SOLIA INSCRIPTION SUR LE MARCHE LIBRE D EURONEXT PARIS

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1 SOLIA INSCRIPTION SUR LE MARCHE LIBRE D EURONEXT PARIS Capital social avant opération : , divisé en actions de 0,40 de nominal Ouverture du Placement : 24 mai 2007 Clôture du Placement : 7 juin ère cotation : 14 ju in 2007 Prix de souscription : de 13,73 à 15,56 Valorisation pré-money : de 45,7 M à 51,8 M Flottant post opération :entre 8,80% et 9,86% Modalités de l opération : Augmentation de capital de 5 M Compte de résultats et Bilan avant inscription à la cote en e 2008p 2009p 2010p Chiffre d'affaires Résultat d'exploitation Résultat net Marge d'exploitation 21,0% 24,5% 28,3% 28,7% 28,7% 28,9% Marge nette 14,2% 17,1% 18,3% 17,6% 18,0% 18,9% Capitaux propres Trésorerie nette Dettes nettes PER milieu de fourchette 54,0 28,1 17,7 6,9 5,2 4,1 BPA 0,27 0,52 0,83 2,11 2,81 3,55 CFPA 0,32 0,55 0,84 2,14 2,85 3,60 ANPA 1,20 1,73 4,40 8,22 11,85 16,11 Base milieu de fourchette VE/ CA 7,6 4,7 2,8 1,4 1,1 0,8 VE/ REX 36,0 19,4 9,8 4,9 3,7 2,7 ROE 44,4% 50,0% 24,5% 38,5% 33,9% 30,0% ROCE fiscalisé 47,3% 52,4% 55,7% 26,3% 26,5% 27,7% Sources : Société & EFI

2 Actionnariat Nbre d'actions % détenti on Philippe MERLO ,0% Christian DURET ,0% Claudette DURET 1 0,0% Mireille GUICHARD 1 0,0% Blandine MERLO 1 0,0% Sylvie RUIZ 1 0,0% Anne SERRADEIL 1 0,0% TOTAL ,0% Source : Société

3 SOMMAIRE RESUME CONCLUSION P.4 1. LES MARCHES : RESTAURATION RAPIDE OU SNACKING P.6 2. LA SOCIÉTÉ SOLIA P VALORISATION DE LA SOCIETE P.14 CONCLUSION P.20

4 RESUME-CONCLUSION Les modes et les habitudes alimentaires ont beaucoup évolué ces dernières années et la tendance au «nomadisme» alimentaire a prix le pas sur la restauration assise. Snacking, restauration rapide, vente à emporter ont de plus en plus la préférence du consommateur. Cette profonde mutation sociologique dans le comportement alimentaire de l individu imprime sa marque dans l organisation du marché. Le consommateur est maintenant en quête de formules alimentaires rapides, répondant à des besoins nutritionnels actuels, et qui s accordent avec son nouveau mode de vie. Selon des données récentes, le marché du snacking et de la vente à emporter représente un chiffre d affaires de près de 23,5 Md, dont notamment 28% dans les cafés, 23% pour les fast foods, 13% sur les sites de concession (grands stades, multiplex, parcs de loisirs,..), 12% dans les commerces alimentaires (boulangeries, pâtisseries, charcuteries, traiteurs,..) et 10% pour les ambulants. Le marché français enregistre une croissance deux à trois fois supérieure à la restauration traditionnelle et ce sont près de établissements qui proposent des produits de consommation snacking et nomade. Enfin, il faut souligner que le snack salé représente 40% des consommations, le sandwich 23% et le sucré 16%. Dans cet environnement en pleine évolution, qui s habitue aux modes nouveaux de consommation, le packaging devient une donnée essentielle de présentation, léger, solide, souple, facile ouvrable, mais aussi de sécurité et de préservation des produits dans des environnements parfois hostiles. Par ailleurs, la recherche de la simplification, tous en ménageant la praticité et le beau, a fait son entrée dans des habitudes différentes de consommation comme les apéritifs dînatoires. Enfin, la gestion du temps, et donc des coûts, par les traiteurs, leur ont fait préférer des contenants qui se jettent et se recyclent à des contenants qu il faut nettoyer pour les réutiliser, avec tous les risques inhérents aux défauts de nettoyage parfait. La société SOLIA a très bien compris cette évolution et a su mettre en place un outil répondant aux nouvelles sollicitations de la clientèle. En proposant une gamme très large de produits, alliant qualité, robustesse et design, la société s est imposée comme un des leaders du secteur.

