Programme public de services dentaires préventifs. Bilan régional des activités Montréal. Direction de santé publique de Montréal Juin 2005

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1 gence développement réseaux locaux services de santé de services sociaux Quebec n Montréal /tn > 1 E3 E3 Santé publique Programme public de services dentaires préventifs Bilan régional des activités Montréal Martin Généreux Direction de santé publique de Montréal Juin 2005 W1J G INSPQ - Montréal LA PREVENTION EN ACTIONS Garder notre monde en santé

2 INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PL LLIQUE DU QUÉBEC ÎR D DOCUMENTATION MONTRÉAL Programme public de services dentaires préventifs Bilan régional des activités Montréal Martin Généreux, dentiste-conseil Direction de santé publique de Montréal Juin 2005

3 Une réalisation de F unite Samé physique Centre universitaire de santé McGilL mandataire Nous tenons à remercier les hygiénistes dentaires des 28 CLSC du territoire de Montréal, pour avoir apporté leur précieuse collaboration en soumettant les données nécessaires à la composition d'un tel bilan. Nous remercions madame Emmanuelle Huberdeau pour sa collaboration dans la collecte des cbnnées ainsi que monsieur Charles Tétrault pour la mise en forme du présent document. Direction de santé publique Agence de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux de Montréal (2005) Tous droits réservés Dépôt légal : 2005 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISBN :

4 Montréal Mot du directeur Depuis déjà près de quinze ans, le Programme public de services dentaires préventifs (PPSDP), mis en œuvre sur l'ensemble du territoire montréalais, favorise une concentration des interventions préventives chez les enfants dits à risque de développer des problèmes de santé buccodentaire. Ce programme, qui fait partie des activités existantes à maintenir dans le cadre du Programme national de santé publique , est également intégré au Plan d'action montréalais en santé publique Le présent rapport s'inscrit également dans les dispositions générales sur la surveillance continue de l'état de santé de la population, tel que stipulé dans la Loi sur la santé publique (article 33). En juin 2005, dans le cadre du 8 e Colloque de santé dentaire publique du Québec, le MSSS déposait un Plan d'action en santé dentaire publique Ce plan d'action prévoit, en sus du maintien des activités actuelles, la mise en place d'interventions auprès des jeunes d'âge préscolaire et de leur famille ainsi que la dispensation d'agents de scellement dentaire pour les jeunes de 5 à 15 ans. Le bilan des activités du PPSDP permettra en outre d'apprécier le nombre d'activités actuellement réalisées avec les ressources dont dispose le réseau montréalais en santé dentaire publique. Il permettra également de mieux se positionner au regard des changements appréhendés tant dans la structure du réseau de santé que dans les activités qui seront conduites dans les années à venir. Le bilan régional des activités du PPSDP présente des données administratives provenant des 28 CLSC de Montréal qui appliquent le programme. Ces données permettront d'analyser l'ensemble des activités réalisées dans le cadre de la mise en œuvre de ce programme. Je tiens à remercier toutes celles et tous ceux qui ont pris part à la collecte des données ainsi qu'à l'analyse et à la production du présent bilan. Je souhaite que ce document soit utile au maintien et à l'amélioration des actions de prévention et d'éducation pour la santé buccodentaire des enfants montréalais. Le Directeur de santé pûblïque, Richard Lessard, M.D. i

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6 Montréal Sommaire L'implantation du Programme public de services dentaires préventifs (PPSDP) a débuté en 1990 au Québec et, notamment, dans la région de Montréal. Depuis, son application s'est généralisée à l'ensemble des territoires de CLSC, non seulement dans la région de Montréal, mais également dans l'ensemble de la province. Il s'agit d'un programme d'éducation à la santé dentaire ciblant, plus particulièrement, une clientèle dite «à risque de carie dentaire» et prévoyant l'application d'une mesure préventive efficace (application topique de fluorure). Un tableau portant sur les principales données administratives du programme a été complété par les intervenantes de 28 CLSC de la région montréalaise au cours de l'été et de l'automne Bien que certaines données soient manquantes pour quelques établissements, l'ensemble des informations recueillies permettra de tracer un portrait fidèle du degré d'application du PPSDP. À Montréal, enfants de niveau maternelle, soit 88,4% des enfants, ont été rejoints par une activité d'éducation à la santé dentaire de masse. Cependant, en considérant l'ensemble des interventions rapportées ciblant les enfants d'âge préscolaire, on estime à seulement 8,5 % la proportion d'enfants de 0-4 ans de Montréal rejoints au travers d'activités d'éducation à la santé dentaire. On observe que 94,1% des enfants de maternelle (n = ) bénéficient d'un dépistage alors que c'est le cas de 79,7 % des enfants de troisième année (n =10 291). Parmi les enfants dépistés en maternelle, enfants ont été envoyés en cabinet dentaire pour des besoins évidents de traitement dentaire, ce qui représente 17,8 % des enfants. Par ailleurs, le nombre d'enfants classés «à risque de carie dentaire» rapportés en maternelle est de (26,2 %) pour l'ensemble des 28 CLSC de la région qui appliquent le programme. Au total, pour la région de Montréal, ce sont enfants à risque qui sont, pour la plupart, rencontrés deux fois dans l'année pour un suivi préventif individuel qui comprend, entre autres, l'application d'une mesure préventive efficace (application topique de fluorure). m

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8 Montréal Table des matières Mot du directeur I Sommaire......Ill Liste des figures... VI Liste des tableaux... VI Introduction 1 Rappel du programme 1 Implantation à Montréal 1 Bilans passés 2 Aperçu du présent bilan... 2 Méthode...2 Collecte des données 2 Analyse 3 Résultats...3 Population totale et interventions universelles... 3 Dépistage 4 Suivi préventif individuel 8 Répartition du temps de travail Discussion 15 Population totale et interventions universelles., 15 Dépistage 16 Suivi préventif individuel 16 Répartition du temps de travail 18 Conclusion Annexe 1 Tableaux des principales données administratives demandées Annexe 2 Tableaux 2.1 à 2.6 par CSSS 25 v

