L entrepreneuriat. L oxygène de notre savoir et du développement régional. Titre du projet :
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- Timothée Latour
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1 L entrepreneuriat L oxygène de notre savoir et du développement régional Titre du projet : Évaluation de la culture entrepreneuriale dans les établissements collégiaux de la Mauricie et pistes d'action Présenté par : Alain Rivard, chargé de projet Centre de développement d entreprises Cégep de Trois- Rivières
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3 TABLE DES MATIÈRES TABLE DES MATIÈRES... 3 LISTE DES TABLEAUX... 4 LISTE DES FIGURES... 5 PRÉAMBULE... 6 REMERCIEMENTS... 7 CONTEXTE GÉNÉRAL... 8 OBJECTIFS... 9 APPROCHE DU RECENCEMENT... 9 Différentes perspectives d analyse favorisées MÉTHODOLOGIE Questionnaires Planification des rencontres RÉSULTATS Partie 1 : les valeurs, les orientations des collègues qui sont identifiées à l entrepreneuriat...18 Analyse Partie 2 : les activités entrepreneuriales Partie 3 : L environnement interne et externe des collègues Partie 4 : L approche pédagogique entreprenante ou à valeur entrepreneuriale CONSTATS ET RECOMMANDATIONS : CONCLUSION ANNEXES BIBLIOGRAPHIE Page
4 LISTE DES TABLEAUX TABLEAU 1 Statistiques sur les rencontres et les personnes interrogées ayant participé à l étude TABLEAU 2 Les catégories d activités entrepreneuriales TABLEAU 3 Types d activités entrepreneuriales TABLEAU 4 L activité entrepreneuriale et cheminement scolaire TABLEAU 5 Autres activités entrepreneuriales TABLEAU 6 Exemple d activités entrepreneuriales TABLEAU 7 Clientèle participante issue de quels programmes ou services TABLEAU 8 Connaissance de la pédagogie entrepreneuriale TABLEAU 9 Utilisation de la pédagogie entrepreneuriale TABLEAU 10 L apprentissage responsabilisant : l étudiant prend en charge, s approprie certains apprentissages TABLEAU 11 L apprentissage expérientiel : moins de théorie, plus d apprentissages actifs et appliqués selon des expériences réelles TABLEAU 12 L apprentissage coopératif : apprendre les uns des autres, partager des tâches d apprentissage TABLEAU 13 L apprentissage réflexif : tirer les leçons de l expérience, rétroaction sur les apprentissages Page
5 LISTE DES FIGURES FIGURE 1 Stade du parcours scolaire et de la dimension entrepreneuriale FIGURE 2 Le processus entrepreneurial, inspiré de Bruyat et Julien (2000) FIGURE 3 Les perspectives d analyse FIGURE 4 Analyse selon les phases du processus entrepreneurial les activités FIGURE 5 Analyse selon les phases du processus entrepreneurial nombre de participants Page
6 PRÉAMBULE Dans un recensement des activités entrepreneuriales publié au printemps 2011, nous avions notamment conclu que le milieu de l enseignement devrait promouvoir des objectifs en entrepreneuriat et traduire ces objectifs en actions concrètes, aidant ainsi à stimuler l entrepreneuriat dans les différents territoires de la Mauricie. Le recensement des activités entrepreneuriales dans les collèges permet une meilleure réflexion sur l intensité et la répartition des activités entrepreneuriales. Il va aider les collèges à mieux cibler les efforts à entreprendre dans une démarche structurée de développement de l entrepreneuriat local et régional. Ce recensement des activités entrepreneuriales en Mauricie a été possible grâce au soutien financier de la Table régionale d éducation de la Mauricie (TREM) ainsi que du Cégep de Trois- Rivières, du Collège Laflèche et du Collège de Shawinigan. 6 Page
7 REMERCIEMENTS En tant que responsable de ce projet, je remercie le Cégep de Trois- Rivières pour la réalisation de ce mandat. J aimerais souligner de façon particulière les efforts consentis des trois collèges. Bien que je les aie interpelés en fin d année scolaire, tous les enseignants, conseillers pédagogiques, responsables des départements et membres de la direction ont avec gentillesse accepté de me consacrer du temps, malgré leurs horaires chargés. Nous remercions aussi certains chercheurs et praticiens en Mauricie et ailleurs. La région est pourvue de plusieurs personnes qui ont à cœur le développement de l entrepreneuriat. Plusieurs de ces rencontres ont contribué aux réflexions menant à cet ouvrage. Par leur expertise et leurs commentaires, ils ont permis d'enrichir notre travail. Notamment, je tiens à remercier M. Ghislain Samson, Ph. D. professeur au Département des sciences de l éducation de l Université du Québec à Trois- Rivières ainsi que messieurs Denis Morin, directeur- conseil en entrepreneuriat à la Commission scolaire de l Énergie et au ministère du Conseil exécutif secrétariat à la jeunesse, et Rino Lévesque, cofondateur et chargé de développement pour l Organisation internationale des écoles communautaires entrepreneuriales conscientes (OIECEC) pour leurs réflexions. En terminant, nous remercions toutes les personnes qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de ce recensement, lequel, nous le souhaitons, sera utilisé lors de la planification des activités touchant le développement de l entrepreneuriat au niveau collégial. Alain Rivard Chargé de projet 7 Page
8 CONTEXTE GÉNÉRAL Plusieurs études continuent de prouver l'existence d'une relation étroite entre la présence d'activités entrepreneuriales et la croissance économique d'un territoire. À l inverse, comme l ont démontré P.- A. Julien et L. Cadieux 1, l'absence d'un tissu entrepreneurial fort constitue un obstacle au développement socio- économique d'une région. Dans ce contexte, nous comprenons dans quelle mesure, en Mauricie, la carence entrepreneuriale peut nuire à la capacité de contrer les effets de la forte concurrence liée à la mondialisation et à la libération des marchés, tout autant qu elle puisse favoriser la fermeture d usines ou le déménagement de certains employeurs. Dans un recensement des activités entrepreneuriales publié au printemps 2011, nous avons conclu que le milieu de l enseignement devrait s établir et promouvoir des objectifs en entrepreneuriat et traduire ces objectifs en actions concrètes pour stimuler les différents territoires de la Mauricie vers le développement de l entrepreneuriat, soit à l intérieur de ces murs, dans des cours, des programmes d études, mais aussi en devenant un environnement stimulant axé sur l entrepreneuriat. Ainsi, avec