5 Aujourd hui, la société SOLIA souhaite dynamiser cette avance et a décidé de faire confiance à la Bourse pour l aider à franchir un nouveau cap dans sa stratégie de développement. En procédant à une augmentation de capital, la société compte se doter des moyens de ses ambitions, en développant de nouvelles technologies, en créant de nouveaux produits et en procédant à des opérations de croissance externe, propres à élargir sa gamme de produits. L international reste aussi un facteur déterminant nécessitant une présence locale afin de pénétrer plus facilement des marchés cibles comme les USA, le Moyen Orient ou l Asie Nous avons valorisé la société par les méthodes traditionnelles et avons abouti à une valeur pré - money de près de 61 M. Après une décote d introduction se situant dans une fourchette de - 15% à 25%, la valeur serait proposé sur la base de 45,7 M à 51,8M, soit un prix par action compris entre 13,73 et 15,76

6 1. LES MARCHES : RESTAURATION RAPIDE OU SNACKING La restauration rapide La restauration rapide est le moteur de la croissance de la restauration commerciale. Le chiffre d affaires de ce secteur a atteint près de 4,1 Md en 2003, avec une progression de +4,8% par rapport à l année précédente, avec des évolutions contrastées, la restauration rapide anglo-saxonne enregistrant des signes d essoufflement alors que la restauration rapide à la française et la restauration livrée (sandwichs et plateaux repas) sont en progression constante et régulière. Le poids des chaînes, qui se portent mieux que les indépendants et un ticket moyen plus accessible expliquent cette situation. Cette dynamique masque néanmoins un certain nombre de difficultés susceptibles de peser sur les perspectives de croissance. Le développement de la restauration rapide a jusqu à présent été consécutif à un effet prix et à une extension du parc qui est proche de la saturation en zone urbaine. Cependant, le secteur fait face à une baisse de fréquentation et les volumes par point de vente reculent. Les raisons de cette baisse sont nombreuses : taux d insatisfaction élevé des consommateurs, standardisation excessive de l offre induisant un effet de lassitude, image de la restauration rapide associée à la «mal bouffe». Elle intervient dans un contexte de concurrence exacerbée caractérisée par l intensification des offres intra-sectorielles (entre enseigne et concept) et au positionnement des acteurs impliqués dans ces marchés, comme les boulangers face aux traiteurs, les supermarchés de proximité qui ouvrent des rayons spécialisés. Même la restauration d entreprise se positionne sur ce segment. Le secteur a beaucoup d atouts mais il doit impérativement se repositionner pour bénéficier d un potentiel de croissance implicite. Parmi les enjeux, la restauration rapide doit rompre avec la mauvaise image nutritionnelle qu elle véhicule, par des menus plus équilibrés et moins caloriques, ou encore moderniser les concepts vieillissant pour contrer les concurrents. Enfin, l accent doit être mis sur des process novateurs dans la restauration livrée, qui semble emporter un succès grandissant, en élargissant l offre pour faire face à une culture du zapping de la part des consommateurs.