9 Montréal Liste des figures Figure 1 - Pourcentage d'enfants à risque de carie dentaire en maternelle, par territoire de CLSC - 6 Figure 2. Nombre d'enfants à risque de carie dentaire suivis individuellement, par territoire de CLSC - 10 Liste des tableaux Tableau 1. Population totale et dépistée, % d'enfants à risque, % de besoin évident de traitement (BET), niveau maternelle, par territoire de CLSC 5 Tableau 2. Population totale et dépistée, % de besoin évident de traitement (BET), niveau 3 e année, par territoire de CLSC 7 Tableau 3. Suivi individuel, nombre d'enfants à risque ayant un suivi, par niveau, par territoire de CLSC. 9 Tableau 4. Suivi individuel, nombre et % de besoin évident de traitement (BET), nombre et % de cas dirigés vers un dentiste, nombre et % de visites effectives, niveau maternelle, par territoire de CLSC 11 Tableau 5. Suivi individuel, nombre d'enfants suivis rencontrés, première et deuxième rencontre, éducation à la santé et application topique de fluorure, niveau maternelle, par territoire de CLSC 12 Tableau 6. Répartition du temps de travail (en %) des hygiénistes dentaires par territoire de CLSC 14 Tableau 2.1. Population totale et dépistée, % d'enfants à risque, % de besoin évident de traitement (BET), niveau maternelle, par territoire de CSSS 27 Tableau 2.2. Population totale et dépistée, % de besoin évident de traitement (BET), niveau 3 e année, par territoire de CSSS 28 Tableau 2.3. Suivi individuel, nombre d'enfants à risque ayant un suivi, par niveau, par territoire de CSSS 29 VI

10 Montréal Tableau 2.4. Suivi individuel, nombre et % de besoin évident de traitement (BET), nombre et % de cas dirigés vers un dentiste, nombre et % de visites effectives, niveau maternelle, par territoire de CSSS - Tableau 2.5. Suivi individuel, nombre d'enfants suivis rencontrés, première et deuxième rencontre, éducation à la santé et application topique de fluorure, niveau maternelle, par territoire de CSSS...31 Tableau 2.6. Répartition du temps de travail (en %) des hygiénistes dentaires par territoire de CSSS VII

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12 Montréal Introduction Rappel du programme L'implantation du Programme public de services dentaires préventifs (PPSDP) a débuté en 1990 dans l'ensemble du Québec. Depuis, son application s'est généralisée à l'ensemble des territoires de CLSC, non seulement dans la région de Montréal, mais également dans l'ensemble de la province. Il s'agit d'un programme d'éducation à la santé dentaire ciblant, plus particulièrement, une clientèle dite «à risque de carie dentaire» et prévoyant une mesure préventive efficace (application topique de fluorure). Ce programme a bénéficié d'un support concret du ministère de la Santé et des Services sociaux par la consolidation des postes d'hygiénistes dentaires en CLSC, l'achat d'équipement nécessaire à la mise en oeuvre de ce programme, ainsi que par l'organisation d'une formation provinciale pour l'ensemble des intervenantes en Implantation à Montréal Le programme permettant une certaine latitude, son degré d'implantation peut varier selon les ressources professionnelles en place, les besoins spécifiques de la population du territoire du CLSC et les choix et orientations de l'établissement. Ces variations sont parfois susceptibles d'influencer certaines données du bilan. Les résultats présentés dans le cadre du présent bilan doivent donc être abordés en gardant à l'esprit les variations existantes selon les établissements dans le soutien et la mise en oeuvre du programme. Il devient alors difficile de comparer les résultats obtenus d'un CLSC ou d'un CSSS à l'autre sans avoir préalablement un portrait précis des établissements en termes d'orientations et de ressources. Dans la région de Montréal, le programme est implanté dans 28 CLSC sur 29 et il en est au moins à sa neuvième année d'application. Seul le CLSC Lac St-Louis n'assure aucun service d'hygiène dentaire. Pour les besoins de concertation et de coordination rencontrés dans l'implantation d'un tel programme, un comité régional de concertation en santé dentaire publique a été récemment mis sur pied afin de favoriser la circulation de l'information et la prise de décision régionale autour des activités proposées récemment par le MSSS dans le cadre du dépôt du nouveau Plan d'action en santé dentaire publique

13 Montréal Bilans passés Le dernier bilan régional des activités du PPSDP a été conduit pour l'année Ce bilan a bénéficié d'une large diffusion, notamment auprès de l'ensemble des CLSC de Montréal. Aperçu du présent bilan Le présent bilan régional, à l'image de celui produit en , présentera certaines données administratives d'application du PPSDP. Ces données seront mises en contexte dans le cadre d une discussion qui permettra aussi de souligner certains points susceptibles d'une part, de conduire à l'amélioration de ce programme et, d'autre part, de nourrir la prise de décision en regard des orientations contenues dans le nouveau Plan d'action en santé dentaire publique. Enfin, des recommandations seront émises en vue d'une plus grande efficience. Méthode Collecte des données Un tableau portant sur les principales données administratives du programme a été complété par les intervenants au cours de l'été et de l'automne Ce tableau s'inspire directement des données recueillies lors du bilan régional ainsi que de l'évaluation provinciale de l'application du PPSDP 1. Le lecteur trouvera ce tableau à l'annexe 1 du présent document. Ces données ont été colligées à la Direction de santé publique de Montréal, à l'automne Pour la région de Montréal, les 28 CLSC qui mettent en œuvre le programme ont participé à la collecte des données. Notons que le CLSC Côte-des-Neiges, privilégiant l'intervention par quartier, présente des données distinctes pour chacun des trois quartiers de son territoire. Les intervenants de deux de ces quartiers ayant fourni des données agrégées, c'est à dire tous niveaux confondus, ce sous-territoire (Côte-des- Neiges 2) n'a pu être considéré dans l'analyse. Deux autres CLSC (Des Faubourgs et Pointe-aux-Trembles/Montréal-Est) ayant présenté des données partielles seront considérés dans l'analyse pour les données qu'ils nous ont fournies. Certains résultats en termes de nombres absolus seront ainsi légèrement sous-évalués par rapport à la réalité.! Durocher, J., Brodeur, J.-M., Évaluation de l'application du Programme public de services dentaires préventifs gouvernement du Québec, ministère de la Santé et des Services sociaux, Direction générale de la santé publique! 2