l aide des organisations de premières lignes (CLD, SADC, CDRCQM, etc.), il faudrait bonifier l entrepreneuriat dans tout le milieu scolaire, par exemple par des témoignages d entrepreneurs dans les classes, des visites d entreprises et des dirigeants, des microstages d une journée en petites entreprises, la reconnaissance des étudiants engagés dans des activités entrepreneuriales, etc., bref, intégrer l entrepreneuriat dans les programmes et dans les activités hors programme. Cette étude précisait aussi que dans un contexte où la clientèle étudiante est captive et réceptive à l entrepreneuriat, il faut que les activités qui permettent de développer une attitude ou des aptitudes à l entrepreneuriat soient soutenues de façon appropriée sur le plan des ressources humaines. Le milieu scolaire, en collaboration avec les différents partenaires socio- économiques, pourrait prendre une plus grande part pour bonifier cette étape importante du développement de l entrepreneur. Il nous apparaît primordial de mettre l accent sur des activités d éducation, de mobilisation et d orientation pour augmenter les habiletés et les aptitudes à entreprendre et pour bonifier les effets sur les démarrages d entreprises. Ajoutons à cela que, selon le défi de l entrepreneuriat jeunesse, même si les élèves ne comprennent pas toujours à quoi leur servira la matière académique qu ils acquièrent en classe, se voir imposer un cours sous forme d un projet entrepreneurial a, dans le temps, un impact sur leur motivation et leur persévérance. Dans le passé, beaucoup d efforts et d énergie ont été consacrés à établir le tableau et développer les initiatives entrepreneuriales au primaire et au secondaire. Mis à part le concept des «clubs entrepreneurs» et les cours de démarrage d entreprise, les efforts ont été moins systématiques au niveau collégial. En Mauricie en particulier, nous ne disposons d aucun tableau permettant de répertorier les initiatives existantes. Il est donc difficile de proposer un plan d action systémique. Dans ce contexte, ce projet constituera un effet de levier important pour 1 P.- A. JULIEN et L. CADIEUX, La mesure de l entrepreneuriat, Rapport d étude, Institut de la statistique du Québec, Page
9 permettre aux collèges de la région de prendre conscience de leur réalité actuelle et de s engager fermement dans la promotion et le développement de la culture entrepreneuriale au niveau collégial. Il permettra à chaque établissement de compter sur un état de situation et de trouver des pistes d action permettant d accélérer la mise en place d une culture entrepreneuriale forte dans les collèges de la région. OBJECTIFS La Mauricie semble être de plus en plus animée par l entrepreneuriat. Beaucoup d organisations emboîtent le pas et favorisent une multiplication d idées qui stimulent l entrepreneuriat. Notre travail a pour objectif d identifier les activités entrepreneuriales dans les établissements d enseignement collégiaux (Collège Laflèche, Cégep de Trois- Rivières et Collège Shawinigan) pour définir un portrait plus précis des efforts consentis qui contribuent à favoriser l entrepreneuriat, notamment avec les objectifs suivants : Faire le portrait de l état d avancement de la culture entrepreneuriale dans les collèges de la Mauricie; Décrire les activités et les orientations des collèges en matière d entrepreneuriat; Mesurer l offre de service des collèges mauriciens en matière d entrepreneuriat par rapport aux besoins régionaux identifiés; Évaluer le potentiel d un modèle comme celui des écoles communautaires entrepreneuriales conscientes (ECEC) et sa pertinence dans un contexte collégial; Proposer des pistes d action aux collèges de la Mauricie afin d assurer le développement de leur culture entrepreneuriale. APPROCHE DU RECENSEMENT Bien que ce contexte soit sensiblement nouveau, nous avons identifié qu il y a des modèles qui émergent au niveau primaire et secondaire dans le développement de l entrepreneuriat, notamment avec les écoles communautaires entrepreneuriales conscientes 2. Nos recherches ne nous ont pas permis de trouver un cadre d analyse qui s est intéressé à ce potentiel dans un contexte collégial. Dans un contexte économique où l entrepreneuriat est de plus en plus présent, il nous a paru important de souligner qu aucun modèle ou cadre théorique n a encore été réalisé pour le niveau collégial. Selon Surlemont et Kearney 3, l esprit d entreprendre se retrouverait principalement dans l enseignement préscolaire, primaire et secondaire, tandis que l esprit d entreprise devrait se retrouver dans l enseignement supérieur. Loin d être hermétique, cette nuance nous indique qu au niveau collégial et à la formation continue, nous sommes plus dans un contexte d enseignement de compétences spécifiques (esprit d entreprise). 2 R. LÉVESQUE, École communautaire entrepreneuriale; clé indispensable au développement durable, Cahier de recherche n : , B. SURLEMONT et P. KEARNEY, Pédagogie et esprit d entreprendre, de Boeck, 2009, p Page
10 Le développement de l entrepreneuriat se passe à tous les niveaux d enseignement. Plus on se rapproche de l enseignement supérieur, plus la formation sera spécifique, notamment à la manière de créer et de gérer. Figure 1 : Stade du parcours scolaire et de la dimension entrepreneuriale 4 Enseignement maternel Enseignement primaire Enseignement secondaire Enseignement supérieur Formation continue ESPRIT D ENTREPRENDRE Savoir- être Savoir- faire Savoir ESPRIT D ENTREPRISE Même si l un des objectifs de l étude était d évaluer le potentiel d un modèle comme celui des écoles communautaires entrepreneuriales conscientes et sa pertinence dans un contexte collégial, nous avons décidé de ne pas utiliser ce cadre conceptuel, ce dernier étant difficilement applicable intégralement pour le milieu collégial. Malgré tout, plusieurs des éléments analysés touchent de près ou de loin certains des éléments de ce modèle. Si l entrepreneuriat correspond à un «ensemble de qualités et d attitudes qu on associe habituellement à l esprit d entreprise» 5, comment développe- t- on l esprit d entreprise? Selon nos lectures, cet esprit d entreprise se retrouve dans un processus par lequel, tout au long de sa vie, l individu va consciemment ou non développer certaines de ces capacités à entreprendre. Comme l illustre la figure 2, le processus entrepreneurial est défini par les cinq principales phases suivantes : 1. encourager la culture entrepreneuriale; 2. la génération d entrepreneurs ou d intrapreneurs; 3. la création d entreprises; 4. le support des premières années (0-5 ans); 5. le transfert, la relève d entreprise. La phase 1, nommée «encourager la culture entrepreneuriale», correspond à la période au cours de laquelle les activités mises en place ou existantes ont pour objectif de conscientiser la population en général de la valeur ajoutée des activités entrepreneuriales. Dans cette perspective devraient principalement s y retrouver des activités d information et de 4 B. SURLEMONT et P. KEARNEY, Pédagogie et esprit d entreprendre, de Boeck, 2009, p Gouvernement du Québec, Invitation à la culture entrepreneuriale : Guide d'élaboration de projet à l'intention du personnel enseignant. 2006, p Page