7 Le snacking Parallèlement au marché de la restauration rapide, une autre forme de consommation alimentaire est apparue, le marché du snacking. Sous le terme de snacking, on considère généralement tout produit qui ne nécessite pas de consommation à table. Il peut être pris tout aussi bien en dehors des repas réguliers ou à leur place. Cela va généralement du sandwich, à la salade composée, en passant par le snack laitier, le hamburger, la pizza, les biscuits, les plateaux repas, etc. S il est vrai que le snacking reste plus important et fréquent chez les jeunes, il se généralise à toutes les tranches d âges, les hommes autant que les femmes. Selon une récente étude, 70% des actifs prennent un snack pour déjeuner. La raison essentielle en est la réduction de la pause déjeuner. Celle -ci est passée en 20 ans de 1h38 à seulement 38 minutes ; cette tendance s est accentuée avec les 35 heures et la souplesse horaire. Moins de temps passer à déjeuner permet de laisser plus de temps pour faire des courses ou poursuivre son travail. Selon Datamonitor, le poids du marché du snacking en Europe et aux Etats-Unis était estimé en 2005 à plus de 161 Md$. Rien que pour le géant du snacking, le sandwich, la progression des ventes a été de +50% en 10 ans, entre 1990 et 2000, et de +40% en seulement 5 ans entre 2000 et Il s est vendu en France près de 1,4 milliard de sandwich en 2005 (+27% en 2 ans) et 2,4 milliards de sandwichs en Grande- Bretagne la même année. Le marché du snacking bénéficie de fondamentaux solides, développement de la consommation alimentaire hors foyer, déstructuration des repas, contraction de la pause déjeuner, accélération du rythme de vie, explosion de la mobilité. Le snacking est en effet, avec la nutrition-santé, une des tendances les plus porteuses de l alimentaire et représente un levier de croissance et de valorisation de l offre majeur pour les Industries Agro-Alimentaires. Dans un contexte marqué par la montée de l obésité, qui devient un enjeu de santé publique majeur, le principal frein réside dans la mauvaise image nutritionnelle des produits de snacking. Il est donc impératif pour les industries agro-alimentaires de présenter le snacking comme partie d une alimentation équilibrée et variée.

8 Le marché français du snacking connaît une croissance soutenue, comparé à celle de l ensemble de l alimentaire. Certes, la consommation reste encore inférieure à celle constatée aussi bien sur le marché américain que sur les marchés d Europe du Nord. Il existe donc un potentiel de hausse important mais pour assurer cette croissance, il est impératif que le snacking se débarrasse d une image encore négative de «junk food». Comme il a été souligné, le rétablissement positif de l image du snacking peut se faire par la variété et l équilibre mais aussi par un repositionnement de l offre, et donc de la communication qui y est associée, vers une meilleure qualité. Les développements devraient se faire dans un premier temps vers des segments de marché les plus nutritionnellement corrects, comme des snacks laitiers, ou des produits allégés, puis en privilégiant des situations de consommation en remplacement d un repas traditionnel plutôt que des produits de grignotages ou enfin en stimulant la variété par des recettes novatrices et diversifiées. Prix d'un plateau repas 10% 30% 30% 30% Emballage Nourriture Service Divers Pour les Industries Agro-alimentaires, deux leviers de croissance sont aussi à prendre en considération. D une part, l innovation packaging, considérée comme un des éléments clés du succès du snacking : des emballages légers, solides, faciles à ouvrir, facile à transporter, et permettant de retrouver ce qui fait ou faisait le charme d un couvert, avec des plats, des assiettes, des verres et des couverts, le tout facilement transportable mais rappelant des habitudes. D autre part, le référencement dans les circuits dits alternatifs dans la distribution, comme les stations services, la restauration dans l aviation ou catering, la distribution automatique ou encore les boulangeries.

9 Les pratiques autour de l alimentation n ont cessé d évoluer. Actuellement, le développement du «prêt à emporter», comme les sushis, fait qu un ménage sur deux s adonne à la pratique du plateau repas alors qu il n y en avait qu un sur trois en Les apéritifs dînatoires, où chacun mélange sucré et salé, grignote assis en tailleur sur le sol ou debout à côté du buffet, sont à la mode. Les traiteurs, chez qui la bouchée a toujours été reine, font la part belle aux nouveaux contenants. Les verrines, nouvelles formes de dégustation des produits dans un contenant en forme de verre, sont dans la tendance de ces buffets.