14 Montréal Analyse Puisque pour l'ensemble de la région de Montréal, il manque certaines données pour quelques établissements, certains résultats devront être estimés. Ces données manquantes étant très peu importantes (parfois un sous-territoire de CLSC sur l'ensemble des établissements), le calcul des proportions n'en tiendra pas compte. De plus, bien que pour certains dénombrements, il manque les données de deux établissements et d'un sous-territoire, les chiffres rapportés dans le présent document seront présentés comme tels en gardant à l'esprit qu'ils sont légèrement sous-évalués. Résultats Population totale et interventions universelles La population totale d'enfants de maternelle fréquentant les écoles publiques, pour l'année scolaire , telle que rapportée par les intervenantes, est évaluée à pour les territoires des 28 CLSC montréalais (sur 29) qui appliquent le PPSDP. De ce nombre, on estime que enfants, soit 88,4 %, ont été rejoints par une activité d'éducation à la santé dentaire de masse. On note aussi que 78,5 % des parents de ces enfants ont été impliqués d'une certaine façon dans l'activité. En première année, l'estimation du nombre d'enfants ayant bénéficié d'une activité d'éducation à la santé dentaire chute à 2 860, soit 28,4 % des enfants. En deuxième année, ce nombre n'est plus que de 1 449, soit 15,2 % des enfants. Cependant, les parents de ces enfants continuent de bénéficier d'une forme d'implication dans l'activité d'éducation puisque 91,2% de ceux-ci, en première année, sont impliqués dans la conduite de l'activité d'éducation. On observe une baisse légère de l'implication des parents en deuxième année avec un pourcentage de 83,0 % des parents impliqués. Notons enfin qu'en troisième année, 49,5 % des enfants (n = 6 070) sont rejoints par une activité d'éducation de masse, et que 73,1 % des parents de ces enfants sont impliqués d'une certaine façon. 3

15 Montréal Peu d'interventions universelles s'adressant à des groupes d'enfants sont réalisées en deuxième cycle du primaire ainsi qu'en classes spéciales (d'accueil ou autre). De même, les niveaux préscolaire et secondaire ne bénéficient que de peu d'interventions universelles d'éducation. En effet, en considérant l'ensemble des interventions rapportées ciblant les enfants d'âge préscolaire, on estime à seulement 8,5 % la proportion d'enfants de 0-4 ans de Montréal rejoints au travers d'activités d'éducation à la santé dentaire. Cependant, les services de garde (installations et garderies), ainsi que les prématernelles demeurent des endroits privilégiés pour intervenir en éducation, puisqu'on estime à (9,5 % des enfants) le nombre d'enfants rencontrés en services de garde, et à (77,8 % des enfants) ceux rencontrés en prématernelle. Dépistage Pour la région montréalaise, 94,1 % des enfants de maternelle (n = ) bénéficient d'un dépistage, ce qui est le cas de 79,7 % des enfants de troisième année (n = ). Près des deux tiers des parents sont informés des résultats du dépistage chez leur enfant (65,3 % en maternelle, 64,9 % en troisième année). Au niveau de la maternelle, le nombre d'enfants rapportés comme étant «à risque de carie dentaire» est de (26,2 %) pour l'ensemble des 28 CLSC de la région qui appliquent le programme (tableau 1). Les données du tableau 1 sont présentées par CSSS à l'annexe 2 (tableau 2.1). On observe une variation importante selon les territoires, passant de 14,8 % pour celui du CLSC Ahuntsic à 47,0 % pour un des trois quartiers du CLSC Côte-des-Neiges (#1 : Plamondon et Sud) (figure 1). Parmi les enfants dépistés en maternelle, on observe que enfants ont été dirigés vers un cabinet privé pour des besoins de traitement dentaire évidents, ce qui représente 17,8 % des enfants. 4

16 Montréal Tableau 1. Population totale et dépistée, % d'enfants à risque, % de besoin évident de traitement (BET), niveau maternelle, par territoire de CLSC CLSC Total des enfants Dépistés À risque % à risque Ahuntsic , Côte-des-Neiges (1) , ,0 Côte-des-Neiges (2) 1 Des Faubourqs , ,8 Hochelaga-Maisonneuve , ,7 Lac St-Louis 2 LaSalle 745 I , Mercier-Est/Anjou , Métro 307! , ,3 Montréal-Nord , ,7 NDG/Montréal-Ouest , ,6 Nord de l'île ,4 Olivier-Guimond ,6 Parc-Extension , ,7 Petite-Patrie , ,7 Pierrefonds ,0 47 6,9 Plateau Mont-Royal ,0 19 6,5 Pointe St-Charles , ,2 Pointe-aux-Trembles , ,3 René-Cassin , ,2 s Rivière-des-Prairies , ,7 Rosemont , ,9 Saint-Laurent , ,9 Saint-Léonard , ,0 Saint-Louis-du-Parc , ,8 Saint-Michel , ,1 St-Henri 178 l , ,0 Verdun , ,1 Vieux-Lachine 484! , ,2 Villeray , ,8 Montréal , ,8 1 Données manquantes 2 Aucun service dentaire BET % BET Source : Bilan des activités du PPSDP, Montréal 5

17 Montréal Figure 1. Pourcentage d'enfants à risque de carie dentaire en maternelle, par territoire de CLSC Ah CdN1 CdN2* - I V'vv'^ r 14/ Fau : m 32.9 HM l ji.4 Lac" Las Me/A Met MtIN b 1 «7 1?ft 1 NdG t 1 S.H NdL Oli I J # 30 PE PP 1 *,';! 07 A Pie i s* Pla i if. PsC PaT RC RdP Ros SU SLe SLP I '"" I 21 I \ -> > 1 I <., r :.;, i ^ * I ' "" } H.4 ','" ' I ; ;-T! :,l «I 1 AV 1 StM ' J?R7 StH Ver 1, L VH* "I 3 T.Z VL Vil * Données manquantes ** Aucun service dentaire Source : Bilan des activités du PPSDP, Montréal