11 communication de la culture en entrepreneuriat au sens large. Les activités s adressent ici à un plus grand public et elles ont pour objectif de stimuler ou d encourager l entrepreneuriat chez la population en général. La phase 2, intitulée «former des entrepreneurs, des intrapreneurs», correspond aux activités qui ont pour objectif de conscientiser tout individu à son potentiel entrepreneurial (traits, motivations, compétences). Durant cette phase, les activités mises en place ou existantes tentent d influencer, d orienter ou de mobiliser une clientèle beaucoup plus ciblée. Dans cette perspective, des activités de mobilisation ou de sensibilisation devraient s y retrouver, de même que certaines activités de formation et d enseignement. Plus spécifiquement, les activités liées à cette phase du processus entrepreneurial se situent avant le démarrage d une entreprise, puisqu elles s adressent à l intention ou au désir d entreprendre. On réfère ici aux activités visant le développement des valeurs, des attitudes ou valorisant le métier d entrepreneur. La phase 3, nommée «création d entreprises», correspond à la période au cours de laquelle l individu est dans un processus concret de mise en œuvre d un projet lié à sa carrière entrepreneuriale. Dans cette perspective, nous y retrouvons les activités s adressant à des entrepreneurs dans un processus de prédémarrage ou en démarrage, ainsi que les activités d accompagnement, d aide à la rédaction de plan d affaires, de financement ou les formations conduisant à un démarrage d un projet d affaires. L idée d affaires est, à cette étape, bien ancrée puisqu il s agit de sa mise en œuvre réelle et concrète. La phase 4, «supporter les premières années (0-5 ans)», correspond à la période pendant laquelle l individu est activement un entrepreneur, donc a entrepris sa carrière entrepreneuriale. Durant cette phase se trouvent des activités et des mesures qui favorisent la survie et la croissance des entreprises déjà existantes dans leurs premières années d existence (0-5 ans). Plus concrètement, durant cette phase, l entrepreneur est dans un processus d apprentissage de son métier d entrepreneur. Figure 2 : Le processus entrepreneurial, inspiré de Bruyat et Julien (2000) 11 Page
12 Enfin, la phase 5, intitulée «transfert et relève d entreprise», correspond à la période au cours de laquelle l entrepreneur cherche à assurer la pérennité de son entreprise, incluant nécessairement l arrivée d un nouvel entrepreneur qui opte pour la carrière par le biais d une reprise. Dans cette perspective, cette phase inclut des activités s adressant tant aux cédants qui sont en fin de parcours qu aux repreneurs qui sont dans une logique plus entrepreneuriale dans le sens pur du terme. Les activités d accompagnement, de financement et de conseils dédiés aux releveurs d entreprises sont des exemples d activités mises en place qui, quelques fois, s adressent à l'une ou à l autre des parties prenantes, ou les deux à la fois. Tout ce processus est influencé par un environnement (politique, économique, social, légal ou technologique) sur lequel nous n avons peu ou pas d influence et des actions des acteurs composant le milieu par lequel le futur entrepreneur sera ou non influencé. Le milieu est donc la clé permettant de favoriser l entrepreneuriat, l intrapreneuriat. Notre analyse va ainsi identifier qu elles sont, dans les collèges, les pratiques et les activités en matière d entrepreneuriat. Plus loin, nous présenterons les éléments qui nous sont apparus comme importants et pouvant favoriser le milieu et la culture de l entrepreneuriat et de l intrapreneuriat au niveau collégial. DIFFÉRENTES PERSPECTIVES D ANALYSE FAVORISÉES Sans proposer un modèle ou un cadre conceptuel pour le milieu collégial, nous avons abordé l entrepreneuriat sous différents axes pour nous permettre d y voir plus clair et de répertorier les pratiques en entrepreneuriat. Ce recensement nous permet de prime abord de quantifier et de qualifier les activités entrepreneuriales et les pratiques des différents collèges de la Mauricie. De cette façon, nous permettons aux trois collèges participants de réfléchir, selon leur mission, mais aussi selon leur vision du développement de l entrepreneuriat, à des pistes d amélioration ou à des services mieux ciblés tout au long du processus entrepreneurial. Par conséquent, hormis l étape qui consiste à inventorier les différentes interventions réalisées par les trois collèges, nous avons choisi d inclure d autres indicateurs pour nous permettre de poser un regard plus objectif sur les résultats. Nous avons questionné et analysé trois dimensions de l entrepreneuriat au niveau collégial, soit : 1. Les activités entrepreneuriales; a. dans les programmes, b. au niveau parascolaire, c. aux services aux étudiants, d. aux services aux entreprises. 2. L environnement interne et externe des collèges; a. Les valeurs et les orientations des collèges qui sont identifiées à l entrepreneuriat, b. les ressources internes disponibles ou favorisant l entrepreneuriat, c. le support externe, relation avec le milieu. 3. L approche pédagogique entreprenante ou à valeur entrepreneuriale. 12 Page