10 2. LA SOCIETE Les activités de la société Créée en 1995, la société SOLIA a rapidement perçu les besoins en matière de packaging liés au développement des modes de restauration évoqués dans l analyse des marchés. La société a constaté que les emballages existants jusqu à présent étaient particulièrement basiques, orientés principalement sur le prix et la fonction. SOLIA a donc décidé de mettre au point et commercialiser une gamme de produits innovants et personnalisés, tout en recherchant auprès de partenaires des produits de négoce complémentaires, afin d offrir une palette la plus large possible dans le domaine de la restauration auprès des professionnels. Après avoir repris dans un premier temps une société de thermoformage qui agissait auparavant en tant que sous traitant, les développements d activités de SOLIA ont été particulièrement forts et ont nécessité l appel à d autres sous-traitants. La société a ainsi fait appel à des entreprises localisées aussi bien au Portugal qu en Asie. Elle a pour objectif de rendre dépendant ces derniers. Cette stratégie lui permet de conserver des capacités de rapidité, tout en conservant son savoir-faire. Le point crucial est une exigence sanitaire forte, matérialisée par un cahier des charges extrêmement précis, avec la création d une structure «ad hoc», CONFORME, qui intervient dans la stérilisation ou le lavage d un certain nombre de produits après fabrication. De création récente, cette structure matérialise un engagement total de la société dans toute la chaîne de fabrication et de distribution. Cette approche autorise un maximum de souplesse et une adaptabilité rapide aux demandes du marché. La création des produits, le prototypage et la mise au point des moules restent l apanage de SOLIA. Parallèlement, la société a commencé à créer et à développer des produits complémentaires faisant appel à d autres techniques de transformation (injection, transformation du verre, couverts en inox,..). Aujourd hui, le catalogue de la société est fort de plus de 500 références, permettant aux professionnels de trouver un choix large et diversifié de produits répondant à toutes les attentes. La

11 société est parfaitement consciente du phénomène de mode qui entoure les produits et elle estime que la durée de vie (en terme de design) d un emballage est de l ordre de 1 an à 2 ans maximum. La société SOLIA fait face à deux types de concurrence. D une part, de nombreuses entreprises industrielles sont présentes sur ce marché dans tous les domaines d activités. Ces entreprises détiennent un savoir-faire technique mais ne sont pas en prise directe avec les utilisateurs finaux. Elles sont donc confrontées à une double difficulté : d un côté, elles ne peuvent sortir du mass-market, et de l autre, elles sont limitées dans leurs capacités d innovation, en raison des contraintes de rentabilité rapide des produits. D autre part, il existe de nombreux revendeurs et distributeurs, parmi lesquels on retrouve des «cash& carry» comme METRO ou PROMOCASH ou des distributeurs VPC comme PROJET ou COMATEC. Le marché est particulièrement segmenté, demandant beaucoup d innovation que ces derniers ne peuvent assumer. Ces revendeurs et distributeurs sont très souvent clients de SOLIA. D autres acteurs de taille plus modeste interviennent sur des petits marchés, mais ils n ont de proposition «full service» comme peut l avoir la société SOLIA. Ils pourraient donc intéresser la société, dans une approche de complément de gamme. Les barrières à l entrée sont donc fortes et assurent ainsi le positionnement de la société SOLIA, qui bénéficie aussi d une forte notoriété et d une fidélité importante de ses clients. Les données chiffrées Actuellement, le chiffre d affaires est réalisé à hauteur de 87% en France, où la croissance est de 50%, et à l International pour 13%, avec une croissance de 100%. D ici 5 ans, l objectif de la société est d atteindre un équilibre entre la France et l International, en capitalisant sur la notoriété de la société, qui véhicule une image forte, en utilisant l effet de levier des salons & expositions pour s identifier auprès des distributeurs et asseoir ainsi son savoir-faire et sa gamme de produits. La société est aussi en phase de recherche de clients directs ou de grosses structures de restauration ou de distribution, type METRO. Concernant ce dernier, la société SOLIA estime qu il existe un très gros potentiel sur l Europe, avec des créations de marché «ex nihilo». En terme de produits, le chiffre d affaires est réalisé à hauteur de 35% dans le thermoformage, 35% dans l injection, et 30% dans les cartons et autres produits. La société SOLIA travaille sur des produits qui soient intégralement recyclables, et développe des produits qui puissent être biodégradables. Ainsi, l accent est mis vers des gammes à base de bambous d amidon.