18 Montréal Pour les enfants dépistés en troisième année, enfants présentaient un besoin évident de traitement (17,6 %) et ont été dirigés vers un cabinet dentaire (tableau 2). Les données du tableau 2 sont présentées par CSSS à l'annexe 2 (tableau 2.2). Tableau 2. Population totale et dépistée, % de besoin évident de traitement (BET), niveau 3 e année, par territoire de CLSC CLSC Total des Enfants Besoin évident % enfants dépistés de traitement BET Ahuntsic ,9 Côte-des-Neiges (1) ,4 Côte-des-Neiges (2) 1 l 8 Des Faubourgs NSP* ,5 Hochelaga-Maisonneuve NSP* ,4 Lac St-Louis 2 LaSalle ,1 Mercier-Est/Anjou ,9 Métro ,8 Montréal-Nord ,7 NDG/Montréal-Ouest ,9 Nord de l'île ,5 Olivier-Guimond ,6 Parc-Extension S.O" s.o.** Petite-Patrie ,6 Pierrefonds s.o.** S.O." Plateau Mont-Royal ,7 Pointe St-Charles ,3 Pointe-aux-Trembles 3 René-Cassin ,4 Rivière-des-Prairies ,3 Rosemont s.o** S.O." Saint-Laurent ,6 Saint-Léonard ,4 Saint-Louis-du-Parc ,6 Saint-Michel ,4 St-Henri ,6 Verdun ,2 Vieux Lachine ,9 Viîleray ,0 Montréal ,6 * NSP : Ne sais pas " S.O. : Sans objet 1 Données manquantes 2 Aucun service dentaire 3 Données incomplètes Source : Bilan des activités du PPSDP, Montréal 7

19 Montréal Soulignons enfin que pour les niveaux maternelle et troisième année, respectivement 90,8 % et 77,2 % des écoles sont impliquées dans le dépistage. Suivi préventif individuel Parmi les enfants classés «à risque de carie dentaire», en maternelle, une autorisation d'effectuer un suivi préventif individuel a été demandée aux parents de d'entre eux et ont accordé leur autorisation (86,7%). Certains CLSC demandent à nouveau à chaque année l'autorisation d'effectuer le suivi avec un taux d'acceptation semblable ou meilleur. Au total, pour la région de Montréal, ce sont au moins enfants à risque qui sont, pour la plupart, rencontrés deux fois dans l'année pour un suivi préventif individuel qui comprend, entre autres, l'application d'une mesure préventive efficace (application topique de fluorure) (tableau 3). L'écart important observé dans le nombre d'enfants suivis selon les établissements (figure 2) peut s'expliquer, entre autres, par les limites associées aux manque de ressources humaines et au lieu de l'intervention (école ou CLSC). Les données du tableau 3 sont présentées par CSSS à l'annexe 2 (tableau 2.3). 8

20 Montréal Tableau 3. Suivi individuel, nombre d'enfants à risque ayant un suivi, par niveau, par territoire de CLSC CLSC Matern. ^ ère année 2 e année 3 e année 4 e année 5 e année 6 e année Accueil/ spéciale Total Ahuntsic Côte-des-Neiges (1) Côte-des-Neiges (2) 1 I I Des Faubourgs 2 j Hochelaga-Mais Lac St-Louis 3 LaSalle Mercier-Est/Anjou Métro Montréal-Nord NDG/Montréaï-Ouest Nord de l'île Olivier-Guimond Parc-Extension Petite-Patrie Pierrefonds Plateau Mont-Royal Pointe St-Charles Pointe-aux-Trembles René-Cassin Rivière-des-Prairies Rosemont Saint-Laurent Saint-Léonard Saint-Louis-du-Parc Saint-Michel St-Henri Verdun Vieux Lachine Villeray Montréal Données manquantes 2 Données incomplètes 3 Aucun service dentaire Source : Bilan des activités du PPSDP, Montréal Dans le cadre du suivi préventif individuel, les enfants bénéficient tous, en principe, d'une inspection buccodentaire dans laquelle le besoin évident de traitement est évalué et les enfants concernés dirigés vers un cabinet privé. Parmi les enfants suivis en maternelle, 46,8 % présentent un besoin évident de traitement et 98,4 % d'entre eux sont dirigés vers un dentiste (tableau 4). 9

21 Montréal Figure 2. Nombre d'enfants à risque de carie dentaire suivis individuellement, par territoire de CLSC Ahu CdNI CdN2* Fau" m Lac m Las Me/A Met MtIN NdG NtiL Oli PE PP Pie Pla PsC PaT RC RdP Ros SLa SLe SLP StM StH Ver VL Vil ; j 168 D 141 I * SU i 280 a i , ^.-i-.^ ^22 Ai " " " 503 I Z3 S Ifi 30 * Données manquantes ** Données incomplètes *** Aucun service dentaire Source : Bilan des activités du PPSDP, Montréal 10

22 Montréal Tableau 4. Suivi individuel, nombre et % de besoin évident de traitement (BET), nombre et % de cas dirigés vers un dentiste, nombre et % de visites effectives, niveau maternelle, par territoire de CLSC CLSC N bre d'enfants BET % BET Dirigés vers un dentiste % dirigés vers un dentiste Ayant visité le dentiste % ayant visité le dentiste Ahuntsic 23 30, , ,9 Côte-des-Neiges (1) 51 47, ,0 NSP* NSP* Côte-des-Neiges (2) 1 Des Faubourgs 2 Hochelaga-Mais , ,0 2 3,2 Lac St-Louis 3 LaSalle 43 36, ,0 NSP* NSP* Mercier-Est/Anjou 71 49, , ,8 Métro 44 68, , ,4 Montréal-Nord , , ,0 NDG/Montréal-Ouest 18 27, ,0 9 50,0 Nord de l'île 78 74, , ,8 Olivier-Guimond 30 85, ,0 0 0,0 Parc-Extension 35 39, ,0. Petite-Patrie 41 49, , ,1 Pierrefonds 37 27, ,0 0 0,0 i Plateau Mont-Royal 18 42, ,6 Pointe Sî-Chaiies 32 61, ,0 6 18,8 Pointe-aux-Trembles 2 René-Cassin 10 31, ,0 5 50,0 Rivière-des-Prairies 56 51, , ,5 Rosemont 53 38, ,0. - Saint-Laurent 98 47, , ,4 Saint-Léonard 54 52, ,0 - - Saint-Louis-du-Parc , , ,2 Saint-Michel 73 49, , ,2 St-Henri 35 55, , ,1 Verdun 41 41, , ,3 Vieux Lachine 45 50, ,0 8 17,8 Villeray 55 45, , ,1 Montréal , , ,9 * NSP : Ne sais pas 1 Données manquantes 2 Données incomplètes 3 Aucun service dentaire Source : Bilan des activités du PPSDP, Montréal 11