13 MÉTHODOLOGIE Comme nous venons de le voir précédemment, pour réaliser le mandat, nous avons divisé l étude en quatre grands blocs d analyse (l ensemble du recensement concernait l année scolaire ) : Nous avons débuté par analyser les grilles des programmes pour les trois collèges afin d identifier s il y avait des cours ou des projets de fin d études rattachés au développement de l entrepreneuriat. Pour chacun des collèges, nous avons rencontré un responsable capable de nous confirmer les résultats de l étape précédente, en plus d identifier les responsables de ces projets. Nous avons complété les rencontres en passant un questionnaire nous permettant d identifier d autres ressources ou certaines autres activités associées au développement de l entrepreneuriat. Figure 3 : Les perspectives d analyse Les acyvités entrepreneuriales L'approche pédagogique Environnement favorable : mission, valeur au collégial, les services, etc. À partir des deux étapes précédentes, nous avons effectué une série de rencontres avec notamment des enseignants, des chargés de projet et des responsables des différents collèges, pour aller plus en profondeur et recenser les activités entrepreneuriales avec les gens concernés. Enfin, nous avons réalisé deux sondages Web, l un destiné aux enseignants et l autre aux différents conseillers pédagogiques des établissements. Comme le résume le tableau 1, nous avons tenu une cinquantaine d entrevues individuelles (téléphoniques et en personne). Plus précisément, pour chacun des axes d analyse, nous avons 13 Page
14 procédé de manière méthodique, avec différents questionnaires, qui se retrouvent en annexe du rapport. Nous reprenons les quatre axes avec les éléments d analyse : 1. LES VALEURS, LES ORIENTATIONS DES COLLÈGES QUI SONT IDENTIFIÉES À L ENTREPRENEURIAT Pour mesurer les intentions des collèges par rapport à l entrepreneuriat, nous avons analysé la mission éducative à travers les documents institutionnels disponibles, notamment les projets éducatifs, les plans stratégiques, les plans de persévérance, les plans de réussite, les rapports annuels de l année scolaire , etc. Dans ces documents, nous cherchions l implication des collèges dans l entrepreneuriat à travers des valeurs, des intentions, des mesures ou des actions de développement. Tableau 1 Statistiques sur les rencontres et les personnes interrogées ayant participé à l étude Catégorie Nombre Rencontres et entretiens téléphoniques Deux sondages Web 50 entrevues 130 enseignants 8 conseillers pédagogiques 2. LES ACTIVITÉS ENTREPRENEURIALES Cet axe d analyse présente les activités et les pratiques entrepreneuriales pouvant avoir un impact sur le développement de l entrepreneuriat au niveau collégial. Puisqu un des objectifs de ce travail est d inventorier les activités entrepreneuriales mises en place au niveau collégial, nous avons opté pour la catégorisation suivante des activités et des pratiques. Le tableau 2 résume les six catégories d activités entrepreneuriales. Tableau 2 Les catégories d activités entrepreneuriales Catégories Définitions Exemples d activités Accompagnement Éducation/ Formation Toute aide technique apportée pour le développement de la culture entrepreneuriale ou de l entrepreneuriat. Atelier de perfectionnement, cours offert aux étudiants qui développent le potentiel entrepreneurial, formation continue offerte pour les entrepreneurs. Validation du potentiel de projets entrepreneuriaux, soutien dans le développement d idées d affaires et du plan d affaires, aide technique servant à soutenir l entrepreneur dont l entreprise a déjà été démarrée, mentorat d affaires, coaching par un externe, etc. Cours sur la rédaction de plan d affaires, atelier sur le potentiel entrepreneurial, AEC démarrage d entreprise, etc. 14 Page
15 Évaluation/ Sondage Financement Information Mobilisation/ Sensibilisation Toute action permettant d évaluer, de qualifier, de quantifier ou d étudier un groupe donné. Toute aide financière accordée en sensibilisation, en prédémarrage, bourses, concours récompensant l idée d affaires, etc. Rencontres, activités, parutions électroniques ou papier, au cours desquelles des renseignements sur la culture entrepreneuriale ou sur l entrepreneuriat sont communiqués. La sensibilisation à l entrepreneuriat consiste à une prise de conscience des étudiants et des enseignants à l esprit entrepreneurial ainsi qu'au développement de ces caractéristiques. La mobilisation à l entrepreneuriat se qualifie par la convocation de personnes, l appel à un groupe de personnes pour une cause commune ou en le déploiement d énergie pour accomplir un but commun. Sondage téléphonique pour connaître les opinions des étudiants sur l entrepreneuriat, rapports d évaluation à la suite d une conférence, etc. Microcrédit, bourses de la fondation, etc. Blogue, parution dans les médias, valorisation de l entrepreneuriat, rencontre formelle d enseignants pour discuter de l entrepreneuriat, etc. Concours québécois en entrepreneuriat, forum, colloque, association des clubs entrepreneurs étudiants, Place aux jeunes, Chambres de commerce, activités de réseautage, etc. Pour avoir une meilleure représentation des activités entrepreneuriales, nous avons qualifié les activités entrepreneuriales selon deux indicateurs : Le nombre de participants aux activités entrepreneuriales : le nombre total de participants, excluant ceux qui n étaient pas ciblés par les activités entrepreneuriales. Aussi, dans le cas d entrepreneuriat collectif, nous avons calculé uniquement ceux qui ont participé à l activité. Les ressources humaines affectées aux activités entrepreneuriales : nous voulions «estimer» les ressources humaines affectées aux activités entrepreneuriales, autant celles rémunérées que bénévoles. Pour ce faire, nous avons indiqué le total des jours de travail où les ressources humaines furent impliquées dans la planification, l organisation et la réalisation de l activité. 3. L ENVIRONNEMENT INTERNE ET EXTERNE DES COLLÈGES a. Les ressources internes disponibles ou favorisant l entrepreneuriat; b. Le support externe, les relations avec le milieu. À cette étape, nous avons analysé plusieurs composantes identifiées à partir de nos observations sur le terrain et de rencontres préliminaires effectuées en début de mandat. Nous avons ainsi une série d éléments pouvant contribuer à créer un environnement favorable au développement de l entrepreneuriat au niveau collégial, notamment : 15 Page