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13 L orientation de la société est d une part de suivre les besoins manifestés par les clients, voire de les anticiper, en ayant une approche de la technologie la mieux adaptée, et d autre part tirer l ensemble des produits vers du haut de gamme, par utilisation de préférence de l injection, ce qui génère un niveau de marge plus élevée. En effet, tout ce qui est innovant induit une croissance de la consommation ; c est la raison pour laquelle la société SOLIA cherche à créer 10% de nouveaux produits par an. La société a par ailleurs offert la possibilité de commander par internet, en B to B, mais ne souhaite pas s investir dans une VPC classique. SOLIA considère le web plus comme une vitrine de ses produits, car chacun de ses clients bénéficie d un interlocuteur privilégié. CA (en K ) Source : Société & EFI La matière première intervenant pour environ 30% du prix de vente, la société est extrêmement stricte sur la gestion de ces coûts, et si cette dernière devenait trop chère, SOLIA envisagerait le recours à des produits de substitution. Pour accompagner son très fort développement commercial, la société a prévu un plan d embauche assez fort. Selon les informations communiquées par la société, elle comptera 44 collaborateurs en 2007 et ce chiffre devrait monter entre 77 et 84 personnes en En conséquence, la marge d exploitation, qui enregistre une croissance particulièrement forte entre 2005 et 2007, devrait continuer à croître mais à un taux beaucoup plus faible. En matière d IS, la société est normalement fiscalisée au taux de 33,3%. Le résultat net prend en considération les frais financiers d une acquisition potentielle, financée par recours à l endettement sur une durée de 7 ans.

14 30,0% 28,3% 28,7% 28,7% 28,9% 29,0% 29,2% 25,0% 24,5% 20,0% 21,0% 17,1% 18,3% 17,6% 18,0% 18,9% 19,2% 19,3% 15,0% 14,2% 10,0% Marge d'exploitation Marge nette Source : Société & EFI La gestion du BFR est aussi au centre des préoccupations de la société SOLIA. En effet, la recherche de nouveaux sous traitants, intervenant dans des domaines comme le bambou ou le verre, induit très souvent des modalités de paiement plus rapides, nécessitant un financement partiel de ce BFR. Une fois que les premières commandes sont livrées, la société cherche à allonger les délais de règlement. Elle gère ses stocks en conservant un encours représentant en moyenne 2 mois de CA. Ce niveau de stocks est bien entendu proportionnel au chiffre d affaires et s explique aussi par une certaine saisonnalité de certains produits. Enfin, les immobilisations corporelles sont constituées d une part d une partie des moules (l autre partie étant comptabilisée directement en charge) nécessaires à la fabrication des produits, d autre part des racks de stockage et de matériels divers Excédent ou Endettement financier net (en K ) Source : Société & EFI

15 3. VALORISATION DE LA SOCIETE Préambule Spécialiste du packaging à usage unique, la société SOLIA se positionne aujourd hui comme un des leaders dans le secteur de l emballage spécifique, en développant une gamme complète destinée au marché de la restauration. La société a depuis sa création en 1995, enregistré des croissances d activités très significatives et veut désormais accélérer son développement afin d asseoir son positionnement sur les marchés. Pour valoriser la société, nous avons fait appel aux méthodes classiques, à savoir les comparables et l actualisation des cash flows futurs. L avantage d une utilisation conjointe de ces méthodes est l utilisation de soldes intermédiaires de gestion différents, comme le résultat net, le résultat d exploitation ou encore l excédent brut d exploitation. La dernière méthode, dite des valeurs de rentabilité, s applique à des sociétés enregistrant des croissances significativement fortes de résultats et dont le capital est détenu par quelques mains. Pour les comparables, nous avons sélectionné un certain nombre de valeurs cotées, travaillant dans les mêmes domaines d activités que la société SOLIA ou des domaines très proches. Ces sociétés sont les suivantes : Groupe Guillin, qui figure parmi les principaux fabricants européens d emballages plastiques alimentaires et d équipements de livraison conditionnée. CA 2005 : 247,3 M Huhtamaki Group, qui se considère comme le leader dans l emballage, et développe des gammes diverses de gobelets, couverts, et barquettes, avec une orientation vers les marchés de grandes consommations. CA 2006 : M PSB Industrie, société holding organisée en 3 pôles, la fabrication d emballages pour parfums et cosmétiques, la conception et la fabrication d emballages sur mesures, et la fabrication de produits chimiques de spécialités,. CA 2006 : 199,2 M. Pactiv Corp (USA), société spécialisée dans la fabrication d emballages pour les produits alimentaires et les services aux consommateurs. CA 2006 : M$.

