordre établi? Quelle est la logique qui se cache derrière leurs succès? Que peut-on apprendre de ces succès? Peut-on les obtenir dans d autres domaines, dans des environnements différents? Ces questions, simples en apparence, vont nous préoccuper tout au long de ce livre. Les analyses classiques utilisées dans le domaine de la stratégie organisationnelle et, en particulier, la relation organisation-environnement-tâche ne semblent pas être, à cet égard, d un grand secours pour nous aider à expliquer le fonctionnement de ces organisations. En effet, les milieux de culture intense dans lesquels opèrent les banques islamiques, milieux caractérisés par la transcendance et l omniprésence de la religion islamique avec tout ce que cela comporte comme contraintes et la conjoncture sociale et politique dans laquelle ces organisations ont vu le jour, ont rendu complexe la compréhension de leur fonctionnement. L introduction de nouveaux concepts et de nouvelles approches s avère donc indispensable. Nous savons que la théorie de la contingence est venue réfuter l approche du «one best way» pour ce qui a trait à la structuration des organisations. Elle met l accent, en particulier, sur le fait que la relation organisation-environnement privilégie le rôle prédominant de l environnement-tâche 1 tel que l ont exposé DILL et THOMPSON. Dans un tel contexte, l attention se porte sur les transactions qu effectue l organisation avec les principales enti- 1. Ce terme sera largement expliqué dans le chapitre 3. 6 Éditions d Organisation
4 Introduction tés de l environnement-tâche et sur les ressources rares qu elle doit acquérir et contrôler dans un contexte de concurrence vive, pour assurer son succès et sa survie. Selon cette approche, les organisations ne survivent que si elles sont efficaces. En général, leur efficacité découle de leur capacité à gérer les demandes contradictoires de l environnement, particulièrement celles des groupes d intérêt dont elles dépendent pour leur survie. Notre propos est de démontrer que la théorie de la contingence n est pas applicable partout, en ce sens qu elle ne peut être universelle. L environnement-tâche n est pas partout uniforme. Il existe des contextes où l influence de l environnement-tâche sur l organisation est presque secondaire. Dans ce livre nous allons étudier le fonctionnement des organisations dans ce que nous avons appelé «milieux de culture intense», caractérisés par des contraintes majeures et où prédominent de fortes idéologies, religions, croyances, etc. Ces derniers facteurs constituent ce que nous appellerons, par opposition à l environnement-tâche, l environnement intangible. Selon la théorie que nous comptons développer, les contraintes majeures qu exerce l environnement intangible sur l organisation et la relation de celle-ci avec l environnement-tâche dans un contexte de rareté de ressources vont être les deux parties d une équation qui régit la relation organisation-environnement et les facteurs principaux qui influencent le degré de sa performance. Cette approche qui met en jeu le rôle de l environnement intangible se dissocie de l approche classique. Dans cette perspective, les deux environnements, quoique complémentaires, peuvent toutefois avoir des effets contradictoires sur l organisation. Éditions d Organisation 7
5 L ISLAM et le monde des affaires Une nouvelle théorie en matière de gestion organisationnelle semble pouvoir être développée. Le rôle d un environnement autre que l environnement-tâche a été implicitement perçue par quelques auteurs : par exemple, les adeptes de la théorie institutionnelle, comme SCOTT, DI MAGGIO, POWEL et OLIVER, qui parlent de l environnement institutionnel ou d autres comme BOURGEOIS, qui parle de l environnement général. Il n y a pas eu, cependant, de tentative visant à identifier la nature et le rôle de l environnement intangible en matière de gestion stratégique. Cela est probablement dû au fait que l environnement intangible, à l inverse de l environnement-tâche, est un monde d idées et que le domaine des idées est indéterminé, très difficile à cerner. Ce travail vise, entre autres, à démontrer qu il est possible de définir et de structurer cet environnement intangible. Notre idée de départ est que dans les milieux de culture intense, les formes organisationnelles ne sont pas influencées seulement par l environnement proche de l organisation ou environnement-tâche mais également et surtout par l environnement intangible. L organisation est