23 Montréal Les données du tableau 4 sont présentées par CSSS à l'annexe 2 (tableau 2.4). Soulignons aussi qu'il est possible d'estimer qu'au moins 426 des enfants de maternelle dirigés vers un dentiste ont effectivement visité le dentiste pour un pourcentage de 29,9 %. Le pourcentage d'enfants de maternelle ayant bénéficié d'une approche d'éducation à la santé dentaire, lors de la première rencontre annuelle de suivi, s'élève à 96,7 % alors qu'il est de 79,3 % pour la deuxième rencontre (tableau 5). Tableau 5. Suivi individuel, nombre d'enfants suivis rencontrés, première et deuxième rencontre, éducation à la santé et application topique de fluorure, niveau maternelle, par territoire de CLSC Nbre % N bre % N bre % N bre % I CLSC d'enfants éduc. d'enfants éduc. d'enfants appl. d'enfants appl. éducation (1) éducation (2) application (1) application (2) (1) (2) topique (1) topique (2) Ahuntsic 63 82, , , ,0 Côte-des-Neiqes (1) ,1 8 6, ,8 Côte-des-Neiqes (2) 1 Des Faubourgs^ Hochelaga-Mais , , , ,0 Lac St-Louis* I I LaSalle , , , ,0 i Mercier-Est/Anjou , , , I Métro I , , , ,6 l Montréal-Nord j , , , ,3 j NDG/Montréal-Ouest , , , ,0 Nord de l'île , , , ,3 Olivier-Guimond ,0 0 0, ,0 0 0,0 Parc-Extension ,0 0 0,0 I ,0 Petite-Patrie 77 92, , ,4 Pierrefonds , , , Plateau Mont-Royal , , ,0 Pointe St-Charles , , , ,2 Poi nte-aux-trembles^ René-Cassin 30 93, , , ,9 Rivière-des-Prairies , , , ,4 Rosemont , , , ,6 Saint-Laurent , , ,3 Saint-Léonard , , , ,7 Saint-Louis-du-Parc 34 97, , , ,1 Saint-Michel , , , ,6 St-Henri 62 98, , , ,0 Verdun , , , ,7 Vieux Lachine , , , ,9 Villeray , , , ,1 Montréal , , , ,8 ] Données manquantes ^ Données incomplètes 3 Aucun service dentaire Source : Bilan des activités du PPSDP, Montréal 12

24 Montréal Le même phénomène s'observe pour l'application topique de fluorure, puisque 96,0 % des enfants bénéficient de la mesure à la première rencontre, alors que 78,8 % la reçoivent lors de la deuxième rencontre. Encore ici, ces mêmes tendances s'observent aux trois autres niveaux. Les données du tableau 5 sont présentées par CSSS à l'annexe 2 (tableau 2.5). Les parents des enfants suivis sont en principe tous impliqués (98,3 %) dans l'intervention, que ce soit par l'envoi de formulaires et de matériel d'éducation, par une relance téléphonique ou par une visite au CLSC ou à l'école. Cependant, très peu de parents sont rencontrés personnellement par les intervenantes (6,1 %). 13

25 Montréal Répartition du temps de travail Tableau 6. Répartition du temps de travail (en %) des hygiénistes dentaires par territoire de CLSC CLSC Activités du PPSDP (dépistage et suivi des enfants à risque) 0-4 ans (éducation de masse, dépistage, autres) 5-12 ans (rencontres de groupesclasse, campagnes d'éducation, clinique de pédo, autres) ans (rencontres de groupesclasse, campagnes d'éducation, clinique de pédo, autres) Adultes (campagnes d'éducation, autres) Aînés (centres d'accueil, maintien à domicile, autres) Ahuntsic 70 7,2 22,5 0,3 0,0 0,0 Côte-des-Neiqes (1) 75 15,0 8,5 0,0 1,5 0,0 Côte-des-Neiges (2) 1 Des Faubourgs 2 I Hochelaga-Mais ,0 20,0 0,0 0,0 0,0 Lac St-Louis 3 LaSalle 70 3,0 26,7 0,3 0,0 0,0 Mercier-Est/Anjou 75 6,3 18,5 0,3 0,0 0,0 Métro 70 6,0 12,0 6,0 3,0 3,0 Montréal-Nord 98 0,0 2,0 0,0 0,0 0,0 NDG/Montréal-Ouest 59 18,5 18,5 4,1 0,0 0,0 Nord de l'île 90 8,8 1,2 0,0 0,0 0,0 Olivier-Guimond 65 14,0 10,5 5,3 5,3 0,0 I Parc-Extension 80 17,0 0,0 0,0 3,0 0,0 I Petite-Patrie 70 10,5 19, ,0 0,0 I Pierrefonds 97 0,4 2,3 0,0 0,4 0,0 Plateau Mont-Royal 70 15,0 15,0 0,0 0,0 0,0 Pointe St-Charles 75 10,0 15,0 0, ,0 Pointe-aux-Trembles 80 4,0 12,0 4,0 0,0 0,0 René-Cassin 60 8,0 32,0 0,0 0,0 0,0 Rivière-des-Prairies 70 14,1 14,1 0,0 0,9 0,9 Rosemont 90 0,0 0, ,0 0,0 Saint-Laurent 95 3,0 2,0 0,0 0,0 0,0 Saint-Léonard 95 3,0 2,0 0,0 0,0 0.0 Saint-Louis-du-Parc 50 20,0 26,0 2,0 2,0 0,0 Saint-Michel 79 12,8 5,9 0,0 2,3 0,0 St-Henri 85 4,1 9,0 0,0 2,0 0,0 Verdun 70 12,6 12,6 0,0 4,8 0,0 Vieux Lachine 80 5,0 5,0! 5,0 5,0 0.0 Villeray 80 6,0 13,0 0,0 1,0 0,0 Montréal 76,1 9,0 12,1! 1,0 I 1,5 0,2 1 Données manquantes 2 Données incomplètes 3 Aucun service dentaire Source : Bilan des activités du PPSDP, Montréal 14