16 a) Interne; Les politiques internes favorisant l embauche de membres du personnel qui ont un profil entrepreneurial et qui sont ou ont été des entrepreneurs; Les conseillers pédagogiques axant des dossiers ou projets liés à l entrepreneuriat; Les services aux entreprises; Les centres collégiaux de transferts technologiques; Un comité qui développe la culture entrepreneuriale; L entrepreneuriat a déjà fait l objet d une journée pédagogique; Des ressources humaines dédiées au développement de l entrepreneuriat; Un centre de référencement sur l entrepreneuriat (soit à la bibliothèque ou autre); La reconnaissance de l implication des étudiants en entrepreneuriat; La reconnaissance par la Fondation du collège pour la promotion de l entrepreneuriat; Les conseillers en orientation parlent du métier d entrepreneur; Les services de placement orientent les étudiants manifestant le désir d entreprendre vers les ressources du milieu; etc. b) Externe; La présence de comité cégep/entreprises; Les collèges sont informés des membres du personnel qui siègent à des comités d organismes favorisant l entrepreneuriat; Les collèges collaborent avec des partenaires des milieux sociaux économiques avec des ententes formelles; Les collèges collaborent avec des entrepreneurs qui agissent à titre de mentor; etc. 4. L APPROCHE PÉDAGOGIQUE ENTREPRENANTE OU À VALEUR ENTREPRENEURIALE La pédagogie est un élément important de tous les modèles que nous avons analysés. Sur ce point, nous avons décidé d utiliser les recherches de Surlemont et Kearney avec leur définition des quatre piliers de la démarche pédagogique. Pour développer l esprit d entreprendre dans nos classes, les auteurs proposent une réflexion opérationnelle concernant la mise en place d une démarche pédagogique qui devrait être : responsabilisante, en favorisant la prise en charge par l apprenant de sa propre démarche d apprentissage et en proposant un apprentissage participatif. Habituellement, c est l enseignant qui pilote l ensemble du processus et fige le cadre de l apprentissage. Ce biais limite les possibilités de favoriser des attitudes telles que la proactivité, notamment en matière de recherche d informations, la négociation, la capacité à défendre ses idées, l organisation et la planification. expérientielle, en permettant à l élève de construire son apprentissage sur sa propre expérience plutôt que sur celle des autres. Un enseignement ex cathedra limite les possibilités de favoriser des attitudes telles que l engagement, la persévérance, la créativité, la fierté, voire la confiance en soi. réflexive, en donnant à l apprenant l occasion de faire le bilan et la synthèse de ce qu il a appris. 16 Page
17 coopérative, en favorisant le travail de groupe dans une optique où les différents membres contribuent au processus d apprentissage des autres. La source de l apprentissage n est donc plus seulement l enseignant, mais aussi les pairs. Cette approche renforce l esprit d équipe, la motivation et les compétences acquises, tant du point de vue de celui qui reçoit le contenu de l apprentissage que de celui qui le dispense. Développer l esprit d entreprendre nécessite donc une posture radicalement différente de la part de l enseignant. Celui- ci devient davantage un gestionnaire du processus d apprentissage que s approprie l apprenant plutôt qu un dispensateur de savoir. Le questionnaire adapté au milieu collégial est repris des travaux de ces auteurs avec comme trame de fond ces quatre piliers de la pédagogie entrepreneuriale. Questionnaires Quatre questionnaires ont été élaborés dans le cadre du projet. Le premier se voulait une analyse générale du contexte de chacun des collèges en entrepreneuriat. Nous voulions connaître de manière générale quels étaient les éléments en place favorisant l entrepreneuriat. Réparti en deux volets, nous allions analyser l environnement organisationnel du collège, notamment dans le projet éducatif et le plan stratégique, pour voir s il y avait des éléments favorisant l entrepreneuriat. Par la suite, nous avions un questionnement sur la présence d activités entrepreneuriales. Le second questionnaire fut élaboré pour documenter les pratiques en matière d activités entrepreneuriales. Par la suite, nous avons développé un questionnaire destiné aux enseignants sur la pédagogie à valeur entrepreneuriale. En terminant, un questionnaire fut passé aux conseillers pédagogiques pour identifier les collaborations avec l environnement extérieur. Ce dernier, considérant le faible taux de participation, ne sera pas analysé. Planification des rencontres Dans le cadre du projet de recensement, les entrevues et les entretiens ont été réalisés en deux sessions, soit une première entre le 15 mai et le 5 juin 2013 et une seconde pour compléter du 20 août au 1 er septembre Ensuite, nous avons contacté un représentant de chacun des collèges pour expliquer la démarche, les objectifs du recensement et fixer la rencontre. Chacun des entretiens téléphoniques était suivi d une confirmation par courriel dans lequel nous invitions le représentant à se familiariser avec le questionnaire. Il était aussi mentionné que lors de la rencontre, un rapport annuel ou un plan d action serait très utile pour accélérer la démarche et éviter d omettre une activité entrepreneuriale. Nous voulions ainsi aller chercher l engagement des répondants, mais aussi permettre à ces derniers de se préparer et, dans la foulée, bonifier les échanges sur le sujet de l entrepreneuriat. 17 Page
18 RÉSULTATS Nous avons choisi de présenter tout au long des résultats des constats, des observations et des réflexions. Nous croyons que de cette manière, cela permet au lecteur d avoir certains éclaircissements ou réflexions. Les résultats correspondent à l année scolaire Partie 1 : les valeurs, les orientations des collèges qui sont identifiées à l entrepreneuriat Analyse Lors de cette première partie, nous avons analysé l ensemble des documents officiels des collèges pour extraire les intentions spécifiques vis- à- vis l entrepreneuriat. Nous avons analysé les visions, les mesures et les actions se retrouvant autant dans le projet éducatif que dans le plan de réussite ou dans le plan stratégique pour en extraire les éléments formels. Projet éducatif : La mission et la vision du collège intègrent- elles des valeurs entrepreneuriales (sens des responsabilités, initiative, créativité, débrouillardise, autonomie, persévérance, etc.)