soumise à l influence de deux pôles. L un favorisant le changement, du fait de sa turbulence qui résulte de la prédominance de l incertitude et de l interdépendance de ses éléments constitutifs et l autre la stabilité et la continuité, à cause de son caractère prévisible. Il génère de ce fait des contraintes majeures pour l organisation. Le premier pôle est la résultante de l environnement-tâche et le second, de l environnement intangible. Parallèlement à l action de l environnement-tâche, nous essayerons de montrer la façon dont l environnement intangible affecte et contraint les organisations opérant dans les milieux de culture intense ; et comment les 8 Éditions d Organisation
6 Introduction organisations traduisent ces contraintes dans leurs configurations, structures et stratégies organisationnelles. Cet exercice constituera en quelque sorte un guide en matière de conception et de gestion des organisations opérant dans des milieux de culture intense. À partir d une revue critique de la littérature portant sur l environnement organisationnel, en particulier, les systèmes ouverts et les systèmes fermés, les approches déterministes et non déterministes, la théorie de la contingence, la théorie «resource based view of the firm» et la théorie institutionnelle, nous avons mené une recherche 2 visant à conceptualiser la gestion du changement organisationnel dans les milieux de culture intense. Pour répondre à notre question principale : comment fonctionnent les organisations dans les milieux de culture intense, il nous a fallu répondre aux deux sousquestions suivantes: Quelles formes d organisation faut-il pour opérer dans un milieu de culture intense? Quel degré d autonomie possèdent les dirigeants devant gérer des organisations dans un tel contexte? 2. Cette recherche a été effectuée dans le cadre d une thèse de doctorat (Ph.D) à l école des Hautes Études Commerciales (HEC) de Montréal. Elle s est appuyée sur une méthodologie qui privilégie les études de cas. Nous avions étudié trois cas que nous ne reproduirons pas ici et qui impliquent une banque islamique issue de la conversion d une fenêtre islamique au sein d une banque commerciale classique, une banque islamique d investissement et une banque islamique commerciale de détail. Ces trois banques ont leur siège social dans l État de Bahreïn dans le golfe Arabo-Persique. Nous avons puisé dans plusieurs sources d information dans le processus de collecte de données. Les plus importantes sont les entrevues non structurées et l analyse documentaire. Éditions d Organisation 9
7 L ISLAM et le monde des affaires Un livre en trois parties Ce livre comporte trois parties pour répondre aux interrogations de nature différente des profanes, des managers et praticiens du système bancaire, des intervenants du changement et enfin des théoriciens des organisations La première partie permet de comprendre comment l Islam structure l univers économique musulman et notamment l univers bancaire : Le premier chapitre expose au lecteur les principes qui sous-tendent l Islam et les principes de management en contexte islamique. Il est essentiel, parce qu il permet de se familiariser avec l environnement dit de «doctrine intensive» et de comprendre les facteurs sous-jacents à la création des banques islamiques et à leur fonctionnement. Le deuxième chapitre traite de la genèse des banques islamiques et de la finance islamique en général et décrit les innovations en matière de produits financiers et l infrastructure financière islamique. La deuxième partie permet de comprendre comment fonctionnent les organisations en milieu islamique, avec pour illustration, le système bancaire. Le troisième chapitre cherche à répondre à la question : quelle(s) forme(s) d organisation faut-il pour opérer dans un milieu de culture intense? À partir des cas que nous avons étudiés, il analyse les différentes formes d organisation qui ont vu le jour. Il met en relief le rôle de l environnement intangible dans la détermination de ces formes d organisation et définit les conditions requises pour que des formes d organisation conçues dans d autres environnements puissent opérer dans un 10 Éditions d Organisation