26 Montréal La partie du PPSDP entourant les interventions individuelles (dépistage et suivi) monopolise en moyenne 76,1 % du temps de l'intervenant (tableau 6). Parmi les autres populations, les 6-12 ans présentent la partie la plus importante avec 12,1 % des interventions alors que les 0-4 ans recueillent 9,0 % d'entre elles. Les données du tableau 6 sont présentées par CSSS à l'annexe 2 (tableau 2.6). Discussion Population totale et interventions universelles Les enfants du niveau maternelle bénéficient, dans une proportion très importante (88,4 %), d'une ou de plusieurs interventions universelles d'éducation à la santé dentaire. Ce constat rappelle l'importance d'intervenir en bas âge sur les habitudes de vie de façon à favoriser, d'une part, une bonne santé dentaire à un âge de grande susceptibilité à la carie dentaire et, d'autre part, l'acquisition et l'intégration de connaissances qui serviront pour toute la vie des enfants. De plus, une attention particulière est accordée à la relation avec les parents dans ce processus, puisque 78,5 % d'entre eux y sont impliqués d'une certaine façon. L'intervention universelle diminue notablement en première année (28,4 %) et en deuxième année (15,2 %) par manque de ressources et de temps. Cependant, ce type d'intervention s'accentue en troisième année (49,5 %). En effet, la couverture de soins dentaires assurés par la RAMQ s'arrêtant à neuf ans, il est important d'encourager les enfants, ainsi que leurs parents, à recourir aux soins en cabinet privé. Outre le premier cycle du niveau primaire, peu d'interventions universelles sont recensées. À titre d'exemple, on estime que seulement 8,5 % des enfants montréalais âgés de 0 à 4 ans bénéficient d'une intervention d'éducation à la santé dentaire. Compte tenu de récentes données épidémiologiques en santé dentaire qui font état d'une présence importante de carie dentaire à cinq ans, de la résurgence de la carie du biberon chez certains groupes d'enfants de la région montréalaise et des différentes orientations nationales et régionales qui favorisent l'intensification des interventions chez les enfants de 0-4 ans, il apparaît étonnant qu'on investisse si peu auprès des clientèles préscolaires. Bien que le PPSDP concentre ses activités autour de la clientèle scolaire dite «à risque de carie dentaire», un temps substantiel (30 %) devrait être consacré à d'autres activités touchant les 0-12 ans, ce qui ne semble pas être le cas. Plusieurs facteurs contribueraient à expliquer ce phénomène, dont les particularités de la clientèle montréalaise (pauvreté, ethnicité) qui augmentent la lourdeur de l'intervention, et la consolidation incomplète des ressources en hygiène dentaire dans certains territoires. 15

27 Montréal _ Une réflexion régionale devra cependant s'exercer autour de l'intervention auprès de la population des enfants de 0-4 ans et de leurs parents. Il faudra demeurer conscient des limites inhérentes à l'approche d'une clientèle qui n'est pas captive d'un milieu en particulier et à l'implication du milieu familial dans l'approche d'éducation à la santé. Dépistage Il est raisonnable d'affirmer que l'ensemble des enfants de maternelle et de troisième année bénéficieraient normalement d'un dépistage puisque 94,1 % et 79,7 % respectivement y sont soumis. On estime ainsi que enfants dans vingt-huit territoires de CLSC de Montréal ont été dépistés au cours de l'année L'implication parentale demeurant une priorité, parents (66,5%) ont été informés des résultats du dépistage. Ce dépistage a permis d'identifier enfants ayant un besoin évident de traitement, qui ont été dirigés vers un cabinet privé. Soulignons ici que n'eût été du PPSDP, les parents de ces enfants n'auraient probablement pas eu connaissance du problème buccodentaire de leur enfant et que, conséquemment, une bonne partie d'entre eux n'auraient pas été informés de l'importance du recours aux soins du dentiste. Le pourcentage d'enfants dits «à risque de carie dentaire» semble augmenter sensiblement pour l'année , par rapport aux dernières données régionales datant de l'année scolaire , se situant à 26,2 % pour la région de Montréal. En effet, en , il se situait à 23,7% alors qu'au Québec, pour l'année , il s'élevait à 20,9%. Cette augmentation régionale observée n'est probablement pas très significative, mais l'écart qu'on observe avec la moyenne provinciale pourrait peut-être traduire la présence plus importante à Montréal de migrants récents et de populations vivant près ou sous le seuil de la pauvreté, ces variables étant associées à une prévalence plus grande de la carie dentaire. Suivi préventif individuel D'entrée de jeu, soulignons que 14,3 % des parents d'enfants identifiés «à risque de carie dentaire» et pour lesquels un consentement a été demandé ne consentent pas à ce que leur enfant participe au programme de suivi individuel. En termes absolus, ce pourcentage signifie que 422 enfants qui développeront de la carie dentaire dans les années à venir ne pourront pas se prévaloir des bienfaits du programme. Il apparaît ardu de circonscrire les raisons qui motivent les parents à ne pas consentir à la participation de leur enfant au programme, compte tenu des avantages à s'inscrire dans les activités d'un tel programme. Quoi qu'il en soit, il serait opportun de réfléchir à des mesures qui susciteraient une participation plus importante des enfants à une mesure préventive reconnue efficace. Il importe cependant de poursuivre l'excellente collaboration entretenue depuis de nombreuses années avec le réseau scolaire afin de favoriser l'accessibilité aux jeunes des mesures préventives mises de l'avant par le PPSDP à l'école même. 16

28 Montréal Le lecteur aura remarqué l'absence d'enfants suivis en maternelle, pour certaines séances d'éducation ou d'application topique de fluorure, notamment la deuxième, dans quelques CLSC (tableau 5). Ce phénomène pourrait possiblement refléter un choix d'établissement ou une consolidation partielle des postes en hygiène dentaire. Le suivi individuel permet, en outre, d'identifier le besoin évident de traitement. Il s'élève en maternelle à 46,8 % des enfants, ce qui représente un pourcentage presque trois fois plus élevé que lors du dépistage (17,8 %). Cette observation est conséquente puisque ces enfants «à risque» sont beaucoup plus susceptibles de développer de la carie dentaire au cours des années qui suivront. Ce nombre tend à diminuer au fur et à mesure que les enfants progressent à l'intérieur des activités de suivi du programme, pour se situer à 37,0 % en troisième année. Il semble ainsi que le PPSDP fait montre d'une certaine efficacité au regard de l'amélioration de cette donnée. Au total, enfants suivis individuellement sont dirigés vers un cabinet dentaire. De ce nombre, on peut affirmer qu'au moins 364 d'entre eux, soit 29,9 %, ont effectivement visité le dentiste. Lorsqu'on considère que ces enfants sont probablement parmi ceux qui utilisent le moins les services dentaires, cette conjoncture apparaît déjà comme un gain de santé important. Le pourcentage élevé de parents qui ont été impliqués d'une certaine façon dans la conduite du suivi préventif individuel (98,3 %) traduit bien le souci du PPSDP d'inclure les parents dans la démarche. Cependant, très peu de parents sont rencontrés personnellement (6,1 %). Le temps exigé pour prévoir de telles rencontres ainsi que le lieu à privilégier semblent présenter les facteurs les plus importants pour expliquer la faiblesse de ce résultat. Dans un souci de soutenir la portée de l'intervention d'éducation auprès de l'enfant, il deviendra ainsi prioritaire de trouver des moyens de communication personnelle avec les parents, notamment au premier cycle du primaire, moment où le milieu familial joue un rôle de premier plan. Qui plus est, si l'orientation du PPSDP s'élargit de façon substantielle à la clientèle préscolaire, l'implication parentale apparaîtra comme incontournable. À mesure que les cohortes d'enfants progressent dans les activités du programme, la participation tend à diminuer à cause, entre autres, des déménagements. Ainsi, en première année, il reste 91,9 % des enfants suivis en maternelle, 82,4 % en deuxième année et 64,7 % en troisième année. C'est dire qu'en cours de programme, il se perd plus du tiers des enfants suivis. Bien que le transfert de dossiers, qui apparaît comme une solution dont l'application est souhaitable, soit un problème difficilement soluble, étant donné les diverses façons dont les établissements traitent les dossiers, il conviendrait tout de même de réfléchir sur les moyens à prendre pour éviter la perte d'autant d'enfants qui ne pourront bénéficier des bienfaits associés au programme. 17