? Bien qu il existe plusieurs définitions des valeurs (qualités) entrepreneuriales, nous avons retenu celles issues du Secrétariat à la jeunesse 6. Ainsi, parmi les différentes valeurs qui animent l entrepreneur, la créativité, l autonomie, le sens des responsabilités, le leadership, la solidarité et l ambition sont les principales. Au travers du projet éducatif des collèges, l autonomie et la solidarité sont des valeurs présentes dans l ensemble des institutions. Les autres valeurs présentes sont, pour une organisation sur trois, le sens des responsabilités et la créativité. En analysant le plan stratégique des trois collèges, nous validons s il y a des actions projetées en lien avec l'entrepreneuriat. Comme un plan stratégique est une photo prise pour l année de référence , il faut être prudent dans l interprétation des résultats. Pour l ensemble des collèges, les plans stratégiques font référence au rôle important qu ils ont dans le développement économique de la région. À la lecture des plans stratégiques ainsi que des rapports annuels, nous cherchions pour la période d analyse notamment : des actions donnant une couleur entrepreneuriale à certains programmes; l ajout de cours complémentaires; la mise en place de communauté de pratique en entrepreneuriat; des partenariats externes en développement et en sensibilisation en entrepreneuriat; etc. Sur les trois collèges, il n y en a qu un seul qui propose des actions, des moyens concrets en lien avec le développement de l entrepreneuriat. Bien que l ensemble de nos discussions avec les intervenants sondés montre des investissements beaucoup plus intenses en entrepreneuriat, certaines des actions sont issues de l interne, de collaborations spontanées ne passant pas 6 entrepreneuriales, 15 octobre Page
19 nécessairement par la planification stratégique ou y étant associées de loin. L investissement au développement de l entrepreneuriat n est donc pas toujours identifié ou intégré aux stratégies des collèges. Le plan de réussite comporte des axes d'intervention liés à l'esprit d'entreprise ou des moyens favorisant l'entrepreneuriat au sein des collèges. Nous recherchions, au travers notre questionnaire et l analyse des documents publics des collèges, des interventions formelles déjà en place à teneur entrepreneuriale venant appuyer les apprentissages, la motivation ou la reconnaissance, par exemple la reconnaissance d'actions liées à l'entrepreneuriat, une mention au bulletin, des bourses, des prix, etc. Dans deux collèges sur trois, il y a des mentions au bulletin spécifiques à l engagement des étudiants dans un projet ou une démarche en entrepreneuriat. Cependant, cette mesure n est que très peu utilisée, voire absente pour l un des deux collèges où cette mention existe. Selon les personnes rencontrées, la mention en entrepreneuriat est peut- être plus difficile à diffuser à l ensemble des étudiants. De plus, il revient à l étudiant d en faire la demande, ce qui pourrait avoir pour effet d en décourager certains. Favorisant la reconnaissance en plus de soutenir le sentiment de fierté chez les étudiants et les intervenants scolaires, chacun des collèges a une formule gala associée ou non à des bourses d études. Deux collèges sur trois ont des reconnaissances spécifiques à l entrepreneuriat avec des fonds dédiés ou des reconnaissances en bourses. Partie 2 : les activités entrepreneuriales À travers nos rencontres, nous avons répertorié le plus grand nombre d activités qui visent à favoriser la sensibilisation et le développement de l entrepreneuriat au niveau collégial. Nous avons recensé, pour l ensemble des collèges, 47 activités entrepreneuriales (tableau 3). De l ensemble des activités, les activités favorisant la mobilisation et la sensibilisation sont en plus grand nombre avec 63,8 %. Suivent les activités d éducation et de formation avec 38,1 %. Dans un contexte collégial où nous voudrions favoriser l entrepreneuriat, il serait intéressant de mesurer au fil des années si la proportion des activités d éducation de formation est en croissance. Même si l esprit d entreprise peut être développé tout au long de la durée du cursus scolaire, il devrait s y retrouver beaucoup plus représenté au niveau collégial, notamment par des activités d éducation et de formation. 19 Page
20 Tableau 3 : Types d activités entrepreneuriales N.B. Somme des pourcentages différente de 100 du fait des réponses multiples Autre angle d analyse, les activités entrepreneuriales sont en grande majorité au niveau parascolaire (50,0 %) et, dans une moindre mesure, intégrées à la grille de cours (42,5 %) (Tableau 4). Tableau 4 : L activité entrepreneuriale et cheminement scolaire Au travers de nos recherches, nous avons répertorié dans une faible proportion des activités destinées aux entrepreneurs ou aux enseignants (Tableau 5). D un collège à l autre, la répartition n est pas homogène. On constate que la présence d un agent de promotion de l entrepreneuriat dans le collège a un effet favorable sur le nombre d activités entrepreneuriales au niveau parascolaire. La promotion de l entrepreneuriat par un agent multiplie les initiatives au niveau parascolaire; les étudiants vont avoir tendance à s y investir davantage. Dans les collèges où nous n avons pas cet agent, le rôle semble être assuré par des enseignants, souvent en plus de leur charge de cours. Certains d entre eux nous mentionnent le danger d y investir trop de temps ou d énergie avec le résultat que leur implication, année après année dans les activités parascolaires, devient difficile à maintenir. 20 Page