8 Introduction milieu de culture intense. Il propose enfin un modèle d évolution des formes d organisation opérant dans les milieux de culture intense. Le quatrième chapitre, quant à lui, cherche à répondre à notre deuxième question : de quel degré d autonomie disposent les dirigeants qui gèrent des organisations opérant dans des milieux de culture intense? Le dirigeant y joue un rôle crucial. Son objectif n est pas seulement de maximiser le rendement financier des actionnaires mais aussi d atteindre des objectifs non monétaires ayant trait à la communauté, à la société, à la religion. Pour s acquitter de sa tâche, l organisation doit se conformer à une éthique et les dirigeants sont appelés à implanter une culture éthique au sein de leur organisation. Cette exigence fait que les dirigeants sont soumis à un système de double gouvernance : du conseil d administration et d un comité d éthique (comité de la Chari a) pour ce qui concerne les transactions et le comportement des dirigeants. Le dirigeant s évertue, donc, à arbitrer les exigences contradictoires de ces deux systèmes et à réaliser un équilibre presque impossible entre les exigences des actionnaires et celles du comité de la Chari a. Le cinquième chapitre cherche à examiner, dans la perspective des liens économiques existant entre les mondes occidental et musulman si les banques islamiques constituent un nouveau concurrent pour les banques classiques ou si au contraire les deux systèmes bancaires sont complémentaires et peuvent éventuellement nouer entre eux des relations de coopération. Éditions d Organisation 11
9 L ISLAM et le monde des affaires La troisième partie, qui débouche sur une contribution à la théorie organisationnelle et la théorie du changement en milieu de culture intense, permet de comprendre pourquoi les modèles occidentaux ne peuvent s appliquer à toute l humanité. Le sixième chapitre définit dans une première étape nos concepts de «milieu de culture intense» et «d environnement intangible». Dans une seconde étape, il expose les fondements de notre nouvelle théorie et le modèle conceptuel du changement dans les organisations opérant en milieu de culture intense qui en découle. Cette nouvelle perspective théorique permet d expliciter les conditions dans lesquelles les organisations sont créées, se développent, survivent ou meurent. De ce modèle, nous déduisons également un cadre d analyse des déterminants de la performance organisationnelle en milieu de culture intense. Ce modèle et ce cadre d analyse permettent de fournir une meilleure compréhension du fonctionnement des organisations en milieu de culture intense. Le septième chapitre nous permettra de répondre à notre principale question : comment fonctionnent les organisations opérant dans un milieu de culture intense? Ce chapitre conceptuel fait en quelque sorte la synthèse des résultats des chapitres précédents. En nous appuyant sur la théorie institutionnelle, nous tenterons d articuler, dans ce chapitre, notre théorie relative au fonctionnement des organisations opérant dans les milieux de culture intense. La conclusion débouche sur de nouvelles pistes à explorer. Elle commence par une rétrospective sur la relation organisation-environnement telle qu elle est 12 Éditions d Organisation
10 Introduction développée par les différentes théories nord-américaines pour positionner notre approche de l environnement intangible par rapport à ces approches. Elle résume et synthétise la contribution que notre travail apporte à ce corpus théorique en faisant ressortir la spécificité de cette contribution ainsi que les nouvelles pistes qui s ouvrent pour la recherche. Elle met en relief ce qui permet au lecteur en général, au praticien, à l intervenant, au gestionnaire, à l expatrié et à l investisseur de mieux comprendre le monde musulman, ses principes religieux, son économie, sa finance et son management. Éditions d Organisation 13
Présentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques
Présentation du programme Éthique et culture religieuse Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Repères historiques 1964 1995 1996 1998 1999 1999 2000 2005 Création du ministère
Plus en détailsentée e et soutenue publiquement pour le Doctorat de l Universitl
Du rôle des signaux faibles sur la reconfiguration des processus de la chaîne de valeur de l organisation : l exemple d une centrale d achats de la grande distribution française Thèse présent sentée e
Plus en détailLE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE
LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE Ce qui définit «le changement» préscolaire primaire secondaire Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 2005-05-00511 ISBN 2-550-45274-7 (version
Plus en détailquelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?
LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière
Plus en détailCompétences terminales de cours. philosophiques. Enseignement secondaire 3 ème degré
Enseignant La finance islamique I Compétences terminales de cours philosophiques Enseignement secondaire 3 ème degré COMPTE D'ÉPARGNE + INTÉRÊT ALEX 230 Porte d entrée Banque Compétences Sentir, ressentir
Plus en détailMASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS
MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours
Plus en détail>> TECHNIQUES DE COMPTABILITÉ ET DE GESTION 410.B0
Pondération : le 1 er chiffre représente le nombre d heures de théorie, le 2 e chiffre représente le nombre d heures de laboratoire et le 3 e chiffre représente le nombre d heures de travail personnel.
Plus en détailSPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE
SPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE Finance, Contrôle des Organisations Cette spécialisation se fonde sur la nécessité de prendre des décisions et/ou d organiser les différents processus au cœur de
Plus en détailLE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand
LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il
Plus en détailmaster Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE
Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Table des matières Introduction... 9 Chapitre 1 L entreprise : l investissement
Plus en détailIl y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.
L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:
Plus en détailStages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France
Stages de recherche dans les formations d'ingénieur Víctor Gómez Frías École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France victor.gomez-frias@enpc.fr Résumé Les méthodes de l ingénierie ont été généralement
Plus en détailInformation, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec
Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec Résumé des résultats et conclusions de la recherche Marie-Ève Maillé, Ph. D. Centre de
Plus en détailCOMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?
Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont
Plus en détailQuel contrôle de gestion pour les ONG 1?
Quel contrôle de gestion pour les ONG 1? (Rémi Bachelet et Nathalie Claret) Dans le cadre de l atelier portant sur les nouveaux champs du contrôle de gestion, une réflexion sur la place de ce dernier dans
Plus en détailNARA +20 SUR LES PRATIQUES DU PATRIMOINE, LES VALEURS CULTURELLES, ET LE CONCEPT DE L AUTHENTICITÉ
NARA +20 SUR LES PRATIQUES DU PATRIMOINE, LES VALEURS CULTURELLES, ET LE CONCEPT DE L AUTHENTICITÉ Rappelant les réalisations du Document de Nara de 1994 sur l authenticité dans l établissement des principes
Plus en détailLe système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie
Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation
Plus en détailDans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise
Communiqué de presse Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Paris, le 27 mai 2013 L Institut Randstad et l Observatoire du Fait Religieux en Entreprise
Plus en détailLe processus du développement économique
DOUGLASS C. NORTH Prix Nobel d économie Le processus du développement économique Présentation de Claude Ménard Traduit de l anglais par Michel Le Séac h, 2005 ISBN : 2-7081-3397-7 13 Où allons-nous? Le
Plus en détailUne stratégie d enseignement de la pensée critique
Une stratégie d enseignement de la pensée critique Jacques Boisvert Professeur de psychologie Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu La pensée critique fait partie des capacités à développer dans la formation
Plus en détail2.1. AVANT LA FORMATION 2.1.1. ANALYSER COLLECTIVEMENT LE BESOIN
AVANT LA FORMATION 2.1. AVANT LA FORMATION L avant-formation est l étape initiale du processus de formation et son importance est cruciale pour la réussite du programme. C est en effet lors de ce moment
Plus en détailDes Paniers diversifiés et gérés professionnellement. Les Paniers
Des Paniers diversifiés et gérés professionnellement Les Paniers 3 Optez pour la flexibilité, la clarté et la tranquillité d esprit 4 Qu est-ce qu un Panier? 6 La diversification, ou comment réduire le
Plus en détailConsignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre
Consignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre Principes de base Durant le premier semestre, vous serez amenés à remettre un travail effectué en groupe. Le but de celui-ci est de s intéresser
Plus en détailGestion du capital humain : savoir exploiter les big data
Gestion du capital humain : savoir exploiter les big data Enquête ADP 2015 auprès des responsables de la gestion du capital humain d entreprises internationales TABLE DES MATIÈRES Synthèse... 3 Introduction
Plus en détailAvancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe. Cécile Lapenu, Cerise
Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe Cécile Lapenu, Cerise Septembre 2008 1 Cécile Lapenu, CERISE Dans le secteur de la microfinance, les performances
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention
REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention Les transformations sociales, la territorialisation et la complexité croissante des dispositifs liés aux
Plus en détailComment parler de sa pratique pour la faire partager?