29 Montréal Répartition du temps de travail Le PPSDP prévoit que 70 % du temps de travail de l'intervenante soit consacré aux activités qui entourent le suivi individuel (dépistage et suivi). Cependant, moins de la moitié des CLSC (44,4 %) se conforment à cette prescription, six d'entre eux allant même jusqu'à consacrer plus de 90 % de leur temps aux seules activités privilégiées dans le cadre du PPSDP (dépistage et suivi des enfants à risque). On notera tout de suite le danger que comporte une orientation qui tend à mettre tous ses oeufs dans le même panier. En effet, une bonne partie de l'éducation qui se faisait auprès des 0-4 ans a dû être pratiquement abandonnée dans certains territoires et les interventions universelles au premier cycle du primaire, et plus particulièrement, au deuxième cycle, ont été sérieusement amputées. De plus, certaines interventions privilégiées dans l'application même du PPSDP (dépistage et suivi), notamment le suivi des enfants à risque, a dû lui aussi être amputé. Il est plausible de penser qu'à force de laisser ainsi toute une population (0-4 ans) à elle-même, particulièrement les enfants du préscolaire, on devra s'attendre à une détérioration de certains indices de santé dentaire. Il semble donc urgent de poursuivre la réflexion déjà amorcée depuis quelques années et d'accoucher de mesures concrètes et applicables, dans un contexte d'interventions sur le terrain, pour favoriser l'intégration des autres populations ciblées, dans le cadre de la mise en oeuvre du programme. 18

30 Montréal Conclusion Le PPSDP en est au moins à sa dixième année d'application dans la région de Montréal. Fort de cette expérience, il a su cultiver, au fil des ans, outre une collaboration enviable de l'ensemble de ses partenaires, une expertise sérieuse en termes d'organisation et de coordination d'interventions ciblées. Cependant, comme tout programme implanté à l'intérieur d'un milieu dynamique, il est en constante évolution. Déjà, en 1993, quelques ajustements étaient apportés au programme original révisé en Le présent bilan montre que le PPSDP a un impact important à Montréal en termes de volume d'interventions. En effet, pratiquement tout l'ensemble du réseau scolaire primaire et des élèves de maternelle et de troisième année est touché par des activités de dépistage et d'éducation à la santé. À cela s'ajoute les quelques enfants dits «à risque de carie dentaire» qui sont rencontrés, pour la plupart, deux fois par année pour une séance d'éducation à la santé et l'application d'une mesure préventive efficace. Bien que la plupart des résultats soient très encourageants, notamment l'implication des parents, le nombre d'enfants dépistés et dirigés vers un cabinet dentaire, le nombre d'enfants suivis deux fois par année bénéficiant d'une mesure préventive efficace et le besoin évident de traitement diminuant avec les années de suivi, on note que moins de la moitié des CLSC consacrent le temps prescrit (30 %) à l'intervention auprès des autres clientèles visées par le PPSDP, et que certains d'entre eux n'ont même pas le temps de réaliser toutes les activités de dépistage et de suivi des enfants à risque. Dans le contexte du dépôt du Plan d'action de santé dentaire publique (PASDP), dans lequel le MSSS propose de nouvelles interventions en sus des interventions actuelles, cette situation placera la région de Montréal en difficulté quant à la réussite des objectifs prévus dans le PASDP. En effet, devant l'importance de maintenir des interventions chez les tout-petits, en amont de l'apparition de la carie dentaire, et de mettre en œuvre la dispensation d'agents de scellement dentaire, une mesure préventive reconnue efficace mais non assurée par le programme dentaire de la Régie de l'assurance maladie du Québec, la région de Montréal se retrouvera rapidement dans l'impossibilité de procéder à l'ensemble de ces interventions. Elle devra compter soit sur une consolidation substantielle des ressources locales en hygiène dentaire, soit sur une réorganisation importante des services dentaires en santé publique. 19

31 Montréal Le réseau montréalais de santé dentaire publique fait face actuellement à de nombreux changements de structure et de pratiques susceptibles d'avoir un impact majeur sur les services rendus à la population. En effet, le dépôt du nouveau PASDP par le MSSS et les transformations importantes de tout le réseau de santé influenceront à coup sûr la pratique de la santé dentaire publique à Montréal. Compte tenu des résultats encourageants du présent bilan en termes de volume d'interventions, le réseau de santé dentaire publique devra s'organiser afin de, non seulement, poursuivre l'application des mesures actuelles, mais également, d'élargir le panier de services à d'autres interventions et clientèles pour répondre efficacement aux besoins des jeunes montréalais. 20