21 Tableau 5 : Autres activités entrepreneuriales Certains programmes sont propices au développement des habiletés entrepreneuriales ainsi qu au développement des compétences en gestion, notamment les programmes en administration. Nous avons remarqué que certains collèges intègrent à la grille de cours de plusieurs programmes un projet de fin d études. Cette façon de faire utilise des méthodes d apprentissage qui exploitent et développent les capacités entrepreneuriales de leurs étudiants. Ces projets d intégration génèrent une action novatrice des étudiants par la création d un bien, d un service ou d un évènement. Pour certains, ils sont l initiative des étudiants et répondent à un besoin de la communauté. Dans ce cas, les initiatives rejoignent les champs d intérêt des étudiants et vont susciter la passion et l engagement. Ce projet mis en place va par ricochet créer de la valeur dans la communauté à laquelle il est destiné. Voici en complément le titre de plusieurs des 47 activités que nous avons dénichées dans les 3 collèges de la Mauricie. Tableau 6 : Exemple d activités entrepreneuriales Club entrepreneurs étudiants (CEE) Centre de transfert d'entreprises de la Mauricie Volet accompagnement Centre de transfert d'entreprises de la Mauricie Volet formation et sensibilisation Cours analyse de la profession (fonction de travail, intégration au travail où l on parle du métier d entrepreneur) Activités de sensibilisation à l'entrepreneuriat dans certains cours Formation continue Support à l'entrepreneuriat : contribution financière de la Fondation aux projets étudiants Agent en accompagnement et promotion de l'entrepreneuriat étudiant Organisation d activités de réseautage : 5 à 7 interclubs entrepreneurs Promotion et point de chute pour le Concours québécois en entrepreneuriat Volet étudiant Happening entrepreneurial Différents cours en démarrage d'entreprise, en réalisation d un plan d affaires, pour devenir entrepreneur (e), en projet d'entreprise, mais aussi en gestion de projet, en projet de commercialisation, l entreprise et ses fonctions, les défis managériaux, recherche et traitement de l'information de gestion et en comptabilité de gestion Cours complémentaire en entrepreneuriat offert à l ensemble des étudiants du collège Formation : AEC Démarrage et gestion de son entreprise 21 Page
22 Cours sous forme de projet entrepreneurial de fin d'études intégrant l organisation d évènements, la vente de produits ou de services, des projets humanitaires, etc. Reconnaissance par des prix et bourses en entrepreneuriat Participation à la compétition Place à la relève Cas entrepreneuriat Organisation du 1 er forum sur l'entrepreneuriat en Mauricie Table de concertation pour la promotion de l entrepreneuriat Journée de formation en entrepreneuriat offerte par le Carrefour jeunesse- emploi Organisation de conférence par les étudiants mettant en lumière le parcours d un entrepreneur de renom Mention au bulletin soulignant l'engagement des étudiants Volet entrepreneuriat Trousse pédagogique sur l'entrepreneuriat destiné au niveau préscolaire Gala reconnaissance Volet entrepreneuriat, affaires et vie économique Entente entre la Chambre de commerce et la SADC pour offrir à dix étudiants de devenir membre de la Chambre de commerce et de participer aux activités gratuitement Dans l'oeil du mentor «L'idée d'affaires jeunesse ans» Projet territorialisation de l'entrepreneuriat. Étude et mise en place d une plateforme Moodle Agent de développement à l'entrepreneuriat Volet sensibilisation à l entrepreneuriat auprès des enseignants Agent de développement de l'entrepreneuriat Volet accompagnement des projets étudiants Cercle de l énergie en entrepreneuriat Bourses de l'avenir Profil entrepreneurial Significativement, les activités sont offertes au secteur de l enseignement régulier avec 78,7 % et dans 14,9 % à la formation continue (Tableau 7). Selon les intervenants rencontrés, ils nous ont indiqué que le milieu de la formation continue se prête moins au développement d activités entrepreneuriales. Notamment, nous avons eu le commentaire qu à la formation continue, l horaire des étudiants ne permet pas ou peu la participation aux activités au niveau parascolaire. L entrepreneuriat permet aux étudiants de se mobiliser autour d une problématique et d y répondre par la production de biens, de services et d évènements qui sont tout aussi favorables au développement et aux apprentissages des étudiants. Dans ce contexte, il serait intéressant de voir si cet écart entre la formation à l enseignement régulier et à la formation continue est justifié, dans un contexte de développement de l entrepreneuriat où l on veut mettre l étudiant dans des contextes signifiants d apprentissage. Tableau 7 : Clientèle participante issue de quels programmes ou services 22 Page
23 N.B. Somme des pourcentages différente de 100 du fait des réponses multiples et des suppressions Les deux prochaines figures nous présentent, selon les phases du processus entrepreneurial, la répartition des 47 activités recensées ainsi que la répartition du nombre de participants aux activités entrepreneuriales. La plus grande proportion de la figure 4 représente les activités de sensibilisation et d information à la culture entrepreneuriale (phase 1) avec 62 % des activités, période au cours de laquelle les activités ont pour objectif de conscientiser les étudiants de la valeur ajoutée de l entrepreneuriat et de l intrapreneuriat. Ainsi, on communique aux étudiants de l information; on sensibilise ces derniers à la culture en entrepreneuriat. Les activités s adressent ici à l ensemble des étudiants et elles ont pour objectif de stimuler ou d encourager l entrepreneuriat. La phase 2, intitulée «former des entrepreneurs, des intrapreneurs», correspond aux activités qui ont pour objectif de conscientiser tout individu à son potentiel entrepreneurial (traits, motivations, compétences). 55 % des activités se retrouvent à cette phase du développement de l entrepreneur. Durant cette phase, les activités tentent d influencer, d orienter ou de mobiliser une clientèle beaucoup plus ciblée. Dans cette perspective, nous y retrouvons plusieurs activités de formation. On réfère aussi aux activités visant le développement des valeurs, des attitudes ou valorisant le métier d entrepreneur. La phase 3, nommée «création d entreprises», correspond à la période au cours de laquelle l étudiant est dans un processus concret de mise en œuvre d un projet. Dans cette perspective, 25 % des activités s adressent à des étudiants dans un processus de prédémarrage ou de démarrage, notamment avec des activités d accompagnement, d aide à la rédaction de plan d affaires ou des formations conduisant au démarrage d un projet à valeur entrepreneuriale. Le projet est, à cette étape, bien ancré puisqu il s agit de sa mise en œuvre réelle et concrète. Nous avons recensé les activités où l étudiant se met en action dans la production de biens, de services et d évènements dans un contexte d apprentissage. Nous n avons pas retrouvé d activités à la phase 4, «supporter les premières années (0-5 ans)». La phase 5 du transfert et de la relève entrepreneuriale est très peu représentée avec 4 % des activités. Ces deux périodes correspondent aux périodes pendant lesquelles l individu est activement un entrepreneur, donc a entrepris sa carrière entrepreneuriale. Durant cette phase se trouvent des activités, des mesures qui favorisent la survie, la croissance des entreprises déjà existantes dans leurs premières années d existences (0-5 ans). Les collèges ont tous des services de formation s adressant aux entreprises, mais ces derniers ne sont pas (ou peu) dédiés spécifiquement aux entrepreneurs, principalement parce que nous sommes ici dans de la formation de l accompagnement individuel. Au dire de certaines organisations collégiales, des collaborations avec les organisations de premières lignes en création d entreprises (centres locaux de développement, sociétés d aide au développement des collectivités, organismes gouvernementaux) semblent vouloir voir le jour. Il 23 Page