pour la faire partager? 1. Profiter de l expérience des autres 2. Comment raconter son expérience? 2.1. Théoriser sous forme de récit 2.2. Les ingrédients de la théorisation de pratique 3. Élargir le récit
Plus en détailLICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année
LICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année CONTENU DES ENSEIGNEMENTS ET MODALITES D EVALUATION Semestre 1 : 30 crédits 9 EC obligatoires 1 EC optionnelle à choisir parmi 2
Plus en détailPrésentation du programme de Master en gestion
Présentation du programme de Master en gestion Faculté de Gestion et de Management Université Saint Joseph 2015-2016 Le Concours d entrée se passera le Samedi 9 Mai Cette présentation se trouve aussi sur
Plus en détailMASTER 2 INFORMATION, COMMUNICATION PARCOURS COMMUNICATIONS NUMÉRIQUES ET ORGANISATIONS
MASTER 2 INFORMATION, COMMUNICATION PARCOURS COMMUNICATIONS NUMÉRIQUES ET ORGANISATIONS RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master Domaine ministériel : Sciences humaines et sociales Mention : Information,
Plus en détailLa gestion globale des contenus d entreprise
Gonzague Chastenet de Géry La gestion globale des contenus d entreprise Le projet ECM, une nouvelle approche de la gestion de l information é d i t i o n s Les Editions de l ADBS publient des ouvrages
Plus en détailUne association à un seul membre? Est-on vraiment sérieux?
Une association à un seul membre? Est-on vraiment sérieux? Synthèse L identité d un régime juridique découle des caractéristiques du sujet qu il couvre et non du seul fait que l entité ait la personnalité
Plus en détailOutil d autoévaluation LPRPDE. Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques
Outil d autoévaluation LPRPDE Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques table des matières Utilité de cet outil... 3 Utilisation de cet outil... 4 PARTIE 1 : Guide
Plus en détailModernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires
Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit
Plus en détailIntroduction au private equity
BANQUE FINANCE SOCIAL GESTION DROIT MARKETING Introduction au private equity Les bases du capital-investissement Cyril Demaria 4 e édition SOMMAIRE Préface... 11 Introduction : Qu est-ce que le private
Plus en détailManagement de la sécurité des technologies de l information
Question 1 : Identifiez les causes d expansion de la cybercriminalité Internet est un facteur de performance pour le monde criminel. Par sa nature même et ses caractéristiques, le monde virtuel procure
Plus en détailRECHERCHE EXPLORATOIRE (2) SUR LES CRITÈRES DE SUCCÈS DES PROJETS DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES
RECHERCHE EXPLORATOIRE (2) SUR LES CRITÈRES DE SUCCÈS DES PROJETS DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES Julie Bérubé (berj23@uqo.ca) Programme de maîtrise en gestion de projet, UQO RÉSUMÉ Les critères de
Plus en détailÉtablir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance
Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Colloque QuébecStrasbourg Octobre 2008 Présenté par Gilles Cantin, Ph.D. Département d éducation et pédagogie UQAM
Plus en détailLe retard en matière de marketing en ligne» dans l industrie hôtelière: une tendance inquiétante
Septembre 2009 Le retard en matière de marketing en ligne» dans l industrie hôtelière: une tendance inquiétante par Max Starkov Comme spécialistes du marketing hôtelier en ligne depuis bientôt 15 ans,
Plus en détailPROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS
PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS Cycle terminal de la série sciences et technologies du management et de la gestion I. INDICATIONS GÉNÉRALES L enseignement de management des organisations vise
Plus en détailNote à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle
Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général
Plus en détailProjet de Portail des thèses. SYNTHESE DE L ENQUETE DESTINEE AUX DOCTORANTS août 2010
Projet de Portail des thèses SYNTHESE DE L ENQUETE DESTINEE AUX DOCTORANTS août 2010 1. Introduction Ce document synthétise les principaux résultats d une enquête qui a été menée auprès de deux panels
Plus en détailIFRS 11 : Coentreprises Passage de la méthode de la consolidation proportionnelle à la méthode de la mise en équivalence
IFRS 11 : Coentreprises Passage de la méthode de la consolidation proportionnelle à la méthode de la mise en équivalence Extrait, Groupe de discussion sur les IFRS Compte rendu de la réunion du 18 octobre
Plus en détailL AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises
Communiqué de presse L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Objectif : Aider les managers à gérer la diversité religieuse au quotidien Alors que la question de l expression religieuse
Plus en détailImpartition réussie du soutien d entrepôts de données
La force de l engagement MD POINT DE VUE Impartition réussie du soutien d entrepôts de données Adopter une approche globale pour la gestion des TI, accroître la valeur commerciale et réduire le coût des
Plus en détailManagement Interculturel
Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.