32 Annexe 1 Tableaux des principales données administratives demandées

33

34 DONNÉES POUR LE BILAN / MONTRÉAL Formulaire Niveau : Nombre total d'écoles : Nombre total d'enfants : 1. Interventions universelles 1.1 Nombre d'enfants ayant été rejoints par des activités d'éducation à la santé dentaire effectuées de façon universelle (activité de masse) 1.2 Nombre d'enfants dont les parents ont été impliqués dans la conduite d'une approche d'éducation à la santé dentaire effectuée de façon universelle (activité de masse) 1.3 Nombre d'enfants ayant bénéficié d'un dépistage 1.4 Nombre d'enfants dont les parents ont été informés du résultat du dépistage 1.5 Nombre d'enfants dont le dépistage indiquait un besoin évident de traitement 1.6 Nombre d'enfants classés à risque 1.7 Nombre d'écoles impliquées 2. Suivi préventif individuel 2.1 Nombre d'enfants classés à risque pour lesquels une autorisation de conduire un suivi préventif a été demandée 2.2 Nombre d'enfants classés à risque pour lesquels la conduite d'un suivi préventif est autorisée 2.3 Nombre d'enfants suivis individuellement 2.4 Nombre d'enfants pour lesquels un dépistage du besoin évident de traitement de la carie a été effectué 2.5 Nombre d'enfants présentant un besoin évident de traitement ± la carie 2.6 Nombre d'enfants ayant été référés au dentiste pour un besoin évident de traitement de la carie 2.7 Nombre d'enfants ayant visité le dentiste 2.8 Nombre d'enfants ayant bénéficié d'une approche d'éducation à la santé lors de la premièe rencontre 2.9 Nombre d'enfants ayant bénéficié d'une approche d'éducation à la santé lors de la deuxième rencontre 2.10 Nombre d'enfants ayant bénéficié d'une application topique defiuorure lors de la première rencontre 2.11 Nombre d'enfants ayant bénéficié d'une application topique de fluorure lors de la deuxième rencontre 2.12 Nomhre d'enfants dont les parents ont été impliqués dans la conduite d'une approche d'éducation à la santé dentaire 2.13 Nombre d'enfants dont les parents ont été rencontrés dans la conduite d'une accroche d'éducation à la santé dentaire 2.14 Nombre d'écoles impliquées 3. Suivi préventif en petits groupes 3.1 Nombre d'enfants ayant reçu un suivi préventif en petits groupes 23

35 DONNÉES POUR LE BILAN / MONTRÉAL 4. Interventions universelles (hors du niveau scolaire primaire) 4.1 Nombre d'enfants de niveau préscolaire avant été rejoints par des activités d'éducation à la santé dentaire (précis ou estimé) Services de garde Type(s) d'activité(s) : Cliniques d'immunisation Type(s) d'activité^) : Matinées enfantines Type(s) d'activité(s): Prématernelles Type(s) d'activité(s) : Endroits publics (parcs, centres commerciaux, etc.) Type(s) d'activité(s) : Autres, précisez : Type(s) d'activité(s) : 4.2 Nombre d'enfants de niveau secondaire avant été rejoints par des activités d'éducation à la santé dentaire (précis ou estimé) Ecoles Type(s) d'activité^) : Groupes de jeunes Type(s) d'activité(s) : Endroits publics (parcs, centres commerciaux, etc.) Type(s) d'activité(s) : Autres, précisez : Type(s) d'activité(s) : 5. Répartition du temps de travail 5.1 Pourcentage de votre temps consacré au suivi individuel (dépistage, suivi) % 5.2 Pourcentage de votre temps consacré à d'autres activités % Détail (sur 100%) 0-5 ans Éducation de masse, dépistage, autres, précisez : 6-12 ans Rencontres de groupes-classe, campagnes d'éducation, clinique de pédo, autres, précisez : ans Rencontres de groupes-classe, campagnes d'éducation, clinique de pédo, autres, précisez ; Adultes Campagnes d'éducation, autres, précisez: Aînés Centres d'accueil, maintien à domicile, autres, précisez: % % % % % 24

36 Annexe 2 Tableaux 2.1 à 2.6 par CSSS

37

38 Montréal Tableau 2.1. Population totale et dépistée, % d'enfants à risque, % de besoin évident de traitement (BET), niveau maternelle, par territoire de CSSS I CSSS Total des enfants Enfants dépistés Enfants à risque % enfants à risque Besoin évident de traitement (BET) % besoin évident de traitement (BET) (1) Ahuntsic/Montréal-Nord , ,8 (2) Côte-des-NeigesVMétro/ Parc-Extension , (3) Des Faubourgs/ Plateau Mont-Royal/ St-Louis du Parc , ,1 (4) Hoch.-Maisonneuve/ Olivier-Guimond/ Rosemont , ,2 (5) Lac St-Louis 2 /Pierrefonds ,0 47 6,9 (6) LaSalte/du Vieux Lachine , ,1 (7) St-Laurent/Nord de l'île , ,7 (8) Petite-Patrie/Viileray , ,3 (9) Renê-Cassin/ Notre-Dame-de-Grâce , ,8 (10) Rîvière-des-Prairies/ Mercier-Est/Anjou/ Pointe-aux-Trembles , ,7 (11) Pointe St-Charles/ St-Henri/Verdun , ,5 (12) St-Léonard/St-Michel j , ,4 Montréal j , ,8 1 Données d'un seul quartier 2 Aucun service dentaire Source : Bilan des activités du PPSDP, Montréal 27

39 Montréal Tableau 2.2. Population totale et dépistée, % de besoin évident de traitement (BET), niveau 3 e année, par territoire de CSSS CSSS Total des enfants Enfants dépistés Besoin évident de traitement (BET) % Besoin évident de traitement (BET) (1) Ahuntsic/Montréal-Nord I ,4 (2) Côte-des~Neiges 1 /Métro/Parc-Extension ,4 (3) Des Faubourgs (NSP* total des enfants)/ Plateau Mont-Royal/St-Louis-du-Parc ,3 (4) Hochelaga-Maisonneuve {NSP* total des enfants)/ Olivier-Guimond/Rosemont ,7 (5) Lac St-Louis 2 /Pierrefonds I S.O" S.O" (6) LaSalle/du Vieux Lachine ,8 (7) St-Laurent/Nord de l'île ,2 (8) Petite-Patrie/Villeray ,8 (9) René-Cassin/Notre-Dame-de-Grâce ,2 (10) Rivière-des-Prairies/ Mercier-Est/Anjou/ Pointe-aux-Trembles ,5 (11) Pointe-St-Charles/St-HenriA/erdun ,9 (12) St-Léonard/St-Michel ,0 * NSP ; Ne sais pas "S.O. : Sans objet 1 Données d'un seul quartier 2 Aucun service dentaire 3 Données incomplètes Montréal ,6 Source : Bilan des activités du PPSDP, Montréal 28

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