16 Ball Corp (USA) fabrique des emballages à base de métal et de plastique pour les boissons, les produits alimentaires et les produits ménagers. CA 2006 : M$ Sonoco Products Co. (USA) conçoit et fabrique des emballages à destination de l industrie et des consommateurs finaux. CA 2006 : M$ Sealed Air Corporation (USA) produit et vend une large gamme de produits d emballage de protection pour l alimentation ou les denrées périssables. CA 2006 : M$ Nous n avons pas retenu des concurrents comme le groupe Autobar ou le groupe Duni, qui ne sont pas cotés.

17 Méthode des comparables Par les PER Pour l ensemble des valeurs de notre échantillon, nous avons recherché ou calculé les PER attendus sur les exercices 2007 à La moyenne des ces PER a été affecté e d une décote de capitalisation, due à la taille des sociétés de référence. Ces nouveaux ratios ont été appliqués aux estimations de résultat de la société SOLIA et la moyenne des valorisations induites aboutit à une valeur de 62,27 M. PER Groupe Guillin 12,0 11,3 10,1 Huhtamaki 13,4 11,8 10,9 PSB Industries 13,7 12,4 12,5 Pactiv Corp 18,5 16,7 16,0 Ball Corp 15,2 13,6 13,1 Sonoco Products Co. 17,9 16,3 15,8 Sealed Air Corp. 19,2 16,9 14,6 Moyenne des PER 15,7 14,1 13,3 Décote de capitalisation 11,0 9,9 9,3 RN de SOLIA Valorisation induite Moyenne des valorisations Source : EFI Par les VE/REX Comme pour la méthode précédente, nous sommes partis de notre échantillon, pour lequel nous avons établi le ratio Valeur d entreprise sur résultat d exploitation. Nous avons là aussi appliqué une décote de capitalisation, car la valeur d entreprise inclut la capitalisation boursière, et nous avons multiplié ces nouveaux ratios par les estimations de résultat d exploitation de la société SOLIA. La moyenne des valorisations induites s établit à 71,12 M.

18 VE/REX Groupe Guillin 9,0 8,3 7,2 Huhtamaki 13,2 11,8 10,6 PSB Industries 10,5 9,6 8,5 Pactiv Corp 12,6 10,3 8,8 Ball Corp 11,0 10,5 9,8 Sonoco Products Co. 12,4 10,9 9,9 Sealed Air Corp. 11,7 10,6 9,8 Moyenne des PER 11,5 10,3 9,2 Décote de capitalisation 8,0 7,2 6,5 REX de SOLIA Valorisation induite Moyenne des valorisations Source : EFI Valeur de Rentabilité Cette méthode s applique pour des valeurs qui enregistrent des croissances fortes de leur résultat net, ce qui est le cas pour la société SOLIA, et dont le capital est entre quelques mains. Elle consiste à calculer un résultat net moyen pondéré par application d un coefficient dégressif de pondération et à appliquer à ce RNMP un coefficient de capitalisation, assimilable à un PER pour des sociétés cotées. Concernant la société SOLIA, nous avons pris en compte un coefficient de capitalisation de 12,5x, reflétant assez bien les attentes du marché à l égard du secteur. Dans ces conditions, la valeur induite de la société s établit à 65,98 M, à peu près à mi-chemin entre les deux valeurs obtenues par les méthodes précédentes. Valeur de rentabilité RN de SOLIA Pondération Total RNMP Coefficient de capitalisation 12,5 Valeur induite Source : EFI