24 serait ainsi possible d offrir des formations de groupe s adressant à des entrepreneurs les aidant dans un processus d apprentissage de leur métier d entrepreneur. Figure 4 : Analyse selon les phases du processus entrepreneurial Les activités N.B. Somme des pourcentages différente de 100 du fait des réponses multiples et des suppressions La figure 5 nous présente la répartition de l ensemble des participants aux différentes activités. Sur l ensemble, les activités entrepreneuriales ont touché 2092 participants. Ce total de participants exclut ceux qui n étaient pas ciblés par les activités entrepreneuriales. Aussi, dans les cas d entrepreneuriat collectif, nous avons calculé uniquement ceux qui ont participé à l activité. La phase 1 de la sensibilisation récolte la majeure partie des participants avec 63 %. À cette étape, les étudiants reçoivent de l information sur l entrepreneuriat, notamment sous forme de visite d entreprises et de conférences d entrepreneurs à succès. Les étudiants reçoivent des informations et développent leur goût, leur désir de s impliquer dans l entrepreneuriat et l intrapreneuriat. Lors des phases suivantes, les étudiants ont choisi de s impliquer et de se mettre en action dans des clubs d entrepreneuriat étudiant, des cours complémentaires et des projets de fin d études mettant à profit leur goût d entreprendre. Nous n avons pas de données empiriques sur l entrepreneuriat au niveau collégial, mais au dire des personnes rencontrées, plus il y a de possibilités pour les étudiants de s impliquer autant dans le cursus scolaire qu au niveau parascolaire, plus la participation est au rendez- vous. Les phases suivantes de création (2 %), de support (0 %) et de transfert (9 %) ne représentent que très peu de participation sur l ensemble du continuum. 24 Page
25 Figure 5 : Analyse selon les phases du processus entrepreneurial Nombre de participants En complément, nous avons extrait pour l ensemble des activités répertoriées l investissement en nombre de jours des ressources humaines affectées aux activités entrepreneuriales. Nous voulions «estimer» les ressources humaines affectées aux activités entrepreneuriales, autant celles rémunérées que bénévoles. Pour ce faire, nous avons indiqué le total des jours de travail où les ressources humaines furent impliquées dans la planification, l organisation et la réalisation de l activité. L équivalent de 2,3 personnes à temps plein est ainsi associé à l'ensemble des activités entrepreneuriales, soit l équivalent de 573 jours de travail au total. Partie 3 : L environnement interne et externe des collèges Nous venons de mettre en lumière les activités propices au développement entrepreneurial individuelles ou collectives, l ensemble de ces activités favorisant la mise à contribution des qualités et attitudes exprimant une volonté d entreprendre. L entrepreneuriat, ou l esprit d entreprendre des étudiants, consiste essentiellement en une volonté d agir et se mettre en œuvre pour créer du changement, de la nouveauté, pour fixer des buts et réaliser des projets. En ces termes, l environnement doit être propice en mobilisant des ressources autour des projets des étudiants. Plusieurs auteurs décrivent l environnement comme essentiel au développement de l entrepreneuriat et de l intrapreneuriat. Certains vont même jusqu à spécifier que 25 Page
26 l environnement peut freiner le goût d entreprendre. Tout ce processus est influencé par un environnement (politique, économique, social, légal ou technologique) pour lequel nous n avons pas ou peu d influence et par un environnement interne avec lequel nous pouvons composer pour le rendre favorable au développement de l entrepreneuriat. L étudiant qui a le désir d entreprendre considère son milieu comme une ressource avec des acteurs qui vont l influencer. Le milieu interne d un collège et les collaborations avec l environnement externe sont donc des clés permettant de favoriser l entrepreneuriat et l intrapreneuriat. Dans la culture de l entrepreneuriat, la communauté a un rôle pivot dans le goût d entreprendre. Notre analyse visait aussi à identifier quelles sont, dans les collèges, les pratiques en matière d entrepreneuriat qui favorisent le passage de l étudiant dans un processus favorisant son goût d entreprendre. Nous avons ainsi défini plusieurs ressources, structures et politiques touchant l environnement entrepreneurial interne des collèges et identifiant si ces pratiques se retrouvaient ou pas dans les trois collèges sondés : Politiques favorisant l embauche de personnel qui a un profil entrepreneurial (qui est ou a été entrepreneur). 1 collège sur 3 Conseillers pédagogiques axant des dossiers ou projets liés à l entrepreneuriat. 3 collèges sur 3 Services aux entreprises. 3 collèges sur 3 Centres collégiaux de transfert technologique. 2 collèges sur 3 Un comité qui développe la culture entrepreneuriale. 1 collège sur 3 L entrepreneuriat a déjà fait l objet d une journée pédagogique. 1 collège sur 3 Des ressources humaines dédiées au développement de l entrepreneuriat. 1 collège sur 3 Centre de référencement sur l entrepreneuriat (soit à la bibliothèque ou autre). 1 collège sur 3 La fondation du collège offre des bourses pour la promotion de l entrepreneuriat. 2 collèges sur 3 Les conseillers en orientation parlent du métier d entrepreneur. 26 Page
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