Plus en détailSommaire. Introduction à la 11 e édition... Chapitre 1 Le rôle du marketing est de créer de la valeur... 1. Première partie Étudier les marchés...
Sommaire Introduction à la 11 e édition... X Chapitre 1 Le rôle du marketing est de créer de la valeur... 1 Section 1 Qu est-ce que le marketing?... 2 Section 2 Comment le marketing crée de la valeur...
Plus en détailQu est-ce qu une problématique?
Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?
Plus en détailS T E DELTA-C FORMATION UNIVERSITAIRE. Centre de Formation et d Appui Conseil pour le Développement Local
DELTA-C Centre de Formation et d Appui Conseil pour le Développement Local FORMATION UNIVERSITAIRE ETABLI EN 2009 PROGRAMMES DE LMD (LICENCES-MASTERS-DOCTORATS) Fiche Scientifique et Pédagogique DOMAINE
Plus en détailProgramme CNRS-ERC- IREMAM- CERI. When Authoritarianism Fails in the Arab World (WAFAW) APPEL A CANDIDATURES
Programme CNRS-ERC- IREMAM- CERI When Authoritarianism Fails in the Arab World (WAFAW) APPEL A CANDIDATURES Chercheurs doctorants et post-doctorants en sciences politiques/relations internationales/économie
Plus en détailMaster Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation
Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage Organisation de la formation Ce document a pour objet de présenter le contenu des cours des deux années du Master Audit Contrôle Finance d entreprise
Plus en détailLes Principes fondamentaux
Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du
Plus en détailEnseignement au cycle primaire (première partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de
Plus en détail«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner?
«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner? Congrès du CNGE Angers Novembre 2008 Sébastien Cadier*, Isabelle Aubin**, Pierre Barraine* *Département de médecine générale
Plus en détailLecture critique et pratique de la médecine
1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne
Plus en détailRECHERCHE ET ANALYSE QUALITATIVE :
RECHERCHE ET ANALYSE QUALITATIVE : LE TRAIT D UNION ENTRE L ÉVALUATION DES TECHNOLOGIES EN SANTÉ ET L ÉVALUATION DE PROGRAMME DANS LA PRODUCTION D UNE REVUE DE LA LITTÉRATURE MIXTE 1 Débora Merveille NGO
Plus en détailL outil de gestion des risques électoraux (outil GRE) en bref
L outil de gestion des risques électoraux (outil GRE) en bref Septembre 2013 Aperçu de l outil de gestion des risques électoraux (outil GRE) Institut international pour la démocratie et l assistance électorale,
Plus en détailAmélioration continue de sa compétence professionnelle
Amélioration continue de sa compétence professionnelle En quatre étapes Développer son portfolio professionnel de formation continue pour assurer à la population des soins et services sécuritaires et de
Plus en détailMobiliser aujourd'hui les dirigeants humanitaires mondiaux de demain
Mobiliser aujourd'hui les dirigeants humanitaires mondiaux de demain Michael Dickmann Emma Parry Ben Emmens Christine Williamson Septembre 2010 People In Aid Cranfield University, School of Management
Plus en détailLe ROI du marketing digital
Online Intelligence Solutions Le ROI du marketing digital et les Web Analytics Par Jacques Warren WHITE PAPER A propos de Jacques warren Jacques Warren évolue en marketing digital depuis 1996, se concentrant
Plus en détailLes chartes de France Investissement
Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement
Plus en détailWEALTH MANAGEMENT MARKET INSIGHT
WEALTH MANAGEMENT MARKET INSIGHT AOÛT 2013 Analyse Marché ÉCLAIRAGE - AOÛT 2013 Solutions en matière d investissements alternatifs liquides Le récent développement des fonds alternatifs liquides profite
Plus en détailLA FEUILLE DE CHÊNE. Depuis 150 ans, la Banque Piguet est toujours jeune, comme la feuille de chêne qui la symbolise. Le chêne représente
LA FEUILLE DE CHÊNE Depuis 150 ans, la Banque Piguet est toujours jeune, comme la feuille de chêne qui la symbolise. Le chêne représente la force et la solidité. Sa feuille matérialise la vitalité qu elle
Plus en détailsommaire L organisation et la gestion des archives d entreprise...7
sommaire La formation continue à l EBAD... 3 Niveau i... 4 La chaine de traitement archivistique... 4 Initiation aux techniques documentaires... 5 Organisation et gestion des bibliothèques... 6 Niveau