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20 Méthode de l actualisation des cash flows futurs Nous sommes partis du business plan communiqué par la société, et que nous avons prolongé afin qu il rentre dans notre horizon de calcul. A cette fin, nous avons pris un certain nombre d hypothèses : Croissance du CA de 20% en 2010 et 2011 puis de 15% à partir de Croissance régulière de la marge brute, liée d une part à une bonne maîtrise des coûts, et d autre part aux effets de la croissance du CA qui ne se traduisent pas mécaniquement par une hausse des charges qui y sont attachées. Taux d IS normal. Investissements industriels de 100 K la première année, en croissance de 5% par an ensuite. Le Coût Moyen Pondéré du Capital a été calculé à partir du taux sans risque, l OAT 10 ans, actuellement à 4,21%. Nous avons pris une prime de risque de 10%, qui traduit d une part l ancienneté de la société sur son marché (plus de 12 ans) et d autre part, le positionnement unique en terme de produits de cette dernière. Cette prime de risque a été affectée d un coefficient bêta de 1,5x, moyenne des sociétés qui s introduisent sur le marché. La société étant en trésorerie positive, le CMPC s établit en conséquence à 19,21%. Taux sans risque 4,21% Prime de risque 10,00% Bêta 1,500 Coût du capital 19,21% Source : EFI CA EBE (EBITDA) Marge EBE/CA 28,6% 28,9% 29,0% 29,2% 29,3% 29,4% 31,2% 33,1% 35,1% 37,2% Impôt cash taux d'imposition 35,4% 35,4% 35,4% 33,3% 33,3% 33,3% 33,3% 33,3% 33,3% 33,3% EBE après impôt Investiss. Industr Var BFR Cash-flow libre DFCF Source : EFI

21 En admettant un taux de croissance à l infini de 1%, la valeur induite de la société s établirait à 64,05 M. Afin de tenir compte des aléas des choix de facteurs rentrant dans le calcul de cette valeur, à savoir le taux de croissance à l infini et le coefficient bêta, par son implication dans le CMPC, nous avons établi une matrice de sensibilité à ces deux éléments. La moyenne des valeurs ressort à 64,41 M. Taux de croissance à l'infini CMPC 0,0% 0,5% 1,0% 1,5% 2,0% 18,21% ,21% ,21% Moyenne Source : EFI

22 CONCLUSION Moyenne des PER Moyenne des VE/REX Valeur de rentabilité Moyenne des DCF Moyenne générale Augmentation de capital Valeur prémoney Source : EFI Si l on rapproche toutes ces méthodes de valorisation, nous pouvons établir que la valeur moyenne de la société SOLIA serait de 65,95 M, soit en arrondissant, 66 M post money. Les calculs et le business plan ont été établis en tenant compte des effets d une augmentation de capital de 5 M. Si l on déduit ce montant de la valeur post-money, nous aboutissons à une valeur pré-money de 60,95 M, ou 61 M arrondi. Une introduction en Bourse pourrait s envisager moyennant une décote d introduction comprise entre -15% et -25%, décote liée au secteur d activité dans lequel intervient la société SOLIA. Le prix offert à la souscription pourrait alors s établir entre 45,7 M et 51,8 M, donnant un prix par action de 13,73 à 15,56. En prenant le milieu de la fourchette, le niveau de prix se traduirait par un PER 2007 de 17,7x les résultats estimés, un peur supérieur à la moyenne du marché mais compatible avec les perspectives de croissance développées par la société. Pour 2008, le PER serait simplement de 6,9x les résultats, laissant entrevoir un beau potentiel de progression dans un horizon de temps assez court. Contact : EFI Securities Tél : Mail : securities@efi.fr

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