Plus en détailProblématique / Problématiser / Problématisation / Problème
Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont
Plus en détailTirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur
La force de l engagement MD ÉTUDE TECHNIQUE Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur Les entreprises de commerce
Plus en détailNorme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales d audit
IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Introduction aux Sciences de l Information et de la Communication Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Consolidation de fondamentaux Démarche en sciences humaines
Plus en détailLe nuage : Pourquoi il est logique pour votre entreprise
Le nuage : Pourquoi il est logique pour votre entreprise TABLE DES MATIÈRES LE NUAGE : POURQUOI IL EST LOGIQUE POUR VOTRE ENTREPRISE INTRODUCTION CHAPITRE 1 CHAPITRE 2 CHAPITRE 3 CONCLUSION PAGE 3 PAGE
Plus en détailNorme comptable internationale 33 Résultat par action
Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer
Plus en détailCréateur d opportunités
Créateur d opportunités Climat, énergie & ressources naturelles Agriculture & développement rural Marchés de l emploi & développement du secteur privé Systèmes financiers Commerce & intégration régionale
Plus en détailLa gestion des ressources humaines, un enjeu incontournable
Petit-Matin RH Adecco : «Les défis d avenir de la gestion des ressources humaines» par Florent Francoeur, CRHA Le premier Petit-Matin RH 2013 organisé par Adecco s est déroulé le 21 février dernier au
Plus en détailBien-être et Performance Collective Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble
Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble Comment concilier «bienêtre» et «performance collective»? Comment aider les opérationnels à assumer leur responsabilité managériale,
Plus en détailLe projet collaboratif 2.0
Florence Gicquel et Aref Jdey En collaboration avec Alpha Diallo Le projet collaboratif 2.0 Pour mobiliser la Documentation au service de l entreprise é d i t i o n s Les Editions de l ADBS publient des
Plus en détailLigne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available
Plus en détailPrincipes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes
Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes 1 Préambule Le groupe de Wolfsberg d établissements financiers internationaux 1 s est accordé sur ces Principes qui constituent
Plus en détailUNIVERSITÉ DE MONTRÉAL DÉPARTEMENT DE SOCIOLOGIE ************* Cours de niveau gradué en méthodes quantitatives *************
************* Cours de niveau gradué en méthodes quantitatives ************* SOL 6210 - Analyse quantitative avancée Le séminaire d analyse quantitative avancée se donne en classe une fois par année. Chaque
Plus en détailMaster en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable
Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Turin, Italie Contexte Le Centre international de formation de l Organisation internationale du Travail (CIF-OIT)
Plus en détailExemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil
Retour au sommaire Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil BIM n 05-12 février 2002 Karin BARLET ; Bonnie BRUSKY Nous vous présentions en novembre dernier les outils d étude de marché
Plus en détailL ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL
Online Intelligence Solutions L ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL Par Jacques Warren WHITE PAPER WHITE PAPER A Propos de Jacques Warren Jacques Warren évolue en marketing digital depuis 1996, se concentrant
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Management public de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012 Section des Formations et des diplômes
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie
www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,
Plus en détailContribution sur le thème relatif au point de vue et au rôle des actuaires vis-à-vis des nouvelles normes comptables
Valorisation du risque IARD et nouvelles normes comptables Mathieu Gatumel et Guillaume Gorge Axa Group Risk Management 9 avenue de Messine 75008 Paris Tel. : +33 1 56 43 78 27 Fax : +33 1 56 43 78 70
Plus en détailDIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.
DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE
Plus en détailRédiger et administrer un questionnaire
Rédiger et administrer un questionnaire Ce document constitue une adaptation, en traduction libre, de deux brochures distinctes : l une produite par l American Statistical Association (Designing a Questionnaire),
Plus en détailGestion des licences électroniques avec Adobe License Manager
Article technique Gestion des licences électroniques avec Adobe License Manager Une méthode plus efficace pour gérer vos licences logicielles Adobe Cet article technique traite des enjeux de la gestion
Plus en détailMastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché»
Mastère spécialisé «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» I- Présentation détaillée du programme d enseignement Répartition par modules et crédits ECTS : Intitulé
Plus en détailLean Management : une stratégie de long terme. Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable?
Lean Management : une stratégie de long terme Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable? Au cours de ces deux dernières années, les grandes entreprises du monde
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailInstructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude
Programme de bourses de recherche Amy Mahan pour évaluer l impact de l accès public aux TIC Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude Table des matières À propos la Question
Plus en détailDes caisses diversifiées et gérées professionnellement. Les Caisses privées
Des caisses diversifiées et gérées professionnellement Les Caisses privées 3 La simplicité rendue accessible 4 Qu est-ce qu une Caisse privée? 6 La diversification, ou comment réduire votre risque 8 Une
Plus en détailLe WACC est-il le coût du capital?
Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.
Plus en détailPRINCIPES DE SANTIAGO INTRODUCTION
PRINCIPES DE SANTIAGO INTRODUCTION Les fonds d investissement souverains (SWF) ont été récemment reconnus comme des investisseurs institutionnels bien établis et d importants acteurs du système monétaire
Plus en détailNotre modèle d engagement
Notre modèle d engagement 1. EVALUER L évaluation des compétences que vous souhaitez améliorer implique un vrai échange entre nos deux équipes, et une étude plus approfondie des écarts et des actions préalablement
Plus en détailComité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques
F SCT/30/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 12 AOUT 2013 Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques Trentième session Genève, 4 8 novembre 2013
Plus en détailKnowledgeManagement : Repartir de l individu.
KnowledgeManagement : Repartir de l individu. Olivier Le Deuff Ater. Université de Lyon 3 www.guidedesegares.info Le knowledge management (KM ) est un domaine souvent considéré comme récent et dont certains
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailChapitre 2 LE CAS PRATIQUE
Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Demande de conseil. Le cas pratique est un exercice juridique qui, à l instar d une personne se trouvant en situation de litige avec autrui, demande conseil. C est un exercice
Plus en détailGestionnaires. Parcoursd apprentissage
Gestionnaires Parcoursd apprentissage V2 VOTRE PARTENAIRE EN APPRENTISSAGE L École de la fonction publique du Canada offre des produits d apprentissage et de formation qui contribuent au renouvellement
Plus en détailLA QUALITE, L ASSURANCE DE LA QUALITE ET LA CERTIFICATION ISO 9001
LA QUALITE, L ASSURANCE DE LA QUALITE ET LA CERTIFICATION ISO 9001 I/ HISTORIQUE DE LA QUALITE La qualité est un souci permanent de l homme depuis longtemps. Jusqu au XIX ème siècle, c est l ère artisanale
Plus en détail